Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [RP Abandonné...]

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Ludya

Boulet

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Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]

Réponse 15 mardi 02 septembre 2014, 22:49:33



Hmm...Détend-toi Ludya... Je pense que c'est le genre de chose qui s'apprend... sur le terrain.
Et je devine en toi...Hum... l'âme d'un explorateur...


J'aime... beaucoup partir à l'aventure oui... J'aime beaucoup découvrir... Tout un tas d'trucs... Mais on peut aussi facilement se perdre en cherchant son chemin dans l'univers... en explorant ce monde... où même toi...

Il aimait tant l'entendre et voir la façon dont toute sa vie et ses expressions à elle l'animaient quand elle lui répondait, oui il l'observait beaucoup et était même trop prudent sans doute avant de partir à sa découverte... Elle avait ces petites manies pour repasser certaines de ses mèches derrière ses jolies oreilles de renarde, puis cette façon de le regarder puis de ne même plus le regarder, faisant mine de... De faire comme si tout ça lui était égal ? Où comme si ça lui faisait... Pas grand chose ? Elle le perdait sur certaines de ses expressions comme s'il attendait quelque chose, en fait il attendait trop de signaux d'accords où quelque chose d'exprimer par son corps où sa manière de le regarder mais c'était touuuut le temps indécis jusque là parce que tantôt elle le regarde avec ce pétil et cette fièvre dans les yeux puis tantôt elle détourne la tête comme si elle ne faisait plus attention à sa présence où que rien de tout ça n'avait d'importance, lui à son tour s'en redresse en penchant la tête sur le coté en ayant du mal à interpréter des signaux qu'il n'a jusque là pas encore appris à déchiffrer, ça jouait un peu sur... Sur sa sensibilité où ses nerfs, comme si elle cisaillait sa patience qui serait le crin tendu d'un violon et elle, minaudait en faisant mine de oui et de non avec la finesse d'un archet qui voudrait scier sa corde.

Une corde drôlement résistante parce que ce genre d'attitude le faisait énormément douter ! Il à l'impression, enfin... Il sait au fond de lui qu'il devrait céder non ? Mais mais, maiiiis... Il est plus malin qu'il n'en à l'air, ouie ouie ouie, hihi... Il apprenait vite et il savait quelle chipie, quelle roublarde elle s'aimait à être ! Alors c'était compliquée cette histoire parce qu'il en jouait aussi avec subtilité il répondait où pas à ses appels du corps, du regard, tant que c'était pas précis, tant que la communication était volontairement brouillonne lui aussi tâtait là d'un pas vers l'avant puis de deux vers l'arrière où de deux en avant puis un en arrière, v'la. S'il écoutait sa raison, même si elle se fait drôlement ronger par ses envies, s'il l'écoute et écoute sa propre envie de jouer avec elle, y avait pas de raison de se presser !

Il papillonnait des paupières, clignait rapidement des yeux quand elle posa sa main sur sa joue pour approcher de lui, il avait jamais eu l'impression d'être autant observé... Même si dans son centre de recherche y avait eu tout un tas de caméra le filmant dans tous les angles pour l'étudier il n'avait jamais ressenti l'impression d'être aussi détaillé et foudroyé par un regard, et quel regard... Il l'avait déjà dit mais ses beaux yeux... Ses iris rouges, cette lune sombre formant sa pupille l'hypnotisaient et jouaient avec ses sens comme la lune se jouait de la marée. Ca va par vagues et ça repart, des frissons, un magnétisme d'origine inconnu, ça va et ça revenait du bout de ses pupilles en amendes jusqu'au bout de sa queue ! En petits arcs hérissés laissant derrière eux un semblant de chair de poule.

Puis... Puis... Oh par toutes les créatures inconnues croupissant encore dans le fin fond de l'univers sans jamais qu'on ne les découvre un jour ! A ce magnétisme, ces électrochocs du regard, comme si c'était pas assez troublant déjà il fallut qu'elle fasse ça... Qu'elle saisisse de sa main la sienne, déjà ses doigts fins se faufilèrent trop bien entre ses doigts à lui, pas forcément plus épais de beaucoup mais la différence de chaleur puis de texture glissant l'une sur l'autre ça avait le don de le faire déglutir, sa gorge se noue en avalant difficillement sa salive puis sa respiration se bloque quand sa main voyage, guidée par la sienne jusqu'a sa joue à elle. Et il n'y a que lorsque ses doigts touchent et caresse la joue de Kaori qu'il relache le bloquage de son air, d'une aspiration profonde, comme s'il venait d'émerger à la surface d'une profonde piscine et reprendre son air, là aussi ses yeux venaient de s'écarquiller tout à fait de la même manière qu'un gosse surprise à pas savoir nager et venant d'éviter la noyade en ressortant des profondeurs des eaux pour prendre une profonde et puissante bouffée d'air.

Y se mit à respirer rapidement, même si c'était plus silencieux, à l'approche de ses doigts tout près de ses lèvres, il se mit à respirer, respirer, respirer ! Respirer ! Vite, vite vite si vite ! Ca se voyait presque pas parce que même s'il respirait vite son corps restait pratiquement immobile, comme dans une paralysie incrédule face à ce qui se passe, ses lèvres restant entrouvertes, juste, sa cage thoracique, son torse qui gonfle et se dégonfle à un rythme endiablé, et ça secouait pas son corps qui semblait parvenir à rester calme si ce n'est les turbulences stellaires des étoiles parcourant ses pupilles, ça faisait un peu comme si la vue hors du cockpit d'un vaisseau spatial en tourniquet rapide donnait sur un panorama d'étoiles vrillant sans cesse à l'horizon, ça pouvait même en devenir là aussi captivant et hypnotique.

Ah nan... Nan elle... Elle avait pas fait ça... Avec son doigt ? Si ? Haaaan purée il fond, soudain ses respirations rapides ralentissent mais se font plus, hmmm, plus lentes mais plus profondes et longues à l'entrée de son doigt entre ses lèvres, c'est comme si le bloquage de son corps s'était dissipé lorsqu'il se sentit happé en elle, une petite bille de sueur perla sur sa tempe et coula le long de sa joue jusqu'a son menton, elle coula sur l'imperméabilité lisse de la peau de sa joue et perla presque sèche de son tracé au bout du bout de son visage...


Ha... Nian... Tu... Haaaaaaaaaan... Mais... Maaaaais Qu'est ce que tu faaaaaaaaaais...


Pris d'une bouffée de chaleur et de sa station bloquée, interdite et bouche entrouverte aux yeux écarquillés façon merle en frit, il se décompose, ses traits se relachent et son corps s'assouplit, s'arque en laissant son doigt se faire entrainer là d'dans, ah oui pour en fondre il en fonds, ça se lit sur les traits de son visage, elle avait pas le droit de lui faire un truc comme ça, si ? Là elle... Elle allait trop loin ! Hum... Oui... trop... trrrooop loin... Ah ben qu'elle y aille... Oh oui s'il vous plait qu'elle y aille, il savait pas... C'est bien la première fois qu'on lui léche le doigt comme ça s'il était pas capable de se retenir d'entre ses lèvres entrouverte et s'il avait pas ravalé sa salive à temps il aurait peut être laissé une ou deux gouttes de salive échapper à ses lèvres tant c'était bon, tellement bon, captivé par la sensation, son esprit concentré dessus... Mais ça aurait vraiment fait dégoutant alors il se rappella de la ravaler juste à temps même s'il était passé à deux doigts de laisser sortir un filet de salive.

