[FINI] Illusion d'optique ? [Vehk]

Suspendue en l’air, Alice se faisait méchamment tringler. Le Dieu n’était pas tendre avec elle, mais, après tout, c’était précisément ce qu’elle lui avait demandé. D’être sautée,d’être baisée comme une traînée. Pour autant, elle ne s’était pas attendue à sentir en elle une verge aussi grosse. La vigueur de son amant avait durci, et solidement enflé, la remplissant, l’écartelant. Il continuait à la prendre, de plus en plus rapide, sans aucun obstacle pour les retenir. Alice gémissait et hurlait, sa mouille filant le long de ses cuisses, tombant ensuite sur le sol. Elle se disait que les gens en contrebas n’avaient qu’à lever la tête pour la voir... Sous l’effet de l’excitation, des idées de plus en plus perverses défilaient dans son esprit, ses inhibitions volant en éclat à chaque fois que le pieu de Vivec s’enfonçait en elle, ramonant son corps pour défoncer son clitoris, continuant à la faire hurler. Elle hurlait si fort qu’il était certainqu’on devait l’entendre. Et cette idée, loin de la gêner, ne contribuait en réalité qu’à l’exciter davantage ! Elle avait été bien formée, après tout, et elle ne cessait de le prouver. Vehk la prenait fermement, et elle se serrait contre elle.

Ses jambes relâchèrent le torse de l’homme, car elle était transportée par ce dernier, l’embrassant parfois, tout son corps en feu. De la sueur coulait le long de sa peau, et d’énormes plaques rouges grossissaient sur elle. Il la prenait avec vigueur, ce qui était très appréciable, mais également très épuisant. Alice était comblée, et elle entendit alors le Dieu hurler dans le creux de son oreille. L’être divin en voulait plus, il voulait que ce soit plus intense, plus violent, il voulait qu’elle hurle son plaisir. Son ton autoritaire et fort la faisait frémir, elle se mordilla les lèvres, serra ses doigts contre les épaules solides de l’être surnaturel.

« Ouiiiiiii... HAAAAAAAAAAAAAAAANN !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !! »

Difficile de dire autre chose, pour l’heure. Alice devait se concentrer, réfléchir calmement, et arriver à articuler... Mine de rien, avec cette épée qui la déchirait de l’intérieur, parler, s’exprimer autrement que par des borborygmes et des hurlements, n’était pas une mince affaire. Elle continuait à hurler, à gémir, griffant les épaules de l’homme, se blottissant contre lui, atteignant le Septième Ciel. Sa mouille inonda sa verge, et elle savait qu’il arrivait à se contrôler. N’était-il pas un Dieu, après tout ? Un être qui, par définition, pouvait se contrôler à la perfection ? Il devait sûrement se retenir de jouir, mais, pourtant, la Princesse sentait que son plaisir était sincère, qu’il était vraiment excité à l’idée de la prendre. Elle, tout en jouissant, continuait à s’imaginer prendre au milieu d’une assemblée. C’était pervers, c’était sale... Et c’était donc un fantasme délicieux.

Elle jouit généreusement, et continua à danser contre lui, à accompagner les mouvements de sa grosse queue. Néanmoins, maintenant qu’elle avait joui, Alice pouvait mieux se concentrer, elle pouvait réfléchir, et surtout envisager de lui répondre.

« Baise-moi... Hummm !!! Je... Haaaa... »

Elle l’embrassa, reprenant son souffle, sa respiration précipitée et accélérée.

« Ouiiii... Ton foutre-haaaannn !! Je veux le sentir... En moi, haaaaaaaaaaa !! »

Son second orgasme ne se fit pas attendre très longtemps. Quand Alice était dans le courant, elle se laissait porter, sans retour en arrière, et, comme le Dieu continuait à la prendre, il allait de soi qu’elle allait jouir à nouveau. Ce premier orgasme lui avait juste permis de reprendre un peu du poil de la bête, suffisamment pour retourner serrer ses jambes contre le torse de l’homme, et sentir à nouveau sa verge taper contre son utérus, maltraitant son clitoris, s’enfonçant en elle le plus loin possible. Il ne cherchait pas à la négliger, ni à atténuer la puissance de son vit, et, pour ça, Alice lui en était reconnaissante. Comment aurait-elle pu ne pas l’être ? Elle était en train de se faire superbement baiser. C’était terriblement intense, vibrant, jouissif, et le second orgasme vint donc. Elle s’abandonna en lui, généreusement, et se retrouva ensuite dans la chambre du Dieu.

La Princesse ne comprit pas tout de suite ce changement, car Vehk jouit alors en elle. Or, le moins qu’on puisse dire, c’est que l’orgasme du Dieu s’avéra... Divin. Il s’abandonna en elle, provoquant comme une explosion de sperme, jouissant pendant une longue minute, balançant des giclées de sperme, qui vinrent gonfler le ventre d’Alice. La Princesse pinça les lèvres en soupirant, le souffle rauque, sentant Vehk s’abandonner en elle, sans relâche. Le Dieu n’y allait pas délicatement, et le plaisir qui monta en Alice était proportionnel à ce qu’elle ressentait... Si intense que, pendant la longue érection de l’être surnaturel, elle eut une troisième érection, sa mouille venant se mélanger au sperme de l’être pour maculer le sol... Ou, plutôt, leurs cuisses respectives, et la couverture.

L’orgasme finit par se terminer, laissant une Alice pantoise, qui s’écrasa contre le torse de l’homme. Elle prit alors vraiment conscience qu’ils étaient entre quatre murs, sur un lit énorme avec des couvertures luxueuses. Elle respirait lentement, le souffle accéléré, tandis que le Dieu caressait tendrement son dos, son sexe toujours en elle. Elle sentait son sperme en elle, et, tandis qu’il reprenait son souffle, la jeune femme alla caresser son estomac. Elle avait un peu mal ici, mais elle savait que ça irait mieux d’ici quelques minutes, le temps que son organisme rejette ce surplus de sperme qui s’était perdu dans son estomac. Vehk semblait épuisé, mais ce ne fut que de courte durée, et il se rapprocha de son oreille, se mettant à parler, sur un ton langoureux, pour annoncer la suite des évènements. Un frisson traversa le corps de la Princesse, qui se mordilla les lèvres. Yeux baissés, elle les releva, et lui sourit, tendant une main pour caresser sa joue. Elle lui répondit en l’embrassant. Elle couina ensuite quand l’homme empoigna son cul, posant une main ferme dessus. Un soupir s’échappa de ses lèvres, et elle le poussa alors, l’étalant sur le lit. Sa verge était toujours en elle, tressautant entre ses jambes, et elle remua légèrement son torse, un sourire mutin sur les lèvres.

