Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Calliope Tick

Humain(e)

Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

mardi 09 septembre 2014, 15:56:24

Calliope était étendue sur un transat, à la piscine municipale, profitant d'une belle journée ensoleillée. Depuis quelques temps, sa vie n'était pas des plus calmes. Le point d'orgue s'avérant être la rencontre entre Gabriel et elle. Le policier était à se damner, et ils s'étaient retrouvés mariés, à cause d'un abus de boisson. Leur soirée mouvementée avait été épique, presque désastreuse et mortelle, mais ils avaient su s'en tirer remarquablement bien. Ils formaient un bon duo.

Elle l'avait quitté deux jours plus tôt, ayant des affaires à régler hors de la ville, et venait de revenir à Seïkusu.

Allongée là, en bikini, la rousse pianotait sur son téléphone. Elle envoya un petit texto au blondinet.

Calliope : "Salut beau gosse. Je suis de retour en ville. Tu veux qu'on se voit ?
Bisous <3"


Elle eut un sourire en repensant à lui, et éteignit l'écran du téléphone, le glissant dans son sac.

L'heure qui suivit, elle plongea, et nagea un peu, savourant la chaleur de l'eau contre sa peau, et la fraîcheur de l'air quand elle en sortait. Puis, finissant de se sécher, elle décida d'aller boire un café dans un bar méconnu du quartier de la Toussaint.

Elle connaissait bien les lieux, y venant souvent. Le barman était habitué à sa présence, et lui offrait toujours un verre sur deux.

« Salut Tyler, lança-t-elle, toute guillerette. »

Il n'y avait jamais beaucoup de monde dans ce bar, mais aujourd'hui, c'était presque vide. Arrivant au comptoir, après avoir fait la bise au barman, elle demanda :

« Et bien, c'est la crise aujourd'hui ? »

Tyler rit, et secoua la tête. Il expliqua qu'un autre bar avait ouvert aujourd'hui, et que le clients étaient curieux. S'installant sur un des haut tabouret, Calliope commanda un café noir. Elle prit également des petits biscuits pour aller avec.

Un quart d'heure après son arrivée, Tyler dut d'absenter. Il chargea un nouveau de gérer le bar en son absence, et serra Calliope dans ses bras avant de filer.

Seule avec le nouveau venu, et les quatre clients disséminés dans le bar, Calliope rouvrit son téléphone, et surfa sur le net, lisant des articles de l'actualité, ne faisant pas spécialement attention à ce qui se passait dans le bar.

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 1 mardi 09 septembre 2014, 17:55:51

Jonathan Saints aimait les trésors, mais plus encore, il aimait particulièrement les nouveaux trésors. Il ne gardait pas le plaisir de la collection très longtemps, il se contentait en général de collection quelque chose, d'en profiter, et quelques jours, voire quelques semaines plus tard, il se contentait de les entreposer et de les maintenir en bon état, mais il ne venait que rarement jouer avec ses « vieux » trésors. Certains finissaient par disparaître, mais ce n'était pas grave : il les remplaçait aussi sec. Et en général, quand il cherchait un nouveau trésor, il commençait par repérer les lieux…

Pour le coup, il trouvait cet endroit tout à fait parfait pour ce genre de choses : un quartier entier laissé au crime et à la dépravation. Les viols étaient monnaie courante, les enlèvements aussi, quant aux disparitions humaines ou matérielles, mieux valait ne pas en parler… ça ne se comptait même plus, et ce n'était pas la police qui allait faire quoique ce soit.

Pour repérer les lieux, il avait trouvé un travail parfait qui lui permettait de repérer d'éventuels trésors. En tant que serveur dans un bar local. ? Franchement, c'était le genre de bar qu se faisait passer pour branché mais qui était assez miteux en réalité, quand on le connaissait bien… il n'y avait pas grand monde, mais il y avait sufisamment de monde pour qu'il reste ouvert. Deux ou trois habitués. Pour le moment, il gérait surtout les  stocks, en effet, devant sa capacité à rapidement inventorier et vérifier les stocks, Tyler, le barman, l'avait affecté à cet endroit. IL aurait préféré être affecté à la clientèle...

Il s'était, bien entendu, procuré une fausse identité, quoique Jonathan Saints ne soit pas encore connu des services de police Seikusu, aussi, il avait tout son temps, d'ailleurs, en ce moment même, il avait un double qui faisait le même travail que lui dans un autre bar à l'opposé du quartier… Reégulièrement, il recevait de sa part des images et des sensations qui lui confirmait que c'était lui le mieux placé. Un bar désert et pas forcément fréquenté par les bonnes personnes. Pas de caméras de surveillance qui marchaient. Bref, beaucoup de bons points.

Finalement, ENFIN, le patron su s'éclipser, et c'est notre Jonathan qui passa sur le devant de la scène. IL put enfin vraiment examiner la clientèle en nettoyant le comptoir. Il n'y avait rien de bien intéressant…. Hormis une petite chose : une magnifique jeune femme qui avait une belle chevelure rousse et un teint hâlé qui lui donnait un côté très occidental. Particulièrement mignonne. Il en aurait presque bavé suir place, mais il se retint, et avisant sa tasse vide, il vint à sa rencontre, une tasse de café à la main et d'autres petits biscuits et se pencha vers elle pour déposer délicatement le tout sous son nez, de manière à être bien vu…

« Cadeau de la maison, ordre du patron, je vous resserre tant que vous le désirez, jusqu'à son retour, aussi, je me suis permis... »

Il sourit. Ce bon sentiment ne lui plaisait pas, mais nieriez vous qu'il était efficace pour aborder les gens ?