Elle cesse, elle cesse ! Elle à cessé ! Youhouuu ! Il peut reprendre ses esprits, hein ? que ? quoi ? qu'est ce qui s'était passé là ? Il cligne des yeux comme s'il venait de sortir d'un envoûtement où d'une transe, voyant des étoiles en regardant tout bête son doigt, retombant limite complétement égaré et ébahi sur son petit derrière, la regarde elle puis son doigt. Bon ! Ca va hein il va pas en faire tout un plat des heures durant aussi !

C'était que mon doigt mais... C'est bête... Mais J'ai cru... J'ai eu le vertige, J'ai cru que j'allais tomber dans ta bouche tout entier... Je suis bête hein.

Elle... Elle fait ces choses... Ces choses avec ses queues... Tellement de choses... Habiles, si dextres pour des appendices aussi épais de peluchonnage et duveteux, caressant et soutenant son visage qui le rendent tout chose, le parcourant de sa gorge au bord de ses mâchoires jusqu'au doux miel de ses joues avec ses mains, c'est sûr qu'après l'envoûtement de son doigt y avait de quoi le rendre complétement fou de désir, il arrivait pas à réfléchir, à raisonner, trop, trop de caresses haan et... et pas le moindre répit... Ses queues, trop nombreuses wouahou... Trop de... Trop de sensations à la fois, il se laisse attirer, charmé, fiévreux vers elle, c'est si chaud et doux entre ses mains et ses queues de renardes, qu'il en transpire très légèrement, de charmantes petites billes toutes fines naissant ci et là sur sa peau doraient de reflets mielleux son épiderme halé quand elles se mettaient à éclore.

Ces caresses, cette manière de l'inviter vers elle y avait pas de doute, plus de doute possible... Elle aimait ce qu'il faisait et elle voulait que ça continue, humhuumm... Y avait pas de spectacle plus joli que le visage de Kaori exprimant son désaroi et son envie, la torture de son âme à ne pas encore recevoir son du et maintenant il avait compris, c'est lui qui en jouait parce qu'il savait un peu qu'il était peut être pas assez rapide pour elle mais, l'en voir exacerbée et torturée de sa -maladresse- où inexpérience surjouée la rendait de plus en plus folle et c'était tellement drôle. Ah oui c'était drôle et même merveilleux de la voir comme ça, épanouie et imaptiente, hihi. Il maudirait presque son intelligence Abyssiane d'être encore capable d'analyser ce qui se passe et d'en faire certaines conclusions à un moment pareil ! Elle finirait par le maudir aussi s'il tardait trop non ?

Elle fait tout de même de ces choses avec ses mains et ses queues qui l'éveillent au désir qu'il peut produire chez une femme mais surtout qui l'éveille lui même à son propre corps et se découvre même des parties désirables qu'il n'aurait jamais pensé exister... Elle dessine où même redessine à son jeune esprit sa propre vision de lui même au travers du désir et de l'envie de ses mains choyant son cou et son visage, au moins pour elle il se sentait beau à travers ses doigts, à travers ses regards, si elle savait comme ça lui faisait tellement plaisir après certaines choses qu'il à traversées. Tellement de tendresse, d'invitation et d'envie à travers ses doigts, il peut pas résister à son appel.

Il ressentit la libération de ses lunettes hors de son front et de sa chevelure comme une délivrance, parce qu'il commençait à avoir chaud au contact aussi de cet accessoire, il lui avait posé une question qu'il savait déjà stupide s'il sagissait de son sexe, mais c'était plus fort que lui il fallait à la fois qu'il joue et se rassure.

... Ludya...
Non, ça ne fait pas mal... Au contraire...

J'ai très envie de sentir... hmm...Ludya... ta langue, tes lèvres, tes doigts.


La joue de Ludya glissa sur l'intérieur haut de sa cuisse droite, un baiser... Deux... Baiser... suivi du bout de ses griffes qui, sur la peau si sensible de l'intérieur haut de sa cuisse gauche se plaisait à tracer des cercles, et de sa douce voix, un peu vibrante et plus sensuelle, enjouée, il murmure de façon audible mais, comme une caresse aussi chatouilleuse que le bout de ses griffes :

Un baaaaallon de baudrrruuuuuche...

Puis recommence cette fois, avec deux griffes effleurées à peine, insupportables qu'elles étaient de leurs caresses chatouilleuses il recommença ce maudit chenapan ! Et sa prononciation était intentionellement lente sur les syllabes, ça allait de paire avec le rythme, l'allure insupportable et lente de ces chatouilles et des dessins dont le tracé était rythmé par sa voix et la longueur que prenait sa petite phrase idiote !

Deeeeuuux Baaaaallons de bauuuudruuuuche hihi...

Et encore ! Trois doigts cette fois :


TRRRrrrrroiiiis... Baaaaallooooons de... bauuuuudruuuche... hmmm ? Encore un non ?


Et puis ce n'était pas tout parce qu'a chacun des tracés effleurés de ses ballons auquel il rajoutait depuis le début, en premier seulement l'index, puis l'index et le doigt du milieu, puis trois, puis quatre doigts, lorsqu'il prononçait ces mots il laissait la douceur d'une haleine fraîche glisser le long de ta cuisse, ses lèvres se rapprochant si près de l'aine, sur la peau tout autour de tes lèvres... La vibration de sa voix et de sa joue contre ta cuisse... toujours plus près... Piti à petit... A quelques centimètres à peine de toucher... de toucher...

Quaaaaaaaaaaaaatre... Baaaalllooooooooons....

Oh et puis zut ! C'est lui qui n'en pouvait plus... Son doux visage s'engouffra là en bas, sans prévenir ! Sans prévenir, oui ! Et l'imprévisibilité de la chose alors que tu te serais attendue à entendre, et à devoir supporter cette petite voix murmurée quasi devenue insupportable au même titre que ses chatouillis, attendue à ce qu'au moins il fasse son intéressant avec un cinquième ballon de baudruche chatouillé sur ta cuisse gauche, l'attente d'un inévitable recommençement soudain coupé net, en rajouta à l'effet de surprise !

Il venait de poser un baiser chaste mais bien appuyé sur tes lèvres encore légèrement closes, se pinçant la lippe inférieure en relevant le plissement taquin et malicieux de son regard sur toi, avec une complicité fautive, presque comme s'il se donnait un air coupable d'avoir fait ça puis recommence, et recommence... Et recommence encore... Baisers après baisers contre le tour entier de tes lèvres, il picore à son tour ton sexe de petits baisers tout doux et appuyés, sonores de l'humidité de ses lèvres rencontrant la surface de la peau de ton sexe, des sons répétés, rapides, allant jusqu'a glisser sa joue même contre ton intimité et s'amuser de poser la joue contre ton mont de vénus, pour quelques secondes à écouter de son oreille aussi collée là en bas, l'intérieur de ton corps... Oui il découvre et il y avait une petite part de curiosité.