« À vos ordres, Majesté. »

C’était indéniable, maintenant : Alice se complaisait bien plus dans la soumission que dans le rôle de la dominatrice. C’était indéniable. Elle se redressa lentement, soupirant quand elle sentit cette verge se retirer d’elle, et délaissa derrière elle des filaments de sperme qui tombèrent en plein sur cette verge. Elle resta debout, soupirant, puis fléchit ensuite les genoux, se mettant en position accroupie devant ce sexe, et descendit ensuite, son buste filant vers le sol, sa tête se rapprochant de son sexe.

*C’est ça qui m’a prise ? Woah !*

Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était une belle queue ! Alice se pinça les lèvres en l’observant, sentant déjà entre ses cuisses un certain vide. Toute cette grosse queue était salie, le sperme glissant sur elle, avec probablement un mélange de mouille. Il y en avait aussi sur ses testicules, et Alice sentait son cœur s’emballer dans sa poitrine devant ce spectacle. Elle frissonna, se mordillant les lèvres, puis commença par lécher cette verge, comme une sorte de glace. La verge remuait délicatement, et elle se mit ensuite à l’embrasser, tout doucement, déposant des baisers tout le long de cette hampe, jusqu’à atteindre ses testicules, qu’elle se mit à lécher et à embrasser également, savourant ses poils pubiens. Une véritable petite traînée, qui s’appliquait à fond dans sa tâche : satisfaire le mieux possible cet être divin.

« Hum... Votre queue est si bonne, Maître. Pour la petite pute que je suis, c’est un véritable régal ! »

Alice parlait à voix basse, et alla ensuite entamer sa fellation, en gémissant de plaisir.

La « petite pute » comptait effectivement bien se régaler. Alice avait bien des facettes, et Vehk était en train de voir celle qui était née à force de rencontrer des gens comme Cirillia, Mélinda, Melendil, les Karistal, ou encore d’autres... Des gens qui, volontairement ou non, consciemment ou non, avaient progressivement déluré une femme qui, jusqu’à présent, n’avait été rien de plus qu’une jeune Princesse naïve, timide, pudique, incapable de comprendre ce qu’était le sexe, et en quoi sa singulière beauté était si attirante. Maintenant, elle savait, et, en privé, elle se laissait aller. C’était ce que disait le vieux dicton : les contraires se rassemblent, et, parfois, les opposés n’étaient que les versants d’une seule et même pièce. Dans le cas d’Alice, la jeune femme, si douce, si innocente, si naïve, pouvait laisser libre court à sa perversion. Quand on y assistait, on comprenait à quel point le sexe avait pu la marquer, et à quel point elle l’appliquait. Elle n’en laissait évidemment rien paraître en public. Sa vie avait été tellement brimée qu’elle n’avait pas d’état d’âme à se lâcher quand elle le pouvait... Par exemple quand elle avait face à elle le chibre d’un être divin. Elle l’avait astiqué, et continuait à le faire, admirant sa raideur.

Il avait joui en elle de manière phénoménale, et Alice était lentement en train de se vider, mais, pourtant, son membre était toujours aussi tendu. Une véritable queue en bois, une hampe qu’Alice léchait et embrassait, remontant dessus, filant pour jouer avec ses testicules, léchant les poils pubiens, prenant une boule dans sa bouche, avant de la relâcher, et de retourner à l’assaut de ce sexe. Tout était sagement ordonné et méticuleusement effectué chez elle. Alice se débrouillait plutôt bien, et la Princesse se faisait plaisir. Elle passa ensuite à la suite, et le prit en bouche.

« Mmmhmmm... »

Alice releva les yeux, croissant le regard du Dieu,et essaya de le maintenir, oscillant entre la vue de son torse et de son visage. Elle voulait sentir l’excitation perler dans ses yeux, et elle savait aussi que les gens aimaient bien ça, qu’on les regarde tout en leur astiquant le poireau. Elle se débrouillait donc, mais il fallait bien dire que cette queue était grosse. Alice soupira lentement, gémissant, les lèvres écartées, et enfonçait ce membre dans sa bouche, de plus en plus profondément. La principale difficulté, ici, était de ne pas oublier de respirer, et, comme sa bouche était pleine, elle préféra utiliser son nez, respirant par ses narines, tout en jouant avec le membre du Dieu. Elle le suça donc en aspirant l’air, ce qui creusait ses joues, dessinant des fossés à l’intérieur de ses joues.

Sa langue filait sous la partie inférieure de la verge, remontant dessus, glissant généreusement. Elle continuait à le lécher, glissant contre sa verge, filant d’avant en arrière, reprenant son souffle, prenant son temps pour pouvoir enfoncer ce membre le plus loin possible. Elle se faisait plaisir, optant pour quelques gorges profondes, mais elle ne pouvait pas laisser cette verge enfoncée trop longtemps dans sa bouche, car elle se sentait alors asphyxiée. Elle repartait alors en arrière, puis revenait en avant, gémissant quand cette grosse verge en allait presque jusqu’à déformer ses lèvres.

« Hum-hum... »

Sa main tenait le bout de la verge de l’homme, et, avec l’autre, elle alternait entre se caresser intimement et titiller les testicules de Vehk. Elle se laissait pleinement aller, et ne s’arrêterait que quand Vehk voudrait passer aux choses sérieuses. Entre-temps, Alice laissait défiler son imagination, ses fantasmes filant joyeusement dans son esprit, sans qu’elle ne cherche à les retenir.

Vehk mit fin à cette fellation quand il voulait passer à autre chose. Alice en fut presque déçue. Presque, car, pour le coup, elle n’aurait pas été contre l’idée de sentir la saveur d’un Dieu en elle. Sentir ce sperme filer dans sa bouche... Est-ce que ce sperme divin avait des propriétés spéciales ? Ou n’était-ce rien de plus que du sperme ? La question, au moins, méritait d’être posée ! Elle n’en aurait pas la réponse, car Vehk, après avoir plaqué la tête d’Alice, faisant gémir cette dernière, qui songea à nouveau à respirer par le nez, tout en remuant un peu sa langue. Il l’embrassa ensuite, se blottissant contre elle, sa verge tendue et humidifiée par la salive de la Princesse frottant contre elle. L’intéressée frissonnait de désir, et ce désir s’accrut encore quand le Dieu alla palper ses fesses. La Princesse se cambra en courbant son dos, le creusant, et sentit ensuite le majeur du Dieu titiller son fondement.

