Une nonne et un loup (PV:Kamori Seika)

J'étais tranquillement installé dans ma tanière. La nuit tombait et le crépuscule allait poindre. Il fallait que j'aille chercher du bois pour allumer un feu et manger mon repas du soir. Ma tanière était conventionnelle. Il y avait un lit et un sac contenant de la viande, des outils et mon pagne que j'enfilais que quand j'allais en ville car les humains était choqué d'apercevoir ma verge de 20 cm. Je ne les comprenait pas spécialement pour moi il était normal d'être complètement nu dans cette environnement. A t-on déjà vu un animal habillé? Toutefois, j'avais appris à mes dépens qu'être nu en ville pouvait vous amener en prison, voir même attiré les esclavagistes.

Je partis donc en direction de la forêt pour aller chercher du feu. La forêt était un endroit calme et paisible. J'avais déjà ramassé quelques branches d'arbres secs quand tout à coup j'entendis un cri et des grognements. Je me dirigeai vers cette endroit et j'aperçus à l'orée de la forêt une femme, une humaine en tenue de latex entouré par une bande de gobelin, il y avait déjà des cadavres de gobelins à terre et je songeai que l'humaine en avait éclaté  quelques un. Les gobelins étaient des créatures très primaires et s'amusait à tendre des embuscades aux jeunes et jolies humaines qui passaient par là pour les violer. C'était leur grande passion. D'ailleurs, l'humaine avait un gobelin  qui était accroché dans le dos et qui commençait à malaxer la poitrine de l'humaine contre sa volonté. Je ne voulais pas intervenir après tout ce n'étais qu'une humaine mais j'aperçus son voile de nonne. Et, je me rappelai que les nonnes avaient fait voeu de chasteté et celle-ci devait donc être pure. J'étais pour ce que les humains ne couchent pas à tout va avec n'importe qui et donc je me sentis obligé d'aider l'humaine. C'était tellement rare de croiser des personnes chastes.

Je me précipitai vers la nonne qui défaillait car un deuxième gobelin c'était empressé de lui grimper sur la jambe et commencé à lécher l'entrejambe protégé par le latex. Il fallait faire vite. J'arrivai à destination et j'attrapai le gobelin qui léchait et le balança à 25 mètre plus loin vers ses camarades. J'attrapa le deuxième gobelin et le balança lui aussi. Les gobelins me reconnurent car ils se à mirent piailler mon nom et à s'enfuir. Il faut dire que j'avais une certaine réputation dans la région et les gobelins avaient appris à me craindre surtout la fois où j'avais démoli la moitié de leur tribu.

Quand je fus certains qu'ils étaient partis pour de bon. Je m'intéressai à la jeune humaine, elle était brune. Sa tenue en latex avait de quoi mettre ses formes en valeur et je compris pourquoi les gobelins avaient voulu la violer. C'était suicidaire de marcher dans cette contrée dans cette tenue. Et que faisait une nonne dans cette tenue d'abord? Tant de question qu'il me fallait remettre à plus tard.

-On dirait que vous avez eu chaud, si je n'avais été là il vous violez à coup sur...
Je vois que vous êtes une nonne ou une prêtresse. Et, on dirait que vous vous êtes fait encerclé par la nuit. Le prochain village est assez loin et le coin est dangereux. Je ne vous veux aucun mal. Je m'appelle Fenrir. Si vous cherchez un endroit où passait la nuit je peux vous emmenez chez moi. C'est assez rudimentaire mais vous y serez en sécurité. Il y dans cette forêt des bestioles qui n'hésiterez pas soit à vous tuez soit à vous violez. Disons, que la tenue que vous portez y est pour quelque chose... Alors qu'en pensez-vous?


Après tout, l'humaine pouvait se méfier de moi, en se demandant ce que faisait un terranide complètement à poil dans une forêt... Toutefois, je ne cachais pas mon corps.

La prêtresse-Jaeger devais encore progresser si elle voulait atteindre le niveau de son mentor Enjou Sakuya et comme elle s’était enfuie volontairement de son monastère afin de mener sa propre vie, elle est devenue une sorte de voyageuse solitaire mais cela ne l’empêche pas d'aider son prochain lorsqu'une difficulté s'impose ou complique les chose pour un civil. La jeune femme n'avais pas de domicile a son nom et vivait son quotidien en se déplaçant de commune en commune a pied ou sur un moyen de transport particulier. Le jour commençait a tombé et comme elle se trouvais quelque part dans l'Ouest, elle devais impérativement trouver un refuge pour la nuit mais comment s'y repérer dans ces bois labyrinthique, elle n'avais pas de lumière non plus pour s'éclairer que déjà la pénombre s’était formé. Des bruits touffus se fit entendre quelque part dans les fourrés mais seulement elle ne savais pas de quoi il devais s'agir, elle savais par contre que la "forme de vie" n'avais rien d'amical dans sa manière d'agir furtivement. Alors que la jeune femme se mit en garde thaï, un bonhomme tout vert surgit d'un taillis en grognant pour lui barrer la route, Seika anticipa le coup et se mit en posture offensive, elle se courba en plaçant ses deux bras joint contre sa poitrine comme si elle allait faire une parade en stoppant un coup et frappa violemment le sinistre gus d'un coup de paume additionné d'un coup de coude et de genoux en plein torse.

