Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Forever Evil [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 30 dimanche 19 avril 2015, 14:27:38

Joignant le geste à la parole, Liddell fit venir une belle petite servante, une délicieuse esclave répondant au nom de Céleste. Dès qu’Alice la vit, avec son sourire, ses formes encourageantes, et même sa chevelure courte, elle vit en elle l’archétype de la petite poupée qu’on avait envie de protéger… Une femme qui, comme elle, avait souffert de sa bêtise. Ce monde n’était pas conçu pour les faibles et pour les gentilles personnes. Ce que cette Céleste allait subir serait cruel, Alice n’en doutait pas, mais elle était incapable de ressentir la moindre forme de pitié. Se lovant contre Liddell, elle observait la scène en souriant. Terra était un monde dangereux, un monde de loups et de prédateurs, où les biches et les gazelles n’avaient que deux options : devenir des louves, ou être mangée sur place. Ce que les deux Impératrices allaient faire consistait juste à former Céleste, à lui montrer que la vie n’était pas rose, et que, si elle tenait à avoir une place sûre, il fallait qu’elle s’en montre digne.

Céleste se trouva donc face à Marta, dont le gros sexe semblait pulser entre ses doigts. Alice n’en perdait pas une miette, et se retourna un peu, venant embrasser sa femme sur la joue, avant de s’appuyer sur son épaule, comme si elle observait un bon film. Marta finit par frapper Céleste, qui tremblait sur place, et la pauvre servante tomba à genoux, face au chibre de Marta. Alice savait ce que Marta faisait le soir. Elle savait que la femme, membrée comme un taureau, marchait dans les couloirs du palais, cherchant des servantes, et s’amusait fréquemment à les violer. Alice trouvait ça… Tout simplement exquis.

La servante pleurait chaudement devant le sexe tendu de Marta, dressé devant elle. Le regard de la servante coulissa vers les deux Impératrices, en quête d’un réconfort. Alice soupira, et secoua la tête.

« Marta ! Si cette enfant gâtée continue à chialer pendant encore cinq secondes, donne-lui une bonne raison de nous agresser les oreilles ! »

De quoi se plaignait-elle, à la fin ?! Marta était une belle femme, endurante et sportive Coucher avec elle était un honneur. Cette Céleste… Pour Alice, la servante était juste une enfant qui avait eu une enfance dorée. On avait dû lui exaucer tous ses caprices, à elle. À elle, elle n’avait eu aucun père bourru qui passait son temps à se plaindre de l’inutilité croissante de sa fille. À elle, elle avait eu une mère aimante qui l’avait câliné, qui l’avait tenu dans ses bras, en lui disant combien elle était belle et combien elle était chanceuse. Oui, Alice ne ressentait pas de la pitié pour Céleste, mais une jalousie profonde, noire et viscérale… Car cette petite peste qui pleurait comme une mère précieuse avait eu, elle, une enfance heureuse… Et elle, oui, elle, elle pouvait enfanter ! Elle, elle pouvait avoir des enfants ! Elle, Alice était sûre qu’elle aurait tout un tas d’affreux marmots qui viendraient lui pomper le sein… Et ce alors qu’elle n’avait rien fait pour mériter une telle chance ! Oui, c’était injuste !

Céleste, devant les propos d’Alice, se racla la gorge, et cligna des yeux, puis rougit furieusement, sous une peur moite, en fixant le chibre de Marta. Ce sexe puait atrocement, et une odeur infecte remontait dans les narines de la belle Céleste. Elle n’avait jamais cru toutes les rumeurs circulant sur ce lieu, sur ce qu’on faisait subir aux servantes. Elle avait toujours cru que ce n’était que des racontars et des rumeurs ayant pour but de discréditer les Impératrices, et que ça ne pouvait pas être vrai… Et là, elle était placée face au fait accompli. Tout ce qu’on disait dans la ville sur la cruauté de ces deux femmes… Ce n’était pas des racontars.

C’était la plus stricte vérité.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 31 jeudi 30 avril 2015, 00:13:17

« Marta ! Si cette enfant gâtée CONTINUE à chialer pendant encore cinq secondes, donne-lui une bonne raison de nous agresser les oreilles ! »

Marta ne quittant pas la jeune Céleste du regard ce mit a faire frotter sa verge contre la bouche pulpeuse de la jeune servante tout en la graciant d'une caresse sur la joue, un caresse hypocrite et sadique, comme une fausse promesse de douceur et de gentillesse. Céleste quand à elle était dans un bien piteuse état, la pauvre était toute tremblante et larmoyante avec en plus le gland turgescent de la terrifiante colonel des armées d'Herzeleid contre sa bouche qu'elle tentait tant bien que mal de garder fermée.

« Tu permet… » Lâcha alors la futa en déplaçant sa main droite à l'arrière de la tête de Céleste. « Il s'avèrent que j'ai une petite envie… Pense à du cidre ou à n'importe quoi d'autre, ça glisse plus facilement. »

Et hop ! S'en en dire plus, Marta enfonça les deux tiers de son vit dans la bouche de Céleste, avant de ce mettre à lui uriner dans la bouche… Oui, C'était sale, malsain et profondément cruel, mais Marta n'avait pas pour réputation d'être une enfant de cœur et ce genre de petit supplice était assez courant avec elle. La Colonel était une femme particulièrement dure et orgueilleuse, pour elle, une bonne proie était une proie brisée et humiliée  jusqu'à l'os et bien entendue, pour Céleste, le fait de ce faire uriner ainsi dans la bouche était quelque chose de monstrueusement sale et humiliant… Mais surtout sale. La jeune femme ferma les yeux, hoquetant à plusieurs reprise, obligée de boire ainsi l'urine d'une femme monstrueuse et perverse, alors qu'elle n'avait rien fait de mal ! Pauvre petite Céleste, pour elle, l'enfer ne faisait que commencer.

« Haaaa… »

Une fois que Marta eu fini son office, elle retira lentement sa verge de la bouche de Céleste, compressant ensuite les joue de la jeune femme tout en maintenant sa tête en arrière.

« Avale… AVALE JE TE DIT ! »

Bien entendue, c'est à contre cœur que Céleste avala la dernière gorgée d'urine que Marta lui avait laissée. C'était dégouttant, ça puait et… Nan, C'était abjecte et immonde, tout simplement. Il n'y avait là aucun mots assez fort pour décrire ce qu'il venait de lui arriver, la pauvre petite Céleste, pourtant si gentille et si serviable était à deux doigt de ce faire violer par cette hermaphrodite cruelle et perverse et ça, sous les yeux ébahis des deux impératrices… La pauvre servante était complètement au fraises, elle ne savait pas quoi faire hors mis pleurer et gémir. Mais même ça elle ne pouvait pas ce le permettre, sous peine de souffrir encore plus… Ce qui, de toute évidence, avec ou sans les pleure, aller lui arriver.

« Aller… à quatre pattes ma biche... »
« Qu… Quoi… ?

Et vlam ! Voilà que le poing ferme de Marta vint à s'abattre sur le visage de Céleste que chuta lourdement sur le sol carrelé et froid de la suite impériale. La pauvre jeune femme avait à présent la lèvres fendue et alors qu'elle essayer vainement de retenir ses pleures, Marta lui envoya deux grand coup de pieds dans le ventre suivie d'un petit crachat sur son jolie visage.

« Ici et maintenant, t'es ma pute, mon vide burne et rien de plus, tu te contente d'obéir gentiment et c'est tout… Allez… Met toi à quatre pattes, j'vais te défoncer la teuch !
« Mais… Mais Je... »
Le problème était que notre pauvre petite Céleste était vierge, une douce et pure petite brebis encore pure, un joyaux inestimable dont Marta n'allait pas tarder à connaître toute la valeur. C'est donc à contre cœur que Céleste ce mise à quatre patte, une mains s'appuyant sur le sol, tendis que l'autre était posée sur ses côtes, Marta lui avait fait mal mais forte heureusement, il semblait qu'elle n'ais rien de casser… Pour l'instant du moins.

Pendant ce temps, sur le lit, les deux petites impératrices regardait la scène avec grande attentions, ne perdant pas une miettes de ce délicieux spectacles fortement érotique. Liddell adorait voir Marta violer des servantes, c'était là l'un de ses petits péchés mignons et partager ce moment avec son épouse, c'était tout bonnement Supercalifragexpedélicieux ! La petite Führer vint ensuite à faire frotter son bout de nez contre le tendre visage de son épouse, lui délivrant dans la foulée un petit baiser passionné et romantique.

Marta, de son coté, était toujours derrière Céleste, flattant elle sa verge, d'un mains, tendis que l'autre passait langoureusement le long du dos de la servante, passant par ses fesses, fesses que la futa mis à nue en soulevant la robe de Céleste, avant de palper fermement les deux belles masses de chaires qui lui était ainsi offertes.