« Johnny Santo, je suis nouveau. Vous semblez être une habituée, je me trompe ? Je n'aviais encore jamais vu le patron aussi généreux ! »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 2 mardi 09 septembre 2014, 18:08:13

Pas de nouvelles de Gabriel, mais le connaissant, son téléphone devait être aux abonnés absents. Quelque chose, chez lui, faisait que la technologie tombait souvent en rade quand il était à proximité. Calliope ne s'en inquiéta donc pas, et checkait les news aux USA, buvant distraitement son café.

Alors qu'elle avait fini sa tasse depuis quelques minutes, le remplaçant provisoire de Tyler déposa devant elle d'autres biscuits, et une tasse de café remplie. Un sourire flotta sur les lèvres de la rousse tandis qu'elle levait les yeux.

« Cadeau de la maison, ordre du patron, je vous resserre tant que vous le désirez, jusqu'à son retour, aussi, je me suis permis... »

Observant les traits du remplaçant, le regard de l'irlandaise pétilla de malice.

« Et bien, merci beaucoup. »

Elle aimait l'éclat que le sourire de l'homme donnait à son regard. Tyler avait bien choisi son remplaçant. Nul doute que cet homme savait attirer la clientèle. Essentiellement féminine, elle en mettrait sa main au feu.

« Johnny Santo, je suis nouveau. Vous semblez être une habituée, je me trompe ? Je n'avais encore jamais vu le patron aussi généreux ! »

Elle hocha la tête, buvant une gorgée du breuvage encore chaud.

« Oui, Tyler est un très bon ami par ailleurs. Je lui envoie parfois de nouveaux clients, lui faisant de la pub, si on veut. »

Elle posa son téléphone, et appuya son coude sur le comptoir, venant caler son menton dans la paume de sa main.

« Vous êtes là depuis longtemps, Johnny ? Ça ne vous gênes pas que je vous appelle Johnny j'espère ? Sinon, je peux vous donner du Mr Santo, si vous préférez... »

Un petit sourire en coin étirait les lèvres de la rousse, tandis que ses yeux pétillaient d'humour. Elle était adorable, comme ça, avec ses tâches de rousseur moins visibles qu'à l'ordinaire grâce au hâle de sa peau.

Elle piocha un des biscuits qu'il venait d'amener, et croqua dedans distraitement, avant de lécher ses lèvres pour enlever les petites miettes qui restaient.

« Vous êtes originaire du japon ? »

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 3 mercredi 10 septembre 2014, 17:51:58

Elle était vraiment magnifique, alors rester à ses côtés et papoter ne le dérangeait pas le moins du monde, surtout s'il pouvait repartir avec une beauté pareille à son bras… il sourit à cette idée et eut pendant quelques instants davantage l'air d'un prédateur que d'un homme sympathique, quoique ça lui offre un certain charme, bien évidemment. Il fut content à cette pensée. Elle avait une voix douce et agréable… un côté même sensuel dans la voix qu'elle n'aurait pu cacher quand bien même elle aurait essayé. En effet, sa grâce naturelle et sa longue chevelure rousse allaient de pair, c'était inhabituel, d'autant plus avec ce hâle qui donnait l'impression qu'elle avait passé un bon mois sous un soleil qui vous dorait la peau délicieusement. Et elle avait dû jouer avec talent sur la dose de crème solaire :  les roux en général avait la peau si blanche et laiteuse qu'ils brûlaient plus qu'ils ne bronzaient.

Ainsi, elle était bien une habituée de longue date. Du bar, si l'on pouvait dire. Il regarda la jeune femme et lui sourit alors qu'elle expliquait la raison de l'attachement de Tyler à sa personne. Une amie de longue date, et en plus de cela elle lui ramenait des clients, il ne manquait que l'avoir allongée sur le comptoir et faite crier… il l'aurait bien fait, d'ailleurs… mais cela pouvait encore venir. Il eut un petit écart dans le regard qui disparut bien vite pour finalement qu'elle lui pose l'ultime question des rencontres les plus classiques. Était-il originaire du japon. Il eut un léger sourire et s'appuya sur le bar.

« Non m'dame, je suis de Chicago, les states… et je suis pas plus japonais que vous !  Parce que le jour où je vois une japonaise aussi belle, je veux bien me raser intégralement la tête… et pourtant, je tiens à ma barbe, c'est dire ! »

IL eut un léger éclat de rire avant de continuer.

« Et vous pouvez m'appeler Johnny, Monsieur Santo, c'est juste pour les papelards. »

Non, en fait il se disait que de la voir à ses pieds et qui l'appelaient monsieur ou amitre n'aurait pas été désagréable pour autant. Nouvel éclat dans l'œil. Il l'admira de nouveau, silencieux pendant quelques minutes avant de finalement prendre un tprchon et essuyer des vers propres, sans s'éloigner des masses. Comme pour ne pas la lâcher du regard.

