Une esclave rebelle (Pv: Nyuko)

Fania devait s’occuper d’une affaire des plus urgentes. La famille Mikash était une des plus fortunées de la ville de Nexus et il avait un problème depuis quelques mois. Une esclave terranide avait tué un des leurs. Son nom était Nyuko mais ses maîtres l’avaient baptisés Nyu adoptant un diminutif comme pour un petit animal de compagnie. La famille Mikash était réputée comme une des familles les plus cruelles de la contrée de Nexus. Fania le savait et elle n’était pas surprise qu’une esclave se soit rebellée depuis le temps que ça leur pendait au nez. Bien sur, l’histoire remontait à 2 ou 3 ans mais l’affaire avait été reprise car il y avait une nouvelle piste.

Effectivement, les soldats avaient capturé un vieil inu qui s’était rebellé et ne s’était pas montré discret. Le vieil homme ne servait à rien et doc des soldats s’amusèrent à le piquer avec des prototypes de seringue aphrodisiaque qui avait pour effet de rendre les idées confuses et érotiques mais hélas le produit était trop puissant et dès la première injection, il se mit à se masturber devant les soldats réclamant qu’on lui lèche les parties intimes et il se mit à jouir jusqu’à ne plus s’arrêter.

Mais là où cela devint comique c’est que le nuit il jouissait en réclamant un nom, celui de Nyuko. Une soldate professionnelle dans ce style d’interrogatoire le masturba elle-même et en titra des informations Nyuko était la jeune chatte terranide qu’il avait recueillit dans sa maison. Elle était lié aux histoires de meurtres sur la famille Mikash.

C’est ainsi que Fania obtint l’adresse de la maisonnée deux jours plus tard et elle partit sur le pied de guerre avec trois soldats et le vieil inu au bout d’une laisse en lui laissant suggérer qu’il pourrait se soulager sur sa petite protégée. Pour toute réponse, il se mit à jouir. Ils arrivèrent au bord de la maisonnée et Fania entra grâce à la clé que portait le vieil inu sur lui.

Elle pénétra dans la maison et aperçut une charmante petite neko en train de faire le ménage. Les soldats s’emparèrent d’elle et l’immobilisèrent à genoux sur le sol. Fania avança le vieil inu près de la petite neko.

-Tu dois être Nyuko, je suppose ? On a croisé ton vieux pépé sur le bord de la route il n’allait pas très bien. Il te réclamait si fortement qu’on la raccompagné chez lui…

Le vieil inu se mit à se masturber devant Nyuko.

-Nyuko…. Je t’ai recueillit, je t’ai élevé mon enfant et je ne t’ai jamais demandé aucune faveur jusqu’à présent…. Mais, c’est trop… J’en peux plus, toute ces nuit à rester près de moi…. Je veux que tu me lèche la bite, Nyuko… Lèche la bite de pépé….

Et, il amena son engin proche de la bouche de la jeune fille. La bave lui coulant au bord des lèvres.

-Ah ! On dirait qu’il est content de te retrouver…  Je ne désire pas voir de viol devant moi et c’est pourtant ce qu’il fera si je lâche la laisse. Tu as pris une vie Nyuko. Tu dois donc si tu veux survivre tuer ce vieil homme et je t’accepterai à mes côtés et t’éduquerai comme il se doit. Si tu refuses…. Je lâche la laisse et tu recevras le même traitement qu’il a reçu et puis tu seras rendu à tes maîtres qui abuseront de toi. Les deux choix sont difficiles c’est à toi de voir…. Ne cherche pas à te rebeller ou…. Oui, tu as compris, je lâche la laisse …

Fania trouvait très jolie la petie neko qu’elle avait en face d’elle et elle aimerait bien qu’elle la serve. Toutefois, elle ne pouvait laisser son crime impuni. Une vie contre une vie, c’était la règle où elle perdrait son statut de condition humaine pour devenir un déchet sexuelle. Le troisième soldat avait d’ailleurs une seringue prête à être utiliser… Tout dépendait des choix de la neko maintenant.

-Nyuko.... Lèche....

Seule dans la maison, tu fais le ménage tranquillement. C’est devenu une habitude maintenant, alors qu’au début tu détestais le faire.  Mais ton grand-père et toi, vous partagez les tâches ménagères et comme ça c’est bien plus simple.  Pendant que tu fais le ménage, lui et parti faire les courses, mais si honnêtement, tu trouves qu’il prend beaucoup de temps. Tu t’arrêtes souvent par déconcentration, tu t’occupes avant de te remettre au travail.

Il commence à se faire tard et ton grand-père n’est toujours pas rentré… Tu commences à t’inquiéter, mais bon, il ne faut pas oublier que, même avec l’âge c’est un homme fort. Tu souris bêtement en te rappelant pleins de souvenirs avec lui. Même si il n’est qu’un simple ami de ton père, tu l’adores tellement que tu le considères comme ton grand-père ainsi que le seul membre de ta famille. Il est évidement que tu dois en avoir une, de vraie famille, mais tout ça ne t’intéresse plus, depuis qu’un chaleureux petit être s’occupe de toi. Tu secoues la tête pour te remettre les pieds sur terre (ou Nexus, plutôt) et tu continues ton travail de ménagères.

« BOUM ! »

Tu as à peine le temps de te retourner que tu te trouves coincé à genoux à cause de plusieurs gardes. Tu essaies de t’échapper plusieurs fois, mais impossible, tu n’as pas assez de force. Tu les regardes, énervé, avec la haine et la peur qui commence à monter en toi. Tu sors les griffes et en griffe un, pour essayer de t’échapper. Il te lâche même pas trois seconde, le temps d’un simple sursaut qu’il te plaque encore plus fort au sol et tu pousses un petit cri de douleur.  Tu regardes enfin devant toi et qui est-ce que tu vois ? Une femme blonde, que tu ne connais absolument pas ainsi que ton grand-père, attaché à une laisse. Tu le regardes quelques seconde, il a l’air … Perturbé. Pourquoi n’essaye-t-il pas de se débattre ? Lui qui est normalement si fort… Il s’approche de toi tandis que la jeune femme te parle, mais tu n’écoutes pas, tu es choqué par ce que tu es en train de voir. Ton grand-père défait ton pantalon, son slip et fait sortir sa verge toute dure. Tu as peur et commence à trembler. Tu ne connais rien en ce qui est sexuel et il est vrai que ça t’a toujours fait peur.

