Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

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Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 30 dimanche 01 février 2015, 02:03:00

S’il avait fallu donner un exemple à la définition du mot « lunatique », Amélie aurait très certainement accepté le poste. Passant instantanément d’une rage profonde à une sorte de douceur affective renversante, Amélie oscillait entre les extrêmes, sans passer par le milieu. La jeune femme était ainsi. Quand on savait ce qu’elle avait vécu, qu’elle ne soit « que » ça était, en soi, un mince prodige. Senestra était troublé, et avait du mal à accepter la situation, ne pouvant s’empêcher de se trouver responsable... Ce qui amena Amélie à mieux comprendre pourquoi Dextra avait parfois envie de le gifler, et pourquoi Dextra était si véhémente. Quand on avait un frère sensible comme ça, soit on devenait également sensible comme la Tour Montparnasse, soit on prenait le taureau par les cornes, et on choisissait de porter la culotte.

Après son petit baiser, elle s’écarta rapidement, mais elle ne s’attendait pas à ce qui suivit... À savoir que Senestra allait la retenir. Il la tint entre ses bras, et la plaqua doucement contre son torse. Un sursaut traversa le corps d’Amélie, qui ne repoussa pas l’homme, et conserva sa main sur son torse, l’écoutant parler. Son cœur palpitait légèrement dans sa poitrine. Allait-elle le repousser ? L’idée la tentait bien, mais... Elle ne sentait aucune agressivité en lui. Une telle innocence... Était-il  possible que ça existe ? C’était typiquement ce genre de personnages où, dans un film, il apparaîtrait comme n’étant pas crédible. Typiquement ça.

« Tu sais, je... J'aimerais vraiment faire quelque chose pour que tu ne partes pas sur un coup de tête parce que j'ai été le plus maladroit des abrutis. Tu n'es pas fautive et tu ne méritais pas non plus de subir ma bêtise... »

Et hop, il continua son laïus, tout en l’embrassant sur le front... Ce qui donna à Amélie une idée. Elle ne lui répondit pas, car elle réfléchissait, une main toujours sur son torse. C’était une idée farfelue, mais, avec Amélie, c’était une spécialité. Une personne lunatique était souvent imprévisible, puisqu’elle changeait continuellement d’humeur... Et que, ce faisant, les idées évoluaient aussi. Prête à claquer la porte et à ne plus jamais revenir il y a cinq minutes, c’était maintenant une toute autre aspiration qui brûlait dans son esprit... À tel point qu’on aurait presque pu la croire schizophrène.

*Oui... Pourquoi pas, après tout ?*

Elle releva la tête vers Senestra, et lui sourit malicieusement, révélant ses belles dents blanches.

« Senestra... Tu parles trop. »

La main d’Amélie s’agrippa à son vêtement, l’autre main venant pour la soutenir, et elle se hissa à nouveau sur la pointe des pieds... Et l’embrassa sur les lèvres. En fermant les yeux, elle plaqua sa bouche contre la sienne, et prolongea le baiser pendant quelques secondes, avant de relâcher l’homme,e t de le pousser gentiment. Senestra heurta une boîte aux lettres, et Amélie s’humecta les lèvres en souriant, joignant les mains dans son dos.

« Tes lèvres me font penser à une pêche... Et les miennes ? Je me suis toujours dit qu’elle savaient le goût de fraise... »

Joueuse, elle croisa ensuite les bras sur sa poitrine, en attente d’une réaction...

DC d’Alice Korvander.

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Dextra-Senestra

Humain(e)

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    Deux jeunes lycéen de Seïkusu, un petit frère au coeur sur la main et une grande soeur insupportable et jalouse.
    
    Senestra est un jeune homme athlétique, travaillant dans un restaurant italien et versé dans la pop culture japonaise. Il vit avec son pc quand il n'a rien à faire.
    
    Dextra est une jeune fille aux abords compliqué, jugeant autrui et extrêmement amoureuse de son petit frère. Versée dans l'occultisme, elle aime à pratiquer quand son frère a le dos tourné.

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 31 mercredi 04 février 2015, 15:19:49

Senestra... est un jeune homme de passion. Pour lui, contrairement à beaucoup d'autres personnes, ce qu'il pensait juste ou injuste était profondément ancré en lui, et ainsi il agissait toujours de manière un peu "extrême", selon qu'il se sentait coupable de son comportement, ou obligé d'agir pour diverses raisons, quelles qu'elle soit. Le connaître un tout petit peu voulait presque dire le connaître parfaitement, parce qu'il devenait très facile de comprendre ce qu'il allait faire dés lors que l'on remarquait chez lui ce besoin d'être quelqu'un d'irréprochable, de juste, de "bon". Couplé à son innocence, cela rendait le jeune homme quasiment surréel sur certain point, et ce qu'Amélie devait être en train de remarquer n'était qu'un exemple concret de ce que le lycéen était : un jeune homme dont la vie même était tournée vers le bonheur de ceux qu'il rencontrait, même si ceux ci pouvaient être vu  comme mauvais, où à défaut, blessant face à cette bonté.

Il était un bon samaritain, même si il l'avait renié quand la jeune fille lui en avait parlé dans la rue, plus tôt dans la journée, et là, dans cette cage d'escalier, avec la jeune fille entre ses bras et lui qui était tout à fait incapable d'accepter qu'il ait put lui faire du mal, c'était tellement flagrant que ça en devenait quasiment ridicule. Mais lui ne s'en rendait pas compte, il voulait juste qu'Amélie soit bien, qu'elle soit heureuse, qu'elle ne partes pas dans l'instant avec cette envie d'en vouloir à ceux qui n'étaient pas comme elle. Cette demoiselle, avec sa main placée sur son torse, qu'il avait imaginé le repousser instantanément sitôt ses bras passés autour de son corps, était actuellement celle vers qui toutes les douces et chaleureuses pensées du jeune homme étaient tournées, et nombreux aurait été ceux déduisant que l'adolescent essayait de charmer la jeune fille par quelques douces manières... Sauf qu'il fallait se rendre à l'évidence, avec de telles pensées, cela ferait longtemps qu'Amélie l'aurait rejeté.

Quand il l'observa, il vit un sourire, délicat, charmant, et il ne put se préparer à ce qui allait suivre, cette simple expression sur le visage d'Amélie lui faisant chaud au coeur :

« Senestra... Tu parles trop.
 -  Comment ça...? »

Il sent la poigne de la jeune fille se raffermir sur son haut, le tirer à elle, l'empêchait de bouger tandis que ce simple petit geste vint faire battre son coeur un peu plus rapidement, comme s'il présentait quelque chose d'anormal dans le comportement d'Amélie. Il ne savait pas du tout ce qu'elle comptait faire, n'avait absolument aucune idée de ce que cette demoiselle pouvait penser sur l'instant, et quand il la vit se rapprocher, la possibilité qu'elle soit en train de le taquiner était bien plus forte dans l'esprit de Senestra que quoi que ce soit d'autre. Mais rien de tout cela, il sentit soudainement l'emprise des lèvres de la jeune femme sur les siennes, la tendresse charnue de sa bouche venant rencontrer son visage aussi subitement que de manière inattendue, prenant le lycéen de court. Il ne comprenait pas, ne comprenait plus rien alors que son coeur partit à cent à l'heure, son visage virant au cramoisi le plus total.

Il perdit la notion du temps, ses pensées étaient vides, et avant même de se rendre compte de ce qu'il s'était déroulé, ils s'étaient séparés l'un de l'autre, le jeune homme finissant contre une des rangées de boîtes aux lettres qui tapissaient l'entrée de l'immeuble, le goût délicieux et sucré des lèvres d'Amélie sur es siennes. Hébété, perdu, il voit la belle demoiselle devant lui, apparemment heureuse, joyeuse, dans une position que l'on pourrait qualifier de mignonne, l'observer en se délectant surement de son tour, les joues de l'homme ne perdant pas de leur couleurs de cerises bien mûres.

