Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Inuko Sora / Sathael Ishnah

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Re : S.O.S. [Mélinda]

Réponse 30 jeudi 04 décembre 2014, 21:18:56

Ah Bran, ce Bran, un vrai petit sauvageon sous ses airs de monsieur muscles soumis et bien élevé. Honnêtement j'ai toujours aimé les coïts brutaux et passionnés, la douceur je la réserve pour mes mères et, un jour, pour les personnes que j'aimerais. Bran n'est ni l'un, ni l'autre, c'est juste un bel homme dont j'ai envie maintenant, rien de plus. Rapidement il agrippa mes hanches pour me pénétrer brutalement, j'ai senti ses cuisses s'écraser contre mes fesses et son vît remplir mon vagin en s'y engouffrant en entier. Oh oui mon petit sauvageon, ne te retient surtout pas, fait toi plaisir. Je te l'ai dis, mon corps est fait pour ça, il est conçu pour le sexe, pour combler n'importe quel besoin, y compris les tiens mon héro. Ce n'était rien comparé aux sévices que j'avais enduré pendant ma captivité. J'ai été enchaînée comme une bête, violée à longueur de journées, parfois avec d'énormes godes qui me donnaient l'impression que mon ventre allait se déchirer de l'intérieur. Les vampires de Zahar me prenaient mon sang trop souvent, à cause de ça ma croissance a été altérée, si bien que je suis plutôt faible pour mon âge. Mais ce que j'ai perdu en magie je l'ai regagné en pouvoirs mentaux et en endurance. Mon corps se régénère plus vite grâce à toutes ces tortures, mon esprit est plus fort, plus solide, mes réserves de sang se reconstituent beaucoup plus vite que celles d'un humain. Même si Bran me mord lui-aussi, il ne me faudra que quelques jours pour tout récupérer, contre plusieurs mois pour un être humain. C'est pour cela que les vampires aiment tant les succubes, un sang délicieux et aphrodisiaque, disponible en abondance pour qui d'entre-eux possède quelques succubes à mordre à tour de rôle. Les vampires et les succubes sont deux races qui s'accordent horriblement bien, comme si elles avaient été conçues l'une pour l'autre.

Les griffes du vampire s'enfoncent dans mes hanches, m'arrachant un cri. Ouh, le vilain ! Ces vampires, je parie que c'est pour sentir l'odeur de mon sang qui commence à couler à cause de lui. Tu en veux aussi n'est-ce pas ? Mes veines t'excitent autant que mon corps hein ? Tu veux planter tes canines dedans et y goûter. Avec grand plaisir mon beau, j'adore voir dans quel état vous met ce sang, je trouve cela très flatteur de voir qu'un fluide issu de mon corps vous fait un tel effet. Sous moi je sens la table bouger après chaque coup de rein, c'est qu'il n'y va pas de main morte l'animal. Ça n'a strictement rien à voir avec Solène qui y allait pourtant à fond, il est plus massif, plus lourd, ses muscles sont beaucoup plus puissants. Ses griffes ont entaillé ma chair, descendant jusqu'au haut de mes cuisses pour me ceinturer encore plus efficacement, laissant mon sang couler sur les côtés.

"AAAAAAH !!!"

Ça fait mal, ça fait mal mais, sa bite est tellement bonne à côté que je pourrais tout lui pardonner. Je ne m'en étais même pas rendue compte avant mais, je mouille comme une petite folle. Ma cyprine coule sur la table, puis sur le sol et également le long des jambes de Bran, je suis en train d'en foutre partout. Bouche grande ouverte, langue sortie, je halète comme une petite chienne tandis que la langue de Mélinda vient s'occuper de mes tétons qui pointent vers le plafond. Mes mains se cramponnent à la table, si je la lâche cette brute pourrait m'envoyer par terre sans le faire exprès. Mélinda prend plaisir à me provoquer. Elle sait parfaitement que je suis une succube et qu'il nous faut beaucoup plus que ça pour nous fatiguer. Notre corps est conçu et optimisé pour le sexe, la séduction, les jeux pervers, y compris les plus extrêmes. Il faudrait que Bran me baisse comme ça toute la journée pour me fatiguer et encore, si je ne me nourri pas entre-temps.

"Haaan … Au lieu d- AAAAAH ! De dire … HUUUUUM !!! D'AAAAH … Haaan … BRAAAAN ! Oh zut ! Gnaaaaaaah !"