« Hmmm… Jolie petit cul dit moi . »
Clac !
« AH ! »

Toujours égal à elle même, Marta venait d'envoyer une belle fessée sur le cul de Céleste, passant par la suite l'une de ses mains sous le tissus de sa culotte en dentelles, culotte que la futa baissa ensuite sans aucune finesse, mettant ainsi à l'air l'intimité intacte de Céleste. Quand Marta vit la belle petite chatte de Céleste, un grand sourire carnassier vint a éclairer son visage pervers et assoiffé de sexe.

« Oh ! Regardait mein Herz, Cette petite catin est pucelle, fufuuhuh ! S'exclamat alors Liddell.
« HmMmM… Toi, tu vas prendre sacrement cher ce soir, éhéhé... »

Ni une ni deux, Marta attrapa fermement sa verge au niveau de la base, faisant ensuite taper son gland contre la fleur intime de la pauvre Céleste qui, de son coté ne cessait de pleurer, n'osant même plus rien dire.

Aller… J'y vais ! HmMmMPpfff
« AH ! Aaahahah nan ! NAN !

Marta fit doucement rentrer son gland dans le vagin de Céleste, écartant laborieusement les lèvres encore « intacte » de cette dernière. La petite servante était à présent entrain de couiner et de gémir, c 'était tout simplement horrible et cruel et au plus profond d'elle, Célesta savait que cette douleur qu'elle ressentait là à cet instant allez être décupler au moment ou la futa aller déchirer son hymen.

« HmMmmPPPFFfF ! Sale petite pute ! »

Et hop ! Marta attrapa fermement chacune des fesses de céleste puis…
« Allez ! »
« AAAAAAAAAAAAH !!!! »
« HmmMPFFF PUT...AIN ! Aller ! BORDEL DE ME… AAAAAAAH ! »

Ca y est… Marta était à présent entrain de violemment besogner la jeune femme, envoyant son vit contre l'hymen de Céleste, hymen que la Futa ne mis pas longtemps à déchirer, faisant bien évidement hurler la pauvre servante de douleur car, outre le fait de ce faire dépuceler, c'était surtout le fait de ce faire dépuceler par Marta qui était douloureux et pour le coup, Même Marta peinait un peu face à cette intimité vierge et particulièrement étroite.

Et de leurs petite place, les deux impératrices regardaient le spectacle avec une lueur de démence dans les yeux et… Plus particulièrement Liddell, dont la vue du sang était entrain de légèrement entrain de l'exciter de manière… Très spécial.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 32 vendredi 01 mai 2015, 01:55:25

Tout ce qu’on disait sur Marta, sa réputation de prédatrice sexuelle, sa sauvagerie et sa brutalité quand elle faisait l’amour... Ça n’avait jamais été plus vrai, et, en ce moment précis, Alice avait l’occasion de l’observer, avec une sorte de fascination profonde dans le regard. Ses yeux bleus fixaient le corps de Marta besognant la petite verge, et elle se régalait des hurlements de cette femme. Céleste, la servante, était encore vierge. Un si beau minois, et toujours vierge... Diable, il était plus que tentant que Marta la prenne ! Et puis... Et bien, Marta n’était pas vraiment laide, loin de là. De plus, elle était bien placée, au sein de l’Empire Unique... Elle était proche des Impératrices. Goûter à sa verge n’était pas une punition, mais un immense récompense, autant que de goûter à l’urine des Impératrices. Alice avait le monde dans la paume de sa main, et cette capricieuse Céleste, qui refusait qu’on la touche, qui se prenait pour une petite sainte, en était le plus bel exemple. Secrètement, Alice était sûre que Céleste faisait partie de toutes ces femmes se moquant d’elle, de toutes ces femmes qui, secrètement, avaient un amoureux, un prince charmant, un paysan sale et puant qui les engrosserait, leur donnerait un beau bébé, et qu’elles pourraient regarder en se félicitant d’avoir quelque chose que l’Impératrice, elle, n’avait pas. Comment aurait-elle pu ressentir de la pitié pour une telle salope ? Céleste était une hypocrite ! Vierge ?! Mon cul ! Elle était trop belle pour ne pas avoir des hommes lui tournant autour, trop belle pour ne pas s’être promise à un beau bûcheron. La voir hurler de douleur était particulièrement jouissive, tout comme sentir Marta la claquer. Céleste pleurait à chaudes larmes en souffrant, et son sang s’échappait de ses cuisses, tombant sur le sol. En regardant Liddell, Alice vit combien sa femme était excitée par ce spectacle, ses lèvres entrouvertes, et ses yeux grands ouverts.

*Oui... Fais-là souffrir, cette salope, qu’elle hurle...*

Qu’elle hurle fort, qu’elle souffre, et qu’elle ait la fleur tellement broyée qu’elle serait incapable d’enfanter... Ah, ce serait bien la moindre des choses pour une telle traînée ! Et, fort heureusement, Marta avait pour habitude de prendre son temps, de ne pas se laisser aller trop vite. Cette pénétration était longue, ce coït délicieux, et les deux spectatrices blondes se régalaient de ce spectacle, de ce show magnifique s’organisant devant les deux femmes.

« Ta seconde est magnifique, mon amour... »

Alice se pencha vers Liddell, et l’embrassa passionnément sur les lèvres, en soupirant longuement. Leurs lèvres claquèrent entre elles pendant quelques secondes, puis Alice rompit le baiser, et se retourna à nouveau. Céleste avait du mal à se tenir sur ses bras, toutes ses forces semblant progressivement l’abandonner. Elle crachait de la salive, ses hurlements se cassant quand ses cordes vocales étaient rompues.

« C’est si beau de la voir ainsi, à l’action... »

En ce moment, Alice était la plus heureuse de toutes les femmes... Et elle avait bien raison d’en profiter.

Car le bonheur pouvait être très éphémère.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 33 dimanche 03 mai 2015, 00:22:19

« Ta seconde est magnifique, mon amour... »

Oui, pour sur qu'elle l'était ! Marta était une jeune femme athlétique au formes généreuses, c'était d'ailleurs la favorite de Liddell, celle avec laquelle la jeune impératrice passait le plus de temps, la gratifiant de temps a autre d'une petite gâterie pour « bon comportement ». Oui… Liddell était fière de sa petite Marta et entendre son épouse ainsi la féliciter était quelque chose de vraiment positif pour la Colonel !

« oh oui mon petit coeur » Lui soufflât elle a creux de l'oreille avant de lui rendre son baiser, enfonçant sa langue dans la bouche de la Sylvandine d'une manière délicate, le rompant ensuite afin de reprendre le spectacle là où elle l'avait laissée.


Marta quant a elle était à présent affalée sur la pauvre Céleste, écrasant cette dernière sous son poids tout en maltraitant sa pauvre fleur avec acharnement de sévèrité. Les deux impératrices étaient là, sur le lit, entrain de la regardait, de la jaugée, c'était une épreuve, un défi pour Marta, elle ce devait de briser cette petite pute, de la détruire, physique et psychologiquement ! Marta compté la baiser a sang et qu'importe si elle venait à la tuer, Liddell la regardait avec ses grand yeux nimbés de démence, attestant d'une chose, une seule ! Cette servante devait souffrir.

« PUTAIN ! Tu vas encore pouvoir saigner ma belle ! JE VAIS TE LA DECHIRER TA CHATTE !! »

« NAAAA ! »

L'Hermaphrodite redoubla alors d'effort, défonçant avec encore plus de violence la pauvre minette de Céleste, ses couilles claquant contre la peau de la pauvre servante au aboie, dont les pauvre jambes tremblaient d’épuisement et de douleur sous les coups de butoir assassins de Marta. Céleste ne ce tenait même plus, elle était à présent à genoux, le torse contre le sol et la croupe en l'air, entrain de ce faire sauvagement prendre en levrette, une levrette infernal qui faisait peu à peut perdre pied à Céleste.

« Haaaa… HA...Ha… Arr… J'a… Maaaaa… Ha… »

« M'EN FOUT ! » Hurlât alors Marta, abattant d'une main ferme, un bonne gifle sur le cul de Céleste.

La chaleur commençait à s'emparer du corps de la futa et tout en continuant de troncher Céleste, Marta décida d'enlever son grand imper de cuir, exhibant avec fièrté son corp légèrement musclé et tatoué. Tatouage représentant les insignes d'Herzeleid, la Pique impérial et le grand Jabberwocky. Une fois cela fait, la femme reprit sèchement en mains la jolie paire de fesse rougeoyante de Céleste, les malaxant sévèrement, prenant un malin plaisir a les gifler et les griffé, enfonçant profondément ses ongles dans les chairs molles de la jeune femmes. Marta ne la ménageait donc pas, enfonçant chaque fois plus loin sa verge dans l'intimité meurtrie de Céleste, son gland ouvrant littéralement le col utérin de la jeune femme.

