De l'aide venue du ciel (Ludya)

Elle avait des épaules rondes et musclées qui portaient le fardeau de la faim de centaines voire de milliers de personnes qui se nourrissaient grâce à elle... De magnifiques mains même si ses doigts avaient encore facilement la finesse reconnaissable d'une femme, et la peau encore douce, elles possédaient la charpente solide et nécessaire au maniement des outils les plus lourds, et par toutes les créatures rampant dans les abîmes de l'enfer dieu seul sait tout ce qu'elles avaient du supporter. C'aurait été cruel de s'effrayer d'elle juste parce qu'elle dispose d'une anomalie qui en auraient effrayé plus d'un, et sans mensonge Ludya avait été très... Très impressionné... Dire qu'une certaine frayeur n'avait pas traversé son jeune esprit au moment de la découverte serait un bien beau mensonge !

Ca les humains qui la persécutent auraient plus d'une raison d'être jaloux s'ils savaient ! Ils n'étaient pas seulement inférieurs d'un point de vue de la force face à Clara mais aussi du point de vue de la qualité des légumes, du bétail et de tout ce qu'elle produit mais... Comme la taille et le goût plus fort et véritable de ses provisions son corps entier semblait avoir bénéficié d'une telle alimentation toute sa vie, et sa hampe magnifiquement charnue ne dérogeait pas à cette impression, bien au contraire !

Pourtant Clara était simplement fière de sa ferme et donnait l'impression d'avoir une âme bien pure et presque innocente lorsqu'elle travaille. Comme si elle n'avait aucunement conscience d'être une si belle femme dans la pleine force et l'âge de sa maturité ce qui la rendait encore plus belle, plus enviable où désirable toute sa beauté et sa force fleurie comme tous les légumes et fruits bien mûrs et gorgés qui poussaient dans ses champs. Comme sa redoutable hampe semblait elle aussi mûre et gorgée. C'était tellement... Tellement impressionnant pour l'esprit du jeune extra terrestre. Jamais il n'était encore tombé sur une créature comme elle, jamais...

Pourquoi n'y avait il pas déjà un monsieur où plutôt même peut être une autre madame Clara ? Peut être parce qu'on lui causerait encore plus de problèmes... Pourtant elle avait l'air d'avoir la patience de lui apprendre à lui Et de sourire et aimer ça. Il avait le pressentiment que ça devait être terrible qu'elle vive sous l'opression et la pression de toujours devoir faire son mieux et son possible pour qu'on ne lui arrache pas sa ferme.

Elle avait le droit à ce qu'on lui fiche la paix un peu ho ! Elle avait le droit à ce que son fardeau s'allège même un tout petit peu... Même si ce n'était que de lui masser les muscles, comme là les mains de Ludya et ses doigts dextres, agiles, partirent lui masser avec un sourire paisible sur les lèvres, la rondeur de ses puissantes épaules ornées de fer à cheval. Elles étaient bougrement tendues par le travail ! Il y allait gentiment... Gentiment... Jusqu'a ce qu'il sente les muscles de ses épaules enfin se désacidifier et se dégorger de leur pénibilité et leur tension pis se relaxer et reposer mieux sur le matelas.

Il fit de même avec les trapèzes de Clara, qui eux aussi tout comme ses épaules étaient tendues avec sa nuque ! Parfois les muscles des trapèzes et de la nuque sont si tirés que ça peut même provoquer des maux de crânes pendant la journée et même pendant le sommeil ! Alors il pétrit amoureusement ses trapèzes jusqu'a la décontraction ainsi que très délicatement sa nuque en passant ses mains de chaque coté de son visage, assis à califourchon sur les premiers abdominaux du haut, y reposant ses p'tites fesses rondes, ses cuisses relevant un petit peu sa poitrine vers le haut il se maintenait avec ses genoux pliés pour supprimer une bonne partie de son poids sur elle afin de pas la gêner dans les relèvements de sa cage thoracique quand elle respire.

Déjà sa nuque sembla mieux épouser et reposer sur les formes du coussin quand il en eut fini, il s'osa à un timide et bref petit baiser sur son front quand il en termina de lui relacher les muscles des épaules, des trapèzes et de la nuque.

Ce fut au tour de sa poitrine... Il y avait certains traçages de pectoraux sous la large poitrine de Clara, qu'il massa par petites pressions successives du bout de ses doigts qui tournaient en petits petits cercles en longeant leur volume. Puis... Puis il pétrit doucement ses deux seins... C'était probablement inutile là ! Avoue ! C'est pas en lui pétrissant les seins que ça allait la relaxer où lui oxygèner les muscles et le sang ! Bougre d'imbécile ! Non mais c'était par envie... Ils étaient si beaux... Il aurait très certainement voulu l'embrasser aussi mais là il était presque sur que c'était le réveil direct si il l'avait empêchée de respirer !

Elle dormait paisiblement alors sa queue féline partit elle s'enrouler autour de la base de son membre équin pour soupeser ses énormes bourses et leur offrir un doux massage presque simultané avec celui de sa poitrine. Quand il pétrissait le volume de droite en glissant ses doigts de part et d'autre du mont de chair sa queue roulait et glissait tout autour du globe de gauche par opposition, et lorsque c'était au tour du sein gauche, c'était son globe de chair droit qui se voyait caressé et très très doucement soupesé, pétri.

Elle dormait si bien d'un sommeil imperturbable que sa méfiance tombait petit à petit et qu'il laissait de plus en plus libre court à ses envies, allant embrasser si doucement sa poitrine, lécher le tour de son mamelon et finir par se rapprocher... Se rapprocher... cercles... après cercles, après cercles plus petits, plus concentrés plus ou moins effleurés de sa langue du centre de son sein puis que ses lèvres ne s'abattent impitoyablement sur son téton et suce avec un ravissement terrible sur les traits abandonnés de son visage. C'étaient vraiment de beaux grands seins bien fermes où il fallait et moelleux juste là où il fallait aussi il se surpris à ronronner. S'épargnant de lui mordiller par envie. Il suçait et suçait à en perdre la raison comme un mignon petit chaton il se mit à ronronner tout en fermant les yeux.

Ses mains continuaient de pétrir mais un peu à la façon d'un chat, pétrir ses abdominaux pour continuée consciemment comme inconsciemment à relaxer le fardeau du travail de ses muscles endoloris qui méritaient sans doute depuis foooort longtemps qu'on les assouplisse et les attendrissent d'un pétris bien appliqué du bout des doigts et de la pleinitude des paumes. Il la pétrissait comme ça tout en lui happant le téton et soupesant l'une, puis l'autre bourse pesante du bout de sa queue. Pauvre créature, n'avait elle pas mal au dos ni aux genoux avec tant à portée sur elle ?