-Nyuko…. Je t’ai recueillit, je t’ai élevé mon enfant et je ne t’ai jamais demandé aucune faveur jusqu’à présent…. Mais, c’est trop… J’en peux plus, toute ces nuit à rester près de moi…. Je veux que tu me lèche la bite, Nyuko… Lèche la bite de pépé….

Tu essaies de te débattre encore plus, poussant un cri de peur. Tu te secoues dans tous les sens, poussant les gardes à devoir te serrer plus fort, ce qui te fait encore plus de mal. Tu as peur, tu sens la haine monter en toi, tu ne sais plus quoi faire. Tu regardes le vieil homme, il a l’air « différent ». Tu baisses ensuite la tête pour regarder son penis couler de près-sperme limite dans ton visage. Tu fais la grimace et tu sens les larmes couler.

-Ah ! On dirait qu’il est content de te retrouver…  Je ne désire pas voir de viol devant moi et c’est pourtant ce qu’il fera si je lâche la laisse. Tu as pris une vie Nyuko. Tu dois donc si tu veux survivre tuer ce vieil homme et je t’accepterai à mes côtés et t’éduquerai comme il se doit. Si tu refuses…. Je lâche la laisse et tu recevras le même traitement qu’il a reçu et puis tu seras rendu à tes maîtres qui abuseront de toi. Les deux choix sot difficiles c’est à toi de voir…. Ne cherche pas à te rebeller ou…. Oui, tu as compris, je lâche la laisse …

Tu sers les poings. Tu savais bien qu’un jour où l’autre, ça devrait arriver. Après tout, tu es une tueuse, tu ne pourras jamais avoir la vie facile. Tu regardes la femme méchamment, avant de poser une nouvelle fois ton regard sur le vieil Inu. Ton regard de méchante se transforme vite en tristesse. Les larmes coulent le long de tes joues mais tu ne bronches pas et reste forte. Que dois-tu faire ?! Tout ça se passe bien trop vite, et faire un choix maintenant te rend toute stresser. Tu mordilles les lèvres, et ferme les yeux.

▬ Je ferai tout ce que vous voudrez, madame !

Les terranides étaient facilement impressionnable. Toutefois, Fania n’aurait pas aimé vivre ce qu’elle vit mais Fania n’avait rien à se reprocher, elle. Le vieil inu lui commençait à vouloir saisir de ses mains les vêtements de Nyuko. Fania fit un rapide mouvement de tête à ses soldats et ils approuvèrent. Ils lâchèrent la petite terranide pour qu’elle puisse bouger et posèrent un long couteau de cuisine à ses pieds. Toutefois, ils n’étaient as inquiet sur le fait qu’ils ne risquaient rien de la terranide car ils étaient prêtre à la tuer au moindre geste de révolte de sa part.

-Je t’ai déjà dit ce que je voulais…. Tue-le…. Si tu as le moindre respect envers moi et envers ton pépé… Rends-lui sa condition d’humain dans la mort… Si tu fais ça, tu deviendras ma nouvelle servante ma petite esclave… Tes talents ne seront pas gâchés avec moi…

Fania lâcha la laisse et le viel inu se rapproche de Nyuko en ayant les mains baladeuses tout en voulant désespérément enfoncer son engin dans Nyuko. Bien sur, il était vieux et n’avait pas beaucoup de force. Il sniffait la peau de la belle neko.

-Nyuko… Tu sens si bon… Je vais me régaler avec toi… Ta peau est si douce…. Allez, baisse ta culotte que pépé puisse te baiser… Pépé, souffre tellement laisse le se soulager ma belle…. Quand tes parents m’ont dit de m’occuper de toi j’ai accepté et maintenant tu es devenu si belle qu’il est temps que tu récompenses pépé pour t’avoir éduqué.

Fania se délectait du spectacle et attendait la réaction de la jeune terranide. Elle avait apprécier que la jeune terranide l’ai appelé madame, elle aurait apprécier un maîtresse mais chaque chose viendrait avec son temps.

- Nyuko, je crois que tu n‘as pas le choix, il va te violer…. Sais-tu ce que ça fait de se prendre un morceau de chaire dans son corps et de ne pas pouvoir lutter ? De ce faire prendre comme une petite chienne ? C’est horrible…. Tu devrais écouter les conseils de ton pépé et abréger ses souffrances, l’homme que tu as connu n’existe plus et payeras ta dette envers la société qui plus est.

Le vieile inu avait réussit à renverser la jeune neuko par sa vigueur et commencer à passer une de ses mains sur la culotte de Nyuko et de la tirer vers le bas. Il ne parlait plus trop occuper à enfoncer sa tête dans les seins de Nyuko. Si Nyuko n’agissait pas elle allait se faire violer c’était une question de minute. Le couteau était toujours à porter de main.

Fania attendait manifestement une réaction de la part de sa nouvelle esclave. Elle devait tuer son ancien ami pour enlever elle-même sa vie de terranide libre pour retomber dans une vie de terranide esclave. C’était un jeu de l’esprit, de la torture psychologique que Fania exerçait sur Nyuko. Elle voulait que la chatte montre son savoir faire, qu’elle prouve ses capacités à tuer et à ce moment-là Fania se retrouverait certes avec une esclave qui lui obéirait et dont elle pourrait sans doute abuser mais aussi d’un outil capable de tuer les cibles qu’elle lui désignera. Pratique, quand on veut éliminer des partisans nobles qui complotent conte la Reine en secret. Dans le pire des cas, Fania ne serait jamais accuser de ces meurtres.

La vie de cette terranide lui appartenait et si jamais elle n’aurait pas le cran de tuer son ancien ami, elle se ferait violer puis injecter le même traitement et Fania l’enfermerais dans un cachot et profiterai d’elle de temps à autre. C‘était un choix que Fania laisser libre. Nyuko avait deux façons de vivre sa vie et elle fallait qu’elle choisisse et vite.

Quand les soldats te lâchent, tu restes assise sur le sol, regardant le long couteau qu’ils déposent devant toi. Tu les regarde un moment, puis la dame, puis le vieil homme. Il n’est plus du tout la même personne. Son esprit de chien en chaleur a monté, ce n’est plus qu’un sale clepse en chaleur.

