Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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You're not alone, honey...

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Hitsumi Gotô

You're not alone, honey...

vendredi 16 mai 2014, 18:49:18

"Driiiiiiiing !"

La sonnerie annonçant la fin des cours retentit, et dans un ultime effort, sachant qu'elle risquait de perdre d'une seconde à l'autre ce qu'il restait de l'attention de ses élèves, elle s'empressa d'ajouter.

"Oh, et avant de partir notez les devoirs pour la semaine prochaine !"

Elle tenta tant bien que mal de se faire entendre et d'enoncer les exercices à effectuer, mais sa voix ne parvenait pas à rivaliser avec le brouhaha général. J'essayais de me concentrer du mieux que je pouvais pour pouvoir distinguer ce qu'elle disait, mais c'était mission impossible, les élèves rangeaient bruyamment leurs affaires, raclaient les chaises sur le sol, papotaient avec leur voisin voire hurlaient à l'autre bout de la salle.

Je soupirais. "Bon et bien... tant pis." songeais-je. La salle de classe était déjà vide, à l'exception de quelques retardataires dont je faisais partie. Rangeant tranquillement mes affaires dans mon sac, je me dirigeais ensuite vers mon casier, récupérer de quoi pouvoir travailler ce soir. Je ne pu m'empêcher d'entendre non loin de moi la conversation entre deux lycéennes. Je ne les connaissait pas vraiment, mais elles semblaient se partager un secret...

"Hey, tu te souviens des travaux dans l'aile ouest du bâtiment ?"
"Ah, oui ! C'était une vraie ruine avant ! Je me souviens quand on s'amusait à l'explorer la nuit haha."
"Il paraît que c'est un nouveau club qui a acquis toute l'aile pour lui tout seul !"
"Woaha ! Ça doit être un club sacrément riche !"
"Yep... et je me demande pourquoi ils auraient besoin de tout cet espace."

Je restais figée un bref instant. Les deux jeunes filles ne semblaient pas avoir remarquer ma présence, ou du moins ne la trouvait pas gênante. Et c'était tant mieux. J'étais bien curieuse d'en savoir plus au sujet de ce fameux club... Fouillant dans mon casier, je fis semblant d'y chercher quelque chose pour me donner un prétexte à rester et à écouter la suite de leur conversation.

"Tu ne sais pas de quel club il s'agit ?"
"J'ai entendu dire qu'il s'agissait du club Futabu."
"Jamais entendu parler..."
"Moi non plus, je sais pas du tout de quoi il s'agit exactement. Je sais juste qu'apparemment ce serais Sumika, la gérante du club."
"..."
"J'ai cru comprendre que ça avait un lien avec les futanari, mais je pensais que ça existait que dans certains manga."
"Les futa-quoi ?"
"Euh..."

La jeune filles semblait tout à coup bien gênée, et je comprenais aisément pourquoi. Il n'était déjà pas évident d'assumer s'intéresser aux hentai, ça l'était encore moins quand il s'agissait de thème qui... s'éloignait de la norme. Et avec la malformation qui me pendouillait entre les jambes depuis ma naissance, j'étais relativement bien placée pour le savoir. Rouge comme une pivoine, elle s'empressa de répondre, avant de se précipiter vers la sortie.

"Euh, rien, laisse tomber. On s'voit demain !"

Et elles s'eloignèrent... tandis que je restais là, perplexe. Toute cette conversation avait piqué à vif ma curiosité. Quel genre de club cela pouvait bien être ? L'espace d'un instant je me suis imaginée un club réservé aux filles comme moi, aux futanari, mais je redescendis bien vite sur terre. C'était impossible, je n'étais qu'une erreur de la nature, sans doute pas la seule sur Terre d'ailleurs, mais qu'il y en ai plusieurs, de mon âge, dans mon lycée, dans un même club, c'était tout simplement trop beau pour être vrai ! Le plus probable serait qu'il s'agisse effectivement d'un groupe de personnes passionnées par le hentai futanari, mais... comment un tel club aurait pu recevoir l'approbation d'être créé ?

Tant de question se bousculait dans ma tête... et il n'y avait qu'une seule personne capable d'y répondre.

Sumika.

Une semaine plus tard...