Il aurait pu rester très longtemps sur sa poitrine et à massée son ventre, mais les zones du bas méritaient sans doute aussi leur lot d'attention elle avait cette magnifique zone sous son nombril, un plus long muscle abdominal qui était tout lisse vers la fin et formait un magnifique rebond comme un piti coussin sur lequel il posa sa joue, la caressant et de sa joue et de sa douce chevelure entre deux bisou dessus. Ses mains étaient parties plus bas, très... Très curieuses de soupesées elles mêmes la masse de chair imposante qu'était son sexe ! Et c'était pas qu'imposant c'était aussi bien assez lourd, au pif comme ça une bonne dizaine de kilos ! Non ?

Mais qu'est ce qu'il faisait... Qu'est ce qu'il faisait nom d'une jambe en bois... Il en rougit soudainement essayant de prendre un peu de recul et de raison sur ce qu'il était en train de faire. Il avait encore l'opportunité de partir, retourner à sa chambre... C'était juste dingue que les formes féminines et puissantes de Clara comme ça et son courage puis sa force semblent donner aussi très envie de s'occuper de cette énorme chose et de l'en soulager un peu de son poids. Il la soutient semi levée et la caresse comme s'il massait toute autre partie de son corps qui avait besoin d'être relaxée. Elle reposa même une partie sur son épaule et sur son dos pendant qu'il glissait son doux visage par dessous, et allait embrasser ses deux globes de chair. Si d'autres auraient eu très peur... Lui Il sait pas pourquoi, il sait pas pourquoi de voir une telle chose attachée au corps d'une femme aussi puissante et forte physiquement comme de caractère le faisait se sentir affreusement excité.

Et il appréciait sentir la masse, le poids et la chaleur du membre peser sur son dos, presque comme une cuisse l'emprisonnant sous elle alors qu'il farfouille et caresse les lignes de son visage, ses joues là dessous et lèche la base de sa hampe équine, la jonction entre sa hampe et ses bourses, dont ses mains en apprécient aussi le volume et le poids. Il rigola doucement en ayant trouvé comme ses seins d'autres melons d'eau ! Seulement ceux là on pouvait pas les planter pour qu'ils repoussent malheureusement !

Le corps puissant et attirant de la terranide était un superbe terrain pour les petits jeux érotiques de Ludya, qui s'en donnait à coeur-joie à explorer ce puissant corps mi-humain, mi-équin qu'était celui de Clara Caster. Ses muscles étaient bien découpés, si elle avait été un homme, elle aurait eu de quoi exciter les jeunes filles ou les effrayer lorsque les petits yeux des demoiselles en chaleur se poseraient sur l'imposante masse de chair qui pendait entre les cuisses de la fermière. Ses muscles se détendaient peu à peu sous les massages que lui offrait Ludya à son insu, elle en aurait soupiré doucement de soulagement si elle avait été consciente à ce moment. Elle bougeait de temps à autres mais ne semblait aucunement s'être rendue compte qu'un extraterrestre déguisé en terranide était juché sur elle et profitait des formes de son corps de travailleuse agricole.

Le corps de Clara réagissait de lui-même, durcissant ses mamelons lorsque la langue de Ludya s'y promenait ou bien envoyant un afflux sanguin vers sa verge lorsque finalement l'Abyssien décidait de s'en occuper tout d'abord avec son appendice caudal puis, sa langue de chat. L'extraterrestre s'était fourré sous l'imposante verge pour offrir à la fermière un traitement oral qui l'aurait excité si ce n'était des bras de morphée. Ludya s'occupait surtout des deux balles cachée sous l'organe principale mais bientôt sa langue alla glisser sous la jonction entre la hampe et le sac. Clara fini par ouvrir doucement les yeux, subissant un doux frisson excité. Elle baissa le regard sur Ludya, étonnée mais calme.

-Ludya .... ?

Loin d'être fâchée ou dégoûtée, Clara manifesta une petite érection en sentant l'Abyssian la déguster. Alors que le pseudo-terranide allait certainement relever la tête avec un air honteux en la bombardant d'humbles excuses, elle posa sa main sur la tête de celui-ci pour l'empêcher. Elle caressa la chevelure de Ludya, il était rare de voir un mâle s'intéresser à ce genre de calibre mais c'était surprenant et Clara ne s'en plaignait certainement pas. La langue de l'Abyssian était très agréable à ressentir et cela l'excitait de plus belle.

Après un moment, clara attrapa doucement Ludya par les épaules pour le redresser et l'approcher d'elle afin de poser ses lèvres contre les siennes, désireuse d'entamer un balai érotique avec la langue de son partenaire, balai qu'elle prolongea pendant une bonne minute avant de s'en défaire, ses mires posées sur celles de l'Abyssian.

-Tu me surprend encore. Tout mon corps te plaît?

Clara était bien prête à lui offrir, Ludya était étrange mais charmant et comme il avait déjà fait les premiers pas pour s,amuser de façon intime avec la fermière, il aurait été complètement sot d'interrompre ainsi et de provoquer un long malaise entre elle et son assistant.

-Ludya .... ?

Mon dieu, tout s'effondre alors qu'il se trouve dans une position des plus délicates et surtout inextriquable et... inexpliquables ! Il irait pas dire qu'il à perdu une pièce de monnaie dans son lit sous ses jambes quand même !? Qu'est ce qu'il allait dire, qu'est ce qu'il allait dire ! Qu'est ce qu'il pouvait bien évoquer comme mauvaise excuse ?! Il déglutit et avant qu'il ne puisse effectivement se confondre en excuses en tout genre et trop cogiter elle... Elle posa sa main sur sa tête... Allait elle le tirer de là en tirant dessus et l'expulsant au loin ? Non elle... Elle se mit à caresser sa chevelure, chevelure très douce et légère depuis qu'il s'était lavé tout à l'heure.

Il se laissa aller à des vibrations plus sonores lorsqu'elle caressa sa chevelure, elle put sentir aussi la souplesse de son corps s'arquer sous le poids de sa masse de chair équine alors que pris pour pris il pouvait bien continuer de baiser du bout de ses lèvres douces et humides l'endroit qu'il léchait aussi, sa douce petite langue en faisant le tour juste avant qu'elle ne le soulève et l'approche de son visage.

