Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

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Alex Sanderson

Humain(e)

Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

lundi 08 décembre 2014, 21:26:25

Alex avait beau être nouveau en ville, il n’avait pas tardé à se faire connaitre et à montrer qui il était. Il faut dire qu’un mec qui dépense sans compter en soirées, qui roule en voiture de sports et qui paye des bouteilles de champagne dans le coin vip, cela ne passe pas inaperçu. Bien sûr, cela pouvait énerver certaines personnes, mais cela en attirait d’autres. Et cela, le jeune homme l’avait très bien assimilé.

Comme avec cette Doutzen. Alex l’avait croisé lors d’une soirée étudiante. Certes, il ne l’était plus, mais ce genre de rassemblement l’intéressait au plus haut point. On y trouvait pas mal de cibles potentielles, souvent très influençables ou pas toujours avec les idées claires. Alex avait toujours le chic pour se présenter plus beau qu’il ne l’était. Pour chaque rencontre, il avait une histoire qui pouvait plaire.

Souvent, avec les étudiantes,  il aimait jouer la carte du riche héritier. Son nom était malgré tout connu et la mort de ses parents avaient fait la une des médias tout comme ses déboires. Certes, il était pas forcément connu pour de bonnes choses, mais le nom Sanderson était en quelque sorte une marque, un ticket d’entrée. D’ailleurs, il aimait dire que c’était le plus beau cadeau de son père finalement.

Mais revenons à Doutzen. Cette dernière lui avait tapé dans l’œil, comme d’autres, et au cours de cette fameuse soirée, ils avaient échangés leur numéro. Jusque là, c’était assez classique mais là où cela devenait intéressant, c’est que dès le lendemain, elle lui avait fait une demande d’amis sur  le réseau social. Le temps d’aller voir ses photos et surfer sur son compte, et Alex avait effectivement la confirmation qu’elle était étudiante et visiblement célibataire.  Alors certes, il aimait posséder les femmes des autres, mais une aussi jolie plante ne se refusait pas.

Après quelques échanges, il avait assez vite compris que la jolie jeune femme n’était pas farouche. D’ailleurs, n’importe quel type sensé aurait finalement eu la puce à l’oreille.  Car elle avait une attitude assez légère qui laissait penser qu’elle cherchait elle-même à coucher avec lui. Soyons clair, dans la vraie vie, il était rare que les éléments s’enchainent aussi facilement.  Doutzen avait très vite envoyé des signaux qui auraient du l’alerter. Du moins, le faire réfléchir sur les motivations de la jeune étudiante.

Seulement Alex était avant tout un pervers et un obsédé sexuel . Et en la voyant, il pensait à bien des choses mais  certainement pas à se méfier.  Lorsqu’il l’avait vu dans sa belle robe rouge mettant sa poitrine en valeur tout comme ses fesses, il avait directement ressenti une pulsion envers elle. Voilà pourquoi il l’avait abordé. D’ailleurs, dès ce soir là, c’est comme si directement il n’y avait que lui qui avait compté pour elle. Ce que le jeune homme avait pris pour la preuve de son charme. A tort peut être qui sait.

 Repensant à sa belle chevelure blonde, ses yeux bleus et sa bouche sensuelle, elle avait très vite  accepté son offre de passer chez lui. Là aussi, pour lui, pas de doutes possibles. Dans sa tête, elle voulait du sexe, il allait lui donner. Il ne lui sauterait pas dessus, mais à partir du moment où elle avait accepté son offre, les choses étaient limpides.

« Entre Doutzen »

Se mettant de côté, il laissa le passage libre pour qu’elle puisse rentrer.  Ne manquant pas une occasion de la regarder quand elle passa devant lui, il se hâta de refermer la porte, au verrou, la laissant entrer dans son loft dont on pouvait voir, par la grande porte vitrée au fond, , la terrasse qui donnait sur l’horizon et le soleil couchant. C’était la fin d ‘apres midi et il faisait encore relativement bon.

Portant une chemise blanche,  il avait un pantalon noir de costume avec des chaussures parfaitement cirées. Passant une main sur la mèche retombant sur son visage, il ne portait pas sa montre pour une fois mais bien une gourmette au poignet gauche. La décoration était assez moderne, avec un mélange  étudié de blanc et de noir. Aux murs, quelques œuvres d’arts, ce qui pouvait finalement surprendre vu le propriétaire des lieux.Il n’y avait aucune photo par contre.  Sur la droite de la jeune femme, il y avait le coin cuisine qui selon toute évidence ne devait pas être souvent utilisé. Sur la gauche, après un petit couloir, il y avait deux portes, alors qu’un escalier ouvert conduisait à l’étage où se trouvait la chambre et la salle de bains. Droit devant elle, il y avait aussi le salon, en cuir noir, avec sur la table basse, une bouteille de champagne et deux flûtes. Alex avait décidé de sortir le grand jeu.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 1 mardi 09 décembre 2014, 01:53:16

L’argent était le nerf de la guerre, et était naturellement quelque chose qui attirait beaucoup le crime organisé… C’était même probablement, selon Doutz’, la seule raison d’être du crime organisé : amasser de l’argent. L’ultime finalité de toutes les opérations criminelles qui existent, que ce soit le trafic de stupéfiants, la corruption, le blanchissement d’argent, le racket, l’infiltration dans les conseils d’administration de certaines sociétés, la prostitution, n’était que de faire du profit. C’est à ce titre que Reto avait éduqué Doutzen, et qu’il continuait à l’éduquer, à lui apprendre le théâtre, et à mettre en valeur son propre corps. Doutzen servait généralement à coincer de vieux pervers, qui étaient, soit des Yakuzas, soit de simples individus que Reto voulait faire chanter pour servir ses affaires. Banquiers refusant de délivrer des informations sur les comptes en banque d’une personne, greffiers de tribunaux de commerce peu enclins à délivrer les statuts et les bilans de certaines sociétés en liquidation judiciaire… Il ne manquait pas de cibles potentielles, et Doutzen, avec sa belle chevelure blonde, ses formes généreuses, et sa belle robe rouge la mettant magnifiquement en valeur, les faisait toujours craquer. Le Japon était un pays abritant beaucoup de pervers et de prédateurs sexuels vouant une attirance pour la jeunesse… Pas bien différent des autres pays, mais suffisamment notable pour que Reto s’en serve. Chaque homme couchant avec Doutz’ était ensuite proprement menacé. Entre la révélation publique de leurs exploits sexuels et la préservation de leurs carrières, ils n’hésitaient pas… Et les rares qui avaient des doutes finissaient par recevoir la visite des hommes de Reto, ce qui, généralement, achevait de les convaincre.

Reto avait son réseau, et c’est ainsi qu’il avait appris la mort des Sanderson. Un riche magnat de l’immobilier qui mourrait, et laissait derrière lui une vaste fortune, ainsi que de nombreux titres de propriété. Tout son patrimoine retombait entre les mains de son fils, et l’homme avait très rapidement décidé de profiter de la situation. Toute cette fortune potentielle était pour lui un véritable appel, et il s’était un peu renseigné sur lui. Alex était un flambeur, gaspillant et dilapidant sa fortune dans des soirées et des filles.

« Tu vas t’inviter à l’une de ses soirées, Doutz’, tu vas te rapprocher de ce type… Faire ton beau petit Chaperon rouge. »

Et le Chaperon avait obéi, comme à chaque fois. Elle avait été à cette soirée, dans sa plus belle robe, cette robe rouge moulant ses formes à la perfection, et s’était rapprochée d’Alex. C’était un homme assez superficiel, et elle avait vite compris qu’il adorait parler de lui, et qu’il voyait volontiers les femmes comme des trophées à collectionner. Elle avait utilisé l’argument le plus susceptible de le convaincre : son avarice. Elle lui avait subtilement fait comprendre que sa fortune l’excitait, qu’elle était célibataire, et qu’elle se languissait de tomber sur un homme qui soit capable de la protéger… Un mauvais choix tactique, car Doutz’ ignorait alors que la spécialité d’Alex était l’adultère. Si elle l’avait su (mais Reto n’avait eu aucun moyen de le découvrir), elle aurait probablement modifié son histoire, lui disant qu’elle était, non pas une célibataire venant de la campagne en quête d’un bon parti, mais une fiancée lassée des problèmes financiers de son amant, et de son incapacité à lui montrer qu’il l’aimait. Néanmoins, malgré cet impair, Sanderson avait été emballé. Doutz’ l’avait vu dans son regard, et elle avait su qu’elle aurait pu, en forçant un peu, coucher avec lui dès le soir, mais ce n’est pas ce que Reto voulait. Son père adoptif voulait une relation durable entre eux, quelque chose qui dure plus qu’un simple soir, afin de savoir quoi faire de la fortune potentielle du jeune homme… Et, surtout, découvrir ses attaches avec le milieu du crime organisé. Les Sanderson étaient un puissant empire, remontant à l’époque de son grand-père, soit peu après la Seconde Guerre Mondiale, quand il avait fallu reconstruire le Japon. Reto, qui connaissait l’Histoire, savait que, à cette période, beaucoup de gens avaient réussi à s’enrichir, notamment dans l’immobilier, en rachetant à bas prix des terrains ne valant plus rien, et en les rebâtissant ensuite, s’enrichissant sur la valeur ajoutée de ces derniers. Plus simplement, le Russe soupçonnait un lien entre les Sanderson et certains clans yakuzas, et Doutz’ devait donc se renseigner là-dessus, en se rapprochant suffisamment d’Alex pour pouvoir installer un virus dans son ordinateur personnel, par exemple.