Ses doigts massent ton pubis, ton mont de venus, glissent le long de l'aine de chaque coté et puis flatte la peau et la chair autour de ton sexe, il tâtonne, palpe... Apprécie les formes qu'il à sous ses doigts, alors parfois il presse comme de la bonne pâte entre ses phalanges quand même un petit peu plus fort par moments, juste par curiosité de voir quelle masse ça fait, quel volume, puis c'est assurément aussi très tentant de toucher. Puis ses mains remontent le long de tes hanches, se joignant depuis l'extérieur de tes cuisses jusqu'a ton nombril à plat lorsqu'il parait glisser plus en avant, inclinant la tête à gauche pis à droite en se léchant les lèvres sur un sourire encore bien rieur et amusé. Il claque ses dents ensembles là en bas en faisant semblant de vouloir la mordre ! Juste histoire de lui faire peur où de lui infliger un grand frisson.

Un frisson liquéfié, fondu par le bout d'une langue qui fera là, bien le tour... Doucement le tour de la peau extérieure de son sexe. Plus il lèche et plus il trouve ça drôlement à son goût même s'il évite encore les zones intérieures, il se plait bien à lécher tout le contour pendant que ses doigts et le bout de ses griffes se balladent dans ce qui devrait être la zone de sa toison pubienne, sur laquelle il laisse courir ses petites griffes en cercles, gratouillés très finement sur cette zone en plus de les y faire courir.

Il la regarde... Il l'observe hein, toujours entre deux coups de langue ses yeux remontent les vallées de son ventre, par delà les collines de ses seins, il guette son regard lorsqu'il veut bien croiser le sien et à chaque fois qu'elle le croise il ne sait pas pourquoi il aime élargir un de ces francs et vifs sourires, jouette, mais il peut plus vraiment parler, tout ce qu'on entend c'est des sons de lappements assez rapides, répétés, faisant aller et aller sa langue qui cette fois à osé s'aventurer dans les cercles de chair intérieurs de sa fleur, il lappe, comme le ferait un petit chaton, assez vite... Puis, hm, sais pas pourquoi il aime fermer les yeux aussi en se laissant aller à faire ça. Ca l'excite, rien que de la voir comme ça... De la lécher à un tel endroit et la sentir se tortiller ça l'excite, ça tient son sexe drôlement dur et droit. Même, presque dur à lui en faire mal tiens ! Mais y s'en fout bien parce qu'il adore faire ce qu'il est en train de faire là.

Ses lappemments, ses petits coups de langue s'accélèrent et deviennent plus longs aussi, utilisant une plus grande partie de sa langue qui viendrait frotter et glisser sur toute sa longueur sur ses lèvres, qui, se font emportée un peu par le mouvement de sa langue qui, elle aussi se fait bien appuyée, comme sa bouche et l'Abyssian possède une drôle de force... Donc ça lèche et ça rape un peu à la limite parce qu'il appuye assez bien sa bouche et s'est aussi solidement agrippé à ses hanches avec ses bras vaisant une partie du tour extérieur de ses cuisses pour que ses mains, là, maintenant, s'agrippent sur le haut intérieur de ses cuisses, faisant comme une sorte de grippe, où de pince, où d'étau avec ses bras l'emprisonnant contre son visage. Il était beau à voir dans l'épanchement de ses envies où appétits contre elle parce que parfois il lui prenait l'envie d'embrasser à pleine bouche son sexe à elle, mais avec autant si ce n'est plus encore de langeur, de passion et d'envie que lorsqu'il embrasse sa bouche, et il se mettait à vibrer en plus, ça n'arrangeait rien aux sensations de sa langue qui paraissait un peu plus vibrante par vibration contre son sexe.

Et il était si bien appuyé que la chair de ses lèvres, eh bien, étaient obligées de suivre les mouvements de sa langue comme une danseuse suivant les pas de son cavalier, si appuyé qu'elle sentait les mouvements de sa belle mâchoire s'ouvrir et se refermer contre elle pour laisser remonter et redescendre sa langue, et il ronronnait lui ! Il ronronnait et souriait alors que sa lèche devenait ravaleuse et dévorante ! Quel vilain petit salopard hein quand même ! Ah ça l'amuse ! Même si y savait pas quelle pression où force il pouvait exercer contre elle sans la blesser, il se modérait parce qu'il pourrait très bien lui faire du mal avec sa force et c'était surtout de ça qu'il avait peur depuis le début, il pourrait exercer plusieurs tonnes de pression dans sa mâchoire où ses bras s'il se contrôlait pas. Et Kaori méritait tout le bien qu'il pouvait lui faire.

C'est pas grave, hmm ? Parce que j'ai envie de toute te mangée !

Ludya

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Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]

Réponse 16 dimanche 14 septembre 2014, 14:07:44

HAaaw ça oui... Il prenait tellement plaisir à la lécher, la laper, comme un petit chaton puisqu'elle aimait l'appeller comme ça, il avait été surpris puis tellement aimé se faire pousser par ses jambes contre son intimité, se noyant dans son sexe avec ses lèvres, son visage, même parfois le bout de son petit nez ! Ses gémissements étaient une douce musique à ses oreilles, il se découvrait un appétit qu'il ne se connaissait pas jusque ici, l'incroyable envie de l'entendre pousser ces doux petits cris et de la sentir émerveillée par ses talents... hum... D'orateur... Il ronronnait une mélodie vibrante à son sexe tout en la lapant de plus en plus rapidement, vivement, appuyant avec sa bouche, embrassant ses lèvres intimes quand elle semble vouloir l'attirer, l'aspirer en elle, plongeant sa langue pour un baiser des plus intimes et secrets là en dessous en tête à tête avec sa fleur.

C'était tellement beau d'entendre sa voix, ses haANWW, ses hmmm, ses ouiii, ses continue, howw, que c'était bon de l'entendre, d'entendre le plaisir qu'elle prenait à s'être faite déguster par l'Abyssian... Y sait pas pourquoi mais il voulait l'entendre encore plus, il voulait entendre sa voix tourmentée par le plaisir prononcer son nom et tout un tas d'autres choses si elle le voulait.

Il fit l'effort... Non, pas l'effort, il avait envie d'être plus sérieux a ce niveau d'excitation, même si l'envie de se jouer de son état était terriblement irrésistible ! A s'en croquer la lippe... Il résista à l'idée de faire la remarque de son état de faiblesse, de lui dire que cette fois, c'est elle qui à perdu ! non... Ça serait gâcher. Il n'eut pas à résister l'invitation de son corps décontracté, las, étendue dans l'herbe, cette façon qu'elle avait eu de l'appeller par son nom l'avait envoûté, il voulait encore... Encore entendre ces gémissements merveilleux, ces appels, cette voix... Le creux de ses reins s'élever, ses cuisses et son bas ventre se durcir du mal du plaisir, La douceur de ses traits, de ses lèvres se déformer elles aussi de cette souffrance plaisante... Il aimait beaucoup qu'elle soit un petit peu plus petite que lui, elle était si mignonne, elle lui paraissait si fragile à coté de ce qu'il pourrait faire par maladresse s'il ne faisait pas attention à la force qu'il imprime dans ses gestes... Et ça le rendait tout chose, tout chose de savoir qu'il pourrait s'il le voulait la... la prendre... La défaire, encore et encore, la vaincre, l'abattre, l'explorer et la conquérie, se l'approprier et la faire supplier ouie. Humr...


