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Un long dimanche de fiançailles [Madison Broow]

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Marcus Baritello

Humain(e)

Un long dimanche de fiançailles [Madison Broow]

mercredi 25 juin 2014, 06:32:33

Chapitre un: La fille du sorcier...

La Délégation commerciale de la famille Baritello arrive au manoir du prince sorcier de la marche d'argent. Reçu avec raffinement, le père et le fils continue la visite de la somptueuse propriété en tête à tête avec l'archimage Graganiat. Le vieux prince vêtu d'une robe d'or rougeoyante les invite dans son salon privé. Une odeur âpre d'encens divers vient leurs titiller les narines. Les nombreux objets exotiques qui décorent cette grande salle obnubile l'attention de Marcus.
Soudain c'est au beau milieu d'une conversation entre son père et son hôte que, dans une brève explosion nuageuse, apparaît une inattendue « créature ».
Une fois les volutes de fumées complètement évaporées, les invités peuvent voir une sublime femme à la peau grise, aux cheveux blancs de glace et long, à l'opulente poitrine et presque entièrepment nue. Uniquement vêtue d'un string en chaînettes d'or et de diamant, la jeune beauté cornue se présente avec grâce aux visiteurs. Elle est plutôt sportive et très grande. En effet, malgré le gabarit élancé de Marcus même pour un homme, cette créature lui tient facilement tête. Ses gênes démoniaques sont à peine voilé; deux belles cornes lui jaillissent du crâne, deux ailes noires sont modestement repliées derrière ses épaules et enfin une longue queue ondule gracieusement derrière elle.

Bonjour messeigneurs, je suis Aréala.

Ah ! Je ne vous avais pas encore présenté ma fille. Ma grande et belle fierté. Elle héritera de tous mes biens après ma mort.

Explique le prince en caressant fièrement la joue de sa progéniture. Ce n'est pas difficile d'imaginer avec qui ce vieux pervers à pu procréer une telle créature. Il est de notoriété que pour se divertir quelque peu les magiciens et autres sorciers invoquent couramment des succubes. Son père, répond non sans un grand intérêt.

C'est avec ravissement que nous faisons enfin votre connaissance, demoiselle Areala.

Marcus flaire l'entourloupe convenue entre ces deux vieux magouilleurs - lui faire rencontrer une riche et belle héritière -. Seulement elle n'est pas assez "naturelle" pour lui. En toute réponse, il fait un simple signe de tête.

Va ma fille, fais visiter le reste de la propriété à notre jeune invite.

Le regard avide et le sourire presque carnassier que jeta la demi-démone sur le jeune héritier lui fit frissonner l'échine. Joignant le geste à la parole, elle le prend délicatement par la main...

Viens !

"Elle me tutoie déjà. Mauvais signe ça". Pense t- il. A peine ont-ils quitte la pièce sous le regard bienveillant des paternels que Areala lui dévoile ses véritables intentions.

Évitons la barbante énumérations des nombreuses pièces de ce manoir, je vais d'abord te faire visiter ma chambre. Viens c'est par là !

Elle l'emporte. Excitée de découvrir un nouveau jouet, la sublime beauté le tire par le poignet. Il n'arrive pas a s'y opposer. Quelque chose l'hypnotise en elle. Sa voix ? Son incroyable silhouette musclée ? Ou encore sa poitrine au volume surnaturelle ?

MMm t'es vraiment mignon. J'ai crains que tu ne sois un vil petit bourgeois grassouillet. Tu es à mon goût. Il ne me reste plus qu'à le vérifier dans mon lit avant notre mariage.

Ce mot le sorti immédiatement de sa contemplation. Mariage = Au secours. Sans prévenir et avec énergie, il se défait de son emprise. Dans la foulée il s'enfoui dans un des obscures couloirs de l'énorme bâtiment. Il courre. Elle le suit et l'appelle.

Marcussounet, n'ai pas peur, je veux seulement te baiser à mort.

Sa voix changea lorsqu'elle prononça les quatre derniers mots. Une voix lourde et grave. Comme sortie des profondeurs de l'enfer. Marcus jette un regard effrayé derrière lui et se met à courir plus vite,... le plus vite qu'il puisse. Il a vu, ou cru voir, une ombre entre ses cuisses. Comme un énorme pénis [contenu explicite] poindre d'envie... Il l'entend rire. Une course poursuite s'engage à travers chambres, couloirs, et... Arrivé dans le grenier du manoir, il trouve enfin une cachette salutaire. C'est une sorte de grand panneau de bois précieux richement décoré, aussi grand qu'une porte.