« Tes lèvres me font penser à une pêche... Et les miennes ? Je me suis toujours dit qu’elle savaient le goût de fraise...
 -  Je... elles ... tu ..., il respire un bon coup avant de reprendre, n'arrivant pas à faire sortir les mots de sa bouche. Elles sont ... délicieuses, mais... j'étais tellement surpris que je ... je n'ai pas put les apprécier autant que je l'aurais désiré... »

Incapable de mentir, incapable de faire semblant, il faudrait être le dernier des abrutis pour ne pas voir l'état dans lequel elle venait de mettre le jeune homme, clairement pas habitué à ce genre d'attention de la part d'autrui, et d'autant plus troublé qu'il s'agit de la personne qu'il souhaitait rendre heureuse aujourd'hui. Il ne pouvait pas s'y faire, ce goût sur ses lèvres qui l'appelait encore et encore à oublier son comportement de jeune homme droit et honnête, pour retourner directement auprès d'Amélie afin d'en reprendre un autre, qu'il dirigerait ce coup-ci comme une réponse au doux jeu de la jeune fille. Mais il était ... fébrile, paralysé, son coeur battant à cent à l'heure comme pour lui faire comprendre que si il commence sur cette voie il ne parviendra plus à s'arrêter, sans parler de sa peur de froisser la jeune fille, alors même qu'elle est la première à avoir fait ce pas. Mais encore une fois, il ne sait pas mentir, même dans son comportement.

« Amélie... Peut-être que tu m'en voudra... mais... je ne peux que vouloir y goûter... à nouveau. »

Il s'approche, espérant qu'elle ne le rejette pas sur ce coup-ci, qu'il ne l'offusque pas, et se penche un peu tout en venant prendre sa joue dans le creux de sa main, délicatement. Il la regarde un court instant, puis approche son visage du sien sans mot dire, même si l'on pourrait presque croire que ses joues continuent encore de se teinter de rouge, malgré l'aspect presque impossible de cette possibilité tant le visage du jeune homme c'est paré d'un bordeaux bien révélateur. Et pourtant il parvient à maîtriser cette gêne, maîtriser ce malaise, à défaut de son coeur et de son visage, pour aller rejoindre le visage de la jeune fille, lèvres contre lèvres. Cette douceur, cette exquise sensation, ce goût léger qu'il ressent désormais qu'il n'est plus foudroyé par la surprise, c'est un tel bonheur. Ne voulant être trop insistant, il ne reste que quelques secondes, et rouvrant les yeux, il ne peux empêcher de plonger son doux regard dans celui d'Amélie, parlant tout bas sans savoir pourquoi.

« Je dirais plutôt des cerises, douces, agréables, et exquises. »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 32 lundi 09 février 2015, 01:47:45

Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus... Et Amélie semblait venir, elle, de Neptune. Elle était très lunatique, et le pauvre Senestra ne savait visiblement plus à quel saint se vouer. Il se tenait face à Amélie, et semblait lire, dans la prunelle des yeux d’Amélie, toute sa malice... La colère de la Française semblait avoir totalement disparu, comme si elle n’avait été qu’un nuage de fumées, uniquement destiné à dissimuler quelque chose de plus profond... Mais, alors, peut-être que sa joie l’était aussi... Amélie était instable, indécise, indéfinissable, et c’était pour ça qu’on l’aimait. Avec Amélie, impossible de s’ennuyer, et ça, Zetsu et Mishi l’avaient bien compris. Dextra et Senestra allaient également le comprendre. Semblant avoir perdu sa langue après ce baiser, Senestra baragouinait sur lui-même, puis, lentement, entreprit de s’approcher d’elle.

Il lui dit vouloir à nouveau goûter à ses lèvres... Et Amélie le laissa faire. Instable, comme toujours. Il y a quelques minutes, la seule idée de voir Senestra approcher ses lèvres des siennes l’aurait amené à le gifler, et, maintenant... Elle soupira quand sa main caressa sa joue, et desserra ses poings. Même si Amélie était dans une « phase verte », elle sentit malgré tout une boule de nerfs se former dans sa gorge. Il caressa donc sa joue, et se pencha vers elle. À nouveau, Amélie se hissa sur la pointe des pieds, et ses lèvres heurtèrent celles de l’homme, dans un tendre et chaud baiser. Il fut bref et doux, ne durant que quelques secondes, témoignant de toute la nervosité du jeune homme planté face à elle.

« Je dirais plutôt des cerises, douces, agréables, et exquises. »

Des cerises... Amélie sourit délicatement, et resta près de l’homme.

« Oh... Des cerises... »

Elle se mordilla encore les lèvres, et resta proche de lui.

« Je le prends comme un compliment... »

Ses seins s’enfoncèrent contre son torse, et elle poussa légèrement l’homme, venant plaquer le dos de Senestra contre les boîtes aux lettres. Elle devait bien admettre qu’il avait un nom curieux... Comme sa sœur. Sans trop savoir pourquoi, cette remarque venait subitement d’émerger dans son esprit, et elle la chassa tout autant, ses mains serrant toujours le vêtement de l’homme.

« Tu aimes mes lèvres, hein ? J’ai remarqué combien tu les fixais... À chaque fois que je les pinçais avec mes dents... »

Ne jamais sous-estimer l’œil aiguisé d’une femme. Amélie avait vu ça, et, même si elle ne l’avait pas vu, elle était plus ou moins sûre d’avoir tapé dans le mille. Son corps resta donc contre celui de l’homme, tandis que des frissons remontaient le long de son corps. L’homme étant plus grande qu’elle, elle se glissa un peu contre lui, tirant un peu sur son haut, s’avérant étonnamment autoritaire et dirigiste, elle qui avait souvent l’habitude de se laisser faire et porter par les autres.

« Je pourrais encore te rouler des pelles pendant des heures, mais j’ai peur que Dextra voit rouge... Je crois qu’elle adorerait t’embrasser, elle aussi... »

Est-ce que Senestra le savait ou pas ? Ou est-ce qu’Amélie venait de faire une gaffe en lui exposant ce qui, pour elle, était aussi évident que le nez au milieu de la figure.

DC d’Alice Korvander.

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 33 lundi 09 février 2015, 17:31:17

Le jeune homme ne savait plus vraiment quoi penser d'Amélie, quoi penser tout court en faite... Plus le temps passait, et plus le fonctionnement surprenant de la jeune fille ne cessait de venir l'attaquer par revers, dans ses angles morts, pour le rendre à la fois plus fébrile et plus tendre envers elle. Si un peu plus tôt il avait d'ailleurs sentit que sa tendresse l'avait durement vexée, lui donnant ainsi envie de partir pour ne plus jamais revenir, il ne comprenait pas comment cette même gentillesse avait sut la toucher pour le coup et la ramener à lui, encore plus proche que plus tôt, dépassant le stade d'amitié que le jeune homme avait cherché à instaurer entre eux pour qu'elle se sentes bien. Puis il y avait eut ces lèvres, et le lycéen ne savait même plus si il avait vraiment voulue s'en faire une amie, et pas plus que cela, dés la première vision, mais il doutait n'avoir put la moindre fois penser à une telle chose, elle contre lui, et un doux baiser partagé, non il n'en avait dans le fond pas la moindre idée.

« Oh... Des cerises... Je le prends comme un compliment...
 -  Ce ... c'en est un ! J'espères pas maladroit... »

Elle l'attire à elle et le pousse contre les boîtes aux lettres, le bloquant de telle manière qu'il ne peut définitivement plus lui échapper, de quelques manières que ce soit, si encore il en avait le désir, car il doutait ne vouloir jamais quitter cette douce et étrange étreinte qu'ils partageaient. Il fut d'ailleurs un peu ébranler en sentant la douce et agréable poitrine de la femme venir se presser contre son torse, chaud contact qui naturellement ne peut laisser un jeune homme indifférent, mais qui ici marchait si bien sur Senestra qu'il déglutit un peu instinctivement, sans se douter de la visibilité flagrante d'une telle réaction face à ce comportement. Bon il faut dire que la jeune fille avait aussi percée l'intégralité des défenses du garçon, et qu'ainsi il se retrouvait presque nue émotionnellement parlant face à elle, si troublante et attirante qu'elle est. Et encore, il fallait parler de sa manière à serrer ses vêtements entre ses doigts, les martyrisant un peu de sa petite poigne exprimant son désir qu'il n'aille pas plus loin, qu'il reste auprès d'elle. Son coeur se serrait rien qu'à cette idée.

« Tu aimes mes lèvres, hein ? J’ai remarqué combien tu les fixais... À chaque fois que je les pinçais avec mes dents...
 -  Je... Je te l'ai dis non, quand nous nous sommes rencontrés... Tu... es si mignonne quand tu fais ça. Honnêtement ça ... ça me fais craquer oui. »

Avec la gêne, ses bégaiements ne s'amélioraient clairement pas, mais il faisais avec, il fallait bien qu'elle ai au moins le droit à sa réponse non ? Et puis apparemment cela ne la gênait pas trop, elle ne semblait pas s'en offusquer donc il pouvait se permettre de se manquer sur un mot ou une phrase, ça n'allait pas pour autant être la mort. Il la sentit tirer sur son haut mais ne comprit pas bien un tel message, alors il ne fit que l'enlacer, tendrement, passant ses bras autour de la taille d'Amélie, ayant complètement oublié qu'ils étaient tout les deux dans une cage d'escalier et que le moindre résidents de l'immeuble y passant aurait le droit de contempler ce doux rapprochement entre les deux adolescents, et de le juger d'une manière plus ou moins adéquate. Dans le fond tout ce qui comptait pour le moment c'est qu'Amélie soit contre lui, et qu'il arrive à la rendre heureuse pour le coup.

