Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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School Temptation [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 30 lundi 06 juillet 2015, 21:48:49

Comment était-il possible d’avoir des seins aussi gros ? Eiki mourrait d’envie de savoir si cette poitrine était naturelle ou non... Même s’il avait une petite idée de la réponse. Sans trop pouvoir se l’expliquer, il était convaincu que cette femme ne plastiquait pas ses seins, qu’elle n’avait pas augmenté leur taille. Pour ce jeune professeur, c’était un solide argument physique. Pour s’en convaincre, il suffisait de regarder n’importe quel hentaï ou dōjin. Les femmes avaient souvent une poitrine très développée, ce qui correspondait à de lointains fantasmes japonais. Même dans les peintures anciennes, datant par exemple du 19ème siècle, les femmes étaient représentées avec des poitrines opulentes. Cette tradition était restée,  et, dans l’imaginaire collectif nippon, les Occidentales étaient connues pour leur forte poitrine. Jessica était une Australienne, et elle était conforme au cliché en vigueur sur l’Australie et sur les femmes au sang chaud qui peuplaient cette grande île.

Elle répondit favorablement à son invitation, et il hocha la tête.

« Oui, mets-toi à ton aise, alors... Je n’ai qu’un ventilateur pour se rafraîchir, alors... Euh... J’ai laissé la porte du balcon ouverte... »

Qu’est-ce qui lui prenait de raconter ça ? Eiki se sermonnait devant la stupidité de ses propos, et fila dans la cuisine. Il ouvrit le réfrigérateur, tandis que Jessica, belle et magnifique, s’installait sur un canapé, dans le salon. Il avait mis des bouteilles d’eau au frais, et en sorti tune, tout en ayant la tête la vision des seins de Jessica. Avec la chaleur et son débardeur blanc, la sueur avait moulé ses seins, et il avait pu discerner ses tétons. La femme avait opté pour une tenue extra courte, contrairement à lui, qui avait enfilé une chemise (à manches courtes) avec un pantalon. Une chemise de soirée, bien entendu, le genre de tenue qu’il enfilait quand il allait en boîte. Mais elle... Avec son minuscule short noir et son débardeur qui laissait tout voir, elle était franchement magnifique. Il l’imaginait danser ainsi dans les boîtes de nuit, et il comprenait tout à fait pourquoi elle n’avait aucune difficulté à trouver des amants potentiels. Il était sûr qu’elle avait fait la tournée des boîtes de nuit, en couchant à droite et à gauche.

*C’est simple, le sexe ne la gêne pas du tout, alors que je dois affronter Parkinson...*

Quand avait-il été encore plus nerveux ? La chaleur, déjà forte, explosa en lui, alors que son érection ne démordait pas. Est-ce qu’elle l’avait vu ? On disait que les femmes avaient, sur ce point, une sorte de sixième sens. Il aurait cru que son érection aurait diminué sous l’action, mais, loin de se calmer, elle avait semblé s’accroître quand Jessica était entrée, qu’elle lui avait parlé, avec sa belle voix, avec sa voix magique, avec son corps bronzé aux formes incroyables et harmonieuses... Elle était une Bella, le genre de femmes qui enflammaient les villages et les caleçons, qui vous faisaient tourner la tête, et vous damnaient encore plus efficacement qu’un million de dollars en petites coupures dans une mallette métallique.

Il remplit deux verres, tout en ayant encore en tête son corps. Elle était là, dans son dos... Il ne rêvait pas, elle était bel et bien là ! Elle ! Et... Et...

*On va faire l’amour... Putain de bordel de merde !*

Eiki aurait dû se sentir gêné, mais, en ce moment, il n’y avait plus aucune excuse pour la repousser. Il était pris au piège par cette femme, et savait qu’il ne pourrait pas faire marche arrière. Eiki était ainsi, partagé entre l’envie furieuse de coucher avec elle, et la peur de tomber dans un piège, non pas parce que Jessica se jouerait ensuite de lui, mais parce qu’il deviendrait accroc à son corps. Elle était belle, trop belle. Elle était comme le fruit défendu, une pomme rouge vive qui dansait au bout de sa branche, le pompon que tout gosse voulait attraper en enfilant les tours de manège.

Il se retourna vers elle, et lui tendit le verre d’eau, en s’installant sur un fauteuil face à elle. Le simple fait de la voir boire son verre était magique... Elle le but rapidement, relevant la tête, dévoilant davantage ses seins. Eiki était comme hypnotisé par eux, et déglutit en relevant la tête. Sa gorge était sèche, son corps en feu, son cœur tambourinant furieusement dans sa poitrine.

Elle se mit à parler, et il l’écouta, sans rien dire. Elle lui répéta qu’elle ne voulait pas lui faire de mal, mais juste avoir un plan cul avec un professeur. Eiki ne dit rien ensuite, ce qui amena une sorte de silence assez déstabilisant, avant qu’elle ne se mette à parler à nouveau, pour proposer de passer aux choses sérieuses.

*C’est maintenant ou jamais, Eiki !
Va-t-en !
Repousse-là !
MAIS EMBRASSE-LÀ, PUTAIN !*

Il se releva alors, et repoussa le verre d’eau, puis sa main alla se saisir de celle de la femme. L’espace les séparant n’étant que de quelques mètres, il avait été facile de la rejoindre. Son corps près du sien, il reniflait son odeur, sa chaleur, sa douceur, sa volupté.

« Oui... Tu... Tu es si belle, Jess’... »

C’était tout ce qu’il avait réussi à dire. Il se pencha vers elle, en déplaçant sa main. Il l’avait déjà embrassé dans la salle de cours, mais, cette fois, il ne pouvait plus fuir... Il se rapprocha d’elle, en avant, et ses lèvres finirent par se plaquer sur les siennes. Il les entrouvrit, le sexe hurlant entre ses cuisses, caressant le corps de son amante, et scella ses lèvres contre les siennes, en sentant une vague de plaisir le traverser comme un missile explosant en atteignant sa cible.

Il l’embrassa, se pressa contre le corps de cette succube, avec la seule volonté de s’y abandonner...
« Modifié: lundi 06 juillet 2015, 22:04:07 par Princesse Alice Korvander »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 31 lundi 06 juillet 2015, 22:49:19

Jusqu'au dernier instant, Jessica avait eu peur que les choses ne foirent à nouveau, il pouvait suffire d'un rien pour que Eiki soit à nouveau pris et tourmenté par ses doutes, et la jeune femme voyait dans chaque hésitation, chaque silence de sa part, un risque qu'encore une fois il ne la repousse. Certes, il ne l'avait pas vraiment repoussée au lycée, mais son attitude d'alors avait été tout comme. Pris par les doutes, les remords et la peur, il avait été tellement focalisé sur ça et non pas sur elle, que Jessica l'avait pris comme un refus de continuer. Elle craignait, jusqu'au bout, que ce silence suivant ses explications ne soit les prémices d'excuses à venir, comme quoi ce qu'ils faisaient n'était pas moral, et qu'ils feraient mieux d'arrêter avant qu'il ne soit trop tard.
Mais, à son grand soulagement, il fût trop tard. Délaissant son verre d'eau pour s'approcher d'elle, et saisir sa main, Eiki lui avoua alors qu'elle était belle. A la sensation de son corps de rapprochant du sien, et qu'enfin il s'abandonnait à elle, Jess' sentit une lourde bouffée de chaleur l'envahir, qui n'allait nullement s'atténuer puisque enfin il vint l'embrasser. Jessica fût surprise qu'il prenne ce genre d'initiatives, mais elle était agréablement surprise, et rien ne pu l'empêcher de pousser un long soupir de plaisir entre les lèvres de son prof, au cours de ce baiser auquel elle répondit langoureusement. Si il avait scellé ses lèvres contre les siennes, Jess' elle ne comptait pas s'en arrêter là. Gourmande, elle entrouvrit ses lèvres, et envoya sa langue inquisitrice à la recherche de sa partenaire, dans la bouche d'Eiki qu'elle ne maqua pas d'aller explorer. Jess' lui offrait un french kiss langoureux, chaud, prometteur d'une longue nuit de délices et de débauche.

Au moment où son prof s'était approché d'elle pour aller l'embrasser, Jessica avait écarté ses cuisses, dans l'optique qu'il puisse se coller tout contre elle. Malgré les hautes températures de cette nuit d'été, Jess' cherchait volontiers la chaleur corporelle de son amant, et se blotissait contre lui. Au travers de son mini short, le peu de tissus que les deux portaient permit à Jessica de confirmer ce qu'elle soupçonnait déjà, Eiki était en train de bander comme un taureau, probablement depuis la fin de leur conversation, en anticipation de ce qu'ils allaient faire. Il fantasmait donc bel et bien sur elle, il avait envie d'elle, de la prendre, de lui faire l'amour, de la baiser, et c'était réciproque. Leur baiser dura un long moment, et tandis que Jess' utilisait ses mains pour parcourir le dos de son partenaire, elle avait enroulé ses jambes autour de son bassin pour le coller contre elle, et l'empêcher de partir. Joueuse, elle avait alors ondulé son bassin, frottant son entrejambe contre la protubérance, l'érection d'Eiki, afin de stimuler son envie et sa frustration.

