Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Cendrillon [Validora !]

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Amélie

Humain(e)

Cendrillon [Validora !]

dimanche 04 mai 2014, 02:01:47

  • Nom/Prénom : Amélie. Pour le nom... Fuck it, elle ne veut pas le porter !
  • Âge : 17 ans.
  • Sexe : Femme.
  • Race : Humaine.
  • Orientation sexuelle : Bi’ ;
  • Expérience sexuelle : Elle n’est plus vierge, mais peut-être aurait-il mieux valu qu’elle le soit...



PHYSIQUE

Amélie est l’heureuse benjamine d’une généreuse fratrie comprenant cinq enfants, et a été la plus mignonne du lot. Avant que la dépression, l’alcool et la drogue ne ravagent le visage de sa mère, on aurait pu dire qu’Amélie lui ressemblait beaucoup, physiquement. Plutôt mignonne, elle arbore de longs cheveux noirs, de beaux yeux marrons, et a une élégante silhouette, ainsi qu’une belle poitrine. Amélie est généralement une adepte du mouvement punk, portant des vêtements rapiécés, troués, provocants. Elle soutient aussi le mouvement gothique, notamment en maquillant ses ongles et ses lèvres à l’aide de couleurs sombres, ou en partant des brassards à têtes de mort, ou même une casquette à cette effigie.

Amélie est donc une belle adolescente, mais dont les sourires peinent à masquer la profonde tristesse qui anime son corps, et qu’elle tente, tant bien que mal, de refouler. Ses sourires aguicheurs et sa manie pour la danse font d’elle une belle poupée, et la voir trémousser son joli cul sur une table dans un string rose à l’effigie de l’Union Jack est un régal pour les yeux.


CARACTÈRE

Ceux qui voient Amélie sans vraiment la connaître diront d’elle que c’est une pauvre fille, désaxée, sans aucun intérêt pour les études. Tous ses professeurs se sont lassés d’Amélie, que ce soit pour ses tenues vestimentaires provocantes, pour ses réparties saillantes et vulgaires en cours, ou pour sa manie de fumer des pétards lors des cours de récréation. Ses professeurs ont vu en elle le fruit malade d’une société où les valeurs familiales sont en plein déclin, une jeune femme qui mourra d’une overdose à vingt ans dans un squat parisien après s’être shootée une ultime fois.

Amélie, en réalité, est une victime de la vie, et entretient une dépression profonde depuis des années. Son tempérament oscille ainsi entre des sautes de joie excessives et des périodes de profondes déprimes. Elle s’est déjà entaillée les veines avec un coma, et a fait une surdose de médicaments en avalant les antidépresseurs et autres substances de sa mère naturelle. Malheureusement, la mort semble se refuser à elle. Combien de fois s’est-elle tenue au-dessus du périphérique parisien, à hésiter à sauter ? Les différents pédopsychiatres qu’elle a côtoyé durant son enfance n’ont rien pu faire pour l’aider. Que peuvent-ils faire ? Amélie est aussi le fruit pourri d’une certaine société, et, face à des ratés comme ça, la société préfère détourner les yeux. Elle oscille ainsi perpétuellement entre deux penchants extrêmes, et, quand la déprime s’empare d’elle, elle la noie dans les drogues, ayant depuis longtemps délaissé le tabac et les autres drogues dites « douces » pour se les injecter directement dans le sang, et partir dans des trips folkloriques où elle ne pense plus à rien. On peut aussi la voir parfois très enjouée et très directe, et faire preuve d’une franchise déroutante. Elle peut tout à fait brandir des doigts devant les flics, leur montrer leurs fesses, et leur hurler à la figure. Son humeur est aussi hésitante qu’une pièce de monnaie s’envolant dans les airs.

Par ailleurs, Amélie est aussi, n’en doutons pas, une désaxée. Elle voyage à Seikusu entre les foyers et des squats miteux, et a commis un nombre assez élevé de délits mineurs : vols à la tire, trafic de stupéfiants... À Seikusu, elle est très proche de Zetsu et d’autres personnes, également des fugueurs comme elle.

La seule personne qu’elle haït vraiment en ce bas-monde est sa mère, et elle a par ailleurs une peur viscérale de son dernier tonton, Victor, ainsi que de l’un de ses frères, Daniel.


HISTOIRE

1°) Cendrillon, pour ses vingt ans...

Charlotte, la mère d’Amélie, a rejoint après le lycée Paris pour faire ses études. Originaire d’un petit bled de campagne, cette jeune Française, aux beaux cheveux noirs, rêvait de vivre la belle vie à Paris, de connaître des gens... D’aller à la fac’, tout simplement ! Les parents de Charlotte n’ayant pas les moyens d’offrir à cette dernière son propre studio à paris, ils optèrent pour la colocation avec d’autres personnes, dont Christophe. Christophe était un bel étudiant d’une école de commerce. Il portait toujours un costume monté sur mesure, et, le soir, étalait toute sa culture et toute sa connaissance devant une jeune femme qui en tombait amoureuse. Christophe était son Prince charmant, son cheval blanc. Il l’invita à différentes soirées, et lui-même prit goût à cette femme. Charlotte était timide, mais était aussi une grande amatrice d’arts, adorant lire des romans et voir des films d’horreurs.