« Et sinon alors, vous faites quoi dans la vie ? À part mannequin bien sur ! »

Comment ça, il était en train de relire « techniques d'approche pour les nuls » ? Pas du tout, il faisait la conversation pour garder son atention, nuance. ET croyez-le ou pas, c'était une technique qui n'était pas si mauvaise que cela, bien que son air amusé contrastait avec le « sérieux » de la question, puisqu'il montrait ainsi qu'il plaisantait, mais seulement à demie...


« Remarquez, ej dis ça, mais vous devriez vous méfier, hein ! - il prut un air de conscpirateur en se penchant vers elle -  on dit que le quartier est diablement mal fréquenté… alors quand on est aussi jolie que vous, parler avec un inconnu alors qu'il a des litres et des litres d'alcools à sa disposition pour la saouler et ensuite l'emmener ailleurs pour s'amuser bon gré mal gré… vous vez beaucoup de courage. Qui sait, je suis peut être un dangerux psychopathe ! »

Il se retint de rire pour conclue.

« Ou peut être juste un abruti qui n'aurait pas vu vos gardes du corps vous attendant dehors pour me casser la gueule si j'esquisse le moindre geste vers une bouteille d'alcool pour vous servir ! »

Il ne se retint pas davantage et rit de bon cœur...

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 4 jeudi 11 septembre 2014, 22:20:00

« Non m'dame, je suis de Chicago, les states… et je suis pas plus japonais que vous !  Parce que le jour où je vois une japonaise aussi belle, je veux bien me raser intégralement la tête… et pourtant, je tiens à ma barbe, c'est dire ! »

Elle rit avec lui, prenant une autre gorgée de café chaud. Il était amusant. Affable, et agréable à regarder en plus. Si les femmes savaient qu'un tel spécimen bossait ici, elles se rueraient toutes pour le draguer.

Calliope, elle-même, ne pouvait s'empêcher de laisser son regard s'attarder sur le corps qu'elle voyait au travers des vêtements du barman remplaçant. Elle imaginait une musculature agréable à tâter.

« Et vous pouvez m'appeler Johnny, Monsieur Santo, c'est juste pour les papelards. »

Mais elle se secoua les puces. C'était malpoli de regarder les gens ainsi. Ils pouvaient se sentir insultés. Elle reprit alors un sourire léger, et hocha la tête.

« Appelez-moi Calliope dans ce cas. »

Un peu de familiarité ne faisait pas de mal. Même si elle ne le connaissait pas, elle le trouvait vraiment très sympathique.

« Et sinon alors, vous faites quoi dans la vie ? À part mannequin bien sur ! »

Un rire franchit ses lèvres. C'était une technique de drague dont Calliope avait déjà fait les frais. Mais ça ne la gênait pas. C'était même flatteur. Elle lui adressa un regard amusé, pétillant de malice.

« Remarquez, je dis ça, mais vous devriez vous méfier, hein ! On dit que le quartier est diablement mal fréquenté… alors quand on est aussi jolie que vous, parler avec un inconnu alors qu'il a des litres et des litres d'alcools à sa disposition pour la saouler et ensuite l'emmener ailleurs pour s'amuser bon gré mal gré… vous avez beaucoup de courage. Qui sait, je suis peut être un dangereux psychopathe ! »

Elle haussa les sourcils, l'air intriguée, mais n'eut pas le temps de répondre qu'il reprenait déjà :

« Ou peut être juste un abruti qui n'aurait pas vu vos gardes du corps vous attendant dehors pour me casser la gueule si j'esquisse le moindre geste vers une bouteille d'alcool pour vous servir ! »

Elle se pencha un peu plus sur le bar, repoussant légèrement sa tasse de café pour pouvoir poser ses coudes sur le comptoir, et souffla d'un air de conspirateur :

« Vous savez, mes gardes du corps sont un peu cons. Ils pourraient prendre un simple flirt pour une tentative de viol. M'est avis qu'on pourrait continuer à discuter derrière le bar, dès que Tyler sera revenu, mmm ? »

Elle souriait, entrant dans son jeu avec joie. Elle n'oubliait pas Gabriel, mais, on ne se refait pas. Elle aimait flirter, et elle ne pourrait se priver de faire la bête à deux dos avec qui elle voulait. Si ? Elle repoussa cette pensée pour le moment, trouvant cet homme occidental tout à fait charmant.

A vrai dire, même si elle ne se l'avouait pas, sa raison se faisait souvent la malle quand elle se trouvait en présence d'un beau mâle. Elle ne réfléchissait plus clairement, et c'est ce qui l'avait pénalisée bien souvent.