Bon, inutile d'essayer de parler là, je voulais dire à Mélinda qu'au lieu de sortir des conneries elle pouvait venir glisser son adorable petite bite entre mes seins pour se masturber. Mais plutôt qu'un long discours je lâche la table d'une main pour aller agripper le pénis de la vampire, le serrant et tirant dessus sans me soucier d'autre chose que de l'attirer à moi. Je la force à suivre le mouvement, jusqu'à ce qu'elle me chevauche, puis je glisse sa bite entre mes seins avant de l'enfermer entre mes deux globes de chair. Je lâche mon autre main, et comme prévu les coups de reins du vampire me ballotte comme si je ne pesais rien, même avec Mélinda sur moi. Pour rectifier le tir, ce dernier se cramponne davantage à mes cuisses, enfonçant encore plus profondément ses griffes dedans, je crie à nouveau. Je compresse la verge de la vampire entre mes seins et je commence à la masturber énergiquement avec. Quelque chose me dit que voir ma poitrine et mon visage recouvert de sa semence devrait beaucoup lui plaire. Tout comme je prends plaisir à voir son visage et ses cheveux toujours imbibés de ma mouille. Du bout de ma langue je viens lécher son gland, histoire de la stimuler encore plus. Je la regarde droit dans les yeux, le regard avide et vif, je m'amuse bien et j'en veux encore plus, toujours plus.


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Re : S.O.S. [Mélinda]

Réponse 31 samedi 06 décembre 2014, 02:27:28

Bran était un homme massif. Coucher avec une Futanari n’était pas forcément quelque chose de doux ou de tendre, et Inuko avait pu en faire les frais tantôt avec Solène. Seulement, Solène ne pouvait pas lutter contre des données biologiques évidentes. Bran était bien plus musclé qu’elle, et, ce faisant, coucher avec lui était logiquement plus intense que de se faire prendre par une Futa’… Sauf à supposer que la Futa’ soit un monstre bodybuildé avec des pectoraux énormes, mais, auquel cas, on pouvait se demander si elle était vraiment très reluisante. Dans tous les cas, Bran s’enfonçait lourdement dans le corps de la femme, défonçant l’intimité de cette petite succube. Elle avait joué avec le feu, elle avait attisé sa passion, assoiffé son désir, et ce dernier était en train de se lâcher. Il la prenait violemment, avec une passion redoutable. La table rebondissait, ses griffes s’enfonçaient dans sa chair, non seulement sous l’effet de la passion, mais aussi pour mieux ressentir ce sang enivrant. Le liquide carmin de la succube se mit ainsi à pointer le long des doigts du beau diable, qui continua à la baiser, longuement, profondément, grognant, serrant les dents. C’était une succube, un corps naturellement conçu pour le sexe et pour les coïts, ce qu’il sentait très bien en la pénétrant. Le corps d’Inuko répondait au sien, et glissait le long de la table. Incapable de repousser les vagues irrépressibles de plaisir, elle hurlait, n’arrivant plus à parler, crachant parfois un peu de sa salive.

Mélinda, elle, attisait légèrement ce feu, mais comprit bien vite qu’Inuko en voulait plus, plus que de simples baisers et mordillements sur ses seins. Sa main, après une navrante tentative de discussion, se dirigea d’elle-même vers la verge de Mélinda, et la saisit fermement.

« Ugh ! » couina Mélinda.

La petite vampire fut traînée en avant, heurta le corps chaud et tender de son amante, puis souleva l’une de ses pattes, s’appuya sur ses épaules, et, tant bien que mal, réussit à se mettre à califourchon sur elle, son sexe glissant entre ses seins. Inuko était en train de se lancer dans un show endiablé avec le couple Warren. Autant dire qu’il fallait avoir les reins solides, même pour une succube ! Bran était un amant endurci, dans tous les sens du terme. Il subissait les perversions lubriques et parfois cruelles de sa petite sœur depuis des siècles, et en avait retiré une grande expérience. Il était l’un des grands fantasmes du harem, et Mélinda ne comptait plus le nombre de ses filles qui adoraient être surprises en plein nuit pour le redoutable amant vampirique, qui se glissait dans leur lit pour les violer dans leur sommeil, et planter ensuite ses crocs dans leur gorge chaude. Elles s’endormaient parfois en ayant tout oublié, se réveillant épuisée, avec la sensation d’avoir eu un rêve torride… Ce qui avait pour effet, comme elles ne se souvenaient plus de leur ébat, de développer une dose de frustration donnant lieu à des scènes de sexe matinales, souvent avec leurs plus proches camarades. Entre les murs du manoir ou du harem, le sexe était conçu de manière très débridée, extrêmement libre. C’était un instrument permettant de rapprocher entre eux les différentes personnes qui avaient accepté de vivre sous l’égide de Mélinda, et de lui confier leur existence. Une lourde responsabilité à  laquelle, comme on pouvait le voir, Mélinda ne semblait pas trop crispée !

Sur la table, elle haletait et gémissait, remuant d’avant en arrière, offrant à Bran le plus magnifique des spectacle :s le ravissant dos de sa sœur bien-aimée, avec sa longue et parfaite chevelure, légèrement souillée Ils avait combien sa sœur affectionnait ses longs cheveux, passant parfois plusieurs heures avec ses coiffeuses, le matin, à bien les préparer. Elle avait une longue et magnifique chevelure bouclée, formant comme une longue cascade de cheveux bruns et bouclés. Un spectacle qui était tout simplement grandiose, et qui l’amenait à renforcer ses coups de pilon dans le corps de la petite salope qui se dandinait sous lui.