Il était tout de même plus petit qu'elle, et à sa grande surprise pour sa force il ne devait pas peser énormément malgré les beaux muscles qui ornent son physique Abyssian, la souplesse de son corps et des muscles calmes et aplanis, relachés du pseudo terranide-chat se répartit agréablement sur la poitrine et les abdominaux de Clara, il ne put que rêver ce moment n'est ce pas ? L'instant où elle posa délibérément ses lèvres sur les siennes... Les douces lèvres de Ludya se firent aisément happer par les siennes, il s'empourpre divinement lorsqu'il sent sa bonne langue venir jouer avec la sienne dans sa bouche. A aucun moment de la journée il n'avait ressenti la possibilité d'un tel désir de sa part. Ses coeurs tambourinaient dans sa poitrine, fermant les yeux pour profiter de ce baiser le plus intensément et le plus longtemps possible pour ses sens, comme si ça serait l'unique et seule fois qu'elle l'embrasserait.

Lorsqu'elle se sépare de ses lèvres il pousse un gémissement plaintif, rouvrant avec une fluidité lasse et enivrée de plaisir ses paupières.

-Tu me surprend encore. Tout mon corps te plaît?

La voix de Clara à cette distance n'aurait pas pu lui paraître plus vibrante, plus invitante, belle et enchanteresse à ses oreilles de chat.

Tout...

Affirme t'il dans un souffle plus frais en revenant l'embrasser avec passion, plaquant ses lèvres déjà humides de leur précédent baiser, happant comme il le peut les lèvres de la fermière... Son joli minois faisant des rotations si fluides et douces sur l'attache de son cou, rotations lascives d'une sensualité sans pareille alors qu'il goutte et happe d'une rotation à l'autre les lèvres de Clara, les yeux mis clos, où très fermés. L'embrasser était déjà merveilleusement excitant en soi et ça le devenait de plus en plus... De plus en plus... A fur et à mesure que sa langue vienne chercher la sienne et que leurs lèvres n'en finissent plus de glisser et glisser et glisser les unes sur les autres, toujours plus douces, plus glissantes de leurs salives échangées. Et Ludya avait ce goût dilué de chique au coca dans sa salive qui sans doute ne faisait rien pour rendre les choses moins agréables et les baisers plus addictifs les uns que les autres.

Les cuisses de l'Abyssian s'étaient glissées de part et d'autre de sa hampe équine et ne faisaient qu'offrir une caresse infiniment sensuelle et douce entre les jolies galbes de ses cuisses athlétiques, qu'il aimait se faire infinie aussi dans le roulement croisé de ses cuisses autour d'elle, qui se succèdent, et se succèdent dans un mouvement ininterrompu, si glissant et si caressant du velouré Abyssian de sa peau.

Tout.

Oui peu importe les conséquences qui le faisait frémir et quelque part devrait s'en effrayer, devrait... Même qu'elle soit très bien membrée il aimait tout... Tout son corps.

Oui, tout, même ses oreilles que ses doigts étaient venus flatter, du lobe jusqu'a la pointe qu'il devinait peut être sensible alors il y allait du bout du bout effleuré de ses doigts et revenait à la base de ses oreilles pour quelques allés retours là haut, puis redescendre le long de la ligne de son cou et sur le coté de ses joues.

Et quand il ne l'embrassait pas ses douces lèvres allaient et venaient de baisers de ses joues à son cou, ronronnant là dessous en glissant aussi la magnifique douceur de la peau de ses joues et de ses joues, d'un coté à l'autre comme un petit chaton fou d'affection, ses oreilles frémissaient en même temps que les vibrations de son corps, ses mains recommençaient à caresser ses seins, de leurs formes les plus basses au bout de leur mamelon à leur pointe, et il y aurait tout un tas de mots pour décrire la manière dont il pressait le bout de ses tétons entre ses doigts, la douceur et la délicatesse avec laquelle il traitait la dureté magnifique de ses tétons du bout de ses griffes aussi qui arrivaient à les chatouiller.

Y avait beaucoup... Que dis je... énormément de désir et d'affection dans les gestes posés par l'Abyssian, on pouvait ressentir l'incroyable envie qu'elle avait fait naître dans son pauvre petit esprit torturé toute la journée et dans ses songes, dans son imagination pour elle.

Les langues dansaient et se tortillaient, tel un couple sur la piste de danse d'une salle de bal durant une soirée érotique, les salives se mêlaient tandis que les mains caressaient. Clara plaisait grandement au pseudo-neko et même ce gros tube de chair qui lui pendait entre les cuisses était inclus dans cette fresque chevaline que l'Abyssian semblait énormément apprécier. Les ronronnements de Ludya apaisaient Clara, rendaient le moment encore plus agréable et tout ces contacts physiques entre elle et son assistant ne faisaient que renforcer l'érection qui prenait d'assaut son phallus. Clara ne pu s'empêcher de bouger un peu le bassin alors que sa verge était entre les cuisses de Ludya, la peau de son organe caressée par celle, douce et tendre de l'Abyssian. La fermière se posait des questions pour la suite, comment l'Abyssian allait-il profiter du moment? Elle n'avait pas souvent eu l'occasion de coucher avec des mâles et peu d'entre eux étaient enclin à être sur le deuxième bout du phallus de la terranide et, visiblement, Ludya n'avait rien entre les jambes ... elle n'avait rien remarqué du tout, un entre-jambe vide de tout, pas le moindre organe. Clara glissa ses mains aux fesses de Ludya pour lui masser tendrement, son regard sur le sien. L'extra-terrestre s'occupait de stimuler les tétons de sa partenaire, lui arrachant de doux frissons.

-Ludya ... comment on va ... ?

Clara ne termina pas sa phrase en espérant que Ludya comprenne qu'elle se demandait comment ils allaient goûter à un peu d'intimité. Sans doute faudrait-il s'en tenir aux caresses et à l'amour oral puisque Clara avait au moins quelque chose à lécher.

L'âme et les coeurs de L'Abyssian étaient ravis. ravis comme, emportés par les caresses de cette magnifique créature, cette femme équine, Si bon de sentir ses mains glisser sur les lignes sinueuses de son dos et venir glisser jusqu'a ses fesses qui étaient tout de même rebondies de muscles qui savaient s'attendrir et se laisser aller sous la pression des doigts de Clara. Des mains habituées à presser bien des manches d'outil fermement entre ses doigts que même la fermeté des muscles fessiers de l'Abyssian devait être synonyme d'une tendresse bonne à pétrir pour les mains de la fermière.

Ce... C'est vrai qu'il n'avait rien entre les jambes... Si ce n'est une zone pelvienne bombée comme un vagin qui ne comporterait pas de fente et puis, ce qui est bien normal, un petit... trou bien que très discret et petit au centre de ses fesses massées par Clara.

-Ludya ... comment on va ... ?