Big Wave !

Le gobelin s'écroula au sol, complètement K.o mais alors qu'elle pensait que ce fut terminée, d'autre bruits de pas se firent entendre et elle compris que son agresseur n'était venu seul mais avec sa bande. En moins d'une minute, elle fut dépassé en surnombre et elle fut maitrisé rapidement, un de ses individus l'agrippa par le dos et la courba de force, Seika sentis ses larmes couler de son visage tellement elle fut dépité de ne pas pouvoir esquisser le moindre geste contre eux, un de ces comparses remonta sa tête a hauteur des cuisses de la prêtresse et commença a lui lécher sa partie génitale, Seika émit un couinement aigu en se sentant terriblement gêné de la scène érotique qu'elle essaya désespérément de bouger ses mains qui sont maintenue fermement par la brute derrière elle.

Mais alors qu'elle pensait que tout étais perdue, un miracle se produisit un colosse qui dépassait de plusieurs tête les gobelins et avec une silhouette qui paraissait vaguement canine surgit de nulle part. Elle le vis saisir d'une poigne le pervers qui étais agenouillés devant elle et elle le vis balancer au loin comme si il n’étais qu'un insecte insignifiant puis il la libéra en balançant toujours avec le même geste, l'autre lourdaud au loin. Seika se laissa tombé au sol en s'asseyant, elle aperçut les misérables gobelins s'éloigner comme si ils craignaient pour leurs vies et se tourna vers son sauveur qui après une courte observation discuta avec elle.

Merci de m'avoir aidé... je me suis retrouvé ici par hasard...

La jeune femme détailla la forme de l’être vivant, il étais très musclé en plus d’être colossale, il devais avoir une force surhumaine et en plus il parlait la langue des humains donc cet créature n’étais pas une brute hostile malgré son allure.

Effectivement... je viens de le constaté et c'est vrai, vous avez raison.         

La traqueuse-combattante joignit ses cuissardes en les collant contre elle et de même que ces mains et se courba de politesse a la manière asiatique.

Enchanté et encore merci de m'avoir sauvé! je m'appelle Kamori Seika. je suis une traqueuse-combattante et j'ai démissionner de mon poste pour raison personnelle et j'aide les civils en les protégeant des créatures du mal.

Seika accepta avec joie, au moins pour dormir, elle aura trouvé un bon emplacement grâce a l'aide de Fenrir et ça l'évitera de faire de passer une nuit blanche a la belle étoile au milieu de cet végétation sauvage.


Seika rougis en ôtant son voile couvert de poussière et fit déployer ses cheveux au gré de la brise

Que?! ... ma tenue est parfaitement naturelle et synthétique. Et de plus elle fut confectionnés dans les ateliers de l'abbaye d'ou je faisait parti autrefois et mis a part ma combinaison... je ne dispose pas d'autre accoutrement !

Seika changeât de sujet aussitôt et sentit que son bienfaiteur ne lui voulait pas de mal, elle accepta de faire la route avec lui jusqu’à son logis. 

J'étais.... dubitatif. Je ne m'attendais pas et encore moins de la part d'une humaine de tels remerciements. J'étais assez surpris par la posture prise car je ne la connaissais pas et en plus je me demandais si elle n'essayait pas de m'aguicher. Je ne laissai toutefois rien paraître car je ne souhaitais pas paraître désemparé.

D'ailleurs, quelque chose tilta en moi. Elle m'indiqua que c'était une traqueuse qui protégeait les humains. J'avais tué pas mal d'humains au cours de ma vie surtout des esclavagistes. Mais bon, je ne m'alertais sans doute pour rien car elle aurait fait une piètre traqueuse en m'énonçant ses intentions et vu ce qu'il s'était passé avec les gobelins, je n'avais pas grand chose à craindre. En plus ma tanière était situé au plus profond de la forêt donc si elle était perdue maintenant je n'ose imaginer ce qui va se passer par la suite. J'ouvris la marche et lui indiqua d'un geste de la main de me suivre.

-Hum.... Vous dîtes être traqueuse-combattante, cela veut dire que vous affrontez toutes créatures qui s'en prend aux humains? Même si les dit humains peuvent être pire que ces créatures?

C'était une question méditative. J'ouvrais le débat. J'aimais les débats. Après tout, j'avais été chef mystique de tout un village auparavant et les discussions sur le bien et le mal, ça me connaissais. J'avais arrêté quand j'avais compris que les dits dieux en question pouvait être aussi désagréable, voir pire que nous.

- Vous dîtes avoir démissionné, donc dois-je en conclure que vous n'appartenez plus à l'ordre ecclésiastique que vous représentez? Car, c'est bien un voile que vous portiez à l'instant? Quand à votre tenue, je ne doute pas qu'elle soit naturelle, ce n'est les matériaux que j'évoquais mais plutôt le port de la tenue en elle même. Nous sommes arrivés...