« Je pourrais encore te rouler des pelles pendant des heures, mais j’ai peur que Dextra voit rouge... Je crois qu’elle adorerait t’embrasser, elle aussi...
 -  Eh bien... Tu sais, elle voit toujours un peu rouge et... Et nous sommes frère et soeur donc... »

La façon dont il en parlait prouvait qu'il en savait un peu plus, rien que la justification de frère et soeur étant en soit une réponse pour Amélie, qui pouvait comprendre que le jeune homme savait très bien, et ce depuis un moment, que sa soeur avait un faible particulier pour lui. Dans le fond, il savait même jusqu'où ce faible allait grâce à Inuko, une succube qui s'était fait plus qu'invitante avec le couple, et qui depuis avait eut le fâcheuse tendance de revenir les voir pour les provoquer de manières plus ou moins détournée. Et si ce qui avait été déclenché par la démone avait rendu les désirs et la volonté de Dextra d'autant plus forte, elle avait aussi officié sur le frère comme une sorte de claque joliment placée derrière la tête, lui faisant comprendre que non, sa soeur restait sa soeur, et que même si celle-ci était amoureuse de lui, il ne comptait pas répondre à ses attentes. Une même nuit mais deux choix parfaitement différent, et ce qu'il se passait actuellement en était un résultat flagrant.

« Moi et Dex ne voyons pas les choses de la même manières... C'est aussi simple que ça... Et ... si il te faut une réponse concrète... »

Il vient relever le menton de la belle doucement et l'embrasse alors tendrement. La différence par rapport au premier ? Ce coup-ci il ne veut pas que la gêne empiète sur ce qu'il veut répondre à Amélie, décidant de l'embrasser vraiment, pas de manière insistante, pas de manière forcée, mais de l'embrasser autant de temps qu'il sent la demoiselle vouloir l'embrasser. Il prolonge, goûte à ses lèvres avec délices alors qu'il la sert d'autant plus contre lui, dans un élan de passion et de tendresse toute propre à cet homme aussi emporté qu'innocent, et finit par se séparer d'elle un peu à contre-coeur, même si espérant revoir dans ses mots et son regards la douce envie qu'elle a d'être avec lui.

« Em...Embrasses moi... autant que tu veux... Je... J'en serais très heureux... personnellement... »

Détournant le regard, gênée de ce qu'il vient de dire avec honnêteté, il tombe sur les escaliers et fais la moue avant de regarder Amélie et d'oser une demande qui pourrait peut-être changer les choses, mais qu'il se devra bien de demander à un moment ou un autre :

« Mais avant... veux-tu... veux-tu remonter ? Ce ... Ce serait surement plus confortable... et moins voyant... que dans le hall d'entrée... »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 34 jeudi 12 février 2015, 01:51:45

Savoir comment jouer avec Amélie n’était pas toujours simple, car la femme était complexe, avec des envies variables, et une humeur qui changeait très rapidement. Elle plaquait maintenant Senestra contre les boîtes aux lettres, le retenant, l’immobilisant, l’empêchant de pouvoir agir. Il était à elle, tout simplement, et elle tenait bien à le maintenir ainsi, contre elle, à sentir ce corps solide et chaud, légèrement musclé, et grand. Senestra était gentil, doux, timide... Il avait toutes les qualités pour plaire aux filles, et il avait fallu qu’il s’entiche d’elle, une souillonne, une clocharde vivant dans des taudis, et se nourrissant de larcins et des restes d’une société qui ne voulait pas d’elle. Est-ce qu’il était fou ? Elle savait que Dextra le couvait comme une belle-mère veillant sur sa fille, et Senestra entreprit de la rassurer, en lui assurant qu’il ne voyait pas les choses du même point de vue que Dextra... Et il l’embrassa.

Fermant les yeux, elle avait senti sa main soulever doucement son menton. La Française aurait encore pu le repousser, mais elle n’en fit rien, et entrouvrit les lèvres, pour un nouveau baiser... Elle avait beau avoir été violée, les baisers, ça... Elle trouvait ça tellement magnifique, tellement merveilleux. Le goût de lèvres se collant aux siennes, le goût d’un baiser tendre et onctueux... Amélie posait ses mains contre ses épaules, se crispant un peu dessus, gémissant faiblement, contre sa bouche. Oui, oui, c’était très agréable, et, surtout, elle commençait à sentir la bosse, cette sensation pressante au niveau des cuisses, ce contact chaud et tendu... Une belle bosse était en formation.

Tout en l’embrassant, Senestra serra ses bras contre son corps, fermement, mais avec une certaine forme de tendresse. Plus le temps passait, et plus le baiser durait, les faisant ressembler à un couple incapable de faire autre chose que se rouler des pelles. Le baiser finit par se terminer, sur un accord mutuel entre les deux. La prise d’Amélie sur les vêtements de Senestra se desserra quelque peu, et elle se mordilla à nouveau les lèvres, goûtant à la salive de l’homme, restant contre lui. Curieusement, alors même qu’elle n’avait pas fait grand-chose, elle se sentait fatiguée, comme si elle venait de faire un sprint. Sa respiration était précipitée, son souffle rauque, elle papillonnait des yeux, déglutissant lentement, et se pinça les lèvres, proche de lui... Jusqu’à ce qu’il finisse par poser une question :

« Mais avant... veux-tu... veux-tu remonter ? Ce ... Ce serait sûrement plus confortable... et moins voyant... que dans le hall d'entrée... »

Un sourire alla se dessiner sur les lèvres d’Amélie. Plus confortable, elle en doutait, avec Dextra, qui ne manquerait pas, à coup sûr, de froncer les sourcils, si jamais elle voyait les deux en train de se rouler des gadins. Amélie regarda donc autour d’elle... Pas encore de public, personne, puis elle regarda à nouveau Senestra... Et se décolla de lui.

« Sûrement, oui... »

Il s’écoula quelques secondes d’hésitation, avant qu’Amélie ne finisse par hocher la tête.

« Mais tu as raison... Nous serons mieux chez toi... »

La Française hésitait un peu, craignant surtout une réaction de Dextra après son coup d’éclat.

« Tu... Euh... Si tu es sûr que ta sœur ne va pas vouloir me dévorer toute crue... Je te suis... Moi et mes baisers magiques. »

DC d’Alice Korvander.

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Dextra-Senestra

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 35 jeudi 12 février 2015, 11:56:10

Pour être tout à fait honnête, le jeune homme avait eut un peu peur rien qu'à l'idée de lui proposer de remonter dans l'appartement qu'elle avait quittée en furie quelques minutes plus tôt, espérant que ce genre de proposition ne vienne par ré-activer le "coté obscure" de la demoiselle pour l'amener à lui hurler dessus à nouveau afin de s'esquiver pour ne plus revenir. Pour l'instant, elle ne semblait pas vouloir l'atomiser, ni n'avait apparemment une remontée d'instincts meurtriers à son encontre, mais c'était bien malgré lui que Senestra se sentait tendu, et il espérait, priait même les kamis pour que ceux-ci exauce son souhait de voir la belle Amélie accepter son offre et le suivre pour remonter les escaliers qui menaient au lieu de vie du samaritain et de l'hystérique. Son coeur s'arrêta d'ailleurs de battre quand elle quitta la douce étreinte de ses bras, et il s'imaginait déjà la regarder partir sans pouvoir dire quoi que ce soit en retour, mais bien heureusement la voix délicate d'Amélie vint étouffer son angoisse :

« Sûrement, oui... »

Il retint un soupir exprimant son contentement de ne pas la voir partir, et observa encore une fois le comportement un peu gêné de la demoiselle, celle-ci étant à la fois si mignonne et attendrissante dés qu'elle cessait de chercher des raisons à tout pour agir naturellement. S'il ne tenait qu'à lui d'en faire le choix, il serait déjà revenu la prendre dans ses bras mais pour le coup, il préfère la laisser un tant soit peu libre, étant donné qu'elle n'avait pas du se séparer de son contact sans raisons, et qu'il n'était pas vraiment dans la nature du jeune homme de se faire plus insistant qu'il ne le faut. Il préfère attendre patiemment les quelques secondes où la belle demoiselle réfléchit, n'attendant toutefois qu'une chose, de l'avoir à nouveau à ses cotés pour pouvoir profiter d'une tendre et délicate étreinte.