Oh Senseï...si vous saviez comme j'ai envie de vous...

Insatiable, la belle succube retourna l'embrasser, autant pour son propre plaisir, que pour ne laisser à Eiki aucun doute possible quand à son état d'excitation, quand au fait qu'elle avait envie de lui. Puis, elle le repoussa momentanément, afin de le faire s'asseoir sur le canapé. La fougue d'Eiki était louable, mais son inexpérience était un handicap, et cette fois Jess' comptait d'avantage prendre les rennes afin de le guider, et ne pas refaire la même erreur. Malgré son âge plus élevé, il restait un novice, alors qu'elle même était une maîtresse, et se devait donc de le "former" pour ainsi dire. Une fois Eiki assis, Jess' vint sensuellement se placer à califourchon sur lui, son entrejambe encore une fois venant se coller à la grosse bosse formée à son pantalon.

Là...hum, vous bandez très fort Senseï, je peut le sentir. Vous aimez mon corps hum ? Ma belle petite peau bronzée, mes gros seins, et mon beau cul...tout ça c'est à vous.

Elle approcha alors son visage du sien, déposant alors une multitude de petits baiser dans son cou, sur ses joues, son front et son nez.

Je suis...toute...à vous...rien...qu'à vous...

Chacun de ses mots étaient entrecoupés de ces baisers, mais ses mains elles ne demeuraient pas inactives, puisqu'elles carressaient le torse du bel homme pour sentir sa musculature. Même si il n'était pas un mister universe, elle l'avait déjà vu nu, et vu que ce corps n'était pas dépourvu d'une musculature suffisament développée pour éveiller chez Jess' l'envie de palper.

Hmmmmm....touchez moi, carressez moi Senseï...je veux vous sentir vous approprier mon corps.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 32 lundi 06 juillet 2015, 23:28:02

Eiki bandait tellement mal qu’il en avait mal, mais sacrément mal. Il était incapable de se dire à quand remontait une telle érection et une telle situation. Grisante, électrique, il avait l’impression qu’un transformateur électrique venait d’exploser le long de ses cuisses. Dans son imagination enfiévrée par le désir et par la bouche magique de Jessica, qui était comme un puits sans fin de plaisir profond, il imaginait son sexe prendre la forme d’un piston, d’une machine industrielle qui allait déboîter le corps de cette Australienne chaude comme le Mont Fuji. Son trouble et son plaisir augmenta encore d’un cran quand, joueuse, elle enfonça sa langue dans sa bouche. Eiki sursauta quand la langue de la femme heurta la sienne, et il redressa les dents, en craignant de la mordre. Ce serait l’accident bête ! Il tremblait, et crispa ses doigts sur le corps de la femme, notamment son épaule, afin de se détendre. Yeux clos, Eiki s’absorbait contre elle, convaincu d’être, ici, l’élève. C’était avec humilité& qu’il acceptait cette situation. Il avait initialement craint que son statut de novice ne soit un obstacle aux yeux de Jessica, car il se disait alors, naïvement, qu’elle recherchait, au sein du corps enseignant, un amant expérimenté, le mâle viril qui la changerait de tous les éjaculateurs précoces qu’elle devait s’enfiler dans sa classe. Pour le coup, c’était lui qui avait raté la marche dans la salle de classe, et notre courageux senseï (qui adorait la manière dont Jessica le disait, avec ce souffle le long de ses lèvres et cette aspiration rose qui ressortait de sa bouche) entendait bien se rattraper en ce moment.

Même si Jessica n’était pas chez elle, c’était elle qui menait la danse, et elle le lui montrait en ce moment, en l’embrassant tendrement, longuement. Elle jouait avec l’homme, lui montrant toute son expertise dans ce domaine, tout son talent, un talent certain et indéniable, qui ne demandait qu’à s’affirmer, et qui croissait à chaque fois. Il goûtait à ses lèvres, et jouait avec sa langue, déplaçant la sienne, en constatant qu’elle n’était pas figée à son palais. C’est ce qu’on appelait un French Kiss, du nom de ce peuple spécialiste en baisers.

« Hum... »

Il soupira contre la bouche de la femme, et sentit cette dernière remuer un peu. Son sexe heurtait ses cuisses, et il soupira quand les jambes de la femme s’enroulèrent autour de sa taille. Eiki se redressa alors, et posa une main sur les cheveux de la femme, glissant l’autre le long de sa nuque, et la souleva. Elle était lourde, mais lui était fort. Sans être baraqué comme Schwarzenegger, Eiki faisait souvent du sport, s’entraînant, et on en voyait les résultats en ce moment. Il souleva Jessica au milieu de ce salon, sans rompre le baiser, la serrant contre lui, serrant si fort qu’il craignait même de l’étouffer. Les seins de la femme formaient comme deux tisons de plaisir qui s’enfonçaient contre son torse, le faisant trembler. Le plaisir affluait dans tout son corps, un plaisir jouissif et bienvenu. Sa main caressait son débardeur, et glissait parfois sur sa peau. Une peau douce, chaude, mais empreinte d’une sorte de fraîcheur innée qui le faisait trembler. Il l’embrassait, encore et encore, sans relâche, les minutes défilant à toute allure.

Elle maîtrisait la danse, et ce fut elle qui rompit le baiser, un baiser qui avait balayé toutes les interrogations et tous les doutes d’Eiki. Au diable Mashi, au diable le regard des autres, au diable tout sauf eux deux ! C’était la seule chose qu’Eiki voulait en ce moment : elle. Leur baiser se termina trop tôt pour Eiki, et, alors qu’il voulait l’embrasser à nouveau, en rapprochant instinctivement son visage du sien, Jessica le repoussa. Ses chevilles heurtèrent le canapé, et, dans un soupir, il s’affala dessus.

Divine et magnifique, elle se dressait là, au milieu de son salon, et EIki déglutit à nouveau. Elle avait joué avec lui pendant ce baiser, joué en se servant de son bassin, joué avec son corps, avec ses lèvres, ses doigts... Une véritable experte qui se rapprocha lentement de lui. Son membre turgescent tapait contre son pantalon, et, alors qu’elle se rapprochait, le souffle vint à lui manquer.

« Je... Jessica... »

Le courageux professeur déglutit quand elle se rapprocha, se mettant à califourchon sur le canapé, l’encerclant totalement. Plus aucune échappatoire. Il releva la tête, voyant son beau visage se découper par-delà les obus de chair. Son petit short noir heurta son pantalon, et elle appuya dessus, comme si elle enfonçait sa main sur un buzzer qui déclencherait des réactions chimiques dans tout le corps d’Eiki.

Elle lui parla alors, de sa voix mielleuse, de sa voix sensuelle et magnifique, en résumant très bien sa situation. Sans pouvoir se l’expliquer, l’entendre dire qu’il bandait « très fort » déclencha en lui une onde masculine de satisfaction, comme une sorte de virilité inconsciente et néanderthalienne. Il n’arrivait plus à parler, et elle l’embrassa sur tout le pourtour du visage, chacun des baisers déclenchant en lui comme des hoquets de stupeur et de plaisir. Elle le manipulait comme une poupée gonflable masculine, car elle savait que l’homme ne manquait pas de volonté et d’envie, mais d’expérience. Il sentait les mains de la femme remuer sur sa chemise, une chemise trempée, et, tout en l’embrassant, en déplaçant sa tête sur tout son visage, elle parlait, lui disant des mots chaleureux, envoûtants, qui le berçaient et le faisaient rêver. À lui... Toute à lui... Rien qu’à lui. Dans les faits, c’était plutôt l’inverse, mais il saisissait volontiers l’idée.

Elle lui dicta alors ses ordres, et il répondit presque instinctivement. Ses mains étaient alors dans le vide, et il les posa sur les hanches de la femme, les caressant, et les remonta vers ses seins. Il tira sur les rebords du débardeur, et fit sortir les seins, en déglutissant lentement.

