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Frostbite [Anna Aona Doubinski]

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Anna Aona Doubinski

Humain(e)

Re : Frostbite [Anna Aona Doubinski]

Réponse 15 vendredi 19 septembre 2014, 01:21:07

La soviétique se fait alors peloter, lécher, embrasser, pincer, reploter par Rayne et le pire dans toute cette histoire... c'est qu'elle adore ça. Mieux, Elle aime ça. Elle tend alors son cou à la vampire pour qu'elle puisse butiner et suçoter à sa guise. Anna enlève également sa ceinture pour que la main de Rayne puisse atteindre son postérieur.

« Oui... Tu es très bien roulée, ma petite... Coucher avec une vampire ne te fait pas peur, donc ? » Dit Rayne tout en embrassant ensuite Anna. Certes la soviétique avait quelques remord à tromper Vladislav qui est en vérité son petit ami. Enfin... bon Rayne n'était pas un homme c'est donc un crime à demi pardonné. Anna glousse et finalement se décide à assumer son action de plus tôt.

" Tu es... belle même si tu es habillée comme une pute. " Anna rougit et finalement vient attraper la bouche de Rayne avec la sienne pour lui offrir un baisé passionné et tendre. Sa langue entame une valse avec la sienne et empêche ainsi la vampire de parler. Dans le même mouvement, la soviétique vient peloter les seins de la vampire. Finalement elle vient tenter de dévêtir totalement la vampire, passant ainsi sa main sur chaque parcelle de ce corps qu'elle ne connait pas.

Elle eu un moment de crainte de tomber sur un troue de balle... sans mauvais jeu de mots. Mais elle ne sait exactement par quel miracle il n'y'avait aucune blessure, aucune cicatrice, rien. Certes, Rayne à dit qu'elle était une vampire... Mais c'est donc vrai ? Anna embrasse alors derechef la belle mais cette fois au lieue d'aller vers la langue elle passe vers ses dents. Incisive, incisive, incisive... OH PUTAIN une canine. La soviétique réfléchit et finalement ne prend pas peur... au contraire elle est un peu excitée.

" Tu serais capable... de me mordre et de me doigter en même temps ? " Dit-elle un peu rougissante de cette demande plus qu'improbable de la part d'une jeune fille qui ne manque pourtant pas d'éducation et de retenue. 

Rayne

Créature

Re : Frostbite [Anna Aona Doubinski]

Réponse 16 samedi 20 septembre 2014, 02:10:37

La Soviétique, dont Rayne ignorait toujours le nom, ce qui ne l’empêchait nullement de vouloir lui faire l’amour, tenta de la déshabiller, ses mains glissant le long de son corps, provoquant à chaque fois de multiples frissons. Pour ôter son haut, il fallait tirer sur les cordes dans son dos, puis écarter les bretelles, ce que la petite soldate s’évertua à faire, sur le corps hypersensible de Rayne, une sensibilité accrue par le sang supplémentaire qui lui dopait les veines. Chacun des gestes de la femme sur sa peau était ainsi stigmatisée, renforcée, et elle-même se faisait plaisir en pelotant ses fesses à travers son treillis. Cette femme, pour une soldate, était vraiment bien foutue. Sans la guerre, elle aurait probablement fini top model, ou n’importe quelle autre profession inutile impliquant de montrer ses miches. Les doigts d’Anna exploraient son corps, corps qui ne portait plus aucune trace des impacts de balles qu’elle avait reçu, tout simplement parce que le sang avalé avait augmenté drastiquement la régénération de ce dernier.

Elles s’embrassèrent à nouveau, et Rayne laissa la langue d’Anna filer dans sa bouche. Elle pouvait diminuer la taille de ses canines à un niveau acceptable, mais, après avoir bu du sang, et sous l’effet d’une excitation sexuelle aussi violente qu’inattendue, ces dernières commençaient à pointer, ce qui fit que la langue de la belle Soviétique, en allant dans sa bouche, finit par la sentir, provoquant comme un déclic dans l’esprit de la femme, qui rompit alors le baiser. Plus petite que Razyne, son corps était enfoui entre les bras forts de la femme. Rayne avait perdu son corset, qui trônait sur la neige, et le froid, loin de la repousser, ne contribuait qu’à la faire frissonner et à l’exciter davantage, en accentuant la sensibilité de son corps... En bref, il y avait une concordance de facteurs positifs pour que Rayne lui fasse violemment l’amour.