-Je t’ai déjà dit ce que je voulais…. Tue-le…. Si tu as le moindre respect envers moi et envers ton pépé… Rends-lui sa condition d’humain dans la mort… Si tu fais ça, tu deviendras ma nouvelle servante ma petite esclave… Tes talents ne seront pas gâchés avec moi…

Elle lâche la laisse et il arrive comme un fou sur toi, tu essaies de reculer, mais tes jambes sont trop faibles et tu retombes aussi vite. Il commence à te renifler, et les larmes coulent de plus belle. Tu essaies de te débattre, mais rien à faire, tu as trop peur, tu n’as plus assez de force pour savoir faire quoi que ce soit. Maintenant, c’est la jeune femme qui parle, mais tu n’écoutes plus personnes, tu ressens une immense haine monter en toi. Tu pousses un long cri quand l’Inu t’attrape et te coince pour pouvoir ainsi profiter de toi. Tu sens ses doigts glisser sur tes cuisses afin de retirer ta culotte. Tu te débats, tu cris, tu regardes les soldats, la dame qui eux ne feront rien pour t’aider. Tu regardes ton grand-père, ou plutôt ce qu’il est devenu. Un homme aussi respectueux et si aimable… Devenu … Une ordure ? Un monstre ? Un pervers aux envies sexuelles débordantes ? Non, ce n’est pas possible. Tout ça devient trop dur à porter.  La haine qui est en toi ne va pas tarder à changer la Nyuko toute angélique en la Nyuko que tu essaies de fuir durant des années. Tu sais très bien que, si tu te changes en la méchante Nyuko, tu iras tuer, tu ne contrôleras plus ta force et deviendras une vraie tueuse psychopathe. Tu repenses à tous ces souvenirs enfuis dans ta mémoire. Le jour où tu t’es réveillée auprès de lui pour la première fois,  les jours où tu étais triste et qu’il restait avec toi pour te raconter la vie de tes parents, les jours où tu ressentais un amour paternel énorme envers lui… Et maintenant. Tout ça te dégoûte, tu as tout perdu. Tu n’avais plus que lui sur qui comptait, mais maintenant c’est fini. Tu fonds en larmes et repousse ton grand-père. Pourquoi tout ça doit arriver ? Pourquoi ne peux-tu pas vivre en harmonie avec tout le monde ?

Tu te relèves, la tête baisser. Tu n’es plus du tout faible. Tu n’es plus du tout triste. Tous les vrais sentiments se sont enfuis. Tu n’es plus la même Nyuko. Tu es celle que tu détestes. Tu avances auprès du vieil homme et l’attrape par le col de son haut. Tu sors les ongles qui eux sont aussi aiguisés que des griffes de chats et tu lui donnes un grand coup dans le visage, qui le fait retomber de force au sol. Tu pouffes de rire. Tu trouves ça tellement amusant, de faire du mal à quelqu’un qui ne sera jamais se débattre auprès de toi. Tu t’abaisses pour ramasser le couteau et t’avance vers lui, doucement, sans faire aucun bruit.

▬ Humpff … C’est tellement drôle ! J’adore jouer au chat et à la souris. Tu ne mérites qu’une chose, CREVER. SALE BATARD ! HAHAHAHAHAH.

Ton regard est effrayant, tu ne ressembles plus qu’à une vulgaire psychopathe. Tu donnes des coups de pieds dans son ventre, puis son dos. Tu t’abaisses, lui attrapes la verge et la coupe avec ton couteau, que tu lui balance en pleins visage. Tu continues de rigoler en voyant le sang. Tu continues de lui donner des coups de pieds, tu lui craches dessus, tu l’insultes. Une fois avoir assez jouer avec lui,tu attrapes le corps du vieil homme remplis de bleus et tu lui enfonces le couteau plusieurs fois dans la gorge, puis dans le ventre et le laisse tomber ainsi que le couteau. Tu continues de rire en entendant les derniers gémissements de l’homme qui lui essaie du mieux qu’il peut de rester en vie. Mais, tu trouves que ça ne dure pas assez vite, alors tu reprends le couteau et continue tes coups partout dans son corps. Tes coups sont tellement rudes et vifs que son sang s’éclabousse sur ton visage et tu continues toujours ton massacre.

▬ HAHAHA. C’est trop drôle ! Hahaha, le sang c’est joli ! C’est joli le sang, encore du sang, JE VEUX PLUS DE SANG HAHAHA.

Tu sens la fatigue monter en toi, la haine descend de plus en plus et bientôt tu reprends tes esprits. En voyant ce que tu viens de faire à la dernière personne que tu aimais, tu hurles de peur et commences à pleurer en marchant à quatre pattes vers la jeune dame. Tu frottes tes yeux, laissant des traces de sang un peu partout sur ton visage et sur tes mains, puis regarde la dame droit dans les yeux. Tu continues de pleurer et commence aussi à trembler comme une feuille, à chaque fois que tu poses les yeux sur l’affreux meurtre que tu viens de commettre.

▬ Aider moi, s’il vous plait, je ferai tout et n’importe quoi, vraiment … Je serai votre esclave si vous le voulez, je vous appellerez Maîtresse si vous le souhaitez, je ferai tout, vraiment tout, mais aider moi … J’ai si peur de moi-même, je ne veux pas mourir !!

La neko repoussa assez violemment le vieil ibu et prit le couteau. Elle se mit à raconter des paroles plutôt déconcertantes. Un changement avait opéré en elle, elle était devenue une machine à tuer. Toutefois, Fania n’avait rien fait que faire ressurgir cet aspect de sa personnalité. Elle ne l’avait pas crée, elle l’avait guidé. Et ce qu’elle vit lui plaisait. La neko avec son couteau coupa la verge du terranide. Fania étant lesbienne appréciait ce spectacle. Une véritable petite psychopathe, elle riait en tuant ce terranide, un rire à faire pâlir les soldats qui étaient présent. Fania au contraire souriait devant tant d’enthousiasme. Quelle potentielle!

-C’est bien, ma petite, continue…

Fania n’était pas sur qu’elle entendit ses paroles mais pour continuer elle continua.  Elle le tabassa à mort alors qu’il était sans doute mort. Les hommes ne résistent pas bien longtemps à l’émasculation. Puis, elle s’acharna sur le cadavre en donnant plusieurs coups de couteau toujours dans les yeux cette lueur de folie. Fania songea qu’elle aurait réagit pareil face à la situation. Quand elle finit de s’acharner sur le cadavre.

D’un coup, la neko s’arrêta puis hurla et pleura. Elle se déplace à quatre pattes vers moi. C’est à ce moment là que Fania aperçoit que cette terranide possède non pas une mais deux queux de neko. Fania fit un geste rapide de la tête et les soldats soulevèrent la neko et l’introduisit dans la charrette qu’ils avaient utilisé pour voyager. Fania monta et se retrouve seul à seul avec la neko pendant que les soldats servaient d’escorte et de guide pour les chevaux. Fania s’assit en face de la neko et la regarda. Elle voyait ses larmes et ses tâches de sang sur le visage.