C’est avec lui qu’elle eut son premier enfant, vers la fin de l’année. Romantique, elle attendit Noël pour le dire à Christophe, en espérant que ce dernier l’annoncerait à ses parents. Un enfant, n’était-ce pas le plus beau des cadeaux de Noël ? Elle l’annonça à Christophe le 24, un sourire sur les lèvres. Pour elle, tout allait se dérouler comme dans un conte de fées : elle et Christophe auraient leur propre maison, une vie bien à eux, un jardin, un chien, et plusieurs gosses.

Quand Christophe apprit qu’il l’avait engrossé, il l’abandonna, et déménagea le plus vite possible. Charlotte se mit à pleurer et à déprimer. Avait-elle fait quelque chose de mal ? Elle essaya de revoir Christophe, de lui expliquer la sincérité de son amour, mais elle ne le revit plus dans les clubs où ils avaient l’habitude de traîner. Se mettant à désespérer, Charlotte prit la décision d’accoucher, se refusant à un avortement, et appela son premier fils Christophe, en hommage à ce premier amour.

Elle ne put pas poursuivre ses études, ayant un enfant à charge, et avait de toute façon raté son année. Elle réussit à trouver un emploi comme technicienne de surface dans une petite boîte parisienne, et dut déménager de l’appartement qu’elle avait en colocation, les autres colocataires ne voulant pas d’elle. Charlotte finit dans un petit studio minable, un placard, avec des murs épais comme du plastique, et un voisin qui hurlait tout le temps sur sa bonne femme. Christophe pleurait énormément, car son studio était délabré, avec des moisissures dans le mur. Charlotte hésitait à retourner voir ses parents, mais ces derniers étaient en froid contre elle, surtout son père, depuis qu’ils avaient appris qu’elle était devenue mère en couchant avec un petit branleur. En réalité, ses parents avaient envie de lui pardonner, et envisageaient d’aller la voir, mais Charlotte avait bien trop honte de ce qu’elle avait fait. Elle ne leur avait même pas communiqué sa nouvelle adresse, et traînait dans les bars, généralement quand elle en avait assez des hurlements incessants de Christophe.

2°) Cendrillon, pour ses trente ans...

C’est dans les bars que Charlotte rencontra Martin, un homme au sourire facile, connu des services sociaux pour avoir une ribambelle de gamins à droite et à gauche, et avoir déclenché des procédures en justice en reconnaissance de paternité pour plusieurs d’entre eux. Il engrossa Charlotte, mais il était difficile d’avoir une vie stable avec Martin. C’était un alcoolique plutôt violent, et il initia réellement Charlotte à la boisson. Boire lui permettait de se soulager, et elle fumait aussi beaucoup. Pas de drogues, elle ne voulait pas toucher à cette saloperie, mais, pour ce qui est de l’alcool, elle buvait énormément.

Daniel vit ainsi le jour. Christophe commençait alors à savoir marcher, et, seulement quelques jours après la naissance de Daniel, Charlotte fut engrossée par un autre homme, dont elle a oublié le nom. Entre-temps, elle avait été virée de son studio parce qu’elle était enceinte. Martin lui avait conseillé d’aller devant les prud’hommes pour condamner cet enfoiré d’employeur, mais elle avait rejeté l’idée, et vivait des allocations chômages. Elle buvait encore plus, et c’est donc ainsi qu’elle rencontra le père de Johanna, sa première fille, et son troisième enfant. Christophe fréquentait alors la maternelle, et était un garçon très actif, qui se battait fréquemment. N’ayant plus d’emploi, Charlotte continuait à errer dans les bars, tandis que ses trois enfants dormaient dans la pièce unique du studio, sur un seul matelas, elle-même dormant sur le canapé, s’abrutissant de niaiseries à la télé, commençant à grossir, à se négliger, et à se faner, comme une belle fleur qui aurait vécu. Dans ses rêves, elle repensait parfois à Christophe, et se disait que tout aurait pu être différent s’il avait été moins lâche, et si elle avait été moins pressée. Elle se sermonnait de son empressement, et recommençait à boire.

Entre-temps, Johanna se faisait voler son biberon par Daniel, et Charlotte en avait assez de les entendre chamailler, et les hurler. Christophe ne faisait rien pour arranger les choses, et elle finit par obtenir de l’aide d’un voisin, Abdelaziz, qui dirigeait notamment une petite boutique proposant des kebabs. Nadir lui proposa son aide, et l’aida notamment à monter un dossier pour bénéficier des CAF, ainsi que d’un logement social.