C’est ainsi que, après leur soirée, Doutzen lui avait envoyé quelques SMS innocents, puis l’avait retrouvé sur Internet. Contrairement à ce qui se faisait en Occident, Facebook n’était pas un réseau social très développé. La raison se trouvait dans la philosophie japonaise, reposant sur le conformisme social. Un proverbe japonais disait ainsi que, face à une rangée de clous, si on voyait un clou qui dépassait de la rangée, il fallait donner un coup de marteau pour l’abaisser. Or, Facebook ne connaissait pas l’anonymat, ce qui faisait que très peu d’internautes l’utilisaient, car ils ne voulaient pas que leur entourage proche les voit comme autre chose qu’un individu « normal ». Concrètement, voir Alex Sanderson sur Facebook était donc une preuve supplémentaire de son arrogance, de son envie de s’afficher, et elle n’eut aucun mal à obtenir de lui un rendez-vous intime chez lui, dans son appartement.

*Les gens arrogants…* avait-elle songé.

Elle avait de la peine pour lui, car il n’était jamais facile de s’en sortir quand on était dans le collimateur de Reto… Mais, après tout, il était lui-même partiellement responsable. S’il ne s’amusait pas autant à s’afficher, à flamber son argent, Reto ne se serait jamais autant intéressé à lui. Le brutal père adoptif de Doutzen lui avait dit d’aller à ce rendez-vous, et de tout faire pour que Sanderson soit content d’elle, et qu’elle puisse accéder à son ordinateur.

« Tout ce que tu auras à faire, c’est insérer cette clef USB dans son PC, et lancer le programme qui se trouve à l’intérieur. Aucun antivirus ne bipera, et tu pourras récupérer la clef, et faire comme si de rien n’était. »

Doutz’ avait acquiescé. Ce n’était pas la première fois qu’elle jouait à la James Bond girl en offrant ses fesses. Si Alex n’avait rien de compromettant, alors il se contenterait de se réveiller avec l’appel de son banquier, catastrophé en voyant que son compte en banque était vide. La jeune femme se rendit donc chez lui, un appartement situé dans le centre-ville de Seikusu. Elle avait l’habitude d’entrer dans ces tours, généralement en compagnie d’un type suffisamment vieux pour être son père… Voire son grand-père. Au moins, pour une fois, elle n’aurait pas à coucher avec un sac de rides et une queue rabougrie. Elle grimpa dans l’ascenseur, et se retrouva ainsi dans le loft de l’homme.

Elle portait un long manteau beige et un sac à main rouge, et sourit au jeune homme avant d’entrer.

« Ton appartement est vraiment magnifique, Alex… Ça me change de ma chambre d’étudiante ! »

Sur sa tête, Doutz’ portait aussi un bonnet, qu’elle retira avant d’enlever son manteau.

« J’ai remis la même robe qu’à notre soirée, j’ai cru comprendre qu’elle te plaisait bien… »

Elle lui fit un délicat sourire, rabattant discrètement une mèche de cheveux derrière ses oreilles.

« J’suis trop contente de te revoir ! Et… Je sais que je l’ai déjà dit, mais t’as vraiment un chouette appart’ ! »

Il avait préparé du champagne, ce qui la fit sourire.

Un vrai Don Juan…
DC d’Alice Korvander.

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 2 mardi 09 décembre 2014, 10:55:14

En galant homme qu’il s’efforçait de paraitre, Alex prit  le manteau et le bonnet de la jeune femme pour aller les mettre sur le porte manteau située juste après l’entrée. Le fait qu’elle ait remise sa belle robe rouge  ne le laissait pas de marbre bien sûr.  C’était un signal de plus qui allait dans le bon sens, c'est-à-dire celui qui l’attendait.  Là encore, pour lui, il n’y avait aucune raison de s’inquiéter. Sa fierté le rendait tout simplement incapable de se dire que peut être, c’était trop beau pour être vrai

« oui elle te va à merveille »

Dit il en souriant, revenant vers elle. Bien évidemment, il n’avait même pas besoin de le dire, tant cela se voyait. Il la regardait comme un enfant devant son cadeau de Noel, d’une certaine façon, il était déjà battu, même si avec lui, on était jamais à l’abri de rien

« Tu veux que je te débarrasse de ton sac aussi je suppose ? »


Attendant sa réponse, Alex s’éloigna de nouveau, pour aller chercher  les deux  flûtes et la  bouteille de champagne. Au passage, il l’avait de nouveau bien détaillé, soulignant si besoin était à quel point elle lui plaisait.

« Merci, content qu’il te plaise, qui sait tu y passeras  peut être pas mal de temps à l’avenir
»
 
Plaçant la bouteille sur le plan de travail de la cuisine, il entreprit de l’ouvrir, ce qui paraissait plus compliqué qu’il ne le pensait. Satisfait de sa petite allusion, il continua de parler tout en se battant avec ce qu’il avait pourtant l’habitude d’offrir à tour de bras lors de ses soirées

« J’avoue que je n’ai pas vraiment de mérite. Ma famille a fait fortune dans l’immobilier mais tu le sais déjà cela.Je suis le seul héritier mâle  et tout m’est revenu. Ce loft faisait partie de l’arrangement  pris avec les personnes qui veillent sur mes intérêts. Comme d’autres choses d’ailleurs. Je suis un peu comme Bruce Wayne. Je profite du travail de mon père pour me la couler douce le jour et la nuit, je traque des personnes. Mais pas pour les mêmes raisons »

Et comme pour souligner ce qui était un trait d’humour qu’il jugeait bon, le bouton explosa enfin, libérant le précieux breuvage. Certes, il ne lui avait pas demandé ce qu’elle voulait, mais son silence était comme un oui pour lui.

« Je suis content qu’on puisse se revoir si vite, il y avait un bon feeling entre nous »

Regardant derrière lui, il vit que la belle blonde ne regardait pas forcément vers lui, trop occupé sans doute à balayer le contenu du loft du regard. Pourquoi prendre cette précaution ? Tout simplement parce que Alex n’aimait pas perdre. Et même si la partie semblait gagnée d’avance, il sortit de sa poche,une petite capsule contenant une poudre blanche du plus bel effet qu’il se hâta de verser dans le verre destiné à Doutzen. Le mélangeant avec une petite cuillère, ce n’était rien de bien méchant. Juste de quoi booster la libido de la jeune étudiante et s’assurer qu’une fois au lit, il pourrait en faire ce qu’il voulait.Une sorte de bouclier anti inhibition. Alex aimait plaisanter en disant que même la plus humble des bonnes sœurs finissaient en chienne avec cela. Quant à savoir où il se la procurait, mieux valait ne pas le savoir

« Je propose qu’on trinque à notre rencontre. Je viens certes d’arriver ici, mais ce que je vois pour le moment me plait beaucoup »

Tendant le verre à la jeune femme, il se mit face à elle, plongeant son regard  presque mauve et si brillant dans celui de sa vis-à-vis. Affichant un sourire franc, il était certain que malgré ses défauts et son côté arrogant au possible, Alex, de par son physique, avait quand même pas mal d’atouts. Surtout si la jeune femme avait l’habitude de vieux mous du slip. Avec lui, rien de tout cela, même si comme beaucoup d ‘hommes, il se voyait plus beau qu’il ne l’était. Cependant, il était vrai qu’il pouvait se considérer comme un bon coup.