Mon petit lapiiiiin...

Sa poursuivante passe son chemin. Marcus n'ose plus bouger. Il se tait. Attend d'être sûr d'être seul. Après un long moment, il se redresse. Autour de lui, le grenier est une sorte de fourbi merveilleux ou s'entasse d'innombrables objet plus mystérieux les uns que les autres. C'est alors qu'il s'intéresse à l'objet responsable de son salut. C'est un grand miroir. Celui-ci est partiellement masqué par un voile sombre. Comme si l'on avait cherché à dissimuler son existence précipitamment. Curieux, il le dépose sous un nuage de poussière. Contre toute attente, son reflet, et uniquement son reflet, est absent de la surface métallique. Interloqué, le jeune homme touche la surface froide du métal. A ce moment, un tourbillon de lumière l'aveugle dans un assourdissant sifflement magique. L'instant d'après, aveuglé, il tente de retrouver ses repères les bras tendus...
« Modifié: mardi 30 décembre 2014, 06:59:34 par Marcus Baritello »

Marcus Baritello

Humain(e)

Re : Un long dimanche de fiançailles [Koya Breathless]

Réponse 1 mercredi 06 août 2014, 06:04:14

Étourdis par ce qui vient de lui arriver, Marcus doit se mettre à genou pour ne pas perdre l'équilibre. Une puissante lumière qui provient d'un plafond bas aseptise complètement sa vision et l'oblige à se protéger d'une main.  Ses yeux sont grands ouverts mais il ne peut rien voir. Il peut seulement deviner de légères formes. Un moment d'adaptation lui sera probablement nécessaire. Ses autres sens opérationnels l'informent. Il entend des bruits d'eau qui chute. Il sent une forte odeur de sueur qui lui rappel les geôles des arènes de Nexus. L'ambiance est chaude et moite. Le sol est plat, humide et glissant.
Il lui faut absolument savoir où il est. Soudain les bruits d'eau s'arrêtent. Un bras tendu devant lui, Marcus rencontre un premier obstacle horizontal, c'est du bois (un banc). A tâtons, il y découvre des pièces de tissus qu'il bouscule maladroitement et les fait tomber. Il en sauve un, petit et léger, une sorte de mouchoir à dentelle blanc ? (Une petite culotte). Il le porte à son nez pour en déterminer la facture. De la soie ou une matière s'en rapprochant, il y plonge son nez. Il y décèle une flagrance qu'il sait connaître mais sans arriver à la déterminer avec précision. Persuader de trouver là un indice sur le lieu où il se trouve, il inspire plus profondément.

« Qu’est-ce que vous faite là ? Les hommes n’ont pas le droit d’être ici ! »

Surpris de la voix féminine, il en laisse tomber sa découverte. L'accents lui est inconnu, le ton de la question est inquiet tandis que celui de l'invective est agacé. Par contre la douce voix féminine le rassure. En effet, il aurait pu tomber sur un brutal gladiateur. Il cligne des yeux pour forcer sa vue. Il perçoit une silhouette recroquevillée sur elle même. L'attitude est protectrice, voire effrayée.
C'est en effet une femme, il n'y a pas de doute la dessus. Les formes de la demoiselles sont remarquablement parfaites. Il ne discerne pas les détails. Mais il la sait sacrément sexy. Ses formes sont rondes là où il faut. Une bonne génitrice comme on dirait par chez lui. Marcus souhaite la rassurer. Mais quoi dire ? Comment expliquer sa présence ici. Lui a maintenant bien compris que ce foutu miroir était une sorte de passage magique. Mais où à t'il atterri nom d'un cyclope? Dans un autre pièce du manoir de l'archimage ? Ou peut-être beaucoup plus loin encore ? Dans un mystérieux donjon ?
Des mouvements vifs, la jeune femme vient de saisir une pièce de tissus devant lui. Elle l'enfile tout aussi rapidement. Sa vue revient lentement, mais pas assez vite que pour profiter du spectacle. Il comprend qu'elle noue ensuite une sorte de serviette autour de sa taille.