« Hunnn… Voilà ce qui… Hummm… Se passe… Quand… Haaa… »

Elle-même avait du mal à finir ses phrases. Ses joues étaient rouges, et ses gémissements remplissaient la grande pièce. La table remuait un peu moins, avec le poids supplémentaire rajouté par le corps agréable et élégant de Mélinda. Elle se déhanchait sur le corps de la femme, et posa ses mains sur ses épaules, enfonçant légèrement ses griffes dans sa peau, tout en sentant sa queue, ou, tout du moins, son extrémité, heurter le menton de la femme. Il remontait parfois sur ses lèvres, et Inuko entreprenait alors de le lécher.

Comprenant ce qu’elle voulait faire, Mélinda sourit, et agrippa les cheveux d’Inuko, puis tira sa tête vers elle, lui faisant probablement un peu mal… Mais ce n’était pas ça qui allait l’arrêter ! Elle souleva son visage d’une main, puis enfonça le bout de sa queue dans sa bouche, son bassin comprimant les seins de la femme, l’écrabouillant sous son poids.

« Là, salope… Hunnn… Suce bien, haaannn !! Suce, salope, allez !! Allez, sale pute, haaaannnnnnn !! »

L’état d’excitation de Mélinda venait avant tout de ces séances de sexe cumulées depuis que la succube s’était réveillée… Dire que la jeune femme avait initialement voulu s’enfuir. Maintenant, Mélinda était convaincue d’avoir trouvé une formatrice du cul, qui resterait volontiers auprès d’elle pour pouvoir coucher plus facilement avec toutes les femmes qui vivaient par ici… Ou pour l’aider à en trouver de nouvelles. Pour l’heure, seul comptait toutefois le plaisir, mais les deux vampires ne comptaient pas jouir si facilement. Il allait encore falloir qu’Inuko souffre et gémisse pendant de longues minutes avant que Mélinda ne daigne s’abandonner contre elle, ou que Bran ne se lâche.

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Inuko Sora / Sathael Ishnah

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Re : S.O.S. [Mélinda]

Réponse 32 lundi 08 décembre 2014, 15:31:50

Aaaah Mélinda, cette vampire, si les choses avaient été différentes elle aurait été une parfaite succube. Alors qu'elle vient tout juste de jouir dans ma bouche après une longue attente, elle en redemande déjà. Il aura suffi de la tirer un peu vers moi pour lui redonner envie de me jouir dessus. Cette petite beauté est une véritable insatiable et je ne risque pas de m'en plaindre, bien au contraire. Voir son adorable poitrine ballotter au gré de ses coups de reins entre mes seins est un spectacle qui m'enchante. Il n'a pas fallu la prier plus, quoi qu'elle aimerait sûrement, pour qu'elle m'agrippe les cheveux tout en me perforant les épaules de ses griffes. Ma gorge ainsi pliée vers l'avant, le poids de mon hôte sur le torse, le bout de sa queue entre mes lèvres, il devient difficile de respirer pour moi. La douleur infligée par leurs griffes, la brutalité de Bran, le manque d'air, la vision du corps nu de Mélinda juste sous mes yeux et l'intense plaisir formant un cocktail explosif de saveurs. Je sens le corps de Bran heurter mes fesses à répétition, ses vas et viens sont si brutaux qu'elles sont aussi rouges que s'il m'avait mis la fessée tout ce temps. Si brutaux que ma mouille coulant sur ses cuisses se retrouve éjectée sous la table et ressort de l'autre côté.

Sous l'effet de l'excitation la vampire m'appelle salope ou sale pute, je le prends comme un adorable compliment. Oui je suis sale, si j'en avais l'occasion je remplirais volontiers une grande baignoire du foutre de mes deux amants vampiriques pour m'y relaxer. J'aime cette délicieuse saleté, mon corps adore ça, sentir tout ce succulent foutre couler en moi et sur moi. J'aime le boire aussi, si on m'en offrait un grand verre j'y tremperais volontiers une tartine pour le goûter, avant d'engloutir le reste. Quant au qualificatif de pute, j'avoue que la prostitution a un côté excitant, il faudra que je m'y essaye un de ces soirs, juste par curiosité. Pourquoi pas au lycée tiens, quand je pourrais enfin y aller. Je m'imagine déjà dans les toilettes des garçons, faire un trou dans l'une des parois, y mettre de la bande adhésive et de quoi adoucir le contact pour ne pas blesser leurs jolies petites queues. Quelqu'un ferait payer l'entrée et je n'aurais plus qu'à sucer toutes ces jolies bites. Je pourrais me faire passer pour une lycéenne pauvre qui le fait pour payer ses études … J'adore l'idée ! Du point de vue de Mélina, je semble juste perdue dans mes pensées, souriant tout en lui suçant la queue.