« Put-AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN !!!! Si tu cr-crève PAS ! T-Tu HIIIIIN PUTTTTAIIIIN ! TU AURAS LE DROIT A UN GOSSE SALE PUTE ! »
« Hooooo oui ! Je pourrais le manger comme ça ! Ahahahah ! » Répliqua alors liddell en tapotant dans ses petites mains.

La Pauvre Céleste était entrain de craquer sur le carrelage froid de cette chambre sinistre, de grosse larme venant ainsi ce mêler a sa sueur et à celle de Marta.La Futa soufflait comme un buffle en rûte, tout en jurant comme une chartière, la Chatte de cette pute de Céleste était très étroite et pour un bite comme celle de Marta, c'était autant le pied qu'une torture, cependant, la Colonel sentait bien que cette fleur inexplorée était entrain de s'étendre, prenant bien la forme de son chibre.


« HmmmPUTAIN ! »

Et hop ! La futa lachat une énième claque sur le cul de Céleste, avant de ce retirer quasiment intégralement puis… De ce renfoncer d'un coup, faisant ainsi passer l'entièreté de son gland dans l'utérus de Céleste

Je te HAIS ! JE TE DETESTE !
Ha… HA… Ha…


De leur place, les deux impératrices ne perdait quant à elles pas une miettes de ce spectacles, un spectacle jouissif qui vint à pousser Liddell a faire une petite demande à son épouse.

« Dit moi mon petit coeur… Sa te dirait que je soit comme ça le temps d'une petite heure ? Je veux dire, Comme Marta ? Ihihihi ! C'est quelque chose qui ma toujours profondément titillée hihi ! Avoir cette chose là… Fuhu ! »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 34 lundi 04 mai 2015, 02:26:45

Les deux Impératrices observaient ce spectacle, aussi violent qu’impressionnant. La passion de Marta était incroyable, pleine d’énergie, de force, et de vigueur. La façon dont elle défonçait cette petite salope… D’aucuns auraient pu trouver cela cruel, mais Alice était au-dessus de ça depuis longtemps… Au-dessus de ça depuis le jour où son père l’avait enfermé dans une tour, et l’avait perpétuellement dénigré… Au-dessus de ça depuis le jour où elle avait rencontré Liddell, et où cette dernière lui avait expliqué les règles essentielles et fondamentales de la vie… Au-dessus de ça depuis que Marten lui avait appris qu’elle était inféconde, et que son ventre fertile était en réalité aussi stérile qu’un champ de blés ravagé. Elle était stérile, et cette stérilité était terrible pour elle, horrible et monstrueuse. Sa haine découlait de là, et c’était cette haine qui l’excitait, cette haine qui était en train de remonter en elle. Cette haine qui était satisfaite de voir cette pauvre jeune femme souffrir à sa place. Céleste aurait pu être Alice… Ou Alice aurait pu être Céleste. Et, en un sens, Céleste était, inconsciemment, la vision qu’Alice aurait voulu être. Elle n’avait, jamais voulu être la Princesse héritière de Sylvandell, elle avait toujours voulu avoir une vie normale, loin des draperies, des broderies… Une vie simple, une vie de fermière, avec un beau fermier, ou un bûcheron solide, qui lui aurait fait une tripotée de marmots… Au lieu de ça, elle avait hérité de Sylvandell, d’un Roi malade mental. Ce destin non voulu, elle avait réussi à le faire évoluer… Et Céleste représentait tout ce qu’elle n’avait pas, comme si une sorte de Dieu moqueur et vengeur continuait, encore et encore, à se moquer d’elle.

Vu la manière dont Marta la prenait et la défonçait, elle ne serait sûrement plus capable d’enfanter, ou de sentir quoi que ce soit dans sa petite chatte de pute pendant longtemps après… C’était tout ce qu’Alice voulait, et elle souriait malicieusement en voyant Marta retirer sa verge, avant de revenir l’enfoncer d’un coup sec, tapant dans le corps de la femme, remuant en elle, longuement, longuement, profondément et violemment. C’était intense et ardent, tellement intense, tant de violences… Et si beau, si excitant… Alice adorait ce spectacle magnifique, la vision de ces corps remuant et s’entrechoquant entre eux… Jusqu’à ce que Liddell ne finisse par tourner la tête vers elle.

« Dis-moi mon petit cœur… Sa te dirait que je soit comme ça le temps d'une petite heure ? Je veux dire, Comme Marta ? Ihihihi ! C'est quelque chose qui ma toujours profondément titillée hihi ! Avoir cette chose-là… Fuhu ! »

Alice lui sourit en la regardant, et sa main vint caresser la joue de Liddell. L’imaginer avec un chibre… Elle l’embrassa sur le coin des lèvres, tendrement, faisant claquer leurs lèvres ensemble, et lui sourit à nouveau :

« Oui… Oui, ma chérie, je t’aime… Et je t’imagine très bien avec ce sexe… »

Elle l’embrassa sur la joue.

« J’ai des potions, à Ashnard… Elles te permettront d’en faire pousser une pendant le temps qu’il faudra pour que tu me fasses hurler… »

Tout se déroulait pour le mieux de ce point de vue. Ne pas avoir d’enfant était terrible, mais, d’un autre côté, avoir le sentiment jouissif de tenir le monde dans la paume de sa main, voilà qui était… Particulièrement glorifiant.

Alice lui sourit donc.

« Tu as envie de me défoncer mon petit cul, hein ? De me prendre comme Marta prend cette traînée, hum ? J’avoue que ce serait… Excitant… Vous sentir toutes les deux en moi, à me défoncer longuement et joyeusement… »

Alice prenait un ton légèrement évasif en y songeant.

Oui, ce serait magnifique !

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 35 lundi 11 mai 2015, 14:40:47

« Tu as envie de me défoncer mon petit cul, hein ? De me prendre comme Marta prend cette traînée, hum ? J’avoue que ce serait… Excitant… Vous sentir toutes les deux en moi, à me défoncer longuement et joyeusement… »

Liddell, en réponse à la question de sa tendre épouse, hocha de la tête comme une gamine avec en prime un beau sourire sur les lèvres et son éternel regard nimbé d'une folie tellement insondable que tout les psychiatres de ce monde pourraient ce mettre sur son cas qu'il ne la soignerait pas. La jeune blonde fit ensuite un tendre calinoux a son épouse, apposant au passage dans son cou un petit baiser, avant de ce remettre a regarder le spectacle qui s'offrait à elle.

Hmmmpfff ! SALE PUTE !

Marta était toujours entrain de sèchement besogner la pauvre Céleste, cette dernière étant bien incapable de faire quoi que ce soit, subissant les assauts chaque fois plus brutaux de la futa. Là, étalée sur le sol, complètement tremblante et larmoyante, la jeune servante ce sentait petit à petit défaillir, ses yeux ce vidant de toute lumière oui... Marta était littéralement entrain de la briser. Céleste n'avait jamais vraiment était une jeune femme « forte » bien au contraire, toute sa vie elle avait eu l'image d'une jeune femme fragile et facilement manipulable alors, il est clair que face à Marta et à ce viole barbare, l'esprit de la pauvre servante eu vite fait de s'étioler dans un mélange de douleur et de souffrance incommensurable.

« HmmMmrrrrrah !!! » S'exclama la Futa, venant ensuite violemment plaquer la tête de Céleste contre le sol avec l'un de ses mains. « J'vais pas tarder a jouir sale putains ! »
N… Han…

Marta était en sueur, elle soufflait comme une brute et alors qu'elle sentait son plaisir grimper crescendo, elle se lança dans un ultime rodéo avec Céleste, la dernière valse de coup de reins en gros, le summum de sa violence et de sa brutalité aller maintenant éclater.

« HmMpfff… Je vais tellement te bourrer que… Han… Que… Et puis merde ! »

Sur ces mots, Marta enchaîna avec plus de violence encore les vas et viens dans l'intimité de Céleste, brutalisant cette pauvre vulve virginal en poussant des râle de plaisir et de douleur avant de finalement sentir sa jouissance monter, faisant alors gonfler sa verge, verge que La Futa retira quasi-entièrement du vagin de la servante, avant de la ré-expédier avec une brutalité hors-normes et ce cinq fois de suite… La sixième étant la dernière de toutes.