« Tes... Tes seins... Ils... Ils sont si gros, J-Jess’... »

L’homme déglutit à nouveau, et approcha son visage, puis le glissa entre ses seins, et déposa ensuite ses lèvres sur l’un de ses seins. Il s’y enfonça un peu, et déposa un baiser dessus, puis approcha sa langue de l’un de ses tétons, ce petit bout rose pointu et tendre. Sa langue était nerveuse, et il reprit son souffle, fermant les yeux, avant de le lécher et de le suçoter. Ses mains, elles, retournèrent caresser le corps de la femme, et filèrent dans son dos, afin de plaquer son visage contre le sien. Ses mains étaient dans le bas de son dos, la ceinturant, et il entreprit d’en laisser tomber une, se rapprochant ainsi de ses fesses, son délicieux cul, qui le hantait, et le hantait encore plus depuis qu’il l’avait vu, serré dans ce short noir.

« Hnnn... »

Sa tête était contre l’un de ses seins, s’absorbant dans ce plaisir qu’elle lui offrait... Et qu’il acceptait sans aucun problème.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 33 mercredi 14 octobre 2015, 12:58:11

Jessica était cette fois vraiment comblée, car enfin son prof se laissait aller. Fini les considérations morales qu'elle trouvait dépassées, fini les remords, Jess' pouvait sentir à quel point Eiki avait envie d'elle à la façon dont il bandait. La jeune femme frottait son entrejambe, protégée encore par son mini short, contre la bosse qui s'était formée dans le pantalon de son partenaire, et elle se mordillait les lèvres rien qu'à  imaginer cette queue toute dure en elle. Oh oui, l'Australienne était volontiers nymphomane, et avait une libido digne des idées préconçues qu'on pouvait se faire sur les filles venant du sud, mais elle assumait pleinement ses pulsions. Là, elle allait se taper l'un de ses profs, et probablement à de multiples reprises. Elle en avait envie, et quelque chose lui disait qu'Eiki serait plus que ravi d'avoir un plan cul régulier, au lieu d'avoir à se branler sur des mangas.
Cette fois, Jess' n'eut pas à se dénuder, car c'est son prof qui prit l'initiative d'abaisser les bretelles de son petit haut, qui s'abaissa en libérant son opulente poitrine. Vu qu'il était évident qu'ils allaient baiser ce soir, la jeune femme n'avait pas vu la nécessité de porter un soutien-gorge, car ce serait ça de moins qu'elle aurait à ôter. Sa tenue de ce soir était minimaliste au possible, d'autant que le fait d'être sortie sans porter de sous-vêtements avait contribué à légèrement l'exciter au préalable. Là, alors que son prof la complimentait sur la taille de ses seins, la jeune femme était chaude comme la braise.

Huhu...j'en conclus qu'ils vous plaiiiiiiiiii....Han Senseï...

Elle avait été surprise qu'Eiki fourre sa tête entre ses seins, mais agréablement surprise, enfin il se lâchait, enfin il allaient baiser comme des bêtes ! Jessica se mit à sourire tout en soupirant, et ses mains vinrent se glisser à l'arrière du crâne de son prof, pour l'encourager dans sa démarche. Il alla ensuite lécher un de ses gros seins, prenant son téton déjà bien durci dans sa bouche, tandis qu'elle se mettait à frotter vraiment son entrejambe contre l'éréction du bel homme. Elle sentit l'une de ses mains se glisser dans son dos, de plus en plus bas, mais il semblait hésiter encore à vraiment franchir le pas d'aller palper son cul. Elle l'encouragea en posant une de ses mains sur la sienne, et la guida effectivement plus bas, jusqu'à ce qu'il puisse mouler avec ses doigts l'une de ses fesses fermes et rebondies.

Mon cul vous plaît Senseï ? Allez-y prenez le dans vos mains, j'adore quand des mains fermes me le malaxent.

Puis, coquine, elle approcha son visage d'une des oreilles du l'homme pour lui murmurer quelques paroles salaces.

Et j'adore sentir de belles queues me le défoncer...huuuuuuuuum...

Elle resta dans sa position encore quelques secondes, puis elle se redressa, debout, toujours en face de son Senseï. Elle entreprit tout d'abord de retirer son débardeur qui la gênait, puis elle fit un petit demi-tour sur elle même pour offrit à Eiki la vue de son cul qu'elle cambra. Elle se recula ensuite, écarta alors ses jambes et revint s'asseoir sur Eiki, cette fois en lui tournant le dos mais en étant tout contre lui. Elle se mit alors à remuer son cul contre le sexe de son prof, qui dans sa position avait un bel accès au corps de sa lycéenne.

Oh Eiki...ça faisait tellement longtemps que j'avais peu eu autant envie de baiser avec quelqu'un...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 34 mercredi 14 octobre 2015, 15:10:25

Qui l’aurait cru ? Il avait beau être fiancé, et être un professeur respectable, il était bel et bien d’embrasser une fille, l’une de ses élèves. Eiki avait résisté, il avait vraiment essayé de s’accrocher à ses devoirs conjugaux, à son obligation de fidélité... Mais la tentation avait été trop forte. C’était un classique. Un classique éternel, la preuve que, si l’esprit humain aimait l’originalité et la créativité, il ne pouvait s’empêcher de ressasser les vieilles besaces, et les anciennes formules. Cette femme, cette nymphe australienne, était venue dans sa vie comme une tornade, et, s’il l’avait repoussé au début, il avait fini par succomber. Pouvait-il vraiment dire que c’était de la faute de Jessica ? C’était lui qui avait pensé à elle, lui qui s’était masturbé, lui qui l’avait retrouvé sur Facebook. Oh, elle n’était pas totalement innocente non plus, mais il savait que c’est lui qui, dans un tribunal, aurait tous les torts. Il était l’homme mâture, l’homme qui représentait l’État, qui incarnait les valeurs morales que le Japon cherchait à enseigner à sa jeunesse et aux étrangers venant profiter du savoir important du pays. Au lieu de ça, il avait invité une élève chez lui, et ils étaient en train de commencer à se faire l’amour. C’était horrible... Mais aussi terriblement excitant. La sensation de transgresser un interdit moral et sociétal. Une sorte de couche supplémentaire au plaisir purement physique et bestial qu’Eiki ressentait en ce moment.

Le cliché japonais sur l’attirance pour les grosses poitrines se vérifiait volontiers avec lui, et expliquait pourquoi le professeur s’était précipité sur les gros seins tendres de Jessica. Ils étaient doux, moelleux, et il s’amusait à les lécher, tout en palpant le cul de Jessica. Il n’avait pas été le palper par gêne, mais plus parce que tout cela pour lui était nouveau, et qu’il était face à une explosion terrible de désir. Eiki ne savait tout simplement plus où donner de la tête. Elle se mit alors à lui parler, après avoir guidé sa main vers ses fesses, et l’homme déglutit, la gorge sèche, excité d’entendre cette femme, pourtant plus jeune que lui, parler de manière vulgaire avec tant de facilité.

« O-Oui... »

C’est tout ce qu’il arriva à répondre, et répondit surtout par les gestes, en posant effectivement chacune de ses mains sur les fesses de la femme, venant les empoigner et les caresser. Leurs corps se retrouvèrent ainsi l’un contre l’autre, les seins de la femme venant heurter son torse, le faisant frissonner, tandis qu’elle approchait sa bouche de son oreille, murmurant quelques mots sensuels. Elle lui avoua qu’elle adorait sentir de belles queues la défoncer, des termes, là encore, très osés, qui le firent rougir. Sa respiration devint haletante, et son érection s’accrut encore, devenant très douloureuse. Ses dents se serrèrent, et il alla lécher son cou, cette délicieuse partie de l’anatomie féminine, ses mains devenant moites, se déplaçant sur ses fesses, mais se contentant surtout de s’appuyer dessus. Eiki était encore tétanisé par ce plaisir inattendu, ce plaisir qui déferlait en lui comme un torrent ardent.

Jessica continua ensuite à prendre les choses en main, et se redressa, puis s’écarta. Eiki, muet de stupeur, les yeux écarquillés et la bouche entrouverte par ce spectacle, vit ainsi la femme, en toute simplicité, ôter son débardeur, avant de pivoter sur place, et de bien se cambrer, en écartant ses jambes. Eiki déglutit en voyant ce joli cul, et ses mains se crispèrent sur les accoudoirs de son fauteuil. Si beau, si beau... Quel spectacle magnifique ! Et son sexe, ah, son sexe ! Il lui faisait un mal de chien !

Elle retourna vers lui, en soufflant, de sa belle bouche, qu’elle n’avait jamais autant eu envie depuis longtemps de coucher avec quelqu’un. Que ce soit vrai ou non, Eiki en frissonna. Dos tourné face à lui, elle faisait preuve de tout son talent, se débrouillant pour qu’il sente bien son cul contre son membre.

*Une masturbation anale, mon Dieu...*

C’était... C’était hallucinant ! Eiki déglutit encore, et ses mains, tremblantes, allèrent se placer sur ses hanches, et il soupira lentement, la respiration haletante.