Mon pauvre dos … Entre Bran qui manque de me briser la colonne vertébrale à chaque coup de reins et sa sœur qui me tord le cou pour sentir ma langue sur son sexe. Je me dis que fort heureusement mon corps régénère vite. Parce que je plains sincèrement la pauvre humaine qui subira la même chose, celle-ci ne sera pas prête de s'en remettre. Néanmoins je n'y pense pas trop, soucieuse d'être appréciée par ce charmant petit couple je m'applique à sucer et lécher le bout du sexe de la vampire. Elle peut sentir mon souffle chaud le caresser sur toute sa longueur, mes seins enduit de salive et de sueur que je compresse le plus possible pour lui offrir de bonnes sensations, ma langue qui s'applique à caresser son gland. Lorsque tout à coup …

"HUUUUUUUMPH !!!"

Un cri étouffée de ma part, sous le coup de la surprise je mord le manche de Mélinda, y laissant une marque de dents sans pour autant lui faire vraiment mal. Bran vient de mordre le bout de ma queue et est en train d'aspirer mon sang. Cette partie de mon corps est aussi sensible que mon clitoris, c'est comme si j'avais un pénis et que Bran venait de me mordre en plein dans le gland ! Mon sexe caudal est prévu pour que je puisse fouetter mes amants avec et converti donc une partie de la douleur ressentie à cet endroit en plaisir. Mais mordre franchement dedans reste assez douloureux malgré tout … Quelques larmes perlent aux coins de mes yeux. Sale brute ! Monsieur décide donc de se servir, copieusement qui plus est et pense se faire pardonner en léchant et suçant ma queue par la suite. Je le soupçonne plutôt de vouloir lécher le sang qui continue de couler de ma plaie le temps qu'elle se referme. Ces vampires vont me rendre folle avec leurs griffes, leurs crocs et leur appétit. Moi-même j'imite le vampire, léchant sa sœur avec tendresse pour me faire pardonner mais, sitôt ma bouche libérée du vît de cette dernière, je mettrais tout sur le dos de son imbécile de frère !


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Re : S.O.S. [Mélinda]

Réponse 33 jeudi 11 décembre 2014, 02:23:14

La petite Inuko était une succube pleine d’énergie, et c’était tant mieux, car les deux vampires ne comptaient pas la lâcher. Quand Mélinda et Bran faisaient tous les deux l’amour à une esclave, cette dernière finissait toujours par tomber dans les pommes, comme si son corps ne pouvait pas supporter l’énergie intempestive et redoutable des deux amants vampiriques. Mélinda adorait voir cette succube souffrir, tout en se faisant plaisir. Il était techniquement impossible d’épuiser une succube, car elles se nourrissaient de l’énergie sexuelle. Plus on jouirait, et plus elle se renforcerait… Mais cette situation ne l’empêchait nullement d’être fatiguée, de subir, et, pour Mélinda, c’était un vrai de plaisir de la soumettre. Oh oui, elle se régalait de chaque seconde qui passait, de chaque moment en compagnie de cette magnifique jeune femme ! La petite démone serait avec elle, elle serait hébergée dans son manoir, et… Ah, ce simple fait suffisait à exciter Mélinda ! Elle avait déjà une succube sous ses ordres, et elle allait en avoir une autre ! Mélinda ne pouvait être que ravie de cet état de fait, et imaginait déjà les folles orgies qui auraient lieu… Ainsi que les situations tendues dans lesquelles cette espiègle et facétieuse succube risquait de les mettre. Inuko aimait le sexe en ce qu’il était, non seulement un rapport physique intense, mais aussi l’expression de la plus intangible des libertés, du plus solide bloc que la société n’avait pas restreint. Elle était une succube, et la vampire était convaincue qu’elle allait beaucoup s’amuser, à sa manière, avec les autres filles du harem. Faire l’amour en public ne semblait nullement déranger Inuko. Autrement dit, le pire était à craindre… Et, loin de réfréner Mélinda, ces possibilités l’excitaient encore plus.

Elle remuait son corps d’avant en arrière, glissant sur le corps en sueur d’Inuko, maltraitant à chaque fois ses seins, qui étaient frottés par ses cuisses et par ses jambes. Un sourire profondément malicieux ornait son visage, et sa queue s’enfonçait parfois en profondeur, tapant contre la gorge de la succube, y restant de longues secondes, avant que la vampire ne parte en arrière, ses doigts se crispant davantage sur la tête d’Inuko, se servant de sa belle petite chevelure comme d’une espèce de gouvernail sur lequel elle pouvait se cramponner afin de se déplacer. Elle la pénétrait, encore et encore, sans relâche, mais ce qu’elle faisait n’était rien par rapport aux coups de butoir de Bran. Ses griffes s’enfonçaient dans sa chair, et il grognait, haletant, de la sueur coulant le long de son torse, tandis que le corps de la succube répondait favorablement. Sa grosse queue labourait son champ, heurtant son clitoris, continuant, encore et encore, à défoncer la jeune femme, à la malmener, à tordre son corps et à la faire hurler.