Et, j'étais de retour dans ma tanière. le feu était éteint et deux cuisses de biches était entreposés sur le côté. Le lit ressemblait plus à un amas de feuilles qu'autre chose. Le tout ressemblant plus à une caverne d'ours qu'autre chose. Bien sur, ça me convenais, en revanche l'humaine trouverais l'endroit sans doute étrange car les gens pensent souvent que je tiens plus de l'humain que de l'animal alors que c'est plutôt l'inverse.

-C'est mon petit chez moi. Bon c'est pas non plus un hôtel mais au moins vous y serez en sécurité pour la nuit car croyez moi s'aventurer dans la forêt pendant la nuit est suicidaire. Il va falloir faire un feu pour faire cuire ses cuisses vous voulez bien m'aider pour le feu? Il suffit de prendre un bout de bois et de le frotter l'un contre l'autre. Mais, je suis sur qu'une aventurière aussi chevronnée que vous doit savoir tout ça...

Il y avait une petite point d'ironie et défi dans ma voix. Voyons-voir jusqu'où la prêtresse est capable de s'occuper d'elle. Je n'avais pas l'habitude de voir une humaine chez moi et la seule que j'avais laisser entrer avait commis l'impardonnable.

Bien évidemment. Nous autre sœurs de la Croix Sainte n'avons jamais le choix, nos ordres sont formelles.

Seika fut légèrement piqué au vif par la remarque faite par le loup-garou et tout en s'époussetant sa tenue dont sa surface lisse et sombre miroitait via un reflet sur une flaque d'eau en constatant que la bête canine continuait ses questionnements tout en marchant et choisit alors de le taquiner.

... Et vous, Monsieur ! Tous bête sanguinaire que vous pouvez être, cela ne vous est jamais venue a l'esprit de porter un pagne pour dissimuler votre organe qui se masque a peine au travers de vos poils ?

La bête l'avais conduis a une sorte de grotte qui devait surement être son refuge et il n'y avais pas apparemment aucun rôdeur dans les environs. La prêtresse entra et prit place en s'asseyant a la manière orientale comme marque de politesse. Elle nota attentivement les consignes de Fenrir, elle pris un quartier de bois et le regarda et tenta de reproduire les mouvements des gestes comme demandé mais manque de bol, elle n'y arriva.

Je vais voir ce que je peux faire mais sachez que je ne suis pas une intrépide aventurière.

Elle saisit une planche de bois plat légèrement humide et le posa a plat sur le sol par-dessus les restes des cendres qui se dissémina sous le mouvement perceptible de l'air. Elle cassa les minces branchettes jusqu’à obtenir un bâton court et s'agenouilla en joignant ses deux mains sur le bâton et commença a tourner dans un geste de va-et-vient, elle resta concentré sur sa tache en quittant pas la pointe du bâton qui s'enfonça de quelques millimètre au fur et a mesure de la rotation effectué sur la planche, elle crut sentir des crampes se former au niveaux de ses paumes et sur les poignets mais heureusement pour elle, de la fumée se forma et bientôt une flammèche s'illumina, elle souffla doucement pour faire s'agrandir la petite flamme et aussitôt dis aussitôt fait.

La flamme vacilla un peu puis elle dansa, Seika tout en soufflant dessus saisit plein de brindilles qui se trouvait a protée de mains et le plaça tout autour du feu, le feux crépita et brula les brindilles, la nonne réapprovisionna la réserve "flamboyante" de branche jusqu’à ce que les flammes puisse se maintenir.

Et voilà !

Seika souffla la pellicule de poussière qui recouvrait ses gants en latex et se tourna vers l'homme-loup.

Dite-moi monsieur... aviez-vous déjà assassiner auparavant des femmes afin d'assouvir votre faim bestiale ?

Seika senti une goutte de sueur perler sur son front et a l'arrière de son cou, elle trembla de crainte que sa question ne l'ai importuner, elle resta sur ses gardes, prête a prendre la fuite dans l'immédiat.         

Je m'y attendais que l'humaine réagisse ainsi sur ma nudité. Il y avait pas mal de gens que cela choquait mais j'étais chez moi et j'avais le droit de faire ce que je voulais. Ici, il n'y avait pas d'autorité pour m'empêcher de faire quoi que se soit. Aussi, je décida de répondre:

- La nature m'a fait naître comme ça et pas avec des vêtements. Porter des vêtements est une conception matérialiste de notre époque et j'ai des raisons personnelles pour ne pas suivre cette tendance. Je vous félicite pour le feu... Pour une première fois, c'est pas mal...

Complimenter une humaine était vraiment douloureux pour moi. Aussi, je réagis en empoignant ls deux cuisses que je m'occupa à poser entre deux bâtons en forme de y pour qu'elle soit bien poser et puissent cuire. J'essayai de changer de sujet:

-J'ai peur de ne pas comprendre.... Vous dîtes avoir démissionné de votre ordre religieux et pourtant vous faîtes comme s'y vous y étiez encore... J'ai mal compris quelque chose?

Puis, l'humaine me posa une question... Si j'avais déjà tuer une humaine pour satisfaire ma faim bestial... Il existe plusieurs types de faim bestial mais je voyais de laquelle voulait parler l'humaine.