« Alors Doutzen, pourquoi cet empressement à me revoir ? D’habitude, c’est plutôt moi qui court après les filles. »


Malgré alex posait la question car au fond, il voulait combler son égo en espérant attendre ce qu’il voulait : qu’elle était là pour lui, pour son physique , pour sa personne.  Buvant une gorgée, l’atmosphère était assez bonne dans le loft, vu  la douceur climatique étant donné la saison. Le grand froid n’était pas encore là fort heureusement même s’il fallait bien se couvrir.Surtout quand comme maintenant, la journée se terminait

« Même si les réseaux sociaux n’ont pas le vent en poupe ici, sacrés japonais, j’ai cru comprendre sur ta page que tu étais seule. Comment est-ce possible ? »

Alex voulait savoir si elle était célibataire comme il le pensait ou si il aurait en plus la satisfaction de savoir qu’il la prendrait à un autre et qu’elle rejoindrait ensuite ses draps maculé du fruit de sa jouissance.C'était presque comme si il attendait qu'elle dise oui

« je n’ai pas vu de photos allant dans le sens où alors tu le gardes peut être caché ? »

Et pour l’encourager à boire, il lui dit encore

« Alors il est bon n’est-ce pas ? »

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 3 jeudi 11 décembre 2014, 02:18:23

Doutzen avait sa robe rouge, et une belle chevelure blonde, avec une frange recouvrant partiellement l’un de ses yeux, sauf lorsqu’elle s’amusait à l’écarter. Elle portait aussi un élégant parfum, sensuel, mais qui ne se voulait pas excessif. La jeune femme ne portait guère qu’un seul anneau autour d’un doigt, un simple bijou décoratif. Rien n’était excessif, afin de signaler que, si elle n’était pas pauvre, elle ne roulait pas non plus sur l’or au point de s’offrir quantité de bijoux. Doutz’ avait soigné chaque détail. Elle voyait chacune de ses prestations comme une sorte de scène de théâtre, où elle devait réussir à jouer un petit Chaperon rouge, chaque détail étant à affiner. Avec Alex, elle optait pour la jeune et belle femme, étrangère, facilement impressionnable, et observait le loft. Pour Alex, c’était le signe qu’elle était sous le charme. Elle, elle cherchait juste des traces de son ordinateur portable, des caméras, n’importe quel objet pouvant être utile à sa mission.

Lorsqu’il se compara à Bruce Wayne, la jeune femme sourit, hochant lentement la tête :

« J’espère que tu ne partages pas de lui son célibat… Vivre seul dans un si grand manoir, ça me ferait frissonner ! »

Grâce à Reto, Doutz’ savait évidemment tout de Bruce Wayne, et, même avant, elle avait entendu parler de l’empire Wayne. Wayne Industries organisait parfois des levées de fonds, et la transnationale était implantée en Europe de l’Est, dans son pays natal, où la Fondation Wayne avait financé il y a quelques années la construction de plusieurs orphelinats, ainsi que la rénovation d’un hôpital. Forbes le plaçait généralement en tête du bachelor parfait, que ce soit pour sa fortune, ses bonnes manières, ou sa générosité. Pourtant, on le voyait toujours dans des soirées mondaines très arrosées, et ses excentricités de milliardaire finissaient régulièrement dans les tabloïds.

Il continuait à parler, et Doutz’ comprit rapidement qu’il devait adorer s’entendre parler. Le comportement de ce type transpirait l’arrogance. Il savait qu’il était beau garçon, et fortuné. La recette du bonheur épicurien. Il lui offrit un verre, et, en souriant, Doutz’ l’accepta, et en but un peu, sans se douter qu’il était drogué. Un luxe bien inutile, vu ce qu’elle comptait faire, mais elle ne pouvait pas le lui dire. Il avait plusieurs questions à les poser, qu’il matraqua successivement, sans vraiment lui laisser le temps de répondre.

*Diable, je comprends pourquoi il est seul !*

La conversation avait à peine commencé que l’homme la monopolisait déjà. Doutz’ lui fit toutefois un ravissant sourire, et lui répondit :

« Je suis une immigrée… M’intégrer dans la société japonaise n’est pas facile… Mes parents m’ont envoyé ici pour mes études, mais ils n’ont pas beaucoup de revenus. Alors, non, je n’ai pas de petit ami… Oh, je ne dirais pas qu’il n’y a pas eu de prétendants possibles, mais… Je n’avais pas confiance en eux. »

Elle le regarda, et but encore un coup, prenant une ou deux gorgées, en sentant une chaleur commençant à croître dans soin bas-ventre.

« Je recherche un homme qui soit capable de me donner confiance en moi-même, de me montrer que je compte pour lui, sans pour autant qu’il en soit à me faire des flagorneries. »

Doutz’ allait droit au but, certes, mais elle ne faisait que suivre ce que l’homme avait dit. Elle but encore un peu du verre, et hocha la tête.

« Et oui, il est bon… Tu sais recevoir, Alex’… J’ai déjà l’impression d’être dans un endroit familier… »

Elle lui sourit un peu, et croisa alors les jambes, ce qui eut pour effet de relever un peu sa robe.

Une technique de séduction classique, mais qui, très souvent, produisait son petit effet.
DC d’Alice Korvander.

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 4 jeudi 11 décembre 2014, 17:24:27

Assis dans le divan à la gauche de  Doutzen, Alex avait trinqué avec elle en buvant une gorgée pour la forme. Pour être honnête, dans pareilles circonstances, il préférait garder la tête froide. Il voyait ce type de rendez vous comme un effort sportif. Cela faisait sourire, pour quelqu’un de banal, mais Alex considérait vraiment cela comme important. Il désirait être au top de sa condition physique, pour se montrer à la hauteur de l’événement.

« Merci, le champagne ne se savoure qu’avec des gens de bonne qualité »

Lui souriant, il avait mis sa main droite sur l’accoudoir, de sorte, qu’il était presque derrière son épaule à elle.  Ayant bien remarqué le croisement de jambes, il se disait que sans doute la drogue devait commencer à agir.Mieux valait être prévoyant et mettre toutes les chances de son côté que cela plaise ou non.

« Le célibat n’a un sens que si on ne prouve pas la bonne  personne. Et puis, vu mon statut, je ne suis pas dupe, dans certains cas, cela me facilite la vie avec les femmes. Mais contrairement à certains, je ne me prive pas cependant d’en profiter »

Pour une fois, il faisait preuve de lucidité, ce qui était à souligner. Le verre posé sur la tabledu salon , Doutzen pouvait chercher encore longtemps une caméra. L’immeuble en avait suffisamment que pour qu’il se sente en sécurité.Et s’il en avait une, c’était plus pour son petit plaisir personnel. Il l’avait placé dans sa chambre, discrètement, dans une imitation de spots halogènes. Un petit bijou de technologie qui lui avait couté assez cher, mais qui valait le détour.Quant à son ordinateur portable, il était justement en haut, à l’étage,  près de son lit, posé sur la table de nuit.Si la jeune femme le voulait, il fallait passer par là, ce qui de toute évidence, ne lui posait pas de soucis même si Alex ne pouvait le savoir

« Je ne doute pas qu’il y ait eu des prétendants. Et il est normal d’avoir certaines attentes. Cela ne rend que meilleur le moment où on trouve la bonne personne. Et puis cela n’empêche pas de s’amuser en attendant »

Il parlait autant pour elle que pour lui, même si Alex se voyait mal un jour changer de mode de vie. Ou alors, seulement s’il était contraint et forcé de le faire. Ce qui pour le moment, n’était pas prêt d’arriver, même si sans le savoir, la jeune femme devant lui avait le pouvoir de bousculer l’ordre établi

« Et tu étudies quoi ? Comment cela se passe quand on est une jeune étudiante aussi belle que désirable qui se retrouve dans un pays inconnu, assez fermé sur les autres avec une culture particulière. D’ailleurs d’où viens-tu ? »


C’est vrai, il ne l’avait pas encore demandé. Il faut dire qu’il était complètement subjugué par la beauté de cette jeune femme. Il y avait quelque chose de spécial qui émanait de sa personne. Il ne savait pas dire quoi, mais il y avait quelque chose c’est certain. Que ce soit au niveau de sa coiffure, de ses yeux, de sa bouche ou de son corps, il ne trouvait rien à redire.De tout ce qu’il avait pu connaitre, nul doute que niveau physique, elle était haut placée. Et ce n’était que le début

Laissant un silence s’installer, il la regardait, ou plutôt la dévorait des yeux. Se rendant compte qu’il avait beaucoup parlé jusqu’ici, elle ne lui avait pas demandé si lui avait quelqu’un. D’ailleurs souvent, on ne lui posait même pas la question, comme si les gens savaient directement à qui ils parlaient.  Alex s’amusait souvent de ce détail, même si sans doute, il se rendait aussi compte que sa vie n’était pas plus enviable que celle d’autres personnes. Simplement, il s’était construit un personnage qui lui plaisait.Il était Alex Sanderson, l’héritier d’un empire. C’était plus facile à vivre et accepter que le fait qu’il ne savait pas qui était sa mère et que peut être même, son père n’était pas son père non plus. D’ailleurs, il refusait de se poser cette question. Car elle impliquerait une remise en cause de tout ce qu’il pouvait penser