Par ailleurs, il l’engrossa aussi, et Charlotte donna naissance à Joachim, son quatrième enfant. Christophe était alors en primaire, et accusait de sérieux retards par rapport à ses camarades, tout en s’amusant à en brutaliser certains. Il fut notamment expulsé pour avoir volé les lunettes du premier de la classe, et les avoir cassé en deux. Entre-temps, la famille déménagea dans un logement social, avec une télé incluse, ce qui était tout ce que Charlotte demandait. Elle continuait à envoyer des CV ici et là, mais, dès que les employeurs apprenaient qu’elle avait quatre gosses, ils abandonnaient immédiatement. Qui aurait été assez fou pour l’embaucher, hey ? Charlotte regardait donc la télé’, tandis que ses enfants sortaient dehors, notamment Christophe et Daniel. Johanna, elle, essayait de travailler, mais réviser n’était pas facile chez elle, car Maman mettait toujours le son de la télé’ très fort, en fumant énormément, et en buvant beaucoup. Et puis, bien sûr, il y avait lestontons qui se succédaient. Nadir était trop jeune pour sortir, et c’était Johanna qui l’emmenait aux jardins publics, tandis que Christophe prenait de plus en plus l’habitude de ne plus revenir.

C’est dans ces circonstances qu’Amélie vint au monde, le père étant un tonton, un macho qui l’avait aimé jusqu’à l’aurore, avant de partir, pour revenir plus tard, quand sa queue le démangerait.

Amélie fut la dernière, et le fait qu’elle naisse relevait presque du miracle, car Charlotte ne jouissait presque plus quand les tontons venaient la voir. Christophe revenait alors une fois tous les trois jours. Il était maintenant au collège, et avait trois ans de plus que ses autres camarades. Le proviseur le connaissait bien, car il avait été surpris en train de vendre de la drogue dans le préau.

Pourtant, et même s’il était celui qui avait mal tourné, ce ne fut pas à cause de lui que le petit monde de Charlotte sombra définitivement, mais à cause de Nadir. Le jeune homme était alors à la maternelle, et, chaque soir, il voyait les tontons faire des choses avec sa maman. Quand il essaya de faire la même chose sur une fille de sa classe, qui avait de belles couettes et une jupe, le directeur de la maternelle le convoqua immédiatement, et, confus, entouré de grandes personnes, Nadir avoua que sa maman aimait se mettre à genoux devant ses tontons pour prendre son zizi en bouche. Nadir se sentit toujours coupable de ce qui arriverait par la suite. Il ne rentra en effet pas chez lui, mais dans un endroit spécial, un centre pour jeunes enfants. Lui voulait juste revoir sa maman, et Johanna lui reprochera toujours d’avoir cafté, alors qu’une famille se devait d’être solidaire. À cause de lui, la famille serait broyée, et Nadir vivrait avec le poids de ses délations jusqu’à sa mort, Johanna lui assurant qu’elle ne lui pardonnerait jamais.

Chacun des enfants fut placé dans un centre, et les inspecteurs sociaux, ainsi que les pédopsychiatres se succédèrent, tandis que les hommes de robe se mêlèrent à cette histoire. Les médecins qui analysèrent Amélie déterminèrent que le tabac que sa mère enfilait continuellement dans l’appartement avait provoqué chez elle des problèmes cardiaques chroniques. Les témoignages de Daniel et de Nadir convainquirent le juge de retirer à Charlotte son autorité parentale pour ces deux enfants. Quand ces derniers faisaient du foot’, il leur arrivait de rentrer sales le soir. Charlotte, elle, en avait marre que ces gosses refusent de comprendre qu’il ne fallait pas se traîner dans la boue. Ce n’était pourtant pas faute de leur avoir répété. Comme ils ne comprenaient pas, elle décida de les nettoyer avec de l’eau, mais aussi avec leurs propres excréments. Dans ses réquisitoires, le Ministère public sollicita 3 ans de prison ferme, et le juge choisit 2 ans de prison avec SME (Sursis Mise à l’Épreuve), incluant une obligation de soins et de réinsertion professionnelle, et un suivi régulier auprès du SPIP, le Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation.

Christophe était un fugueur. La police le recherchait, mais, à paris, les chances de retrouver un fugueur étaient à peu près aussi grandes que de gagner au Loto.

3°) Dix ans de cette vie...

La fratrie fut séparée entre les différentes familles d’accueil voulant bien d’eux. Le juge des enfants réussit à retrouver la trace du premier père, Christophe, qui était alors marié. L’homme contesta évidemment avoir un quelconque lien de paternité avec un gosse introuvable, empêchant ainsi de recourir à des tests sanguins. Martin, le père de Daniel, était actuellement en prison, après avoir battu une énième concubine sous état d’ébriété, et le juge des enfants avait sur lui au moins quinze dossiers différents. Abdelaziz, le père de Nadir, fut le seul qui accepta de reprendre Nadir, avec lequel il entretenait déjà d’assez bonnes relations. Malheureusement, il refusait catégoriquement d’accueillir les autres, ces derniers n’étant pas de son sang... Et ce fut peut-être bien, en effet, car Nadir ne tarda pas à réitérer les gestes que sestontons avaient fait avec sa mère, amenant Abdelaziz à devoir le battre pour que cet enfant imbécile comprenne qu’un homme ne devait pas agir ainsi. Amélie et Johanna, elles, étaient de pères inconnus.