-C'est donc comme ça que vous me voyez? Comme un monstre inhumain qui mangent les jeunes vierges et n'hésite pas à les violer avant? Me croyez-vous donc si inhumain que ça? Je vous rapelle que je vous ait sauvés la vie si j'avais été comme vous le dites je me serez alors joint aux gobelins avant de vous tuer... C'est le grand blâme de nos deux espèces, l'incompréhension.

Bon, elle n'avait tout à fait tort j'avais déjà tué mais pas sans raisons valables.

-J'ai déjà tué des esclavagistes pour le liberté des miens. Tout comme vous avez déjà tué pour protéger les vôtres. Nous ne sommes pas si différents...

Les cuisses étaient prêtes. Elles avaient finis de cuire et dégager un appétissant fumet. Je pris les deux cuisses et en tendit une à mon invitée.  Et, commença à prendre une bouchée de la mienne.

-Manger, pendant que c'est chaud.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas eut d'invité. La dernière fois une jeune femme c'était mis en danger aussi et s'était permis de prendre place dans ma tanière. Hélas, la demoiselle cachait bien son jeu car c'était une succube et avait commis l'irréparable avec mon corps. Depuis, cette nuit je ne suis plus tout à fait le même.

-Vous ne pouvez pas être pire que ma dernière invitée...

Les paroles m'avaient échappé pendant que je mangeais.

Désolé Monsieur Fenrir, j'ignorais pas mal de chose du monde, je devrais songer a me cultiver l'esprit... et merci pour le diner !

Seika saisit le quartier de viande et commença a se nourrir, d'habitude au monastère ou elle vivait avant, elle ne se contentai que de soupe accompagné d'un quignon de pain et ou encore de porridge, jamais auparavant elle n'avais gouté a la viande préparé sur grillade et ce serait même la première fois même que ce fut savoureux, elle se régala.

Comme elle remarqua que le loup revint sur sa question précédente concernant le sujet de la désertion de la fugitive, elle décida d'y répondre franchement.

Enfaite... si j'ai décidé de partir, c'est parce que je n'ai pas apprécié les méthodes employé par les cardinaux et ses conseillées... en gros je suis a la recherche d'une personne qui es porté disparue au cours d'une mission et cette personne est ma tutrice, je tiens beaucoup a elle.

Seika dégusta en mâchant tranquillement le gigot de cerf en écoutant le récit de l'homme-loup, alors apparemment lui aussi a du combattre pour l'indépendance et la survie de son groupe, en tout cas oui il avais bien une raison valable de le faire et tout compte les humais et les être enchantés n’étais pas si différent que ça mais bon dans les deux camps, il y a toujours un gagnant et un perdant, un vainqueur et un vaincu, un dominant et un soumis...

Mais quelque chose la titilla tout d'un coup après le dernier monologue de la bête, d'après ce qu'elle a crut entendre, une autre femme fut arrivé dans cet grotte avant elle mais il n'y avais personne ici.

Attendez ! je vous stoppe une minute. De qui parliez-vous a l'instant et qu'a fais cet personne ?

Seika fut devenue curieuse et voulais entendre cet autre part de récit qui semblait entre guillemet intime pour Fenrir.   

Ainsi donc, l'humaine a renié certains principes religieux et en à gardé d'autres. Elle recherche quelqu'un. C'est curieux, comme son histoire ressemble à la mienne. Je n'ai pas entendu parler de Cerbère, mon père, depuis longtemps.

Je me rends compte que j'en ai trop dit. Je ne voulais pas parler de la succube et pourtant je l'ai manifestement fait et l'humaine veut en savoir plus. Je n'ai vraiment pas envie de lui en parler et c'est à contre-coeur que je réponds:

- Qui elle était, je n'en sais rien... Elle ne m'a pas dit son nom, c'est à peine si je sais quelque chose sur elle. Non, c'est plutôt ce qu'elle était qui est plus choquant. Elle était, enfin  elle est car à mon avis elle n'est pas morte, une succube. Elle est venu un soir au campement se faisant passer pour une jeune femme en danger et ayant besoin d'un gîte. Elle a manger ici, puis elle a essayé de me charmer pour commettre ce vous pensez mais je l'ai repoussé lui disant que j'étais aux services des dieux et que je ne pouvais pas avoir ce type de relation. Alors, elle a dégagé des phéromones ayant pour but de m'exciter et.... La tentation était si grande vous comprenez....  Le lendemain, j'étais à nouveau moi-même et il n'y avait plus personne juste un message me disant qu'elle était ravit d'avoir fait succomber un homme pieux et que le fruit de la perversion était planté en moi. J'ai d'abord pas cru en ces balivernes. J'étais d'ailleurs dégoûté et j'ai quitté mon ordre religieux car il était inadmissible de rester après cet écart de conduite. Quand, je revois les images j'ai ressens souvent du dégoût mais quelques fois c'est du désir voir du plaisir dans certains rêves. Le message disait vrai la graine était planté... C'est évidemment difficile à imaginer quand on est pure comme vous, prêtresse mais c'est tout aussi horrible que c'en est attrayant. Voilà pourquoi je dis que vous pouvez être pas pire que ma dernière invitée.

