Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

topic à supprimer. [Lucrezia]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

_______________

Humain(e)

topic à supprimer. [Lucrezia]

lundi 21 juillet 2014, 20:12:09

topic à supprimer
« Modifié: jeudi 05 mai 2016, 18:10:09 par Eckhart Kinder »

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : [flashback]L'essence de la folie[pv : Lucrezia.H.Nietzsche]

Réponse 1 lundi 21 juillet 2014, 22:28:23

Une seconde... Une minute... Une heure... Une journée ? Nan... Lucrezia ne savais plus... Dans cette enfer blanc et insipide, la duchesse perdait peu à peu la notion du temps. à quoi pouvait elle s'accrocher ici bas ? Rien... Rien du tout... Sa vie n'avait plus de sens, si tant est qu'elle en ais eu un jour... Emmitouflée dans un vieux t-shirt à manches longues à bandes noires et blanches, accompagné par un pantalons bleu un peu trop large pour elle, Lucrezia était assise en position fœtal devant un vaste plant d'Hortensias bleus indigos, le regard vide, morne, insipide... Ces fleurs... Elles étaient pour Lucrezia, l'unique échappatoire en ses lieux sordides, son seul rayons de soleil. Elle pouvait rester des heures entières à les regarder, se mettant parfois à leurs "parler" à voix basse, effleurant de sa main leurs pétales aux couleurs chatoyantes, des nuances de bleus essentiellement. Lucrezia était coupée du monde... Elle balança lentement sa tête de gauche à droite, avant d'être interrompue par un papillons blanc, virevoltant joyeusement au milieux de toutes ses fleurs. Sont regard suivi vaguement le dit papillons, avant d'être attiré par un autre phénomène : les cloches.

Lucrezia se mis à grommeler toute seule, ce préparant à être abordée par deux infirmiers en blouses blanches, l'invitant à rejoindre sa cellule dans le calme. Notre tueuse n'eu d'ailleurs pas à attendre bien longtemps avant de voir les deux dits infirmiers, s'approcher d'elle.

Mme. Nietzshe... Voici Mr. Mizutori votre nouveau Psychiatre. Il désirait vous rencontrez ici donc... hum..
L'homme se tourna vers le Psychiatre, le regard un peu gêné.
Je vous laisse avec elle Mr.Mizutori, n'hésitez pas à appeler les gardiens si... Enfin, si d'une manière ou d'une autre, elle devient... Dangereuse.

L'homme tapota l'épaule de son collègue, avant de le laisser seul avec notre Duchesse. Cette dernière regarda longuement son nouveau Psychiatre, avant de finalement se remettre à regarder les hortensias.


Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : [flashback]L'essence de la folie[pv : Lucrezia.H.Nietzsche]

Réponse 2 lundi 28 juillet 2014, 11:08:57

Lucrezia en avait rien à foutre de lui... Elle se disait intérieurement qu'il allait être comme les autres psychiatre avant lui, cet à dire, un pauvre type qui ce dégonflera au bout d'une ou deux semaine, voilà tout. Elle n'avait que faire des psychiatres... Elle, ce qu'elle voulait, c'était qu'on la laisse en paix. Elle en avait marre d'être ici... Elle voulait partir, être libre, comme le petit papillons de tout à l'heure, était ce trop demander ? Surement... Après tout, elle était parfaitement consciente qu'elle ne sortirais plus d'ici, elle savais très bien qu'elle était une "psychopathe" et que, d'une manière ou d'une autre, elle recommencerais ses actes... Ses actes... L'image des jeune filles qu'elles avait droguées puis violées dans leur chambre d’hôpital lui revinrent alors à l'esprit... Notre tueuse se pinça brièvement les lèvres en ce crispant légèrement, ignorant totalement le jeune homme, assis à ses cotés.

Nos deux amis restèrent donc une bonne heure et demi à regarder les hortensias, bercées par le chant des oiseaux qui gazouillait joyeusement en haut de l’arbre qui ce trouvait quelques mètres derrière Lucrezia. Cette dernière resta ainsi pendant encore une bonne heure, contemplant ces fleurs en passant par moment sa mains dessus, ignorant le psychiatre de la manière la plus magistral qu'il soit. Toutefois, cette scène ne pouvait encore durait longtemps et au final, Lucrezia se décidât enfin à parler, surement lassée par le petit jeu de cet homme un brin particulier.

Casse toi...

C'était clair, Lulu en avait marre de lui, autant au début elle pouvait le supporter, autant maintenant, elle commençais à en avoir marre de son petit jeu. Tout ce qu'elle voulait, c'était être tranquille bordel ! Alors pourquoi cet enfoirée de binoclard était venue l'emmerder durant son petit moment d'intimité ? Les poings de notre tueuses se crispèrent à nouveaux, avant qu'elle ne décide enfin à tourner sa tête dans une autre direction que celle des hortensias, cet à dire, sur sa droite, totalement à l'opposée de là où était le psychiatre, lui montrant, une fois de plus, qu'il n'était pas le bienvenue.


Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : [flashback]L'essence de la folie[pv : Lucrezia.H.Nietzsche]

Réponse 3 vendredi 01 août 2014, 17:45:10

Les mots de la Duchesse avaient fait mouche ! Le jeune psychiatre, tel un toutou bien dressé, ce leva de sa place et appela deux infirmiers, ces derniers accoururent alors vers le jeune homme et sa patiente, pensant surement qu'il y avait un problème... Mais non... tout était normal. Le jeune psychiatre prit ensuite le temps de palabres sur ce qu'il avait fait en la présence de lulu, avant de ce mettre à gratifier Lucrezia de "patient douée et intelligente"... Wow, génial... Comme si elle avait besoin de ça...