La fratrie fut donc séparée, et Amélie se retrouva chez un couple ayant un cadre de vie stable. Sans grand espoir, des psychiatres la suivirent durant son enfance. En primaire, elle avait des notes stables, et elle revoyait parfois sa maman, qui essayait, par le biais d’un avocat, de récupérer ses enfants, notamment Amélie et Johanna. Johanna ne souhaitait qu’une chose : retourner chez sa maman, et elle influençait beaucoup Amélie. De plus, Johanna, qui sortait beaucoup, revoyait souvent Daniel et Christophe. Christophe était leur meneur, et passait son temps à dire que Nadir n’était pas des leurs. C’était un sale Arabe, de toute manière, qui faisait ce que tous les Arabes faisaient : foutre la merde. Il avait divisé la fratrie parce qu’il voulait retourner chez son père polygame, mais les liens du sang survivaient à ce salopard de juge pervers, ainsi qu’à ses sales keufs. Christophe aimait beaucoup s’entendre parler, et avait la haine contre le système. Daniel, lui, était facilement influençable par ce dernier, et se sentait très proche d’Amélie. Johanna, quant à elle, avait réussi à retourner vivre auprès de sa mère, et de ses grands-parents.

En apprenant ce que sa fille était devenue, son grand-père était devenu un alcoolique, et sa grand-mère était morte. Néanmoins, il avait choisi de déménager à Paris, et avait, lui aussi, engagé un avocat, afin de récupérer ses enfants. Johanna aimait bien Grand-Papa, mais les juges le lui retirèrent. En effet, la police, lors d’une patrouille, surprit l’homme, à 2 heures du soir, dans les rues de Paris, complètement ivre, et tenant à la main Johanna, incapable de se rappeler où il vivait, ni même comment il s’appelait. Le juge des enfants y vit un danger immédiat, et retira à Charlotte son droit de garde et d’hébergement sur Johanna. La mère fondit en larmes dans le bureau du juge, qui resta inflexible. Quand elle apporta la nouvelle à Johanna, cette dernière pleura, et rapporta ensuite la nouvelle à Christophe, qui lui dit que c’était là la preuve que le système était corrompu.

Amélie, quant à elle, continuait à avoir des liens, notamment parle biais de Daniel, qui voulait la protéger. Il était trop jeune pour Johanna, et s’était foiré, et voulait donc protéger Amélie. Ils se voyaient à la récré, et traînaient ensuite ensemble. Amélie vivait avec Lucie et Maxime. Daniel voulait s’assurer qu’ils étaient sympas, tout en lui rappelant qu’ils n’étaient pas ses vrais parents. Amélie entendait ça, mais, plus elle grandissait, et plus elle avait tendance à détester sa mère, qui continuait à s’engluer dans sa dépression, tous ses efforts pour récupérer Johanna étant vains. Son avocat insistait sur le fait que Johanna vivait mal le fait d’être séparée de sa mère. Elle avait été condamnée par le juge pénal en comparution immédiate pour avoir été surprise en train de vendre du crack, pour avoir proféré des propos obscènes. Ses parents d’accueil affirmaient qu’ils avaient du mal à éduquer Johanna, car elle fuguait tout le temps, et passait leur temps à contester la moindre de leurs décisions. Elle haïssait le système qui l’avait séparé de sa mère, et le juge pénal commençait sérieusement à envisager la question de l’envoyer dans un EPM (Établissement Pénitentiaire pour Mineurs). Christophe, quant à lui, avait été arrêté à plusieurs reprises par la police. Daniel restait étrangement calme, se rapprochant surtout de sa sœur, tandis que Nadir cherchait vainement à se rapprocher de Johanna. Il avait toujours aimé Johanna, qui avait pris soin de lui quand il était petit, mais cette dernière ne pouvait s’empêcher de voir en lui autre chose qu’un simple cafteur. Nadir le vivait très mal, d’autant plus que son père peinait à voir en lui autre chose qu’un gamin ayant réalisé des attouchements sexuels.

Amélie traversa ainsi le collège. Elle n’arrivait pas à voir Lucie et Maxime comme ses parents, et, une fois par mois, revoyait sa mère. Au début, il s’agissait d’un lieu neutre, à savoir un centre, mais, petit à petit, le juge autorisa des visites à domicile, seulement pour une journée. Cependant, Charlotte n’avait pas le permis, et ce fut un homme qui alla chercher Amélie, et qui la ramenait ensuite à Lucie et Maxime, ces derniers devant bien travailler pour nourrir leur famille.

Cet homme, c’était Victor.