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 5 lundi 15 décembre 2014, 02:02:44

Reto ne s’était pas trompé avec Doutzen. La belle blonde était une créature au corps magnifique, et il était normal qu’il l’habille en conséquence. Doutz’ devait taper dans les yeux de tous ceux qui la voyaient. Elle était une beauté fatale, une femme douce, sensible, mais qui travaillait pour un monstre. Un être brutal, pervers, sadique. Le Grand Méchant Loup. Le pauvre Alex ignorait dans quelle situation il était en train de se plonger, et Doutz’ se disait que les charmes de son corps étaient de biens sombres présages. Elle portait donc sa belle robe rouge, une robe qui lui arrivait à hauteur des cuisses, des bottes rouges en cuir, et, pour parfaire le tout, des jarretelles noires filant sous sa robe. Il ne lui manquait plus qu’une paire de gants pour parfaire le déguisement, mais Reto avait estimé cet ajout inutile, compte tenu des circonstances. L’homme savait l’importance des vêtements. Ils servaient à mettre en valeur la beauté, à magnifier le corps de sa petite Doutz’. Si elle pouvait toujours se sentir triste et désolée pour les méthodes de son père, auxquelles elle participait, elle avait trouvé le temps de se consoler depuis. D’une part, les cibles de Reto étaient rarement des personnes innocentes, mais des individus n’hésitant pas à tromper leurs femmes pour coucher avec des filles plus jeunes encore que leurs propres enfants. D’autre part, Doutz’ voyait chacune de ses interventions comme une mise en scène, un jeu dans lequel elle adoptait un rôle prédéterminé. Pas de répétitions, tout se faisait à l’impro’, et c’était un domaine dans lequel elle finissait par s’en sortir de mieux en mieux.

Le champagne lui tournait la tête, pas dans le sens où elle commençait à sentir la migraine, mais où elle sentait son désir croître pour Alex. C’est à peu près à ce moment-là que la lucide jeune femme se demanda si le champagne n’était pas drogué, si l’homme n’avait pas glissé discrètement une pilule à l’intérieur. Elle y pensait, car Reto lui avait dit que ça se faisait beaucoup dans les night-clubs. Le fameux GHB, la drogue du violeur, que certains distillaient dans les verres des filles. À petite dose, le stupéfiant agissait au bout d’un quart d’heure, provoquant une déshinibition, et, surtout, des troubles de la mémoire, ce qui en faisait une drogue parfaite pour un viol, car la victime ne se souvenait pas de ce qui avait eu lieu.

*C’est sûrement ça…*

De fait, elle ne voyait aucune autre explication. Ce type l’avait drogué. L’alcool ne lui tournait pas aussi vite, et elle tâcha de ne rien montrer. Dans le fond, tout ça lui était utile, car c’était le signe qu’il la voulait dans son lit. Ce ne serait pas la première fois que Doutz’ offrirait son corps à un salopard, et il fallait bien reconnaître qu’il était plutôt mignon. Il n’était pas un gros lard, ni un vieillard, ce qui la changerait de ses « conquêtes » habituelles.

*Mais il vaudrait mieux éviter qu’il me drogue trop… Modère ta consommation d’alcool, Doutz’, je ne veux pas que tu tombes dans les pommes toute la nuit…*

La jeune femme devait rester lucide, et sourit à l’homme, avant de lui répondre :

« Je viens d’Europe de l’Est… Et je travaille dans un lycée, tout simplement. Parallèlement, je suis des cours de théâtre. J’envisage de devenir actrice… Mon rêve d’enfant. »

Elle lui sourit, un sourire éclatant révélant toutes ses dents, et bascula sa tête en arrière, son dos venant heurter le dossier du canapé, permettant d’avoir une vue meilleure sur son décolleté. Ses seins semblaient comprimés dans cette belle robe. Une merveilleuse poitrine, dans laquelle n’importe qui aimerait se plonger. S’humectant les lèvres, elle reprit :

« Par ailleurs, je trouve les Japonais plutôt accueillants envers les étrangers… Enfin, ce n’est pas le cas pour tous, bien sûr, mais, dans l’ensemble, je n’ai pas eu à me plaindre… »

Tout en parlant, elle venait d’entortiller autour d’un de ses doigts l’une de ses mèches de cheveux, et poursuivit à nouveau :

« Et pour toi ? Qu’est-ce que la fortune t’apporte ? »

Elle essayait de lui faire comprendre qu’elle était une fille avant tout intéressée par son argent.

« Tu vois, j’ai du mal à réaliser ce que signifie la richesse… Ce qu’elle apporte… »
DC d’Alice Korvander.

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 6 lundi 15 décembre 2014, 10:49:32

Alex n’était pas dupe du petit jeu de charme de la jeune femme. Il n’y avait rien de nouveau et de surprenant pour lui là-dedans. Il y était habitué et d’une certaine façon, elle était venue pour cela.Ce n’était pas se vanter que de dire cela, car il avait assez d’expérience là-dedans que pour le savoir et s’en apercevoir. Tout comme il avait bien compris que sa situation était un puissant aphrodisiaque. La question qu’elle venait de lui poser avait au moins le mérite de lui ouvrir les yeux  sur ses intentions et ses motivations. Alex avait des défauts, mais il n’était pas idiot

« Cela fait que tu es ici avec moi »

Il avait dit cela, en souriant, la fixant dans ses yeux. Avait il deviné ses intentions ? Non Alex était loin du compte soyons francs. Simplement, il avait conscience de l’attrait de son pouvoir financier

« Si j’étais sans argent je ne pense pas que tu te serais  empressée aussi vite de me revoir. Je ne te blame pas et ne me plains pas, soyons clair. Simplement, je sais aussi que j’ai beau avoir mon charme, tout est plus facile quant on est plein aux as. Beaucoup de femmes pensent que je ne le sais pas. Et ile st vrai que pour la fierté, je fais souvent  celui qui ne comprend pas. Mais au final, crois moi bien, je ne suis pas le con que certaines pensent. »

Devenant finalement de plus en plus réaliste, Alex la regardait avec envie et désir. Il était rare qu’il se laisse aller à pareilles confidences. Habituellement, il était plutôt assez rapide dans ce qu’il voulait.Il ne s’embarrassait pas de ce genre de détails. Mais voilà, peut être qu’au fond, il sentait que  Doutzen avait le pouvoir de lui faire payer pour toutes les autres. Il l’aurait oui, mais cette fois, au prix le plus fort

« Devenir actrice ? Tu as du talent c’est indéniable »

Sa remarque avait un sens assez lourd, il n’y avait pas de doutes là-dessus. Il voilait bien lui faire comprendre qu’elle devait cesser de jouer la comédie et avouer finalement qu’elle était ici pour une raison bien précise.Pour alex c’était soit pour son argent, soit pour se servir d’une façon ou l’autre de lui ou pour obtenir via son corps une quelconque faveur.

« Tu me plais Doutzen, d’ailleurs je ne sais pas pourquoi mais je ressens pour toi une attirance rare. Tu me donnes l’impression d’une beauté fatale, qui je sais, d’une manière ou l’autre, me fera payer l’honneur de ses charmes. Mais franchement, je m’en fiche. J’assumerai pleinement mes conneries »

Tendant sa main droite, il lui caressa le visage, via la joue, dans un geste lent, précis, qui avait un côté sensuel  mais aussi étrangement tendre. Il y avait quelque chose qui le troublait chez elle, sans vraiment savoir quoi

« Si c’est du confort que tu veux, une sécurité, j’ai les moyens de te les donner. Mais alors, il faudra que tu sois à moi, toute à moi »

Il continuait de lui caresser le visage. Quelque chose était entrain de se passer là maintenant.Lui même avait un peu perdu le fil des idées. Sans doute car pour la première fois, il se sentait à la merci d’une femme qui avait la meilleure des armes pour le battre : son physique

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 7 mardi 16 décembre 2014, 02:28:36

Les mots qu’Alex prononçaient étaient troublants. Est-ce qu’il avait compris pourquoi Doutz’ était là ? La jeune femme évacua rapidement cette possibilité. Comment pouvait-il savoir qu’elle avait été envoyée par Reto ? Ce n’était pas le genre de l’homme de l’envoyer tête baissée dans un piège, et, à chaque fois que les talents de Doutzen servaient à faire tomber quelqu’un, Reto prenait toujours d’infinies précautions pour éviter que les gens voient le lien entre Doutzen et ceux qui les faisaient chanter. De cette manière, son petit Chaperon rouge pouvait toujours rester ce qu’elle était : une femme piégeant les vilains méchants loups qui la voulaient dans leur lit. Alex parlait rapidement en se rapprochant un peu d’elle, et, peu à peu, Doutz’ comprit qu’il avait compris ce qu’elle voulait qu’il comprenne : qu’elle était venue uniquement pour l’argent.

