Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un petit coup de main? [Mathilda]

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Jethro Van Storm

E.S.P.er

Un petit coup de main? [Mathilda]

vendredi 05 septembre 2014, 18:16:42

>  YHAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHOOOOOOOOOO


J'adore plus que tout sentir le vent me fouetter le visage.  Aussi c'est avec joie que ce matin, équipé d'un kit de voltigeur, je me jette en tête piqué du haut du vaisseau, suivit rapidement de mon unité de voltigeur, le G-5. Nous sommes l'unité casse-cou des voltigeurs et aucune défaite à notre actif. Notre style est unique et nous sommes si rapide qu'on a fini par nous nommé les « busards ». JE n'active pas tout de suite mon mécanisme. J'observe se percer les nuages derrière mon casque et enfin la voilà, la terre ferme, elle se rapproche et le seuil de danger lui aussi. J'active alors mon mécanisme et je vole en rase motte, rejoint bientôt par mon équipe, nous passons à ras du sol un instant, passant entre quelques machines avant de remonter en vrille, j'ai le temps d'entendre les rires de certains marcheurs et leur applaudissement, ils apprécient le spectacle. Nous remontons ensuite vers les nuages pour nous occuper de notre mission du jour.Un Navire pirate a était signalé dans le territoire de l'empire et ce sont les Busards qui doivent abattre son équipage et ramener le navire au port pour qu'il soit intégré à la flotte en temps que navire de guerre. C'est un peu comme de la chasse à l'oiseau, les rapaces blessent la proie et la ramène vers le chasseur.

> Cumulonimbus à 13 heures!


J'entends Garry qui hurle l'indication du nuage d'orage et je donne l'indication de bifurquer pour retrouver les nuages plus calme. Traverser la mer de nuage est quelque chose que j'adore, l'humidité qui tente de s'immiscer dans votre casque et votre combinaison sans y parvenir. Je perce le premier la couche de nuage et je vois l'engin des pirates. Un beau navire oui, un peu archaïque mais beau, il finira sûrement en pièce détaché qui seront soit revendu à des collectionneurs, soit fondu, soit utilisé pour la maintenance d'ancien modèles de vaisseaux. Je signe à mon unité de préparer les grenades à fumigène. Nous montons au dessus du navire volant et lâchons les grenades fumigènes. Les nuages de fumée nous couvrent le temps que nous atterrissions sur le pont principale du vaisseau. J'active la lame à mon poignet et poignarde un premier pirate, j'entends un autre crié, il est jeté dans le vide par Carla. Tout cse passe très vite, et bientôt, alors que la fumée se dissipe du pont, les pirates présent sont morts, il ne reste plus qu'a nettoyer l’intérieur, mais ça, c'était le travail des « fourmiliers » l'unité G-6. Je prend le pistolet de mon père et retire ma veste de voltigeur ainsi que mon casque, suivit par mon unité. J'entre avec prudence dans l’intérieur du vaisseau, mais déjà une balle me perfore l'épaule gauche, heureusement que cette épaule est mécanique et la blessure n'est que légère, le problème est que je suis gaucher et que le tire m'oblige à baisser mon arme.

> Lieutenant ! Ça va aller ?


> Pas de problème.. j'ai juste un boulon qui a sauté.

Je me reprend et je fonce sur mon agresseur

> Sun's Dragon.

L'anneau de l'aria se dresse devant ma bouche et je vomi les flammes de l'enfer sur mon agresseur qui hurle, je tente de bouger mon bras mécanique qui réagit plus lentement à mes commandes que normalement, j'avais entendu parlé d'une ingénieuse de talent, je me rendrai à son atelier à mon retour. En attendant,  je relève mon arme que je tiens à deux mains du coup pour être certains de mon tir, un pirate nous fonce dessus, je vise son front..

> Sun's bullet



.. mais mon tir se perd dans son œil, décidément ma précision en a prit un coup. Je passe à côté de son cadavre, la moitié de son visage est brûlé par mon tire et son œil a fondu, je tranche sa gorge avec la lame de mon poignet pour être certain qu'il ne se relève pas. Nous arrivons dans la cabine de commandement, le capitaine observe le pont et quand nous pénétrons la pièce, il ne se retourne pas.