J'avais retrouvé assez rapidement la lycéenne en question, dès le lendemain en fait. Oohashi Sumika, en dernière année, et effectivement vice-présidente du fameux club Futabu. Seulement... seulement voilà, je n'avais toujours pas osé lui en parler. Après tout je me voyais bien mal l'accoster dans les couloirs "Hey, salut ! Je suis une futanari ! Est-ce que tu pourrais me parler du Futabu ?". Surtout que c'était un lourd secret que je m'efforçais de garder du mieux que je le pouvais.

Il y avait peut être un autre moyen...

Prenant mon courage à deux main, je me decidai finalement à agir ! J'attendais impatiemment la pause déjeuner, et quand la sonnerie retentit enfin, je fonçai vers la salle de classe des dernières années. Je reconnu aisément Sumika, avec sa paire de lunette et ses longs cheveux bleus. Détournant innocemment le regard, je passai près d'elle comme si de rien n'était, et laissai tomber un petit bout de papier dans son sac.

Citer
Salut !
J'aimerais te parler du club Futabu.
Rejoins-moi demain après-midi à 17h sur le toit du lycée.
C'est important...

Oohashi Sumika

Humain(e)

Re : You're not alone, honey...

Réponse 1 samedi 17 mai 2014, 13:02:37

Comme chaque fois depuis maintenant plus de deux ans qu'elle était à Mishima, lorsque venait l'heure du déjeuné, Sumika attendait que la classe se vide complètement, avant de sortir manger. A dire vrai, la lycéenne n'était pas vraiment proche de ses camarades de classe. Certes, elle était la déléguée, mais c'était parce que la jeune fille était un genre de première de la classe, et aussi parce que personne d'autre ne voulait du poste. Ainsi, hormis ses responsabilités, elle n'était liée à personne ici, et attendait donc que tout le monde sorte, afin de pouvoir rejoindre le club en toute discrétion. Les repas entre les différents membres étaient bien plus sympathique que de rester dans un coin isolé du réfectoire. La seule raison pour laquelle Sumika n'était pas victimisée par ses camarades, venait d'ailleurs du fait que la jeune fille était assez proche de l'administration du lycée.

Cependant, alors qu'elle rangeait ses livres dans son sac de cours, la lycéenne vit un petit papier plié en quatre y tomber tout droit. Surprise, elle redressa la tête et vit alors une jeune fille de dos, sans doute de première année, qui semblait déjà ressortir aussi vite qu'elle était venue. Encore indécise, elle sortit le papier de son sac et le lut.

Citer
Salut !
J'aimerais te parler du club Futabu.
Rejoins-moi demain après-midi à 17h sur le toit du lycée.
C'est important...


Si le procédé pouvait paraître étrange aux premiers abords, il ne l'était nullement pour Sumika. Après tout, lorsqu'elle repérait des membres potentiels pour le club, elle agissait de même, pour ne pas être trop brusque. Cette fille voulait parler du Futabu, dans un endroit isolé du reste du lycée, en précisant bien que c'était important. Il ne fallait pas être Sherlock pour deviner quel était le problème, et Sumika s'étonna même de voir cette fille pour la première fois, elle qui était habituée à enquêter sur les lycéennes qui, justement, avaient ce genre de comportement. Mais il fallait croire que cette fille était si discrète, qu'elle parvenait à merveille à se faire oublier...

Par la suite et jusqu'à l'heure du rendez-vous, Sumika mena donc sa petite enquête, en demandant le dossier de l'élève à l'administration et en interrogeant quelques élèves de sa classe. Elle appris ainsi que Hitsumi était une fille sans intérêt, idiote, et qu'elle ferrait mieux de ne pas trop chercher à en savoir plus, si elle souhaitait éviter de s'attirer des ennuis. Menaces à peine voilées qui, allant de paire avec le peu que la lycéenne avait vue de la jeune fille, démontrait clairement que Hitsumi était déjà la victime de ses camarades de classe, et que ces derniers étaient près à faire taire d'autres élèves pour éviter de se faire renvoyer.

Ainsi, Sumika vint à l'heure du rendez-vous avec une dizaine de minutes d'avance, et ne fut pas vraiment surprise de voir que Hitsumi était déjà présente, dans une attitude renfermée et quelque peu timide. La brune la salua en s'inclinant légèrement, à la Japonaise, avant de lui parler.

- Konbanwa, Hitsumi-san. Tu souhaitais me parler de quelque chose d'important, il me semble, non ?

