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Quand l'homme se cache sous la bête [Pv - Dylan E. Ellison]

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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Quand l'homme se cache sous la bête [Pv - Dylan E. Ellison]

Réponse 15 dimanche 01 juin 2014, 21:47:41

Comment aurait-elle pu ignorer Moc ? Debout, retirant sa veste trop petite pour son corps bien trop bâti. En dessous, sa chemise épousait bien sa musculature et si on regardait assez attentivement, on pouvait voir la légère transparence du tissu qui révélait à peine le soulignement de ses muscles. Mais dans le cas de la psychologue qui ne saurait dire si ses yeux la trahissaient ou non, cette vue nourrissait son imagination enclin désormais à la débauche. L’audace s’était jeté dans son esprit, projetant la vision de son propre corps, nu, à la peau laiteuse, à plein ventre contre le cuire du sofa. Des mains, grandes et de bronze se joignaient à cette esquisse. Elles couraient le long de son dos, frôlant les côtes saillantes du bout des doigts. La paume suivait la chute de rein pour tranquillement atteindre le galbe de son fessier. Le long frisson qui se déchargea en elle allait de paire à l’instant où son esprit amena ces mains à saisir ses hanches pour l’accroupir. Cul relevé. Les sensations éclatèrent, se ruant hors de ce fantasme pour se frayer un chemin à travers son être, muant le bas de son ventre en une source intime et chaude. Son regard minaudé surplombait quelque peu celui de l’autre, penché vers ses genoux où ses coudes s’appuyaient. Elle espérait qu’il n’ait pas remarqué son air absent ou le pincement de ses lèvres qui dévoilait leur lot de profondeur…


Elle calma secrètement ses ardeurs en rectifiant son attention sur son patient –attention qui jaugeait un peu trop les mains de Moc- et elle inspira un grand coup. Pendant ce temps, il entamait l’explication sur sa relation avec sa sœur. Une bonne relation qui cependant s’entretenait à travers des dealers de drogue. Dylan devina le Mexicain comme étant protecteur envers sa soeur, mais sans plus. Il disait ne pas apprécier la voir fréquenter ces dits-dealeurs, mais en aucun cas il n’a dû l’empêcher de les voir. Peut-être par culpabilité.


Dylan inscrivit quelques mots dans son carnet. Le silence s’installait de nouveau dans la pièce. En levant les yeux, elle s’aperçut que Moc la fixait encore et un peu trop éperdument. Elle se pâma, figée. Devant ses mimiques. Il frottait ses mains ensemble qu’elle prit le temps d’observer cette fois, dans l’action. Il les passa sur sa barbe dont le frottement indiquait bien la douceur de ce duvet qui allait en contraste avec sa paluche, rêche mais enveloppante. Sa partie moite et vibrante ne connut qu’un triste sort, allant à l’encontre de cette entrevue alors qu’elle désirait à présent ses mains. Voyons Dylan ! Reprend toi…


La voix grave du bellâtre franchi le seuil de la familiarité qu’il désirait entreprendre avec elle. Dylan. C’était bien comme ça qu’elle lui avait permit de l’appeler. 


Oui. Bien sûr… Moc. Un léger rire d’amusement résonna dans sa bouche. J’aime bien… Tous ce qui sort de l’ordinaire je veux dire.


Elle baissa un instant le regard, cherchant à ancré son prénom dans son esprit et à passer vers le tutoiement. Eh puis… Rien ne l’empêchait d’orienter la conversation hors du contexte de la consultation. Faire un peu connaissance n’avait jamais fait de mal à personne et à ce qu’elle sache, ce n’était pas interdit dans sa profession de dériver un peu. 


Tu… viens du Mexique alors ? Tu y habitais avant ? Plus que jamais, elle se concentra sur lui, bien décidée à parler de tout et de rien. D’où viens-tu ? Si je peux me permettre… Moi, j’ai toujours vécu ici, mais mon père est Américain. Je suis donc métissée. Certain voit mes traits non-japonais, mais d’autre… Toi, tu as des traits. Ça paraît. Sa main passa vaguement sur son visage pour mimer ses dires. … J’aime bien.