« HMMPFFFFRAAAAAAAAAAAH ! SALE CHIEEEENNE ! DAS GUT !!! »

Et voilà… Marta était à présent entrain d'abondement jouir en Céleste, expulsant directement dans l'utérus de la pauvre femme une quantité gargantuesque de semence. Notre Futa était là, la tête en arrière, la bouche ouverte et les paupière fermées, appréciant ce moment comme un épicuriens pourrait apprécier un bon vin… Oui, cette femme était complètement dingue, mais ça, elle s'en foutait. Elle restat ainsi une petite dizaines de secondes avant de finalement ce retirer de l'antre dégoulinante de sang et de sperme de Céleste, cette dernière étant à présent réduite à l'état de pantins tremblotant et suffoquant. La jeune femme peinait presque à respirer et ses paupières mis-closes ne laissait voir qu'un regard vide et révulsé tendis que petit à petit, son pauvre utérus ce débarrasser de toute ce surplus de semence sur le sol de la chambre impériale.

Ihihihih ! C'était prodigieux Marta ! Ahahahah ! S’exclamât alors Liddell en tapotant une fois de plus dans ses mains.
Han… Danke Mein liebevolle Führer… hum !

Marta ce releva lentement en essuyant son front avec un petit mouchoir, avant de s'approcher de la tête de Céleste et de violemment l'attraper par les cheveux, lui enfonçant sans aucune somation sa verge gluante dans la bouche.

« Tiens, nettoie donc ça… »

Malheureusement la jeune femme ne pouvait pas vraiment nettoyer grand-chose en l'état. Marta fit brièvement quelques aller-retour dans la gorge de Céleste, avant de finalement lui envoyer son poing dans la gueule, la faisant lamentablement ce rétamer sur le sol.

« Pffff… Ça tient pas la route ces pétasses ! Sûrement de la Castelquisianne ou de la chienne de Nexus. » Lâchât elle en s'allumant un cigare, la verge toujours à l'air.

La cruelle Marta avait une fois de plus briser une âme et ce, pour le plus grand plaisir des deux impératrices.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 36 mardi 12 mai 2015, 01:51:20

Plus on s’élève, et plus dure sera la chute.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, un léger souffle de vent sur une brise matinale, un sifflement discret et délicat à l’aube du matin, alors que, éclatant de beauté, le soleil se levait. Il continuait ainsi son petit rythme quotidien depuis aussi longtemps que mémoire d’Homme puisse s’en rappeler. L’éternel ballet du jour et de la nuit se cherchant mutuellement sans jamais faire autre chose que se croiser. Le soleil, en cette belle matinée, se dressait bien haut, éclairant de ses mille feux les tours et les vastes cités de Sylvandell. L’ancien royaume montagnard, jadis royaume reculé, était devenu une province impériale flamboyante. Ses anciens villages étaient devenues des cités minières exploitant les gisements se trouvant dans ses grottes, et, à l’instar d’autres exemples, le clivage social et économique s’était creusé. Les riches et les bourgeois dominaient du haut des montagnes face aux ouvriers croupissant dans les villages en bas. Les machines s’étaient assurées de polluer un air qui était respirable, et les arbres s’étaient taries. Les minerais qui jaillissaient servaient à alimenter les usines militaires, un cadeau venu d’Herzeleid, comme un hommage à la Technologie. Un nouveau monde, fait de Métal, d’Acier, et de Vapeur, et, parmi les montagnes de Sylvandell, les hauts-fourneaux se dressaient, des cheminées laissant s’échapper des volutes de vapeur, produisant les terrifiantes armées de l’Empire Terran.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, et il arriva alors que les mines continuaient, jour et nuit, à tourner à pleines régimes. Les multiples guerres menées par l’Empire Terran avaient permis d’avoir un nombre terriblement élevé d’esclaves, dont on pouvait se débarrasser sans trop de problèmes. Dangereuses et instables, les mines de Sylvandell engloutissaient les mineurs. Les belles forêts de Sylvandell avaient laissé place à des camps où, derrière des clôtures électrifiées, les esclaves s’entassaient comme des misérables, vivant dans des villes de tentes et de détritus insalubres.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, et il arriva avec la force d’un ouragan. Il arriva alors que, se réveillant au sein de la capitale, les gens ouvraient leurs volets, allaient acheter leurs baguettes de pain. Les enfants sortaient gambader dans la rue, traînant derrière eux des cerfs-volants. Une journée normale, banale… Les touristes étaient là, grimpant le long des monte-charges permettant de rejoindre la capitale et les hauts-plateaux, où une immonde usine avait été placée dans les hauts-plateaux, fournissant à Sylvandell un équipement de pointe… Des canons avaient été dressés à flanc de la montagne, ainsi que des mortiers, des miradors noirâtres équipés de mitrailleuses lourdes.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, et tous le virent… Les touristes, les gardes, les esclaves, les jeunes enfants. Tous le virent arriver. Le ciel bleu, le soleil jaune, éclatant, se noircit soudain. Et tous eurent alors le même geste. Pauvres, riches, hommes, femmes, enfants, vieillards… Face au torrent, tous eurent le même geste.

Ils levèrent la tête.

Et le murmure devint rugissement.

Et le rugissement devint un souffle infernal qui s’abattit sur eux.



« Vous êtes fou ! Elles dorment encore, vous ne pouvez pas… »

Dans le Palais d’Herzeleid, une vive agitation régnait. Les nouvelles venaient d’arriver, et Alice, qui dormait avec sa femme, après une nuit bien agitée, la tête posée contre ses seins, grogna en entendant quelqu’un tambouriner furieusement à sa porte, une voix forte résonnant de l’autre côté.

« Mais que… ? »

Alice se réveilla lentement. On continuait encore à tambouriner à la porte, et cette dernière finit par s’ouvrir.

« Par la sainte Barbe, vous voulez donc vous faire fouetter ou quoi ?!
 -  Majesté… Majesté… »

L’homme était épuisé, et tenait entre ses doigts tremblotants une missive. Furieuse, car elle n’aimait pas qu’on la réveille, Alice s’énerva sur place.

« Quoi ? Quoi, et bien quoi ?! »

L’homme reprenait son souffle, et finit par parler :

« Sylvandell… Sylvandell est en feu. Les Dragons… Ils… Ils se sont révoltés. »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 37 vendredi 07 août 2015, 16:13:23

« Il est hors de question que je mente à L'impératrice ! »
« Ce n'est pas de l'impératrice dont il est ques... » « ASSEZ ! Je refuse d'attendre plus longtemps ! »

Dans les couloirs, la dispute entre le Sylvandin et Griselda était parfaitement audible et aller de paire avec l'animation qui était entrain de ce mettre en place dans tout le palais.

« Franchissez ces portes et je ne serais plus garante de votre putain de sécurité ici bas ! »
« Cessez votre cirque Générale ! Vous ne trouvez pas que vous en faite de trop là !? »

Grizelda haussa un sourcil, puis… sans en dire plus, la femme laissa l'homme rentrer dans la chambre. Minerva, toujours aussi silencieuse ce glissa dans le dos de grizelda, avant de lui dire sur son habituel ton monocorde et froid.

« Ont fait quoi ? »
« Qu'est ce tu veux qu'ont fasse de plus, franchement ?… Ce mec veut impérativement annoncer la chose maintenant... »

Les deux femmes rentrèrent alors dans la chambre, mains dans le dos.
Visiblement, l'Impératrice Ashnardienne était déjà éveillée mais… Liddell, elle, était encore entrain de dormir, ce qui amena Grizelda a discrètement ravaler sa salive. Minerva elle, resta impassible, mais elle n'en pensait pas moins… Et puis… Il y avait Marta, couchée entre les deux impératrices avec un gaule matinale de tout le diables, une vision incongrue qui d'ordinaire aurait put faire rire mais là…

Le ton monta progressivement entre l'un des deux Sylvandins qui venaient d'entrer dans la chambre, jusqu'à l'annonce final de ce dernier qui laissa alors l'impératrice sans voix sur le lit…

« Sylvandell… Sylvandell est en feu. Les Dragons… Ils… Ils se sont révoltés. »
« Hmmm... »

Dans le lit, les draps virent alors à bouger…

« hmmmrpfff… Qu'est ce qui ce passe… ? »

et là… La pièce ce figea dans un silence pensant… Liddell, la tête embrumée venait tous juste de ce relever…

« Comment… Comment ce fait il qu'il y est temps de monde ici et… »

Là, Liddell vint à légèrement regarder son épouse qui semblait totalement sonnée.

« Mein Herz ? Mein herz ? » Lui demandât alors liddell en claquant des doigts, mais… Rien y fit, la jeune impératrice semblât comme ailleurs, éprise d'une peur inssondable.

