Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Lai-laissez moi... laissez moi tranquille ! (Amalia)

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Hitsumi Gotô

La séance de sport d'aujourd'hui fût affreusement éreintante ! Il s'agissait d'un quinze-cent mètres, ni tout à fait un sprint, ni tout à fait une course d'endurance, c'était une horreur. De retour dans les vestiaires, je m'écroulais littéralement sur l'un des bancs près de mon casier, haletante et épuisée. Haaa, je ne dirais pas non à une bonne douche bien chaude là, mais il y avait encore trop de monde de présent, je préférais attendre un peu qu'elles s'en aillent. Je traînais lentement, prenais mon temps, jouais de temps en temps sur mon téléphone, tandis que le vestiaire se vidait peu à peu... mais il restait toujours un groupe de 4 lycéenne qui papotait ensemble. Elles devaient probablement être d'une autre classe, je ne les ai jamais croisé ailleurs qu'en EPS. Je ne savaient même pas comment elles s'appelaient. Ce qui n'empêcha pas l'une d'elle de m'interpeller.

"Bah alors Hitsumi, tu ne compte pas prendre ta douche ?"

Deux de ses copines chuchotèrent, suffisamment fort pour être sûre d'être entendue.

"Faut croire que le parfum odeur sueur est revenue à la mode."
"Haha, trop degueu cette meuf !"

Je détournai les yeux et rougis vivement, décontenancée par leurs langues de vipère. Ne sachant trop comment leur répondre, je me contentais de bégayer faiblement.

"Euh, si... si, si... j'y allais justement..."

Je pris mes affaires, et m'éloignai rapidement des lycéennes, entrant pied nus dans l'espace des douches communes. Je m'apprêtais à me déshabiller, encore vêtue de ma tenue de sport, un petit short bleu un peu trop court et un t-shirt blanc un peu trop moulant, lorsque j'entendis des bruits de pas sur le carrelage. Les quatre filles m'avaient suivie... Je deglutis lentement. Peut-être étais-je juste paranoïaque, mais elles ne semblaient pas très amicales. Encore moins quand elles se séparèrent et se positionnèrent autour de moi.

"Oh ne t'en fais pas. On est juste venue te donner un coup de main et s'assurer que tu ressorte d'ici toute belle et toute propre."

Ses trois amies gloussèrent comme des hyènes fourbes. Non ce n'était pas de la paranoïa, quelque chose n'allait vraiment pas. Je devisageai celle qui s'adressait à moi, sans oser faire le moindre geste, tandis qu'un silence des plus pesant s'installait. Ça me mettait réellement mal à l'aise cette histoire... Je rétorquai, timidement.

"Que... que veux-tu ?"

La jeune fille se mit à rire, ce qui me rendait encore plus nerveuse. Qu'est ce qu'elles me voulaient ?! Je lançais de brefs coup d'oeil à ses copines, avant de reporter mon attention sur elle. Mon dieu, mon coeur battait tellement fort dans ma poitrine que je ne serai même pas étonnée de l'entendre raisonner dans toute la douche !

"Je te l'ai dit voyons... m'assurer que tu prenne bien ta douche !!"

Soudain, je sentis deux des lycéennes me prendre chacune un bras et m'immobiliser, ne me laissant pas l'occasion de me soustraire à leur étreinte.

"Qu..."

L'instant d'après je me retrouvai suspendue à un mètre du sol par les 4 membres, soulevée par la bande de pimbêches !

"Mais ! Mais lâchez-moi !"

J'avais beau me débattre, mes efforts restaient vains, et je restais fermement maintenue. Boostée par le stress de la situation, mon regard papillonnait à droite à gauche, paniquée, et mon coeur battait plus fort que jamais.

"Bon sang ! S'il vous plaît ! Laissez moi partir ! Je-je ne dirais rien à personne ! Je vous assure ! Lachez-moi !"

Tout ce que je parvins à avoir en retour fût des gloussements et des ricanements. Implorante, impuissante, je les laissais faire. Je n'avais pas vraiment le choix... Elles me jetèrent sans pitié sous la douche, malgré toute mes supplications, et m'arrosèrent abondamment, avec son jet d'eau et ceux des cabines voisines. Et quand j'avais le malheur de tenter de me lever, elles me jetaient au sol à violent coup de pieds !

Je me mordillais la lèvre pour ne pas pleurer, tandis qu'elle gloussaient et se moquaient. Préserver un minimum de fierté, c'était bien tout ce qu'il me restait...