Je... Je sais pas... Avoua t'il simplement et timidement en se grignottant le bout des doigts, Oh si qu'il savait... même s'il y avait ces rougeurs de timidité et d'envie sur son joli minois dont les yeux fuyaient dans tous les coins. Il savait ce qui l'attendait ce petit coquin !

Comment ils allaient... Il n'avait pas réfléchi à la suite non plus, où plutôt la craignait autant qu'il la désirait, l'appréhendait d'une envie... secrète. Ca risquait de faire mal une telle taille... Il le sait. Il pourrait sans doute se laisser aller et se détendre, s'assouplir... Bien qu'il était pas pour autant très amusé où enthousiasmé par l'idée de ressentir de la douleur mais si ça devait être sa punition pour aimer une telle femme, une si belle et ambigue créature il l'accepterait même si ça devait lui tirer des larmes. Elle devait pas se servir de cette chose très souvent vu la taille et il serait plus que ravi de lui donner du plaisir.

Il courba à revers, creusant la ligne de ses reins en entrouvrant légèrement les cuisses pour offrir une sphéricité plus ronde et cambrée, plus aguicheuse de ses fesses à ses doigts, à sa force de fermière, se pinçant timidement le coin de la lèvre repassée sous le bout de ses dents. Elle n'en savait rien mais il suffirait sans doute qu'elle caresse sa zone pelvienne pour faire apparaître son sexe qui disposait lui aussi, d'une belle taille mais si elle le désirait où le préférait ainsi alors... Il devait l'en prévenir, non ? Il devrait lui dire où au moins lui faire prendre conscience si elle voulait faire un choix.

Sa voix était vibrante de désir, ayant du mal à rassembler ses pensées correctement alors qu'elle lui caresse les fesses, qu'elle pénètre son regard du sien chaque seconde... chaque seconde à se noyer du regard dans celui de Clara lui donnait d'autant plus envie de l'embrasser et l'embrasser encore, chaque pulsion de sa verge équine poussant et se levant entre ses cuisses le rendait aussi plus ronronnant et caressant de son corps contre le sien.

J'ai un... sexe moi aussi mais.. Pas aussi long que le tiens et... il est cachée... Si tu veux le faire sortir ça tiens qu'a toi mais je voudrai pas l'imposer si... Si tu me préfères sans. Il te suffirait de caresser l'endroit où je suis supposé en avoir un. C'est volontaire... Uniquement si tu le veux toi.

Sa queue se relevait et se tortillait follement derrière son dos au dessus de ses fesses, puis ses orteils aussi, il est sans doute sûr maintenant que la verge dressée épousait ce muscle pelvien qui ressemblait à s'y méprendre à un vagin fermé de toutes lèvres et que cette zone épousait si bien la forme veineuse du boyau de Clara au point où il pouvait maintenant se dandiner et faire des mouvements à l'opposé des mouvements de hanche de Clara pour laisser aller et venir sa hampe entre ses cuisses, contre cette ravissante et lisse zone pelvienne et une certaine zone de son entre fesse aussi.

Il se caressait là... comme l'aurait fait honteusement une petite chatte en chaleur, les ronrons en prime et les oreilles, la queue dressée en plus !

Si toi tu veux bien de moi... Alors j'ai pas peur...

Menteur ! Si t'as un peu peur, d'ailleurs ça se sent à la vibration de ta voix ! Mais le désir est plus grand que la peur qu'il pouvait éventuellement ressentir.

Une relation sexuelle ne semblait de prime abord pas possible, Ludya ne semblait rien posséder qui permettait une telle chose si ce n'était d'un petit orifice arrière qui supporterait très mal le gros engin de la terranide équine. Cela risquerait de lui faire mal plus qu'autre chose. Comment faire alors? De l'amour oral purement et simplement, faute de réelle alternative. Mais, par chance, Ludya avoua un petit truc concernant son anatomie. Il possédait bel et bien un sexe mais il était en permanence caché et il fallait parcourir de caresses la zones pelvienne afin de faire surgir le phallus. Si ce n'était que cela.

-Chut ... allonges-toi sur le dos.

Clara se redressa en laissant l'Abyssian se coucher alors qu'elle venait glisser sa tête entre les cuisses de l'extra-terrestre. Elle léchait doucement la zone, essayant de faire surgir l'organe mâle qu'elle avait l'intention de prendre en bouche dès sa sortie. La fermière s'appliqua à la tâche tout en caressant les abdominaux du pseudo-neko, son regard sur le sien.

-Chut ... allonges-toi sur le dos.

Ludya ne s'attendait vraiment pas à ce que Clara soit une personne si attentive et intéressée par son plaisir à lui aussi. Elle n'avait pas tort de penser que s'il aurait pu tirer un certain plaisir de la relation qui s'en serait suivie en l'état, celui ci se serait surtout avéré assez masochiste dans les toutes premières minutes, il aurait eu mal, fichtrement mal même avant qu'il ne puisse s'habituer, il aurait vu ses hanches s'élargir par la poussée et aurait aussi du se relaxer du mieux qu'il peut pour l’accueillir en grinçant des dents et certainement en pleurant aussi.

Elle lui demandait de se taire, il obéit, tout comme il ne put lui opposer la moindre résistance au renversement de situation qu'elle opéra, en avait il seulement envie aussi.

C'était beau de se faire redresser et coucher sur le dos par Clara, la sentir glisser son visage entre ses cuisses et sa langue passer, passer sur cette zone qui pulsait de désir, Lorsqu'il sentit sa tête glisser là le premier réflexe fut de resserrer un petit peu ses cuisses autour de ses joues sans l'y retenir mais pour faire en sorte de sentir se caresser ses joues sur son entrecuisse avec des vibrations toutes félines émanant de lui. Chaque coup de langue aussi doux soit il se voyait accompagné d'une croissance de ce magnifique petit vagin fermé, son volume augmentant... Ce magnifique muscle se gorgeant de sang plus elle y passait sa langue, son bassin suivant d'un rythme mûr d'un plaisir qu'il n'arrivait plus à dissimuler.

Il écarta les cuisses en creusant le dos pour lui offrir d'avantage les contours lisses et le relief bien semi sphérique de cette zone qui réagissait de plus en plus violemment aux caresses de Clara.

A... Attention... Aaaah, quand même à... AAAaah... A Pas crever un oeil... Humm, AAaaah... c'est pas... C'est pas p'tit.

Il avait peur que son organe ne sorte, car si il sortait lorsque sa bouche était aussi près de lui elle irait vivement se faire empaler la gorge sur la quasi cinquantaine de centimètre de son organe, 47,5 tout à fait exactement, lorsqu'il était en pleine érection le bout de son sexe touchait le dessous de son plexus solaire, où autrement dit le début de son sternum. Elle y mettait drôlement du sien en venant caresser les reliefs tantôt doux, tendres et plats de son ventre décontracté puis lardés d'abdominaux saillants lorsqu'il se contracte d'une pulsion sanguine de plaisir juste après un de ses coups de langue à elle.