« Qu'est ce… Que vous lui avez dit… » Lachat alors Liddell d'un ton sinistre.
« Führerin il faut que... »
« QU'EST CE QUE VOUS AVEZ DIT !!!!! » Hurlât elle alors en ce retournant d'un coup vers l'homme. Là… Il n'était plus question de sourire, ooooooh grand non… Là, Liddell ne souriait plus du tout.
Mais pire encore, dans la pièce, une sinistre lourdeur vint à s’installer. Le sylvandin, commençant quand à lui a avoir du mal à respirer tendis que de grosse goutte de sueur vinrent alors à ruisseler sur son front. L'homme, bien que fortement mal à l'aise restat droit.

« Je… Führerin je... » «  REPONDEZ !!!!! » Hurlât elle une seconde fois, libérant alors une puissante onde qui vint a faire exploser toute la verrerie présente dans le chambre ainsi que tous les miroirs. Silencieuses, Minerva et Grizelda observait la scène… Sans pour autant rire de cette situation qu'elle savait au combien délicate. Entre temps, les hurlement d'hystérie de Liddell eurent pour effet de réveiller Marta en fanfare, la gueule totalement enfarinée.

« Merde… C'est quoi… ce bordel... »

En sentant la pesante et sinistre atmosphère présente dans la chambre… Marta comprit aussitôt que la situation actuelle était tout bonnement désastreuse et, par acquis de conscience, elle vint à elle aussi ce taire.

« F-F-Führerin… l-Les Dragons… Ils ce sont révoltés… »

Et là, BOM. L'atmosphère déjà pesante vint encore à s'alourdir, tendis que dans la pièce, personne ne faisait un bruit… Minerva, Marta et Grizelda savaient, elles, ce qui était entrain de ce passer… Elles savaient qu'une limite était sur le point d'être franchie… Cependant, elles restèrent silencieuses et immobile… Enfin, jusqu'à ce que Grizelda vienne a recevoir sur le front une goutte noire. A ce moment précis, la femme vint à fermer les yeux en ravalant sa salive tendis que derrière son dos, ses mains tremblaient.
Lentement, la femme se pinçât les lèvres et, d'une voix légèrement étouffée, elle vint à souffler ses ordre à Minerva.

« Sort de cette pièce… Et Alerte la garde… »
« Je… Je peu pas… Je… ha.. Je suis tétanisée... »
 Grizelda vint alors à prendre une forte inspiration puis… Lentement… Elle réitéra son ordre, avec cependant un chouilla plus de précisions.

« Tu… Tu sais tout aussi bien que moi ce qui est entrain de ce passer Minerva… Alors bordel de merde… Vas… Cherchez… La garde. »
« Je peut pas put... »

Sur le sol, plusieurs dizaines de goutte noirâtres ce mirent à chuter, tendis que dans l'assistance, composée des trois subordonnées de liddell, d'une servantes et du sylvandin, un fort malaise était entrain de ce former…
Sur le lit… Liddell fixait toujours le Sylvandin dans les yeux, tendis qu'autour d'elle, une légère aura noire/violacée vint à ce mettre en place. Ses yeux, habituellement bleu s’opacifièrent pour devenir blancs/rouge, son teint déjà pale virât au blanc/gris, ses lèvres ce maculèrent d'un rouge sang des plus macabre tout en ce marquant de cicatrices et ses cheveux virèrent au blond platine.

« Je… N'est pas… Très bien… Entendus. » Lâchât elle alors d'une voix sifflante, comme celle de chess, mais au féminin.
« Et toi Mein… Herz… Tu as entendue quelque chose ? »

En disant cela, Liddell vint a tourner la tête vers son épouse, affichant alors de nouveau un large sourire, offrant ainsi à ladite épouse, une vus imprenable sur ses dents à présent devenue pointues. Alice korvander, elle, ne fit rien d'autre qu'écarquiller les yeux, entrouvrant faiblement sa bouche face à cette vision d'horreur.

« Que... »

Liddell n'en dit pas plus et ce remit ensuite à regarder le Sylvandin à l'origine de son réveil, tendis que dans la pièce, l'atmosphère suintante et acre ce renforçait de plus en plus.

« Je… Ne… Tolère pas… celaaAaAAaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!! »
« RETENAIT LA ! » s'exlaclamat alors Grizelda en bondissant sur Liddell avec Minerva, les deux femmes plaquant alors cette dernière sur le lit.

« Marta, emmene l'impératrice en lieux sur !!! MAINTENANT !!! ET VOUS LA, TIREZ VOUS !!!!! »

Liddell ne cessait de remuer, de vociférer et hurler sa colère, tendis que, sous les ordre de la Générale, Marta vint a prendre avec elle la jeune impératrice avant de sortir de la pièce à toute allure.

« Putain… Il ne faut surtout pas qu'elle soit en contacte avec le sang ! »

Ce qui était entrain d'arriver à Liddell, même Grizelda ne s'y était pas attendus, certes, elle   savait qu'une telle nouvelle l’aurais mise en rage mais là… Là la situation était bien plus grave qu'une simple « colère », Liddell était carrément entrain de faire une « crise ». Dans cette état, il était primordiale de la stopper et de l'immobiliser afin qu'elle ne puisse pas aller déverser sa colère sur des servantes ou autres car, plus Liddell tue dans cette état, plus elle devient folle et plus elle devient folle, plus le monde autour d'elle ce distord et ce transforme. C'est en ça que Liddell était effrayante… Dans cette état, Liddell devenait une sorte « d'Avatar »  de sa propre démence, une démence la rendant capable de créer des hallucination et des malaises, mais aussi était elle capable de transformer son environnement en une version altérée de ce dernier.  

« LAISSEZ MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAHAAHHHAHAHAHAHAHAHHAHA !!!!!!! » Hurlât elle alors en redoublant d'effort, explosant alors les vitres de sa terrasses, vitre qui laissèrent alors entrer une forte bourrasque de vent.

« LAISSEZ MOuAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!! »

Au son de ce hurlement, un énorme éclair vint alors fendre le ciel jaunit et ténébreux.

« Mi… Minerva !!! Vas chercher la camisole et la muselière en galium ! Je vais le retenir ! »
« J-Ja ! »

Sur ce, La Doktor s'en allât chercher lesdits objets à toute allures, laissant alors la Général en tête a tête avec Liddell.

« Mein Liebevolle Führerine, mein herz, mein… Haaan ! » « Je.. Je vous en conjure, calmer vous ! Je... »
Grizelda peinait face à la force déployée par Liddell, bien que cette dernière ne soit pas encore au-delà de ses limites.

"Laisse moi ! Je veux aller tuer ! Je veux tuer ! Je veux dévorer les entrailles rougeoyantes de ce pourceau ! Je veux sentir son sang et sa bile gicler dans ma bouche, croquer a pleine dents dans ses globes oculaires, lui arracher la langue et me repaître des ses boyaux gluants et chauds ! J'enfoncerais mes ongles dans ses burne en lui arrachant la trachée et les corde vocal avec ma bouche ! Puis je danserait sur son cadavre au son de sa cage thoracique qui ce disloque et qui se brise, et je jouirais en entendant le bruit de son crane exploser sous mes petits petons mignons tout ronds !!! AAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!

La voix de Liddell était forte et perçante, comme décuplée par sa folie et Grizelda ne doutait pas une seconde que la jeune épouse impériale de la Führerine avait entendue ce cris de rage tonitruant.

J'AI … SOIF… DE SAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNG !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

ET VLAM ! Cette fois ci, ce fut trois éclairs qui vinrent à lézarder le ciel, éclairant le visage monstrueux de Liddell rendue hideux par la matérialisation de sa folie. Toutefois, cela n'était qu'une « illusion magique », une transformation temporaire que Grizelda espérait voir disparaître… Comme ça c'était déjà produit une fois.

« Je vous en supplie mein Führerin, contrôlez vous...CONTROLEZ VOUS !!!!!»

La situation était certes critique, mais cet état avait fort heureusement tendance a vider la reine de ses ressources, la fatiguant grandement si elle n'était pas « alimenter ». Par conséquent, une fois retenue, Liddell finirait par redevenir « normal ». Le plus important était là de l’empêcher de tuer des gens.