« Hum ! » soupira-t-elle.

Elle répondit en mordillant la lèvre du Dieu, et serra ses mains contre ses épaules, en sentant ce doigt s’insinuer en elle, glissant dans son fondement. La sodomie... Voilà bien une chose qui, jadis, avait eu le talent inné de l’effrayer sérieusement. Comment imaginer qu’un membre puisse se glisser... Là-dedans ?! Dans ce trou sombre et endroit qui en servait qu’à balancer des excréments ! Pour Alice, il avait été aussi incongrue de pénétrer son derrière que son devant, et, à la seule idée de s’imaginer le sexe, elle en avait eu des frissons. Non ! Inimaginable, impensable, même ! Et pourtant... Elle s’imaginait alors, dans sa naïveté d’enfant, que le sexe était une relation terrible, que les humains ne faisaient que par nécessité de procréer, et d’avoir un héritier. Quel intérêt y aurait-il, pour un homme, à pénétrer l’urine d’une femme, à sentir sa verge barboter dans ce bain acide ? Alors, pour ce qui était des fesses... Et maintenant... Tout avait changé, chez elle, quand elle avait remarqué qu’il n’était pas sale de glisser des doigts dans un sexe, et qu’on en ressortait pas forcément avec de l’urine, mais avec un autre liquide.  Cirillia lui avait fait boire de forcer la cyprine. Alice s’en rappelait encore. Elle tremblait comme une feuille, et Ciri’, avec sa patience légendaire, avait tiré Alice par les cheveux, la mettant face à ses doigts trempés de mouille, en la menaçant de la battre si elle ne léchait pas. Les joues rouges, Alice avait bu... Et elle avait avoué qu’elle aimait ça. Ensuite, elles avaient baisé comme des bêtes, pendant des heures. C’était l’un de ses plus beaux souvenirs, même si elle n’osait pas l’avouer.

Elle ne repoussa donc pas ce doigt qui s’enfonça en elle, et laissa Vehk jouer avec elle. En tant que Dieu, fidèle à la réputation des Dieux, il parla de lui à la troisième personne, et finit par lui soumettre une proposition des plus indécentes : qu’elle l’échauffe pour qu’il la prenne à l’aide de deux verges. Alice vit ce curieux spectacle. Il y avait une verge plus grosse que l’autre, et, alors qu’elle se retrouvait sur le lit, elle se retourna vers lui, souriant légèrement. L’idée était séduisante, mais Alice avait une idée derrière la tête, une petite idée qu’elle ne demandait qu’à exaucer.

« Si tu veux que je fasse ça, Vehk, il va falloir me proposer autre chose que ça... »

Elle prenait certainement un risque en parlant ainsi au Dieu, mais, de fait, dès qu’elle avait proposé de coucher avec lui, de rester avec lui ce soir, elle avait pris des risques. Sa main vint caresser son sexe, et elle se doigta délicatement sous les yeux de l’homme, couchée sur le flanc, des plaques rouges sur son corps. Elle utilisait deux de ses doigts, en enfonçant un, puis l’autre, soupirant légèrement. On pouvait entendre le bruit de succion que ses doigts faisaient quand ils rencontraient sa mouille.

Après avoir ménagé une courte pause, elle reprit :

« Puisque Vehk a adoré la manière dont sa ‘‘petite pute(/i]’’ lui a léché le sexe, Vehk ne devrait pas être contre l’idée de la prendre simultanément... Mais il devrait savoir que sa ‘‘petite pute’’ est une grosse gourmande, et que, puisqu’elle couche avec un homme ayant des pouvoirs aussi puissants, il se dédouble lui-même, plutôt que de se doter d’une seconde verge... »

Les yeux d’Alice pétillaient de malice devant son invitation. Être prise en sandwich, ça tenait du fantasme, sentir deux hommes en rut lui labourer sauvagement le corps en la faisant hurler comme une truie. Tandis qu’elle parlait, avec un sourire aguichant, elle se retourna lentement, et posa une main contre ses fesses, s’appuyant avec l’autre sur le lit, et entreprit de l’enfoncer dans sa porte arrière, remuant ensuite son bassin de droite à gauche, comme une espèce de traînée en manque. Tout était bon pour aguicher les hommes, et qu’ils soient mortels ou divins ils étaient sensibles aux mêmes types d’arguments.

« Vehk me prendra fort... Il me défoncera le cule t le corps, afin de me faire hurler... Prise entre lui et ses avatars, je ne pourrais rien faire d’autre que couiner au fur et à mesure que sa vigueur me perforera, et que ses soupirs et ses coups de reins me balanceront. »

Elle lui sourit à nouveau... Avant de se mordiller les lèvres.

Plutôt que de se dédoubler, Vehk choisit de se tripler. La gorge sèche, Alice vit ainsi, devant elle, trois Vehk se former, chacun étant nu, chacun avec un chibre conséquent, chacun prêt à la défoncer. Elle prenait des risques, évidemment, en jouant ainsi avec l’excitation d’un Dieu, mais, quitte à profiter d’un grand lit, quitte à coucher avec un être omniscient, autant voir les choses en grand, et ne se refuser aucun plaisir. Vehk n’allait pas la ménager, et c’était tant mieux, car, pour l’occasion, c’était exactement ce qu’Alice souhaitait ! Qu’il la prenne et la défonce sauvagement... Ou, plutôt, qu’ils la prennent ! Les trois s’avancèrent autour d’elle, et Alice sentit son excitation exploser, croissant à toute allure. Elle déglutit en les voyant l’entourer, lui promettant monts et merveilles, lui promettant de sauvagement la défoncer, de la prendre de partout. Dans sa tête, la gourmande perverse s’imaginait ce spectacle : trois queues plantées en elle, trois queues qui remueraient sauvagement pour la déchirer. Qu’elle était gâtée !

*Je dois être folle...*

La folie avait du bon, alors, et Alice se laissa bercer. Les trois êtres divins l’enveloppèrent, se frottant contre elle, et elle comprit rapidement la manière dont ils comptaient agencer leurs positions : un devant, un derrière, un dans sa bouche. Elle s’en pinça les lèvres. Ça allait être intense ! Alice tremblait sur le lit, et les deux Vehk la pénétrèrent alors mutuellement.