Il posa le bout de sa griffe sur ses lèvres, posant un regard entendu, complice, incliné de sa tête, glissant à son tour le doigt de son autre main face à ses lèvres à lui :

Ludya...

Sshhhht... Je viens.

Il rampa vers elle, s'étendit sur son corps d'une très longue caresse avant qu'elle ne sente, dans sa progression lente le bout de son sexe caresser ses lèvres tant qu'elle était dans cet état d'extase, étourdie, son regard encore perdu dans le plaisir. Il ne laissera pas à ses spasmes d'agitation du bas ventre se terminer, lui laisser de répit, il glissera la jolie taille de son gland lisse en elle, il avait bien perçu cette faille, cette entrée pendant qu'il était trrrès occupé là dessous. Puis... Puis elle était si humide qu'il n'aurait pas milles et unes précautions à prendre pour y glisser, enfin ce qu'il croit et, bien qu'il aurait apprécié y aller très, très... Très doucement, il sentait la nervosité des contractions de son sexe prête à l'acceuillir, L'Abyssian s'avança, progressant fièrement d'un déhanché suivi du mouvement fluide de ses épaules, en glissant les reliefs de son torse et de son ventre à lui sur le corps de Kaori...

Avait il le droit ? Le droit de profiter ainsi de son agonie, son désaroi, cette fois c'était elle qui avait baissé les armes. Et l'Abyssian venait pour conquérir et prendre tous ses territoires. Il fut surpris autant qu'elle du contact chaleureux de leurs deux corps s'unissant à peine... Son assurance blêmissant sur son visage et fondant sur des traits plus incertains, hésitants, arquant le dos en redressant son visage qui, jusque là planait presque au dessus de sa poitrine.

Un regain de volonté, et il continua sa progression impitoyablement lente, s'avançant de ses mains posées sur le sol, rampant vers elle en dandinant sa queue d'Abyssian et contractant l'une puis l'autre de ses petites fesses musclées entre les cuisses de Kaori, ce vil... envahisseur venu d'un autre monde, l'envahissait ! Et il lui sembla qu'il y avait peu de place, se sentant si serré déjà alors peut être qu'a peine un petit tiers de son membre s'était fait une place serrée, irradiante d'une bonne chaleur fondante en elle. Hmmpff... Il s'arrêta là un moment, ses petites fesses et ses cuisses se dandinant et se contractant avec jeu et surtout plaisir, le plaisir de laisser vivre, pulser, reposer, "tremper" diras t'on, un brin vulgairement, vingt centimètres de son sexe dans son doux petit corps, ce qui lui semblait déjà être un exploit en soi pour l'apparence aussi jolie, que fragile et douce de la taille de Kaori. Il s'étendit sur elle, venant écraser sa poitrine avec les reliefs puissants de la sienne, pour que son visage s'échoue au creux de son cou, contre sa joue, et qu'il lui murmure toute la sincérité de ses désirs et de son envie :

KaoRrrri... Hauwh... Kaori ♥ Quelle... Quelle errrreur...  hm ? Est ce que tu la sens déjà, cette... Haaahhh... Erreur ? ... RRrr De donner... Rrrr... Si envie... Une telle envie d'exploration... A un vil Abyssian ?

Il restera un beau et long moment en elle, comme ça, en secouant d'une petite danse presque victorieuse ses hanches, prenant soin de se reposer à nouveau de tout son corps sur ton ventre, ses mains allant s'occuper de sa douce poitrine, d'une taille raisonnable, la sentant sensible et plus fine, ses doigts glissèrent sur ses seins et les massèrent avec tant de gentillesse, d'envie aussi dans ses lèvres qui s'emparèrent de ses tétons qui, étaient sans doute durcits et peut être aussi un peu érigés. Les battements puissants et dédoublés des coeurs de l'Abyssian faisaient rapidement pulser son mat de chair dans ton ventre, tendu de sa peau par l'envahissement de cette créature. Bien qu'il ne bouge pratiquement pas, il laissait faire les vibrations de ses coeurs pulsant en elle et celles de ses vibrations ronronnées, qui, seules suffisaient à la faire vibrer, masser ses parois internes assez pour les décontracter et millimètres... après millimètres, comme si les vibrations de ses ronronnements et les pulsions de ses deux coeurs la remplissaient de fourmillements, son sexe avançait encore... Sans se précipiter, même qu'il régulait sa respiration, contrôlait la tension sanguine de son membre pour qu'elle soit dans cet état semi érigée, semi moelleuse pour vraiment, vraiment pas lui faire de mal... Les zones charnelles extérieures de son membre étaient plus tendre et le coeur de la "meule" de son sexe si on veut, était toujours bien rigide et dressé. Car il craignait avec la mignonne fragilité de son apparence de lui faire bien mal avec la taille de son membre.

Il ne s'arrêtera pas pour interrompre sa progression d'une demande stupide et soudaine, du genre "ça va kaori ? T'es sûre que ça va hein ?" Il le saurait si ça ne va "pas", il le lirait sur son corps, son expression, puis il commençait à comprendre que ses interventions spontanées et abruties même si sincère d'inquiétude pour ce qui se passe la frustraient, où lui couperait une partie de l'envie parce qu'il ne serait pas assez franc, assez langoureux où que ça coupait toujours au meilleur moment ce qu'il était en train de faire... Pas cette fois. Elle n'aura pas de répit cette fois ! Sa chute est inexorable, il la sent probablement se contracter merveilleusement autour de lui, ses spasmes de plaisir n'ont pas du discontinuer depuis qu'il a entamé sa progression, ah ça oui il n'avait pas daigné laisser à son corps la chance de se remettre de son précédent petit orgasme qu'il s'était aventuré en elle !

Il lui grignotte le bout de l'oreille entre ses lèvres et parfois du bout de ses dents, embrasse sa joue en suivant la ligne saillante de son mâchoire jusqu'a son menton et picore son cou de ces baisers là aussi, trrrrès agile et habile d'une danse de ses hanches et ses fesses qui cherchaient pas nécessairement à pousser son sexe plus loin mais le faire tourner et danser un peu en elle, les vibrations et le poids de son corps faisant le reste pour lui, rendant si interminable, irritante de patience et de longueur sa progression en elle, et ça le faisait sourire cet idiot d'Abyssian ! AaahwRr... Humr, non, là... Là c'était plus par jeu, il avait l'air d'avoir envie et de maîtriser ce qu'il faisait cet infâme petit coquin, en plus de s'aider à s'habituer à son étroitesse, il sent qu'il doit durcifier un peu l'épiderme de son membre pour l'insensibiliser légèrement aux charmes trop intenses des parois étroites de Kaori. Ca ne serait pas "drôle" pour elle mais surtout pour lui s'il pouvait pas la torturer de plaisir un peu ! Et il avait tellement envie, tellement envie d'achever son adversaire de plaisir.

Désolééé hmrrrr... Parfois l'exploration, ça peut prendre un petit peu... où beaucoup de temps ♥ Puis.. Humpfr... ça dépends de la rareté des choses qu'on explore...