Ce à quoi liddell ressemble
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
[HRP] Voilà pourquoi énerver Liddell peut être une chose... Heum... Désastreuse :) She's not mad... She is the Madness !
« Modifié: vendredi 07 août 2015, 18:57:35 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 38 vendredi 07 août 2015, 23:29:19

« Ils se sont révoltés ». L’esprit d’Alice avait bloqué à cette phrase, et le reste lui arrivait comme venant de très loin, derrière un lointain brouillard voilé. « Ils se sont révoltés ». Les Dragons de Sylvandell... Le Dragon d’Or, le Patriarche, et les centaines de dragons composant la terrifiante colonie de dragons de Sylvandell. Le Patriarche, celui qui avait béni Alice, avait choisi de se retourner contre les Korvander, de se tourner contre elle, de se tourner contre son héritage. Alice savait que le Patriarche n’avait accepté de se lier avec Erwan Korvander que dans la mesure où ce dernier assurerait la défense de l’Ordre face au Chaos. Dès lors, comment interpréter la trahison du Patriarche ? Alice sentait son cœur fondre, en imaginant les hurlements de son peuple... Et, surtout, en sentant le goût amer de la trahison fondre dans sa bouche, se répandant dans son gorge. Pourquoi ? Pourquoi ?! Pourquoi, alors qu’elle avait enfin réussi à conquérir le monde, est-ce que le Patriarche s’était retourné contre elle ? Il ne devait plus rien rester de Sylvandell à l’heure actuelle... Rien d’autre que des ruines, et les dragons, eux, se déplaçaient vite. Le temps que le messager vienne jusqu’ici, les dragons avaient eu au moins cinq fois l’occasion de faire le tour du monde. Une cohorte de plusieurs centaines de dragons déferlant au même moment pouvaient faire des milliers de kilomètres de ravage... Et ils n’avaient pas dû rester à Sylvandell bien longtemps. « Ils se sont révoltés ». Non, c’était une blague, c’est ça, une mauvaise farce... Ça ne pouvait être qu’une mauvaise farce, une blague sinistre et cruelle.

*Pourquoi se révolteraient-ils, alors que j’ai apporté la paix dans le monde entier ? Ça n’a aucun sens !*

Ça n’en avait aucun, en effet... Et, alors qu’elle continuait à rester dans son monde, sa bien-aimée choisit de faire une crise mystique. Alice sentit la couverture vibrer, puis tourna la tête, hébétée, en voyant le visage de Liddel changer, devenir... Horrible, atroce. Une sorte de sinistre gobelin grimaçant venait de prendre la place du doux visage de sa chérie, et Alice sursauta, puis glissa hors du lit, tombant sur les fesses, tandis que les éléments semblaient se déchaîner dehors.

Liddell se mit alors à hurler, d’une voix qui fit saigner les tympans d’Alice. Elle se boucha les oreilles en se tortillant, serrant les lèvres, ne comprenant rien à ce qui se passait. Sa femme était en train de péter les plombs, et une intense magie noire était en train de se répandre, assombrissant la lumière venue de l’extérieur. Des nuages sombres se dressaient au-dessus d’Herzeleid, tandis que des éclairs sinistres s’abattirent sur le palais.

« A-Alice, mais que... ?! »

L’Impératrice s’était relevée, médusée, et tendit sa main vers son amour... Quand un garde l’attrapa par le poignet, et l’écarta.

« Ne restez pas par là, Majesté, c’est dangereux !
 -  Mais... Lâchez-moi, c’est ma femme !
 -  Majesté, je ne puis... »

Une violente explosion fit soudain trembler tout le palais. Les murs, le sol, le plafond... Pendant quelques secondes, tout se mit à vibrer, et Alice s’appuya contre le mur.

*Bon sang, mais qu’est-ce qui se passe encore ?!*

La réponse à cette silencieuse question vint en regardant la grande fenêtre. Alice s’y précipité, et ouvrit les portes de la fenêtre, débarquant sur le balcon... Et vit.

Elle vit le feu.

Elle le vit au moment où une ombre colossale la recouvrit, accompagnée d’un rugissement tonitruant.

« RRRRRRRRRRRRRRRRRROOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRR !!! »

Ensuite, elle vit la gorge du dragon s’illuminer, puis un rayon doré, incandescent, jaillit de sa gueule, et frappa toute une rangée d’immeubles, comme si un canon solaire venait de s’abattre. Tous les immeubles explosèrent alors, laissant de hautes flammes qui dansaient dans le ciel. Les mains d’Alice se crispèrent contre le balcon, alors que d’autres dragons apparurent dans son champ de vision, soufflant sur la ville. L’explosion qui avait fait trembler tout le palais venait de derrière, quand les dragons avaient soufflé sur les usines pétrochimiques, faisant exploser les immenses réservoirs d’essence. Les murs d’enceinte et les défenses extérieures n’avaient rien pu faire, et plusieurs miradors brûlaient, comme un sinistre témoignage de l’attaque des massifs dragons dorés.

Et, alors qu’Alice voyait la ville en feu, un ultime hurlement retentit, venant du ciel noirci. Elle leva la tête, et écarquilla les yeux en voyant les nuages noirs se fendre. Elles laissèrent passage à d’énormes boules de feu, comme si des astéroïdes étaient en train de tomber. Les météores s’abattirent violemment dans la région, et, au milieu de ces dernières, elle vit un dragon doré immense, magistral, et le reconnut...

Léviathan, le fils du Patriarche. Le dragon que Tywill Korvander avait chevauché.

Il fondait droit vers le palais, et se posa violemment sur son toit, juste au-dessus d’elle. Il se retourna alors, et la regarda. Plusieurs gardes approchèrent alors, et levèrent leurs pistolets vers le dragon... Qui se contenta de souffler. Alice ferma les yeux, et les flammes l’enveloppèrent, vaporisèrent les deux gardes qui poussèrent des hurlements d’agonie. Leur peau se disloqua en quelques secondes, ne laissant plus que des squelettes enflammés.

« POURQUOI ?! clama-t-elle.
 -  Tu... As... Trahi ! Le pacte est rompu ! »

Léviathan s’envola alors en rugissant, et Alice vit une boule de feu fondre droit vers le balcon.

La boule de feu heurta la vitre, et provoqua une violente explosion. Dans de terribles craquements, le balcon se remplit, et, en hurlant, la Princesse sentit la gravité l’appeler à elle. Le souffle de l’explosion se répandit dans la chambre à coucher, envoyant des bris de verre dans tous les coins, renversant le lit, qui se brisa en mille morceaux. Quant à Alice... Et bien, celle qui fut Princesse de Sylvandell tomba en contrebas, au milieu des éboulis.

Et les dragons rugirent.

Et tous virent le feu.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 39 samedi 08 août 2015, 23:38:33

Vite… Tout avait était incommensurablement vite… Maintenant, Grizelda était là, contre le sol de la chambre de Liddell, les oreille abasourdie par l'explosion, tendis que dans le ciel sombre et jaunie par la démence de la Fürherin.

« La Führerin… Merde ! »

Tout en ce tenant au mur, une main sur le front, Grizelda tacha de relever… Et alors qu'elle reprit lentement ses esprit… Ses yeux aperçue Liddell au bord du gouffre… Les cheveux au vent, contemplant la scène effroyable de sa ville entrain d'être mise à sac et de laquelle des Hurlements s'échapper. La scène aurait presque une quelque chose de beaux, si elle n'avait pas était aussi monstrueuse… Le ciel sombre, les nuages, les éclairs, les dragons, les flammes… Et la souffrance… énormément de souffrance.
A quelle moment Grizelda avait prit conscience de ce qui était entrain de ce passait exactement ? Ça, même elle ne serait le dire… Mais une chose est sur… Ce qu'aller lui offrir Liddell, dépasser de loin tout ce que Marten avait dit sur les possibles pouvoirs de Liddell, ce secret que personne n'avait jamais révélé à Alice Korvander… Il allait enfin exploser sous ses yeux.

« Abreuve moi… Mon peuple... » Soufflât alors liddell en s'approchant du vide, les bras ouvert, le sourire au bout de ses lèvres mutilées et les yeux vides… Avec face à elle, les flammes et la discorde et surtout… Le chaos… Le chaos partout ou son regard ce posait.. L'odeur des chair calcinées, de la poudre, du feu, de la mort. A son approche, les éclairs devinrent plus virulent encore, déchirant le ciel avec rage et puissance.

ABREUVE MOI, MON PEUPLE !!!!!

Le Tonnerre gronda fortement… Puis… Ce fut la pluie qui vint à tomber… Une pluie noire. Liddell était entrain d'absorber la souffrance de sa nation, de dévorer le chaos ambiant… Ce n'était pas le sang qui la nourrissait… Mais la souffrance et le chaos.

IhihihhiiiihihihihhahaahahahahahHAHAHAHAHAAHHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAAHAHAHHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAHAHAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

L'air d'Herzeleid était entrain de s’emplir d'une puanteur acre, comme quand on met du vinaigre et du sel dans un pot en cuivre oxydé, odeur qui ce mélangeait à celle du souffre, de la poudre et du sang… L'aura de Liddell s'intensifia et la pluie s'accentua.
La scène était presque surréaliste… Grizelda n'arrivait pas à croire que c'était liddell qui provoquer tout ce changement…

GRIZELDA !!!!!! s'exclamat alors minerva, accompagnée de Marten et de plusieurs gardes.