J'avais le regard dans le vague en train de regarder le feu brûler pendant tout mon monologue. Rien que de parler de cette histoire je ressentis une  légère pointe d'excitation dans ma verge. Parler était comme penser et les vieux démons réapparaissaient. Je posa la cuisse, je n'avais plus faim.

-Enfin, c'est de l'histoire ancienne. Depuis, j'essaye d'aider du mieux que je peux en aidant mes frères et soeurs capturés par les esclavagistes. Une sorte de rédemption, si vous voulez et je lutte contre cette envie qui m'assaille de temps à autre même si je dois bien avoué que je suis las du combat. J'ai l'impression que ça ne sert à rien. Mais, je ne peux me résoudre à m'avouer vaincu si facilement.

Je regarda l'humaine, essayant de voir sa réaction. Je n'avais pas envie d'en parler mais ça faisait du bien de l'avoir raconter à quelqu'un. Je n'avais jamais parler de cette histoire à personne. Il fallait croire que la prêtresse savait mettre en confiance les personnes avec qui elle parlait.

Seika toute silencieuse, écouta attentivement le récit du loup-garou, ainsi même un être "primitive" a eut comme qui dirait eut une relation interdite avec un être enchanté mais le pauvre ne s'en ai douté de rien et cet femme manipulatrice avais réussi a le faire tombé dans son piège mais d'après ses affirmations, il ne semblerait pas que cet "succube" soit dangereuse... Bon c'est vrai que Seika ne connaissait pas ces types de personnes aux étranges pouvoirs de tentation mais d'après la version des faits de Fenrir, le charme sensitive exercé par la femme "humaine d'apparence" ne semblait affecté que les hommes ou les être bestiaux qui sont de sexe masculin mais elle ignora si ce fameux tour de passe-passe fonctionnait sur les humaines.

... Je suis désolée de vous avoir poussé a me conter votre sombre passé... Mais vous pouvez savoir que tous les humaines n'agissent pas aussi impunément que cet succube.. et moi non plus d'ailleurs...du moins...

Seika se mordis la langue pour avoir oser divaguer mais elle croqua plutôt un bout de viande pour masquer sa surprise après avoir écouter le fin mot de l'histoire de Fenrir.

Vous avez raison, tous ça n'est plus que de l'histoire ancienne. Mais vous devez passer autre chose et continué a vous battre en vous fixant un objectif !

Seika voulais l'aider en l'encourageant mais elle aussi fut une victime d'un monstre aux pouvoirs surdimensionné qui a faillit l'exterminer ce jour-là mais comble de malchance ou bénédiction soudaine, cela n'arriva pas. Elle décida de lui avouer a son ce qui la tourmentait comme l'avais déjà fais a son tour Fenrir.

Je dois vous avouer que moi aussi j'ai vécut ma part d'angoisse par le passé et que je n'arriverais jamais a y faire face...

Elle se tut par moment avant d'ajouter en plaçant sa main sur son ventre par-dessus le tissu du latex tout lisse.

Je suis enceinte d'une monstruosité... cet chose se trouve pour le moment a l'état embryonnaire parmi mes entrailles... Je...

Seika se mit a pleurer en n'osant pas imaginer son sort et pourquoi cet situation dramatique s’était produis ce jour-là.

Tout en regardant la prêtresse, j'écoutais ce qu'elle avait à dire. Ses paroles me firent du bien. Elle avait raison, il ne fallait pas se débiner, il fallait se ressaisir. Toutefois, il y avait quelque chose qui me chiffonnait dans son discours. Elle disait qu'elle n'était pas comme la succube avant d'hésiter. Est-ce que cela voulait dire que l'humaine avait pratiqué le sexe? Et qu'en plus elle avait aimé ça? Non, ça ne pouvait pas être ça, une prêtresse se devait d'être pure.

Pendant que je réfléchissais, la prêtresse continua et avoua avoir été victime d'un viol. Elle disait même qu'elle était enceinte d'une "monstruosité". Voyait-elle l'enfant de l'homme qui l'avait violé comme une monstruosité ou bien c'était vraiment un monstre qui l'avait violé? J'aurais aimé avoir une réponse à cette question mais sitôt j'allais prendre la parole que je constata que la prêtresse pleurait tout en se touchant le ventre. Je compris aussitôt que la femme que j'avais en face de moi souffrait du même mal que moi. Elle avait subit un viol crapuleux qui inondait l'âme et que quoi que l'on fasse on ne s'en remettait jamais. De plus, elle avait des conséquences physiques qui chaque jour devait lui rappeler dans quel tourment elle était. Je ne comprenait que trop bien cette peine qu'elle ressentait.

Je me rapprocha d'elle et passa un de mes bras autour de ses épaules pour que sa tête soit contre mon épaule. C'était la manière de procéder de mon clan. Les mères enserraient leurs enfants autour de leur bras pour les calmer. J'espérais que ce petit geste corporel aurait la même fonction. Je n'étais pas vraiment habitué par ce genre de signe. J'étais après tout un solitaire et il était donc rare que je fasse ce genre de chose. Mais, la peine que j'avais ressentis m'avait poussé à agir.