« Mais tu as raison... Nous serons mieux chez toi...
 -  Allons-y du coup
 -  Tu... Euh... Si tu es sûr que ta sœur ne va pas vouloir me dévorer toute crue... Je te suis... Moi et mes baisers magiques. »

Il se retourne un instant pour la regarder, puis retient un petit rire en imaginant en effet la réaction de Dextra face au retour d'une Amélie collée à son frère adoré, la voyant bien retourner l'intégralité de l'appartement sous la colère pour finalement bouder dans un coin de la maison. En somme, rien de bien grave aux yeux du jeune homme, qui préfère encore subir une autre des monstrueuses colères de sa soeur plutôt que de laisser sa belle demoiselle ici, au beau milieu du hall, seule avec sa timidité dévoilée et son manque d'aisance pour échanger avec autrui sans perdre le contrôle de ses sentiments. Choisissant même de faire plus que cela, il se dirige vers elle doucement, le rouge revenant faire une jolie apparition sur ses joues alors qu'il se convainc intérieurement que cela devrais faire plaisir à Amélie, et il prends délicatement sa main dans la sienne, appréciant la chaleur de celle-ci et la douceur de sa peau.

« Très honnêtement ... Elle voudra te faire griller à la broche je crois, mais vu qu'elle est partie boudée dans sa chambre, nous avons bien deux bonnes heures rien qu'à nous deux sans risque que tu ne te fasses atomisée... Après je te protégerais... Toi et tes baisers magiques. »

Et il l'attire doucement à lui pour entamer, la marche, montant peu à peu les escalier en tenant doucement dans sa main celle d'Amélie, toujours un doux et franc sourire sur le visage. Pour lui, dans le fond, rien ne saurait désormais détruire sa joie, à part peut-être la disparition pure et simple de la sdf dans l'instant qui suit, mais à moins de vivre dans un film d'horreur, ou dans un anime tire-larme, il voyait mal comment une telle situation pouvait se déroulée. Une fois au palier de son étage, il se tourne vers son appartement, porte toujours grande ouverte vu qu'il est partit sans fermer quoi que ce soit, à cause du caractère un peu urgent de sa descente de repêchage de jeune demoiselle émotive, et fait une moue ironique en se disant qu'il devrait peut-être faire un peu plus gaffe la prochaine fois, même si Dextra se trouvait à l'intérieur. Il rentre et ferme derrière lui tranquillement une fois qu'Amélie est passée, avant de s'adresser à elle avec tendresse :

« Bon, si tu ne veux pas mourir, tu n'entres pas dans la pièce à ma droite, Dextra s'y est recluse juste avant que je ne dévale les escaliers pour te rejoindre. Sinon ... eh bien il y a le salon ou ma chambre, comme tu veux. »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 36 samedi 14 février 2015, 01:52:58

Et c’est ainsi que le duo entreprit de retourner dans l’antre de la Bête, chez Dextra et Senestra. Senestra lui expliqua que Dextra était en train de bouder, ce qui amena Amélie à se demander si le visage de femme forte que Dextra se donnait n’était pas une sorte de visage de façade, masquant une personnalité profonde et sensible. La situation avait dû chagriner Dextra, et se voir dans le rôle de la méchante de service l’avait probablement aussi ébranlé. Amélie sentit une brève once de culpabilité la traverser... Brève, car Dextra, au moins, pouvait se réfugier dans sa propre chambre. Le duo n’était donc pas tant à plaindre que ça. Ils vivaient une vie paisible, et, si le seul évènement ayant chamboulé leur existence était la tornade Amélie, elle n’allait pas se sentir particulièrement coupable pour eux. Ils grimpèrent à nouveau l’escalier, et filèrent ainsi dans l’appartement. Troublée, Amélie ne savait plus trop quoi en penser, ressentant, de manière assez inexplicable, un frisson d’inquiétude en pénétrant là-dedans.

La porte était grande ouverte, signe que Senestra avait dû se ruer à l’extérieur pour rejoindre Amélie, ce qui fit rougir la jeune Française.

*Quelle conne... Pourquoi est-ce que je me suis emportée ainsi ?*

Maintenant, elle se sentait effectivement assez idiote, et ne voyait aucune raison pour justifier son comportement. Elle avait réagi de manière très impulsive, comme on en avait l’habitude avec elle. Une boule de nerfs sur pattes, voilà tout à fait comment on pouvait la définir. Et elle se sentait en ce moment assez coupable, et relativement gênée par la situation actuelle. Senestra ferma la porte derrière eux, et lui expliqua où il ne fallait pas aller :

« Bon, si tu ne veux pas mourir, tu n'entres pas dans la pièce à ma droite, Dextra s'y est recluse juste avant que je ne dévale les escaliers pour te rejoindre. Sinon ... eh bien il y a le salon ou ma chambre, comme tu veux. »

Elle sourit un peu, regardant brièvement la porte susmentionnée. Elle était fermée, et il était probable que Dextra les entende... Le dragon allait-il sortir de sa tanière ? Vu son caractère, Amélie en doutait, mais les gens pouvaient toujours la surprendre. Ce n’était pas elle qui prétendrait avoir la science infuse de ce point de vue. Elle croisa les bras sous sa poitrine, et réfléchit rapidement. Le salon... Non, il lui évoquait trop de mauvais souvenirs. Elle pencha la tête vers Senestra, faisant brièvement virevolter ses cheveux, et, avec un léger sourire sur le coin des lèvres, se mit à parler :

« Je crois que ce sera ta chambre, Sen’... J’ai assez vu le salon comme ça. »

DC d’Alice Korvander.

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Dextra-Senestra

Humain(e)

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    Deux jeunes lycéen de Seïkusu, un petit frère au coeur sur la main et une grande soeur insupportable et jalouse.
    
    Senestra est un jeune homme athlétique, travaillant dans un restaurant italien et versé dans la pop culture japonaise. Il vit avec son pc quand il n'a rien à faire.
    
    Dextra est une jeune fille aux abords compliqué, jugeant autrui et extrêmement amoureuse de son petit frère. Versée dans l'occultisme, elle aime à pratiquer quand son frère a le dos tourné.

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 37 lundi 16 février 2015, 10:21:17

De nouveau chez lui, avec Amélie, une certaine angoisse reprit le jeune homme, qui se demandait si ce n'était pas la différence de vie entre la belle française et lui qui amenait la jeune femme à s'énerver progressivement, jusqu'à avoir ces sautes d'humeur qui l'avait amenée à quitter les lieux pour retrouver une façon de vivre qui lui était propre. Si c'était bien cela qui la dérangeait, il se faisait la promesse de faire extrêmement attention à elle, de rester vigilant au moindre signe de trouble chez elle pour chercher à la rassurer, à veiller autant qu'il le peut pour lui offrir un confort qui ne pourrait que lui faire du bien, selon le propre avis du lycéen. Reposant les clés de la maison sur le porte-clé du mur de droite, et jetant un regard rapide vers la porte close de sa grande soeur, imaginant déjà la jeune femme se venger sur une de ses peluches, ou lire un de ses bouquins sur l'occulte qu'il avait tendance à lui confisquer par pur bon sens, il revint finalement à Amélie, avec son habituel doux sourire et écouta sa réponse :

« Je crois que ce sera ta chambre, Sen’... J’ai assez vu le salon comme ça.
 - D'accord... hum, c'est par là. »

Il lui fait signe de le suivre, et il se dirige tranquillement vers la porte la plus proche de celle du salon, avant de l'ouvrir sur une salle encore complètement plongée dans les ténèbres, le jeune homme ayant peu tendance à faire rentrer la lumière de soleil dans son lieu de vie personnel. Rentrant en premier, il zig-zag entre les quelques affaires éparpillées sur le sol, qu'il devra ranger en toute hâte une fois le store électrique activé, sans nuls doutes, et atteint sa fenêtre en recherche de la petite télécommande qui permet, très rarement, d'ouvrir la chambre à une lumière plus agréable, et un peu nécessaire quand une personne est invitée dans sa chambre. La trouvant à tâton, il l'attrape rapidement et active d'une rapide pression la remontée lente des volets, la pièce s'éclairant peu à peu, avec une très lente progression, et le jeune homme se pressant dés lors pour rattraper son sac et ses quelques vêtements traînant sur la moquette pour les ranger de manière un peu hâtive dans son armoire coulissante, élevant doucement la voix pour qu'Amélie l'entende.