« Haaannn !! »

Alice ne put s’empêcher de hurler en sentant ces deux verges la prendre de concert, ramonant son corps avec force et avec une puissance terrifiante. Elle se sentit pleine en quelques secondes, à peine, et cligna des yeux à plusieurs reprises, papillonnant des paupières en sentant ces créatures vigoureuses la perforer joyeusement. Ils ne la ménageaient pas, exactement comme elle  le demandait, et la petite Princesse se laissait aller, soupirant et gémissant. Il lui était difficile de se retenir, et elle se mit à hurler furieusement, ses doigts se crispant sur la peau de Vehk, ses ongles s’enfonçant dans son corps. Elle hurla, encore et encore, voyant une verge devant elle, mais, pour le coup, elle était incapable de la prendre en bouche, subissant une véritable avalanche de plaisir. Le Dieu la défonçait lourdement, et Alice tremblait comme une feuille, ses dents claquant entre elles. Elle gémissait et soupirait, et finit par voir cette verge devant elle.

Suivant les ordres de Vehk, Alice prit cette verge en bouche, sans se servir de ses mains, préférant utiliser ces dernières pour se cramponner aux solides fesses de l’homme, y trouvant là un appui rassurant et solide. Sa tête remua d’avant en arrière. Elle avait déjà eu une formation, et il lui était donc plus facile d’agir. Cependant, elle se faisait surtout entraîner par son amant. Il fallait dire que les Vehk la baisaient plutôt bien, et que, pour l’occasion, la Princesse avait juste à se laisser bercer, et à suivre le rythme.

Elle mouillait entretemps comme une folle.

On la baisa à merveille. Ce qui suivit pendant plusieurs heures s’apparentait, peu ou prou, à une véritable tournante en bonne et due forme. Les trois membres tendues des Vehk la défonçaient allègrement, sans chercher à la ménager à aucun moment. Alice fut transportée dans une spirale de sexe et de luxure, incapable de s’accrocher à quoi que ce soit, dérivant librement. Son esprit se fracturait, s’envolant au loin, et elle remuait entre les corps solides et tendres des trois amants surexcités. La petite Princesse papillonnait des yeux en se faisant prendre, sans relâche, avec une vigueur renouvelée à chaque instant. Que pouvait-elle faire, si ce n’est subir, et se laisser aller ? La tornade l’emmenait, un véritable cyclone de cul qui malmenait tout son être, la faisant jouir, jouir, jouir, et encore jouir. Son corps était brisé par ce Dieu impatient et surexcité, et ses trois vit s’enfonçaient lourdement en elle, profondément, avec une forte intensité. Il ne la ménageait pas, ça non, et elle ne pouvait pas nier qu’elle adorait ça. Elle soupirait, les yeux révulsés, retrouvant difficilement son souffle, et sa maîtrise d’elle-même. Son beau corps était labouré de partout, remuant sur le lit, les Vehk grouillant autour d’elle comme des amants en rut, continuant à la prendre, encore, encore, encore !

Il était impossible de déterminer combien d’heures vinrent ainsi à s’écouler avant que les Vehk ne se vident en elle. Ils ne l’avaient pas ménagé. Le Dieu s’était montré assoiffé, torride, terrifiant. Alice sentit son corps se remplir de foutre, avant que les clones ne se dispersent, répandant généreusement leur foutre en elle, l’étouffant à moitié. Alice s’écroula sur le corps de Vehk, en sueur, le corps brisé, terrassé par une overdose de plaisir, une overdose qui l’avait laissé tremblante, du sperme s’échappant de son corps, de ses lèvres, de sa chatte, et de ses fesses rougies. Vehk était contre elle, et Alice était toute rouge, claquée.

« Haaaa... » gémissait-elle.

Elle sentait Vehk contre elle. Le Dieu semblait satisfait, et elle l’était aussi. Plus que de raison, même. Il l’avait défoncé, dans tous les sens du terme, et Alice était épuisée, le corps en miettes. Sa respiration était précipitée, son cœur tambourinait dans sa poitrine, sa vision était floue, et elle baignait dans un cocon de chaleur, un mélange de sueur et de sexe, crachant du sperme, sentant le goût de ce jus intime dans sa bouche, contre son corps couvert de sueur... Contre elle, le long de ses cuisses, elle sentait la verge de Vehk, salie. Cependant, même Alice avait ses limites. Elle n’était qu’une humaine, même si le sang du Dragon coulait dans ses veines.

La belle blonde était incapable de parler, et ne tarda pas à s’écrouler, son corps épuisé imposant de lui-même le sommeil du juste, afin de se remettre d’aplomb. Alice s’écroula donc, et dormit pesamment. L’adrénaline battait encore dans ses veines pour lui éviter les courbatures.

Le lendemain matin, ce serait une autre paire de manches.

Alice dormit du sommeil du juste, s’écroulant contre le corps du Dieu. Elle ne se réveilla pas une seule fois, son corps meurtri et cassé, et, si elle fit des rêves, elle les oublia totalement. Elle émergea progressivement, sentant sur son corps les mains du Dieu la parcourir. Ces attouchements discrets, ainsi que leur chaude nuit, et les traces de semence qui se collaient encore sur son corps, échauffèrent l’inconscient de la Princesse, l’excitant délicatement, attisant le feu qui brûlait en elle. On soufflait sur les braises, on attisait les flammes, et, Alice émergea peu à peu. Elle soupira en remuant faiblement, sa main venant glisser sur le torse de Vehk. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, et sentit alors l’être divin la réveiller par le biais d’un tendre baiser.

« Hum... »

C’était agréable, elle ne pouvait que le reconnaître. Elle se réveillait lentement, mais la petite Princesse était bien connue pour avoir le réveil difficile. Elle clignait lentement des yeux, se réveillant délicatement, se réveillant surtout sous la bonne augure du sexe et du désir. Ce baiser échauffait quelque chose dans le creux de ses reins. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, et Vehk lui proposa ensuite un bain.

« Haaa... Laisse-moi profiter un peu... De ce lit... » marmonna Alice.