Amalia

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Re : Lai-laissez moi... laissez moi tranquille ! (Amalia)

Réponse 1 dimanche 18 mai 2014, 18:58:37

Amalia commencait à apprécier le lycée, les gens étaient civilisés et surtout très gentil avec elle. Les conseils de Shani avaient effectivement portait ses fruits. Et, sa mission d'assouvir les fantasmes des jeunes filles se passaient plutôt bien. Il y avait vraiment deux types de filles, les affirmées qui prenaient Amalia pour leur salope. Amalia, n'était pas gêné par ça, car elle avait besoin de l'énergie d'une passion sexuelle pour survivre et si la personne la traiter comme une salope et bien disons qu'elle n'hésiter pas à puiser plus que nécessaire dans cette énergie afin de laisser la personne dans un état comateux pendant une semaine. La personne en question revenait alors vers Amalia de façon soumise car dans son esprit c'était la meilleure nuit qu'elle avait passé et en redemandé et elle était donc obligée de se plier aux obligations d'Amalia.

Le deuxième type de fille était la fille soumise qui avait du mal à s'ouvrir. Et là, au contraire, Amalia essayait de la dévergonder pour qu'elle puisse prendre confiance en elle et s'ouvrir aux autres. Bien sur, elle ne les obligeait pas à s'intéresser à elle mais peu de personnes étaient capables de résister au charme d'une succube. Surtout, quand la succube était affamée.

Amalia pénétra donc dans les douches car la fin de la journée commençait à poindre et que les douches servaient aussi pour les locataires du lycée et pas seulement pour les cours de sport. Elle entendait des bruits, des esclaffements mesquins. Elle ne savait pas vraiment ce qui se passait mais une chose était sur, c'était que les personnes à qui appartenait ses bruits jubilaient d'excitation, de perversion. Elle s'approcha de ce bruit, pas parce qu'elle était curieuse de nature mais plutôt que les douches se trouvaient là.
Amalia était habillée classiquement de la tenue écolière que l'école obliger de porter.

Au détour des casiers qui permettaient de ranger ses vêtements, elle aperçue quatre élèves en train de rire de quelque chose. Elle reconnut vaguement la meneuse, elle n'avait pas vraiment retenue son nom mais elle appartenait clairement à la première catégorie de fille de ce lycée. D'ailleurs, Amalia et elle avait eut une relation sexuelle, il y a quelques temps déjà.

Amalia aurait probablement commençait à se déshabiller et à prendre une serviette dans le casier lui appartenant si un détail ne l'avait pas retenue. Une jeune fille probablement moins âgée qu'elle était étendue par terre se faisant arrosée par les quatre autres et se prenant même des couds de pied.
La jeune fille avait ds traits fins et son corps d'adolescente commençait à laisser apparaître des traces de féminités plus affirmées. En effet, des courbes transparaissait dans son t-shirt mouillée. Amalia en la regardant ressentit un petit frisson d'excitation. Ce petit frisson survenait quand elle voyait une femme qui lui satisfaisait assez physiquement parlant. En somme, elle ressentait de l'attirance sexuelle pour cette jeune femme. Peut être était-ce dût que cette jeune femme était classé dans la seconde catégorie ou peut être juste qu'elle était mignonne? Il est difficile d'interpréter les motivations d'une succube.

Quoi qu'il en soit, Amalia ressentit le besoin d'agir et elle savait comment s'y prendre. Elle s'approcha du groupe et leur dit:

-Ma petite chérie, tu devrais arrêter ça de suite si tu veux que l'on se revoie un de ces quatre.

Le groupe se retourna pour voir d'où provenait la voix et la leadeuse commença à dire:

-Dégage de là, si tu veux pas avoir de probl...

Puis, la leadeuse apperçue Amalia et changea de voix se faisant plus douce. Amalia pouvait voir du désir dans ses yeux. Une nuit passée avec une succube pouvait altérer la personnalité d'une personne par bien des manières.

- C'est toi, Amalia? Oui, on.... on va y aller pas vrai les filles? On veut pas de problème, on s'en va....

- Qu'est-ce que tu racontes? répondit une des filles.

-On y va! De toutes manières cette petite pute ne mérite pas qu'on s'intéresse à elle!

Puis, la leadeuse partit suivit des ces trois compères. les Subordonnées se posaient toujours des questions mais n'osaient pas répliquer et partirent.

Une fois les quatre filles partit, Amalia regarda la fille par terre. On aurait dit qu'elle se retenait de pleurer, elle avait du mal contrôler ses gestes. Amalia ne comprenait pas vraiment ce qui poussait les humains à être aussi mesquin entre eux. Toutefois, la fille par terre aurait besoin de réconfort. Aussi, Amalia s'accroupit pour caresser les cheveux de la fille, un geste maternelle devrait l'apaiser.