> Bienvenue faucheurs.

> Monsieur le capitaine. Le salutais-je

> J'imagine que vous êtes là pour ma tête.


> On peut éviter le massacre de vos hommes si ils se rendent sans sommation capitaine.
[/color]

> Vous pensez ?


>Ils finiront devant une cour de justice impériale mais oui, le massacre sera éviter.

Le capitaine soupira, se savant perdu, lui comme ses hommes et jeta son chapeau à terre, il capitulait puis il se dirigea vers le micro pour parlé à tout le navire, les tuyaux à vapeur sifflait dans la pièce, et j’espérai que tout le monde dans le bateau pourrait entendre malgré cela

> Mesdemoiselles, mesdames messieurs. Ici votre capitaine, des hommes de l'empereur se sont introduit sur le navire. J'ai étais fière de naviguer avec vous jusqu'à maintenant mais notre voyage touche à sa fin. Les hommes de l'empereur sont dans ma cabine de pilotage et me retiennent en otage. Je vous donne ordre de vous rendre. Rendez vous sur le pont et laissez vos armes à l'armurerie. Je serais abattu par les forces de l'ordre dans les minutes qui suivent et je vous demande de respecter ma dernière volonté, ne résistez pas.

Un brouhaha raisonna dans le navire et des hurlements de douleurs et de peine. J’eus un pincement au cœur car tout ces hommes et femmes seraient sûrement exécutés, certain pourront rejoindre peut être l'armée pour purger leur peine. Enfin bref.

> Capitaine, conformément à la loi de l'empire je vous demande de vous mettre à genoux

L'homme s'exécuta et se mit à genoux, Carla me donna mon sabre d'officier que je tira du fourreau

> Capitaine Vendrake, vous êtes coupable des crimes suivants..


Je prononçais un à un les titres d'accusations contre lui, l'homme baissa la tête et accepta la sentence de mort. Mon sabre s'abat sur sa nuque et sa tête roule dans son sang. Mes hommes mettent aux arrêts les pirates qui ne se sont pas encore jeté par dessus bord pour échapper une dernière fois à la justice de l'empereur. Je vois arrivé l'équipe de voltigeur G-6 sur le navire, ferrer les pirates et procéder à l'élimination des pirates encore restant à l’intérieur du navire. Mission terminé.

Mes hommes et moi fêtons la victoire autour d'une bière mousseuse et fumante au mess des soldats et je rentre chez moi, dans mon manoir volant. Je me change, je met une paire de Goggles et un casque protège oreille, un chemise blanche, un pantalon noir, veston noir et cravate de la même couleur, ainsi que des mocassins marron. Je prend ma moto et rejoins le quartier des ingénieurs. J'arrive devant la boutique, et passe la porte en me massant l'épaule gauche

> Bonjour bonjour, je cherche Dame Mathilda de Cuprum!
« Modifié: vendredi 05 septembre 2014, 20:54:53 par Jethro Van Storm »

Mathilda De Cuprum

Re : Un petit coup de main? [Mathilda]

Réponse 1 dimanche 07 septembre 2014, 15:45:47

Il y a des jours où l'on travail avec acharnement au fin fond de son atelier, passant des heures et des heures sur un mécanisme complexe, et d'autres où l'on prend une pause, afin d'éviter le surmenage. Mathilda était dans l'un de ceux là. Pourtant, en bonne ingénieure vaporéenne qu'elle était, ne rien faire était considéré comme une improductivité, qui nuisait à la prospérité de l'empire. Ainsi, par pause, il fallait comprendre que la jeune femme préférait aujourd'hui gérer sa boutique et ses clients, plutôt que de se pencher sur ses prototypes.