Amélie apprit qu’il s’était beaucoup rapproché de Daniel, et que ce petit lui avait parlé de la famille. Visiblement, Daniel se confiait beaucoup à Victor, qui était un homme instruit et intelligent. Il lui indiqua être un étranger avoir sympathisé avec sa mère, et vouloir aider la famille. Il donnait un peu d’argent de poche à Christophe et à Daniel, et aidait notamment Johanna en payant les services d’un avocat. Un bien généreux donateur, qui éveilla immédiatement les soupçons d’Amélie.

Victor aidait Daniel à passer son permis, en le finançant, en l’aidant à faire de la mécanique sur sa voiture, ou en travaillant les marches arrières sur le parking d’Auchan. Daniel l’aimait bien, et était effectivement proche d’eux. Quant à Amélie, elle était trop obsédée à voir Victor pour ne pas voir que Daniel l’observait d’une drôle de manière. Amélie était en pleine puberté, et voyait qu’elle avait une poitrine développée, de belles hanches, et des fesses. Il se maudit pour éprouver de telles pensées. Il n’était pas Nadir, mais c’était plus fort que lui, et, quand il se masturba, c’était en pensant au corps de sa sœur.

Nadir, quant à lui, qui se sentait toujours responsable, envisageait d’aider Johanna à sortir de la spirale infernale dans laquelle elle s’était engluée. Il la retrouva dans un squat, complètement défoncée, et l’emmena chez les flics. Les flics la cuisinèrent alors, désirant savoir qui était son fournisseur. Johanna refusa de parler, et un avocat ne tarda pas à la faire sortir de là. Le Ministère public hésita à la déferrer, mais on estima qu’ils perdraient plus de temps à mettre au point un dossier qu’à la poursuivre. Johanna sortit donc libre, et Christophe lui sortit rapidement dessus, voulant savoir ce qui s’était passé. Johanna lui assura qu’elle n’avait pas cafté à ces connards de keufs, mais qu’ils voulaient savoir qui la fournissait en dope. Elle était complètement stone quand elle était défoncée, et ne savait pas qui l’avait envoyé chez les flics, mais Christophe opta rapidement pour Nadir. Ce petit fils de pute avait encore foutu sa merde. Ce con voulait même devenir policier ! La fratrie se réunit, en compagnie de Victor. Il fut rapidement admis qu’Amélie n’avait rien à y voir, et il était temps de faire comprendre à Nadir qu’on n’aimait pas les fouines-merdes. Victor était d’accord avec cette idée, et estimait que c’était même un bon moyen pour Daniel de prouver qu’il était digne de protéger Johanna... Car, comme le disait Victor, qu’était une famille, si aucun de ses membres ne pouvaient compter sur les autres ?

Il était donc temps de corriger la balance.

4°) Notre Père, qui êtes si vieux...

Daniel s’avéra plus doué que prévu. Il était le calme de la bande, et avait un réservoir de haine et de colère en stock, qu’il n’avait jamais eu l’occasion de délivrer. Ils attaquèrent Nadir alors que ce dernier rentrait du restaurant où il faisait de la plonge pour envisager de financer ses études. Ils étaient encagoulés, et se ruèrent sur lui dans un endroit tranquille. Ils avaient des battes de base-ball, mais c’était Daniel qui devait se charger de lui. Au début, il fut assez timide, mais se rappela Johanna, et, surtout, repensa à ses rêves où il enfournait Amélie... Et il se rappela qu’Amélie avait toujours défendu ce petit enculé de Nadir. Alors, il lui tomba dessus, et frappa. Le reste, il l’oublia, si ce n’est qu’il se retrouva avec le sexe en érection. Nadir fut laissé à l’abandon dans la ruelle, plusieurs dents en moins. Johanna et Daniel retournèrent chez eux, mais Victor prit ensuite Christophe, et retourna voir Nadir, qui rampait misérablement dans la ruelle. Lui qui devait protéger sa fratrie avait abattu l’un de ses frères... Un connard, certes, mais un frère quand même.

Victor avait expliqué à Christophe qu’il était le leader, le père que sa famille n’avait jamais eu, et que, ce faisant, il avait une forte responsabilité. Il était temps pour lui de devenir un homme, et Victor lui montra un pistolet. Un vrai de vrai, chargé et tout. Christophe savait ce qu’il avait à faire, et il n’avait pas le droit de se dérober. Nadir le regardait avec ses yeux suppliants. Christophe hésita un peu, l’arme tremblant entre ses doigts. Il fit feu, car la famille le méritait. Et un homme qui ne prenait pas soin de sa famille n’était pas un vrai homme. Victor et Christophe avaient vu Le Parrain ensemble, en effet. Cette nuit, Christophe vomit à plusieurs reprises, et, dans ses rêves, le visage de Nadir revint le hanter. Il savait qu’il avait franchi un cap, mais Victor, aussi sympathique soit-il ; n’était pas le genre d’hommes avec lequel on pouvait déconner.