-Pour te répondre, tu as accompli ta part du marché, tu ne mourras pas et tu deviendras ma servante, mon esclave si tu préfères. Tu m’appelleras, Maîtresse.

Fania sentit les cahots de la route et réfléchissait puis elle tendit son mouchoir brodé de dorure. Un objet assez jolie et qui pouvait se vendre cher. Elle lui tendit.

-Tiens, essuie toi les mains et la tête avec ça. Tu n’as qu’à le garder c’est une marque de propriété. Avec cet objet, les gardes te laisseront entrer librement dans le château. Pense juste à le nettoyer.

Fania resongea aux évènements sur le vieil ibu et dit :

-Prouve-moi que tu veuilles me servir. Je n’ai pas grand-chose à te faire faire mais le voyage a été long et j’ai mal aux pieds. Fais-moi un massage !

Fania se cala conte le dossier de la calèche et enleva ses bottes puis tendit ses pieds nus sur les jambes de la neko attendant que son expertise agisse.

-Dis-moi petite, tu sembles décontenancée par  le fait d’avoir tué cet homme. Je vais être clair avec toi, ce que tu as fait n’es pas mal…. J’aurais réagit pareillement… Si un homme compte tep rendre ta vertue par la force, tue-le ! Fais les choses que si tu le désires. Je ne vais pas te mentir, je compte te former au métier d’assassin de la Cour. Tu vas donc devoir retuer.  Je sais que tu as déjà tué deux fois et tu y prends plaisir puis tu regrettes. Enlève-toi cette idée de la tête ! Il n’y a pas deux Nyuko, il n’y en as qu’une et elle est obéissante loyal et meurtrière. Elle est esclave et assassin à la fois. Tu ne peux pas diviser ta personnalité en deux. Tu es toi-même. En revanche, tu ne dois pas exploiter ta capacité à tuer n’importe qui… Tu tueras ceux que je te dirais de tuer. Quand on sera rentré j’aurais une tâche pour toi. Un violeur git dans les geôles du château. Il faut que je m’occupe de cette ordure. Tu vas m’y aider, tu vas le torturer, te faire plaisir. Tu vas le tuer lentement. Je suis sur que ça va te plaire. Qu’en dis-tu, te montreras-tu loyale envers ta maîtresse qui vas t’apprendre à te dompter ?

Fania souriait à la neko et lui parler de morts comme de beau temps. Elle attendait d’ailleurs toujours son massage. Elle se demanda ce qu’allait faire la petite neko… sachant que Fania ne lui toujours pas indiqué son prénom ni sa fonction.

Tu la suit dans la charrette sans te retourner. Tu ne veux plus voir le massacre que tu viens de semer. Tu es choqué, de tout ce qui vient de se passer, tu pleures encore, mais moins qu'avant. Elle se met devant toi et te tends un mouchoir très joli qu'elle t'offre en guise de marque de propriété et comme ça tout le monde te laissera entrer dans le château... Château ?! Hum, si elle parle d'un château, c'est qu'elle est sans aucun doute riche. Tu souris. Donc si tu deviens son esclave, d'un côté, tout ce qu'il lui appartient, t'appartiendras aussi. Ça te plait, toute cette histoire. Sans même l'avoir écouté, tu la vois enlever ses chaussures et mettre ses pieds sur tes genoux. Tu hoches la tête. Qu'est-ce qu'elle fait ? Tu regardes ses pieds un petit instant. Ils sont si fins, on dirait un pied de princesse, que seule elle pourrait entrer dans la chaussure de verre. Tu regardes ensuite ses chevilles, tout chez elle est vraiment fins et jolis. Tu es certaine que si tu lui caresses la peau, elle sera parfaitement douce.

-Dis-moi petite, tu sembles décontenancée par  le fait d’avoir tué cet homme. Je vais être clair avec toi, ce que tu as fait n’es pas mal…. J’aurais réagit pareillement… Si un homme compte tep rendre ta vertue par la force, tue-le ! Fais les choses que si tu le désires. Je ne vais pas te mentir, je compte te former au métier d’assassin de la Cour. Tu vas donc devoir retuer.  Je sais que tu as déjà tué deux fois et tu y prends plaisir puis tu regrettes. Enlève-toi cette idée de la tête ! Il n’y a pas deux Nyuko, il n’y en as qu’une et elle est obéissante loyal et meurtrière. Elle est esclave et assassin à la fois. Tu ne peux pas diviser ta personnalité en deux. Tu es toi-même. En revanche, tu ne dois pas exploiter ta capacité à tuer n’importe qui… Tu tueras ceux que je te dirais de tuer. Quand on sera rentré j’aurais une tâche pour toi. Un violeur git dans les geôles du château. Il faut que je m’occupe de cette ordure. Tu vas m’y aider, tu vas le torturer, te faire plaisir. Tu vas le tuer lentement. Je suis sur que ça va te plaire. Qu’en dis-tu, te montreras-tu loyale envers ta maîtresse qui vas t’apprendre à te dompter ?


Tu l'écoutes attentivement. Elle a raison après tout. Le viol est quelque chose de très grave et ce n'était que de la légitime défense. Même si ... C'était ton grand-père. Mais, comment as-t-il pu devenir un sale pervers pareil ? Surtout qu'il savait très bien que tu es vierge et que tu n'es pas du tout prête à ce genre de choses. Tu soupires. Ça doit être la folie, à coup sûr. Tu ne seras donc jamais la vérité. Tu sursautes quand tu entends le mot assassin. Toi, un assassin ? Tueur pour vivre, hein ? Tu souris doucement. Elle a raison pour tout ce qu'elle dit. Que tu sois la gentille ou la méchante Nyuko, tu restes la véritable Nyuko et tu dois apprendre à tuer sans se sentir coupable. Tu devras tuer des gens qui doivent mourir, des monstres comme l'était ton ancien maître et ton grand-père. Tu sers un peu les poings quand tu ressens un noeud dans ton ventre. C'est sans doute le stress de savoir que tu vas vivre au château en tant qu'esclave et secrètement assassin. Mais en même temps, ça te plait en fin de compte. Tu lui fais signe oui de la tête et tu lui fais un grand sourire avant de te frotter le visage avec ton mouchoir.