Il à aussi mal qu'il ne commence à ressentir un intense plaisir et lorsque son sexe est ainsi prisonnier de son corps ça lui lance de vilaines piqûres dans le bas ventre comme si tout un tas d'aiguilles lui piquaient de plus en plus vite et fort l'équivalent d'une zone aussi sensible qu'une paire de bourses !

C'est arqué et les coudes appuyés sur le matelas, relevé du haut du corps et la tête rejetée en arrière qu'il geint et pousse des râles de plaisir mêlés de douleur, de ronronnements suivis de p'tits râles de douleur alors, quelque chose qui semble relever d'un plaisir bien plus... Comment expliquer. hmm, cru, piquant et vif ? Un plaisir douloureux qui semble plus maturé que ce que ses traits encore un peu jeunes laissent admettre ! Où peut être n'est ce que la part de douleur dans ses gémissements qui laissent l'imaginer.

En tout cas il ne faudra pas très longtemps pour que la chose finisse comme par sortir de cette zone bien belle et lisse, par chance il à détournée légèrement ses hanches au moment où il la sentit jaillir comme de nulle part, et au lieu d'empaler la bouche et la gorge de Clara elle se dressa et glissa de toute sa longueur contre sa joue. Il était heureux qu'il l'ait pas éborgnée où fait mal à la gorge avec, de toute façon il aurait pas laissé une telle chose se produire.

Quand son sexe sortit il laissa retomber le haut de son dos sur le lit qui était maintenu en tension par la douleur surtout, un joli sourire un peu idiot de plaisir et d'un très charmant soulagement put se lire sur ses traits quand toute la douleur partit d'un seul coup et ne laissa place qu'a l'excitation terrible de son membre épais et drôlement long, c'était pas commun pour une créature humanoïde de sa taille.

Exemple de la taille de son sexe, sans l'overdose de muscles au niveau du personnage de Ludya dans ce rp quand même !

La chose était de même couleur que sa peau, d'un joli brun Abyssinial. Elle possédait tout de même une peau et des reflets ultra-lisses et sentait cette bonne odeur caramélisée-coca qui lui donne toute sa particularité.

Clara détendait son assistant de ses agréables mouvements de langue qui aurait pu le faire devenir fou. La fermière était curieuse de voir à quoi ressemblait l'organe de son partenaire, peut-être était-ce bien différent de celui d'un humain? Elle ne tarderait pas à le savoir et il émergerait sans doute de façon très subite car l'Abyssian prit la peine de prévenir la fermière qu'elle risquait de se le prendre dans l'oeil ou de s'étouffer avec. Ainsi, très prudemment, elle continua à lécher en gardant la tête un peu sur le côté afin d'éviter un accident.

Bientôt, après quelques caresses orales prodiguées par la fermière, le fameux phallus émergea d'un coup, une grosse verge bien longue et épaisse, c'était vraiment impressionnant. Ludya devait avoir tout autant de mal à trouver une partenaire capable de la prendre que Clara.

-Impressionnant ...

Clara prit le phallus en bouche, quelque chose qu'elle n'avait pas souvent l'occasion de faire mais qu'elle avait une certaine expérience. Sa tête bougeait lentement, sa bouche caressant l'imposant sexe pour offrir un maximum de plaisir à Ludya, qui ne devait certainement pas s'en plaindre."

-Impressionnant ...

P... Pas autant que...

Il n'eut pas le temps d'en finir avec sa phrase lorsqu'elle abattit sa bouche sur son sexe, Ludya fut comme bloqué sur place, sa bouche ouverte et les yeux écarquillés, de plus en plus arqué vers l'arrière sans qu'aucun son ne puisse sortir de cette jolie bouche ouverte et d'yeux doucement en train de loucher sous la fermeture lente mais sûre de ses paupières.

Ludya se sentait si bien, si bien acceuilli dans la bouche expérimentée de Clara, elle devait sentir la peau lisse et soyeuse, bien bien tendue par un sexe dont la chair était bien ferme et bien juteuse, une fermeté lisse qui à très très peu servi. Preuve incontournable qu'en effet comme elle, il devait pas trouver souvent une quelconque créature à même de l'accepter entièrement en elle, elle avait l'air de connaître ce désaroi puisqu'elle n'avait pas hésité une seule seconde à s'emparer de son sexe en pleine bouche malgré sa longueur et n'épargner aucune seconde de répit a ce pauvre Abyssian qui s'arquait déjà des délices qu'elle lui dispensait de sa langue, les jolis muscles de ses cuisses et de ses fesses se bandant et se crispant à chacun de ses coups de langue. Peut être était ce ce fardeau partagé qui la rendait plus à même à la compréhension et à cette magnifique générosité.

Ludya était aux anges, devant s'obliger à mordiller sa petite langue pour qu'elle ne paraisse pas trop hors de ses lèvres, il se redressa pour un petit moment en allant caresser la belle chevelure de Clara mais bien vite il ne puis plus maintenir cette position car l'envie de laisser se mouvoir ses abdominaux et ses hanches pour accompagner les mouvements de langue de Clara se fit sentir, elle faisait ça drôlement bien pour ce pauvre Abyssian. Qui devait étouffer ses gémissements entre ses phalanges coincées entre ses lèvres.

Hhhaaahh... HHHhAaaaHhh, D... Dame Clara, HHhAaaah...

Quelques petites billes de sueur commençaient seulement à apparaître, à perler sur la peau mordorée de Ludya et y rouler comme si certaines grandes parties de sa peau restaient imperméables, elles ne s'arrêtaient que très rarement dans l'un ou l'autre creux où courbe, continuant leur course jusqu'aux draps, tandis que l'Abyssian laissait rouler sa tête d'un coté à l'autre en ayant l'air de ne vouloir oser y croire une seconde.

La fermière profitait pleinement du moment et explorait le sexe de son partenaire sans s'arrêter une seconde. Elle ne se contentait pas de simples mouvements de la tête, non, sa langue se mêlait à la danse et glissait, roulait, se tortillait sans cesse sur le gland de l'Abyssian, qui semblait aux anges sous ces traitements oraux. Clara dégustait, parcourait chaque forme du phallus pour maximiser le plaisir tout en caressant les abdos de son partenaire. Cette verge était tout à fait à son goût. Elle était tellement absorbée par le travail qu'elle avait oublié les joies de donner du plaisir oralement à un partenaire. Et l'absence de mâle n'avait rien fait pour arranger. Il était tout aussi agréable de sucer que d'être sucer, avoir ce barreau de chair en bouche lui apportait une certaine joie. Des bruits humides provoqués par les mouvements de Clara ainsi que de sa salive s'échappaient de sa bouche, une douce musique pour les deux partenaires. La fermière se risqua à engloutir un maximum de longueur, l'Abyssian ayant la chance d'aller explorer son œsophage pendant quelques instants avant que la fermière ne se retire pour respirer un peu.