Elle pu ainsi rediriger les curieux vers tel ou tel articles, selon leurs besoins, ou à l'inverse, leur conseiller de rendre visites à des artisans plus compétents qu'elle dans d'autres domaines. Mathilda n'avait pas cette notions de se faire de l'argent sur le dos de ses clients, et ne faisait nullement concurrence aux autres commerçants. Il existait au sein de ce quartier un sentiment de patriotisme et d'entre aide, qu'on ne trouvait nulle part ailleurs sur Terra. Là où deux commerçants Ashnardiens ou Nexusiens se torpillaient sans cesse l'un l'autre dans l'espoir de faire couler son concurrents et ainsi récupérer ses biens, il y avait un profond respect entre les inventeurs de l'empire de vapeur. C'était ce comportement, entre autres choses, qui faisait que l'Empire restait toujours soudé et en cohésions.

Ce fut donc sans surprise que la jeune femme vit arriver un nouveau client. D'un œil expert, elle s'aperçut bien vite que son bras gauche se mouvait plus difficilement que le droit, et que l'épaule du jeune homme semblait blessée. L'expression qui pourrait décrire le mieux telle scène, serait "rouillé". Hors, un bras biologique ne l'était que rarement, à moins qu'il ne soit mécanique. Etant donné que c'était la première fois qu'elle le voyait, la seule conclusion possible, était qu'un autre artisan – à moins que ce ne soit les rumeurs – l'avait redirigé vers elle, connaissant son projet.

- Bonjour bonjour, je cherche Dame Mathilda de Cuprum!

L'homme semblait avenant et sûr de lui, et Mathilda lui répondit avec un charmant sourire.

- Vous l'avez devant vous. Vous venez pour une réparation, ou cherchez vous un nouveau model ? Quoi qu'il en soit, je vous demanderais de bien vouloir me suivre dans l'arrière boutique. Claire, veux tu bien tenir la caisse, le temps que je m'occupe de ce charmant jeune homme ?

Claire était une jeune Vaporéenne qui travaillait à la boutique à mi-temps, afin de pouvoir payer ses études supérieures. Ses parents n'était que de simples ouvriers, et estimaient que leur fille méritait mieux que de travailler dans les forges à longueur de journée. L'adolescente ayant montrée des dons en magie, il aurait été dommage de perdre pareil potentiel, aussi partageait-elle ses activités entre la boutique et ses études en magie.

Mathilde conduisit l'homme vers son atelier, toujours aussi bordélique que d'ordinaire, et le mena vers une arrière sale, dans laquelle étaient disposés plusieurs étagères d'engrenages, d'altimètres et d'autres pièces de rechanges diverses et variées, au centre de laquelle était disposé un fauteuil tout à fait normal. Elle le fit s'installer dedans et entreprit ensuite d'examiner son bras mécanique, en plaçant ses lunettes devant ses yeux.

- Avez-vous un patronyme, par lequel je pourrais éventuellement vous appeler ? Lui demanda t-elle après avoir trouvée le mécanisme d'ouverture, puis ouvert son bras.


       

Jethro Van Storm

E.S.P.er

Re : Un petit coup de main? [Mathilda]

Réponse 2 dimanche 07 septembre 2014, 17:09:43

             Elle était tout à fait charmante cette petite ingénieuse, une petite rousse, jolie frimousse et un air intelligent que j'aimais bien. Je lui décocha un sourire sympathique quand elle m'informa de son identité, je l'imaginais moins belle à vrai dire. En effet couillon que je suis, je n'imaginais pas une jolie jeune fille être dans ce genre de métier. Elle me fit la suivre vers son arrière boutique où je resta un instant pantois en regardant son atelier et je salua la jeune femme qui la remplaça au comptoire. L'atelier comment décrire cette endroit... c'était impressionnant, vraiment, le mécano de mon unité avait bien fait de m'y envoyer, la jeune femme semblait sérieuse et droite dans ses chausses. Je m'assis en la remerciant et eu une crispassions alors qu'elle ouvrait le bras.. une sorte de peur sans doute, la dernière fois que j'ai eu a subir ça je venais de me faire broyé un bras par système de défense de bandit terranides, ma première mission, elle avait failli mettre fatale. Elle m'indiqua une chaise plutôt confortable ma fois et mis des lunettes sur son jolie visage. L'effet était amusant et plaisant elle me demanda comment je m'appelait aussi je lui indiquait comment désactivé les armes et lui répondit.