▬ Je suis à vos ordres, Maîtresse, mais je me posais juste une petite question ... Qui êtes-vous vraiment et pourquoi moi ? Je veux dire, il y a pleins d'assassins bien mieux que moi dans le monde alors, pourquoi prendre quelqu'un qui n'y connait presque rien ?

Tu déposes enfin tes mains sur la peau de ses pieds. Tu avais raison, sa peau est belle et bien tout douce. Tu commences à lui masser doucement les pieds, en essayant de ne pas lui faire mal. Tu remontes quelque fois sur ses jambes, mais ça te fait rougir, de toucher les jambes d'une jolie dame et tu t'arrêtes un moment, pour continuer, mais seulement les pieds et les chevilles. Tu regardes de temps en temps dehors en attendant sa réponse. Tu n'avais encore jamais passer sur cette route-ci. Au loin, tu peux voir la silhouette d'un grand château. Tu souris discrètement. Voilà, ta nouvelle maison.

▬ Oh et ... Je me demandais aussi Maîtresse, en tant qu'esclave, est-ce que je suis attachée à des chaînes tous les jours où j'ai un peu de liberté ... ? Ce n'est pas que j'essayerai de m'enfuir hein ! Vous m'avez sauvé, vous m'offrez une nouvelle maison, une nouvelle vie, donc j'ai beaucoup de respect pour vous, Maîtresse.

Tu lui fais un grand sourire pour montrer ton honnêteté.

Fania sentit es douces mains sur ses pieds, sa peau était agréable, douce. Elle toucha ses pieds avec douceur, elle remonta jusqu’aux chevilles et se fit plus hésitante sur ses mollets. Fania avait trouvé une bonne petite esclave et elle en était satisfaite. Elle écoute les questions de la neko.

-Pour répondre à la question de mon identité, je ne suis pas tenu de te le dire, normalement. Mais, comme tu es ma première esclave et qu’il est fort probable que des personnes viennent te voir pour te demander des choses sur moi, je vais te faire cette fleur et le dire…. Toutefois cela ne sera pas en contrepartie de quelque chose. Pour toute question que tu te poses. Je te répondrai mais tu devras agir. Comme tu n’étais au courant de cette règle je ne te demanderai qu’une chose pour toutes tes questions…. Je veux sentir ta petite langue rose sur mon pied… Lèche le !

Fania monta sa jambe en direction de la bouche de la neko pour qu’elle comprenne mieux le sens de ses propos et attendit qu’elle lui lèche le pied voir les pieds c’était au grès de la neko. Elle attendit pas que la neko se décide et continua ses paroles car si la neko refusait l’ordre cela serait durement payé par une gifle dans son visage.

-Très bien, alors…. Je m’appelle Fania et je suis chevalier de Nexus. Je suis sûr que même une petite esclave comme toi à du entendre parler de ce royaume. Toutefois, comme je te l’ai dis et comme tu as si bien obéit tu te contenteras d’un maîtresse quand tu t’adresseras à moi… Ensuite, pourquoi toi ? Je dirais qu’il y a une part de chance dans ta situation à vrai dire… Je me suis occupé de ton affaire de meurtre mais ça aurait très bien pu être un autre chevalier qui n’aurait pas hésité à te tuer et à te violer. Mais, il faut dire que tu m’intriguais, une esclave qui se rebelle et qui n’hésite pas à tuer son employeur. Je trouvais que tu avais du potentielle et je voulais le vérifier. Quand tu as tué ton pépé, j’ai pu voir de moi-même ce potentiel. Tu as raison, il y a plein d’assassin dans le monde mais ils tous déjà formé et i lest difficile de trouver sur quelqu’un de loyal à la Couronne et c’est ce que je recherche avant tout. Mais, toi tu es loyale, n’est-ce pas ma petite Nyuko ?

Fania la regarda ne souriant attendant une réponse et vérifiant si la jeune neko lécher son pied ou pas.

-Tu  as donc été choisit par mes soins par ton potentielle et tes facultés et devrais en être honoré. Tu vas t’élever de ta condition sociale. Tu restes une esclave mais une esclave de luxe… Tu comprends ? Pour ce qui est de ta liberté… Je n’ai pas peur que tu t’enfuies… Si c’était le cas, je te retrouverai comme je l’ai fait il n’y même pas quelques minutes. De plus, tu te rendras vite compte que comparée à tes collègues tu auras une vie très choyée au château. Tu pourras te laver dans des bains moussants, apprendre différentes matière qui pourront t’être utile. De toute manière, si tu deviens un assassin, il faudra bien que tu prennes ton envol… Tout ce que je te demande, Nyuko c’est de me montrer du respect et d’obéir à mes ordres. Tu constateras que c’est une faible contrepartie pour avoir une vie de petite noble. Tu pourras même si tu le souhaites prendre un époux esclave et avoir des enfants. Je ne te refuse rien tant que ta loyauté m’est acquise. Si un jour tu constates que ton potentielle est gâchée, viens m’en parler et on règlera la question ensemble. Il est possible qu’on tente de te corrompre et je compte sur toi pour me dire qui essaye de te corrompre et je monterais le prix. Mais enfin, tu verras tout cela en temps et en heure… Réponds à une des mes questions... Quand tu as était esclave t'as t'on déjà touché? Je veux entendre par là, est-ce que tu as déjà fait l'amour?

Le château s’était dessiné à l’horizon et bientôt la calèche s’arrêta. Il était temps pour Fania de voir si Nyuko avait obéit ou non… L’heure de la récompense ou de la punition était là. Qu’allait donc faire Nyuko ? Contester ou approuver? Le choix lui appartenait...

-Pour répondre à la question de mon identité, je ne suis pas tenu de te le dire, normalement. Mais, comme tu es ma première esclave et qu’il est fort probable que des personnes viennent te voir pour te demander des choses sur moi, je vais te faire cette fleur et le dire…. Toutefois cela ne sera pas en contrepartie de quelque chose. Pour toute question que tu te poses. Je te répondrai mais tu devras agir. Comme tu n’étais au courant de cette règle je ne te demanderai qu’une chose pour toutes tes questions…. Je veux sentir ta petite langue rose su mon pied… Lèche le ! 

Tu regardes son pied arriver près de ta bouche. Tu recules un peu en rougissant. On ne t'as encore jamais demander de faire une chose pareille ! Tu déposes son pied dans ta main et tu la regarde, dégoûté de sa demande.