*Ne panique pas, ma puce, tout se passe comme prévu...*

L’homme ne semblait guère énervé ou déçu qu’une femme ne pense qu’à lui pour son argent, ce qui semblait confirmer que, sous son apparence de play-boy et de Don Juan endimanché, cet homme était vide. Il ne cherchait pas de véritables relations, rien d’autre que des partenaires sexuelles suffisamment belles pour qu’il puisse s’afficher en leur compagnie en soirées. Il ne lui semblait pas si différent que tous ces autres gens avec qui Doutz’ était obligée de coucher, si ce n’est qu’il était plus mignon, et plus jeune... Mais, en songeant cela, Doutz’ se méprenait peut-être. Elle n’avait cependant encore jamais eu la chance de rencontrer de véritables galants hommes, ces Princes charmants des contes de fées qui, malgré leur fortune et leur beauté, étaient aussi remplis de qualités morales. Doutzen n’avait jamais rencontré ces individus. Tous les notables et les riches personnes qu’elle avait rencontré n’étaient rien de plus que des pervers, des hommes cyniques, des racistes, des xénophobes, ou des corrompus... Ils avaient pourtant une femme, des enfants, et se faisaient passer pour de sympathiques individus, leur hypocrisie étant telle qu’ils ne se rendaient même pas compte de la décrépitude de leur âme.

Alex se rapprocha d’elle, et caressa sa joue. La belle blonde entrouvrit légèrement les lèvres, son regard croisant le sien.

« Si c’est du confort que tu veux, une sécurité, j’ai les moyens de te les donner. Mais alors, il faudra que tu sois à moi, toute à moi. »

Toute à lui ? Comment était-elle censée interpréter ça ? Est-ce qu’il comptait la suivre ? Ou n’était-ce qu’une manière de dire qu’il voulait qu’elle couche avec lui ? Le cerveau de Doutz’ tourbillonna à toute allure. Elle aurait pu se confier à lui, lui dire qui elle était, lui dire qu’elle était un piège, qu’il allait s’entourer de problèmes en suivant ainsi la jeune femme... Mais il fallait encore qu’elle lui fasse confiance. En un sens, elle ne mentait pas en disant qu’elle recherchait un protecteur, un ange gardien. Cependant, il faudrait que cette personne soit plus forte que Reto... Ce qui ne semblait pas être le cas ici.

Après quelques secondes, Doutz’ papillonna des yeux, se mordilla les lèvres, et sa main vint agripper délicatement celle d’Alex. Elle tourna la tête vers sa main, et déposa un baiser sur le dos de sa main.

« Je ne vais pas te mentir, Alex... Ta fortune m’intéresse, car je suis pauvre. J’ai eu du mal pour acheter mes vêtements, tu sais... Et, quand on est pauvre, il n’y a que deux solutions : soit jalouser les riches, soit essayer de se rapprocher d’eux. Alors, oui, ton argent m’intéresse, mais il n’y a pas que cela... Ne crois pas que je cherche à te dépouiller. Je suis venue te voir, car, au-delà de ta richesse, tu m’as eu l’air d’être un homme fort, capable de me protéger, de veiller sur moi... De me montrer que j’ai de l’importance. »

Elle déposa un nouveau baiser, et remua un peu ses jambes. Son mollet frôla ainsi, pendant quelques secondes, l’entrejambes d’Alex, comme un appel implicite au sexe.

« Et je suis prête à te montrer toute l’affection dont je suis capable, Alex’... »

Elle approcha un peu son visage de lui, raccourcissant de quelques centimètres l’espace séparant leurs lèvres. Elle respira un peu plus fort, son souffle venant sur les lèvres de l’homme, caressant sa bouche.

« Je suis prête à être à toi... »

Si l’homme ne se penchait pas pour l’embrasser, elle allait le faire à sa place.
DC d’Alice Korvander.

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 8 mardi 16 décembre 2014, 15:22:06

Malgré ce qu’elle pouvait penser, Alex n’était pas vide. Du moins pas complètement. Certes, il avait une façon de se comporter qui  laissait penser cela, mais c’était en quelque sorte voulu. Il était bien plus complexe qu’elle ne voulait le croire. Le personnage qu’il s’était construit lui servait d’écran de fumée pour cacher ses sentiments. Personne ne pouvait être heureux  en cherchant à être détestable et à ne pas être aimé. Dire le contraire était utopique. Le jeune homme de 22 ans le savait mieux que quiconque. Mais il n’avait pas envie de changer ou de se poser les bonnes questions. Cette vie actuelle lui convenait assez bien. Elle ne lui demandait aucun effort, rien d’insurmontable ou de compliqué à faire. C’était tout ce qu’il voulait. Certes, à long terme, il ne serait pas heureux, mais finalement pourquoi se soucier de cela ?

Laissant de toute façon ces considérations loin de là, le jeune homme avait d’autres chats à fouetter. En l’occurrence Doutzen avait dévoilé un peu plus ses cartes encore. Cette fois, elle avait clairement fait passer le message en lui embrassant la main et en se rapprochant de lui. Alex sentait le sang monter à la tête mais pas seulement : sa verge, déjà, commencait à se durcir sous l’excitation.

Ne tardant pas à venir l’embrasser, Alex glissa sa langue entre les lèvres de la jolie blonde, venant chercher la sienne pou entamer une danse sensuelle.Melant sa salive à celle de son invitée, il tournoyait   avec la langue de Doutzen, prenant grand soin de l’entrainer avec lui dans cette forme de parade amoureuse. Une de ses mains se posant sur la cuisse, par-dessus la jupe, il ne tarda pas à la faire descendre pour caresser la jambe gainée par le bas. Alex aimait cette sensation de caresse sur cette matière, il trouvait cela sensuel et excitant.

La jeune femme pouvait être rassurée d’ailleurs. Si il était clair qu’il avait des défauts, Alex était bien souvent à la hauteur de ce qu’il pouvait dire. Autrement dit, il assurait plutôt, même si comme beaucoup, il se voyait plus beau qu’il ne l’était. Mais pour une personne habituée au vieux rabougri, il était clair que le physique et le corps du riche héritier aller  marquer un changement. Et si elle avait pensé prendre du GHB, il n’en était rien. Elle se souviendrait précisément de chaque minute, de chaque seconde avec lui.Simplement, elle serait plus vite déshinibée, et surtout, les sensations qu’elle pourrait ressentir seraient amplifiées au maximum.

« je sais que tu me mens Doutzen, mais peu importe. Je ferai en sorte que ce moment avec toi soit mémorable. Mais sache que si tu le désires, je ferai de toi une femme riche, puissante, qui ne devra plus se soucier de rien hormis s’occuper d’elle et prendre du bon temps. Pour quelqu’un comme toi, je pourrai revoir mes principes »

Et en disant cela, il était sérieux. Il en avait les moyens et les ressources. Mais  assez de bavardages, l’essentiel était ailleurs. Lui comme elle était ici pour la même chose. Peut être pas pour les mêmes raisons, mais son instinct lui disait de bien en profiter.

Plongeant donc sa bouche dans son cou, il avait cette fois utilisé ses deux mains pour la caresser, l’une s’arretant toujours sur le haut de la jambe gainée par le bas et l’autre remontant lentement de la taille sans pour autant toucher la poitrine. Sa bouche venant mordiller le lobe de l’oreille gauche  et même le lécher, avant de reprendre possession des lèvres et de la langue de Doutzen. Recommançant à flirter avec elle, il sentait son entrejambe se durcir et être de plus en plus à l’étroit dans sa prison vestimentaire. D’ailleurs, une bosse, bien visible, s’était dessinée au niveau de son entrejambe.La jeune femme avait du la remarquer très certainement.
Continuant de l’embrasser avec passion, la main qui caressait la jambe remonta sur la cuisse, soulevant légèrement la robe pour pouvoir mieux la caresser. Laissant sa main voyager entre le bas et la peau nue, Alex avait l’air d’apprécier ce petit jeu

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 9 mercredi 17 décembre 2014, 02:10:02

Les choses sérieuses allaient pouvoir commencer, et il ne fallut que quelques secondes d’attente avant qu’Alex n’aille l’embrasser, les lèvres du jeune homme allant se presser contre les siennes. Fermant les yeux, Doutz’ leva sa main, et agrippa la nuque de l’homme, ses doigts se glissant contre ses longs cheveux. Elle savoura la bouche de l’homme, et, quand sa langue partit à l’assaut de sa cavité buccale, elle écarta les lèvres, et accepta la venue de son organe. Soupirant de plaisir, Doutzen réalisa rapidement qu’il était différent des autres amants qu’elle avait pu avoir... Il était plus jeune, plus beau, mais, outre ça, il semblait réussir à contrôler sa libido, ce qui faisait qu’il ne s’était pas jeté sur elle, ou ne s’était montré brutal. Doutz’ avait déjà dû coucher avec des brutes, avec des hommes qui n’aimaient pas les femmes, et qui s’efforçaient de le montrer à chaque fois qu’ils en avaient l’occasion. Ils étaient brutaux, violents, sadiques, tirant sur ses cheveux, se délectant de ses hurlements. Au moins, pour l’occasion, elle avait l’air de tomber sur un homme qui semblait apprécier le beau sexe pour ce qu’il était : un ensemble de corps fragiles, de délicates formes dont il fallait prendre soin, afin de ne pas les entailler, ou de les briser.