« Rentres donc Amélie et installes toi. Désolé que la chambre ne soit pas bien nettoyée, je dois avouer que je n'y reçois pas souvent du monde. »

La pièce en elle-même est plutôt petite et épurée dans le style, les murs n'ayant quasiment rien pour les couvrir, et les meubles paraissant quand à eux relativement sobre, de simple équipements à l'occidental, fais dans un bois d'un marron clair des plus communs pour de telles fournitures, même le lit à deux places y ayant droit. Seul un bureau quasiment bordélique se fait présent au milieu de cette simplicité, celui ci se trouvant couvert de diverses notes manuscrites, de manuels scolaires plus ou moins en état, classés selon une technique que seul le jeune homme pourrait comprendre, sans parler d'un ordinateur qui doit, à lui seul, être plus coûteux que la quasi-totalité de ce qui se trouve dans la chambre. L'écran, allumé depuis longtemps apparemment, étant donné qu'il n'était pas passer par sa chambre depuis qu'il était sortit faire ses courses et avait croisé Amélie, renvoyait sur un moteur de recherche et quelques onglets de favoris qui ne permettaient pas à Senestra de s'alarmer sur une quelconque découverte de la jeune femme.

« Eh bien euh ... bienvenue dans mon chez moi. C'est un peu impersonnel, mais au moins c'est assez simple pour moi. »

Ayant finit son rangement éclair et posé un rapide regard à l'écran pour être sur qu'il n'y ai rien qu'Amélie puisse découvrir de gênant, tel un site pornographique encore ouvert, ou encore ses obscures sites d'amateurs d'idol japonaise, il s'arrêta un peu et alla prendre une bouteille d'eau sur son bureau, avant d'en boire un peu, s'humectant une gorge de plus en plus sèche. Il ne le montrait pas mais ... d'inviter quelqu'un dans sa chambre était presque un tabou qu'il était en train de briser, lentement, qui plus est en compagnie d'une jeune femme qu'il venait à peine de rencontrer mais qu'il appréciait énormément. Dans le fond, il tremblait un petit peu, sa gorge était sèche, et la gêne teignait ses joues d'un légers rose qui serait perceptible par quelqu'un cherchant à découvrir l'état du jeune homme. En tout cas, sa fébrilité ne devait surement avoir d'égal que l'impression de malaise d'Amélie de se faire inviter dans la chambre d'un lycéen qu'elle ne connaissait que depuis quelques heures, alors autant faire bonne figure et la rassurer plutôt que de rester sur ses propres soucis.

« Est-ce que tu veux boire quelque chose ? Ou est-ce que tu as des questions ? Enfin bon, je veux dire... j'espère qu'être ici ne te déranges pas trop. »

Aaaah la franchise ...

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 38 mercredi 18 février 2015, 01:36:05

Ils s’étaient roulés des pelles dans le salon, et elle débarqua maintenant dans sa chambre. Délicatement, du pied, Amélie referma la porte derrière eux, et laissa le volet électrique se lever, éclairant une petite pièce, avec un bureau sur lequel une bombe semblait avoir éclaté. Une brève lueur nostalgique passa dans ses yeux, quand elle se rappela son propre passé, à Paris, quand elle était au lycée... Soin bureau avait à peu près cette tête là, mais il manquait les posters ornant les murs, et les musiques venant de YouTube qui tournaient à fond, ainsi que le téléphone portable, les peluches... Bref, tout ce qui faisait le quotidien d’une jeune Parisienne. Elle laissa Senestra faire le ménage sur son bureau, restant près de la porte, mains dans le dos. Il avait un petit lit, agréable, et semblait particulièrement nerveux. Il finit par prendre une bouteille d’eau, et, gêné, un peu penaud, visiblement pas habitué à ce qu’une fille débarque dans sa chambre, se retourna vers elle :

« Est-ce que tu veux boire quelque chose ? Ou est-ce que tu as des questions ? Enfin bon, je veux dire... j'espère qu'être ici ne te dérange pas trop. »

Amélie lui sourit en coin, et s’avança alors, puis s’assit sur le rebord du bureau, tout simplement, à côté du clavier, et bascula légèrement son corps vers l’arrière, ce qui eut pour effet d’exposer légèrement ses seins. Jambes crosiées, elle adoptait une posture assez sensuelle, assez similaire à celle que Mishi prenait sur les bancs du parc, quand elle voulait draguer des mecs, et qu’elle se retrouvait parfois à leur faire des pipes entre deux buissons, pour une poignée de yens. Ça ne prenait que cinq minutes, et elle revenait avec suffisamment de moyens pour leur acheter leur repas du soir. Amélie avait été assez horrifiée, au début, et, maintenant... Mishi ne semblait pas être particulièrement choquée par ça. Quitte à avoir un joli corps, autant en profiter, non ? Le comportement très décomplexé de Mimi’ était, pour Amélie, une source d’inspiration, même si elle ne l’aurait jamais publiquement avoué.

Elle ne tarda pas à répondre à Senestra :

« Passe-moi ton eau... »

Amélie récupéra sa bouteille d’eau, puis bascula sa tête en arrière, dévoilant sa gorge, et entreprit de boire plusieurs gorgées, puis reposa cette dernière sur le bureau... Et sauta ensuite sur le sol, sa longue crinière de cheveux noirs remuant derrière elle. Elle se rapprocha de l’homme, et posa ses mains sur son torse, le poussant un tout petit peu... Ce qui amena ses chevilles à heurter le lit. Ce faisant, Senestra perdit l’équilibre, et tomba sur le lit, rebondissant sur ce dernier, devant la belle et gracieuse Française, qui lui fit un sourire ravi et sincère.

« Qu’est-ce qu’un garçon et une fille peuvent bien faire ensemble dans une chambre ? Surtout après s’être embrassés ensemble dans le hall... »

Comme si elle faisait mine de réfléchir, Amélie croisa ses bras à hauteur de ses seins, et se tapota les lèvres, en signe profond de réflexion... Puis elle sourit à nouveau, et se coucha à son tour sur le lit, à côté de Senestra, vautrée sur le flanc, une main soutenant sa tête.

« Ne me dis pas que tu m’as fait venir ici juste pour m’offrir de l’eau... »

Ce serait presque vexant !

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Dextra-Senestra

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 39 jeudi 19 février 2015, 16:12:21

Son rangement finit, il s'était tourné vers Amélie pour la regarder, s'informer d'un simple regard sur l'état de la jeune fille, qui honnêtement semblait être bien moins gênée que lui, surement le fait que l'un avait l'habitude de vivre loin des autres alors que la jeune fille devait surement être bien plus habituée à l'intérêt qu'on pouvait lui porter. Quand il la vit passer à coté de lui pour s’asseoir sur le coin du bureau, il ne comprit pas tout de suite les raisons de la jeune fille, mais quand il eut l'occasion de la voir s'installer de manière un tout petit peu provocatrice, le rose de ses joues s'affirma, le jeune homme pouvant dés lors contempler une partie du charme de la demoiselle alors qu'elle prenait soin de le mettre en avant, sa poitrine désormais bombée captant son regard sur le coup. Et encore une fois, ce n'est qu'après un court instant qu'il réagit, déglutissant et détournant légèrement le regard pour ne pas donner l'impression à Amélie qu'il se focalisait sur ses beaux atours. Bon sang qu'il était facile de le perturber.