Il fallut à Anna quelques secondes avant qu’elle ne formule sa proposition, surprenant agréablement Rayne, car elle s’était plutôt attendue à ce que sentir les canines n’amène la Soviétique à foutre le camp. Comme quoi, les humains étaient très contradictoires. Autant ses canines lui avaient parfois valu d’être traquée comme un monstre, autant ils en excitaient certaines comme de jeunes pucelles se pâmant sur les muscles saillants de leurs mecs. C’était le cas pour sa partenaire, et maintenant amante, qui lui demanda quelque chose de particulier... Qu’elle la doigte tout en la mordant.

« Tu es vraiment une femme étrange... Mais tu n’es pas la première qui mouillerait comme une catin sous l’effet de la morsure d’un vampire. Poétiquement, on appelle ça l’Étreinte. Tu sais pourquoi ? »

Tout en parlant, Rayne restait blottie contre elle, une main contre ses cheveux, l’autre frottant son dos, ce qui, concrètement, faisait qu’elle était en train de murmurer à l’oreille de la femme les derniers mots qui sortirent de sa belle bouche :

« Parce que, quand elle est bien faite, quand l’Étreinte est bien réalisée, elle fait systématiquement jouir celle qui est mordue... »

Celle, oui, car l’Étreinte était traditionnellement réservée au schéma du vampire mâle, le séducteur, et la femme humaine. Il fallait avoir en tête le vampire élégant, en costume et en redingote, qui venait séduire une belle femme, qu’elle soit fille d’un duc, ou d’un riche marchand, ou sa femme éplorée et désolée... Il y avait, dans le vampirisme, une touche d’exotisme et de sauvagerie, comme si le vampire n’appartenait à aucune case, et était, en ce sens, l’expression même de la liberté individuelle par rapport aux conventions sociales. Un vampire ne rentrait dans aucune des catégories sociales qu’on aimait bien leur assigner. Certes, les vampires étaient organisés en de grands clans, mais ils bénéficiaient tous d’une grande liberté, et, contrairement à des êtres surnaturels typés comme les anges ou les démons, ils étaient, par définition, anti-manichéens, suivant leur propre logique, et leur propre conception du Bien ou du Mal.

Et, d’un point de vue plus physique, le fait de se faire mordre drainait votre sang, ce qui, si c’était bien fait, entraînait un sentiment euphorique propice à l’excitation sexuelle. Rayne allait donc le démontrer à la petite Soviétique, et commença par lui ôter pour de bon son pantalon, tâche d’autant plus facile que la soldate avait retiré sa ceinture, s’offrant ainsi sans retenue à son amante vampirique. Le pantalon tomba donc sur le sol, et Rayne put alors poser une main sur l’une des fesses de la Soviétique, la pressant fermement.

« Prépare-toi... Je ne te ponctionnerais pas trop de sang, mes veines en sont déjà remplies. »

De fait, boire encore du sang ne serait rien de plus que de la gourmandise... Et, si elle en buvait trop, la femme risquait de tomber dans les pommes, ce qui serait fâcheux. Rayne approcha donc ses lèvres de son cou, l’embrassant, et déplaça sa main du cul de la femme rouge pour la glisser sur le devant, filant, encore une fois, sous la culotte, pour enfoncer son majeur dans son vagin. Au même moment, ses dents s’enfoncèrent dans sa chair. Anna dut alors ressentir une brève morsure, soit une légère douleur. Rayne s’enfonça dans sa peau jusqu’à atteindre sa veine, et l’effleura très délicatement du bout des doigts, en perçant la hauteur. Le sang de la femme continuait à filer normalement. C’était là une erreur classique du vampire : s’enfoncer trop profondément sous l’effet de la faim. Or, si on tranchait la veine, on provoquait une hémorragie. Là, la veine était percée de manière infime, et Rayne retira ensuite ses dents... Puis se mit à sucer en inspirant, faisant filer le sang par les deux trous provoqués par ses canines.

Comme elle s’y attendait, la Soviétique ne tarderait pas à mouiller et à jouir, et Rayne enfonça également son index en elle, son autre main s’appuyant contre la hanche de la femme.

« Hummm-hummmmmm... »

Elle aussi se mit à mouiller. Non seulement ce sang était délicieux, mais il appartenait en plus à une femme magnifique.