« Jess’... Hum... Tu... Tu es terrible... »

Il soupira encore, et reprit :

« Mon sexe... Je... Je veux le sentir aussi entre... Entre tes seins, ma... Ma belle... »

Mais que faisait-il donc ? Était-il en train de totalement péter les plombs ?!

Oui, sûrement.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 35 jeudi 15 octobre 2015, 12:44:21

Du point de vue de Jessica, Eiki n'était absolument pas en train de péter les plombs, mais juste de commencer à se lâcher, peu à  peu. Le corps de nymphe de la jeune femme, ainsi que son attitude provoquante, faisaient de plus en plus effet, le Senseï n'hésitait maintenant plus à poser ses mains sur le corps de Jess', à sentir sa peau douce et chaude contre ses paumes et ses doigts. Il aurait, à ce stade, vraiment fallu qu'Eiki ne soit pas attiré par les femmes pour résister à l'attrait de ce cul que Jessica remuait, et frottait sensuellement contre l'érection de son Senseï.
Elle gloussa légèrement quand elle l'entendit dire qu'elle était terrible, puis juste après, il continua de se lâcher. Il venait d'exprimer un souhait, un désir, une envie qui le traversait et qu'il voulait qu'elle réalise.

Huuuuuum Eiki...

Elle frotta encore un peu son cul contre son sexe, puis elle se remit debout, et se retourna pour faire face à Eiki. Sentir sa verge dure remuer contre son boule l'avait aussi excitée, mais elle tenait là l'opportunité de faire encore descendre d'un cran les appréhensions d'Eiki quand à leur relation. Elle s'était d'ailleurs pour le moment décidée à ne l'appeler que par son prénom, et non plus par sa fonction, ce qui pouvait à tout moment lui rappeler que ce qu'ils faisaient était dangereux, et Jess' ne voulait pas qu'il s'échappe encore, pas alors qu'elle était presque à poil devant lui. Elle se pencha alors, posant ses mains sur les cuisses de l'homme, bras tendus, de façon à avoir son visage juste en face du sien.

Tu adores mes seins n'est-ce pas ? T'en fait pas mon beau...je vais glisser ta grosse queue entre, te masser avec, et te faire juter comme jamais tu l'a fait.

Elle s'approcha encore un peu, et lui glissa au creux de l'oreille:

Et ensuite je boirais ton sperme, car je suis une grosse gourmande...

Elle lui mordit rapidement le lobe de l'oreille, avant de se retirer rapidement pour se mettre à genoux, face à Eiki, entre ses jambes qu'elle écarta avec ses mains. Elle le teasait depuis tout à l'heure, et elle imaginait sans peine que le pauvre devait bander depuis au moins leur discussion online, autant dire qu'il davait avoir un mal de chien dans ce pantalon. Jessica défit sa ceinture, puis son pantalon qu'elle déboutonna, tirant aussi la fermeture éclair vers le bas, et d'un coup rapide mais précis retira le pantalon et le boxer de son prof dans la foulée. Elle vit sa verge se tendre enfin, pointant vers le haut, et ne put s'empêcher d'aller plaquer ses lèvres contre, puis de caresser ce bâton de chair tendue avec le bout de son nez.

Huuuuum...c'est une impression, où tu bandes encore plus fort que la dernière fois ?

Elle lui adressa un petit clin d'oeil, elle pensait sans doute avec raison que dans un environnement plus propice, et non pas dans une salle de classe, Eiki devait se sentir un peu plus en confiance, et ainsi se laisser aller plus aisément. Elle se redressa un peu, tout en prenant chacun de ses seins dans une de ses mains, et elle approcha doucement le creux de sa poitrine du sexe de son Senseï. La jeune femme lui laissait un peu savourer ce moment d'approche, qu'il sente peu à peu la chaleur corporelle de Jessica s'approcher de son sexe, avant de finalement bien câler sa bite entre ses deux seins. Elle les pressa alors, les serra l'un contre l'autre afin de former un étau emprisonnant le sexe tendu d'Eiki, qui disparût presque complètement entre ses seins, seul le gland se trouvant encore à l'air libre.

On s'y sens bien, tout au chaud hum ?

Elle souriait, Jessica s'amusait à voir le visage d'Eiki, et même son corps entier, se crisper sous ses doigts, d'autant qu'elle se mit à remuer, allant de bas en haut tout en serrant bien ses seins contre le sexe d'Eiki. Elle était en train de le branler avec sa poitrine, et tira sa langue pour laisser un peu de sa salive glisser entre ses seins afin de lubrifier un peu, et facilier le glissement de sa verge.

Là...huuuuuum...elle est tellement dure ta grosse queue Eiki...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 36 jeudi 15 octobre 2015, 18:53:09

Il peinait à y croire. Cette femme était terrible, une véritable perverse, un fantasme pour n’importe quel homme ! Loin d’être une jeune innocente, elle employait sans aucun problème des mots sales et injurieux, lui balançait dans le creux de l’oreille de multiples images particulièrement salaces, qui le faisaient trembler sur place. Sa queue tendue en devenait douloureuse, et il soupira lentement, peinant à parler, son regard oscillant entre son visage, sa poitrine... De manière générale, tout, chez cette femme, était magnifique, tout était nimbé d’une incroyable beauté sombre qui le faisait fantasmer. Que ce soit ses seins énorme sou le reste de sa silhouette, elle était magnifique. Il adorait ses belles joues, ses longs cheveux verts, sa peau chaude et soyeuse, ses longues jambes fuselées... Elle avait amené Eiki face à une véritable tornade de sexe et d’impatience, une tornade qui avait balayé toutes les résistances que l’homme aurait vainement pu formuler contre elle. Elle avait gagné, elle l’avait écrasé, car il avait été comme un deux se retrouvant face à un flush royal. Annoncé perdant dès le départ.

Elle se pencha alors vers son sexe, et il l’observa, sans rien dire, la respiration courte, puis sentit les mains de cette femme se poser sur son bassin, le faisant soupirer. Comme elle le remarqua, son sexe était effectivement douloureux, et bien tendu. Quand elle abaissa son pantalon et son boxer, elle put en avoir un aperçu, et Eiki se contenta de soupirer quand elle indiqua qu’il bandait bien. Lui, il avait toujours en tête la femme lui disant qu’elle comptait boire son sperme, soit le faire masturber jusqu’à le faire jouir, et il ne pouvait se sortir cette scène de sa tête. Elle frottait son nez contre son membre, ce qui fit qu’il pouvait sentir la respiration de sa femme, et, en hoquetant, son sexe se déplaça un peu, d’avant en arrière, et tapa contre le visage de cette femme.

« O-Oui, tu me rends dingue, Jessica... »

Notre homme n’avait effectivement jamais bandé auparavant dans le passé. C’était un membre bien raide qui se dressait en ce moment face à elle, l’invitant à venir le prendre en bouche, à venir le sucer et à jouer avec. Que pouvait-il faire pour s’y opposer ? Eiki était soumis à cette dernière, et il déglutit faiblement, la respiration courte, et le visage en sueur. Son membre était douloureux, dur, si dur... Une magnifique érection, et, sans attendre plus longtemps, en prenant visiblement conscience de son calvaire, Jessica alla approcher ses seins... Et les posa à gauche et à droite de son sexe, venant alors le masturber, amenant le corps d’Eiki à se tortiller faiblement sur son appui, ses mains se crispant sur l’accoudoir de son fauteuil, sa tête allant se redresser sous l’effet d’une onde de douleur et de plaisir qui lui traversa le corps.

Le brave professeur n’en menait pas large face à cette femme, cette femme qui inversait les rôles auxquels on pouvait légitimement s’attendre. Une terrible succube qui avait fait tomber toutes ses défenses, et qui vint donc frotter ses seins contre son membre, remuant lentement et efficacement dessus. Yeux clos pendant quelques secondes, Eiki se prélassait du son, de ce frottement des chairs, du glissement de ses seins, doux et chauds, contre sa tige de chair. Puis la curiosité l’emporta, et il abaissa la tête, observant son vit. Ce membre érectile se perdait entre les mamelons de cette femme, et, avec sa tête penchée vers son sexe, Eiki ne pouvait pas voir grand-chose, laissant ainsi la part belle aux sensations et aux frémissements. Il sentit alors la salive de la femme tomber sur le bout de sa trompe, et soupira.

« Haaa... Jessica... »

Tout ce qu’il pouvait faire, c’était soupirer son nom, tout en sentant son sexe continuer à se faire prendre. C’était doux, agréable, si bon, si bon... Un tel acte nécessitait une poitrine volumineuse, et c’était une chance que Jessica en ait une. Elle pouvait ainsi faciliter les glissements, et, si Eiki fermait les yeux, c’était pour mieux se visualiser la scène, pour mieux voir son membre se tortiller entre les seins de cette femme. Il ne fallait jamais sous-estimer le pouvoir de l’imagination humaine, et il voyait donc sa queue remuer, formant une tige qui s’aplatissait contre le corps de la femme, avec les seins qui remuaient, s’écrasant contre son sexe, avant de repartir, et de s’écraser à nouveau dessus. C’était une sensation exquise, tout simplement magnifique.