« Passe-moi ton eau...
 -  Oh euh ... tout de suite. »

Il prend la bouteille de la main gauche et la lui tend tranquillement, tandis que la jeune fille la récupère pour en boire quelques goulées de manière bien théâtrale selon l'avis du lycéen, de nouveau focalisé sur la gorge tendue de la demoiselle, et la chute de son décolleté mis en avant. Bon sang si ça continuait elle allait le rendre fou, plus il passait du temps avec et plus son désir de l'avoir pour lui se faisant fort, impérieux, et seul la peur de ce risque omniprésent de la blesser à nouveau l'empêchait de faire quoi que ce soit de plus pour la conquérir. Pour le coup, il se rappelait de ce baiser qu'il lui avait prit un peu plus tôt, et se demandait bien comment il avait réussi à avoir assez de courage pour aller le lui prendre sans même douter plus d'une dizaine de minute sur la justification d'un tel acte. En tout cas perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarquer l'approche de la jeune fille, et se retournant juste avant qu'elle ne le pousse, il ne put s'empêcher de perdre l'équilibre et de chuter droit sur son matelas, devant une demoiselle toute aussi belle que joyeuse :

« Qu’est-ce qu’un garçon et une fille peuvent bien faire ensemble dans une chambre ? Surtout après s’être embrassés ensemble dans le hall...
 -  Eh bien, comment dire ... »

Ce qu'il allait dire n'était même pas sur, en grande partie maladroit dans le fond, et autant par chance que malchance, sa contemplation du petit jeu de la demoiselle sans-abri le coupa dans sa volonté de répondre immédiatement à la question qu'elle venait de poser, ayant comprit qu'elle était actuellement en train de jouer, plutôt qu'autre chose. Sa question n'avait pas vraiment valeur d'être répondue, vu qu'elle était essentiellement rhétorique et ne servant en fait qu'à le provoquer un peu plus dans sa gêne et sa timidité aussi idiote que compréhensible. Quand elle s'installa près de lui, le rose de ses joues vira à un rouge un peu plus franc, permettant rapidement de comprendre l'état dans lequel il se trouvait actuellement, et il eut bien malgré lui une petite pensée pour Dextra, juste à coté, qui devait surement imaginer ce qu'il se passait dans la chambre de son frère... et de rager à cause de cela, mais malheureusement pour elle, il n'avait pas vraiment envie de laisser les choses au point mort, même si sa gêne le freinait énormément.

« Ne me dis pas que tu m’as fait venir ici juste pour m’offrir de l’eau...
 -  ... Non c'est vrai. »

Allez du courage Senestra, tu n'es pas le meilleur des jeunes hommes pour ce genre de choses, mais là elle n'attend qu'à ce que tu prennes les devants, c'est normal, alors bouges-toi le cul et va vers elle, arrête d'hésiter autant ou sinon tu vas décevoir ses attentes. Se mettant lui même sur le flanc, observant la belle Amélie en face de lui, il vient décaler une de ces mèches de cheveux qui avait oser tomber devant le doux visage de la jeune femme, et s'approche doucement pour venir l'embrasser, longuement, tendrement, cherchant à ouvrir ses lèvres pour que leurs langues viennent partager une délicate danse. Sa main, d'abord venue caresser sa joue, glissa dans son cou pour ensuite venir longer son dos, et il l'amena sans trop forcer contre lui, afin de pouvoir ressentir à nouveau le contact de cette femme le long de son propre corps, enivrante proximité qui, même si elle offrait enfin aux joues du jeune homme une couleur de fraise notable, lui offrait aussi un peu plus de ce "courage" dont il avait tant besoin pour ne pas décevoir celle qu'il convoitait.

« C'est juste que je suis toujours aussi maladroit pour ce genre de choses, je n'y suis pas habitué, et je n'ai vraiment pas envie de te blesser par maladresse. J'en ai assez fait pour aujourd'hui. »

Peut-être qu'il réfléchissait trop aussi, mais revenant à l'assaut de ces si goûteuses lèvres, sa main vient quand à elle se balader sur le corps d'Amélie, caressant longuement  la courbure de son corps dans cette position, avant de se glisser légèrement sous le haut de la belle pour enfin venir au contact chaud de sa peau. Se redressant un peu pour le coup, il l'entraîne délicatement dans son mouvement pour l'allonger sous lui, sans rompre les désireux baisers qu'il partageait avec elle, et tandis qu'il se tient d'une main pour ne pas écraser la ravissante demoiselle sous lui, il laisse son autre main caresser sa hanche, son ventre, relevant graduellement son haut sans vraiment y réfléchir, juste guidé par le désir qu'il ressentait pour elle. Encore une fois, preuve qu'il est passionné, il ne réfléchit plus une fois lancé, ses seuls sentiments lui servant pour prendre soin de la jeune femme, mais il fallait être honnête, il avait toujours un certain nombre de blocages, et n'osait pas aller plus loin que de simples caresses. Finalement peut-être allait-il avoir besoin d'un petit peu d'aide pour se lâcher.

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 40 dimanche 22 février 2015, 02:24:00

Les deux étaient maintenant face à face, sur le lit, et Amélie s’amusait du comportement extrêmement gêné de Senestra. Le brave homme n’était pas habitué à ça, elle le sentait... Avec Dextra, qui était le dragon de l’appartement, Senestra ne devait pas avoir souvent l’occasion d’inviter des filles dans sa chambre. Elle, elle s’en amusait. Après avoir perdu sa virginité, elle ne voyait pas trop de raisons objectives de ne pas faire l’amour avec un homme qui l’attirait, et qui ne semblait pas brutal ou violent. Généralement, sa seule raison de fuir le sexe était parce qu’elle ne voulait pas vivre ce qu’elle avait vécu à Paris, et qui avait broyé sa vie, l’amenant ici, à l’autre bout du monde, dans un pays où elle avait bien du mal à s’exprimer et à communiquer. Ce n’était pas pour autant qu’elle était une rigoriste, et elle se voyait mal défendre les vertus de la chasteté ni de l’abstinence sexuelle, quand elle avait comme meilleure amie une prostituée faisant des pipes pour 500 yens, afin d’avoir de quoi acheter un sandwich le soir. Amélie avait donc une approche assez décomplexée des relations sexuelles, et elle laissa l’homme se rapprocher d’elle, pour un nouveau baiser, et quelques caresses.

Senestra était timide et gêné, ce qui, en l’occurrence, avait tendance à rassurer Amélie, en lui donnant le sentiment que, ici, c’était elle qui rythmait les choses... Et, mine de rien, l’idée de dompter un homme avait quelque chose de profondément grisant et excitant. Elle goûtait à ses lèvres, souriant de plaisir, frissonnant au contact de ses doigts. Prude et délicat, il évitait de s’attarder sur les positions sensibles, se contentant de frotter ses épaules, ou encore son dos.

*Ohlàlà !*

Est-ce qu’il la prenait pour une noble?! Avait-il oublié qu’Amélie était dans la rue ? D’un autre côté, Senestra ignorait qu’elle parlait de sexe tous les jours avec Mishi. Mimi’ l’avait aidé à décomplexer sur le sexe en lui racontant toutes ses frasques sexuelles, pouffant comme une gamine devant les queues ramollies de ses clients temporaires, des types qui jouissaient en quelques secondes. Quel mal y avait-il à sucer une queue pendant quelques secondes ? L’homme était tellement excité qu’elle pouvait parfois juste se contenter de rester sur le bout du membre, et attendre qu’il se lâche. L’idée de faire l’amour en public avec une inconnue excitait profondément les hommes, et les sucer, ça marchait toujours.

L’homme continuait donc à la caresser, ce qui avait pour effet de la frustrer. Elle pinça ses lèvres, et sa main vint s’appuyer sur la nuque de Senestra, y trouvant là un confortable appui. Son corps se serra contre le sien, et, tout en gémissant, elle coucha l’homme sur le dos, s’étalant sur lui, prolongeant le baiser pendant de longues minutes. Yeux clos, Amélie se contentait juste de l’embrasser, prouvant toute l’attirance qu’elle éprouvait pour les baisers, toute l’affection. Mishi adorait l’embrasser, car elle savait qu’Amélie y était sensible, et, quand elles avaient fumé un peu de bio’ ensemble, Mimi’ s’empressait souvent de l’embrasser.

« Hmmm... »

Amélie finit par rompre le baiser, restant couchée sur l’homme, et sa main descendit le long de son torse pour venir caresser sa virilité, formant une agréable bosse à travers le pantalon.

« Je sens qu’il y a une pièce de ton corps qui se réveille... » sourit-elle à nouveau, une lueur malicieuse dans les yeux.

DC d’Alice Korvander.

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 41 dimanche 22 février 2015, 17:53:26

Ces lèvres, comme il les appréciaient, comme il les désiraient, les avoir encore et encore au bout des siennes, les avoir jusqu'à perdre son souffle et ne plus pouvoir faire autre chose que s'en séparer pour reprendre un souffle court avant de revenir, il n'arrivait plus à les quitter, ayant toujours besoin de ressentir leurs douceurs. Le fait qu'il soit aussi délicat avec ses mains n'étaient dans le fond que le fait de son inexpérience, l'homme n'ayant jamais vraiment fait quoi que ce soit de sérieux avec une femme, la seule autre personne avec laquelle il avait eut ce genre de contact étant sa propre soeur, et encore, il était sous l'influence de ce qu'il découvrit être, plus tard, une succube invoquée par sa propre soeur dans le but de nourrir sa curiosité sans limite. Comment dire, il était mal assurée par rapport à cela, il n'avait ni connaissance, ni maîtrise et ne savait comment éveillé vraiment le plaisir d'une compagne, et bien évidemment, cela se retrouvait dans ses gestes.