-Aaah ... ça fait du bien, hein?

Clara s'avança un peu pour mettre sa poitrine sur le phallus de Ludya, elle frotta ses seins contre la verge, les mamelons glissant sur le bas-ventre de l'extra-terrestre. Et jamais le regard de la fermière ne quitta celui du pseudo-neko pendant ce temps.

Vrai... Vrai... Vrai que ça fait du bien, et pas que... Pas que, car il est, oui, rare que quiconque puisse le prendre aussi généreusement en soi. Et les lèvres de Clara... La bouche de Clara... La... La langue... D... De Clara... Hummmmmmm !! Haaaaaanmmmm... Si profondément acceuilli dans sa gorge, il en pouvait plus le petit chou d'Abyssian, il en roulait ses yeux couverts de trainées de comètes agitées vers l'intérieur de ses orbites, révulsés puis se fixant à nouveau sur le regard de Clara entre deux battements de cils. Si gentille... Si généreuse avec lui... La manière dont l'avaient perçu les humains n'avait pas aidé à ce qu'il se sente très sûr de lui et c'est aussi pourquoi il possédait cette jolie mais aussi handicapante timidité. HaaanWwMmmhRrr... Il rougit, il halètes, pantelant de plaisir et cette fois sa douce petite langue aura décidé de longer sa lippe inférieure pour pendre, mignonne et donnant un air un peu pervers de plaisir à son joli minois.

Le corps presque entier de sa hampe était descendue dans la gorge de Clara il n'avait sans doute jamais été pris de cette manière et pour ce pauvre Abyssian qui était loin d'en avoir l'habitude il se sentit plonger, plonger, tomber si loin et si profond dans le puits chaleureux et expert de sa bouche à tel point qu'il crut défaillir et qu'il se sentit obligé de s'agripper aux draps, relevant le torse et pliant l'harmonieuse succession de rebonds abdominaux de son ventre et contracta les muscles transversaux, antérieurs et puis obliques qui affichèrent leur dentelé doux par dessus la peau mordorée, halée aux reflets brun de velours et caramel de l'Abyssian.

L'expression a-bsolu-ment ahurie et éperdue de plaisir de son visage, de son regard embué n'avait sans doute pas de prix quand ses lèvres formant un cercle, où une sorte de "o" d'appréciation extasiée accompagnaient ses vibrations toutes aussi sonores qu'éperdues dans leur variabilitée instable.

Heureusement elle avait cessé ce qu'elle avait entreprit pour respirer... Parce qu'il aurait été incapable de se retenir de jouir une minute de plus sous l'enveloppe charnelle d'une aussi grande partie de son membre. Pour un bref instant de lucidité dans l'esprit du jeune Abyssian il lui avait semblé qu'un être comme elle avait le droit de vivre autrement que d'être sans cesse persécutée, que de vivre dans la dureté d'une vie aussi ingrate alors qu'elle était aussi généreuse en tout, autant avec sa terre, ses plantes, son bétail, la force et le travail qu'elle ne comptait ni ne ménageait pas... Elle aurait du être une princesse avec tant de qualités et pas une simple et pauvre paysanne. Mais peut être qu'elle, elle comme elle était, n'aurait échangé pour rien au monde sa façon de vivre et son train de vie pour celle d'une princesse où la moindre parcelle de qualité de vie meilleure. Après tout c'est comme ça qu'elle à été forgée. Mais quand même...

Mais si elle avait quitté sa gorge et ses lèvres c'était pour mieux venir lui ravir la base de la verge avec sa belle grande poitrine, caressant son membre, il se pinça encore l'arrière d'une phalange, celle de l'index entre ses lèvres, entre ses dents voulant pratiquement la mordre à sang ! l'ardeur interstellaire de son regard changea quand il comprit que Clara dardait son regard dans le sien sans le quitter, et là... Si elle y plonge... Elle dut avoir l'impression de faire un voyage à travers les zones les plus éloignées et étranges de l'univers, des nébuleuses de gaz d'astres célestes tels des nova, comètes, supernovas, géantes gazeuses, des systèmes à triple et quadruples soleils, semblaient tourbillonner dans le fond de ses iris et ses pupilles étaient ornées et définies par la dernière éclipse d'un très large système solaire dont le soleil donnait l'impression de s'éteindre, le tout donnait à ses yeux la profondeur Abyssale et insondable d'une âme à la détresse aussi ancienne et incalculable que l'âge de l'univers lui même.

Un pré-sperme avec ce goût très particulier, comme sa salive qui elle possédait un goût de chique au coca diluée, mais en plus intense, bel et bien comme du coca un peu plus concentré se mit à perler un peu au bout de son gland, il plissa les yeux à la limite de la fermeture pour s'éviter d'hypnotiser carrément Clara de son regard et laissa aussi son dos rejoindre les draps tout en relevant le bassin dans les mouvements caressés de sa poitrine là tout en bas, même son muscle pubien se contractait pour offrir de jolies rondeurs et courbes tendant sa peau au dessus de là où s'attache solidement son sexe à son corps. Il s'en serait bouffée les doigts qui ornent déjà le bord de ses lèvres, se concentrant, luttant pour ne pas déjà jouir, trop sensible et pratiquement vierge qu'il est !

Mais c'était surtout la faute à ses désirs, et à son imagination qu'il laissait fleurir beaucoup trop en même temps qu'elle s'occupe si bien... Si bien de lui. S'il pensait moins à elle, à son corps et à ce qu'elle fait, il ne serait pas déjà sur le point d'éclater ! Sa verge pulsant presque douloureusement et tout, restant dure, dure et dure, très dure des battements affolés de ses deux coeurs...

Et tout du long elle pouvait entendre ses vibrations accompagnées de Hhaaaaan, de Nhnnmmm, de Hummmmm et Ouuuuwwwwh d'autres râles et gémissements qu'il se trouvait honteux, toujours cette timidité exacerbée barrant son visage.