Ce que les deux ignoraient, c’est que Daniel les avait suivis. Il avait pris une photographie de la tête explosée de Nadir, se disant que ça ressemblait à une belle pastèque, et que c’était fun. Il avait avec lui un pied-de-biche récupéré dans le garage de Victor, et s’amusa.

Le lendemain, Amélie apprit la mort de Nadir, et en fut troublée. Le corps avait été massacré, et un juge d’instruction fut rapidement en charge du dossier. Ce meurtre barbare passa au JT de TF1, et Victor ne comprit pas qui avait pu massacrer ce corps comme ça. Daniel, de son côté, apprit une nouvelle qui l’énerva beaucoup : Amélie avait un mec. Un petit connard de bobo parisien prétentieux, un blondinet qui s’appelait Benjamin. Il commençait à espionner Amélie, et la vit embrasser Benjamin, et crut défaillir quand il voyait les mains de l’homme, plus vieux qu’elle, glisser le long de ses hanches pour se rapprocher de ses fesses. Daniel se mit à suivre Benjamin, en retenant difficilement son envie de casser la gueule de ce trou-du-cul de branleur de merde de suceur de pines.

Un beau jour, il vit Benjamin porter une main aux fesses d’Amélie, qui s’habillait de plus en plus court. Elle était carrossée comme une pute, et, après que Benjamin eût touché ses fesses, Daniel lui offrit une petite correction. Il n’avait pas son pied-de-biche, mais utilisa simplement ses poings. Ce fut entièrement suffisant. Benjamin eut un traumatisme crânien, et finit à l’hôpital. Il survécut à cette attaque, mais fut malgré tout dans le coma pendant plusieurs jours. La police interrogea Amélie, et Daniel, de son côté, se dit qu’il allait enfin pouvoir vivre son amour avec Amélie. Il lui avait en effet fallu bien du temps pour finir par admettre qu’il aimait Amélie, et qu’ils étaient faits pour vivre ensemble. Ça crevait les yeux. Lui-même avait essayé de coucher avec plusieurs femmes, mais il bandait mou, et les frappait quand elles riaient de lui et de ses performances. Avec ces salopes, il ne pouvait vraiment bander qu’en les frappant, alors que, avec Amélie, la simple idée de la voir sourire suffisait à le faire jouir. Il alla donc la voir, avec un bouquet de fleurs, et fut surpris quand elle se refusa à lui... Et la surprise laissa la place à une colère. Non ! Amélie ne pouvait pas être une salope ! Pas elle, non ! Ça, il le refusait ! Il essaya de l’embrasser, mais elle se refusa. Alors, il la gifla. Elle hurla comme l’une de ces sales salopes, et il la gifla encore. Plus fort. Elle tomba sur le sol, relevant sa jupe, et il put voir son string, son putain de string en forme d’Union Jack... Un cadeau sûrement offert par ce connard de Benjamin. Il vit ce joli petit cul, et, s’il n’y avait eu Maxime, il l’aurait violé sur place.

Maxime alla porter plainte, mais sa plainte n’aboutit à rien. Amélie reçut en effet la visite de Johanna et de Christophe, qui lui annoncèrent qu’elle ne devait pas faire comme Nadir, et qu’il ne fallait pas trahir la famille. La seule chose qu’ils avaient jamais partagé dans cette chienne de vie, c’était ce sang. Christophe lui avait assuré qu’il recadrerait Daniel. Amélie accepta donc, et indiqua à la police qu’elle s’était tout simplement cognée la tête contre le bureau. Elle maintint sa version, et, même si le flic en face d’elle savait qu’elle mentait, il ne pouvait pas la forcer. La plainte fut classée sans suites. Daniel contacta Amélie sur Facebook pour s’excuser, et Christophe lui assura que Daniel avait été recadré.

Christophe, quant à lui, continuait à avoir des remords, ce que Johanna entendit un jour. Elle avait alors retrouvé de bons liens avec sa mère, qui continuait à se faire soigner, et à bénéficier de la charité de Victor. Christophe envisageait d’aller à la police pour dénoncer les méfaits de Victor, et ce dernier choisit de le recadrer. Il alla le voir en personne, en compagnie d’individus que Christophe n’avait jamais vu, et firent ensemble un petit tour en voiture. Christophe se retrouva dans une cave, et fut passé à tabac par les amis de Victor, tandis que ce dernier, poliment, lui expliqua que Christophe n’était pas une balance. Il attendit que Christophe soit suffisamment lucide pour lui montrer une vidéo. Elle était de mauvaise qualité, mais on le voyait clairement abattre Nadir. Il lui parla ensuite de Johanna et d’Amélie, décrivant leurs habitudes, et lui expliqua ce qui allait leur arriver, s’il ne choisissait pas de les protéger. Voulait-il donc qu’elles finissent comme sa salope de mère, une putain qui était tellement défoncée qu’elle ne faisait même plus la différence entre une cigarette et une queue dans sa gueule de salope dégarnie ? Christophe prit l’avertissement au sérieux. Victor termina par une tape sur la joue, lui expliquant qu’il l’aimait bien, parce qu’il était un brave petit gars, et qu’il ne lui voulait donc pas de mal, mais que, s’il recommençait à déconner, il le tuerait.