Je... N'ayez pas peur... Je... Ne vous veux aucun mal, gente dame.

Cela lui suffit semble t il pour changer d'attitude. Elle se précipite maintenant vers lui. Préoccupée par son état. Elle est proche de lui.

« Vous voulez peut-être de l’aide Monsieur ? Vous êtes aveugle et vous vous êtes perdu ? »

De la gentillesse ? Que cela fait du bien à ses oreilles ! Cet accent est manifestement très charmant.
Il peut voir maintenant certains autres détails. Dont tout particulièrement, deux grosses boules, séparées d'une petite fente sombre à leurs sommets, attirent son attention. Sa vue se précise encore. Il reconnaît la couleur de la chair derrière un tissus transparent. Il y a aussi deux tâches plus sombres symétriques soulignées de leurs propres ombres.  Marcus saisi enfin la teneur du tableau, il cligne des yeux et rougit. Il voit net maintenant. Ce sont deux gros seins bien ronds dont les tout aussi impressionnants tétons frigorifiés pointes vaillamment vers lui.
Il redresse vivement la tête. Les joues rosies d'excitation par les images salaces que la vue de ces volumineuses mamelles lui inspire. Il se voit les lui dévorer fougueusement. Il en salive instinctivement. S'il ne se contrôlait pas, ce serait à son tour de pointer.
Son interlocutrice est une jolie blonde toute mouillée et agenouillée devant lui. Elle lui prend la main pour l'aider à se lever. Avec gratitude, il profite de l'offre. Maintenant debout, Marcus la domine d'une tête. Soudain, son regard est capturé par les grands yeux bleus de la jeune femme. Il en balbutie d'émotion.

Merci... Heu... Suis je... au paradis ?

Après avoir échappé à une demi démone lubrique, le voici dans dans les mains d'un bel ange amical. Quel contraste. Il en frissonne encore. Il revoit la saisissante scène où Areala lui avait dévoilé ses attributs disproportionnés. Même lui qui se sait plutôt extrêmement bien membré, ne pouvait supporter la comparaison. Quel soulagement d'avoir pu lui échapper. D'un tour d'horizon du regard, méfiant, Il vérifie qu'il n'en voit pas les queues.

Son regard de nouveau opérationnel en profite pour aller récolter d'autres informations. Ils sont dans une sorte de pièce où toutes les parois sont maçonnées de sortes de pierres carrées, très lisse, brillantes et d'un blanc éclatant. Des bancs en bois clair en garnissent la périphérie. Au plafond, brillent des sortes de doubles candélabres horizontaux et puissants. Les parois sont couvertes de coffres en métal, blancs eux aussi. Deux issues à la pièce. L'une est une baie ouverte sur sorte de cave mouillée, toute blanche encore. L'autre se rapproche de ce qu'il pourrait déterminer comme une porte lisse et rouge.
Marcus saisit les bras de son bel ange. Ses jolis yeux bruns replongent dans les siens. Il l'interroge avec son très exotique accents Nexusien.

Qui êtes vous ?
« Modifié: lundi 29 décembre 2014, 15:37:02 par Marcus Baritello »

Marcus Baritello

Humain(e)

Re : Un long dimanche de fiançailles [Madison Broow]

Réponse 2 mercredi 31 décembre 2014, 13:17:06

Marcus est toujours un peu confus, un dialogue de sourd s'installe entre les deux jeunes gens. En effet des milliers de questions l'assaillent encore.

- Non, Monsieur vous n’êtes pas au paradis, loin de là !

Si vous n'êtes pas un ange, jolie comme vous êtes, vous devez être soit une esclave de plaisir soit au moins une princesse ?

- Vous êtes dans les douches des filles, à la salle de gym. Vous êtes tombé peut-être ? Le sol est un peu humide et très glissant…

Dans les douches des filles ? Les filles de qui ? La salle de Jim ? Qui est Jim ? Est ce le maître de cette bâtisse ? Vous êtes l'une de ses filles ?

- Vous voulez que j’appelle de l’aide ? Les pompiers, la police ?


Les ponpiés ? Sont ils vos gardes du corps, jeune princesse ?