-Si cela vous dérange de porter cet enfant, quand viendra la naissance, je le tuerais de mes propres mains si vous n'en avez pas le coeur. Je suis vraiment désolé ce qui vous est arrivé. Ainsi donc, vous aussi vous avez ressenti l'horreur de cet acte abominable et de la perversité qui est derrière. Même si c'était dégoûtant et horrible, on ne peut s'empêcher de penser qu'on a ressentis du plaisir à ce moment-là ce qui rend la chose encore plus horrible.

D'un doigt, j'essuya la joue encore humide de larme.

-Vous êtes en sécurité, ici et vous n'avez rien à craindre.

Je me mis à siffler un petit air de mon village natal qui était assez gai tout en essayant de calmer l'humaine qui pleurer. La nuit  était tombé et seul le feu qui crépitait était témoin de cette scène pittoresque.

Seika ne pouvais se retenir de pleurer davantage, jusqu’à maintenant et en dehors de son mentor Sakuya, la prêtresse n'avais jamais ouvert son cœur a qui que ce soit mais cet homme-loup ne semblait pas être comme les êtres enchantés malveillantes, au contraire elle se sentait comme en sécurité et avais un sentiment de réconfort et d'apaisement, après lui avoir expliqué son tragique incident, elle se sentit soulagé. La bête canine accueillit la jeune femme a ses cotés, Seika prit place en ayant le regard avec ses larmes restantes qui inondait toujours son visage et vis Fenrir les essuyer d'un geste doux avec sa main, elle souris timidement en se serrant contre lui en appréciant sa douceur. La nonne entendis un dialogue qui ne la surpris pas, effectivement maintenant que la semence avais eut lieu, la fécondation devais prendre pas mal de semaines et avant même que "l'embryon" ne prenne forme, une longue attente devait avoir lieux mais elle ignora si la créature qui verrais bientôt le jour allait lui être bénéfique ou maléfique. De toute façon, elle n'avais pas a se plaindre car son destin fut sceller et tous ce qu'elle devais faire c'étais de l'accepter et de l'assumer.

Ce n'est pas grave, Monsieur Fenrir... je ne souhaiterais pas que vous partagiez mon fardeau, on a tous vécut des choses avec des événements particuliers et des tourments dans la vie, il faut aller de l'avant et franchement partager le sort de quelqu'un en ayant compassion de celle-ci n'est pas une meilleur idée. 

Elle souris légèrement et lui formula alors une requête inhabituelle.

Je suis d'avis pour l’exécution mais quelque soit la graine qui va germer de mon ventre et quel qu’en soit sa forme, il est ma progéniture et il est de ma chair et de mon sang en parti... Après la naissance de la chose, j'aimerais que vous abrégiez la souffrance que je perçoit, je parle bien de moi et de mon enfant afin d'éviter de reproduire un nouvel acte sinistre de perversion avec d'autres hommes...

Elle ignora si le loup-garou l'avais entendu ou non mais elle préféra se taire sans ajouter un mot de plus, elle baillât de fatigue et fit pencher sa tête sur l'épaule de Fenrir vers son torse, elle regarda les flammes vacillantes qui brulait toujours sur la base des branches qui disparaissaient petit a petit.

Je vous remercie de m’accueillir dans votre antre et de veiller sur moi.

Seika entendis la note musicale que chantonna Fenrir, elle se laissa bercer par la mélodie en voyant les flammes du feux de camps se dissoudre peu a peu de son champs de vision avant que sa vue ne s'estompe de fatigue et se de voir ses paupières se baisser sur ses yeux d'épuisement et de sentir le sommeil l'entrainer au pays des songes.

L'humaine s'apaisait par le contact et le léger sifflement. Sa tête avait basculé vers mon torse et j'entendais une respiration calme. Les pleurs s'étaient arrêtés. Et, je m'allongea sur le dos doucement. Je pensais que c'était plus pratique pour dormir. En revanche, j'avais du mal à comprendre quelque chose.L'humaine m'avait encouragé à passer à autre chose, à aller de l'avant. Mais, elle refusait visiblement de faire la même chose pour sa propre situation. C'était un brin hypocrite qu'on en y pensait. Fais ce que je te dis mais ne fais pas ce que je fais. Ce dicton assez célèbre évoquait effectivement le paradoxe.

Je la sentais en train de dormir sur mon torse et je n'arrivais pas à m'endormir car j'avais entendu les dernières paroles de l'humaine et elle voulait que je la tue en même temps que son enfant. Si elle voulait mourir, pourquoi attendre la naissance? Il serait plus simple mourir maintenant avec l'enfant. Etait-ce plutôt un appel à l'aide? Ce que j'avais vécut était dure mais à aucun moment je n'avais pensé à me suicider. Après tout, le sexe était selon certain dire tout à fait différend quand il était pratiqué avec amour et sans viol. Tuer un enfant à la naissance qui n'avait pas encore vécut était chose fréquente. Plusieurs familles se débarrassaient des enfants qu'elles ne voulaient pas. Mais, tuer quelqu'un que j'ai appris à connaitre et que je commence à apprécier de sans-froid était totalement différend. J'étais incapable d'un tel acte, je ne pouvais m'y résoudre. Et, c'est dans cette état d'esprit que je m'endormis à mon tour. Toutefois, le sommeil fut léger et trouble.