Oh, je l’ai dis…
« Modifié: lundi 02 juin 2014, 12:39:42 par Dylan E. Ellison »
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Merci Connor chéri pour le kit <3

Jahoza

A cette instant précis elle venait d'ouvrir une nouvelle porte. Comme ses rares fois (ou tout du moins dans son cas) où ça mordait au bout du fil.
Il n'avait jamais été très doué pour la drague, évoluant des un milieu où il était parfois plus facile et plus rentable de recourir au service de professionnelle que de se mettre en quête d'une partenaire pour la nuit.
D'ailleurs, il avait entamé sa peine de prison assez jeune et une fois enfermé, c'est pas comme si il avait pu s’exercer. Et être entouré de violeur, de racaille ou de voyou ne l'avait pas aidé à amélioré son tact féminin. Heureusement, il avait pour lui d'être un homme assez intelligent, acceptant de se remettre en question et avec le recul nécessaire pour savoir que l'imagine qu'on lui avait donné des femmes étaient fausses.

Rapidement, il en avait voulu au violeur qui lui racontait qu'a la fin, leur victime ne se débattait plus parce qu'elle kiffait ça. Ce genre de discours avait trouvé un écho sinistre dans son cœur et il évolua à contre sens. Sans pour autant être un chevalier servant, il estimait la femme et le rapport qu'il entretenait avec elle.
Mais aujourd'hui, son esprit s'échauffait. La voilà devant lui, frétillante, les yeux brillants avec ce je ne sais quoi qui attirait son regard. Sur les traits fins de son visage, ses petites lèvres qui se mordillaient et son regard plein d'étincelles.

Voilà son esprit qui vagabondait, entrainant la jolie Psy du sofa à son bureau... le vidant du revers de l'avant bras avant de faire claquer son petit cul qu'il devinait bien ferme sous cette robe. Elle enlacerait ses bras autour de lui, lui rappelant à quel point il était beau, fort et musclé.

Puis, elle vient troublé ses divagations qui avait tôt fait de gorgé de sang certaine partie de son corps. Un début d'érection très malvenue dans un pantalon de costume excessivement serrer. Qu'elle douce horreur cette situation...

J'aime bien ! Qui ça... le personnage, le nom, la gueule de papier mâché ? Un mélange entre excitation et timidité l'attrapa. Son dos se mit à frémir, il n'osait y croire. Oh si l'occasion se présenterait il tenterait volontiers sa chance, mais sans croire à ce "j'aime bien"

- Ouais... Mexique ! J'ai fais beaucoup de vilaine chose la bas... et je sais pas trop comment j'ai atterri ici ! Surement toujours la même merde.

Il savait parfaitement comment il était arrivé ici, mais il fallait absolument pas gâcher ce bon moment. Aussi il décida d'embrayer. Passer peut être à une vitesse supérieur, pour se prendre le mur plus vite, ou la prendre tout court.

- C'est ça que je te trouve si belle ! Non pas que les femmes de se pays sont laide, mais pas à mon goût... ça doit être ma nostalgie du continent américain héhé. Ton père est de où ?

Il s'installa plus confortablement. Pour masqué la trahison dans son pantalon, mais aussi pour paraitre décontracté, faisant rouler ses muscles sous sa chemise. Impossible que ça marche, elle allait le prendre pour un animal sauvage tout juste familiarisé avec la civilisation. Comme une créature exotique elle devait être curieuse, rien de plus...

Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Quand l'homme se cache sous la bête [Pv - Dylan E. Ellison]

Réponse 17 samedi 14 juin 2014, 18:15:49

Dylan, comme à son habitude, réfléchissait avec une intensité démesurée, cherchant, supposant, accumulant ainsi des hypothèses autour de son patient qui devait se douter de ses cogitations quasi-obsessionnelles. Rien qu’à la manière dont elle observait. Elle le jaugeait d’un regard pénétrant que ses lunettes ne semblait pas pouvoir atténuer et le tout ponctué d’un léger pincement de lèvre entre la pulpe de ses doigts, les sourcils froncés. Les idées se bousculaient dans son esprit, mais devinera t-il que la plupart de ses pensées aspiraient à une certaine convoitise ? L’exemple la moins crue : elle a songé un long moment à son entrée en prison. Elle supposa, il devait être âgé d’au moins 20 ans. Plutôt jeune. En plein épanouissement sexuel. Donc rien qui ne révélerait de l’expertise à ce niveau. Pourtant, elle se pourlécha furtivement le revers de ses doigts à la simple idée de le mettre en pratique, pratique qu’elle espérait délicieuse. Quinze années à être privé… Ça devait donner quelque chose d’intéressant. Par ailleurs, elle était pratiquement certaine qu’il s’était soulagé auprès de nombreuse donzelle à sa sortie. L’allure charnu et exquis du visage, le gabarit vigoureux qu’il possédait devait en charmer plus d’une, Dylan la première…