Ils étaient sous la couverture, et sa main glissa mollement. Elle posa ses lèvres contre la nuque de Vehk, enfonçant ses seins contre son torse. Elle sentait qu’elle était sale, collante, mais, pour l’heure, ça ne le dérangeait pas. Elle profitait de la chaleur de son amant. Leur nuit avait été terrible, une étreinte aussi perverse que violente, et Alice jouait maintenant les prolongations. Sa main fila le long du torse de l’homme, et elle le masturba tendrement, sentant à nouveau cette belle virilité. Le bain ? Pas pour tout de suite, non... Pour l’heure, Alice devait se réveiller, et le Dieu devait comprendre que la jeune femme était plus résistante que ce qu’on pouvait croire. Il devait comprendre ce qu’elle voulait.

Alice soupira lentement, et l’embrassa sur le bout des lèvres, se déplaçant un peu. Son autre main s’appuya sur la nuque de l’homme, et elle se plaça, en essayant de l’inciter à venir au-dessus d’elle.

« Viens, Vehk... Viens, et prends-moi... »

Une partie de sexe au matin, quoi de mieux pour se réveiller ? Quand elle dormait avec Melendil, son bel amant elfique et garde du corps, c’était une routine qu’ils avaient pris. Elle se réveillait par un câlin sensuel devenant de plus en plus torride. Pour elle, c’était en effet la meilleure manière de se réveiller rapidement.

Toute sa crasse ne faisait que l’inciter à aller dans ce sens.

C’était lent et doux. Elle n’en demandait pas plus. Alice n’était pas encore pleinement réveillée... Elle l’était suffisamment pour avoir envie de sexe, ce qui était une conséquence directe de ce qu’elle avait vécu, de sa nuit chaude et torride. Son esprit était encore embrumé par les effluves agréables et les relents du sexe. Vehk s’installa sur elle, son membre glissant contre son intimité. Elle sentait cette vigueur, elle sentait son impatience, son envie, un désir croissant qui montait en lui. Alice frissonnait, et, quand il la pénétra, elle hoqueta, ses ongles s’enfonçant dans la chair du Dieu, la meurtrissant. Il remua en elle, son sexe glissant dans son corps. Il lui parlait, demandant à ce qu’elle reste assignée à son service.

« Haaannn... Haaannn !! » gémit Alice en réponse.

Elle était incapable de lui répondre, et se contenta de savourer les coups de reins du Dieu. Elle s’y attendait, à un coup comme celui-là. Un Dieu n’en faisait toujours qu’à lui, c’était bien pour ça que les humains s’en méfiaient. Tandis qu’Alice était comblée, et sentait le plaisir exploser en elle, une voix dans sa tête lui disait de prendre garde, et d’arrêter les frais. Elle n’était pas chez elle, et elle ne pouvait pas prendre de risques. Contredire un Dieu était quelque chose de dangereux à faire, mais Alice ne comptait pas s’enchaîner auprès lui. En fait, elle n’aurait sans doute jamais du accepter d’être avec lui, mais, quand on était dans son lit, et que Vehk vous enfournait, il était un peu tard pour avoir des remords. Elle laissa donc ce dernier la labourer, en pouvant rien faire pour le repousser, et n’ayant, de toute façon, pas envie de le repousser. C’était un bon amant, elle devait bien le reconnaître, et elle ne tarda pas à avoir un bel orgasme. Quoi de mieux, pour commencer la journée, qu’un orgasme ?

Tout ça lui rappelait son chez soi, quand ses propres amants la prenaient ainsi, notamment Melendil. Avec le bel elfe, c’était toujours un plaisir intense, et elle se crispait à lui, gémissant, ses gants caressant la peau nue et chaude de Melendil. Celle de Vehk était également chaude... Mais un peu moins. Il suait moins que son amant elfique, ce qui, en soi, n’était pas surprenant. Il était un Dieu, après tout. On ne pouvait pas attendre de lui qu’il soit aussi facile à épuiser que les hommes.

« Hum... »

En sueur, Alice repoussa délicatement le Dieu, et se redressa. Elle s’essuya les yeux, son cœur bondissant dans sa poitrine, tous ses sens en ébullition. Les joues d’Alice étaient rouges, mais la jeune Princesse était maintenant pleinement réveillée, pleinement alerte... Et elle se rappelait clairement de ce que Vehk avait dit, de la proposition qu’il lui avait faite. Une cage dorée. Pour autant, Alice ne devait pas oublier dans quelle situation elle était. Au moins, elle avait réussi à impressionner le Dieu... Peut-être même un peu trop, maintenant qu’il voulait s’attacher à elle. Elle devait trouver une parade, un moyen de rentrer chez elle

« Tu es un amant talentueux, Vehk », reconnut-elle.

Elle était toujours assise sur le lit, offrant son dos à la vue de l’homme, avec ses longs cheveux. Se refuser à un homme était toujours dangereux, alors un Dieu... Sous-estimer la part de sexisme inhérente à chaque homme était une erreur, mais Alice n’avait pas le choix.

« Mais j’ai déjà un royaume, et je ne peux pas faire faux bond à mes futurs sujets. J’appartiens déjà à quelqu’un. Comme toi tu guides ton peuple, moi, je guide le mien. »

Et il n’y avait pas d’alternative possible.

Vehk s’empressa de rectifier le tir, ne voulant pas rester sur un malentendu entre lui et la Princesse. Se glissant contre son dos, il lui indiqua en effet que ce qu’il lui avait dit ne devait pas être pris au sérieux, que ce n’était là que les élucubrations d’un homme excité par une femme, racontant n’importe quoi sous l’effet du désir, juste pour l’exciter. Juste… Alice savait que toute parole avait un fond de vérité, ce qui valait aussi bien pour les mortels que pour les immortels. Elle n’était pas dupe, non, elle savait que Vehk l’appréciait, et sa méfiance était sincère. Même sous l’effet de l’excitation, il y avait, dans ce que le Dieu avait dit, un substrat de vérité. Il la voulait, et elle devait se méfier.

Inversement, la petite Princesse devait aussi se méfier de ne pas le décevoir. Un jeu avec un Dieu était un jeu dangereux, car les deux parties n’étaient pas sur un pied d’égalité. Se louvoyant contre son dos, l’enlaçant entre ses bras puissants, Vehk lui indiqua qu’elle pouvait lui demander ce qu’elle voulait. Pour lui, c’était une manière de se faire pardonner son comportement. Demander ce qu’elle voulait. Blottie contre lui, Alice se retourna lentement, et posa une main sur sa joue, caressant sa peau, avant d’aller tendrement l’embrasser, pressant ses lèvres contre les siennes. Ce fut un tendre baiser, et, tandis que le Dieu utilisait sa magie, sur le sol, le collier dragonique d’Alice se mit à luire, vibrant en canalisant la magie qui était envoyée à sa propriétaire. Tant qu’il restait près d’elle (et il devait toujours y rester) le médaillon magique produirait ses précieux effets, protégeant sa légitime propriétaire. Il la protégeait notamment contre les sortilèges magiques, mais, ici, Alice était relativement consentante avec ce qu’elle subissait, ce qui faisait que la protection était relativement faible.