Les efforts de Clara payaient car Ludya prenait son pied, elle le voyait à sa réaction presque digne d'un jeune puceau. Il se tortillait, tournait la tête d'un côté et de l'autre en poussant des gémissements, la terranide se débrouillait bien et lui offrait des sensations exaltantes. Clara usait de chaque partie de sa bouche pour rendre le tout aussi plaisant que possible, sa langue glissait sur la hampe, ses joues frottèrent contre le gland, sa gorge s'y mettait de temps en temps. Qu'il était plaisant de ressentir le contact d'une imposante virilité dans sa bouche, qui n'avait rien goûté de telle depuis des lustres! Mais elle avait finit par délaisser tout ça pour se servir de sa poitrine ferme et tendre, elle la frottait contre la verge de Ludya, lui offrant un massage comme il aurait pu en rêver, l'organe était bien niché entre les deux monts et la fermière ne cessait de se frotter.

La fermière s'arrêta bientôt pour s'allonger à côté de l'extra-terrestre. Ses lèvres cherchèrent à rencontrer les siennes pour lancer un bal tendre et érotique de langues alors que leur deux verges frottaient l'une contre l'autre. Les deux muscles étaient parallèles l'un à l'autre et la main de Clara glissait sur les deux pour offrir un plaisir commun. Les salives se mélangeaient et Clara démontrait une libido accrue, les frissons parcourant sa peau, son érection bien dure et ses mamelons pointant trahissaient son plaisir.

-Te sens-tu prête pour la suite?, murmura la fermière.

Elle, elle était prête et la seule façon que l'étrange couple pourrait goûter à un peu de plaisir charnel serait par la voie anale, un chemin qu'heureusement, Clara avait déjà emprunté.

L'Abyssian, le pseudo-neko était charmé, envoûté par la caresse de leurs corps et leurs verges ensembles, c'est vrai... C'est vrai qu'il gémissait comme un petit puceau et en avait certainement honte... Honte de sa voix n'ayant pas encore totalement mué, incapable de donner encore toutes les intonations viriles qu'elle aurait peut être désiré entendre... Quelques années encore, quelques années et ça aurait été parfait, peut être même une et une seule, où quelques paires de mois. Devait il s'en excuser ? Non... Sinon elle n'aurait pas pris la peine de l'enlaçer et venir l'embrasser si langoureusement, fiévreusement en branlant son sexe avec le sien dans sa poigne, hummm ! C'était si bon... Hannn, il en perdait toujours la tête, et la salive à danser avec ses lèvres, il n'y avait donc pas de fin aux mouvements lascifs, balancés de son visage emporté par ses lèvres, il se laissait faire, adorrrait se laisser faire, peut être même un peu trop par sa grande et séduisante cavalière.

Haaanwoui... Oui il aimait sentir la dureté ferme des seins de la fermière venir se caresser contre ses pectoraux, sa verge durcie se frottant de plus en plus envieuse contre la sienne, qui dégoulinait de son propre nectar caramélisé et rendait la glisse entre leurs membres de plus en plus aisée, évidente et effroyablement excitante !

-Te sens-tu prête pour la suite?

Haaaah... Hmmm... Que répondre si ce n'est qu'il acquiesce timidement en se dévorant le bout des griffes... Le visage barré par ses rougeurs, il ne sait plus ce qu'il dit, il ne sait pas à quoi il acquiesce exactement, enfin si il sait mais... Mais à ce niveau d'excitation et de plaisir qu'il ressent, hum, haaahh... Ca ne semble plus avoir beaucoup d'importance et pourtant, si... ça en à ! Ca devrait en avoir dans sa folle petite tête éperdue d'envie, alors qu'il glisse contre la hampe dure et longue de la fermière, y ajoutant ses coups de bassin bien fluides... N'a t'il dont plus envie d'y réfléchir ? Plus il y pense et plus ça lui ferait peur ? Non... En fait plus il y pense et plus ça l'excite, plus il laisse danser ses lèvres avec les siennes, plus il étouffe ses gémissements dans sa bouche, plus il sent les veines de la fermière se gorger de sang au contact de sa verge masturbée contre la sienne... Plus... Plus il en à envie.

Entre deux baisers il affirme, sa tête vivement secouée par une jolie énergie affirme par la positive d'un vif - acquiescement, des mèches de sa chevelure aux reflets cuivrés se retrouvent petit à petit, plaquées sur son visage épanoui, glissant entre ses yeux charmés, envoûtés, séduits par le plaisir qu'il ressent, ce... entrant dans des territoires où sa raison n'a plus de raison, n'est ce pas ? Ses doigts viennent caresser le corps de la hampe équine, glissant et caresssant le bout de ses griffes vers le bas... Vers la base de son boyau de chair lardé de grosses veines qui lézardent à sa surface, plus épaisses et volumineuses que certains de ses plus gros doigts à lui !

Plus il embrasse, plus il se frotte à elle et plus il devient las, fluide et sensuel dans ses mouvements, s'obligeant à relacher toute pression où tension que ses muscles ont pu accumuler toute la journée, ses cuisses allant comme tout à l'heure se caresser entre celles de la fermière. Les doigts de Ludya descendent plus bas encore, glissant de la base de la hampe, sur les bourses qu'il caresse et soupèse, enlaçe de toute l'ouverture de ses paumes, et il faut bien tout ça pour les soupeser, les flatter, tandis qu'il s'exécute ses baisers n'ont cessé de devenir plus excitants, plus vibrants et sonores entre leurs lèvres humides, chargés de ronronnements.

Ses doigts glissent à la perfection sur le cuir des bourses de la femme-équine, et puis il a envie d'ajouter la caresse du bout de ses ongles, enfin, griffes d'Abyssian, sans leur faire le moindre mal elles glissent au moins aussi bien et doucement que ses doigts. Elles ne font qu'effleurer tendrement la surface d'une impression légère, d'une chatouille accompagnant les tracés variables que ses doigts opèrent sur la surface, traçant des cercles et des cercles à l'infini sur ses grandes balles de chair pleines.

De sa position actuelle contre elle il doit incliner la tête vers le haut, vers son visage, entre ses seins pour acceuillir les baisers fondants sur ses lèvres, il adore en secret cette différence de taille et l'ascendant qu'elle peut avoir sur lui. Les souffles de son pseudo-Neko d'assistant étaient eux aussi beaucoup plus chargé d'excitation, d'une sensualité envieuse, son petit chaton en chaleur au regard troublé et embué de plaisir, il était plus que prêt, prêt à tout prendre, accepter d'elle, se donner et se damner pour peu qu'il lui offre enfin le même genre de plaisir. Ses jambes glissant entre les siennes, ses mains choyant avec avidité ses bourses, même ses lèvres quittaient les siennes pour que sa langue fasse le tour du col de cet énorme champignon qu'elle avait pour gland, dressé entre leurs corps, ses yeux clos lorsque ses lèvres allaient embrasser cette chose qu'il savait pertinemment énorme, si dure, et risquer de lui faire subir l'enfer.