Il revint lui murmurer à l'oreille, enjoué mais aussi très suave, sensuel de sa voix vibrante, emplie de ses ronronnements :

Et tu le sens, hmr ? Tu sens Rrrr.. que j'ai trrrrès envie de prendre touuuut mon temps pour t'explorer, toi ? ♥ RRrrou ? Si rare... Si belle...


Ludya

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Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]

Réponse 17 vendredi 19 septembre 2014, 13:34:46

Elle à décidé de le caresser à un endroit paaaarticulièrement sensible, ultra-chatouilleux là en bas, si bien que le contact de ses mains lui envoient de puissants et incontrôlables frissons rayonnant du bas du dos jusqu'au bout de ses doigts de pieds et frissons froids de sentiments vif d'avoir à s'échapper dans son crâne, à produire des noeuds nerveux et fou-fuyants dans son bas ventre, des spasmes de contractions nerveuses, à ça s'ajoutait aussi un sentiment de préservation, cet étrange sentiment comme lorsque l'on à la frousse où la sensation d'être poursuivi dans la nuit, cette chose qui vous envoie des frissons froids dans le creux des reins et pousse littéralement le corps hors de ses limites et vous fait courir plus vite que jamais vous n'avez jamais couru par peur de sentir quelque chose de vraiment dangereux où effrayant dans son dos, ça forçait donc Ludya a se courber, creuser son dos d'avantage, aux dépends de Kaori qui dut subir ses soubressauts instables, très nerveux, qui faisaient inévitablement avancer la taille de son doux pilône de velours entre ses lèvres, déjà bien déformées par la fonte chaude de ce membre si dur, si épais, mais surtout d'une longueur qu'il craint lui faire du mal !

Et une crainte dans l'autre son âme est torturée par l'envie débordante d'urgence de fuir ses doigts et de rentrer se réfugier complétement en elle, et ce sont des à coups rapides, successifs, se déhanchant une fois violemment à droite, où vers la gauche en penchant ses hanches dans une danse plus violente, avec des déhanchements dignes de la puissance d'un taureau, c'est pas sa faute... Il se retient d'éclater de rire, et se tortille, ne peut plus contrôler complétement sa force... Et ses rotations du bassin et le tortillement de ses fesses contractées sont si vives et soudaines d'un coté à l'autre qu'elle aurait l'impression que son membre est un pilon et son sexe un mortier bien trop étroit pour les mouvements limite brutaux que ces sensations trop intenses pour lui, le forcent à faire !

Puis... Puis il s'engouffra d'une traite, fluide et rapide jusqu'au bout en elle, retombant sur son corps en enfouissant la douceur de son visage doré contre son cou, sa petite langue lui lapant la gorge et se laissa emporer par la faiblesse de cette branle si bien exécutée sur la base de sa queue, allant et venant en rythme avec la manière dont elle masturbait sa queue c'était... C'était sssssiiiii booooon ? Tellement, hanw... Tellement bon, bon , Bon ! oui... Ouiiiii... Il aurait pu fondre, comme ça, il devait même s'empêcher de miauler ! Ca serait pas... C'était pas juste... Elle trichait... Haaan... Huuummm... Il allait et venait si nerveusement, il contrôlait plus le bas de son corps, même ses fesses se contractaient et se décontractaient en ayant une fichue tremblotte, tout comme ses cuisses, ses genoux dérapant sur le sol en ne sachant plus suivre les mouvements incontrôlables de ses hanches et de ses fesses, elle devait le sentir aller et venir sur une petite distance, entre huit et dix centimètres d'avant en arrière mais a une allure de nervosité électrique où spasmique déclenchée par ces frissons chatouilleux.

Il devait se ressaisir, il devait, Awr ! Envie et pas envie... Il finirait esclave de cette branle foudroyante, électrique sur sa queue si ça continue, elle avait pas le droit ! pas le droit ! il en avait même des faiblesses dans le haut du corps, dans les bras, dans le cou qui faisait se glisser sa joue et ses lèvres sur celui de Kaori, tremblottant comme une feuille morte, non, non ça montait en puissance, il vibrait plutôt, comme une sorte de moteur, au début comme un petit moteur a bas régime, puis de plus en plus fort, passant de cylindrées supérieures, à supérieures, des vibrations des hanches qui le faisait aller et venir si sur cette petite distance, d'avant en arrière si rapidement ! Il finit par comprendre ce qu'elle voulait, donnant volontairement un coup de butoir beaucoup plus profond et sauvage que les autres, mais... Hanw... mais...

Gn...Gn-hanwrr... ça ne dura pas... Pas bien longtemps... ce regain de volonté ne dure pas... Aucune envie d... d... De lui échapper... Surtout... Oh... HumGRr... Surtout qu'elle n'arrête pas de laisser trainer ses ravissantes mains sur la rondeur de ses fesses, remontant discrètement dans sa raie pour aller branler sa queue... Le corps, la chair de cette queue qui se raidit, qui se tends, et se durcit ! Presque comme une sorte d'érection de ce membre ! Et ça n'arrange rien à ses forces qui semblent drainées d'une façon si exquise, magnifique, rendant ses membres tout las, manquant de force comme çaaaah ? Il glissa le miel de ses joues partout, partout dans son cou en tremblant des fesses et des cuisses, du bas de ses reins caressés et chatouillés qui partaient dans des mouvements souples et fluides.

HAaaahh... HAaaaahwwwRRr... HAAaaaah... Arrrretes ! Kwaorrrriiiii... Arretes ! J... J...

Il ne voulait pas avouer à quel point ça lui faisait du bien, même si son corps le trahissait déjà, suivant avec une avidité rare les caresses de la fin des doigts, des griffes de cette malicieuse créature, elle pouvait sentir le trouble de sa peau et de sa chair trembler sous ses caresses, sa branle experte, si bien, trop bien exécutée sur la base de sa queue envoyer tant et tant de vagues de frissons qu'il en écartait progressivement les cuisses, arquait sa jolie chute de rein bien définie et se laissait finalement faire comme un vilain petit chaton victimes de caresses impitoyables, insupportables, sans aucune pitié de la part de sa tortionnaire ♥ HaaWwRRroui, à ce stade de chatouilles et ce niveau de plaisir c'en était devenu de la torture !

Comme pour chercher à la distraire, à l'empêcher de se concentrer sur ce qu'elle fait tout ce qu'il pouvait faire était de multiplier les baisers sur son cou, sa gorge, ses joues, des dizaines et des dizaines de baisers si rapides, ronronnés contre sa peau, où se mêlait souvent le bout de sa langue, secoué par ses propres caresses le sexe de Ludya vibrait énormément et remuait beaucoup en elle, sans pour autant avancer où reculer, il était incapable d'un tel mouvement pour l'instant.

Tu... Tu triches... Tu triches... Tu triches encore... J'vais... J'vais... Pas le droit... T.. Tellement bon, Trop booon ♥ Pitié... Pitiéééé ♥ J'ferai tout ce que tu veux HngRr !! Tout... Touuuuut. J... J... Pitié... C... Continues ♥

« Modifié: vendredi 26 septembre 2014, 21:33:54 par Ludya »

Ludya

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Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]

Réponse 18 dimanche 05 octobre 2014, 22:27:46

Han-haaaan !