Et là, tout alla très vite… L'assemblé venait de faire irruption dans la chambre royal et alors que la Générale s’approchât de Minerva, Marten qui était en tête du groupe, vint à parler.

Führerin ! Tonnat il alors afin d’interpeller liddell qui vint alors à lentement ce tourner vers le mage avec toujours le même visage hideux.

HoOoOOow Marten… Ne me prend pas pour une entité de pacotille... Ne fait pas l'erreur de sous estimer ma puissance ! Ou je te briserais les os un à un avant de me repaître sur ton cadavre de vieux fou !!!
« Chess… Laisse là… Immédiatement ou je ferai usage de tout ce qui est en mon pouvoir pour te stopper. »

Un léger silence plana puis…

ihi… ihihhhahahaahhHHAHAHAHAHAHAAHAHAHAAHAHAAAAAA !!!!
suite à ce rire… Liddell ce mit alors a lentement avancer vers le mage, le regard mauvais et les mains crispées. Tendis qu'un liquide noir et poisseux vint a dégouliner le long des murs.

Marten... À qui croit tu parler comme ça !!!? A QUI !? A une animal ? A une gamine !? JE SUIS LA FOLIE INCARNÉE MARTEN !!!! TU ENTEND !!! LA FOLIE !!!!!!! RIEN EN CE MONDE NE M’ÉCHAPPE !!! TU ENTEND, RIEN !!! RIIIEEEEEEEEEEEEN !!!

En hurlant, Liddell libéra alors une puissante onde de choc que le mage parât de justesse avec un puissant bouclier magique.

« Il est encore possible de la stopper ? » demandât alors grizelda au mage.
« Je pense… Mais il faut faire vite, elle est entrain de s'alimenter avec la souffrance causée par l'attaque des dragons. »
« Minerva… Prépare toi a lui administrer des sédatif et vous là, dés qu'elle est immobile et en signe de faiblesse, sauter lui dessus et mettait la camisole et la muselière. »

« Ihihihi… Grizeldaaaa… Tu as toujours était une noble est fière seconde… Pourquoi diable ne me rejoins tu pas ? »
« Tu n'est pas ma reine, Chess… Tu n'est qu'un fragment d..UN FRAGMENT DE SON AME ??!!!! C'EST CA GRIZELDA ??!!! NAN… JE... SUIS... LIDDELL !!!!!!!!!!!!!! SANS MOI ELLE NE SERAIT RIEN DE PLUS QU'UNE AME MORTE AU FOND D'UN GOUFFRE !!! ELLE C'EST ABANDONNÉE A MOI !!! TU ENTEND SALE PUTE ! ELLE EST A MOOIIIIIIIII, CE MONDE EST A MOI !!!!! TU M'APPARTIENT AUTANT QUE TOUT ICI!!!!!!!!!!

la voix était forte et avec elle les murs en tremblait, les lumière vacillaient et petit à petit, certains Garde commençait à avoir à l'esprit de perturbante visions ainsi qu'une irrépressible envie de tuer, cependant, Marten n'était pas un faible mage et il s’estimait encore capable de retenir la puissance que la folie de liddell était entrain de libérer. Dans le ciel, les éclairs ce déchaînaient, certains tuant même des dragons sur le coup par inadvertances.

Autour de liddell, tout était entrain de ce distordre, créant de petite « fracture » dans un petit périmètre autour d'elle tendis que dans la pièces, plusieurs objets ce mirent à léviter. Tout herzeleid était maintenant surcharger d'une énergie maléfique et infâme, une lourdeur monstrueuse qui n'arranger rien mais qui cependant, avait semble t'il l'avantage de déstabiliser les dragons eux aussi.
Ce qu'était entrain de vivre Minerva, Grizelda et les autre dépasser l'entendement, Liddell cachait donc une telle puissance en elle ? Était ce là toute la force que ça folie sans borne lui octroyait ou bien devaient ils tous s'attendre à pire ?
Marten avait les mains devant lui, tentant tant bien que mal de contenir tous ce flux de démence. Un véritable combat était donc entrain de ce produire entre les deux protagonistes, un combat duquel une puissance magique hors normes s'échappait, faisant trembler les murs, le sol, amplifiant l'air ambiant tout en écrasant les autres protagonistes présents dans la pièces.

JE… NE… SERAIS… JAMAIS PLUS BRIDÉE, TU ENTEND !!?? JE VAIS RÉDUIRE CE MONDE EN CENDRE… JE VAIS REJOINDRE LES DEITEE DE LA DÉMENCE… LES RALLIÉES A MOI ET METTRE FEU A CE MONDE AAAAAAAAHAHAHAHAAHAHAHAHAHHAHAHAHAHA !!!!! MAINTENANT… CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!


Ce hurlement eu pour lui d'envoyer voler contre le mur du couloir Minerva, Grizelda est les gardes, ne laissant alors plus que Liddell est Marten, l'un face à l'autre. Marten n'était peut être pas le plus sage, ni le plus pur des coeur, mais face à Liddell sous « hystérie » n'importe qui ferait office d'enfant de coeur. Il n'était plus la question d'une simple démence mais de la Démence, avec un grand D, une démence noire, sinistre, désintégratrice et malsaine, à mille lieux de celle de Mania et de ses filles, Il s'agissait non pas de la folie « générale » mais d'une psychose propre à Liddell qui avait mutée pour devenir la source d'une puissance incommensurable et mortelle.

Marten ce tenait donc face à Liddell… La femme d'alice korvander et impératrice du monde avec elle… Oui… mais…

*Je n'ais plus le choix… Plus j’attends… Plus elle engrange de puissance »

L'attaque des dragons n'avait pas put plus mal tomber… Alors qu'en temps normal retenir liddell et l'enfermer aurais suffit, voilà que là, dans cette situation abominable, la jeune femme devenait un atome de destruction à l'était pur ! Autour d'elle, on pouvait sentir toute la noirceur exploser, d’énorme bubons  gorgés de sang noire et putride vinrent a pousser ici et là, éclatant en libérant une puanteur acre. Les mirent ce couvrant quand à eux d'énorme fissures desquelles des cafards noirs s’échappèrent en même tend que d'horrible traînée de pue.

Marten, à contre-coeur, prit alors un grande inspiration, avant de faire usage d'un puissance sort de foudre contre Liddell, des arc électriques bleu ce mettant alors a sortir de ses doigt. Mais cette dernière n'était pas sans défense et, en contrepartie, elle vint à invoquer la foudre jaunâtre et noire qui était entrain de s'abattre dehors, créant alors plusieurs énormes arcs électrique jaune et noire qui passèrent par le trou du balcon, contournant liddell avant de s'écraser contre le sort de marten.
« QUE FAIT TU MARTEN !? HEIN !? »
« JE TENTE DE T'ARRETER CHESS !!! »
« M'ARRETER !? AAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAA MAIS POUR QUI TE PREND TU, PETIT CLOPORTE !!! TU N'A PAS LE QUART DE LA PUISSANCE QUE JE DÉPLOIE !!! TOUT CE CHAOS M'ALIMENTE !!! RIEN… NE… M’ARRÊTERA !!!!! »

là, la puissance de liddell vint alors a augmenter d'un coup, réduisant progressivement les arc électriques de Marten. Lentement, Liddell ce mit alors à avancer vers le mage, avec toujours le même sinitre sourire et tout ça, sous le regard médusée de Minerva, Grizelda et des quelque hommes encore conscient, à terre, totalement écrasées par la puissance des deux êtres.

JE… N'AI… PAS DE MAITRE... RIEN NE ME DOMINE… RIEN NE ME CONTRÔLE CAR VOIS TU… JE SUIS LA FOLIE.

Et là...au moment même où liddell aller donner le coup de grace à un Marten en difficulté, deux énormes boule de feus éxplosèrent. L'un contre le mur extérieur de la chambre et l'autre à l'entrée du trou ou ce trouvait avant le balcon. Cela eu alors pour effet de déstabiliser liddell l 'espace d'une seconde… Mais cette infime seconde suffit a Marten pour redoubler d'effort et envoyer dans l'abdomen de l'impératrice un puissante charge éléctrique qui l'envoya contre le plafond avant qu'elle ne chute lourdement au sol.   