La petite Princesse mit donc à gémir en se hissant sur l’homme, posant ses mains sur les lourdes épaules de l’intéressée, et l’embrassa dans le cou, mordillant sa peau

« Hum… Ce que je veux… Il est dangereux de faire une telle proposition à une princesse, Vehk… »

C’était même très dangereux, car il était bien connu que les princesses étaient gourmandes. Elle se mordilla à nouveau les lèvres en regardant l’être divin, comme si elle réfléchissait. Que demander ? Et si tout cela était un stratagème pour s’emparer d’elle ? Ne commençait-elle pas à devenir légèrement paranoïaque ? Alice cligna lentement des yeux, plusieurs idées contradictoires défilant dans son esprit, et elle se rehaussa contre l’homme, s’appuyant sur ses épaules, ses seins venant frôler son torse, frottant sa peau. Comment douter alors qu’Alice soit une femme très tactile et très physique ? Elle s’écarta à nouveau de l’homme, s’asseyant sur le lit.

« Je n’ose croire qu’un Dieu aussi vigoureux n’ait pas avec lui un quelconque harem… Je veux prendre mon bain avec toi… Et avec elles, si elles existent. »

Une lueur malicieuse brûlait dans le regard de la Princesse.

Quand on vous disait qu’elle était perverse !

À la surprise d’Alice, Vehk lui annonça qu’il n’avait pas de harem. De la part d’un individu se prétendant aussi puissant, elle se serait attendue au contraire... Cependant, il avait bien une salle de bains, et il y convia Alice en la portant, cette dernière sentant, contre son bassin, glissant le long de sa peau chaude et tendre, la verge tendue du Dieu. Elle s’enroula contre lui. Un Dieu ne connaissait pas la fatigue, mais, même pour autant, Alice n’aimait pas trop qu’on la porte ainsi. Elle avait l’impression de se sentir impotente, incapable, mais, en l’état, elle ne pouvait pas dire grand-chose, d’autant plus que son corps était encore éprouvé par leur intense nuit. Il lui suffisait de fermer les yeux, de se presser contre Vehk, pour ressentir les effluves de la nuit passée... Lui et ses deux clones la prenant avec voracité, sans relâche, la défonçant dans tous les sens possibles... Elle se revoyait, en fermant les yeux, cette scène intense, aussi violente que sensuelle, avec ces trois queues plantées en elle, la torturant, l’opprimant... Ohlàlà, ça avait vraiment été intense !

Vehk conduisit Alice dans la salle de bains, comprenant un grand bassin, et commença à la peloter. Elle se laissait faire, assise contre lui, le duo ressemblant presque à un couple. L’une des mains du Dieu fila le long de son dos, malaxant ses fesses, faisant frémir l’intéressée, l’autre allant peloter l’un de ses seins, le soupesant, le titillant. Alice gémissait à nouveau, ses mains se serrant sur les épaules de Vehk, ses ongles se pressant contre sa peau. Jusqu’à quel point pouvait-elle se fier à ce Dieu ? De quoi parlait-il donc avec cette « personne » ? Un autre homme ? Un autre amant qui viendrait la prendre ? La Princesse était évidemment curieuse, et soupirait, gémissant lentement, le plaisir remontant. Le Dieu attisait son désir, maintenant les braises en soufflant dessus. Il était doué, elle ne pouvait pas la nier, et elle aimait ça. Elle l’adorait, même ! Elle entendit alors des bruits dans son dos, et se retourna lentement, pivotant sur le côté.

Une superbe femme venait d’entrer dans la salle. C’était une elfe noire, une Drow, reconnaissable à sa couleur de peau, sa beauté, et ses longues oreilles pointues. Elle portait une courte armure, et Alice ne put s’empêcher de loucher sur ses formes. Cette femme était vraiment très belle. Elle s’avança lentement, dans un déhanché terriblement sexy et provocant. Elle roulait des hanches, et pénétra dans le bassin, descendant en observant sensuellement Vehk et Alice... Mais surtout le Dieu. Elle se rapprocha, et Alice la vit se pencher. L’elfe noire ne disait rien, et elle avança ses mains. La Princesse se demanda si elle n’allait pas la peloter, mais, quand elle la vit masturber le sexe du Dieu, elle rougit, et s’écarta légèrement, se redressant un peu. Vehk, en soupirant, lui expliqua alors que le rôle de cette femme était d’être ensemencée par le Dieu, de porter son enfant... Alice rougit délicatement. Ce qu’elle en disait ? Ceci méritait réflexion. Elle se mordilla les lèvres, et se rehaussa un peu. L’elfe noire, elle, continuait à masturber le Dieu.

« J’en dis que vous avez intérêt à ensemencer le bon trou, Dieu... Et que vous savez bien vous entourer. »

La femme continuait à le masturber, et Alice s’écarta alors, se glissant elle aussi dans l’eau chaude. Elle arriva à côté de la femme, face au Dieu, et alla alors le masturber à son tour. Les deux femmes s’observèrent ensuite, avant qu’Alice ne se penche contre elle, l’embrassant tendrement. Les deux femmes se blottirent l’une contre l’autre, sans rien dire entre elles, se contentant de s’embrasser mutuellement. La langue d’Alice fila dans al bouche de la femme, remuant contre elle, et sa main se releva pour caresser ses cheveux, tandis que la femme, à son tour, alla palper le cul d’Alice. La Princesse gémit, se pressa contre l’armure de la femme. Les mains gantées de l’elfe sur ses fesses la faisaient frémir, provoquant un délicieux contraste. Elles s’embrassèrent ainsi pendant une bonne minute, gémissant mutuellement, avant de rompre le baiser.

Alice lui sourit, et la femme lui rendit son sourire.