Cette douce petite peste s'amusait beaucoup de l'émoi dans lequel elle le mettait ! Son beau et triste sort l'amuse et lui plait beaucoup à c'te chipie ! Elle aimait s'occuper de lui au moins autant qu'il n'avait a-do-ré insister de ses doigts et de ses griffes sur ses queues à elle. Et Ludya ne peut certainement pas mentir, se faire torturer de plaisir par ses caresses infiniment expertes sur sa chute de rein et sa queue d'Abyssian lui plaisent, le font fondre dans ses bras et ronronner contre la peau de son cou, où de sa joue. Il adore, adore sentir ses membres perdre leur volonté et se sentir devenir faible, de plus en plus faible face a la nature divine des caresses exquises dont elle l'accable. 

Lorsqu'il peut encore redresser un peu le visage, l'échouer sur sa poitrine où dans son cou en relevant les yeux sur les siens... Il l'aperçoit, cette vilaine créature ! Se plaire de voir son visage fondre, ses lèvres trembler, son corps s'offrir et s'arquer d'un creux souple du bas des reins, sa queue se tendre, durcir et limite elle aussi se mettre à pulser sous le passage de ses doigts.

La galbe du miel des cuisses de l'Abyssian étaient sans cesse caressées contre celles de Kaori, la glisse douce de ce doigt dans le sillon de ses fesses l'avait rendu tout chooose... Elle avait trrrrès certainement senti sa respiration se bloquer, son corps s'arrêter de bouger, son joli postérieur crispé lorsqu'elle commença à insister de plus en plus sur cet endroit secret entre ses fesses.

Il perdait... Il se sentait proie... Et doit admettre sa honte. Il... Il devait admettre qu'il adorait perdre si c'était... Non ! Aaanh non... Pas de cette façon ! Si... Aaah si ! Il entrouvrit les cuisses et relâcha doucement ses fesses sous cette attention délicate et d'une douceur dont il n'aurait pu soupçonner le plaisir qu'il puisse procurer... Déjà le passage caressé et même chatouilleux du doigt lubrifié, caressé sur cet endroit qu'il ne connaissait pas encore, le... lu... Lui plaisait à en mordre sa langue entre ses dents pour ne pas gémir de plaisir. Elle pouvait pas ! Pouvait pas faire ça ? Si ?

Elle... Elle appelait ça une gâterie... Pourquoi en avait il si honte... Il hochait rapidement la tête par la négative contre son cou, son petit nez glissant sur sa peau de gauche à droite, luttant pour ne pas s'abandonner à ce qu'elle lui fait ! Elle peut sentir un conflit intérieur l'étreindre, jusqu'a presser l'anneau qu'elle entrouvre autour de son doigt par raffermissements irréguliers des muscles de ses fesses.

Il ne put lutter longtemps... Il ne voulait pas... Pas lui donner cet indice, mais si, si c'est vrai elle caressait bel et bien son point P là dessous... Sa tête finit par calmer ses rotations de gauche à droite pour se briser sur la plus belle expression de son joli minois fondu, ravagé, les traits égarés par la honte et le plaisir, lèvres entrouvertes... Son appendice buccal toujours si serré entre ses dents qui finirent par la relâcher et la laissèrent enfin sortir au fur... et à mesure... qu'il sent le doigt pro-gre-sser en lui. Plus elle avance, plus son doigt s'enfonce et plus sa douce langue s’étend... Synchrone avec l'avancée... Elle Sort... Elle glisse... D'un étrange besoin de la laisser sortir. Comme si la poussée du doigt entre ses fesses obligeait a un certain soulagement, sa douce petite langue se couche avec une impression de confort charnel sur le matelassage de sa douce lippe inférieure.

GRRRrhaaaââââaauuuuuuuuuuhhh ♥

C'était bien plus vibrant et grave ou rauque qu'a son habitude... Suave d'un épuisement de fin de volonté, d'un épuisement physique face a sa propre lutte de ne pas croire que ça se passe, que ça soit possible... D'un éreintement de sa résistance au plaisir. Il se rendit compte qu'il n'était pas de taille, ouie, pas de taille face à l'expérience de cette magnifique créature et il aurait perdu non pas sans lutter !

Il éprouvait tant... Tant de honte à ne pas pouvoir cacher à quel point il aimait aussi sentir ses doigts s'occuper de cet endroit qu'il ne voulait pas nommer. Sa plus grande honte était qu'elle s'en rende compte, qu'elle soit témoin de sa déconfiture... Il avait pas envie de se donner dans cet affligeant spectacle en ayant l'impression que toute la virilité qu'il a essayé de se construire en dernier lieu face à elle s'effondre. Secouant encore une fois la tête par la négative entre deux sons rauques échappant à ses lèvres, au fond de sa gorge. Non !!! Il nie ! Enfouissait périodiquement son visage contre son cou mais le relevait avec la cadence de ronronnements hauts de plaisir quand le bas de ses reins se redressait sous les allées et venues de son doigt le taquinant là dessous. Elle faisait complétement fondre sa concentration et son pouvoir de durcification où d'armure dermique ne protégeant hélas plus du tout, du tout son sexe pour former une insensiblité qui était jusque là efficace au plaisir.

Elle lui demande de se détendre... Il essaye... Sa voix est si envoûtante, comme le chant d'une sirène. De toute façon il à peur de trop bouger maintenant, il vibrait très très fort en elle mais se contentait de tout piti mouvements, preuve qu'il était sur le point de mourir de plaisir ♥ Il se détends bien que fébrile et tremblant comme une feuille morte vibrant sur l'échappement d'un moteur puissant, elle le sent s'abandonner en elle et sur elle, mais surtout s'abandonner à la pénétration lente et experte de son doigt, en son fort intérieur il se sent un tout petit peu mal... Il voudrait pas donner l'air d'aimer trop ça et que ça perturbe Kaori qui... Qui le prendrait pour un vil débauché. Où une salope comme on dit dans le jargon, il est pas une salope ! Où une pute... ou un putain... Enfin, mais salaud à pas le même genre d'impact où de signification il trouve que salope en subissant un truc qui le rend clairement fou de plaisir et en redemanderait, c'est... ça lui parait... Pas bien. Au fond de lui il a peur que Kaori le respecte plus s'il se laisse aller comme ça sur ce genre de caresses. Mais il pouvait rien y faire elle s'attaquait à un point faible et vu que les femmes possédaient pas leur point G là bas et que seul les hommes pouvaient se faire surexciter par là c'était un étrange paradoxe que ça soit les mâles qui se fassent faire jouir beaucoup plus vite et fort par là...

- Je haan~ triche pas... j'ai envie que tu... ha! jouisses avec moi... chaton!