Sumika lui offrait son plus beau sourire pour la rassurer. De son coté, il serait sans doute difficile à la blonde pour déceler le membre masculin de son ainée, car celui-ci était plus ou moins ranger dans son vagin, formant une légère proéminence dans sa culotte. Le seul inconvénient avec cette méthode, c'est que cela revenait a se faire pénétrer par son propre sexe à longueur de journée, et qu'il fallait avoir un sacré self-control pour ne pas jouir à chaque enjambée.
- Dis ? Tu sais où est le point G ?
- J'en ai aucune idée, j'me contente de viser dans l'trou 8)

Avatar original Futa -- Onsen -- Auto-Fellation -- Thème -- Stockage

Hitsumi Gotô

Re : You're not alone, honey...

Réponse 2 dimanche 18 mai 2014, 04:31:40

Le lendemain matin...

"Bwaaaaah..."

J'ouvris lentement les yeux après un long bâillement, m'étirant les bras. J'étais encore très fatiguée malgré tout, il faut dire aussi que je n'avais pas beaucoup dormi. J'étais trop préoccupée par mon rendez-vous pour pouvoir trouver le sommeil... Comment ça allait se passer ? Qu'est ce que j'allais y découvrir ? Après toutes ces années à porter ce long et dur secret, trouverais-je enfin un moyen d'alléger ne serait-ce qu'un petit peu ce lourd fardeau ? J'essayais toutefois d'éviter de trop espérer, il n'y avait rien de plus blessant que de tomber de son petit nuage.

Je retrouvai peu à peu mes esprits, et m'apprêtais à me lever et quitter mon lit quand je remarquai une scène amusante. Mon drap semblait former une sorte de tente, maintenue par mon sexe en érection tendu vers le plafond. J'avais pour habitude de dormir nue, et les frottement du tissu sur mon gland commençait à me donner chaud et à me faire soupirer... Cette bite entre mes jambes était pire qu'une malédiction, dès qu'elle commençait à s'exciter il m'était impossible de me contrôler, l'envie et le plaisir me submergeait. Oh, bien sûr, je ne niais pas être un peu perverse aussi, mais... rhaaaah j'en pouvais plus ! Je fis rapidement entrer deux doigts dans mon antre chaude de désir et ruisselante de cyprine, me doigtant furieusement, tandis que de mon autre main j'empoignais mon gros chibre frémissant et l'astiquait vigoureusement.

"Hmmm...Hmmm..."

Je soupirais faiblement en me masturbant, me tortillant de plaisir dans mon lit, gemissant de plus en plus fort à mesure que je me rapprochait de l'orgasme. L'avantage d'être une futanari était que je pouvais prendre deux fois plus de plaisir sexuel, et je ne m'en privais pas, stimulant vivement à la fois mon vagin humide et ma grosse queue. Han ! C'était tellement bon que je ne tardais pas à jouir, inondant mes doigts d'un flot de cyprine tandis que de puissants jets de sperme chaud jaillirent de mon chibre et atterirent sur mon ventre et sur mes seins. Je restais immobile quelques instants sur le lit, haletante, sentant la douce chaleur de mes fluides sur ma peau, encore frissonnante de ce plaisir intense.

"Haaan... haaan... mon dieu que c'était bon..."

Après une bonne douche et un léger petit déjeuner, je pris la direction du lycée. Sans oublier de m'habiller bien sûr... Les cours se suivaient, mais je ne les écoutais que d'une oreilles distraite. J'avais des choses un peu plus préoccupantes à l'esprit, et je ne parvenais pas à penser à autre chose. Finalement la dernière sonnerie de la journée retentit et, contrairement à d'habitude, je me précipitai rapidement vers la sortie, ayant déjà rangé toutes mes affaires. Mais c'était un détails que personne ne remarqua. En général les gens ne faisait pas attention à moi, sauf s'ils s'agissait de m'embêter...

Je me retrouvai ainsi sur le toit. Hmm, personne à l'horizon... Et une terrible question me vint à l'esprit. Et si... et si elle ne venait pas !? Je regardais ma montre, 16:47, puis inspira un grand coup. "Hum j'en fais peut-être un peu trop... " songeais-je. Il fallait que je me détende, inutile de stresser autant. J'attendais impatiemment, adossée au mur, jusqu'à entendre bientôt des bruits de pas s'approchant. C'etait Sumika. Ouf, elle était venue, et était même en avance ! Je la saluais de même, m'inclinant plus bas qu'elle en signe de respect, avant de répondre.

"C'est à dire que...