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 5 samedi 13 septembre 2014, 16:13:23

Calliope… oui, c'était mignon comme nom… pas courant, c'était le moins qu'il pouvait dire, mais mignon néanmoins, et elle le rendait, en disant ce nom, sexy d'une certaine manière. Il sourit à cette idée et regarda la jolie rousse au bronzage délicieux. De nombreux fantasmes lui venaient en tête… quelle imagination !  Il eut un petite éclat malicieux dans le regarda avant de finalement lui faie un clin d'oeil. Il trouvait juste dommage de ne pas pouvoir détailler l'intégralité de sa silhouette du regard… mais il avait déjà une vue plus qu'intéressante sur son buste et donc sur sa superbe poitrine. Oui, elle avait un galbe qui frisait la perfection tant sur la forme que sur la taille…

petit sourire en coin, il regarda la jeune femme alors qu'elle prenait la parole pour jouer avec lui. UN jeu bien amusant… en effet, il s'agissait davantage d'une sorte de jeu de rôle puisque, étant donné le fond des paroles de la jeune femme, en dépit de la forme, il lui plaisiat au moins autant qu'elle lui plaisait. Et cette donnée ne changerait pas, quand bien même elle aurait pu être mariée…

En effet, ce n'était pas comme si elle ne lui proposait pas d'aller jouer derrière le bar une fois Tyler revenu… il ne put s'empêcher de sourire en entendant la manière qu'elle avait de présenter les choses. En effet, elle était entrée dans son jeu suffisamment pour que ce soit drôle, il rit dpoucement pour conclure ses paroles… il répliqua ensuite dard dard…

« Alors heureusement que je ne fais que discuter avec vous, je les imagine me sauter dessus en tas car je flirte… mais là n'est pas le sujet. La grande question, c'est comment tromper leur vigilance… ce serait bête qu'ils nous suivent... »

Il sourit et doucement, il effleura la main de la jeune femme… avant de retourner essuyer un verre ou deux, parce qu'il n'était pas là pour ne pas travailler… il avait déjà une idée de la manière dont il allait procéder. En effet, il s'agissait d'une idée toute simple… même s'il avait déjà commencé en plongeant en guise de sucre dans le café un somnifère relativement puissant, quoique long à agir, surtout mélangé à du café, il fallait compter peut être trois quarts d'heure.

« J'ai une idée…. Je vais ouvrir la porte de la réserve, celle à côté des toilettes. Elle a une porte ui donne derrière et comme le s toilettes, elle n'est pas visible depuis l'entrée… et comme ça, vous pourrez sortir ni vu ni connu... »

Il lui fit un petit clin d’œil avant de la lui montrer d'un geste de la tête. Et il y eut un tintement de clochette correspondant à l'entrée dans le bar d'un groupe d'hommes qui, bien que plus jeunes que lui, semblaient quelque peu émêchés et qui le hélèrent. Il eut un petit sourire contrit pour Calliope alors qu'il  sortait de derrière le comptoir, passant contre la jeune femme en lui effleurant la cuisse et les reins des doigts… le genre de discussion qui se passerait derrière le bar se passerait assurément de commentaire…

« J'arrive !  J'arrive ! »

Il se dirigea vers eux, sans s'empêcher de chuchoter à Calliope au passage.

« A tout à l'heure... »

Ces clients allaient lui tenir la patte jusqu'à ce que Tyler soit de retour, une bonne demi-heure plus tard Et pas le genre agréables en plus, si vous voyez un peu…

~*~*~*~*~*~

Enfin, Tyler était de retour et c'était enfin le moment de rejoindre la jeune femme derrière le bar. Il prit la porte de la remise et traversa le fouillis de  bouteilles et autres choses à boire ou à manger avant de finalement déboucher à l'air libre… en l'attendant, il alluma une cigarette qu'il se mit à fumer, exhallant de jolis ronds de fumée parfaitement maîtrisés… tout était en place et si eil était là, ses clones se trouvaient cachés à proximité, attendant qu'elle s'effondre sous l'effet du narcotique pour qu'ils la transporte… il ne restait plus qu'à l'épuiser...

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 6 vendredi 07 novembre 2014, 19:07:37

C'était officiel. Sa raison s'était fait la malle. Elle sentit son coeur s'emballer à la proposition du jeune barman. Son sourire s'élargit alors, mais elle n'eut pas l'occasion de répondre car déjà, un groupe entrait, requérant les compétences de Johnny. Elle sourit, et frissonna imperceptiblement alors qu'il laissait sa main glisser discrètement sur elle avant d'aller servir les nouveaux arrivants.

Finalement, après une petite demi-heure, Tyler revint. Armé d'un sourire désarmant pour la rousse, il reprit son poste. Elle finit de lire sa page, sur son téléphone, et rangea ce dernier dans son sac à main.

« Tyler, ça te dérange si je te laisse mon sac ? Je vais aux toilettes. »

Le barman posa le sac derrière le bar, signe que non, ça ne le gênait pas. Elle lui sourit, l'embrassa sur la joue, et fila dans la direction des toilettes. Mais elle ne franchit jamais celles-ci, préférant ouvrir la porte de la réserve, et traverser cette dernière pour atteindre la porte du fond, comme avait précisé Johnny.

Ses pas la menèrent jusque dehors. Elle trouva, près de la sortie, le séduisant barman qui fumait.

« Mauvaise habitude, commenta-t-elle, amusée, avant d'emprunter cavalièrement la cigarette de l'homme pour la porter à ses lèvres, et tirer une bouffée. »

Elle la lui rendit immédiatement après, un sourire joueur sur les lèvres. Si elle avait écouté sa raison, elle ne serait jamais sortie. Elle ne l'aurait jamais rejoint. Mais, comme dit plus haut, sa raison n'était plus là. Il n'y avait plus que l'instinct, et le plaisir du flirt.