Il n'arrivait pas à croire qu'une telle créature existe. Qu'elle soit si... Si douce, gentille, aimante dans ses caresses et ait envie de lui faire tant de bien dans les attentions qu'elle lui portait. Se sentait si désiré qu'il se croyait dans le plus inconcevable des rêves. Elle... Ben elle lui en voudrait pas, hm ? S'il devient un petit peu -salope- à cause d'elle... On dirait bien qu'elle le cherchait. Il haletait la langue sortie, avec cette expression ahurie, sans honte de plaisir. Une expression d'ébahissement qui friserait le ridicule même si ses traits sont encore mignons lorsqu'il s'y prête. Il se sentit happé en elle, dans son temple qu'il s'en voudrait presque d'avoir profané si idiotement depuis le début... Trop tard pour avoir des regrets sur la façon dont il à fait les choses, s'il avait su il aurait fait les choses pour qu'elles soient plus parfaites encore, plus excitantes, malignes et plus mémorables encore pour elle. Il se sent aspiré, attiré encore plus profond. Il se retenait, se retenait de toutes ses forces ! Avec la volonté du désespoir, l'expression de son visage de plus en plus honteuse et abandonnée de tous ses nerfs qui se concentraient autre part...

Hii... Hiii... Hiiiiiiiiiiiiiihhh... Si... si tu triches... K... Kaorie... KaorRRRrrrrie ! Huummmmm ♥ N'Raaauw !! Mais... mais J'adowRRre quand... Ahanwoui... J'adowr quand tu trrrrriches ♥

De tous ses muscles relâchés par ce massage enivrant. Ce morceau de chair long et brûlant en elle durcit par pulsions plus fortes et soudaines, entrant en conflit et rivalité où en une forme de danse qui cherchait à repousser les contractions étranglantes des parois de la Kitsune, une jouissance pulsative en frottant et caressant l'autre pour la faire grimper ! grimper... Monter si haut... Si haut avant... Avant... AVANT QU... !!!

Il voulut crier mais ses lèvres restèrent entrouvertes, comme bloqué dans un cri sans la voix qui irait avec, s'il avait pu ça aurait été un grand et puissant cri, mais c'était si... Si puissant que l'arc bout de son corps si dressé et tendu de tous ses muscles suffisait à lui même d'être l'expression violente d'un orgasme tétanisant, fulgurant !

Des spasmes si forts faisaient enfler le sexe de Ludya, Kaori pouvait très clairement sentir quand le liquide remontait le long du canal interne de son sexe parce que ça le rendait plus volumineux de la naissance de sa verge jusqu'au bout. Juste avant que ça ne se répande en elle, les jets étaient assez puissants pour qu'elle ressente la projection se répandre et s'écouler contre toutes ses parois. C'était puissant, le liquide -brossait- sa chair lors de leurs fulgurants jets de sortie. Le bas ventre de Ludya se contractait très fort lui aussi à chaque fois qu'un courant électrique où pulsion incontrôlable dressait son sexe.

Quand elle empoigna sa queue comme s'il s'agissait d'une poignée il était tout, tout collé contre elle, son sexe et son entrejambe épousait très fort son corps à en lui incliner le bassin vers le haut dans l'extase solide, tétanisée, furieuse partagée. Comme si la douleur de leurs muscles tendus et durcits, crispé, crampé du bas ventre l'un contre l'autre amplifiait son orgasme ! Il s'échoua, chaud et ronronnant sur elle. Bien qu'il possédait encore beaucoup d'énergie il s'était senti crampé et temporairement éreinté par cet orgasme, l'envie d'être tout au calme contre son corps, de la sentir contre lui et de profiter. De la regarder et caresser du bout de ses doigts sa lèvre encore entrouverte. De venir caresser affectueusement sa joue sur la sienne.

Il se pince la lippe et rampe un peu sur elle, doucement pour parvenir à hauteur de son oreille, lui murmure d'une voix enchantée, douce :

Je suis peut être pas encore allé dans l'espace, mais J'ai vu une étoile de très près aujourd'hui.

Il ne sait pas si elle aimerait qu'il s'occupe de ses jolies fesses à elle lui aussi... C'est difficile à dire... Elle pourrait aimer le faire mais pas apprécier qu'on lui rende la pareille. Il glissera doucement ses mains sous elle, jusqu'a ses queues avec lesquelles il joue pendant qu'elle semble encore épuisée et pantelante de plaisir, quelques doigts s'aventurant un touuuuut pitit peu plus bas... Tout piti peu... A l'orée de la croisée du bas de ses reins, des derniers muscles du bas du dos juste avant le sillon fessier et chatignouille cet endroit du bout de ses griffes en roulant du bout de son p'tit nez sur le sien, sourire malin sur les lèvres.

J'ai encore envie de toi mais... Je voudrai pas te forcer à jouer encore si tu me trouvai trop gourmand !

Ludya

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Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]

Réponse 19 jeudi 13 novembre 2014, 10:32:34


- Flatteur...Hmmm... Continue~


Ses sourires le séduisent, l'ennivrent et en font naître d'autres plus rieurs chez l'Abyssian... Vraiment très ommunicatifs ses sourires... oui, Ludya peut pas s'empêcher d'étendre ses lèvres en sourires lui aussi, allant même jusqu'au rire qui donne le frisson de fin de faiblesse du corps et de la voix comme lorsqu'on sent ses forces vous échapper quand elle entortille une mèche cuivrée autour de son index... Et puis il se voudrait s'assagir... Laissant son sourire disparaître sur le calme de ses traits redevenus un peu plus... sérieux lorsqu'elle écarte d'une caresse une autre mèche de cheveux...

Continuer de la flatter ? Il avait peur de dire des grosses bêtises à force parce que ce qu'il avait dit précédemment c'était sorti comme ça presque tout seul et avait peur que de broder et inventer par la suite ça allait pas avoir l'air aussi sincère et spontané que ce qu'il a pu dire sur l'émotion comme ça.... Mais en gardant que ça ressemble toujours un peu à un jeu en tête et que le ton peut être plus léger alors oui. Il essaye.

Ta chevelure est belle et bleue comme l'aura de la lune un soir d'hiver, vue à travers le reflet doux et calme d'un lac tranquille... Mais qui pourtant peut avoir des mèches aussi rebellées qu'un équipage de navire s'en prenant à leur capitaine avec l'impression qui ne rentreront jamais au port, aussi sauvages et turbulents puis insolents qu'une tempête en pleine mer quand ton visage laisse danser tes traits au gré de tes mouvements, ils veulent me cacher leurs joli traits !

Il essayait de continuer pendant qu'elle l'embrasse et fait toutes ces choses trop marrantes et chatouilleuses à son visage et c'était pas toujours très facile de se concentrer sur ce qu'il dit, même si il doit fermer les yeux pour ça et effacer ses bêtes sourires pendant ce temps là !

Ta mignonimie - t'aurais pu utiliser beauté, banane- ... Euhmhum... Ta mignonimie rayonne comme l'éclat d'un soleil vivant...


Rigole puis se pince la lèvre des prochains baisers de Kaorie, sentant fondre son intellect par la même occasion huh.

Et... et les photons brillants de ta joliemie se... se reflettent sur les... disques de la sphère d'armillaire du... Du capitaine abandonné que je suis essayant de se repérer dans les abysses de ton univers...