J'hésitais. Oui il y avait bien quelques chose de très important dont j'aimerais lui parler, du moins important à mes yeux, mais... pouvais-je vraiment lui faire confiance ? Je ne la connaissais pas après tout, et je ne savais toujours pas ce qu'était le Futabu. Peut-être me trompais-je, peut-être que cela n'avait rien à voir avec les futanari... et j'avais entre les cuisses un secret qui me tenait beaucoup trop à coeur pour que je prenne le risque de le dévoiler aussi facilement. J'hésitais encore quelques instants, réfléchissais, avant de lui demander timidement.

"Euh, est-ce que... est-ce que tu pourrais m'en dire plus au sujet de ton club ?"

Mon coeur battait la chamade. Après tout, sa réponse allait probablement changer ma vie... ou peut-être pas. Je préférais ne pas me faire trop d'illusions... Mon regard croisa le sien, et j'ajoutais, rapidement.

"C'est que... j'ai entendu dire que ça avait un rapport avec... avec les futanari..."

Oohashi Sumika

Humain(e)

Re : You're not alone, honey...

Réponse 3 mardi 20 mai 2014, 14:52:36

En voyant la jeune fille de face, Sumika ne pouvait s'empêcher de la trouver mignonne, avec son air timide et coincée. On dit que ce sont les timides qui font les meilleures amantes, non pas pour leur soumission, comme pourraient penser les plus machistes, mais au contraire pour leur douceur naturelle. Couplé avec son futanarisme, Hitsumi promettait d'être une amante formidable, ainsi que l'une des principales "membre" du club.

- C'est à dire que... Euh, est-ce que... est-ce que tu pourrais m'en dire plus au sujet de ton club ?

La lycéenne hésitait, et c'était bien normal. Après tout, un club de Futa était, au japon, de l'ordre du fantasme. Qui irrait croire qu'un tel club pourrait bien exister, dans un lycée où le règlement était strict et où l'administration ne permettait aucun écart de conduite ? Et bien c'était justement parce que l'on parlait de Mishima, sans doute le lycée le plus laxiste du pays, qu'un tel club pouvait voir le jour, et avec des locaux particulièrement grands, qui plus est.

- C'est que... j'ai entendu dire que ça avait un rapport avec... avec les futanari...

Sumika laissa planer quelques secondes d'incertitude, avant de hocher la tête doucement, et lui sourire.

- En effet, le Futabu est un club en rapport direct avec les Futanari... Et composé à 80% de Futa... Les 20% restant étant essentiellement des filles, uniquement attirées par les Futa... Enfin, les chiffres peuvent paraîtrais gros, mais nous ne sommes que cinq pour le moment, dans ce club...

Sans se départir de son sourire, Sumika écarta les bras en grand, en signe d'ouverture, et conclue avec un petit rire, se voulant la plus rassurante possible.

- Je suppose que, si tu souhaite nous rejoindre, c'est parce que tu es soit attirée par les Futa, ou soit parce que tu en est toi même une... Et bien sache que c'est également mon cas. Je suis comme toi, futa depuis la naissance.
- Dis ? Tu sais où est le point G ?
- J'en ai aucune idée, j'me contente de viser dans l'trou 8)

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Hitsumi Gotô

Re : You're not alone, honey...

Réponse 4 jeudi 10 juillet 2014, 14:51:39

Le futanarisme était quelque chose dont je n'avais jamais parlé avec qui que ce soit, et encore moins le fait que j'en sois une représentante à part entière. Du coup j'étais quand même un peu gênée par notre conversation, et j'évitais de croiser son regard, du moins tant que je n'étais pas sûre. Trop de questions se bousculaient encore dans ma tête...

"... et composé à 80% de futa..."

Mon esprit se focalisa sur ses mots, et j'ecarquillais grand les yeux. Un club composé de futa. Je... je n'étais donc pas la seule ? Waouh ! Je restais sous le choc, laissant un silence d'une bonne minute même après que Sumika ai fini de s'exprimer. C'était juste... WAOUH ! Voyant la lycéenne ouvrir ses bras, je me précipitai contre elle et lui fit un gros câlin.

"Tu ne peux pas savoir à quel point je suis contente ! Et soulagée ! Pendant toutes ses années j'ai pensé que j'étais une erreur de la nature, avec cette horrible chose qui me pend entre les jambes... mais donc je ne suis pas la seule, en plus de toi il y a 3 autres futanari dans le club ?"