« C'est donc ici, la sortie des artistes, souffla-t-elle, en même temps que la fumée opaque qui s'élevait en ronds dans l'air. »

Elle tourna le regard vers Johnny, et confia, malicieuse :

« Mes gardes du corps n'y ont vu que du feu. Beau jeu ! »

Si seulement elle savait ce qui l'attendait... Elle ne serait pas aussi frivole. Elle serait sûrement restée à l'intérieur. Mais elle ne le savait pas. Loin de là.
« Modifié: lundi 10 novembre 2014, 19:19:52 par Calliope Tick »

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 7 lundi 10 novembre 2014, 22:19:06

Jonathan Saints n'était pas sorti les mains vides. En effet, il était sorti avec un peu d'alcool pour que leur amusement soit plus joyeux. Il ne s'agissait que de bière, pas japonaise, non, de la bière belge, importée à grands frais et qui valait une belle petite somme, mais qu'importe ! IL se disait que cela pimenterait un peu l'action, n'est-ce pas ? Il sourit à cette idée  ils seraient trois à supporter les dégats de l'alcool d'un seul, comme c'était pratique. Il pouvait boire trois fois plus avant d'être saoul...

Il n'eut pas à attendre particulièrement longtemps, bien au contraire. En effet, il avait fait de l'effet, puisqu'elle le rejoignit bien vite… il en avait de la chance dites donc… il sourit et regarda la jeune femme approcher et lui faucher sa clope… une mauvaise habitude qu'ils partageaient apparemment, puisqu'elle lui fauchait sa clope… bon, c'était à mettre dans son « régime alimentaire, une fois intégrée dans sa collection… il sourit et- plongea son regard dans ses jolis yeux émeraudes.

Il avait un petit air malicieux dans le regard alors qu'il s'exclamait, en rapport avec la sortie des artistes une réflexion comme quoi c'était apparemment aussi celle des œuvres d'art. Oui, c'était peut être un peu facile mais qu'importe… il trouvait cela plaisant de toute manière… il reprit une bouffée et  se concentra avant de créer un magnifique rond de fumée.. mais pas n'importe quel rond de fumée, non, un rond de fumée net, précis. Beau, en somme.

« Ah, c'est le problème des gorilles… ils oublient que le cerveau est un muscle à entraîner au même titre que les autres… je suis sur qu'ils ont tous eu une bourse universitaire de sport – s'ils ont pu aller aussi haut -  mais bref, pas assez pour comprendre qu'il y a toujours une sortie de secours, ou une porte pour les livraisons… que voulez-vous, tout le monde n'est pas doté d'avantages sur tous les plans, comme vous ou moi... »

Il lui fit un clin d’œil assez espiègle avant de réfléchir un court insitant sur la prochaine chose à faire… l'épuiser était en effet quelque chose au programme, omais pour ça, il fallait passer par la phase qu'il préférait : le flirt… un humoriste avait dit un jour que le meilleur moment, c'était pas celui où on tirait, mais le moment où la cible est acquise et il n'y a qu'un geste à faire pour tirer… Jonathan allait plus loin encore : le rapteur en série trouvait que toute la phase d'approche, la phase de traque et de pourchasse… oui, c'était en ces moments là qu'il trouvait un plaisir, un plaisir presque aussi important que l'acte sexuel lui-même….

« Mais pourquoi s'embêter à parler d'eux au juste ? Pourquoi s'y intéresser, ils pensent que vous êtes toujours dedans, non ? Alors nous avons toute lattitude pour nous amuser, n'est-ce pas ? »

Il ramassa au sol l'une des deux bouteilles qu'il avait sorti précédemment avant de dire, pour se dédouaner.

« T'inquiète pas, Tyler  en a commandé pour moi, donc je pique pas dans les réserve du patron ! »

Et finalement, il rajouta.

« T'en veux une ? »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 8 jeudi 13 novembre 2014, 17:35:04

Elle sourit alors qu'il la flattait au détriment des gardes du corps fictifs dont ils parlaient. Mais son regard était porté sur les ronds de fumée qu'il faisait. Elle résista à l'envie de lui piquer à nouveau la cigarette, et finit par glisser ses yeux sur lui. Elle eut un fugace pensée pour Gabriel, pensant aussi à l'anneau qui ornait toujours son doigt, mais la présence de Johnny la rappela au présent. Il se penchait pour attraper deux bouteilles, de sa réserve personnelle, de ce qu'il disait. Un sourire effleura ses lèvres tandis qu'il lui en proposa une.

« Puisqu'elles sont sorties... Oui, j'en veux bien une, merci. »

Elle prit celle qu'il lui tendait, et l'ouvrit rapidement. Elle avait la technique pour décapsuler, apprise à la dure lors de son passé. Prenant une gorgée, elle tourna la tête vers le barman.

« Amusons-nous, alors. Que proposes-tu ? »

Elle avait un sourire malicieux. Elle avait perçu, dans son ton, la notion d'amusement qu'il proposait. Et oui, ça lui plaisait. Elle ne renonçait pas à une occasion de s'amuser, fut-elle engagée ailleurs. C'était, par ailleurs, son gros défaut. Son inconstance sexuelle avait fait fuir plus d'un prétendant.

Mais elle l'avait développée à la dure également, cette inconstance. Quand on est violée par le type avec lequel on sort... Oui, on cherche du réconfort ailleurs. On le cache, même, qu'on part voir ailleurs. On le dissimule. Mais on continue. Et on devient accroc à ce frisson de l'interdit. Du non-convenable. Alors on continue, et on ne peut plus s'en empêcher.