Évidemment, Eiki avait tellement patienté et tellement désiré ce moment qu’il ne put guère tenir longtemps... Et, au bout de quelques minutes de ce massage sexuel, son sexe finit par crocher son jus. Le sperme fusa, éclaboussant les seins de Jessica, mais aussi son visage, le sperme fusant à toute allure, tandis qu’Eiki soupirait, et jutait abondamment. Il pouvait sentir le sperme venir dans sa queue, par à-coups, et cette sensation, ah, cette sensation... Ça, c’était le vrai bonheur, ce moment unique, intense, où, enfin, le corps humain pouvait définitivement se relâcher, se vidant joyeusement.

Une vague de bonheur le traversa en jouissant contre elle... Et il en termina heureux, mais toujours autant excité.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 37 mercredi 09 novembre 2016, 17:39:19

On étais désormais loin, très loin du fiasco qu'avait été pour ainsi dire leur première fois. Maintenant, Eiki se lâchait, et le fait qu'il se trouve dans son propre appartement, dans un endroit sécurisé et où il avait ses repères, y était sans doute pour quelque chose. Jessica n'avait pas osée pour une première fois s'inviter directement chez lui, et puis, qu'ils baisent en plein dans le lycée, dans la salle de cours, avait fait partie de son fantasme de se taper un prof comme plan cul régulier. Mais avant tout ça, Eiki était surtout un homme avec peu d'expérience, et qui avait une petite amie...alors il était nécessaire au préalable de le mettre suffisament en confiance, ce à quoi Jessica s'attelait avec toute son expertise. La jeune Australienne était ainsi à genoux devant son prof, qui était lui même assis confortablement dans son fauteuil, et masturbait sa trique phénomènale à l'aide de son opulente poitrine, comme il lui avait demandé. Trahissant une certaine expérience dans cette pratique, Jess' était en train de le branler merveilleusement bien, en fourrant sa queue entre ses impressionnants seins, qui bien que massifs, étaient aussi fermes et bien ronds, absolument parfaits en somme.

Eiki se laissa donc bercer pendant un long moment, passif, tandis que Jessica jouissait presque de le voir enfin se laisser aller. Il était nu devant elle, assez bien barraqué, et avait une belle queue ce qui allait à l'encontre de pas mal de préjugés qu'elle avait entendu quand à la taille moyenne des sexes des hommes au Japon, et elle était pour le coup contente d'avoir à sa disposition une telle sucette. En temps normal, Jessica aurait déjà commencé à le sucer, mais elle se disait qu'un surplus d'initiatives de sa part n'allait que l'encourager à rester passif, même si le fait qu'il aie clairement formulé sa demande était un signe encourageant. De fait, la jeune femme se tenait, pour le moment, strictement aux instructions de son prof à la fois pour l'encourager à prendre des initiatives, mais aussi pour lui montrer qu'elle allait le suivre dans ses fantasmes, la sulfureuse Australienne n'ayant pas peur de grand chose...
Elle massa donc amoureusement sa queue entre ses seins, qu'elle avait lubrifiée à l'aide d'un filet de sa propre salive pour faciliter le coulissement, et sourit quand au bout de quelques minutes, Eiki commença doucement à se tortiller, signe d'un orgasme imminent.

Oh oui Senseï, vous allez jouir hein ? Je suis prête, donnez moi votre sperme, votre délicieuse crème chaude, jutez sur moi...ouiiiiiii...

La jeune femme accéléra le mouvement de va et viens qu'elle faisait subir à l'homme, jusqu'à ce que ce dernier finisse par se décharger. Frustré et excité comme jamais, son Senseï le gratifia d'une belle couche de semence qu'il cracha entre ses seins, mais aussi plusieurs filets qui jaillirent jusqu'à son visage tant son orgasme était intense. Jessica avait même ouvert grand la bouche dans l'espoir d'atrapper au vol quelques filets de sperme, et elle en reçu effectivement dans sa bouche, et sur la commisure de ses lèvres, en plus d'avoir son menton et son cou aussi bien couverts de sperme. Ni une ni deux, Jessica avala le sperme qu'elle avait en bouche, tout en continuant d'encore un peu malaxer le sexe d'Eiki entre ses seins, pour traire les dernières gouttes de son sperme. Elle se rendit compte alors qu'il avait les yeux fermés.

Hey ouvre les yeux un peu ! C'est bien beau de laisser l'imagination faire le travail, mais tu va louper le reste du spectacle...

Et quel spectacle ! Jess' se retira un peu tout en restant agenouillée face à lui. Ainsi, on pouvait voir un filet de sperme couler depuis le creux de ses seins, mais l'Australienne amena les doigts d'une de ses mains pour en arrêter la course à hauteur de son nombril, et remonta ses doigts en frottant sa peau de façon à recceuillir le liquide visqueux encore chaud. Puis, tout en lui lançant un regard de braise et un petit sourire en coin, lui donnant un air de nymphomane, elle porta ses doigts à ses lèvres, et les suça audiblement pour avaler directement ce sperme.

Hmmmm...j'aime autant te prévenir tout de suite, j'adore le sperme, je pourrais m'en faire des goûters. Mon petit péché mignon, quand je trouve des mecs chauds pour le faire, c'est d'agrémenter certains de mes plats avec ça.

Tout en lui disant ça, pour l'exciter, parce qu'elle devinait que ça devait être le genre de trucs un peu "kinky" qu'il devait adorer, Jessica continua de se nettoyer, et au final après quelques passages sur son cou et son menton, elle s'était à peu près débarrassée du sperme qu'elle avait sur la peau, préférant l'avaler plutôt que de le laisser se perdre. Elle se mordilla la lèvre inférieure, envisageant durant un instant la suite des événements, puis elle se redressa d'une traite et se retourna, avant de courber légèrement son postérieur, pour le mettre juste en face du visage d'Eiki. La jeune femme portait encore un court short marron ainsi qu'un string noir en dessous, mais il en faudrait bien peu pour les lui retirer.

Et ça, qu'est-ce que t'en penses hum ? Tu as dit beaucoup de bien de mes seins, mais mon cul est aussi avare de compliments...et pas que de ça.

Remuant légèrement ses fesses de gauche à droite, la jeune femme le chauffait pour tenter de progressivement le sortir de sa timidité, et qu'il laisse parler ses pulsions.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 38 mercredi 09 novembre 2016, 19:59:38

Il était comme une chenille dans sa chrysalide, tapant contre les bords, afin d’en sortir pour se transformer en un beau papillon. Eiji était d’un naturel assez réservé, ce que Jessica avait rapidement vu. Sexuellement frustré, le professeur peinait à comprendre encore toute la chance qu’il avait. Il se trouvait donc là, avec elle, dans son appartement, et elle masturbait son sexe entre ses opulents seins. Le professeur essayait de la regarder autant que possible, mais en vint à fermer les yeux également. Le spectacle était... Insoutenable. L’homme n’arrivait tout simplement pas à détacher son regard. Il voyait sa queue glisser entre ses seins, filant d’avant en arrière, et fermait les yeux pour se visualiser la scène depuis un autre point de vue. Une branlette espagnole, c’était clairement son fantasme, et, pour ça, ça nécessitait des seins opulents. Fort heureusement, Jessica était très bien équipé, et s’évertuait à le faire plaisir, encore, encore et encore... Elle sentit ainsi l’homme approcher de l’orgasme. Eiji respirait bruyamment, crispant ses mains sur les accoudoirs de son fauteuil, poussant de longs soupirs... Jusqu’à finir par s’abandonner.

Son éjaculation vint très vite, signe de son état d’excitation particulièrement intense... Mais aussi de son inexpérience en la matière. Comment se retenir, face à une telle beauté ? Jessica était aussi belle que sensuelle, aussi perverse qu’excitante. Si Eiji l’avait connu au bout de quelques années, il aurait probablement ressenti du dégoût envers cette femme si impudique, un dégoût qui n’aurait fait que trahir sa jalousie et son envie. Mais là, Eiji n’était pas encore totalement corrompu par sa frustration, par ses fantasmes brisés, et était donc particulièrement heureux de coucher avec elle, et de pouvoir donner libre expression à tous ses désirs.