Trop excitée par cette bonne nouvelle, je n'avais même pas remarqué qu'elle semblait être déjà au courant de ma particularité anatomique. Un peu calmée, je finis par redevenir lucide, et fis un pas en arrière, rompant le câlin, avant d'ajouter timidement, rougissant un peu plus à chaque mot.

"Je... ce n'est pas que je te traite de menteuse, mais... est-ce que je... je pourrais la voir... ?"
« Modifié: jeudi 10 juillet 2014, 14:59:25 par Hitsumi Gotô »

Oohashi Sumika

Humain(e)

Re : You're not alone, honey...

Réponse 5 jeudi 10 juillet 2014, 21:29:42

Sumika s'attendait à de la surprise et du soulagement, c'est vrai. Lorsqu'une Futa qui se croit unique découvre qu'il y'en a d'autres comme elle dans son entourage, c'est toujours la joie de ne pas être une erreur de la nature, qui prime sur le reste. La lycéenne avait écartée les bras, pour l'accueillir au club, et Hitsumi s'y était précipitée, limite en larmes, pour lui faire un gros câlin. Sumika referma ses bras sur elle pour tapoter son dos, caresser ses cheveux, l'aidant à la calmer et la soulager.

- Tu ne peux pas savoir à quel point je suis contente ! Et soulagée ! Pendant toutes ses années j'ai pensé que j'étais une erreur de la nature, avec cette horrible chose qui me pend entre les jambes... mais donc je ne suis pas la seule, en plus de toi il y a 3 autres futanari dans le club ?

Tout en continuant à la réconforter, Sumika lui parla d'une voix douce.

- On sait toutes ce que ça fait... Être futa, c'est devoir se refuser beaucoup de choses, comme les baignades ou certains sports... Cependant, ce n'est pas une erreur de la nature... Il y a une chance sur mille qu'une fille naisse avec un sexe masculin, en plus de son vagin... C'est juste que peu en parlent. Mais certains êtres vivants, comme les escargots, sont également hermaphrodites. Cela fait partit de la nature, il faut juste apprendre à vivre avec...

Le câlin dura encore quelques minutes, avant que la blonde ne finisse par s'écarter, un peu calmée, et ne finisse par demander quelque chose de tout à fait légitime. Du moins, dans cette situation, pas sûr que ça passe dans d'autres circonstances. Chaque mot prononcé, accentuait ses rougeurs et sa gêne...

- Je... ce n'est pas que je te traite de menteuse, mais... est-ce que je... je pourrais la voir... ?

- Bien sûr, mais à la condition que tu me montre la tienne ensuite.


Elle lui fit un clin d'oeil, espiègle, avant de commencer à baisser sa jupe, doucement, jusqu'à ce qu'elle finisse à ses pieds. Lorsqu'elle se redressa pour glisser ses doigts sous sa culotte, celle-ci était lisse, ne laissant voir aucune bosse attestant de la présence d'un membre masculin. Sumika la fit également glisser avec lenteur, jusqu'à ce qu'elle ne rejoigne la jupe. Provocatrice ? Sans doute. La lycéenne se retourna alors et se pencha en avant, dos à Hitsumi, lui laissant une vue imprenable sur son cul et sa minette. Ou presque du moi, car sa camarade pouvait désormais voir une hampe de chair assez épaisse partir d'au dessus de son vagin pour entrer à l'intérieur. Un pénis replier sur lui même, comme "ranger" en Sumika.

- Gnn... Haan...

Sumika gémissait, poussant pour sortir son chibre hors de son intimité. Lentement, paresseusement, celui-ci glissa, millimètre par millimètre. La brune ressentit durant le processus un double plaisir, celui de son pénis, le gland frottant contre ses parois intimes et celle-ci se contractant sur son membre sous le plaisir. Lorsqu'il fut sortit de moitié, il se mit à glisser bien plus vite, jusqu'à sortir complètement, libérant par la même occasion quelques centilitres de mouille sur le sol.

- Haaaa... Huuu...

Son sexe libéré bascula entre ses jambes pour se redresser de moitié par devant, mi mou mi dur, mais mesurant une quarantaine de centimètres, quelques gouttes de pré-sperme s'en écoulant doucement. Sumika se branla doucement, caressant son gland et répandant le liquide transparent sur sa queue, se retournant avec le sourire vers la blonde, le visage légèrement rosé.

- Voilà... Tu peux la toucher si tu veux... Mais seulement après avoir sortit la tienne...