> Certes oui ma chère, je m'appelle Jethro Van Storm

Le nom de la baronnie Van Storm était connu depuis mon héros de père.. héros.. les héros morts ne sont guère de bon père, aussi espérais-je éviter de devoir me présenter plus en profondeur sur mes titres, étant mal à l'aise avec ce sujet, par modestie ou par bêtise, ça dépend de comment on l'analyse.


> Votre enseigne est très impressionnante Dame de Cuprum, vraiment, vous l'avez montée toute seul ou avez vous eu de l'aide de votre famille ?


J'étais bluffé par l'atelier de la jeune femme, je ne m'interrogea pas sur un fauteuil excentrique que je vit dans un coin, me disant qu'il s'agissait probablement d'un appareil de torture commander par l'armée.


> Au fait je ne vous ai pas répondu, oui je viens pour faire réparer mon bras, une mission a mal tournée et un pirate m'a tiré dans l'épaule, je penses que quelques fils sont touché et j'aimerai évité d'avoir un accident à cause de ça. C'est le mécanicien de mon unité qui m'a indiquer que vous travailliez ici et que vous étiez bonne mécanicienne vous aussi.


Butch le mécano à moustache, une chevelure digne d'un derrière de bébé et des poiles qui lui sorte des oreilles et qui a la foutue habitude de me dire que je suis un coincé.. Excusez moi d'avoir une expérience difficile avec les femmes... Ce type aurait put me refaire  le bras, c'est lui qui l'a fabriqué mais pour une raison ou une autre, non il a préféré m'envoyer vers cette jeune fille, étrange à vrai dire, mais pas déplaisant. Il est vrai que je suis paradoxale tout de même, j'aime beaucoup papoté avec les dames, leur faire faussement la cours et surtout en plaisanter ouvertement... Mais conclure.. me livrer.. nan surement pas, je souriais à mon interlocutrice afin d'afficher une bonne humeur et d'essayer d'en imposer une, de bonne humeur. J'aimais que les gens soient joviales quand je n'étais pas face à des pirates ou autres ennemis de l'empire.
« Modifié: dimanche 07 septembre 2014, 23:01:22 par Jethro Van Storm »

Mathilda De Cuprum

Re : Un petit coup de main? [Mathilda]

Réponse 3 mardi 09 septembre 2014, 11:51:33

Même si Mathilda s'était spécialisée dans les exosquelettes, il fallait néanmoins avoir de solides connaissances en bio-mécanique, afin de pouvoir convenablement appréhender la conceptions d'une armure ou d'un bras. Car fondamentalement, le système était similaire. Néanmoins, elle écouta les recommandations pour désactiver les armes internes. Finalement, après s'être présenter, Jethro fini par lui poser une question.

- Votre enseigne est très impressionnante Dame de Cuprum, vraiment, vous l'avez montée toute seul ou avez vous eu de l'aide de votre famille ?

La famille... Les De Cuprum n'avaient jamais été des mécaniciens dans l'âme. Certes, les membres de la puissante famille avait quelques connaissances, après tout, son père avait conçu quelques jeux alors qu'elle était encore enfant, mais c'était surtout un puissant commerçant, propriétaire de forges, Et ses deux sœurs aînées elles, étaient des artistes, versées dans la peinture et la musique.

- Ma famille m'a appris les rudiments de la mécanique. Pour le reste, je le dois aux institutions et à l'aide financière de l'état.

Sans ce concours auquel elle s'était présentée quelques années auparavant, elle serait encore confinée dans l'atelier du domaine, moins bien équipé que ne l'était sa boutique. En obtenant cette enseigne, Mathilda avait un peu plus gagnée en indépendance, et s'était du même coup plus épanouie dans la mécanique.

- Au fait je ne vous ai pas répondu, oui je viens pour faire réparer mon bras, une mission a mal tournée et un pirate m'a tiré dans l'épaule, je penses que quelques fils sont touché et j'aimerai évité d'avoir un accident à cause de ça. C'est le mécanicien de mon unité qui m'a indiquer que vous travailliez ici et que vous étiez bonne mécanicienne vous aussi.