Le baiser dura un certain temps, et Doutz’ y répondit avec plaisir, gémissant, sentant, contre ses jambes, la tension pointer entre les jambes de l’homme. Lorsqu’il se rompit, elle se mordilla les lèvres, sentant encore, sur ces dernières, le goût de la salive de l’homme. Leurs regards se croisèrent, et ce dernier lui avoua qu’il savait qu’elle ne disait pas toute la vérité. Si Doutz’ fut surprise, elle n’en laissa rien paraître, se contentant de le regarder avec une intensité vibrante dans les yeux. Personne n’avait jamais réussi à la démasquer. Il devait juste jouer la carte du bluff, ce qui était très fréquent chez les play-boys et les golden boys. Elle ne dit donc rien, un petit sourire espiègle sur les lèvres, l’homme lui promettant monts et merveilles.

*Toute ta fortune ne pourra pas te protéger contre la colère de Reto, jeune homme... Il est le Grand Méchant Loup de notre histoire.*

Néanmoins, elle ne pouvait pas le lui dire, et elle se contenta de rapprocher ses lèvres des siennes, goûtant à un nouveau baiser, tout en sentant ses mains caresser le sommet de ses jambes, ainsi que ses hanches. Ses doigts glissaient sur le tissu de ses vêtements, faisant frissonner de plaisir et d’envie la jeune femme.

« Hummm... ! »

Elle l’admettait : il était plutôt bon. Et ça, c’était suffisamment important pour le relever. Doutzen savait, à force d’expérience, qu’il y avait une certaine forme de corrélation entre la manière dont on se comportait au lit, et le comportement d’une personne. Quelqu’un qui était doux et attentionné avait souvent bon fond. Doutz’ avait goûté aux différents archétypes au lit. De simples hommes généreux ayant une mauvaise période, et qui goûtaient aux charmes empoisonnés d’une diablesse tenue en laisse par un monstre impassible... Et des pervers qui prenaient plaisir à la torturer, à la fouetter, à l’humilier, à uriner sur elle, ou à la battre, pour le simple plaisir de la faire souffrir et de la faire pleurer. Au moins, Alex était différent... Cela, Doutz’ pouvait le reconnaître.

La main caressant sa jambe filait sous sa robe, et Doutz’ gémit de plaisir, mordillant un peu la lèvre inférieure de l’homme. Une main sur sa nuque, l’autre était appuyé sur son épaule, et elle rompit le baiser avec un léger sourire, parlant ensuite d’une voix douce, calme et posée :

« C’est un bon début... Si tu veux que je sois entièrement pour toi, il faudra me montrer que tu es capable d’assumer... »

Sa phrase restait en suspens, et elle s’approcha de l’oreille de l’homme, pour le murmurer à voix basse, en profitant pour rapprocher un peu sa belle et généreuse poitrine de son torse, afin qu’il puisse sentir un peu mieux ses seins contre lui. Les hommes aimaient ça, non ?

« ...Toutes mes envies... » enchaîna-t-elle alors.

Une lueur espiègle et malicieuse brillait dans ses yeux.
DC d’Alice Korvander.

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 10 mercredi 17 décembre 2014, 13:03:45

Doutzen pouvait être rassurée sur bien des points.D’abord,  Alex n’avait rien deviné de son plan. Simplement, il sentait qu’elle mentait mais il ne savait pas vraiment dire sur quoi.  A force de fréquenter les femmes, il avait appris à mieux les cerner. Ce qui ne l’empêchait pas non plus de tomber dans le panneau assez régulièrement ceci dit.

Quant à ses capacités d’amant, là aussi, pas de risques. Alex considérait une belle femme comme quelque chose de précieux, d’agréable et de plaisant C’était comme conquérir quelque chose et il n’avait nullement l’intention de tout casser. C’était une forme de respect, avec un sens particulier selon ses critères.  Il voulait être la hauteur pour elle, mais surtout pour lui, pour son orgueil et son égo. Donner du plaisir à une femme était  important pour lui. Quant à la violenter, l’humilier ou la « salir », il n’était pas question de cela. Quand on avait une belle voiture, on ne l’abimait pas. C’était débile.

Mais trêve de considérations, il y avait mieux à faire. Ne pouvant s’empêcher de sourire en l’entendant gémir, elle avait ensuite cessé le baiser non sans se rapprocher davantage de lui. La poitrine était désormais contre son torse, et il la devinait lourde et accueillante.Mieux, Doutzen se prenait au jeu ce qui n’était pas pour lui déplaire. Une certaine connexion s’installer entre eux.D’ailleurs, il n’y eut  pas de réponses verbales de sa part, mais un regard des plus explicites. Il avait aussi une lueur qui brillait dans ses yeux, le genre qui laissait augurer du meilleur pour la suite.

Laissant place aux gestes, il revient l’embrasser, avec toujours la même fougue , la même passion. Les deux langues de nouveau unies, Alex la faisait tournoyer lentement, ne quittant la bouche que pour venir dans le cou de Doutzen ou lui mordiller le lobe de l’oreille. Il aimait son odeur, tout comme sa salive mélangée à la sienne ou le goût de ses lèvres sur sa bouche. Pour faire simple, il brulait d’une passion rare pour elle.

Une de ses mains, la gauche, remontant sur sa poitrine, il caressa lentement, dans des mouvements circulaires, chaque sein par-dessus la robe. On sentait une certaine assurance, une maitrise dans ses gestes. Il savait ce qu’il faisait, d’ailleurs, il avait l’air d’apprécier la découverte de la poitrine de la jeune femme. Et ce même s’il ne faisait que la caresser par-dessus la robe pour le moment

« On va s’amuser toi et moi »

Plus qu’une promesse, c’était une certitude, alors qu’il revenait prendre possession de la  bouche de Doutzen pour un nouveau et sensuel échange de salive. Sa main droite, repassant sous la jupe, il caressait toujours la cuisse gainée par le bas noir, tout en passant aussi sur la peau nue. Il était sans cesse à la limite, même s’il était évident qu’il aimait les bas de la jeune femme. Cependant sa main remontait de plus en plus sur la cuisse, au point de se rapprocher de son entrejambe
N’en restant pas là, la main gauche  qui était sur la poitrine vint se poser sur la joue de la jeune femme, qu’il caressa, alors que les baisers redoublaient d’ardeur. Sentant son entrejambe de plus en plus à l’étroit, il guida une des mains de la belle étudiante en théâtre  sur la bosse visible située dans le haut de son pantalon.  Elle pouvait clairement sentir son excitation, et il lui faisait comprendre qu’il aspirait à ce qu’elle le sorte de sa prison vestimentaire et qu’elle lui laisse une chance de mieux respirer.Même si évidemment, il était surtout en quête de caresses expertes

La main sous la robe redescendant sur la jambe, il la caressa de haut en bas  puis de bas en haut.Prenant le temps de savourer chaque seconde, son autre main redevenue libre remonta sur la poitrine, qu’il se remit à caresser, s’attardant sur le sein  droit, il se montrait toujours aussi précis et adroit dans ses  caresses.Et il n’avait aucun doute sur le fait qu’elle en ferait autant.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 11 jeudi 18 décembre 2014, 02:18:50

L’homme continuait à lui prouver ses délicates attentions. Un vrai petit ange. Il fallait bien admettre que c’était... Agréable. Différent de l’amour brutal et sauvage auquel elle était régulièrement habituée, que ce soit avec Reto, ou avec d’autres hommes. Alex ne mentait pas : il voulait vraiment que Doutz’ apprécie aussi ce moment. En un sens, cette douceur rendait la trahison de Doutz’ encore plus cruelle, mais elle se dissimulait derrière le rôle qu’elle jouait. Elle voyait ça comme un film, où elle devait être l’actrice la plus convaincante possible. Une manière comme une autre de s’exonérer de sa propre responsabilité. Elle goûtait aux lèvres de l’homme, gémissant et soupirant, sentant ses mains explorer son corps, s’attardant sur ses seins, qui ressortaient partiellement de la robe, et se mirent à pointer. Les tétons n’étaient pas visibles, étouffés, non seulement par la robe, mais aussi par son sous-vêtement. Si on ne le voyait pas à travers la robe, on pouvait néanmoins le deviner, notamment en caressant les hanches de la femme. Là encore, le choix du sous-vêtement avait été important. Elle aurait pu opter pour un classique soutien-gorge, mais, quitte à marquer les esprits, autant voir les choses en grand. Ainsi, sous sa robe, Doutz’ portait un séduisant corset rouge.