Tant pis, tant pis si le diable venait toquer à sa porte, il se foutait bien des conséquences dans l'état d'excitation dans lequel il s'était laissé porter, fondre, pourvu qu'elle soit douce...

Ludya était prêt, c'est du moins ce que laissait penser le hochement de tête qui suivait la question de la fermière. Le petit moment intime se prolongea avant de passer aux choses sérieuses, Ludya se frottait, se collait, caressait, au grand plaisir de la fermière terranide qui faisait de son mieux pour égaler les démonstrations d'affection de son partenaire pseudo-félin. Clara était bien dure, les doigts de Ludya se baladèrent sur son paquet tout en douceur et les ronronnement de l'extra-terrestre rendaient le coup pratiquement relaxant. La femme-cheval ne pouvait plus continuer ces caresses et ces baisers, elle était définitivement prête à passer au stade suivant. Elle se défît de Ludya doucement, s'allongeant sur le dos.

-Viens entre mes cuisses , lâcha-t-elle pendant qu'elle changeait sa position.

Sa verge reposait sur son ventre et elle leva les jambes pour dévoiler son passage arrière sous les bourse, elle était toute prête à accueillir Ludya en elle. Elle se lécha les doigts et vînt frotter son petit sphincter pour le lubrifier, n'attendant plus que de sentir la verge de son partenaire s'insérer dans son fondement.

La pression était montée à un niveau que Clara ne pouvait pas imaginer pour le pauvre Abyssian ! Juste au moment où elle rompit les caresses et les baisers, dure comme elle était, là il put commencer à ressentir des frissons d'adrénaline et sans vous le cacher, de p'tites et jolies sueurs froides glissant le long de ses tempes et ses joues en ne sachant pas de quoi la suite allait être faite ! Ses coeurs avaient tambouriné si fort dans sa poitrine, il se voyait... Dans une posture bien indélicate mais qu'il aurait eu beaucoup de mal au coeur à refuser pour être sincère, Clara comme lui, avec son juste commentaire de tout à l'heure devait pas trouver grand monde qui puisse l'acceuillir, bien qu'honnêtement... Très honnêtement autant fasciné qu'il était effrayé par la chose il était assez... Assez idiot et gentil de nature, peut être même trop naif pour donner du sien jusqu'au bout et quitte, même, à en souffrir le martyre en serrant les dents pour accomplir cette chose qu'elle n'avait que trop rarement eu l'occasion de faire de son propre avoeu.

Mais ses ronronnements s'étaient pas tus pour autant malgré le risque, et ses belles rougeurs n'avaient pas diminué de force, ornant toujours son joli minois de chaton sublimé par la force des courbes de Clara en mouvement. Elle s'allonge sur le dos, finalement elle s'allonge ! Et il a seulement laissé sortir une profonde expiration qui se veut d'un avoeu secrètement soulagé, bloquée dans ses poumons qu'une fois qu'elle prit cette nouvelle position. Oui et alors il avait eu peur ! Qui aurait pas eu rationnellement un petit peu peur quand même ?! j'vous zute !

-Viens entre mes cuisses

Elle l'aimait comme ça, pas vrai ? Après tout c'est elle qui à préféré le voir avec... Avec ces oreilles de terranide chat et qui semble beaucoup aimer l'entendre ronronner... Venir entre ses cuisses ? Hmmhmm... Il sourit, au début, un sourire timide qui se fait vite un piti peu plus large, plus ravageur et aguicheur. Il roule des n'épaules et des hanches comme l'aurait fait un joli terranide-chaton sans aucun doute, puis sa queue se meut dans un mouvement qui accompagne drôledement bien les déhanchés d'épaules et de hanches de son -chaton-... Il s'approche de l'endroit désigné par le bout de l'ongle de la femme équine.

Il n'arrive pas à croire qu'elle... Qu'elle s'offre à lui... Le guidant presque à elle... Elle à joué les guides depuis le début sur sa ferme, lui montrant tout... Au point où il s'en sentirait égoïste de refuser et de ne pas lui offrir un maximum de ce qu'il peut, où de ce qu'elle désire en retour après tout ! Il s'avance en frottant sa joue une fois contre la rondeur de son épaule gauche, puis contre la rondeur de son épaule droite, se léchant lui aussi quelques doigts qui viendront également caresser l'oeillet petit et fermé, bien lisse de Clara.

Il se pince la lippe du bas entre ses dents pointues et l'expression joueuse et aguicheuse de ses yeux, qu'il plissera une fois qu'ils atteignent à nouveau ses lèvres, se faisant bien plus joueur et complice qu'il ne l'avait même imaginé lors d'un tel instant. Peut être parce qu'il commence à endosser son rôle de petit chaton où terranide félin plus sérieusement depuis qu'il à l'impression que c'est son choix à elle, espérant qu'alors elle en soit satisfaite.

Ses doigts glissent sur le contour luisant et bien lubrifié de salive de son petit sphincter, ces jolies formes entre ses cuisses puissantes, ses belles fesses lui donnent... envie... de... D'approcher son visage là en bas, sous ses bourses et embrasser une première fois la zone de peau lisse entre ses bourses et son petit anneau. Il ronronne et son regard mis clos remonte de temps à autre à celui de Clara avec une étincelle de complicité aussi joueuse que taquine. Il embrasse, une seconde fois mais plus bas, ajoutant même le tout léger contact de sa langue entre ses lèvres. C'est pas bien ! Lui auraient sûrement dit ses parents adoptifs, c'est "sale" aussi ! Mais Clara était toute propre et lavée et purée ce que c'était beau à regarder quand même ! Au diable les idioties que sa famille adoptive lui avait mise en tête.

En envoyant ballader ces pensées il se pencha plus avant encore, son visage doux plongeant entre ses fesses, ses paupières s'obligeant à se fermer sous la pression de ses grandes bourses, c'est encore ses lèvres qui embrassèrent cet endroit que ses parents voulaient interdits ! Ah ! Eh bien bravo ! L'interdiction lui avait apparemment donné beaucoup plus d'envie de le braver qu'autre chose !

Puis il arrêta subitement avant d'avoir envie d'y faire glisser aussi sa langue, peut être que Clara elle aussi trouvait ça trop pervers où trop sale pour qu'il y mette son visage, sa bouche et tout ça, il fait des yeux désolés en se grignottant le bout d'une griffe en redressant le visage d'entre ses cuisses...


Pardion mais... Est ce que... Hum... ça te gêne si... Si je continues ?