Déjà, elle lui plaisait. C’était une évidence qu’elle ne voulait plus écarter. Il la fixait. Il la désarmait de son innocence, du professionnalisme qu’elle se devait revêtir. Mais cette fois… Tente ta chance, salope. Ce n’était pas une première. Éprouver du désir pour un patient. Quel merveilleux scénario porno que ça pourrait donner. Mais à chaque fois, une gifle de raisonnement la ressaisissait et la remettait à sa place : reste la bonne petite psy. Sauf que cette fois…


Mon père est de Saint-Louis. Il a servit l’armée plusieurs années… C’est comme ça qu’il a rencontré ma mère. Il était dans une base à Tokyo… 


Un léger rire silencieux lui serra la gorge, elle sembla gênée. Une lueur de malice s’illumina subitement dans son regard, égaya son visage légèrement empourpré. Elle s’était reprit dans l’intimidation exercé par Moc. Le roulement de ses muscles, la chemise qui pourrait exploser à tout moment. Il ne manquait plus que ses mains fines à cette image pleine d’érotisme.


Dylan passa sa main sur sa joue, le petit doigt touchant ses lèvres, lui donnant un air mi-assuré, mi-intimidé, charmé. Séduite. Elle s’accouda du même bras que sa main, glissant l’autre sur son ventre en posant sa paume sur son aine. Le doux serrement que provoqua ce changement de position avait réduit sa culotte en une moiteur ardente, les cuisses toujours croisés. Elle n’avait pas quitté du regard ceux de l’ex-détenu qu’elle fixait à présent de tout son être qui ne voilait presque plus rien.


Entre nous… Ce n’est pas quelque chose que je fais d’habitude. Tu m’excuseras. Mais j’aimerais uniquement te retourner le compliment. À ce moment, son sourire s’agrandit, l’air timide, en tenant l’intérieur de ses sourcils avec ses doigts. Mais qu’est-ce que je vais dire, là ? Son regard se porta de nouveau à lui, l’air joyeux n’avait pas quitté son visage. Tu es quelqu’un de très charmant et séduisant. Voilà. Je l’ai dit. Ne va pas le répéter, hein !


À cet instant précis, elle venait de franchir une barrière qui la détrônait de son sérieux sûrement à tout jamais… Ou du moins, jusqu’à la fin de cette séance. Cependant, une nouvelle ambiance planait dans la pièce, dans l’espace entre leur corps qui paraissait se lier, s’enlacer au fil du temps. Plus enclin à la plaisanterie, au charme. Sympathiser. Le mot se mariait bien à cette étape.


Eh toi, tu viens d’où exactement… ?


Malgré le retour au sujet, la séance n’avait pas réellement reprit, détournant plutôt vers autre chose, de plus intime, une conversation entre deux individus. Tous ce qui avait plus de banal.
« Modifié: mercredi 02 juillet 2014, 15:44:04 par Dylan E. Ellison »
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Jahoza

Le ton changeait du tout au tout. Elle l'incitait, a grand coup de pied et d’insinuation, à sortir de leur relation Docteur - Patient. Le cadre changeait, son ton changeait et l'image que le mexicain avait en tête changea aussi. Ses jambes croisées n'étaient plus une posture professionnelle mais celle d'une femme qui sait comment aguicher un homme. Son petit ton sérieux et minaudé n'avait pas le charme d'une belle jeune femme de métier, mais la chaleur insoutenable d'un objet de convoitise. La belle en usait, la belle le tentait... en lui faisant cet aveux, un déclic c'était enclenché assez naturellement.
Il avait prit une pause décontracté, et heureusement, car le membre de l'ex taulard gonfla assez rapidement. Sur excité par une perspective encore à cheval entre rêve et réalité folle.
Moc l'observa de haut en bas, son regard le trahissait, s'affolant, comme un gréviste de la faim à qui on présentait tout un banquet de ce dont il rêvait. Et que le pauvre dans sa folie, ne savait pas par où commencé.

Elle était taquine, elle était joueuse... il aimait cela ! Bien plus à l'aise dans ce registre ou le gamin de rue qu'il était avait plus de carte en main. Avec cette petite tchatche de bad boys qui, si elle était bien dosé, pouvait faire des ravages.
Il avait rapidement fini en prison, mais dans ce milieu on était précoce niveau relation sexuelle. Surtout quand on comprenant rapidement qu’absolument tout pouvait s'acheter. Quoi qu'il en soit, il était là. Lui et son passé de criminel, lui et son passé d’abstinence, lui et son expérience un peu sauvage de la rue.

Ses yeux le trahissaient, mais son corps lui était un marbre, un bloc inébranlable. Sa posture était resté forte, bien campé dans son canapé, il recroisa les bras... conscient que petit à petit son excitation se verrait malgré la pose stratégique qu'il avait prit.
Un léger sourire glissa sur son visage, un visage qui en disait long. Le visage du loup qui voyait venir l'agneau pas si innocent que cela.