« Mi.. DEPECHEZ VOUS ! »

L'homme était éreinté et totalement épuisé. Cet ainsi que sous les ordres de l'homme, Grizelda, minerva et les garde restant accoururent vers Liddell. Cette dernière était légèrement sonnée mais au moment où la troupe de gardes vinrent à elle, la jeune reine recommençait à légèrement bouger. Marten, bien qu'a genoux et en sueur, utilisa cependant le reste de son énergie pour maintenir liddell en place, le temps que Minerva lui administre huit doses du plus puissant sédatif qu'herzeleid pouvait concevoir et que grizelda et ses hommes lui la camisole et la muselière en galium.
Dehors… Alors que petit à petit les événements « météorologiques » vinrent à s'étioler… Les dragons , venu seulement apporter un « message » partirent eux aussi, laissant une ville quasiment en ruine.



Marta, qui avait chutée avec l'impératrice durant l'attaque des dragons, avait protégée cette dernière, l'emmenant ensuite dans le lieux le plus sur de tout Herzeleid : les labos. Même ci, de là-bas, le bruit et les vibrations provenant de la chambre impériale avait était aussi particulièrement bien ressentit.
« Modifié: samedi 08 août 2015, 23:48:32 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Forever Evil [PV]

Réponse 40 lundi 10 août 2015, 01:54:41

La première chose qu’Alice ressentit en revenant dans le monde des vivants fut le froid provoqué par les courants d’air. Ensuite, ce fut le sifflement du vent. Elle était visiblement à un endroit très élevé, étalée sur de la pierre. La mémoire lui revenait peu à peu... Sa nuit avec Liddell, puis ce réveil terrible... Est-ce que c’était un cauchemar ? Sylvandell ne pouvait pas réellement être détruite, n’est-ce pas ? Et sa femme qui était entrée dans une transe incroyable ? Non, c’était impossible... Alice se refusait à y croire. Oui, tout ça était un rêve, alors, tout ce qu’elle avait à faire était de dormir, et d’attendre de se réveiller. Et puis, quand elle se réveillerait, un beau soleil régnerait sur Herzeleid, sa femme ne serait pas la malade mentale qu’elle avait vue, et Sylvandell ne serait pas en flammes. L’Empire de Terra serait toujours uni et fort, et les dragons d’Or ne se seraient jamais révoltés. Non, elle n’avait pas vraiment vu le canon solaire jaillir de la gueule de ce dragon, faisant fondre des immeubles en béton et en acier comme s’il s’agissait de simples châteaux de cartes. Un rêve, rien qu’un rêve, un cauchemar horrible...

*Rendors-toi, rendors-toi...*

Et puis, comme si on lisait dans ses pensées, elle entendit des bruits de pas, suivie d’une voix forte et mélodieuse, une voix qui lui rappela de sinistres souvenirs :

« Relevez-vous, vous avez assez dormi ! »

Alice cligna alors des yeux, et entendit alors des dragons rugir au loin.

*Les dragons...*

Elle se releva alors, et vit les jambes d’un homme, puis son torse, et son visage, avec de longues oreilles pointues.

*Non, impossible, il est mort, je l’ai vu mourir !*

L’Omniprêtre ?! Puis elle vit le visage de cet elfe. Il était sévère, mais ce n’était pas l’Omniprêtre. Bras croisés, l’elfe la regardait, tandis que, autour d’eux, des dragons bougeaient et rugissaient.

« Je suis l’un des derniers prêtres de Batrok. Celui que vous avez appelé Omniprêtre fut jadis mon mentor, et j’étais son disciple. C’est ici, à Sylvandell, qu’il m’a formé, avant que les humains n’arrivent.
 -  Syl... Sylvandell ?! »

Alice se releva à nouveau, la bouche entrouverte, et reconnut effectivement les montagnes de Sylvandell... Sa terre natale, son peuple... Mais, quand elle tourna la tête, elle sentit son cœur fondre en voyant, au loin, des flammes rouges. L’emplacement du royaume. Il brûlait vraiment, et, de temps en temps, les dragons, qui s’agglutinaient autour, soufflaient dessus. Cette vision serra le cœur de l’Impératrice, qui ferma les yeux en retenant ses larmes.

« Pour... Pourquoi ? » réussit-elle finalement à demander.

L’elfe haussa les épaules.

« Il n’y a que les humains qui posent des questions dont ils connaissent déjà les réponses. Pendant un temps, les dragons ont toléré vos agissements, car ils ont permis d’instaurer la paix, et de mettre fin au conflit entre Ashnard et Nexus.
 -  Je n’ai toujours agi que pour le bien de Sylvandell ! vociféra Alice.
 -  Vous vous êtes alliée avec les ennemis ancestraux de Batrok. »

Batrok... C’était un Dieu, le Dieu des dragons, et le Patriarche était l’un de ses disciples. Un Dieu de l’Ordre, connu pour avoir repoussé les vagues du Chaos, à des époques ancestrales.

« Je... Je ne comprends pas...
 -  Votre femme est corrompue par le Chaos... De la tête aux pieds. L’Empire que vous avez créé est une immense construction dédiée à l’honneur du Chaos.
 -  Non... Non, c’est impossible !
 -  Partout, le Chaos se répand. Après votre départ, les Sylvandins sont devenus impies. Et, partout, les temples et les sanctuaires dédiés au Chaos se multiplient. Vous l’avez vu vous-même ce matin... »

L’Impératrice secoua la tête, voulant se persuader que tout cela était faux. Alice l’aimait... Oui, elle l’aimait. De cela, Alice était sûre, mais elle ne pouvait pas nier ce qu’elle avait vue...

« Elle m’aime, lâcha-t-elle. Elle m’aime, et... Je peux la guérir. »

Face à cette répartie, le prêtre poussa un soupir de dédain.

« Vous, la guérir ?! Vous ne comprenez pas, Majesté... La Corruption gronde aussi en vous. Et il n’y a pas trente-six solutions d’éradiquer le Chaos. Le Patriarche a à faire à une nouvelle menace, comme ce fut le cas jadis, quand Batrok se dressa contre les hordes infernales du Chaos, et détruisit leurs Portails avec son souffle légendaire. Erwan Korvander s’est allié avec le Patriarche sur la conviction que, les humains étant les plus sensibles à faillir, il fallait des humains pour les protéger contre le Chaos... Mais le Chaos vous a eue, Majesté. Vous avez fait confiance dans les mauvaises personnes, en particulier ce Marten, qui...
 -  Marten est un mage infiniment meilleur que vous et toute votre clique de prêtres hypocrites ! Vous avez tué des innocents là-bas ! fit-elle en pointant son doigt vers les flammes. Des enfants, des bébés !
 -  C’est pour ça que nous avons tant hésité avant d’agir, répliqua-t-il. Mais, pour tout vous dire, à chaque jour qui passe, il y a en moyenne des milliers de personnes qui meurent dans ce monde. Que ce soit là-bas, à Herzeleid, où vous et votre femme vous amusez tant à torturer votre peuple ; que ce soit là-bas, à Nexus, où des milliers de Nexusiens vivent comme des miséreux dans des taudis ; ou encore là-bas, au loin d’Ashnard, où votre mage tant aimé envoie des cohortes d’esclaves dans les Malterres de la Discorde. Le Chaos gouverne tout votre Empire, Majesté. Et, même s’il est sans doute trop tard pour le vaincre cette fois, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir. »

Alice serra les dents, et se rua alors vers le prêtre, bien décidée à le pousser dans le vide... Mais il y eut alors un cliquetis métallique à hauteur de sa cheville droite, et elle s’affala sur le sol. Une chaîne, plantée dans le sol.

« Vous allez mourir ici, Majesté. Mourir sur ce rocher minuscule...
 -  Allez au Diable ! Je vous retrouverais, et je vous étriperais ! Et je tuerais quiconque s’opposera à moi ! À moi et à mon amour ! Vous entendez ?! Je vous tuerais !! »

Elle lui cracha dessus, furieuse. Un observateur extérieur, quelqu’un qui n’aurait pas la même hargne qu’Alice, aurait pu remarquer passer, dans les yeux du prêtre, un soupçon de tristesse... Puis il se retourna, et sauta dans le vide, où un dragon le réceptionna en rugissant, avant de s’envoler dans le ciel noirci.

« ALLEZ MOURIR !! » hurla Alice dans le ciel, en vain.

Elle refusait d’entendre un autre de ces mensonges ! Marten l’avait sauvé des griffes d’Emhyr, Marten l’avait aidé... Son Empire, dédié au Chaos ?C ‘était faux... Ce n’était qu’une étape intermédiaire. Le Chaos, c’était eux qui l’apportaient. Eux, ces maudits dragons en qui sa famille avait eu tant confiance. La vérité s’imposa en elle avec la force de l’évidence la plus sûre.

*Nous étions des esclaves leur graissant leurs griffes... Et ils ne veulent pas voir leurs jouets leur échapper.*

C’était ça... Ça ne pouvait être que ça !


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