Son long membre était très chaud, et dégageait une forte et enivrante odeur de mouille.
- Dis ? Tu sais où est le point G ?
- J'en ai aucune idée, j'me contente de viser dans l'trou 8)

Avatar original Futa -- Onsen -- Auto-Fellation -- Thème -- Stockage

Hitsumi Gotô

Re : You're not alone, honey...

Réponse 6 jeudi 17 juillet 2014, 03:21:44

Je me sentais tellement mieux ! Ce lourd fardeau, ce secret si longtemps gardé, par peur d'être rejetée, d'être pointée du doigts comme un monstre sorti tout droit d'un sordide hentai... ce n'était plus un fardeau que je portais seule désormais. Ni même un fardeau tout court ! J'étais presque euphorique face à cette situation, en pensant qu'elle et moi, et les autre membre du Futabu, avions tout simplement quelque chose de plus que les autres n'avaient pas la chance d'avoir ! Et j'allais bientôt pouvoir voir de mes yeux une autre futanari dans toute sa splendeur. J'en trépignais d'impatience ! Toutefois Sumika me demanda de lui rendre la pareil, et de lui présenter moi aussi mon sexe, ce qui était tout à fait légitime.

"Oui, bien sûr ! J-je ferais de même."

Je déglutis lentement, et observai avec attention la jeune lycéenne souriante, qui prenait plaisir à se déshabiller lentement sous mes yeux. Hop, plus de jupe. Mes joues étaient en feu, je me sentais vraiment gênée par la scène, par ce striptease improvisé sur le toit du lycée. Pourtant je n'arrivais pas à en détourner le regard. La curiosité était tellement forte ! Hop, plus de culotte. Et là...

"Waouh, mon dieu..."

Je m'attendais à voir son sexe pendre entre ses jambes, comme un penis ordinaire, mais il n'avait rien d'ordinaire. Il était non seulement astucieusement rangé dans l'antre de sa féminité, une cachette assez discrète, mais en plus il avait des proportions vraiment phénoménal. C'était une bite énorme !

Les gémissement de plaisir qu'elle poussait en la faisant sortir me rendait gênée, confuse. Mais aussi très excitée, je devais bien l'avouer, si bien qu'un début d'érection déformait ma culotte, qu'un filet de cyprine était venu tâcher. J'étais comme hypnotisée par son membre mou qui gigotait, épais et ruisselant d'une couche de sa propre cyprine. Je m'avançais lentement vers Sumika et m'agenouillais devant elle, mon visage à hauteur de son intimité. Et je l'observais, tout simplement fascinée, pendant qu'elle caressait son membre humide juste sous mes yeux. Et ça m'excitait énormément ! Je mouillais comme une fontaine et bandais dure comme fer sous ma petite jupe qui semblait maintenant former une tente. J'avais très envie d'y toucher moi aussi... mais je devais d'abord faire de même. J'annonçais, un peu maladroitement.

"Je-je vais sortir la mienne maintenant..."

Et je m'exécutais. Je me mis debout devant la lycéenne, rougissante, puis relevais timidement ma jupe jusque mon ventre. Mon sexe, insolemment gonflé, était tellement à l'étroit qu'il semblait vouloir percer ma culotte pour se retrouver à l'air libre. Je restais un peu immobile, laissant la futanari apprecier la vue tout en la faisant languir de voir la suite.

"Il a très envie de prendre l'air lui aussi... hihi !"

Je finis par décaler le tissus de ma culotte, et extirper mon épaisse lance de chair, bien dure et toute tendue. Oh bien sûr elle ne rivalisait pas avec les dimensions de la sienne, mais atteignait quand même presque les 25cm pour 7cm d'épaisseur, ce qui était honorable ! J'entrepris de la prendre en main et de la caresser, lentement, de doux va et vient sur mon sexe...

"Hmmmm..."

Je soupirais, les yeux mi-clos, les joues rouges d'excitation, frissonnant de plaisir. C'était vraiment agréable de se caresser comme ça, d'autant plus pendant que Sumika m'observait et faisait de même, ce moment d'intimité partagé decuplait mon excitation ! Je croisais son regard, et esquissais alors un sourire, une idée derrière la tête. J'avançais vers elle, avec mon sexe entre les mains et pointé dans sa direction, au bout duquel coulait un fin filet de pré-sperme, jusqu'à arriver tout près d'elle...et frotter doucement mon penis contre le sien. Le contact des ces deux membres chauds et si sensible m'arrachèrent un langoureux soupir.

"Haaaaa... han, ça fait du bien... !"


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