En bref, Rayne ne trouvait que des bonnes raisons pour jouir.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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Anna Aona Doubinski

Humain(e)

Re : Frostbite [Anna Aona Doubinski]

Réponse 17 mardi 23 septembre 2014, 20:52:10

La jeune soviétique est à deux doigts de l'extase. Deux doigts, surement ceux de Rayne qui se promène dans son sexe. Anna trouve ça exceptionnel que de se faire mordre et donc sucer le sang tout en se faisant doigter par la vampire. Le plaisir est certain, puissant et indéniable. Les tétons de la belle durcissent et pointent comme un mont sur une plaine. Entre les jambes de la belle, ce n'est ni plus ni moins que la chaleur des forges de Héphaïstos avec un somptueux mélange des mers de Poséidon.  La cyprine de Anna coule le long de ses jambes, irrigue cette vallée vierge de combat. La russe respire difficilement, sciée entre deux cries de plaisir que lui offre "l'étreinte".

Anna se laisse emporter dans le plaisir, un plaisir qui sonne comme le paradis. Un mélange entre la douleur et le bonheur. Anna attend que la ponction se termine pour œuvrer a donner du plaisir à la vampire et cela en dépit du faite qu'elle soit assez épuisée. Elle se mets à genoux devant la femme et plonge sa tête dans son entre-jambe afin de récupérer le délicieux nectars qui s'écoule. Elle lape son sexe avec plaisir et délectation, suçotant son bouton de plaisir et embrassant le reste amoureusement.

Frottant son nez contre le sexe de la vampire comme un petit chat, elle décide finalement de caresser l'objet de sa convoitise. Au bout de quelques seconde elle enfonce son index et commence des va et vient assez lent. Cherchant ce qui pourrait s’appeler le poing g. Anna enfonce après quelques minutes un second doigts et accélère ses mouvements afin de lui apporter plus de plaisir. La soviétique prend encore énormément de plaisir en voyant l'intimité de la vampire qui l'excite beaucoup.

Rayne

Créature

Re : Frostbite [Anna Aona Doubinski]

Réponse 18 vendredi 26 septembre 2014, 01:22:27

Ponctionner du sang était toujours quelque chose de succulent, quelque chose que seul un membre de la famille des vampires pouvait réellement comprendre. C’était un mets délicieux, et les doigts de Rayne remuaient furieusement, un mets si bon, si onctueux, qu’il était difficile de s’arrêter de sucer... Et pourtant, la Dhampir devait faire un effort, car, autrement, elle risquait tout simplement d’envoyer sa Soviétique dans le pays de Morphée. Comment en était-elle arrivée à sucer le cou d’une soldate après avoir massacré des Allemands à la pelle ? Impossible à dire. Ce monde était devenu complètement fou, et elle n’avait rien eu à faire pour apparaître comme une fille normale là-dedans. Ses dents finirent par se retirer du cou de la femme, presque à regret, et la Soviétique choisit de battre le fer tant qu’il est encore chaud.

Rayne n’eut même pas de lui demander si elle avait aimé ça qu’elle se retrouvait déjà agenouillée devant elle, léchant son intimité, après avoir défait son pantalon en cuir. Elle l’avait suffisamment ouvert pour avoir accès à son sexe, et l’une des mains gantées de Rayne vint se saisir de ses cheveux, les agrippant, les serrant fermement.

« Hum... Lèche, petite catin... Je me demande qui est la plus salope des deux, haaannn… !! »

Sa prise se raffermit sur la tête de la femme. Après avoir sucé son sang, Rayne avait les batteries pleines, et des doses d’excitation dans le sang prêtes à exploser. Fermant les yeux, elle soupirait de plaisir, mouillant contre la bouche de sa partenaire, ainsi que contre ses doigts. Pour le coup, son orgasme allait être plutôt rapide, car le sang qu’elle avait bu avait galvanisé sa libido. Oh oui, elle était pleine à craquer de désir, et ce dernier explosa sous l’effet de la langue d’Anna.

Rayne haletait et gémissait de plus en plus, fermant les yeux, succombant progressivement à ce désir qui l’envahissait... Et elle s’y abandonna, jouissant contre les doigts et sur le visage de la femme en gémissant, la tête basculée en arrière.

« Aaaah, ça fait du bien... Un peu de chaleur dans ce pays glacial, ce n’est pas trop demandé... »

Elle se sentait plus en paix avec elle-même, maintenant, et ses mains caressèrent tendrement le visage de la femme, un sourire sur le coin des lèvres.

« Tu en veux encore, ma chérie, où on peut rejoindre Stalingrad ? »

DC d’Alice Korvander.

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