« Je... Jess’... !! »

Il éjacula donc en fermant les yeux, car Eiji sentit une décharge fulgurante le traverser. Tout son corps se tressauta sur place, tandis que son foutre continuait à fuser de sa queue, éclaboussant les seins de Jessica, débordant rapidement pour éclater sur sa nuque et sur son torse. Eiji se crispa sur les accoudoirs, tout en soupirant à nouveau, de la sueur coulant de ses joues, et se relâcha progressivement. Ah, quel orgasme ! Il avait joui avec force, avec une puissance incroyable, et se relâchait petit à petit, la respiration lourde et haletante...

...Jusqu’à ce que Jessica ne lui ordonne de rouvrir les yeux. Eiji obtempéra donc, et sentit sa gorge s’assécher. Le visage et le corps caramel de la femme était tacheté, ici et là, de traces blanches, et il entendait Jessica parler. Obscène, elle était d’une vulgarité exceptionnelle, et, quand elle lui glissa vouloir des « goûters » au sperme, il s’imagina lui confectionner des gâteaux, et jouir dessus, puis la voyait les manger... Ce qui le conduisit à sentir sa queue se redresser. Sa bouche s’entrouvrit, mais il n’arrivait plus à parler, et finit par déglutir, tout en la voyant avaler son sperme, tranquillement, nettoyant son ventre, ses seins, sa nuque, glissant ses doigts pour avaler goulûment ce foutre... Son sperme.

Il soupira lentement, réussissant à se redresser un peu en la voyant se relever, toute propre.

« Je... Jessica... »

D’intenses émotions remontaient en lui. Sa fiancée avait totalement disparu de son esprit, et il ne pensait qu’à Jessica, ne voyait que Jessica... La lycéenne et son corps parfait, sa magnifique chevelure verte, son corps musclé et élégant, ses seins énormes, ses hanches solides... Elle se retourna alors, et lui présenta ses fesses, en se courbant vers l’avant, les bombant ainsi vers l’arrière. Eiji se sentit rougir, ses joues lui donnant chaud, et se racla la gorge.

« Haaaa... »

Relevant les mains, il caressa alors les hanches de la femme, ses pouces appuyant sur sa minijupe, et il tira alors sur cette dernière, l’abaissant, relevant ses belles fesses sombres, avec un fin morceau de dentelle noir le long de sa croupe. Eiji déglutit encore, et déposa un premier baiser sur la fesse gauche de la femme, puis un autre sur la droite, et ce presque de manière religieuse.

« Tu... Tes fesses sont parfaites, Jessica... Vraiment parfaites. »

Le pauvre en avait de nouveau mal à hauteur de son sexe, qui l’élançait douloureusement, et soupira encore, puis posa chacune de ses mains sur ces deux masses de chair. Eiji adorait les poitrines, mais... Comment dire non à un tel cul ?

« Je... Je t’aime, Jessica... Je viens de jouir si fort en toi, et... J’ai... J’ai encore tellement envie de ton corps, ma chérie... Oh oui, j’adore ton cul ! »

Et il déposa alors plusieurs séries de baisers, avant d’appuyer ses mains dessus. Toujours assis,  il massait ce délicieux cul, remuant ses mains, s’imprégnant de cette chair, glissant petit à petit ses pouces près de sa croupe, ses ongles sentant son string, appuyant dessus...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 39 lundi 16 janvier 2017, 19:28:54

Jessica était vraiment contente, on y était, Eiki se lâchait vraiment. Loin de ce coup foireux qu'ils avaient tenté dans la salle de classe plus tôt dans la journée, Jess' était maintenant certaine qu'elle allait enfin se faire bourrer pour son prof, et elle en mouillait d'avance, car c'était un fantasme de longue date qui se réalisait enfin, et surtout avec un prof qui lui plaisait vraiment physiquement. Quand elle se tourna pour lui présenter ses fesses, Eiki les honora pleinement. Jessica perdit son short au passage, qu'Eiki retira pour avoir un plein accès à son cul.
Presque intégralement nue, la jeune femme ne portait plus qu'un très fin string noir, et elle bombait son cul, se courbant légèrement, pour l'offrir à son prof qui ne tarda pas à se perdre dans ses monts de chair ferme et chaude qu'elle lui tendait. Il les palpa, les embrassa, et d'une manière moins maladroite qu'elle ne l'aurait cru, ce qui était le signe qu'il se laissait moins diriger par son stress et d'avantage par son plaisir. A bien y réfléchir, c'était comme ça que Jess' aurait du appréhender la chose. Là, dans son appartement, Eiki se trouvait dans sa zone de confort, où personne ne risquait de les surprendre. C'était certes classique, vu que Jess' avait vraiment pour fantasme de se taper son prof, et que se faire baiser en salle de classe en faisait partie, mais dans son engouement elle avait mal jaugée le stress dont ferait preuve l'homme, pourtant plus âgé qu'elle, mais bien, bien moins expérimenté.
Elle était toutefois confiante dans le fait qu'un de ces jours, elle pourrait le sucer sous son bureau, qu'il la prendrait contre le tableau, et lui donnerait volontairement des heures de colle pour la baiser encore et encore, dans son uniforme de lycéenne. L'imagination de Jess' était clairement en train de s'emballer, maintenant qu'Eiki était en train d'embrasser et de caresser ses belles fesses rebondies, stimulant d'avantage la plaisir de la jeune femme qui commençait sérieusement à mouiller.

Han oui...ouais c'est bien...là HUUUUUUUUM ouiiiiiii...

Jessica ondulait légèrement son bassin sous l'effet d'un plaisir ardent, le fait d'être quasiment nue n'y était pas anodin, mais surtout sentir enfin son prof s'abandonner à elle était jouissif. De plus, elle venait de passer un certain temps à le préparer, à le chauffer, avant de lui accorder une délicate et excellente branlette espagnole. Pour la jeune femme, tout ça avait été aussi un intense teasing, car elle s'était exclusivement concentrée sur le plaisir d'Eiki, mais son propre corps lui aussi commençait à demander bien d'avantage.

*Jvais plus tenir longtemps moi...*

Jess' faisait clairement un sacré effort pour laisser à Eiki le temps de se mettre à ses aises, de s'approprier son corps...mais bordel, qu'est-ce qu'elle avait envie de le sentir en elle maintenant ! Elle pouvait voir, en tournant légèrement la tête, qu'il continuait à bander bien dûr. Et elle, elle sentait sa propre température monter, Dieu qu'elle avait chaud !

E...Eiki...Haaaaaa...

Elle n'en pouvait vraiment plus...

S'il te plait j'ai...j'ai tellement envie de te sentir en moi...pas comme...huuuuum...pas comme dans la salle de classe je...je veux que tu me prennes. Sur la table, contre le mur, au sol, dans la position que tu veux je m'en fous...mais retire moi ce string et prends moi...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 40 lundi 16 janvier 2017, 23:08:35

Pensait-il sincèrement pouvoir lutter contre elle ? Dès le début, Eiki avait été donné perdant. Dès le début, il était appelé à succomber face à cette succube. Elle l’avait ensorcelée en jouant avec sa frustration, elle avait frappé là où ça faisait mal, et, maintenant, Eiki lui appartenait. Certes, il était fiancé, mais cet élément n’entrait maintenant plus en ligne de compte. Seule sa frustration l’avait guidé. Pourtant, quand il avait joui, la frustration était partie... Mais pas son désir. Eiki était ce genre d’homme qui, ayant toujours refoulé ses pulsions, avait laissé ces dernières croître en lui, enflant progressivement, jusqu’à exploser... Et là, ce désir l’avait totalement submergé, de telle sorte qu’il se laissait porter par ce dernier, totalement. Et ce désir, en ce moment, ne portait qu’un seul nom : Jessica.

C’était elle qui, face à lui, le narguait. Ne portant plus qu’un mince string noir, elle se dandinait sous son nez, et il embrassait tendrement ses belles fesses, les léchant et les malaxant.

« Hmmmm... Haaaa... »

Elle avait un cul ferme, tendre et doux, agréable et chaud. Il s’absorbait dessus, découvrant une joie cachée dont il n’aurait jamais pu soupçonner l’intensité et la force. Oh, que ça faisait du bien ! Son corps tout entier vibrait de plaisir, et sa queue l’élançait furieusement et douloureusement. Cependant, tout absorbé qu’il était dans la contemplation de ce fessier, il n’en prenait pas vraiment conscience, jusqu’à ce que la jeune femme ne lui ordonne d’agir. Ces quelques mots furent suffisants, provoquant comme un déclic dans le corps d’Eiki, qui sembla alors réaliser à quel point Jessica avait envie de lui.

Le jeune professeur ne sut pas quoi en dire, car il ne s’attendait tout simplement pas à pouvoir l’exciter à ce point. Cette constatation s’imposa en lui, et débloqua quelque chose. La lueur surprise dans ses yeux se mua en une certaine forme d’assurance, et il hocha alors la tête.