-Très bien, alors…. Je m’appelle Fania et je suis chevalier de Nexus. Je suis sûr que même une petite esclave comme toi à du entendre parler de ce royaume. Toutefois, comme je te l’ai dis et comme tu as si bien obéit tu te contenteras d’un maîtresse quand tu t’adresseras à moi… Ensuite, pourquoi toi ? Je dirais qu’il y a une part de chance dans ta situation à vrai dire… Je me suis occupé de ton affaire de meurtre mais ça aurait très bien pu être un autre chevalier qui n’aurait pas hésité à te tuer et à te violer. Mais, il faut dire que tu m’intriguais, une esclave qui se rebelle et qui n’hésite pas à tuer son employeur. Je trouvais que tu avais du potentielle et je voulais le vérifier. Quand tu as tué ton pépé, j’ai pu voir de moi-même ce potentiel. Tu as raison, il y a plein d’assassin dans le monde mais ils tous déjà formé et i lest difficile de trouver sur quelqu’un de loyal à la Couronne et c’est ce que je recherche avant tout. Mais, toi tu es loyale, n’est-ce pas ma petite Nyuko ?

Tu réfléchis à ce qu'elle vient de te dire. Fania ... C'est un très joli prénom. C'est un chevalier ? Qui l'aurait cru ? Une femme aussi belle, tu l'aurais plus prise pour une princesse ! Nexus, hein ? Oui, tu en as déjà entendu parler et on t'avait formellement interdit de t'y aventurer. On t'a toujours dis qu'une fois là-bas, tu ne pourrais plus jamais en sortir. Tu frissones en n'y repensant. Donc elle savait déjà qui tu étais même avant de venir te chercher ? C'est que tu dois être connu, sans vraiment le vouloir. Heureusement, ici tu n'es pas là pour mourir mais pour vivre une toute nouvelle vie. Même si d'un côté, tu as toujours voulu rester en dehors de l'esclavage. Peut-être que ta race est juste bonne à ça. Quand elle te demande si tu es loyale, tu lui fais signe « oui » de la tête. Tu regardes une nouvelle fois son pied qui se trouve à quelques centimètre de ta bouche. Tu alaves ta salive, avant de sortir ta langue rapeuse. Tu espères ne pas trop lui faire mal et tu commences à lui lécher doucement le pied. Tu rougis, beaucoup.

-Tu  as donc été choisit par mes soins par ton potentielle et te facultés et devrais en être honoré. Tu vas t’élever de ta condition sociale. Tu restes une esclave mais une esclave de luxe… Tu comprends ? Pour ce qui est de ta liberté… Je n’ai pas peur que tu t’enfuies… Si c’était le cas, je te retrouverai comme je l’ai fait il n’y même pas quelques minutes. De plus, tu te rendras vite compte que comparée à tes collègues tu auras une vie très choyée au château. Tu pourras te laver dans des bains moussants, apprendre différentes matière qui pourront t’être utile. De toute manière, si tu deviens un assassin, il faudra bien que tu prennes ton envol… Tout ce que je te demande, Nyuko c’est de me montrer du respect et d’obéir à mes ordres. Tu constateras que c’est une faible contrepartie pour avoir une vie de petite noble. Tu pourras même si tu le souhaites prendre un époux esclave et avoir des enfants. Je ne te refuse rien tant que ta loyauté m’est acquise. Si un jour tu constates que ton potentielle est gâchée, viens m’en parler et on règlera la question ensemble. Il est possible qu’on tente de te corrompre et je compte sur toi pour me dire qui essaye de te corrompre et je monterais le prix. Mais enfin, tu verras tout cela en temps et en heure… Réponds à une des mes questions... Quand tu as était esclave t'as t'on déjà touché? Je veux entendre par là, est-ce que tu as déjà fait l'amour?

Tu t'arrêtes de lui lécher le pied et sourit. Tu es contente de savoir que tu ne seras plus traiter comme avant. Être une esclave de luxe, avoir une vie de petite noble, rien que pour ça, tu aimerais la serrer dans tes bras pour la remercier. Une larme coule sur ta joue, mais cette fois-ci, c'est une larme de joie. Après presque 18 ans d'existence dans le noir, dans la pauvreté, dans la tristesse, te voilà revivre en tant que noble, même si tu n'es qu'une esclave, comparé à certains, c'est le paradis. Tu rougis à sa dernière question. Tu n'as pas trop envie d'y répondre, alors tu continues de lui lécher le pied. Tu essaies d’éviter son regard, mais tu ressens bien dans l'atmosphère que tu devras y répondre. Tu arrêtes ton action, dépose son pied à terre et te racle la gorge. Tu sens tes joues te brûler tellement tu as honte de cette question.

▬ Je ... Non. Je suis toujours vierge et je ne pense pas être prête à tout ça ... En fait, ça me fait très peur, j'ai peur d'avoir mal, j'ai peur aussi parce que je n'y connais absolument rien ... Désolé, Maîtresse.

Fania sentit la petite langue râpeuse de Nyuko touchait son pied. Elle sourit devant la rougeur que Nyuko prenait. Nyuko avait hésité un peu mais plus le temps passait et plus elle semblait heureuse de cette acte. Elle aperçut même une petite  larme de contentement coulait de la joue de Nyuko. Nyuko déposa son pied par terre pour répondre à sa question.

- Qui t’as mis en tête que l’amour fait mal ? Cela ne fait jamais mal, et si c’est le cas c’st de la oduleur consentie… ou un viol…. Bien que certaines victimes prennent du plaisir lorsqu’elles se font violer… Mais, je n’ai jamais très bien compris ce type de réaction. Pour ce qui est du fait que tu sois prête ou pas…. On n’est jamais prête dans ce genre de situation, il suffit juste de se laisser conduire de se laisser aller… Toutefois en terme d’âge, j’ai vu sur ta fiche d’identité que tu as 18 ans et bien sache que ma première fois s’est déroulé à mes 15 ans. Et, je pense que plus on attend et plus on stresse sur la situation pou rien. Toutefois, ma petite Nyuko on verra cela en temps et en heure….

Fania s’était levé et avait caressé la joue de la belle Nyuko. La calèche s’était arrêtée et Fania avait remis ses chaussures puis elle était descendue de la calèche en faisant un signe de tête à Nyuko de la suivre. Elles se dirigèrent toutes deux vers l’entrée principale du château. Les gardes saluèrent Fania et eut un air dédaigneux face à Nyuko car ils ne la connaissaient pas. Elles traversèrent de longs couloirs où des lustres en cristal étaient attachés au plafond. Des tapisseries et des peintures était sur les murs. ON pouvait voir un magnifique tapis en bas et quelques armures entreposés de temps à autre.