« Hummm… Haaa, Inuko, hnnnn… Suce, ma chérie, suuuuuuuuuceee… »

Mélinda soupira, se mordillant les lèvres, et Bran en profita alors pour mordre dans le bout de sa queue caudale. Il voyait cette dernière remuer en l’air, glissant contre son corps, et l’attrapa de la main, puis planta ses dents à son extrémité. Comme il s’y attendait, cette queue était gorgée de sang, et de zones érogènes. Il planta donc ses crocs, et aspira le sang de la succube. Sous l’effet du plaisir et de la douleur, Inuko mordit alors la queue de Mélinda, qui planta ses griffes dans ses épaules sous la douleur, faisant perler un peu plus le sang d’Inuko.

« HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !! »

Ah, la vache ! Ça faisait MAL ! Elle l’avait mordu. Mordu ! Mélinda avait enfoncé inconsciemment ses griffes, et les retira. L’une de ses mains tenait toujours ses cheveux, et avait tiré sur ses cheveux, et l’autre… Elle ruisselait du sang de la jeune succube, et Mélinda suçota ses doigts, les essuyant partiellement, du sang coulant néanmoins de sa main, tombant sur le cou de la succube. Inuko avait mordu quand la queue de Mélinda était bien dans sa bouche, ce qui fit qu’elle mordit le fond de sa verge, là où sa queue était la plus solide. Néanmoins, c’était douloureux… Et aussi très excitant.

Bran suça son sang pendant quelques secondes, avant de relâcher sa queue, et de la lécher. Il redoubla alors d’ardeur, reposant ses mains sur les cuisses de la succube, la prenant, la défonçant allègrement, soupirant et grognant, tandis que Mélinda continuait à remuer en elle. Le sang continuait à couler des plaies de la succube, mais Mélinda ne s’en inquiétait pas trop. Elle pouvait régénérer, cicatriser… Et elle était si belle qu’elle ne pouvait pas se lasser de son corps.

Mélinda savait que Bran avait fait son gourmand, et elle finit par jouir dans la bouche de la femme, éjaculant longuement en elle, balançant de multiples giclées de foutre dans sa cavité buccale. Elle éjacula tellement que du foutre sortit de la bouche de la femme, se déversant sur son cou. Mélinda finit par relâcher les cheveux de la succube, et cette dernière retourna sur la table, Mélinda ayant dans le creux de sa main quelques mèches de cheveux de la belle succube. Elle se pencha vers elle, et vint embrasser ses lèvres, fourrant sa langue dans sa bouche encore remplie de foutre.

« Hmmm… Ma belle petite salope… Bran a été vilain avec toi et ta petite queue, hum ? Ma pauvre petite… »

Elle l’embrassa à nouveau tendrement, frottant son nez contre son visage, et susurra dans le creux de son oreille :

« Venge-toi avec ta queue… Fais-lui ressentir ta souffrance, ma chérie… »

Bran n’avait pas encore joui, et continua à la prendre, observant ce spectacle magnifique. Il voyait la croupe relevée de sa sœur, et tendit sa main, puis enfonça un doigt dans ses fesses, faisant hoqueter Mélinda, qui sursauta sous l’effet de la surprise… Puis soupira et gémit contre l’oreille d’Inuko. Sexe, sexe… Et encore sexe !

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Inuko Sora / Sathael Ishnah

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Re : S.O.S. [Mélinda]

Réponse 34 vendredi 12 décembre 2014, 23:56:09

Le problème entre mon sang et les vampires, c'est qu'ils ne savent pas s'arrêter lorsqu'ils commencent à en boire. Chez Zahar les choses étaient très différentes, j'étais captive, enchaînée comme une bête et torturée. Mais il y avait ce même problème, ils pensent que parce que mon corps régénère plus vite que celui des humains mon sang est en libre-service. Et bien non, il ne l'est pas ! Même moi j'ai mes limites physiques, régénérer tout mon sang me prend plusieurs jours, contre plusieurs mois chez les humains. Deux fois en une soirée c'est trop, sans compter tout le sang qui a coulé de mes diverses blessures. Je commence à pâlir et à me sentir faible, cette sensation je ne l'ai que trop ressentie avant. Il faut que je punisse Bran, sévèrement, qu'il comprenne que j'offrirais volontiers mon sang mais, qu'il n'a pas le droit de se servir comme bon lui semble. Pendant ce temps les paroles de Mélinda me surprennent et me laissent perplexe. Je n'ai pas besoin qu'elle me dise quoi faire, je ne suis pas son esclave et je n'ai pas l'intention de le devenir. Je ne lui lécherais pas les pieds et je ne lui obéirais pas comme une petite chienne, il faudra qu'elle se fasse à cette idée. Toutefois il convenait aussi de bien s'entendre avec, je pense que simplement lui montrer que nous sommes sur un pied d'égalité suffira.