« Allons le sucer ensemble... Qu’il répande sa semence en toi de manière divine... »

Cette idée sembla provoquer chez l’elfe une sorte de fantasme éveillé, car ses yeux s’illuminèrent. L’elfe et Alice s’abaissèrent ensuite, et chacune lécha la verge de l’homme, chacun de son côté, leurs langues glissant le long de cette hampe de chair, l’embrassant, la mordillant, frottant leurs visages contre ce monceau de chair, glissant de haut en bas sur ce dernier. La femme à la peau sombre prit finalement ce sexe en bouche, et Alice, en se baissant, alla lécher et embrasser ses bourses, les suçant à son tour.

Au moins, Vehk ne pourrait pas se plaindre qu’on ne s’occupe pas assez bien de lui.

Alice ignorait que cette femme était le Grand Maître du Morag Tong, et, même si elle l’avait su, elle ne voyait pas très bien ce qu’elle aurait pu faire de cette information.  Elle ne connaissait pas encore assez ce monde pour relever toute l’importance de cette information, et, tout ce qu’elle voyait, c’était une belle femme évoquant pour elle une Drow. Elles s’étaient tendrement embrassées, et étaient maintenant occupées à s’occuper du chibre de leur divin amant. Alice était transportée par cette eau, se sentant ailleurs, dans un monde fait de pure perversion, et elle continuait à astiquer le membre de Vehk en soupirant, sentant ce dernier se laisser aller. Sa verge était tendue, probablement dès qu’il avait vu ces deux femmes s’embrasser. Un spectacle de lesbiennes... Aucun homme ne pouvait y résister, de son expérience personnelle. Sa verge avait commencé à se raidir sous ce spectacle, et elle ne faisait qu’enfler, maintenant... Elle était si dure. Quand la femme à la peau sombre se redressa pour embrasser l’homme, Alice reste seule face à ce sexe, rougissant légèrement, et le pressa. Elle croirait presque revoir son Melendil quand elle le faisait languir. La Princesse pouvait être terriblement joueuse avec ses amants, mais, avec Vehk, elle ne comptait pas le narguer. Elle ne jouait pas à domicile, et elle sentait bien qu’elle n’avait pas besoin d’insister pour que cet homme bande. Alice, en réalité, était alors bien loin de se douter que, de ce trio improbable, elle était celle qui avait la plus forte expérience sexuelle !

La mystérieuse femme en armure s’enlaçait contre le corps du Dieu en gémissant, laissant à Alice le reste. Elle avait presque le sentiment d’être celle invitée pour tenir la chandelle, mais, depuis sa position, Alice n’était pas totalement effacée. Elle laissa planer quelques secondes, et continua à caresser le sexe de l’homme, avant de se redresser, et de commencer à agir. La femme portait un string dévoilant ses belles fesses, et Alice se pencha vers ces dernières, les léchant et les embrassant, les pelotant avec ses mains. Elle avait toujours été attirée par les femmes de couleur comme elle, et il était donc tout à fait naturel qu’elle s’attaque à ce corps délicieux. Ses mains s’agrippaient à la ficelle de ce sous-vêtement, et elle l’écarta progressivement, aventurant sa langue, toujours plus joueuse, jusqu’à atteindre l’intimité de cette femme, qu’elle lécha depuis sa position. Alice avait en effet bien compris que Vehk comptait la pénétrer, et elle entreprenait donc de lubrifier cette délicate intimité, afin de préparer la femme à cette pénétration. Vu la grosse verge joufflue qui l’attendait, c’était un bien maigre cadeau qu’Alice pouvait lui faire.

La Princesse la lécha donc, tandis que sa main continuait à glisser le long de ce vit. Elle le pressait, le masturbant encore, le grattant ensuite avec ses ongles, remontant tendrement contre ce sexe. Caresser un phallus, c’était curieusement très agréable. Cette texture était indescriptible, étant à la fois molle et dure, douce et sèche. Il était impossible de la décrire précisément, mais la caresser était tellement agréable. Alice continuait à agir, et écartait son visage pour retourner embrasser et mordiller les fesses de la femme, remontant ensuite contre son dos.

« Hum... »

Alice ne disait rien, ne voulant pas les interrompre. Elle avait déjà fait l’amour à trois, et même à plus. Cette expérience sexuelle perverse, elle la devait essentiellement à Mélinda Warren, la délicieuse vampire, qui s’était occupée de la former comme il le fallait, de lui enseigner des plaisirs lubriques d’une intense perversion. Alice était une bonne élève, elle avait bien retenu ses leçons.

Et elle les appliquait en ce moment.

Alice avait su que, dès le moment où elle invitait une tierce personne à les rejoindre, leurs ébats n’en seraient que plus sulfureux encore. Ce point de vue ne vint pas à se démentir. Cette femme était muette, ce que la Princesse réalisa définitivement quand elle s’écarta pour laisser à Vehk le soin de la tourner. Le visage de la femme baignait de plaisir, ses yeux brûlant d’une intense envie de sexe. Une lueur délectable pour Alice, qui s’humecta les lèvres, avant de voir que le bassin de la femme était plaqué contre le corps du Dieu, et que ce dernier invitait Alice à s’empaler sur sa queue, de la manière qui convenait le mieux.

Il y a quelques années, elle aurait trouvé cette scène complètement surréaliste, sortie de l’imagination fantasmagorique délirante d’un homme fou de désir, empreint de la plus folle des envies. Maintenant, son esprit analysait calmement la requête. Une sodomie ? Vu leur position respective, la présence de l’eau, et le fait que, après tout, on était encore le matin, la Princesse ne voulait pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Le reste, en revanche… Elle eut rapidement son idée derrière la tête, et se redressa lentement, un sourire mielleux sur le coin des lèvres.

« Si c’est pour la former, alors… »

Est-ce que ça voulait dire qu’elle était encore vierge ? Alice ne le savait pas trop… Elle était belle, mais, si elle s’était réservée pour son Dieu, il était possible qu’elle n’avait jamais goûté au désir. Pour une éventuelle vierge, elle se comportait plutôt bien. Elle avait sûrement déjà du faire l’amour avec des femmes. Vehk pétrissait généreusement les seins de la femme, et Alice les rejoignit, s’asseyant contre les deux, se reposant sur les larges cuisses de l’homme, ainsi que sur les épaules de la femme. Leur position était vraiment très précaire, Alice n’étant maintenue en équilibre que par les jambes du Dieu, sur lesquelles elle se retenait tant bien que mal. Elle alla embrasser à nouveau la femme, soupirant, et, lentement, abaissa son corps, pour s’empaler sur la hampe de chair tendue de son partenaire divin.