Dans le fond quand il y repensait, son innocence était quand même particulièrement ancrée en lui, et il suffisait de connaître l'histoire de son réveil une fois la nuit passée avec Dextra pour savoir qu'il était surement aussi gêné par l'idée de le faire à nouveau qu'Amélie un peu plus tôt à cette idée, avec sa difficulté à laisser un homme l'approcher. Se lever avec sa propre soeur dans ses bras, son sexe encore en elle, il s'en rappelait encore à quel point il s'était sentit mal sur le coup, et c'est surement l'un des événements les plus troublants qu'il avait connu dans sa vie de lycéen lambda. Et pourtant, malgré cet étrange blocage toutefois bien compréhensible en un sens, il ne ressentait pas d'appréhension particulière avec Amélie, il ne se faisait pas de mauvaises idées, il ne cherchait pas à savoir si il avait raison ou tort de manière excessive. Il la désirait tout simplement, elle l'avait en grande partie conquis, lui le jeune idiot capable de tout pour un étrangère, et rien que pour cela il la voulait plus que tout au monde.

Perdue dans son désir illimité, il ne s'attends pas à se faire renverser par la jeune femme à son tour, se retrouvant bien vite le dos sur le matelas, et la belle française sur son corps, ses courbes généreuses et sa poitrine encore couverte se pressant contre son torse. Le jeune homme se sentait bien rien qu'avec ce doux contact, même si il avait clairement perdu sa position de jeune homme prenant les devants, et quand elle vint l'embrasser il laissa les belles lèvres de la demoiselle prendre possession des siennes sans lutter, appréciant autant que possible les avances d'Amélie, son coeur battant toujours de plus en plus vite à mesure que lui comme elle oubliait ce qu'il se passait autour d'eux. Il n'y avait plus vraiment de chambre, plus vraiment de soeur démoniaquement possessive, plus d'appartement et plus de crise, juste l'envie de l'autre, qui les enveloppait et les invitait à continuer, dans le plus grand des délices, selon Senestra.

Puis il sentit sa main sur son entre-jambe :

« Je sens qu’il y a une pièce de ton corps qui se réveille...
 -  Hum, eh bien je crois que ce n'est pas étonnant, non ? »

Malgré sa gêne, il parvint à le dire sur le ton de l'amusement, même si tout cela le rendait un poil nerveux dans le fond, aucune femme n'ayant déjà chercher à l'approcher de cette manière après tout. Pourtant est-ce que cela ne l'aide pas un peu dans le fond qu'elle puisse prendre les devants ? Après tout si lui n'était pas vraiment capable d'oser, il était tout à leur avantage à tout les deux qu'elle soit un peu moins timide que lui, qu'elle possède un peu moins de retenue vis-à-vis de ce genre de relation, parce que si elle n'allait pas vers lui il aurait surement tendance à être bien trop "simple" pour vraiment lui plaire. Dans le fond il n'était pas l'homme qui pouvait jouer de sa position, ce n'était pas lui qui allait offrir une blague sale de temps en temps, ni ne pourrait lui demander de faire quelque chose uniquement pour son plaisir à lui... Alors qu'elle soit la pour en avoir envie, pour faire ce dont elle avait envie, eh bien c'était bon pour tout les deux. Et étrangement, il avait toute confiance en cette lueur qui était né dans le regard de la jeune femme.

« J'espère que tu ne m'en veux pas d'être aussi hésitant Amélie, osa-t'il prononcer, tout bas, puis plus haut. Tu ... Tu m'aides, je crois que je me sens un peu serré dans mes vêtements. »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 42 jeudi 26 février 2015, 01:46:10

« Hum, eh bien je crois que ce n'est pas étonnant, non ? »

Amélie esquissa un léger sourire coquin. Couché sur le corps de l’homme, sur son ventre, elle sentait le corps chaud de l’individu. Il palpitait contre le sien, excité, impatient, assoiffé. C’était un homme excité, avec une belle érection, qui ne demandait qu’à sortir davantage. Malheureusement pour lui, le sexe masculin, sur ce point, serait perpétuellement incapable de dissimuler son excitation. Il ne pouvait pas nier l’évidence, et, fort heureusement, Amélie était ici dans sa « phase verte », celle où elle était souriante, celle où elle ne risquait pas de le repousser, ou de le défenestrer dans un accès de rage. Savoir comment jouer avec la Française n’était pas toujours simple. Pile-ou-Face, voilà comment fonctionnait son esprit. Phase verte, phase rouge, ça passe ou ça casse. Pour l’heure, tous les voyants étaient au vert, et il n’y avait qu’eux deux, eux deux dans une  petite chambre... Le côté romantique n’échappait guère à Amélie, dont les grands yeux, brillants de vie, fixaient ceux de Senestra, ses lèvres...

Elle s’imprégnait de son corps, remuant faiblement dessus, afin de sentir, tout contre son corps, l’épaisseur agréable de sa verge, la senteur de ce membre contre ses doigts, puis contre sa cuisse quand elle déplaça sa jambe. Elle sentait cette belle bosse en train de se former, et se mordilla les lèvres. Le temps passa encore quelque peu, les mains d’Amélie sur les épaules de l’homme, ses seins s’enfonçant contre son torse, avant qu’il ne se mette à parler :

« J'espère que tu ne m'en veux pas d'être aussi hésitant Amélie, avoua-t-il, d’une voix hésitante. Tu ... Tu m'aides, je crois que je me sens un peu serré dans mes vêtements. »

Elle sourit alors, et l’embrassa sur le bout des lèvres, en se penchant un peu vers lui.

« Un peu serré, hein ? Et tu ne sais plus comment déboutonner ton pantalon ? » ironisa-t-elle.

Elle lui sourit, et sa main retourna sur son pantalon, et entreprit de le défaire, jouant avec les boutons de ce dernier, retirant tout ce qui était susceptible de la gêner. Elle se pencha vers cette partie de son corps, et entreprit de le déshabiller davantage, jusqu’à le faire glisser, et révéler un sous-vêtement dans lequel quelque chose était en train de pousser.

« Hum... Je comprends pourquoi tu te sens si serré, mon mignon... »

Honnêtement, Amélie ignorait si cette verge était grosse ou petite, et ce tout simplement parce qu’elle n’avait pas une grande expérience sexuelle. Partant de là, il lui était assez difficile de déterminer ce qui était gros ou non. Néanmoins, de ce qu’elle voyait, ce membre était plaisant à voir. Elle l’observait donc, sans rien dire, simplement avec une lueur d’intense perversion dans les yeux. Sa respiration lourde et haletante, elle se pencha vers lui, et déposa un baiser sur ce sous-vêtement, à hauteur de son sexe, puis entreprit ensuite de mordiller et de lécher son vêtement, se rappelant, ici, les savants conseils de Mishi... Un homme aimait bien la frustration, qu’on s’approche de son sexe, sans pour autant directement lui faire plaisir. C’était une manière comme une autre de l’exciter, d’attiser son feu.

C’était donc ce qu’Amélie, en l’état, fit pendant un certain temps, avant que ses mains n’agrippent les pans de son vêtement, et ne tirent lentement dessus. Le tissu glissa contre la verge, et finit par passer par-dessus, libérant ainsi cette hampe de chair, qu’Amélie observa en clignant des yeux, surprise par sa taille. Elle n’avait aucun élément de comparaison, mais... Elle trouvait ça gros. Bien plus gros qu’un doigt, en fait.

« On dit que c’est douloureux... Tu confirmes ? Qu’est-ce que tu veux que je fasse pour soulager ta souffrance ? »

En phase verte...

DC d’Alice Korvander.

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Dextra-Senestra

Humain(e)

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    Description
    Deux jeunes lycéen de Seïkusu, un petit frère au coeur sur la main et une grande soeur insupportable et jalouse.
    
    Senestra est un jeune homme athlétique, travaillant dans un restaurant italien et versé dans la pop culture japonaise. Il vit avec son pc quand il n'a rien à faire.
    
    Dextra est une jeune fille aux abords compliqué, jugeant autrui et extrêmement amoureuse de son petit frère. Versée dans l'occultisme, elle aime à pratiquer quand son frère a le dos tourné.