Elle s’installe sur la table, me laissant libre de mes mouvements tandis que Bran s'allonge sur moi avant de gémir à mon oreille. Si tu crois que ça va te sauver mon grand, tu te trompes lourdement. Ma queue toujours enroulée autour du cou du vampire se met à serrer sa gorge. Monsieur a beau avoir tous ces muscles et ces grosses griffes, ce ne sont pourtant pas les muscles de son cou qui l'empêcheront de manquer d'air. Ma queue le pousse en arrière et comme sa sœur m'a suggéré de le punir, ce serait comme lui désobéir de tenter de me résister. Son sexe sort du mien, étirant un long filet de cyprine entre eux deux jusqu'à ce que celui-ci ne rompe et asperge le sol. Je me redresse calmement, m'asseyant sur le rebord de la table tandis que Bran est face à moi. Je tends mon bras dans sa direction, veillant bien à la beauté du geste, puis je pointe mon index vers le bas avant de dire sèchement :

"Assis !"

S'il résiste, tôt ou tard le manque d'air le rendra trop faible pour rester debout, s'il s’exécute sans rechigner, ça m'arrange. Quoi qu'il en soit voilà Bran à genoux devant moi, ma prise se relâche, ma queue se désolidarise de son cou et se met à onduler devant lui tandis que ma main va chercher la nuque de Mélinda. Je l'amène jusqu'à mes lèvres, glissant ma langue dans sa bouche devant un vampire sur-excité à cause de mon sang et de ses précédents vas et viens. Je fais traîner, prenant tout mon temps pour offrir un baiser passionné à mon hôte et frustrer son frère. Finalement je le rompt, riant avant d'égaliser mes relations avec Mélinda en douceur :

"Dis petite pétasse, ces cicatrices sur le corps de monsieur muscles, c'est toi n'est-ce pas ? Oui, ces marques de morsures ça ne peut-être que toi. Je suppose que tu l'as beaucoup dressé avec tes pieds, tu semblais adorer ça. Je suis sûre que ça te ferais mouiller comme une vraie pute de voir une autre lui écraser les testicules du bout de ses orteils."

Ma queue, qui a dégonflé entre temps, fait soudain un mouvement brusque et gifle violemment le vampire, laissant une marque triangulaire rouge sur sa joue. Je le regarde en coin, toujours tournée vers Mélinda, lui lâchant tout aussi sèchement que la première fois :

"Ça c'est pour ma queue !"

Immédiatement après ma queue lui marque la joue opposée de la même façon :

"Ça c'est pour la queue de ma réserve de foutre. Elle aussi elle a eu très mal !"

Une troisième fois la queue gifle sa joue :

"Celle-là c'est pour avoir pris mes cuisses pour un vulgaire jambon !"

Et finalement, ma queue appose sa quatrième marque sur ses joues :

"Et celle-ci c'est juste parce que j'avais encore envie de t'en mettre une sale ingrat ! J'allais t'autoriser à jouir à l'intérieur, j'allais te faire cet honneur que ta sœur n'a pas encore eut. Tu aurais été le premier de cette maison à te vider dedans ! Et toi tu oses me mordre par surprise et voler mon précieux sang ? Non seulement je réserverais mon entre-jambe pour cette superbe catin mais, toi tu te contenteras de jouir par terre !"

J'ai levé ma jambe vers lui sans bouger de ma table, avant d'attraper sa verge entre mes orteils. J'ai commencé à la serrer progressivement, à la tordre, à tirer dessus. J'ai pris plaisir pendant de longues secondes à torturer son sexe de la sorte. Oh oui, ce petit cochon adore les pieds et bien il va en avoir. Je relâche son sexe et je ramène mes jambes vers moi, les soulevant du sol pour mieux les détendre et venir frapper le haut de son torse pour le faire tomber sur le dos. Je me sens faible à cause du manque de sang mais, ça ne m'empêche pas de sauter de la table pour venir plaquer mon pied sur ses testicules et les écraser. Vous voyez le petit geste du pied que l'on fait pour écraser quelque chose contre le sol ? Et bien je fais pareil sur ses petites couilles bien remplies, ce qui doit être assez douloureux. De temps en temps je vais caresser son sexe avec le bout de mes orteils. Je n'hésite pas à le regarder de haut pour lui dire :

"Si tu en mets une seule goutte sur mon pied je te défoncerais l'anus petite chienne, jusqu'à ce que tu jouisses à nouveau ! Maintenant je veux entendre tes excuses et tes gémissements."

Tout en continuant d'écraser ses couilles je me retourne vers Mélinda, ignorant les paroles de Bran qui n'ont aucun intérêt à mes yeux.