Je me réveilla assez tôt, déposa un léger baiser sur le front de l'humaine la déposa à terre et partit chasser de quoi manger pour le matin. La chasse fut fructueuse car je réussis à attraper deux lapins dans des pièges que j'avais posé la veille. Je revenais vers le campement en me disant qu'il m'était vraiment impossible d'accomplir ce qu'elle m'avait demandé. Quand, j'arriva sur les lieux, je l'aperçut en train de dormir mais elle n'était pas seule. Deux gobelins avaient profité de mon absence pour essayer de reprendre leur petite affaire. L'un avait commencé par lécher l'entrecuisse e l'humaine quand à l'autre il jouait avec les seins de l'humaine. J'entendais même des petits gémissements provenant de l'humaine. Je ne savais pas pendant combien de temps ils avaient agis. J'avais été complètement stupide d'avoir laissé la prêtresse, seule, en train de dormir. J'avais pensé qu'aucun gobelin n'agirait dans mon antre. J'avais tort.

 Je me précipita vers ces gobelins et les tua dans le plus gros silence en leur tordant le coup. C'était les mêmes que la veille. Je dissimula les cadavres dans le bois et je revins avec les lapins. J'espérais que l'humaine ne s'était rendus compte de rien. Mais je pensais bien qu'elle s'était réveillé, après tout difficile de dormir dans ces conditions. Je mis les lapins en train de cuire et je m'exclama:

-Vous avez bien dormi?

Je ne savais pas à quel moment elle s'était réveillée. Je ne savais donc pas comment réagir d'autant que la discussion de la veille avait été dramatique.

La nonne avais eut une rude journée devant elle en s'égarant dans ces bois inquiétant en pensant pouvoir couper par la foret afin de rejoindre la prochaine commune mais elle ne savais pas déjà comment pouvoir se situer en orientation et surtout que les bestioles humanoïdes qu'elle avais du affronter étais doté d'une incroyable force physique, seul un guerrier vétéran témoignant d'illustre batailles étaient aptes a les vaincre. Pour Seika, ce fut un cauchemar vivant mais heureusement pour elle, elle fut secourue a temps par un colossale homme-loup qui normalement n’interférais jamais dans des conflits entre humains et autres créatures hostiles ou quelqu’en soit la nature de la querelle.

Après avoir écouter le récit de l'histoire du sombre passé de Fenrir, Seika commença a se sentir un peu a l'aise avec lui et se sentait en confiance, ce n'est pas que la prêtresse éprouvait des sentiments a l'égard de la bête canine car naturellement sa seule âme-sœur restera sans égale sa tutrice qui a disparue Enjou Sakuya... Mais alors qu'elle dormi paisiblement, toujours bercée par une douce brise via une anfractuosité de la caverne. Sous l'épuisement et la fatigue, elle ne sentit absolument rien  si ce n'est que elle se sentait comme souillé par une forme de vie inconnue, elle ne se rendis compte de rien, c'est comme si elle étais plongé dans un genre de coma léthargique. Elle sentais du mouvement mais, c’était un cauchemar totalement sinistre. les gestes étais tel qu'elle sentais le gout de la "léchouille" la parcourir de fond en comble, cet extase dura une bonne heure, la jeune femme n'en pouvais plus cauchemar ou irréel, elle ne semblait pas se débattre.

Elle se réveilla un peu plus tard et semblait avoir la tête qui tourne, elle ne savait rien de ce qui se passait, elle se tourna dans tous les cotés en ajustant son voile de nonne sur ses cheveux et vis constata que la grotte était vide mais, alors quelle se posait la question. une voix familière l’interpellât et elle se retourna immédiatement vers la bête canine qui apparut sur le seuil de l'entrée avec des animaux herbivore a griller sur brochette.

Oui ! je pense... Dite-moi est-ce que par hasard, il y aurais eut le passage d'un gros vers gélatineux dans cet caverne ?? 

Seika ne savais pas ce qu'elle disais, car en plus du trou de mémoire qui ne l'aidait pas. Elle se posa des questions mais elle n'en savais pas les réponses, elle pensa que Fenrir devait la prendre pour une folle.

La question qu'elle me pose me désarçonna. Je ne mis pas longtemps à comprendre que le gros vers gélatineux en question était sans doute la langue du gobelin. Cette idée était honteuse et dégoûtante mais l'image qui repassait dans ma tête en boucle et une partie de mon cerveaux trouvait ça désirant. Il fallait que je chasse cette idée de ma tête.

-Un gros vers gélatineux? Non, je n'ai rien vu de tel. Qu'est-ce que ferais un ver gélatineux par-là? Mangez pendant que c'est chaud.

Et, je lui tendis un des lapins. Je préférais ne pas évoquer cette scène que j'avais vu étant donné son état psychologique fragile de la veille. Elle se tracasserait de provoquer de la perversité chez les hommes.