Victor choisit ensuite de s’occuper de Daniel, qui continuait à déconner, et attisait la colère des prostituées de Victor. Trop violent, trop brutal, mais c’était un garçon efficace. Victor savait que Daniel bandait pour Amélie, et qu’il avait fait pas mal de conneries. En bon père de famille, Victor estima que c’était à lui de recadrer la situation. Lors d’une visite chez sa mère naturelle, Amélie fut accueillie par Victor, qui la frappa, et l’enferma dans la chambre de sa mère, en ordonnant à Daniel de la violer. Le sexe de ce dernier le démangeait, surtout en voyant sa sœur à poil, le corps gracieusement offert. Ce moment, il en avait rêvé depuis des années, et Amélie était là, devant lui, ouverte, sa fleur proprement épilée, toujours vierge. Elle le suppliait de ne pas le faire, son corps hurlait d’agir, mais il prenait trop de temps. Victor fut énervé par cette lenteur, et lui montra comment il fallait s’y prendre.

Il viola Amélie sous les yeux de Daniel, lui arrachant son hymen, et ordonna ensuite à Daniel de faire de même, où il tuerait sa salope de mère, cette pute attachée sur le lit, et le tuerait, lui. Et Victor tenait toujours ses promesses. Il lui hurlait d’agir, qu’il était un homme, un vrai, pas une sale pédale. Il la viola à nouveau, et Amélie hurla encore plus fort. Daniel pleura et éjacula en même temps. Fort heureusement, Amélie ne tomba pas enceinte. Victor gifla Daniel, puis attrapa Amélie par les cheveux, lui ordonna de se rhabiller, et d’arrêter de chialer, où il lui donnerait vraiment des raisons de gueuler, et la conduisit chez lui, en ordonnant à Daniel d’aller chercher dans le ventre de sa mère les couilles qu’il lui manquait.

Victor ne pouvait pas laisser repartir Amélie, ni prendre le risque de la tuer. Il y avait eu un contact physique entre lui et elle, et la police faisait des miracles, maintenant. Cependant, il avait des amis, des amis qui pourraient la faire partir. De plus, il fallait avouer qu’Amélie était plutôt mignonne. Il l’enferma dans une chambre à la cave, pendant que sa femme se promenait dehors, et que leurs deux enfants étaient à l’école. Victor avait beau côtoyé des marginaux, il était loin d’en être un, et il ne manquait pas de ressources. Cependant, ses plans échouèrent, ce soir-là, car Amélie réussit à se libérer. Victor la viola à nouveau, le soir, après avoir mangé, pendant que sa mère faisait la vaisselle, mais elle réussit à se défaire des adhésifs, qui avaient été légèrement éprouvés pendant ce viol, et s’enfuit, en emportant un souvenir... La carte bleue de Victor. Elle prit un taxi, et fila à l’aéroport, et prit le premier avion possible, qui l’emmena au Japon.

Le lendemain, quand Victor apprit que cette petite pute s’était enfuie avec sa CB, il entra dans une rage noire, et se promit de la retrouver. Sa banque l’informa que sa CB avait servi à commander un billet d’avion, et il réussit à remonter le fil. L’avion était partie vers une ville portuaire du Japon.

Seikusu.


AUTRES

Amélie est une fugueuse sans aucune attache au Japon, si ce n’est les quelques personnes qu’elle a réussi à rencontrer, et dont voici une présentation succincte :

  • Zetsu. Zetsu est un enfant originaire de Tokyo, qui était battu par son père, et qui a fui Tokyo par le premier train possible, l’ayant emmené à Tokyo. Il porte continuellement sur lui un costume rapiécé, et un Uzi... Déchargé. C’est un provocateur, qui a choisi de prendre sous son aile Amélie, notamment en essayant de la soigner de sa forte addiction à la drogue. Il se fait passer pour un Yakuza grâce à ses tatouages et à son flingue, mais n’est rien de plus qu’un simple paumé ;

  • Mishi. Mishi est une paumée, qui a été violée par son père, et qui a, elle aussi, choisi de fuir. Droguée, elle fréquente périodiquement les foyers sociaux ainsi que les squats, et est une pute vendant son corps pour toucher de quoi acheter sa dose. Elle aime bien Amélie, et partage souvent ses clopes avec elle.



Par ailleurs, comme vous l’aurez compris, Amélie est une toxicomane qui ne croit plus en la vie, et qui est poursuivie par un individu fort peu recommandable. Elle a aussi du mal à parler le japonais, et, même si Zetsu essaie de la former sur ce point (il connaît un peu le français), la tâche est assez ardue.

Serez-vous ceux qui arriveront à la convaincre que la vie vaut la peine d’être vécue, ou, au contraire, lui montrerez-vous que la pitié est un concept inconnu de la Nature ?