Et tes lèvres... Haah... sont comme des rayons qui me... Me guident... sans m'aveugler... Haaah... à travers les ténèbres... de mes pensées... Et pis, confuses, oui et très souvent, ouie, très souvent idiotes, hihi... Rendues idiotes et débiles... haah Par le ravissement de ta lumière... Puis.... puis... Humm

Il devenait ivre, ivre d'excitation de par tous les baisers qu'elle lui donne pendant qu'il essaye de mouvoir ses lèvres et s'était penché, de plus en plus donné son visage à ces étranges caresses qui le tuent, sachant pas que son visage, ses belles joues miel et ses traits pouvaient subir un tel outrage ! Elle aimait bien sa tête, la physionomie de son visage à ce point pour le lécher de partout comme ça ?

Haaah... haaanh... Je dis... Je dis n'importe quoi moi... je dis n'iiiiimporte quoi... Et c'est ta faute hihi...

Elle est douce... Elle est d'une délicatesse et d'une redoutable précision affective dans ses gestes... Du bout de ses doigts, de ses lèvres Cette douce petite créature lui caresse la peau, le visage, la nuque... Les épaules... Et il tangue, danse avec ses mains, danse avec ses baisers sur sa peau en fermant les yeux... se laissant aller... Il frissonne de tout son être... Et en est profondément touché. Autant de désir... Autant de folie ce... pour quelqu'un... Même dans ses désirs les plus fous ça ne pouvait exister. Il en était la proie et malgré sa force il fond... Il fond littéralement en dedans et se laisse faire en poussant milles et un petits gémissements à chaque fois que ses lèvres happent sa peau, lèchent son visage...

Il se sentait tant désiré entre ses griffes... C'est fou ça... Ses yeux en vibrent... Ils S'humidifient mais l'Abyssian ne se laisse pas pour autant aller jusqu'a pleurer. Ca le rend triste... Tout comme ça lui donne aussi beaucoup de joie... Il la laisserait lécher et baiser son visage, sa peau et mêler ses doigts à sa chevelure à l'en user si tel était son désir. Elle aimait sa bouille... Le miel de sa peau... Et lui... Lui offrait les zones les plus planes et lisses possibles en relâchant ses traits lorsqu'elle y passe sa langue ou ses lèvres, poussant des gémissements dépourvus de honte du plaisir qu'il ressent au passage de sa langue... De la moindre de ses attentions. C'est tout son être qui passe sous chacun des sens de Kaori... Comme si elle cherchait à s'approprier chaque volume, chaque espace qu'il occupe.

Ca l'excite... HHhRrrw awoui... ça l'exciiite... A son tour il caresse son visage... Sa joue droite roule et roule sur la sienne entre divers baisers chassés, volés, sur le coin de ses lèvres... Ses doigts glissent sur la ligne douce de ses joues, la saillie lisse de ses mâchoires... et suivent de leur chatouille caressée sur le bout du menton de Kaori... Respire... Oh ouie... Respire à quelques millimètres à peine de sa peau entre deux baisers... Ses mains glissent derrière ses oreilles... Appréciant fermer une paupière après l'autre avec la fraîcheur de baisers du bout de ses lèvres qui appuyent dessus, Embrassant aussi les zones intérieures de l'arête de son nez avec une frénésie qui lui picore ensuite le reste du visage d'une quantité affolante de baisers qui se multiplient... Se multiplient encore et descendent de son visage à son cou, attrapant sa nuque... Massant sa chevelure entre ses mains... Son cuir chevelu entre ses doigts... Ses petites griffes y laissant le léger plaisir de traçés en cercles aérant et parcourant son cuir chevelu.

Elle l'a encore appellé chaton et normalement ça l'agace ça ! Surtout que comme il est pas bien grand pour un garçon il voudrait grandir plus vite et déjà être adulte mais la façon dont le dit Kaori et dont elle lui manges le visage lui donnerait presque envie de rester comme ça toujours.

J'suis pas un chaton... Murmure t'il discrètement l'air de pas vraiment en être convaincu.

Lorsqu'elle se sera redressée contre lui il se relèvera sur ses genoux en redressant ses cuisses. Se dressant un peu face à elle, corps contre le sien... Et c'est si doux d'être Emmêlé dans les étoffes caressantes de son yukata qui glisse contre, autour, et entre eux... Amenant ses doigts sous son menton pour la guider vers lui, une autre main derrière sa tête pour l'acceuillir et soutenir sa tête inclinée vers la sienne. La surplombant un peu pour se laisser fondre contre ses lèvres.

Et là, il sait pas dans cette façon d'avoir bien saisi son visage il a envie... tellement envie de... Ben il l'embrasse... Il l'embrasse et l'embrasse, et l'embrasse, et l'embrasse et fini par un long, long, long baiser la maintenant prisonnière contre lui, sous son visage, entre ses bras, ses mains et ses doigts... L'embrasse à l'en étouffer, les mains de l'Abyssian la décoiffent en s'affolant à la caresse, une caresse plus frénétique, nerveuse... Possédant là une griffure un peu plus appuyée restant tout de même chatouilleuse mais décidément bien plus posséssive et étreignante sur son crâne. La pressant contre ses lèvres qui la goûtent et la dévorent. Il ne sait pas ce qui lui arrive... Il lui devient difficile de préserver tout le frisson de la délicatesse de gestes qui étaient avant plus précis, ils deviennent plus précipités, nerveux, envieux, la tâtant ici et là, la pressant d'avantage contre son corps et fouillant sa bouche avec la présence de quelques mordillements de ses lèvres, lui pressant les hanches et appuyant dans le creux de son dos pour ramener son ventre contre le sien, lui saisissant à pleines mains les fesses pour relever son corps et changer le niveau de leurs visages, elle se retrouvant soudain plus haut, une tête plus haut que lui, et inverser la position précédente dans laquelle c'était lui qui surplombait son visage et l'embrassait maintenant c'est elle.

Tu es... si grâcieuse... Ta peau si douce... Tu as l'air aussi jolie que fragile et précieuse... Je sais pas comment... Comme du beau cristal bleu... Tu me donnes envie de t'aimer comme un sauvage, mais t'as l'air si précieuse et fragile aussi... ça donne peur de te faire du mal. Alors je sais pas... Je voudrai expliquer mais là, maintenant... J'ai que des mots idiots et j'aurai l'impression de tout gâcher si je te prenais comme une vilaine bête ou un animal. Et tu mérites vraiment pas ça hein... Tu mérites qu'on caresse ta beauté pas qu'on la brutalise et pourtant t'es si belle qu'on a envie... si envie de te voir crier de plaisir... Ce serait un plaisir trop primaire et égoiste et j aurai l'impression de me servir de toi pour me faire plaisir et que ça serait meme un peu sadique parce que ça donne aussi envie de voir ton visage et ta belle petite bouche se déformer de plaisir et de surprise.

Diable soit de son cerveau d'Abyssian qui à tendance à trop réfléchir...

Mais tu vois, je suis... Trop sincère avec ce que je veux... Et ce que je veux pour le moment c'est vraiment pas bien... C'est vulgaire... Mon cerveau lutte contre parce que la vérité c'est... C'est que j'ai très envie de vulgairement te baiser comme une femme de rue et t'entendre hurler et franchement je crois... Qu'avec quelqu'un comme toi, t'es si sensible que ça se fait pas voila... voila... Tu en penses quoi ? Tu en penses quoi... Dis moi que je peux, dis moi que je peux pas...



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