Une surprise supplémentaire, en quelque sorte. Pour l’heure, l’homme explorait encore sa robe et ses jambes, embrassant son cou, revenant fréquemment à ses lèvres, donnant lieu à de multiples échanges buccaux, des échanges auxquels Doutz’ répondait. Son plaisir n’était nullement simulé, et sa langue jouait volontiers avec celle de l’homme, remuant contre sa bouche. Il caressait ses formes, et elle en faisait de même, caressant le haut de son torse, sentant ses abdominaux. Elle sentait une certaine musculature là-dessus, la preuve que l’homme s’entretenait, sans pour autant ressembler à un gros tas de testostérone. Il était plutôt beau, tout à fait dans le type que la jeune blonde aimait... Et il embrassait super bien, s’il était besoin de le préciser. Yeux clos, elle goûtait à chacun de ses baisers avec bonheur.

« Haaannn... fit-elle quand il embrassa son cou, s’attaquant à cette partie sensible de son intimité. A-Alex, haaa... »

Elle se dandina un peu sur place, en sentant un doux feu se mettre à brûler entre ses cuisses. L’une des mains d’Alex attrapa la sienne, et elle put sentir la virilité du jeune homme, et se mordilla les lèvres. Ses doigts s’agrippèrent dans un premier temps à sa ceinture, sa paume venant appuyer sur cette queue venant l’écraser contre sa peau. Elle appuya un peu dessus, ne serait-ce que pour le faire souffrir. La jeune femme n’agissait pas par malice, mais parce qu’elle savait que les hommes aimaient bien ça, quand on serrait leurs membres. Elle retourna ensuite l’embrasser, et comprit vite qu’Alex avait l’air passionné par sa bouche. Son autre main s’agrippa à sa nuque, empoignant les cheveux de l’homme, tandis que la main sur son pantalon s’attaqua aux boutons, se débrouillant maladroitement pour retirer la ceinture. Elle tira sur cette dernière, l’ôtant de son attache, puis tira sur cette dernière, fort, rapprochant un peu le bassin de l’homme de son corps. Elle tira, et la boucle se défit. Elle n’eut ensuite plus qu’à tirer, et la ceinture glissa comme un serpent, la pointe en fer provoquant des cliquètements métalliques.

Doutz’ la balança sur le sol, puis déboutonna le pantalon, et tira un peu dessus, sans pour autant négliger son baiser, ce qui faisait qu’elle alternait. Elle embrassait l’homme, répondant à son envie, ses mains curieuses palpant sa poitrine faisant souffrir ses seins, en quête de davantage d’attention. Ainsi fonctionnait le sexe : plus on satisfaisait le désir, plus la frustration grimpait. Une sorte de montée paradoxale, mélangeant plaisir et souffrance, satisfaction et insatisfaction. Elle sentit le boxer de l’homme, et caressa son membre, à travers la tenue, ses jambes se relevant un peu. Elles se frottaient contre les cuisses de l’homme, se relevant, ses talons heurtant ainsi la table basse.

« Hunnn... »

Ce fut encore Doutz’ qui mit fin au baiser, un fin et étroit filet de salive reliant leurs lèvres. Elle l’évacua d’un coup de langue, puis sourit, une lueur malicieuse dans les yeux. Son nez se frotta tendrement à celui de l’homme, et elle poursuivit, toujours aussi joueuse :

« Je dois admettre... Que le morceau du roi est de première qualité. »
DC d’Alice Korvander.

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 12 jeudi 18 décembre 2014, 17:08:42

Les gestes melant tendresse et séduction de Doutzen ne dérangeait pas Alex bien au contraire. Pour être franc, il aimait assez,  tout comme la manière dont elle avait commencé à explorer son corps. Elle s’était attardée sur son torse, sentant sans doute sa musculation. Des années qu’il l’entretenait pour ce type de moment.Mais le plus important, c’était qu’elle avait commencé à déblayer le terrain au niveau de son entrejambe. Plutôt adroite dans ses gestes, elle avait fait ce qu’il fallait pour y avoir accès, se débarrassant de la ceinture tout en baissant assez le pantalon que pour avoir accès au caleçon. Caressant la verge par-dessus le tissu, elle semblait prendre le temps de découvrir l’objet de ses désirs et qui lui donnerait sans nul doute du plaisir. Visiblement satisfaite du premier contact, Alex sourit à sa remarque, alors qu’il était revenu l’embrasser avec toujours cette même fougue et ce même désir. Dans le caleçon, on sentait le pénis qui ne demandait qu’à être libéré de toutes ces contraintes. La verge était déjà bien dure, dressée fièrement au garde à vous. D’ailleurs Alex pouvait s’estimer heureux de ce qu’il avait. Largement dans la norme, il avait un sexe droit,non décalotté, avec juste assez de poils que pour donner un petit duvet doux au contact. Nul doute qu’il devrait plaire à Doutzen

Mais pour le moment, il était temps pour le jeune homme de reprendre le contrôle. Alors qu’elle s’était rapprochée de lui, il la guida pour qu’elle vienne complètement sur lui, lui faisant comprendre quelle position il attendait. On pouvait d’ailleurs encore une fois remarquer qu’il le faisait avec un certain doigté, comme si il ne voulait pas la brusquer.

L’ayant donc sur lui, il reprit un peu le contrôle des événements en laissant ses mains se posaient sur ses fesses, qu’il commença à caresser.  Très vite, il passa sous la robe, venant toucher à pleines mains le fessier de son invitée. Appréciant au passage ce qu’il découvrait de ses sous vetements, ses deux mains semblaient explorer chaque partie de la surface ciblée, appréciant la fermeté de son joli postérieur. Décidemment, son corps était parfait.

« Tu es juste parfaite »


Pas de compliments inutiles ou faciles. Il était vraiment sous le charme, sans doute comme il l’avait rarement été. Les deux mains redescendant sur les cuisses et les bas une nouvelle fois, sa bouche n’était pas en reste. Il alternait toujours baisers langoureux, mordillage d’oreille et plongée dans le cou de la jeune femme. Chaque échange de salive se faisait avec voracité, sa langue ne cessant de chercher la compagnie de sa jumelle.  Il y avait dans chacun de ses baisers l’envie de le prolonger au maximum. D’ailleurs, Alex, d’humour joueuse lui aussi, s’amusa pendant un moment à faire glisser lentement sa langue dans la bouche de la belle étudiante avant de la retirer aussi vite, de sorte qu’elle n’avait pas vraiment le temps de l’unir à la sienne. Une sorte de  jeu de chat et de souris qui contribuait à instaurer un climat melant sexe, désir, découverte de l’autre et jeux de séduction. Mais comme lui non plus n’aimait pas trop être frustrée, il concluait  toujours ce petit jeu d’un baiser plus franc, plus accompli, dans lequel chacun retrouvait la bouche de l’autre avec un plaisir non dissimulé

Ses mains continuant de caresser les fesses sous la robe ou les jambes gainées par les bas selon ses envies, Doutzen pouvait voir et surtout sentir la bosse dans le caleçon être sur le point d’exploser. Certes, le terme était un peu exagéré, mais l’afflux de sang dans la verge indiquait un degré très haut de plaisir sexuel

Une des mains venant écarter  une mèche de cheveux de la jeune femme qui recouvrait en partie un de ses yeux,  il laissa une caresse  sur le visage accompagner le mouvement, avec une tendresse de nouveau assez inhabituelle pour lui , étant donné son côté en principe peu démonstratif. Mais à partir du moment où elle faisait de  même avec lui, cela ne le dérangeait pas d’instaurer un peu de douceur dans un acte à la base plus primaire. Plongeant ses yeux dans ceux de la jeune femme, le temps semblait quelque peu suspendu dans le loft. Alex souriait, mais pas seulement parce qu’il allait coucher avec une femme qu’il trouvait très désirable. Non c’était aussi parce qu’il se sentait bien et découvrait de nouvelles sensations. Glissant son pouce dans sa bouche  tout en lui caressant encore la joue, il continuait de lui sourire en la fixant droit dans les yeux et en commençant à donner quelques mouvements de bassin pour la stimuler davantage encore