*touche donc à mon cul si ça fait d'la musique, connard...* ce dit elle intérieurement.

L'homme repartie ensuite, l'air tout fière d'avoir réussie à faire parler la Duchesse. Cette dernière, elle, et bien... Elle s'en foutait, elle ne voulait qu'une chose : retrouver sa cellule.

Aller, Mademoiselle Nietzshe, venez avec nous... vous voulez bien ?

Lucrezia ne répondit pas... à vrai dire, elle en avait rien à foutre...

Mademoiselle... Aller, venez...
Votre nouveau psychiatre vous autorise à manger dans le réfectoire ce soir... ça vous dit ?

Elle ne répondit à cette question que par un vague hochement d'épaule, à dire vrai, le réfectoire ne l’attirais pas tant que ça, d'ailleurs, l'autoriser à y manger était une idée bien sotte, car l’asociabilité de Lucrezia lui avait déjà causée bien des soucis au seins de l'Asile, soucis qui l'avait éconduit en chambre d'isolement.

Allez mademoiselle... Venez... lâchât l'un des deux infirmiers en posant délicatement sa main sur l'épaule gauche de Lucrezia. cette dernière se mit alors à grogner en donnant un violent coup d'épaule en guise de réponse.
M... Mademoiselle Nietzshe... S'il vous plait, vous avez fait beaucoup d'efforts depuis votre dernière mise en quarantaine, soyez raisonnable et venez avec nous jusqu'au réfectoire...

Lucrezia n'était pas franchement emballée par l'idée d'aller manger au réfectoire, le fait d'être obligée de manger avec une bande "d'attardés" ne lui plaisait guère... Toutefois, elle semblait ne pas avoir le choix. C'est donc avec le même regard morne et vide qu'elle se releva en crispant les poings, avant de ce mettre à suivre les deux infirmiers vers le réfectoires, une vaste pièce blanche, garnie de table et de chaises bien dressées en rangs. Quand Lucrezia vint à faire son entrée, deux gardiens vinrent à interrompre les des deux infirmiers qui l'accompagnait.

Qu'est ce qu'elle fait ici elle ?
Son nouveaux psy l'autorise à manger au réfectoire... Voilà tout...

Le garde regarda longuement la Duchesse en coin, avant de lentement céder le passage au petit cortège.

Tenait la bien... J'ai pas envie qu'elle nous refasse une crise d'hystérie.

Lucrezia se mit à pousser un léger grommellement, avant d'être conduit par les deux infirmiers vers une table isolée. L'un des deux homme prit ensuite le temps d'aller chercher un plateaux repas, qu'il posa délicatement devant  elle. Lucrezia aimait l'isolement, par conséquent, moins elle était en contact avec les autres détenue, mieux ça valait.

Bien, nous allons vous laissez Mme Nietzshe, si vous aviez à avoir besoin de quoi que ce soit, nous serons là-bas... Bonne appétit.

Lulu n'avais rien dit... Ce contentant seulement de regarder son plateaux... Fixement, sent changer son regard. Elle prit ensuite sa misérable fourchette de plastique, qu'elle fit mollement tourner dans son assiette... Avant d'être au final, dérangée par un  homme qui, visiblement, lui collait au basque... Son psy. Ce dernier se mit alors à l’imiter, prenant un malin plaisir à froncer les sourcil tout en mangeant nonchalamment son assiette... Ouai... C'était pas franchement très intelligent comme approche ça, surtout avec la Duchesse. Les deux protagoniste restèrent ainsi une bonne dizaine de minutes, ne disant rien... Lucrezia commençait à en avoir marre de ce con, toutefois, elle ne dit rien... Comme tout à l'heure, elle tachât de l'ignorait, ce disant qu'il allait finir par partir de lui même. Mais ça, c'était compter sur l'intervention inopinée d'une autre patiente, une brune au cheveux cours, avec une tête d'ahurie, une pauvre femme victime de troubles tu comportement et d'un très gros retard mental, une gamine de dix ans, prisonnière dans le corps d'un femme de vingt ans. Cette dernière ne venait pas pour déranger Lucrezia, loin de là, ses attentions était même des plus amicale mais... Elle avait choisie la mauvaise personne...

Eyh... Bon-bon-bonjour ! T-t-tu veux que l'on p-parle, t-toute les deux ?

La jeune femme qui répondait au non d’Annabelle avait, en plus d'être bègue et retardée, plusieurs tic nerveux assez... énervants. Elle était toujours obliger de toucher les personnes avec qui elle conversait et Lucrezia ne dérogeait pas à la règle. Notre Duchesse quant à elle... Et bien elle commençais à être excédé par cette pute et par ce psy qui, manifestement, ne faisait rien pour empêcher Annabelle de tapoter le bras de Lucrezia.

OH eyh ! Eyh, eyh ! D-dit, tu-tu me r-ré-répond ? Aller, rép...
Ta gueule... ou jt'éborgne... Avait alors dit lucrezia, en crispant légèrement ses poings 
Qu-Que-Quoi ? T-tes... M-mal-mal élevée !
Quoi...
T-ta mam... Ta mam... T-ta maman, t-ta m-mal élevée, voilà !

Le visage de Lucrezia ce contracta d'un coup tendis que dans sa mains droite, la pauvre fourchette de plastique venait d'être brisée en deux sous la poigne de notre duchesse, visiblement à deux doigts de tuer cette pauvre femme.

« Modifié: lundi 18 août 2014, 11:53:17 par Lucrezia.H.Nietzsche »



Répondre
Tags :