La police ! Ce dernier terme lui est par contre familier. Appeler les représentants de l'ordre pour venir l'aider ? L'aider à quoi ? A fuir une demi démone en rut qui veut jouer au docteur avec lui ? Certainement pas, il aurait bien trop honte de prendre le risque d'ébruiter une si embarrassante affaire sur la place publique. Les adversaires politiques de son pères s'en gausseraient volontiers.

- Je propose que vous, vous reposiez un peu ici pour le moment ! Le temps que vous repreniez bien vos esprits et si vraiment ça va mal là j’appellerai les pompiers. Vous êtes d’accord.

A force de patience, la voix cristalline et chaleureuse de la jolie blonde fini par le détendre. Marcus ne se sentait plus du tout en danger. Seulement il ne comprenait pas tous les propos de la belle étrangère qui est maintenant debout devant lui, lui qui s'était laissé asseoir. Il répond d'une voie calme et posée pour ne pas l'effrayer à son tour.

Tout à votre honneur, je vous remercie de vous inquiétez de ma santé mais je vais très bien.
Aussi, il n'est point besoin de faire mander les hommes de la municipalité. Je dois vous avouer que j'espère régulariser mon étonnante situation dans la plus grande discrétion.


Le jeune homme remarque alors que le sobre habit mouillé de la si jolie demoiselle était devenu aussi transparent que le cristal et que sa lâche serviette lui offre maintenant une vue impudique sur l'antre de son intimité. Il pouvait même aller jusqu'à constater la finesse des soins qu'elle pouvait consacrer à cet endroit parfaitement glabre. Cela témoigne de l'importance et de l'intérêt que cet organe a dans la vie de cette jolie fille. Égoïstement il ne lui viendrait pas à l'idée d'avertir son interlocutrice de son imprévue nudité. Honteusement Il tient à en profiter.
Le jeune homme dégluti. Son pouls s'accélère. Il faut néanmoins meubler sinon elle va s'apercevoir que quelque chose ne va pas.
Au prix d'un effort sur humain, Marcus réussit à décoller son regard de ces si attractives lèvres imberbes. Mais, pour retomber plus haut sur sa si volumineuse poitrine. Ce qui ne fit qu'aggraver la situation. De son point de vue, Marcus n'a qu'un seul point faible. D'autres diraient qu'un seul défaut pervers. Il sublime les fortes poitrines. Plus gros c'est, mieux c'est. Ses yeux rivés sur les si appétissantes collines qui pendent devant son nez. Une main ne suffirait pas pour cueillir l'un de ces fruits. Il peut voir jusqu'au moindre détails de la texture des aréoles et des tourelles de joies qui les couronnes. Le voilà de nouveau dans l'embarras. Sa respiration se saccade. Son cœur s'emballe à nouveau. Il ne la connaît pas mais une puissante envie de la prendre dans ses bras l'envahis.
Jamais une si simple proximité avec la gente féminine ne l'avait émus à ce point. Sans pouvoir la contrôler, sa verge extériorise sans plus attendre cet émotion en gonflant et se frayant fièrement un chemin dans ses étroites braies. Étant de belle taille, elle se retrouva vite prisonnière de son pantalon en cuir et offrant à la vue de son hôtesse une magnifique bosse par dessus le haut de sa cuisse gauche.
Un moment de silence gênant s'intercale. Le bel aventurier lutte contre ses plus bas instincts. Contre toute attente, il ferme les yeux, redresse encore la tête pour aller les réfugier dans les grandes iris aux profondeurs océaniques de son hôtesse. Il faut chasser les pensées salaces qui l'habitent. Changer de sujet. Découvrir qui est cette si belle inconnue. La jeune fille ne s'était toujours pas présentée. C'est un peu normal. C'est lui l'étranger en ce lieu, c'est donc à lui de prendre l'initiative. Transpirant et balbutiant légèrement il reprend la parole.

Tout d'abord, je tiens à m'excuser si d'aventure, je vous aurai... causé quelques... effrois. Permettez moi ensuite de... me présenter, je m'appel... Marcus... Marcus Baritello.

Le jeune héritier avait insisté sur le dernier mot, espérant susciter un sentiment d'admiration ou de respect chez sa si désirable interlocutrice.
« Modifié: mercredi 31 décembre 2014, 13:25:38 par Marcus Baritello »


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Tags : humain bain