Puis, Fania s’engagea dans un escalier qui descendit dans les geôles du château. L’endroit y était plus lugubre, plus sale. Dans les geôles, il y avait des prisonniers qui voulait boire ou manger mais dans le geôlier s’en fichait. D’ailleurs Fania adressa quelques paroles au geôlier pour sa voir si les préparatifs pour le violeur avait été fait. Le geôlier confirma et Fania indiqua à Nyuko de la suivre ans une petite pièce exigu.

Dans la pièce se trouvait un homme, la trentaine, qui était attaché à une croix par de puissantes chaines. Il était nu et l’on voyait toute son anatomie. Sur une table était disposé divers instruments de tortures comme des tenailles, des scies, des couteaux, une serviette mouillée qui permettrait de faire ressentir le manque d’air à sa cible. Tout était là…. L’homme criait son innocence.

-Nyuko, nous avons affaire au prisonnier B212, un certain Jor Snide, il a à son effectif une série de 5 viols sur diverses jeunes femmes toutes âgées entres 15 et 20 ans. Ce type est une ordure, ne t’y trompe pas ! Plusieurs témoins ont vu cet homme sortir de la chambre des victimes. Il en a même tué une. Tu as devant toi plusieurs instruments de torture ? As-tu déjà torturé un cafard ? Je sens que cela va te plaire… L’objectif d’aujourd’hui et que tu lui fasses avouer ses crimes par n’importe quel moyen. Quand tu y seras parvenue, tu pourras le tuer. Si tu fais bien ton travail, il préféra mourir que continuer à vivre.

Fania avait posé ses mains sur les épaules de Nyuko.

-Attention, Nyuko…. C’est un exercice…. Je sais que cet homme est coupable et il devrait déjà être mort mais je compte te faire travailler sur le fait que tu dois lutter contre ton envie de tuer pour apprendre des informations. De toute manière, cela se finira par son meurtre… Quand tu auras réussit cette tâche, nous passerons à l’exercice suivant.

Fania poussa légèrement Nyuko vers la table.

-Allez, je te regarde… Montre-moi à nouveau ton potentielle… Fais plaisir à ta maîtresse…

L’homme regardait Nyuko et comprit qu’il pouvait sauver sa vie en jouant sur la pitié car il savait que Nyuko était inexpérimentée. Il se mit à geindre et à pleurnicher.

-Mademoiselle, je vous jure que j’y suis pour rien… Ces jeunes femmes étaient consentantes, je n’ai tué personne… Je vous en supplie… vous allez pas faire de mal à un innocent ?

C’était à Nyuko de prendre une décision. Qui allait-t-elle croire ? L’homme suspendu par des chaînes à une croix et qui pouvait lui rappeler son ancienne vie d’esclavage ? Ou, sa maîtresse, si belle, si talentueuse qui lui offrait une nouvelle vie ?

- Qui t’as mis en tête que l’amour fait mal ? Cela ne fait jamais mal, et si c’est le cas c’st de la oduleur consentie… ou un viol…. Bien que certaines victimes prennent du plaisir lorsqu’elles se font violer… Mais, je n’ai jamais très bien compris ce type de réaction. Pour ce qui est du fait que tu sois prête ou pas…. On n’est jamais prête dans ce genre de situation, il suffit juste de se laisser conduire de se laisser aller… Toutefois en terme d’âge, j’ai vu sur ta fiche d’identité que tu as 18 ans et bien sache que ma première fois s’est déroulé à mes 15 ans. Et, je pense que plus on attend et plus on stresse sur la situation pou rien. Toutefois, ma petite Nyuko on verra cela en temps et en heure….

Donc ça ne fait pas mal ? Peut-être que pour certaine personne c’est douloureux quand a d’autres ils prennent directement du plaisir… Tu rougis un peu. Pourtant, quand tu entendais ton ancien maître coucher avec ces domestiques, elles hurlaient toujours… Hurlaient donc t’elles de plaisir ? C’est assez bizarre tout ça. Tu as un peu plus de renseignement maintenant, même si  à coup sûr, elle te demandera un jour que le faire et à ce moment-là, tu ne pourras pas refuser. Fania caresse ta joue en descendant et tu la suis, regardant autours de toi. C’était vraiment un château magnifique. Tu es restes bouche bée. Quand tu passes près des gardes, ils te regardent avec énormément de haine, sans doute parce qu’ils ne t’ont encore jamais vu et qu’ils te prennent pour une méchante. Tu baisses tes oreilles et chats et colles tes queues contre tes jambes, en baissant la tête. Ils te font peur, tu n’as pas envie de voir leur regard plus longtemps. Tu te sens mieux une fois dans le château. C’était vraiment très luxueux. Tu regardes partout autours de toi, c’est vraiment magnifique. Rien que de savoir que tu vas vivre ici, te donne envie de sauter partout, mais tu restes calmes. Fania ne s’arrête pas dans cet endroit magnifique mais continue toujours tout droit, pour arriver devant des escaliers. Tu sens qu’en bas, c’est l’endroit où le violeur t’attend. Tu sens que l’endroit sera horrible et qu’il te fera sans doute peur, mais tu sers les poings et descend. Vous passez devant le garde qui ne dit rien, devant d’autres cellules avant d’arriver devant celle où se trouve le violeur. La jolie dame ouvre la porte et te laisse entrer.

- Nyuko, nous avons affaire au prisonnier B212, un certain Jor Snide, il a à son effectif une série de 5 viols sur diverses jeunes femmes toutes âgées entres 15 et 20 ans. Ce type est une ordure, ne t’y trompe pas ! Plusieurs témoins ont vu cet homme sortir de la chambre des victimes. Il en a même tué une. Tu as devant toi plusieurs instruments de torture ? As-tu déjà torturé un cafard ? Je sens que cela va te plaire… L’objectif d’aujourd’hui et que tu lui fasses avouer ses crimes par n’importe quel moyen. Quand tu y seras parvenue, tu pourras le tuer. Si tu fais bien ton travail, il préféra mourir que continuer à vivre.

Tu regardes la table où se trouve divers instruments de tortures. Tu regardes la table et lance un certain sourire, qui peut donner un air pervers et psychopathe en même temps. Tu regardes une fois l’homme. Lui est attaché sur une croix et essaie de  te faire changer d’avis. Fania pose une main sur ton épaule et tu la regardes, droit dans les yeux. Elle te poussa ensuite un peu vers la table.