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 43 jeudi 26 février 2015, 22:27:37

« Un peu serré, hein ? Et tu ne sais plus comment déboutonner ton pantalon ? »

Ce n'était pas faux, dans le fond il pourrait le faire lui même mais comme le soulignait la pointe d'ironie qu'elle avait utilisée, elle avait très bien comprit le but de cette demande, et n'en semblait clairement pas réfractaire, ce qui fit sourire de joie le jeune homme qui se voyait pour une fois réussir une légère provocation sexuelle sans pour autant avoir l'impression de déraper complètement. Quand il sent les mains inquisitrice de la belle Amélie parcourir l'ouverture de son pantalon il n'hésites pas à laisser les siennes glisser doucement sous le vêtement inférieur de la jeune demoiselle, ses doigts venant palper avec envie le fessier de la jeune fille au travers du tissu fin de son sous-vêtement aux couleurs de l'Angleterre. Elle le rendait complètement fou, et quand elle finit par libérer son sexe de l'étau en jean qu'il portait, il ne put s'empêcher de rosir un peu, d'autant plus que la demoiselle semblait observer avec une certaine envie cette bosse encore emmitouflée de tissu blanc et doux.

« Hum... Je comprends pourquoi tu te sens si serré, mon mignon...
 -  Je ne t'aurais pas demander quelque chose sans raisons, non ? »

Il cachait sa gêne derrière quelques mots un peu ironique, toujours prononcé avec un mélange de fascination et de douceur envers la jeune fille en face de lui, et si il n'était pas ceinturé par sa gêne naturelle, il aurait surement déjà prit les devants pour venir dominer cette belle française qu'il désirait plus que tout. Cela le surprenait dans le fond de se rendre compte que si il n'était pas aussi calme, aussi délicat, elle se serait peut-être déjà enfuie, et ainsi il se demandait si elle l'appréciait simplement où si ça allait plus loin que cela, si elle avait vraiment un faible pour lui, faible qui s'était exprimée par sa capacité à lui pardonner ses erreurs. Encore une fois, elle fut celle qui court-circuita ses pensées de la manière la plus subite possible, sentant les douces lèvres de la demoiselle se poser contre son entre-jambe pour y apposer un délicat baiser, tandis que ses mains caressant tantôt ses hanches, tantôt le tissu recouvrant sa virilité.

En somme, elle le rendait fou de désir, et le pire c'est qu'elle semblait vouloir continuer à le faire, car non seulement elle l'empêchait de réfléchir en agissant avec quelques gestes normalement plutôt simple dans une relation sexuelle, mais en plus elle n'allait même pas plus loin, le faisant osciller entre satisfaction et frustration. Il gémissait, tout bas, mais sa manière de triturer son vêtement sans pour autant l'ôter, sa manière de venir se frotter à celui-ci sans pour autant le libérer, ses lèvres qu'il sentait au travers du vêtement tout en sachant que ce n'était qu'en partie, tout ça lui donnait autant envie de se jeter sur elle que de ne pas le faire pour toujours en profiter un peu plus. Au moins comprenait-il ce que voulait dire la frustration, et vu son état d'excitation actuel, il allait être difficile pour le jeune homme de redescendre de son petit nuage avant un moment, et c'étant sans parler de ce qui allait suivre, qu'il imaginait clairement "délicieux".

En tout cas sa belle demoiselle semble elle non plus ne pas pouvoir tenir plus longtemps sans agir plus directement, et il sent ses doigt sortir son sexe chaud et durci à l'extrême, observant les yeux d'Amélie venir rencontrer son regard alors qu'elle lui parle, le troublant encore un peu plus dans le fond.

« On dit que c’est douloureux... Tu confirmes ? Qu’est-ce que tu veux que je fasse pour soulager ta souffrance ?
 -  Je dois avouer que ça l'est un peu... mais je devrais pouvoir tenir un peu encore. Le temps de faire quelque chose que je veux absolument. »

Il lui sourit, et tendant ses bras, vient la chercher pour l'attirer à lui, l'intimant doucement de s'approcher pour qu'ils puissent être de nouveau bien proche l'un de l'autre, prêt à s'enlacer. Mais là ce que le jeune homme à prévu, ce n'était pas de la serrer une enième fois entre ses bras, et l'amenant à s'asseoir doucement sur son bassin, juste un peu plus en avant pour ne pas qu'elle sente la forme de son sexe palpiter sous elle, il redresse son torse et l'embrasse tendrement avant de commencer à lui retirer son haut, délicatement, libérant à sa vue le corps attirant de l'étrangère. Il rompt le baiser et fais passer le haut de la belle par dessus sa tête et ses épaules, puis commence à embrasser son cou, puis le haut de son corps, descendant un petit peu à chaque baiser pour atteindre sa poitrine qu'il ne dévoile pas encore, par pure caprice plus que par peur de ne pas pouvoir dégrafer un simple soutien-gorge.

« Là, je crois que j'aurais bien besoin de quelques caresses pour adoucir ma douleur, ma belle. Et en attendant... »

Il se met à mordiller délicatement la poitrine de la jeune femme, et usant d'une main pour maintenir son corps assez surélevé pour continuer ses désireuses attentions, l'autre vient masser au travers du tissu délicat la poitrine ronde et agréable d'Amélie. Pour lui, actuellement, il se moquait bien de savoir que Dextra pouvait rentrer dans sa chambre à tout moment, il se moquait même qu'ils puissent faire un peu trop de bruit et se faire remarquer par les quelques voisins du palier... Là tout ce qui comptait était le plaisir de sa belle demoiselle, et il espérait bien que tout ce qu'il lui prodiguerait saura lui offrir tout ce qu'elle pouvait désirer dans une telle relation. Il voulait être irréprochable pour elle, être son loyal compagnon le temps de cette proximité enivrante. Il aimait la sentir haletante, la sentir excitée, la sentir désireuse et heureuse. Il aimait savoir qu'elle était dans le même état que lui, et qu'elle pouvait en profiter autant que lui même en profitait actuellement.

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 44 mardi 03 mars 2015, 01:27:54

Elle avait vu la verge de l’homme, qui pointait, et qui demandait à ce qu’on s’occupe d’elle. Amélie avait envie de le faire, en se disant que c’était une bonne manière de maîtriser ça... Mishi l’avait un peu formé là-dessus, bien involontairement. Dans ses affaires, Amélie avait déjà vu des vibromasseurs, et elle les avait regardés, les léchant parfois en se disant que c’était quelque chose de ce calibre qui l’avait violé. Elle n’avait jamais été jusqu’à se fourrer l’un de ces jouets dans sa chatte, mais elle les avait léchés, fourrés dans sa bouche, se sentant curieusement excitée par ça... Ce qui la troublait d’autant plus qu’elle avait fondamentalement peur d’un phallus. Or, elle se trouvait là face à l’homme, sentant sa verge, sans cette peur qu’elle pensait ressentir. Senestra finit par la ramener contre lui, et entreprit d’enlever son haut, dévoilant son corps, avec un soutien-gorge rose. C’était un bel ensemble, et Senestra, en la maintenant contre lui, se redressa légèrement, et alla s’attaquer à ses seins.

« Hmmm... »

Ne pouvant rien faire d’autre, Amélie tendit sa main, et empoigna les cheveux de Senestra, laissant l’homme titiller ses seins, les embrasser avec sa bouche. Il glissait sur le tissu, et ne dut pas tarder à sentir les tétons pointer, la poitrine d’Amélie se mettant à lui faire mal, ses tétons pointant en avant, se durcissant. Elle soupira lentement, se pinçant les lèvres, basculant un peu sa tête en arrière, et remua de gauche à droite, sentant, contre ses fesses, le membre turgescent de l’homme. Son sexe se relevait, et elle se pencha un peu plus contre lui, déplaçant son autre main vers l’arrière, l’abaissant, venant empoigner ce sexe. Elle soupira en sentant ce membre entre ses doigts. Il était chaud, massif, et vif, et elle se crispa dessus. La texture était extrêmement différente de celle des vibromasseurs roses de Mishi, plus... Plus malléable, et en même temps plus dure. C’était un monceau de chair très particulier, qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant. Ce sexe était à la fois dur et mou, dur, en ce qu’elle sentait sa longueur, sa résistance, sa virilité, et mou, en ce sens que ses doigts s’enfonçaient dans sa chair, et pouvaient glisser dessus.

Soupirant faiblement, Amélie se faisait à ce spectacle, et sentait également sa culotte en train de s’humidifier.

« Haaaa... »

Elle remuait contre l’homme, le laissant faire. Amélie avait beau être déshabillée, elle avait chaud, de plus en plus chaud, et de plus en plus soif. Son corps émettait des sensations qu’elle n’était pas habituée à ressentir, et elle soupirait, crispant ses doigts contre lui.

« Ouiii, ouiii, haaaannn... Encore, Senestra, encore, hummmm... »

DC d’Alice Korvander.

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