-Vous avez dormi comme un bébé, hier soir. Je ne voulais pas vous réveiller après ce que vous aviez dit. En revanche, j'ai longuement réfléchi et je ne peux me résoudre à vous tuer. Maintenant, que j'ai appris à vous connaître, c'est impossible vous comprenez?

Je ne voulais vraiment pas avoir ce genre de discussion avec elle mais je le devais. Elle s'était endormie avant que je réponde et croyait peut être que j'avais accepté. Je me rapprocha donc d'elle et rapprocha sa tête près de la mienne en posant un doigt sous le menton pour qu'elle me regarde directement dans les yeux.

-Vous avez raison, vous êtes une proie facile et vous pouvez faire la tentation de nombreux hommes. Vous avez forcément quelqu'un que vous aimez dans votre entourage qui ne pourrait se passer de vous. Raccrochez-vous à cette personne.

Tss, j'avais eut un moment de faiblesse dans la soirée mais il était temps qu'elle vive et qu'elle ne se lamente plus. J'espérais bien la raisonner sur son suicide.

-Vous comprenez?

Je ne la lâchais pas du regard, la dévorant presque. Plus je la voyais, et plus les images remontaient. Il suffisait de rien pour l'embrasser. Sauf qu'il était hors de question d'assouvir ses pulsions libidineuses.

La jeune femme parut ridicule l'espace d'un instant et rougis en regrettant de ne pas plutôt avoir fermer sa bouche, elle attrapa le lapin fumant et lui extirpa une patte et le mangea a petite bouchée. Elle entendis le loup lui formuler la requête de la veille de la prêtresse, celle-ci compris qu'il fut inutile de débattre sur le sujet a nouveau et mangea silencieusement.

... Je vois.. la vie est si courte.. mais j'ai une autre vie qui germe en moi... je vais surement donner naissance a ma progéniture.. mais je comprend votre décision et je ne vous en veux pas !   

Alors que Seika essayait de tirer la viande avec ses dents du quartier de lapin, celle-ci avais du mal et elle faillit tomber sur le dos en s'affalant, la jeune femme tenta un nouvel assaut mais cet fois-ci ce fut le loup qui lui tenu le visage avec douceur. Elle se sentis gênés et devint écarlate. La prêtresse sentis son cœur qui battait la chamade dans sa poitrine, soudainement le souvenir de sa mentor lui revint en tête, mais naturellement le seul droit d'effusion qu'elle se rappela remontait a plus d'une dizaine d'année quand elle était toute jeune.

Oui, je commence a voir les choses au clair mais vous avez omis une chose hormis le droit de vivre, vous devez savoir que j'ai un objectif a atteindre... mais je suis désormais une voyageuse solitaire.. je n'ai pas de proche a proprement parler qui pourrais m'aider si ce n'est que me soulager... 

Elle sentis ses yeux baigné dans les larmes et avança son visage de l'homme-loup et lui fis un bisou sur son museau en rougissant.

Merci de m'avoir aider et de m'avoir pris sous votre aile...

Seika essuya son visage, elle avais la mauvaise manie de pleurer... sous le coup de l'émotion, mais cela étais aussi une de ses faiblesses.

Elle s'était mis à pleurer et mais c'est qu'elle m'a embrassé? Je rêve pas! Bon, elle m'a pas embrassé sur la bouche mais tout de même, ça fait son petit effet. En plus, elle me dit qu'elle a personne mais qu'elle est contente que je sois là. Pour le coup, j'étais touché par cette déclaration. Je ne pensais pas ressentir quoi que soit pour une humaine. J'avais toujours sa tête sous mon doigt.

-Ecoutez, vous n'êtes pas seul, je suis là... Ce que vous me dîtes est très touchant et...

Sous le coup de l'émotion sans doute, j'approcha ma tête et je l'embrassa sur le bouche. Le baiser était tendre et des images de moi et de la succube revinrent en mémoire. Ma langue toucha la sienne et s'enroula autour c'était bon. Et, le baiser s'estompa. Je me recula quelque peu tout en continuant d'avoir sa tête sous mon doigt.

-Je sais que vous devez partir. Mais, je vous en conjure, rester quelques temps avec moi. Je tâcherai de veiller à ce que votre solitude se dissipe. Vous êtes si douce, au toucher. Et, vous semblez cruellement manquer de compagnie. Je pourrais tâcher de vous soulager...

Mais qu'est-ce qui me prenais à la fin? J'étais pas complètement marteau d'avoir dit ça? Moi qui était si fier de rester indépendant.... Et en même temps, depuis que cette succube était parti, je n'avais jamais vraiment eut l'occasion  de... Mais qu'est-ce que je racontais à la fin? J'approcha mon nez contre le sien et le frotta, c'était une sorte de parade nuptial dans mon clan. Je voulais me retenir mais c'était impossible mon corps compter agir autrement.

-Alors, qu'en dîtes-vous? Je veux juste vous soulager de toute cette peine...

Dans un autre élan de spontanéité je renversa la demoiselle et me retrouva au dessus d'elle ma tête frôlant sa tête. Je résistais à la tentation qui me disait de la prendre en déchirant sa tenue en latex. Et, je ressentais au niveau de ma verge une forte excitation.