- Attention, Nyuko…. C’est un exercice…. Je sais que cet homme est coupable e il devrait déjà être mort mais je compte te faire travailler sur le fait que tu dois lutter contre ton envie de tuer pour apprendre des informations. De toute manière, cela se finira par son meurtre… Quand tu auras réussit cette tâche, nous passerons à l’exercice suivant.
Allez, je te regarde… Montre-moi à nouveau ton potentielle… Fais plaisir à ta maîtresse…

Tu t’avances vers la table et regarde tous les instruments de tortures. Tu prends un petit couteau et t’avances vers l’homme. Il te regarde et te cris des mots comme quoi il n’y est pour rien, il fait tout pour te brouiller et te mettre sur une fausse piste. Mais tu ne l’écoutes pas.  Tu fais plus confiance à Fania qu’à cet homme. Après tout, elle n’ira pas capturer quelqu’un pour rien, enfin, c’est ce que tu penses. C’est vrai que d’un côté, tu ne sais pas trop faire extrêmement confiance en elle parce que bon, tu ne la connais pas assez. Mais tu feras tout ce qu’elle te demandera de faire, pour ne pas mourir. Tu t’avances vers le bas ventre de l’homme et tu lui tailles un peu le bas ventre, là où se trouve la vessie.

▬ Et pourquoi je vous écouterez ?! Si vous êtes ici, c’est surement parce que vous y êtes pour quelques choses. Et vous connaissez mieux l’histoire que tout le monde, puis-ce que vous venez de m’expliquer qu’il  y en avait plusieurs et que l’une d’entre elle est morte. Un simple innocent comme vous dites, n’aurait aucun renseignement. Ça prouve déjà que vous étiez dans l’affaire. Et il y a du surement avoir des empruntes pour que l’on arrive vers vous. Plus la peine de mentir. Oui je suis peut-être inexpérimentée, mais je lui loin d’être conne. Donc monsieur Snide, au lieu de mentir, pourquoi ne pas tout me raconter tout simplement ? Vous y gagnerez peut-être la vie, qui sait … Et puis dépêchez-vous, parce que c’est vrai que je suis inexpérimentée donc j’aurai beaucoup de mal à vous tenir en vie longtemps si vous me faites trop chier. Je n’aurai qu’une seule envie, joué au chat et à la souris avant d’en avoir marre et de vous tuer.

Tu lui redonnes un coup de couteau, mais cette fois-ci, juste au-dessus de son penis. Tu balances le couteau par terre et ressent la haine monter d’un coup. Tu sers les poings. Il faut te concentrer et te retenir de le tuer tout de suite. Tu dois être forte. Tu balances tes queues de gauches à droite, pour lui montrer que tu es énervée.

▬ Je n’ai qu’une seule envie, de couper votre sale bite qui s’est baladé dans pleins de filles innocentes ! Et dire que vous n’avez aucune honte ! Dépêcher vous de me donner des informations ou je vous fais endurer la même chose que vous avez fait à ces filles !!

Cette fois-ci, tu prends un couteau avec une longue manche et la serviette humide. Tu lui fais comprendre avec ces gestes que, si il ne dit rien, tu l’étoufferas en lui coupant ce qu’il a de plus cher et que le manche du couteau finira dans le seul trou qu’il possède en bas du corps.   
 
 

L’homme gémit de douleur après s’êtres pris des coups de couteau. Il saigne un peu, et pourtant une leur de défi bille toujours dans ses yeux. Fania songea que Nyuko s’en sortait pas si mal bien que donner des coups de couteau était peut être un trop violent alors que faire des zébrures au couteau sur sa peau ourle défigurer aurait était tellement plus utile.

- Tu peux pas me couper la bite…. Petite garce…. Car, je dois rester en vie tant que j’ai pas donné des informations… Grosse… Haaa….

Fania donna une claque à cette homme. Elle ne supportait pas qu’on parle comme ça de sa petite esclave.

- Pour qui tu te prends, sale détritut ! La prochaine fois que tu lui manques de respect, je te tue. La loi, c’est moi tâche de t’en rappeler …

-Tu peux toujours rêver…. Haaaa… haaaa… haaaa……

Fanai lui avait collé une série de gifle monumentale et elle revint ave un tisonnier chauffé à blanc et le colla sur la peau de l’homme au niveau de son torse.

-Hhhhhhhaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!!

L’homme se tortille sur place et cria très fort….

-Très bien, très bien, je l’appellerai Madame….

Fania sourit et se tourna vers Nyuko en lui souriant. Elle lui chuchota à l’oreille

 -Tu vois ce que l’on peut faire avec de la détermination…. C’est ce que l’on appelle de la torture physique on peut briser un homme avec de tels procédés. Toutefois, j’ai dans l’idée que la troture psychologique peut fonctionner avec lui. C’est un violeur donc il risque de céder si tu te montre aguichante envers lui que tu le câline, que tu lui murmure à l’oreille que tu es désolée pour ce que je lu ai fait, qu’un si bel homme devrait plutôt faire l’amour avec une fille. Si tu joues bien ton rôle, il risque de s’imaginer dans sa peau de violeur et de vouloir te prendre à ce moment là soit brutal avec lui et demande lui si c’est comme ça qu’il s’y est pris pour les autres filles. Sa dépendance sexuelle devrait l’amener à se trahir et tu auras l’honneur de le tuer.

Fania souriait de son plan. Elle pourrait tester les capacités d’assassin de la jeune neko tout en la débridant sur le sexe. Elle semblait s’en être fait une idée tellement loin du concept de base.

-Madame, je vous le redis je n’y suis pour rien. Je suis désolé pour tout à l’heur je n’ai pas l’habitude que l’on me donne des coups de couteau. Je constate que l’on vus oblige à effectuer ses tâches et vous ne semblez pas être méchant dans le fond. C’est si dur que ça de croire que je suis innocent ? Je n’ai jamais fait de mal à personne dans ma vie et certainement pas sur une jolie femme douce.

L’homme mentait à le perfection. C’était difficile de savoir s’il mentait ou disait la vérité. En revanche c’était exactement le bon moment pour Nyuko de jouer les bécasses pour cet homme si elle voulait appliquer la torture psychologique. Elle était libre de ses choix, Fania ne l’obligeait à rien. Elle était là pour apprendre pas pour obéir.