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 13 vendredi 19 décembre 2014, 01:37:31

Les positions s’inversèrent. Après avoir tâté de la main la virilité de l’homme, elle laissa ce dernier la guider, et souleva sa jambe, se retrouvant ainsi sur Alex, chacune de ses mains posées sur ses épaules. Sa tête le dominait de quelques centimètres, et un tendre sourire ornait ses lèvres. Elle sentit les mains de l’homme se glisser sous sa robe, et serra ses mains sur ses épaules quand il caressa son fessier, le malaxant tendrement, s’attaquant à cette partie de son corps, cette zone sensible et ô combien délicieuse. Il ne serait pas le premier homme à saliver sur son cul, et, pour être honnête, ça ne dérangeait pas Doutz’. Si elle avait jadis eu peur de toute interaction avec cette zone sensible de son anatomie, Reto s’était chargé de l’éduquer en ce sens, afin de lui faire oublier ses anciennes hésitations. Elle sentait l’homme glisser sur sa peau, sentant son sous-vêtement... Doutz’ aimait se dire qu’elle s’était habillée à la Française. Elle aurait pu porter un simple string, sans rien d’autre, mais la jeune blonde s’était dit que cette tenue ne conviendrait pas avec le corset. En conséquence, elle avait opté pour un porte-jarretelles rouge à dentelle avec un string ouvert, une tenue qui laissait ses fesses à l’air libre. Une tenue relativement chic et élégante, qui devait amener à se dire que, pour une pauvre, Doutzen savait plutôt bien s’habiller. Sous sa robe, elle sentait donc les mains voraces de l’homme contre ses fesses, palpant cette masse de chair, l’excitant doucement.

De la bouche, il jouait avec elle, fourrant sa langue dans sa bouche, avant de la ramener rapidement. Ce devait probablement être pour lui un fantasme. Doutz’ ne voyait pas spécialement en quoi c’était intéressant. L’avantage d’un baiser, selon elle, était de s’inscrire dans la durée du moment, de partager la salive, de se coller à son amant, de se lier à lui et à son corps par le biais d’un contact sensoriel rapide et efficace, plaisant et intense. Ce qu’Alex faisait, c’était la titiller sans raison, et, vu la situation, elle avait déjà d’autres choses à penser que sa langue joueuse effleurant ses lèvres. Il y avait ses mains sur son cul, oui, mais aussi cette tension qui pointait contre son boxer. Tandis que leurs lèvres se rapprochaient et se cherchaient, Doutz’ avait descendu l’une de ses mains, et masturbait tendrement l’homme, à travers son sous-vêtement.

« Miaaaamm... » gémit-elle dans le creux de son oreille.

Elle sentit la main de l’homme rabattre une mèche de cheveux rebelles... Sa frange. Son éternelle frange, qui la provoquait fréquemment en se glissant devant l’un de ses yeux. C’était une technique qu’elle utilisait elle-même souvent, afin de renforcer le côté « femme fatale » quand elle allait séduire et attirer ses proies. En sentant les doigts de l’homme sur son front, elle sourit, et attrapa ladite main, la tenant dans le creux de la sienne. Une main empoignant son sexe, l’autre sur le dos de sa main, elle alla l’embrasser dans la paume de sa main, le regardant avec une lueur pleine de malice et de désir. Elle relâcha sa main, puis continua à s’activer sur son sexe, dont la forme commençait à être bien moulée à travers son sous-vêtement.

Se pinçant les lèvres, montrant ainsi, pendant quelques secondes, ses dents blanches, elle se pencha un peu vers lui, et, plutôt que d’embrasser ses lèvres, elle lécha le bout de son nez. Doutz’ se faisait volontiers tentatrice, femme fatale, séductrice redoutable.

« Ton mât a l’air de souffrir, mon pauvre... Tout comprimé dans cet étau de tissu... »

Un sourire délicat ornait les lèvres de Doutzen. Elle pencha la tête, en remuant un peu ses hanches, ne voulant guère que l’homme retire ses mains de son postérieur. Ses deux mains attrapèrent son caleçon, et elle le souleva, ses ongles venant frotter son sexe, et elle souleva ce tissu, avant de l’abaisser, permettant de voir une tige de chair en se redressant.

« Woow... J’aurais presque des regrets à laisser ce membre à l’air libre, il a l’air... Si triste. »

Nouveau sourire sur le coin des lèvres. Pour le coup, Doutz’ était sincèrement en train de se faire plaisir. Elle était prise dans la danse, entraînée dans son propre jeu de séduction. Son cœur battait rapidement la chamade, et elle se laissa lentement tomber, finissant sur le sol, à genoux, ses deux mains caressant et pressant tendrement le sexe de l’homme, sa bouche se rapprochant de son membre. Elle regarda à nouveau l’homme, captant son regard.

« Détends-toi, Alex’... Je vais te sucer. »

Une intensité brûlante irradiait dans ses yeux.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Dans la gueule du loup (pv avec Doutzen)

Réponse 14 vendredi 19 décembre 2014, 13:17:10

Que dire ? Alex était plus que satisfait. Doutzen était encore mieux qu’il n’aurait pu le rêver. Elle se prêtait aux jeux  érotiques divers. Mieux , elle en remettait chaque fois une couche, tant et si bien que le jeune homme  était finalement excité comme jamais. C’était  comme si il avait en face de lui la femme qu’il avait toujours espéré. Doutzen anticipait la moindre de ses demandes, ce qui était forcément attrayant pour lui

« Humm »

 Gémissant devant les caresses sur son sexe, Alex avait enfin eu ce qu’il voulait : libéré de sa prison de toile, il était là, dressé comme rarement, avec  une seule envie : avoir la chaleur de la bouche de la jeune femme sur lui. Dire qu’il attendait de cela était un euphémisme. Plus que mis entrain par le comportement allumeur et provocateur de son invitée,  il l’était tout autant par l’impression qu’elle prenait son pied elle aussi. Elle ne simulait pas, se prenait au jeu et forcément, cela renforçait ce qu’il pouvait ressentir. Pour lui, le plaisir de sa partenaire était important, car comme expliqué précédemment, son égo en avait besoin.

N’ayant pas d’autres choix que de la laisser glisser sur ses genoux, alex avait ses deux mains  pour la première fois totalement inoccupées. N’ayant pour le moment plus accès  aux fesses de la Doutzen ni à sa poitrine, il se contentait de la dévorer des yeux, se cabrant quelque peu sous l’effet de ses caresses sur son pénis. Notamment quand les ongles frolèrent le sexe  de très près.Nul doute qu’elle savait y faire, ce qui ne l’étonnait pas. Cette fille était vraiment un cas à part, différente de tout ce qu’il avait pu connaitre jusqu’ici.

« Fais ce que tu veux et comme tu le veux. Il est à toi de toute façon, je te l’ai dit »


Il lui souriait. Un bref moment d’accalmie était entrain de prendre forme. Tout relatif , car elle continuait de le masturber, mais on sentait que ce qui allait suivre s’annonçait pour le moins torride. La fixant droit dans les yeux, il avait bien vu  cette intensité dans les yeux. Il  avait la même dans les siens.

Tendant la main droite, il se mit à caresser le visage de la Doutzen,  notamment sa magnifique chevelure. Se redressant un peu, il ne résista pas à l’envie de se pencher un peu vers l’avant pour venir de nouveau tater de son fessier.  Le prenant bien en main, chaque fesse ayant droit à sa main, il se mit à donner quelques mouvements, laissant  un doigt venir jouer avec l’élastique du string.Reprenant d’une certaine façon le contrôle, le pouce droit était à la limite de l’anus de la jeune femme, alors que l’autre main était bien ancrée sur la fesse voisine. Un deuxième doigt venant prêter main forte, notamment pour écarter davantage l’élastique, le  pouce était désormais à l’entrée du petit orifice, faisant quelques mouvements circulaires bien nettes pour stimuler  le désir. Alex n’avait pas l’envie immédiate de satisfaire Doutzen, ce serait pour plus tard. Par contre, tout comme elle, il voulait quelque peu jouer avec ses envies

« faudra que je m’occupe de cela plus tard »

Et connaissant Alex, ce serait fait. Les deux mains revenant se poser sur le haut des fesses, il retroussa quelque peu la robe pour avoir une meilleure vue sur ce qu’i l’intéressait. Et puis avec les bas et les dessous chics, il y avait une vision particulièrement plaisante.

Venant l’embrasser, sa langue retrouvant sa partenaire de jeu du moment, il avait saisi le visage de l’étudiante à deux mains, pour un échange une nouvelle fois très intense. Puis, se recala quelque peu dans le divan, les mains de nouveau immobiles, il supposait qu’elle allait commencer ce dont elle avait l’air d’avoir tant envie


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