« Jessica... » glissa-t-il alors, comme un murmure.

L’homme se redressa alors, et la plaqua contre le mur proche, le ventre de Jessica s’aplatissant dessus, ses lourds seins heurtant la paroi, tandis que de sa main libre, il tirait sur son string. Il voulait juste le retirer, mais l’homme était tellement excité qu’il ne contrôlait plus sa force, ce qu’il fit qu’il déchira le string en tirant dessus d’un coup sec.

« Jessica, Jessica... » répéta-t-il encore, avec la voix d’un dévot devant son idole.

Eiki avait l’impression de fonctionner en pilote automatique, comme un homme nageant dans un rêve éveillé. Il posa sa main sur sa verge, la comprimant, étouffant un soupir en sentant une vague de plaisir le traverser, puis orienta ensuite son membre, et l’enfonça dans la chatte de la femme, la prenant par l’arrière, et étouffa un soupir, avant de poser une main sur l’un de ses seins, l’autre s’appuyant sur sa cuisse. Eiki grogna alors, en sueur, et commença à lui donner des coups de reins, la butinant par l’arrière,  pinçant son téton, tout en allant nicher sa bouche dans le creux de son cou.

Comme Eiki avait joui auparavant, il étai un peu plus maître de lui-même.

« Tu-Tu aimes, Je-Jessica ? Haaaa... Je... Dis-le moi, haaaa... Hurle que tu aimes que... Que je-je te baise, que... Que j’y aille p-plus fort, haaaaa... »

Dieu, Dieu, comme c’était étroit ! Sa queue lui donnait l’impression d’être perpétuellement repoussée par les chairs intimes de la femme, le contraignant à bander les muscles, et à insister. C’était un véritable acte de violence, et, fort heureusement, il sentait toute la mouille de la jeune femme, qui permettait à son membre de glisser plus facilement en elle. Mais, au-delà des doutes, de la douleur, ou de l’effort physique consenti, Eiki ne pouvait reconnaître qu’une chose...

...C’était terriblement bon !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 41 mardi 17 janvier 2017, 18:49:31

Jessica se trouvait être elle aussi, en ce moment, en proie à un désir et à une frustration à laquelle elle était peu habituée. Leur première tentative dans la salle de classe avait été un fiasco, et un véritable ascenceur émotionnel pour la jeune lycéenne. Elle était passée en une journée à peine d'un état de grande excitation, à celui d'une frustration intense, pour à nouveau présentement être encore plus excitée. Il était après tout rare que ses parties de jambes en l'air soient un tel flop, mais elle avait mal évalué la situation et le reconnaissait volontiers...ce qui n'enlevait rien au fait que, du coup, Jess' avait maintenant une furieuse envie de se faire baiser.

La jeune Australienne admettait volontiers son côté un peu salope sur les bords, et elle l'assumait même. Elle aimait le sexe, en avait une vision très libérée, mais pour autant ne faisait jamais des coups de pute et demeurait toujours très droite dans ses relations, ou plutôt ses plans cul, avec qui les baises comme les fins de relations s'étaient toujours bien passées. Elle ne savait concrètement pas combien de temps son idylle avec son professeur allait durer, probablement quelques semaines, voire quelques mois si les choses se goupillaient bien. Mais Jess' ne se faisait vraiment pas d'illusions, vis à vis de son prof, certes pas tellement plus âgé qu'elle, mais qui avait une situation et une fiancée. Elle avait donc mis les choses au clair dès le départ: Eiki et elle arrêteraient leur relation dès que le professeur estimerait qu'il le faudrait, leur relation devrait rester secrète également, et Jessica s'était engagée à ne faire aucune vague.
Et la récompense de la jeune femme, pour avoir été aussi patiente et prompte aux compromis, était là, présente, avec Eiki qui se laissait aller en étant en admiration devant son cul. Les suppliques de la jeune femme, qui lui demanda de venir la satisfaire, ne tombèrent toutefois pas dans l'oreille d'un sourd, et Eiki, pour le plus grand plaisir de Jess', se décida "enfin" à passer vraiment à la vitesse supérieure. Il se redressa, restant dans son dos, puis la plaqua doucement contre un mur proche, mais en se collant néanmoins à elle.

Haaaaan...Oh my God...

Voilà...c'était ça qu'elle voulait ! Qu'il se laisse aller, qu'il vienne la prendre. Elle sentait son corps presser contre le sien et son souffle rauque dans son cou, alors qu'il la plaquait délicieusement contre le mur en se collant bien contre elle. Cette fusion des corps, tout en étant parfaitement coincée, c'était un truc que Jessica aimait tout particulièrement sans pour autant se l'expliquer.
Elle était tellement excitée, tellement impatiente de le sentir se fourrer en elle, qu'elle ne lui tint même pas rigueur de la perte de son string, dont il déchira une des lannières élastiques en essayant de le retirer un peu sèchement. La sensation de le sentir aligner sa queue avec sa chatte, c'était en soit suffisant pour qu'il se fasse pardonner. Et quand enfin, il la pénétra, la jeune femme laissa échapper un long gémissement de plaisir.

Haaaaaaaaa...Oh Shit yes...fuck me !

Sous l'effet de l'excitation elle se laissait aller à parler en anglais au lieu du japonais, mais c'était un langage tellement basique qu'elle utilisait, et surtout très populaire dans le porno qu'il avait sans doute déjà du regarder. Son prof commença alors à remuer, donnant des coups de reins qui la maintenaient contre le mur. Jessica avait ses mains posées justement sur ce mur, à hauteur de son visage, pour amortir l'effet de poussée, Eiki lui malaxait l'un de ses seins et caressait l'une de ses cuisses...et pour le dire clairement, Jessica était aux anges.

Oh ouais...Ouais je...Huuuuuuum...j'adoooooore...ta queue...ta...ta grosse queue en moi...Oh Yes...

Jessica était excitée par le moindre détail de cette situation. Le corps de son prof qui la plaquait contre le mur, leur chaleur corporelle qui se mêlait à cette chaude nuit d'été qui les faisait tous les deux transpirer, sa queue qui se faufilait dans sa chatte certes étroite, mais bien humidifiée par sa mouille qui coulait doucement le long de ses cuisses, la façon dont il grognait dans son cou...han bordel, qu'est-ce qu'elle avait pu fantasmer ce moment !

Baise moi...Baise moi...

Elle fini par amener l'une de ses mains pour la poser contre le fessier musclé d'Eiki, afin de lui donner une petite claque.

Je veux qu'on...qu'on baise comme des animaux Eiki...alors...Huuuuuun...p-plaque moi contre ce mur et...et BAISE MOI !!!!!

Frustrée de son expérience précédente, la jeune femme n'entendait pas cette fois laisser son prof s'en tirer aussi facilement...et elle comptait bien faire travailler son endurance, car elle n'avait qu'un souhait pour cette nuit: qu'il baisent comme des sauvages, comme des lapins.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 42 mardi 17 janvier 2017, 21:45:03

Eiki se pinçait les lèvres, furieusement excité. Sa main se pressait sur les seins de la femme, et... Et mon Dieu, que c’était bon ! Ah, ça, Eiki n’aurait jamais cru qu’un tel plaisir puisse exister ! Il avait déjà pénétré cette femme, mais son premier coup avait été un faux départ, tant il était nerveux et excité. Là, le professeur était beaucoup plus maître de ses propres émotions, de ses réactions et de son corps. Il était excité, bien sûr, et même furieusement excité, à vrai dire. Cette femme était belle, tellement belle, chaude, sensuelle, forte, avec un corps doux, généreux, et ample. Yeux clos, Eiki serrait les lèvres, repartant en arrière, puis encore en avant. Ah, sa queue était à l’endroit, mais... Peu à peu, elle se frayait un chemin, se contorsionnait dedans, bien au chaud, coulissant dans son corps.

« Hmmmm... »

Le professeur embrassa le cou de la femme, et sentit soudain cette dernière gifler ses fesses, provoquant une claque qui, sans lui faire mal, provoqua une étrange stimulation à hauteur de sa queue. Il sentit une vibration le traverser, et recommença à la prendre, plus férocement, galvanisé par ce qu’elle lui disait, par les propos salaces qu’elle poussait. L’homme pinça son téton, et continua à la prendre, serrant ses doigts contre sa chair, puisqu’il avait posé sa main sur le haut de sa jambe, contre sa cuisses.

Il lécha son cou, humant son odeur, se délectant de ses soupirs, le corps de la femme filant en avant, avant de repartir en arrière, sa chair claquant contre la sienne.