"Alors ? Ça t'excite de voir ton frère se faire dominer par une autre que toi ? Tu aimerais que je l'encule comme une petite pédale ? Son cul a l'air appétissant, je suis sûr qu'en le stimulant un peu il se videra par terre en criant nos noms."

Ma mauvaise nature commence à s'exprimer, je sens que je vais devenir vraiment méchante. J'aime tant céder à ces instincts démoniaques et ressentir ce sentiment de toute-puissance qui va avec. Malgré mon état je suis aussi heureuse et excitée que si j'étais en pleine forme. Mon corps a du mal à suivre mais, tant pi, il résistera le temps qu'il faudra et ensuite j'irais me coucher pour récupérer un peu de mon sang au calme.


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Re : S.O.S. [Mélinda]

Réponse 35 lundi 15 décembre 2014, 01:47:57

Si Inuko était fatiguée, Mélinda ne le sentit pas. Elle la vit repousser Bran, à l’aide sa queue caudale, et son grand frère se retrouva à genoux sur le sol, sa verge en érection pointant entre ses cuisses, se dressant vers le ciel. Des plaques rouges, sous l’effet de la fatigue et de l’effort physique qu’il avait dû faire, ornaient son corps, sans que cela ne semble le gêner particulièrement. Mélinda, elle, observa Inuko pendant quelques secondes. Elle avait déjà une succube sous ses ordres, Edessa, et Mélinda savait que les succubes étaient des démones difficiles à soumettre... Comme tous les démons. Les démons issus des Enfers ne se soumettaient qu’à ceux qui arrivaient à les vaincre, à d’autres démons qui leur étaient supérieurs, jusqu’à avoir l’occasion de pouvoir se venger, et les supplanter. Cette logique infernale se retrouvait également à Ashnard, mais de manière un peu plus détournée, car l’instabilité anarchique des démons se heurtait à la philosophie humaine, qui reposait sur un besoin de stabilité et de cohérence, qui se justifiait par la faible espérance de vie des humains. Autrement dit, les démons ashnardiens étaient partagés entre l’envie de tuer ceux qui les dérangeaient pour prendre leurs places, et le souci de marquer leur pouvoir, d’amener au sein de l’Empire une stabilité ô combien nécessaire pour un État soucieux de vaincre Nexus. En somme, il y avait, chez les démons, une sorte de profond sentiment de liberté, qui s’exprimait de manière très particulière, mais qui était bien là. Même Edessa, si elle voyait Mélinda comme sa mère et sa Maîtresse, était fréquemment hors du harem, gambadant dans le monde afin d’augmenter ses pouvoirs magiques, et ce dans le but de toujours plaire davantage à sa Maman... Mais cette situation illustrait néanmoins le fait qu’elle était incapable de rester perpétuellement au même endroit. Inuko fonctionnait un peu de la même sorte, et ça, Mélinda commençait à plutôt bien le réaliser.

Les deux femmes s’embrassèrent goulument pendant de longues minutes, et la vampire ne faisait rien pour rompre ce baiser. Au contraire, elle le partageait volontiers, ses mains s’appuyant sur les épaules d’Inuko, sa langue jouant avec la sienne, son corps se frottant contre le sien. Elle pouvait sentir l’adrénaline battre dans les veines de son frère, et, surtout, cette magnifique et merveilleuse concentration sanguine à hauteur de son sexe. Le pauvre avait été arraché de son coït de la plus brutale des manières, et sa respiration était bruyante. Il aurait pu retirer la queue d’Inuko et se mettre à la frapper, mais, intelligent, Bran voyait bien que ce n’était pas là ce que sa sœur voulait. Il obéissait donc, soumis, tandis qu’Inuko avait demandé à Mélinda si c’était bien elle qui avait ainsi griffé le torse de son frère. Pour seule et unique réponse, la vampire esquissa un sourire malicieux. Sur ce point, elle se permettait de ne pas répondre à cette question, de laisser planer le doute et les légitimes interrogations... Mais oui, effectivement... C’était elle qui avait à ce point dressé Bran, afin d’en faire un homme parfait, quelqu’un qui serait autant capable d’être le plus doux et le plus tendre des amants, que le plus cruel et le plus sauvage des violeurs. En un sens, Bran incarnait à la perfection la dualité propre à la nature vampirique, ce mélange entre le glamour et une sorte de charisme noble, et une sauvagerie physique faisant ressembler les vampires à d’ignobles monstres sanguins. Bran avait été parfaitement éduqué, ce qu’Inuko pouvait réaliser.

Chacun de ses coups de sa queue sur ses joues amena Bran à tourner la tête. C’était douloureux, mais l’homme ne disait rien, restant docile, sage, et compréhensif. Mélinda regardait son grand-frère se faire battre par une femme autre qu’elle, ce qui l’amenait à ressentir des émotions contradictoires. Outre le plaisir inhérent à la contemplation d’un tel spectacle, elle ressentait aussi une sorte de curieux nœud se former dans ses entrailles, comme si elle était... Jalouse ? Oui, c’était ça...