- Mexico, chiquita !

Et voilà, on va lâcher la sauce... voir en faire de trop. Il a envie d'elle, et comme un oiseau de parade il allait gonfler son torse et chantonné. Comme il l'avait apprit, sur les trottoirs de Mexico.

- Mais crois pas que c'était bien... c'est une poubelle géante ! Je suis Beaucoup mieux ici maintenant que j'y pense...

Il se penche vers elle, dévoilant l'ampleur de sa carrure. Ses larges avants bras repose sur ses cuisses écartés, voilant encore une peu son intimité bandé à l'extrême.

- Seul regret, la mauvaise bière ! Sans vouloir t'offenser hein... et puis le saké tiède, je suis pas trop fan. Tu t'es déjà fait un shot de Tequilla ?
J'ai pas encore trop eut l'occasion de sortir donc je sais pas trop... Mais dé que je sais, je te ferais goûté ça. Comme ça tu sauras vraiment d'où je viens...


Une grosse goute se profila sur le bout de son nez après avoir dévalé tout son front ! C'est que la température avait rapidement augmenté. Et puis les chemises beaucoup trop serré ce n'était pas l'idéal.

- Putain fait chaud... on pourra pas ouvrir la fenêtre ?

Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Quand l'homme se cache sous la bête [Pv - Dylan E. Ellison]

Réponse 19 samedi 27 décembre 2014, 18:51:25

Dylan s’aventurait sur le terrain dangereux et dérapant du jeu de charme qui la clouait désormais à son siège. Elle qui voulait rentrer et prendre un bain, comme après une habituelle journée épuisante. Elle qui était épuisée par la lourdeur ambiante de son bureau. Moc rafraîchissait la pièce par son exotisme, sa voix vibrante et son éloquence. L’envie de massacrer sa secrétaire beaucoup trop efficace était à présent loin de son esprit égayé par l’animé mexicain…


La tequila, jamais, mentit la nippone. Il paraît que ça nous amène à faire des choses qu’on regrette le lendemain.


Tu peux bien parler ma vieille. Dylan se rappelait d’une soirée où la tequila lui sembla inoffensive et à volonté. La pauvre se souvenait vaguement de sa nuit, mais au matin elle s’était réveillée au côté d’un jeune homme. Huit ans plus jeune qu’elle. Ce fut sa seule aventure au penchant de couguar et unique fois où elle avait bu de la tequila… Les yeux perdus dans le néant, ils glissèrent subitement vers le visage de son patient qui suait d’une longue goûte entre les sourcils.


On verra… Un sourire qui en disait long arqua ses lèvres roses. Malgré cette complicité naturelle entre eux, elle ne pouvait se permettre d’accepter son invitation… Ni même de la refuser. Il restait son patient. Autrement, ça aurait été un oui, sans aucune hésitation.


Oh, pardon. Tu as chaud.


Elle se leva d’un bond et s’approcha d’une fenêtre qu’elle ouvrit en la faisant coulisser. Très vite, un vent frais pénétra la pièce et surpris Dylan. Elle réalisait qu’elle avait également chaud. Le vent était agréable, enveloppant son visage d’une douce brise avant qu’elle ne s’écarte de la fenêtre.


Ça va comme ça ? Main appuyé sur le bord de la fenêtre, face à Moc. Tu veux peut-être un verre d’eau ?  


Depuis la fenêtre, elle avait une belle vue d’ensemble de son patient, assis sur son fauteuil. Elle voyait mieux ses muscles qui étiraient son costume, ses avant-bras qui dépassaient les manches trop courtes. D’autre aurait remarqué le malaise, le ridicule de l’accoutrement, mais pour la psychologue, c’était davantage de l’appréciation qui illuminait ses yeux. Les quelques mètres qui les séparaient étaient loin d’atténuer le sentiment intimidant qu’il dégageait.


La séance touche presque à sa fin… remarqua-t-elle également, voyant plus loin l’horloge qui indiquait qu’ils avaient presque terminé. Elle en regretta presque. Je vais devoir rencontrer ton agent de probation, lui parler un peu comment ça s’est déroulé… Il y a des choses que tu voudrais que j’évite de lui dire ? Je parle de là au niveau personnel…


C’est clair qu’elle évitera de tout lui révéler. Certains détails devront rester dans son bureau…


Tu as… autre chose à me dire ?


L’intonation de sa voix baissa, s’adoucit…
« Modifié: mardi 06 janvier 2015, 15:54:45 par Dylan E. Ellison »
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