La jeune femme hocha la tête, apercevant une balle logée au fond du système de rouages. L'ennuis, c'était que le mécanisme avait été brisé sur sa trajectoire, l'un des rouage étant cassé net et l'autre, enfoncé contre une courroie, ce qui réduisait fortement la capacité motrice du bras mécanique. Mathilda lui expliqua ainsi la situation, avant de lui proposer deux solutions.

- Au vu des circonstances, je peux soit vous réparer votre bras mécanique et lui rendre sa motricité, ni plus ni moins, soit ajouter une protection magique, qui à l'avenir déviera les projectiles. Dans le premier cas, en prenant en compte les circonstances de l'accident, la réparation ne vous coûtera que 50% du prix de la réparation, soit 75 pièces d'or. Dans le second cas en revanche, cela nécessitera d'intégrer une Solsticium de protection, élevant ainsi le coût à 300 pièces d'or.

Les sommes étaient dérisoires, lorsqu'on venait de famille aisée, mais Mathilde préférait lui proposer plusieurs choix, plutôt que de se contenter de réparer le bras. Sans doute étai-ce pour cela que la fabriquant originel l'avait envoyé vers elle. Celui-ci ne devait pas savoir manier les Solsticiums, et avait sans doute jugé judicieux d'en intégrer une au mécanisme, suite à un tel accident. Mathilda releva le regard et lui décocha un autre de ses sourires en fermant les yeux, dans l'attente de sa réponse.


       

Jethro Van Storm

E.S.P.er

Re : Un petit coup de main? [Mathilda]

Réponse 4 mardi 09 septembre 2014, 18:22:34

- Au vu des circonstances, je peux soit vous réparer votre bras mécanique et lui rendre sa motricité, ni plus ni moins, soit ajouter une protection magique, qui à l'avenir déviera les projectiles. Dans le premier cas, en prenant en compte les circonstances de l'accident, la réparation ne vous coûtera que 50% du prix de la réparation, soit 75 pièces d'or. Dans le second cas en revanche, cela nécessitera d'intégrer une Solsticium de protection, élevant ainsi le coût à 300 pièces d'or.



Avais-je les 300 pièces d'or.. Ouais. En même temps une protection magique serait plus qu'utile, ça me serait très utile au combat.
J'imaginais déjà les tirs ricocher contre la protection alors que je fonçais avant de leur enfoncer la lame secrète de mon poignet dans la gorge.
Ces combats promettaient d'être très intéressant.


> Je vous en donne 1000 si vous me rajoutez un grappin et un autre beau sourire
Je lui souriais à mon tour en passant ma main dans les cheveux.

Certes, je la dragouillais de façon non caché, avec mon petit sourire en coin des lèvres et ma poste de jambe signifiant que j'étais à l'aise, droite mais légèrement écarté et ma main droite posé sur la cuisse. Je détaillais son visage, petite manie de ma part, j'adorais remarquer tout les défauts d'un visage, une petite cicatrice à un endroit, un grain de beauté à un autre.
J'y voyais là ce qui rendait les êtres uniques, j'aimais cette peinture irrégulière qu'étais les visages, et surtout j'aimais ceux des jolies femmes. Harmonieux, doux ou encore farouche et portant une violente passion.
Plus que les yeux j'aimais les regards. Si le visage est une peinture, le regards est un poème quand à la voix.. je ne ferais pas de métaphore car elle est toute trouvé.
J'aimais particulièrement les voix clairs et chantante, on aurait l'impression de danser la discussion.. Je m'égare en me rendant compte que j'en deviens idiot physiquement. Ah on ne s'y trompera pas, sourire enjôleur et regard tendre, voilà une idiotie physique d'une rare qualité.

- Dites moi ma demoiselle, je comptes organiser un gala pour financer la prochaine campagne de propagande pour les voltigeurs, me feriez vous l'immense honneur d'y venir?

Autre sourire rieur, dévoilant mes dents blanches et régulières


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