Revenant au présent, elle piqua à nouveau la cigarette des doigts de Johnny, effleurant volontairement sa main, et la porta à ses lèvres pour en tirer une autre bouffée. Elle aussi, elle savait faire des ronds. Pas aussi parfait que les siens, mais tout de même raisonnablement ronds.

Elle la lui rendit, glissant ses doigts contre les siens quand elle inséra le filtre entre deux des doigts du barman.

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 9 dimanche 23 novembre 2014, 21:21:34

Jonathan Saints était un salaud de première… oh je ne dis pas juste pour satisfaire les partisans de l'autre camp, mais juste parce que tel était le cas… il avait trouvé une cible et désormais hors de portée d'une aide rapide, il était prêt à intervenir, au détriment de la juen femme, qui ne pouvait rien faire de plus que regarder et endurer en croisant les doigts, même si elle ne savait pas exactement encore ce qui allat se passer. Elle le comprendrait sans doute, mais un peu trop tard… pour le moment, il fallait encore jouer les innocents…

IL sourit alors qu'elle prenait une bière et l'ouvrait, comme lui. IL en prit une longue gorgée. C'était amer à souhait ! IL eut un léger sourire en coin avant d'en reprendre une longue gorgée rafraîchissante… avant de finir par récupérer la clope qui avait  circulé depuis sa dernière bouffée, admirant le rond de fumée qu'elle avait produit… IL sourit et porta les doigts de la jeune femme restés dans les siens, alors qu'il y portait sa clope  pour tenter autre chose. Plus ardu par contre. Alors qu'il y avait le joli rond de fumée qu'elle avait fait, il prit une bouffée, la retint, visa, ajusat son tir et laissa partir la fumée etn une longue ligne fine qui loupa de peu le centre du rond de fyuumée de la jolie rousse au teint hâlé. Il eut une moue déçue avant de se tourner vers la jeune femme et plonger son regard dans le sien, prêt à l'embrasser avec fougue…

C'est alors qu'il sentit la bague sous ses doigts… il lâcha sa main avant de sourire et éclater de rire…

« C'est pas possible évidemment… mariée… ben voyons, ça aurait été moins drôle sinon… ça aurait été trop beau… une nana roulée comme vous… forcément… ça aurait été trop beau pour être vrai… tu pense… je fais vraiment dans le con de parfois... »

IL plaqua la jeune femme contre le mur, but une dernière gorgée de  bière avant de laisser choir la bouteille, ou du moins en la posant un peu fort qui la fit se renverser sur le sol alors qu'il venait l'mbrasser avec fougue, ne lui laissant aucun espace ni pour se dégager ni pour lutter avant d'aller lui mordiller  le cou en disant, sur un ton amusé…

« Et bien vous lui direz que c'était à votre corps défendant... »

Le ton était donné, la bague, il il en avait rien à foutre… enfin, la bague… l'alliance plutôt… il pensait que son mari pouvait se la foutre bien profondément là où le soleil ne brillerait jamais pour la simple et bonne raison qu'il estimait qu'à partir du moment où elle avait accepté de le suivre ici, elle lui appartenait, elle était déjà presque une pièce de sa collection…

« Et puis bon, imaginons qu'on nous surprenne pendant qu'on s'amuse… alors au moins tu pourras dire que tu essayais de te défaire de moi... »

Oui, d'un coup il passait au tutoiement… le vouvoiement n'avait plus aucun sens dans ce contexte, vous ne trouvez pas ? Il lui sourit et lui siaist les poignets pour les bloquer de part et d'autre, contre le mur, ses mains musculeuses refermées dessus… il la tient comme ça, un peu à sa merci, alors que son corps se colle au ien pendant qu'il l'embrasse…

« Alors, tu en penses quoi ? »

Il avait un léger sourire carnassier sur les lèvres.

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 10 jeudi 27 novembre 2014, 20:18:16

Son regard se posa sur la bague quand il en fit mention. Elle était tiraillée entre deux envies contradictoires. Dune part, elle voulait rentrer, voir Gabriel. Mais en même temps, d'autre part, elle ne voulait pas laisser Johnny. C'était totalement incompréhensible.

Elle ne tergiversa pas plus longtemps, parce que le barman la plaquant contre le mur pour l'embrasser. Elle laissa elle aussi tomber sa bière, nouant impulsivement ses bras autour du cou de l'homme. Elle entrouvrit les lèvres, laissant le loisir d'explorer sa bouche comme il le désirait.

Il finit par venir lui mordiller le cou. Elle laissa échapper un soupir, sa raison déclarant forfait. Elle sourit, un bref rire franchit ses lèvres.

« Alors, tu vas me violer ? Susurra-t-elle contre son oreille. »

Un frisson d'excitation la parcourut tandis qu'il emprisonnait les fins poignets de la rousse. Elle était à sa merci, oui. Et le pire, dans tôt ça, c'est que ça l'excitait. La pauvre était dominée par ses hormones. Attirée par les mauvais garçons et le danger. Avec ça, Gabriel n'était pas sorti de l'auberge.

Elle marqua un peu le dos pour se décoller du mur, et ses lèvres effleurèrent celles du barman, sans toutefois s'y attarder.