*Bran est mien... Personne d’autre ne le corrige, mis à part moi...*

Les autres filles du harem étaient toutes impressionnées par Bran, et il était communément admis que personne ne pouvait le frapper sans l’assentiment exprès de Mélinda. Inuko supplantait le sien, agissant de son propre fait, ce qui faisait que Bran regardait souvent sa sœur. Il avait beau avoir sauvé Inuko, si sa chère sœur lui disait, en ce moment, de lui attraper sa queue, de l’arracher d’un coup sec, et d’étrangler cette succube avec, il le ferait sans se poser de questions, et ce alors même qu’il appréciait beaucoup le corps de cette femme, et qu’il aimait bien la voir avec sa sœur, ou pouvoir lui faire l’amour... Ou encore se faire battre par elle. Bran était bien éduqué, en ce sens qu’il savait, sans la moindre doute possible, que la volonté de sa sœur transcendait totalement la sienne, et qu’il n’existait que pour se faire pardonner auprès d’elle, et pour lui rendre la vie plus agréable.

Inuko le punissait donc de l’avoir mordu, ce à quoi Bran restait silencieux, les joues en feu. Il avait agi par instinct, car le sang de cette succube l’attirait, et parce qu’il voulait voir s’il pouvait mordre une succube depuis cette partie de son anatomie... Une expérience ayant aussi permis de se rendre compte de la résistance de cette partie de son anatomie. La succube renversa Bran, et, avant que ce dernier ne finisse sur le dos, il s’appuya sur ses mains, soupirant et gémissant en sentant les pieds d’Inuko glisser sur sa verge.

« Hummmm... »

Bran n’avait jamais été quelqu’un de très expressif, et c’était aussi le cas avec le sexe. Pour qu’il le soit, il fallait le lui demander. Mélinda avait entraîné la résistance sexuelle de Bran, afin qu’il puisse veiller sur elle sans problème pendant qu’elle était en train de longuement s’envoyer en l’air. Elle s’était ainsi, durant son éducation, à l’attacher à des chaînes, et à faire l’amour devant lui, sans jamais lui autoriser la moindre jouissance, jouant avec sa verge, mettant autour de sa verge un anneau l’empêchant de jouir, tandis qu’elle se faisait prendre par lui, et jouissait sur lui. Bran avait longuement souffert, mais cette souffrance avait permis de le former à la perfection, comme il était en train de le prouver en ce moment.

Inuko était en train de toucher du pied le fantasme de Bran : le fétichisme. Sa sœur l’avait éduqué dans ce sens, et il avait déjà éjaculé simplement en sentant sur sa hampe de chair les doigts de pieds joueurs de Mélinda. La vampire observait la scène, un sourire ravi sur le coin des lèvres, et se pencha vers les cuisses d’Inuko, déposant un baiser sur le haut de sa jambe.

« Pour une femme qui n’aime pas jouer avec les pieds, tu te débrouilles bien, ma petite puce... »

Elle laissa ensuite Inuko se relever, et Bran poussa un nouveau soupir quand la succube écrabouilla sa verge sous son pied. La douleur irradia dans tout le corps du vampire, qui poussa un léger cri, remuant les jambes, ses mains venant caresser les talons d’Inuko, mais sans chercher à la repousser, tandis qu’elle-même suggérait à Mélinda de pouvoir, par la suite, lui défoncer son petit cul :

« Alors ? Ça t'excite de voir ton frère se faire dominer par une autre que toi ? Tu aimerais que je l'encule comme une petite pédale ? Son cul a l'air appétissant, je suis sûr qu'en le stimulant un peu il se videra par terre en criant nos noms. »

Mélinda sourit en retour, et s’approcha, puis posa ses deux pieds sur le torse de Bran, le faisant à nouveau soupirer. Elle marcha sur lui, et se retourna face à Inuko, puis caressa l’une des joues de la succube, avant d’aller tendrement l’embrasser, se blottissant contre elle, une main sur ses cheveux... L’autre caressant les fesses de l’intéressée, le bout de ses doigts venant également, par moment, se frotter sur sa longue queue caudale.

« Oh, oui, crois-moi, son cul est délicieux... Je peux en témoigner... »

Elle sourit légèrement, et appuya un peu sur ses pieds, mordillant la lèvre d’Inuko.

« Bran acceptera volontiers de se faire prendre par toi... N’est-ce pas, mon petit chou ?
 -  O-Oui, hummm... Haaaaaa... »

Oh oui, il avait mal, c’était... Ah, c’était tellement craquant à voir ! Mélinda en était amusée... Et ce même si elle sentait toujours en elle cette boule d’hostilité à l’idée que quelqu’un d’autre qu’elle puisse abîmer son Bran adoré...

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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