« O-Oui, hmmm... Encore... In-Insulte toi encore, Jessica... Vas-y... Vas-y, sois... Sois ma SALOPE, haaa... ! »

Plus rien ne le retenait. Le calme et doux professeur libérait cet homme sauvage, ce mâle primitif, qu’il avait enterré sous des tonnes de couches et de murs. Baiser comme des animaux... Baiser sans se retenir, oublier ce qu’on était, s’aliéner totalement dans le sexe... Ah, cette force incroyable, cette énergie renversante ! Eiki embrassa encore son cou, et multiplia les coups de reins. La douleur à hauteur de sa queue le stimulait férocement, et il n’eut besoin que de quelques mots pour effacer les barrières de sa conscience, l’insultant copieusement :

« Pétasse... ! Sa-Salope... ! Hmmm... Pu-Pute !! Haaaa... Sale traî-traînée !! »

Eiki haletait profondément, la queue tendue, endolorie, durcie. Il avait le sentiment d’avoir un vit énorme, totalement disproportionné, qui labourait sans relâche la femme. Une énergie incroyable le traversait, s’emparant de son être, et il continuait à la labourer, joyeusement, lourdement, serrant les lèvres, tout son esprit n’étant plus focalisé que sur une seule chose : la bourrer. Encore et encore !

C’était là tout le sens de cette démarche, et l’orgasme, de son côté, s’approchait rapidement. Grognant et gémissant longuement, Eiki sentit le plaisir croître, et, dans un ultime soupir, jouit une nouvelle fois, venant remplir le corps de la femme, tout en s’aplatissant contre elle et en bandant tous ses muscles, la serrant contre le mur.

« Oh, Jessica, Jessica... »

Dire que ça faisait du bien, en l’état actuel des choses, relevait d’une évidence.

Eiki était en sueur, mais ne s’était jamais senti aussi heureux !
« Modifié: mardi 02 octobre 2018, 11:43:57 par Princesse Alice Korvander »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 43 mardi 02 octobre 2018, 12:43:48

La demande de Jessica ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd, et pour le plus grand plaisir de cette dernière...Eiki commença enfin à se lâcher sur elle. Le professeur raffermit sa prise sur le corps de sa jeune étudiante, la plaquant plus fermement contre le mur, et entreprit de généreusement lui bourrer la chatte avec sa grosse queue tendue, le tout en se mettant à l'insulter.

HAAAAA !!! Hnnnnnn o-ouiiiiii !!!!! Han putain OUIIIII !!!! HAAAAAAAAN !!!!

Oh oui, enfin ! Plus tôt dans la journée, sa tentative d'approcher son prof' s'était soldée par un échec cuisant, mais là, maintenant, ils étaient "enfin" en train de baiser comme elle avait pu le fantasmer. Eiki lui était directement apparu comme un homme plein de fantasmes, et de frustrations, une longue, très longue liste de frustrations du fait qu'il ne s'était encore jamais plongé dans le corps d'une femme, et qu'il était peu à peu en train de relâcher sur Jess'. Elle de son côté réalisait finalement son fantasme de coucher avec l'un de ses profs, et même plus, qu'il la baise. Le bon vieux concept de 'lécolière se faisant fesser par son prof avant de se faire baiser sur le bureau ? Ce genre de truc lui parlait carrément, et sans nul doute qu'elle finirait par le proposer à Eiki, ça et tant d'autres choses...mais pour l'instant, ils allaient surtout baiser comme des bêtes. Jessica était obligée même de maintenir ses mains contre le mur pour éviter qu'elle ne tape trop fort contre, du fait des mouvements rapides et appuyés du bassin d'Eiki, qui la bourrait sans ménagement.
Oh ! Oh comme elle pouvait adorer ça ! Cette sensation d'être prisonnière ainsi, plaquée bien fermement contre le mur, avec son prof qui la prenait par derrière en la traitant de pute, de salope. Rapidement, Eiki se soulagea en elle, et Jess sentit une vague très subite de plaisir la parcourir alors que son prof relâchait de belles quantités de sperme chaud, qui tapissèrent les parois internes de son vagin. Concrètement, la jeune femme eût un orgasme presque en même temps qu'Eiki, qui se lova dans son dos peu après, terminant de se vider en elle.

Haaaaa...Han Senseï...

Jessica avait très chaud, mais elle n'était nullement rassasiée...oh non, pas après le coup foireux au lycée, où elle avait bien cru que toute chance d'entretenir une relation avec son prof s'était volatilisée. Là, clairement, Jessica avait soif de bite, et ne se contenterait pas de si peu. Elle de décolla alors du mur, tourna sur elle même pour faire face à Eiki, puis se lova contre lui. Glissant une de ses mains derrière la nuque de l'homme, elle l'approcha d'elle pour lui donner un baiser ardent, le tout en glissant son autre main jusqu'à sa queue pour la branler énergiquement. Jess' n'hésitait pas à montrer qu'elle voulait coucher, encore et encore, et au bout de quelques secondes à peine, la sulfureuse australienne se mit à genoux devant son prof.

Je me rends compte d'une chose...avec tout ça, je ne t'ai même pas encore sucé...

Elle l'avait déjà branlé, que ce soit avec ses mains ou ses seins, mais prendre sa queue dans sa petite bouche de salope ? C'en était même étonnant vu à quel point Jessica considérait la fellation comme une sorte d'incontournable, et elle avait bien l'intention de se rattraper, surtout que la bite d'Eiki demandait un petit coup de fouet pour redevenir dure. Toutefois, Eiki allait très vite se rendre compte que Jessica ne faisait pas les choses à moitié quand elle était excitée, trop gourmande, ou trop pressée pour commencer doucement...la jeune femme commença directement par une gorge profonde.

Ghhhhhh....

Jess' y allait sans aucune hésitation, trahissant une grande expérience dans le domaine, elle s'empala en cadence sur cette belle grosse queue.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : School Temptation [PV]

Réponse 44 mardi 02 octobre 2018, 18:27:17

Il se relâcha copieusement en elle, et se lova ensuite dans son dos, se frottant à elle... Amoureusement. Cet élan de tendresse le surprit au bout de quelques secondes. Eiki aurait bien aimé se dire qu’il ne venait à Jessica que pour le sexe, pour satisfaire une simple frustration sexuelle lancinante, et parce que cette fille était terriblement bonne... Mais réduire leur relation à ça, réduire ce qu’il ressentait, à une simple attraction physique, lui semblait... Injuste. Insuffisant, en tout cas. Il ressentait clairement quelque chose pour elle, une chose qui le surprenait, car il n’arrivait pas à se l’expliquer clairement. Mais sentir son corps contre lui, sa chaleur, et ce qu’il venait de faire... Eiki avait repoussé toutes les limites, et, loin de se sentir coupable, il avait au contraire envie d’une seule chose : y retourner encore. La baiser de nouveau, s’enfoncer en elle, , découvrir avec elle quantité de plaisirs infinis et exquis. Oui, Eiki se sentait très gourmand, mais... Qui ne l’aurait pas été à sa place ? Son sexe avait craché des monceaux de sperme, mais il allait en falloir plus pour mettre fin à son manque, à cette frustration qui croissait continuellement en lui.

Jessica avait fort heureusement une idée derrière la tête, et évoqua le fait de... De le sucer ! Eiki écarquilla les yeux, surpris, et ne put que balbutier, le souffle coupé :

« Oh... Je... Jessica... »

Il avait déjà senti la femme le masturber, que ce soit avec sa volumineuse poitrine, ou ses délicieux doigts, mais... Elle n,’avait encore jamais fait ça. Or, il s’agissait de l’un des fantasmes d’Eiki, qui s’en figea sur place. Jessica le déplaça ensuite, et il se retrouva alors assis sur le fauteuil situé dans son salon. Il déglutit sur place, avant de voir Jessica, magnifique nymphe à la peau basanée, s’agenouiller entre ses jambes écartées. Et, à l’idée de ce qui allait arriver, le sexe d’Eiki se mit à l’élancer de nouveau. Il serra les lèvres, sentant son sang remuer nerveusement dans sa poitrine, sa queue trempée et humide se redressant à l’approche de la bouche de Jessica.

« Jessica... » répéta-t-il encore, déglutissant sur place.

Le jeune professeur sentit le souffle de la femme sur son membre, et frémit encore... Puis elle le prit brusquement en bouche, optant d’emblée pour une gorge profonde. À ce contact, Eiki frémit sur place, fermant les yeux pendant quelques secondes, se mettant à saliver sur place. Il se tortilla doucement sur place, serrant ses doigts sur les accoudoirs du fauteuil. Une vague de plaisir commença à déferler en lui, et, les yeux hagards, il observa la jeune femme, qui entreprit de pomper plus énergiquement son dard.

Un plaisir immense commença ainsi à l’envahir, et il salivait en sachant très bien que ce plaisir-ci n’était que le début !


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