Calliope était aussi peu méfiante que s'il s'était agit de Tyler, de Gabriel, ou de n'importe qui qu'elle connaissait depuis longtemps. Elle faisait trop facilement confiance, et elle était trop facilement excitée par l'inconnu.

« Raconte-moi donc ce que tu voudrais me faire... »

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 11 jeudi 11 décembre 2014, 19:55:17

Le baiser fut fougueux et passionné alors qu'il la plauqait plus serrée entre le mue et lui, bloquant son corps contre le sien… il ne comptait pas laisser filer, mais à sa manière de faire, elle ne donnait pas bien l'imprrsion d'avoir envie de s'enfuir à toutes jambes, bein au contraire, il suffisait de l'écouter ou de l'observer pour comprendre qu'elle n'avait aucune envie que cela cesse… il ne put s'empêcher de sourire… la violer ? Elle n'avait pas idée ! Car oui, une fois chez eux, il lui ferait comprendre le vrai sens d'un viol et elle serait à lui, pour toujours… il lui mordilla la gorge pour toute réponse avant de reconquérir ses lèvres…

IL lui sourit et lui lâcha les poignets pour passer un bras autour de ses reins, l'autre venant lui tirer la tête en arrière, la tenant par sa jolie crinière rousse pour lui mordiller et lui embrasser le cou avant qu'il ne prenne le temps de répondre à sa question, sur un ton bas, si ba qu'il ne s'agissait même plus d'un murmure…

« Oh oui, je vais te violer… tellement, et tellement, et tellement encore que tu ne seras plus en état d'honorer la virilité de ton mec pendant un bon moment... »

Il ne mentait pas : elle n'en aurait plus l'occasion, il le savaient tous les deux ! Il eut un sourire amusé et peut être un rien inquiétant avant de rajouter,c pour répondre à son autre question, jetant un œil par terre.

« Hum, tu veux vraiment savoir ? Ne pas avoir la surprise ? »

Il émit un petit sourire, unr ein désolé, bien qu'il s'amusât comme un fou…

« J'espérai bien commencer par t'arracher tes vêtements, puis te forcer à me faire une pipe, quitte à te baiser la bouche à t'en abîmer la glotte…. Puis, sachant que je vais te violer, je t'aurai bien forcée à écarter les cuisses pour t'éclaté l'abricot en te bourrant le cul avec le cul d'une des bouteilles de bière à t'en faire geindre de plaisir… bon, après ce n'est qu'une idée hein ! »

Il vint lui mordiller la poitrine au travers des tissus de sa tenue… avant de rajouter, sur un ton bien plus taquin, laissant entendre qu'il racontait des bêtises…

« OU alors je pourrais appeler mes frères et t'utiliser pour une tournante... »

Il éclata de rire.

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 12 jeudi 29 janvier 2015, 15:37:04

Certaines femmes rêvent parfois de jouer des scénarios osés avec leur partenaire. Un inconnu, un docteur... Parfois même; il y avait le fantasme du viol. Un viol consenti bien sûr. Rien de plus qu'une relation par surprise, par comédie, brutale et passionnée. A cet instant, c'est exactement ce à quoi pensait Calliope, l'esprit brumeux et le corps totalement sous l'emprise du barman. Elle frissonna quand il parla de la violer, encore et encore, et c'est un gémissement qui lui répondit. Elle devenait vraiment folle de désir.

Et quand la machine était lancée... Rien ne pouvait l'arrêter, normalement. Pas même la pensée de Gabriel. Elle tenait à lui, mais là, elle était à plusieurs lieues de penser à lui. Elle n'arrivait qu'à imaginer la suite des événements.  Le récit cru de Johnny la fit frémir d'anticipation. A part peut-être la partie avec la bouteille de bière.

Elle se cabra entre ses bras quand il taquina sa poitrine du bout des dents, ses mains s'accrochant à lui avec une fougue nouvelle. Ses tétons pointaient à présent, fièrement dressé vers celui qui avait su éveiller la passion en elle.

« Tes... Oh... Tes frères ? »

Interpellée par ce détail, la rousse releva la tête, fixant le barman dans les yeux. Elle se perdait dans ces prunelles magnifiques, assombries par le désir.

« Oh ce... Mmh... C'était une blague ? »

Elle rit doucement, et retourna l'embrasser, ses lèvres venant agacer son cou après avoir quitter sa bouche. Mais l'idée d'une tournante restait imprimée dans son esprit. Elle n'en avait pas gardé un bon souvenir. Dans le passé, c'est contrainte et forcée qu'elle avait dû se laisser faire. Et elle s'était promis de ne plus subir ça. Elle se rendit compte alors qu'elle ne connaissait vraiment rien sur ce Johnny. C'était excitant, mais en même temps, elle pensait à son passé, et à ce que sa naïveté avait causé.

« Johnny... »

Elle aurait voulu lui dire qu'elle devait rentrer. Qu'il n'était pas sage de continuer. Pourtant, en croisant son regard, la rousse s'interrompit. Les mots restèrent bloqués dans sa gorge. Et ses mains, agissant d'elle-même, essayaient de déshabiller le barman en commençant par la chemise.