RPs

1°) La curiosité est un vilain défaut, bitch [Yulia Vesselovski] [EN COURS]
2°) Paumée + Paumé = ? [Vagabond] [EN COURS]
3°) Overdose [Shenji] [TERMINÉ]
4°) Choc social [Les Sœurs Yume] [EN COURS]
5°) Do you like clowns ? [JigSex] [ABANDONNÉ]
6°) Témoin gênant [Régis Sabius] [EN COURS]
7°) Charité chrétienne [Dextra-Senestra] [EN COURS]
8°) Évasion [Dannika Crown] [EN COURS]
9°) Oh putain de merde... [Laura Sunny] [EN COURS]
10°) A roadman's blues [Zinaida] [EN COURS]
11°) Issue de secours ? [Atsuko Nomura] [EN COURS]
12°) Rencontre du troisième type [Zéphyr] [EN COURS]
« Modifié: lundi 15 janvier 2018, 00:47:05 par Amélie »

DC d’Alice Korvander.

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Makoto Yamashita

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 1 dimanche 04 mai 2014, 02:46:50

Bienvenue à toi !
Fiche
Insoumise à toute autorité : tout pouvoir n'est qu'une absurdité illusoire, ici comme ailleurs.

Kaals Shriek

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 2 dimanche 04 mai 2014, 09:09:24

Bienvenue  ;D

Amélie

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 3 dimanche 04 mai 2014, 10:18:24

Merci :)

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 4 dimanche 04 mai 2014, 10:32:57

Une junkie hein ?
Well, si tu veux ma mignonne, j'ai pleiiiiiiiiiin de trucs pour toi, donc certains que t'a probablement jamais testée.
Welcome. ;D

Ata

E.S.P.er

Re : Cendrillon

Réponse 5 dimanche 04 mai 2014, 10:42:35

-Si tu veux de l'aide je peux bien te pirater un ou deux trucs  ;D

Bienvenue à toi  :D
Ma fiche de perso 
Mais il y a aussi mon cousin Konu, Lucas et sa sœur

Amélie

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 6 dimanche 04 mai 2014, 10:44:31

Si tu sais pirater des bornes bancaires, Ata, ça m'intéresse !

Yulia... Merci, il y a des chances que je vienne vers toi x)

Sinon, j'ai rajouté un petit truc dans la fiche, afin de préciser qu'Amélie ne parle pratiquement pas le japonais ^^

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Ata

E.S.P.er

Re : Cendrillon

Réponse 7 dimanche 04 mai 2014, 10:50:40

Si tu es validée et si ma Ata t’intéresses, viens me voir ;)  enfin viens me parler car tu peux pas me voir... bref tu as compris  ;D
Ma fiche de perso 
Mais il y a aussi mon cousin Konu, Lucas et sa sœur

Pills

E.S.P.er

Re : Cendrillon

Réponse 8 dimanche 04 mai 2014, 10:59:47

Junkie, hein ? Y'a toujours du biz à se faire avec les poules comme toi.

{A D D I C T I ON} && {S O U M I S S I O N}
{May my ennemies live long so they can see me progress}

Inaba Himiko

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 9 dimanche 04 mai 2014, 11:01:43

Bienv'nue dans une putain d'société plus corrompue qu'celle qu't'a quittée...

(dixit: une autre paumée d'là vie ;D)

Amélie

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 10 dimanche 04 mai 2014, 11:06:22

C'est à voir, Ata *Lui ébouriffe gentiment les cheveux*

Tant qu'il y a de la tristesse et des salauds dans ce monde, Pills, il y aura toujours du biz' à se faire.

Et, honnêtement, Himiko, du moment que je suis loin de ma famille, le reste importe peu.

*Lui fait néanmoins un high-five*

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 11 dimanche 04 mai 2014, 11:21:56

*fait un coucou de sa mains droite*

Oh eyh ! Meuf ! viens faire un tour chez moi, j'ai plein de drogue fabuleuse à te proposer :3 (en plus c'est vrai, pour une fois)

Crack, Meth, cocaine, exta, LSD, et surtout, SURTOUT ! De l'héro et d'la morphine :3 Tchek ta vu, ont va devenir copines comme cochonnes :D !

bienvenue ^^
-


Amélie

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 12 dimanche 04 mai 2014, 11:27:12

J'sais pas pourquoi, mais j'ai pas confiance :o

Merci quand même ^^

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Sue L. Stuart

Humain(e)

Re : Cendrillon

Réponse 13 dimanche 04 mai 2014, 11:29:25

Bienvenue !


Grr.. Les têtes de mort, c'est clichéééé ! Et pas vraiment gothique. éè Le gothisme, c'est l'esthétique, le mouvement intellectuel, et les têtes de mort et les coix à l'envers nous enferment dans des clichés qu'on rabaisse.

Mais je t'aime bien quand même. ♥


L'Empire n'attend que toi !

Cassidy Green

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Re : Cendrillon

Réponse 14 dimanche 04 mai 2014, 11:32:08

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D


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