-Tout va bien? Je m'appelle Amalia et toi? Tu devrais te relever. Elles ne t'embêterons plus. Je te le promets. Tu peux finir tadouche calmement mais tu devrais enlever tes habits d'abord. Moi aussi, je ferais mieux de les retirer... Bon, voilà ce que je te propose tu me frottes le dos et je veille a ce qu'elles ne t'embête plus, d'accord?

Amalia n'était pas une sainte et se demander si elle pourrait parvenir la belle jeune fille bonde à la sexualité entre fille mais chaque chose en son temps.

Hitsumi Gotô

Re : Lai-laissez moi... laissez moi tranquille ! (Amalia)

Réponse 2 lundi 19 mai 2014, 16:02:11

Alors qu'elles gloussaient de satisfaction, amusée, je me trouvais à leur merci. Victime de leurs vacheries, la lâcheté de se mettre à 4 contre moi ne semblait pas les gêner outre mesure. Il n'y avait guère que dans les fictions que de telles injustices étaient combattues, et je ne me faisais pas d'illusions, je n'avais aucun échappatoire à cette humiliation... du moins, c'était ce que je pensais.

"Ma petite chérie, tu devrais arrêter ça de suite si tu veux que l'on se revoie un de ces quatre."

Une voix s'éleva non loin de là. Et ma première impression fut un immense soulagement : je n'étais plus seule face à ces garces ! Je n'étais toutefois pas tirée d'affaire... Je relevais les yeux vers la nouvelle venue, mais ne la reconnaissait pas. Je pensais même ne l'avoir jamais croisé jusque là, je crois, par contre elle semblait très bien connaitre l'une de mes tortionnaire.

"Wooow..."

Un murmure d'admiration, tandis que je regardais la drôle de jeune fille, surprise. Elle était parvenue à lui faire ravaler sa fierté aussi facilement qu'en claquant des doigts ! J'étais à la limite d'avoir des étoiles pétiller dans les yeux, tandis que la cheftaine s'en allait, suivie par les trois autre qui grommelaient d'incompréhension. Mon attention se reporta sur ma sauveuse lorsqu'elle s'approcha de moi et me caressa les cheveux, un geste dont la douceur me fit presque fondre.

"Hum..euh, merci beaucoup..Amalia. Moi c'est..c'est Hitsumi.."

Je me relevais, du moins essayait, avant de sentir une douleur lancinante au niveau du bas de mon dos. Inspirant un coup, et m'appuyant sur le mur de la douche, je parvins finalement à me lever, toute trempée.

"Je..je crois que ça va, oui..ce n'est que de l'eau, heureusement... j'ai juste un peu mal au bas du dos... elles n'ont pas aimé que j'essaye de me relever, et m'ont poussée un peu trop violemment..."

Je la regardai avec une profonde gratitude dans les yeux. Personne n'avait été aussi gentille avec moi depuis... depuis... depuis tellement longtemps ! Toutefois, je fus un peu surprise par sa demande, et ne pus m'empêcher de rougir un peu en la considérant. J'étais assez pudique, et je ne m'étais jamais retrouvée nue en compagnie d'une autre fille... il n'y avait aucune honte à ça, enfin je crois, mais c'était tout de même un détail que je préférais garder pour moi. Et puis, elle avait proposé ça d'une manière tellement naturelle que je n'osais pas dire non. Et je serais bien ingrate de lui refuser de lui frotter le dos alors qu'elle venait de me sauver d'une situation délicate...

"Et bien..euh, oui, bien sûr.."

Je répondis timidement : je restais malgré tous assez gênée... Prenant mon courage à deux mains, je me dépêchais de m'exécuter, moins j'avais le temps d'y songer et plus ce serait facile. Je retirai rapidement mon tshirt, que l'eau avait rendue extrêmement moulant, en particulier autour des rondeurs de mon buste, puis dégrafai mon soutien-gorge, libérant ma poitrine sur laquelle ruisselait quelques gouttes d'eau. Je fis descendre mon mini-short le long de mes jambes, me penchant suffisamment pour que mes belles petites fesses rondes sont mise en valeur juste sous son nez, suivi ensuite de ma culotte elle aussi toute trempée. Mes joues, tout à l'heure légèrement rose, était maintenant carrément rouge, de me retrouver ainsi nue devant elle. Je tentais, assez maladroitement, de cacher mes parties intimes, une main devant mon entrejambe tandis que mon autre bras se tenait contre ma poitrine. Silencieuse, le regard fuyant, j'attendais qu'elle fasse de même elle aussi, pour pouvoir lui frotter le dos...


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