Jonathan Saints

E.S.P.er

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 13 jeudi 29 janvier 2015, 16:13:48

Il avait bien fait de plaisanter au lieu de rester sérieux… au moins, maintenant, il ne voyait plus le problème du même angle, il savait qu'il allait la crever à l'ancienne : seul comme un grand… il sourit et doucement vint l'embrasser alors qu'elle semblait sur le point de protester… non, pas de protestation, Jonathan n'en voulait pas… non, certainement pas… il ne voulait qu'une seule chose : elle ! Il sourit alors qu'il libérait ses lèvres,l'aidant même à ouvrir sa chemise, qu'elle puisse profiter de la vue alors même qu'il  se remettait à jouer ses lèvres et de ses dents sur sa peau, sans laisser de marques, ce n'était pas le but…

« Tssst… inutile de parler… laisse toi aller pendant que je te force... »

Il avait dit ça sur le ton de la plaisanterie avant de lui dire, sur un ton amusé :

« A moins que je ne doive te faire taire….. »

Oh, c'était de la fausse menace, mais elle rentrait dans le jeu qu'elle lui avait proposé, plus ou moins… il sourit et la baillonna d'un fougueuse baiser lui tenant la tête des deux mains alors que sa langue fouillait avec entra sa bouche, venant caresser et jouer avec sa langue contre la sienne comme une valse, ou mieux, : un rock endiablé… il eut un sourire en cessant le baiser, alors qu'il glissait ses mains contre ses fesses pendant qu'il mordillait son mamelon avec douceur, profitant de sa position dominante de la situation, il  lâcha une de ses fesses pour sortir un opinel  et le lui mettre sous le nez…

« Que serait un viol sans menace... »

Il sourit mais ne la menaça pas, préférant aller lui déchirer les vêtements avec, pous ne lui laisser que le bas, laissant le haut nu, exposé aux regards… c'était le but recherché… il rangea alors l'opinel, le glissant dans sa poche avant de lui saisir un sein, le soupesant avant de lui pincer le mamelon, tirer doucement dessus, et de lui dire, sur un ton amusé, mais en même temps, sentait-elle l'ordre dans sa voix…

« À genoux, pour me sucer, ou je te force... »

Il défit le bouton de son froc, défit la braguette, et sortit son appareil génital au complet...

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]

Réponse 14 jeudi 05 février 2015, 18:55:44

Ses sens étaient chavirés. Calliope souriait contre les lèvres de son pseudo agresseur. Le jeu de rôle ne lui déplaisait pas. Et ce fantasme inavoué de viol consenti, ça la rendait toute chose.

Quand il sortit sa lame, elle n’eut pas un frisson de terreur. Elle voyait qu’il était dans le jeu, dans son rôle. Elle frissonna plutôt d’anticipation, et se mordilla la lèvre en voyant la lame déchirer ses vêtements, ne faisant que la frôler. L’acier, plus frais que sa peau échauffée, provoqua mille et un frissons à l’endroit où elle passait. Puis il le rangea, et d’une main, vint torturer avec délice l’un de ses seins.

Quand il donna son ordre, elle frémit, mais son sourire s’agrandit. Sans un mot, alors qu’il déballait son service trois pièces, elle glissa contre le mur, finissant par s’agenouiller devant lui. Ses mains vinrent alors explorer l’organe mis à nu, curieuses, malicieuses. Elle serra délicatement les bourses entre ses mains, tandis que ses lèvres s’approchèrent de la verge…

… Et passèrent au-dessus, venant plutôt embrasser le bas-ventre de l’homme en le fixant dans les yeux. Bien vite, cependant, elle fit revenir ses lèvres sur la chair tendue devant elle, et parcourut la peau veinée de la pulpe de ses lèvres, dardant sa langue comme pour la goûter…

… Avant de l’engloutir. Ses lèvres arrondies autour, elle aspira la peau, fit cogner le sexe érigé contre le fond de sa gorge, et recommença, plusieurs fois, son petit manège. Enfin, sa langue se décida à le torturer, se glissant contre la texture veinée de la hampe, alors qu’elle commençait à exécuter de lents mouvements de vas-et-viens.

Ses mains continuaient de flatter les testicules, les serrant entre ses doigts, les malaxant avec tendresse. Elle prenait son travail très à cœur, comme si sa vie en dépendait. Elle se glissait dans le rôle de la victime de viol, menacée, qui exécutait les moindres désirs de son tourmenteur avec l’espoir de s’en sortir en vie.

Et encore, et encore, sa tête allait et venait sur la longueur du membre, le rendant luisant avec sa salive. Elle suçait avec application, et bientôt, la fougue de leurs baisers se retrouva dans ce geste. Respirant par le nez, à petits coups, la rousse gémissait de façon étouffée. Bientôt, elle se retrouva haletante. Elle délaissa alors le sexe turgescent pour venir cajoler les bijoux de famille dont s’occupaient ses mains, venant les aspirer entre ses lèvres, suçotant la peau tendre avec délicatesses, tandis qu’une de ses mains remontait, venant enserrer fermement la chair rigide entre son pouce et son index. Elle serrait et coulissait, en rythme, avec ardeur. Ses lèvres délaissèrent les bourses, laissant sa seconde main s’en occuper, et revinrent aspirer la verge érigée. Sa main continuait de serrer, et elle continuait de faire aller l’organe plus profondément entre ses lèvres, le faisant cogner contre sa gorge, encore et encore, sans cesser de laisser ses gémissements s’étouffer.


Répondre
Tags :