« Haaannn !! »

Un délicieux soupir s’échappa des lèvres entrouvertes de la Princesse, qui soupirait de plaisir, et remua son corps de haut en bas, glissant le long de ce membre. Il était gros, tendu, remplissant sa chair, la pénétrant rudement, et son corps se serrait contre celui de la femme, leurs chairs claquant mutuellement, leurs lèvres collées ensemble dans un long baiser langoureux. Elles s’écrasaient contre le corps de Vehk, son membre s’engloutissant dans le corps d’Alice, qui hoquetait et gémissait, devant à nouveau se faire à ce contact impérial. C’est que le Dieu avait une bien grosse verge, une queue magnifique, qui la défonçait de l’intérieur, remontant dans tout son corps.

La Dunmer, de son côté, répondait au baiser de la femme, et la Princesse eut même l’agréable plaisir de sentir, contre ses fesses, les mains de sa partenaire s’y appuyer, les pressant tendrement, les malaxant, transportant Alice dans un torrent de plaisir et de douceur infinie.

C’était tout simplement TROP bon !

Empalée sur la verge de l’homme, Alice laissait les souvenirs revenir en elle, affluant à toute allure. Son esprit revenait toujours sur le moment où elle avait été pénétrée par les trois Vehk… Comment ne pas repenser à ce moment ? Elle avait été remplie par trois virilités énormes, plantées lourdement en elle, qui la défonçaient mutuellement, dans tous les sens. Sa salive glissait le long de son corps, et elle ne pouvait que subir, subir une vague de plaisir qui avait littéralement explosé en elle, la renversant sur place, la laissant en pièces. Ce moment avait été délicieux, exquis, une avalanche d’orgasmes, et ce qu’elle vivait en ce moment n’en était que le prolongement direct et bienvenu. Ses lèvres glissaient sur celles de la Dunmer, Alice haletant et gémissant, son bassin collé au sien. Vehk était un Dieu entreprenant et vigoureux, à même de satisfaire l’appétit de la femme, et sentir en elle cette verge la remplir… Voilà qui était superbe. Tout ici était magnifique. Les deux femmes assises sur le corps de l’homme, la résistance du Dieu, la manière dont il essayait de satisfaire les deux à la fois…

Le Dieu en voulait plus, Alice le sentait. Il était gourmand, très gourmand, mais elle le comprenait. Quand on avait deux femmes aussi jolies sur les genoux, il semblait naturel d’avoir des envies osées et perverses. Alice était naturellement douée pour stimuler ce genre de pulsions. Elle s’appuyait sur les épaules de la Dunmer pour onduler, leurs seins se frottant, les mains de cette dernière se posant sur ses hanches, avant de glisser plus bas, dans le creux de ses reins, palpant les fesses de la Princesse.

« Hummmm… » gémissait l’intéressée, poussant de longs soupirs de plaisir.

Cette invitée était plus perverse qu’il n’y paraissait, et le prouva en aventurant ses doigts près de la rondelle d’Alice. L’un de ses doigts s’enfonça dans son fondement, tandis que les lèvres de la femme se posèrent sur ses seins, en emprisonnant un, le suçant à hauteur du téton, ses dents mordillant sa chair, sa langue glissant dessus. On pouvait alors entendre Alice hurler de plaisir, poussant de longs cris de plaisir. Sur ses cuisses, elle sentait la mouille de la femme, leur chaleur corporelle se mélangeant ensemble. Elles étaient comme deux filles face à leur insatiable père à la verge démesurée, un amant gourmand et furieux, dont le phallus labourait sa chair.

Pour elle, cette sensation d’être écartelée était délectable, magnifique. Et, encore, dans sa tête, l’image des trois Vehk la prenant sur le lit dominait.  Le sexe avait vraiment la force de rapprocher les nations et les peuples. L’une des mains d’Alice se crispa sur les cheveux de la femme, et elle l’embrassa à nouveau. Cette dernière avait bien du mal à sucer son sein, car Alice remuait de haut en bas, ondulant en rythme avec la verge de Vehk, essayant d’accélérer le rythme, mais cherchant surtout à bien enfoncer cette verge. Elle s’enfonçait parfois si profondément que la Princesse en sentait les bourses de l’homme, tapant contre ses fesses. La Dunmer avait glissé deux doigts en elle, les remuant frénétiquement.

« En… Encore, haaaannn…, gémissait Alice. Bai-Baisez-moooiii !! »

Sa salive sortait parfois de ses lèvres sous l’effet du plaisir, car elle n’arrivait pas à la retenir, tout son corps étant en ébullition sous les effets de cette partie de sexe. La Dunmer s’échauffait avec elle avant le grand show avec Vehk… Et lui, de son côté, retirait le trop plein qui bouillonnait dans son corps.

Autant dire qu’elle était comblée.

Leur pénétration était ardente, plongeant Alice dans une tornade de sexe, accrue par les attouchements de leur amante. Néanmoins, c’en fut trop pour Vehk. Il voulait enfanter cette femme, sans pour autant manquer de respect à la Princesse. De respect… En la défonçant comme une truie, il n’était pas sûr que ce soit vraiment le mot le plus indiqué, mais c’était le seul qui venait à l’esprit de la Princesse pour décrire cette situation. Vehk avait visiblement su remarquer ce qui plaisait à son invitée, car, tout en la repoussant, il la mit entre les mains de trois clones de lui-même. Trois Vehks lui faisaient face dans l’eau, tandis que la version d’origine allait pénétrer la femme. Les griffes de la mystérieuse femme heurtèrent le dos de l’homme, tandis qu’elle disparaissait sous lui, s’enlaçant en gémissant. Alice, quant à elle, ne resta pas trop longtemps en paix. Les Vehks la saisirent, et deux la prirent en sandwich, la pénétrant lourdement.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNN !! » tonna la Princesse.

Elle était prise entre deux clones du Dieu, qui la labourait, exauçant l’un de ses fantasmes, faisant remuer l’eau contre eux, leurs membres tendus s’enfonçant en elle. C’était bien plus violent que ce que Vehk faisait actuellement avec l’autre femme, et Alice supposa que c’était sa manière, à lui, d’exprimer son trop-plein d’envie, afin de ne pas se ruer sauvagement sur elle. En un sens, Alice était flattée… Mais elle passait surtout son temps à hurler et à s’époumoner, griffant le torse devant elle, sentant des mains avides peloter son corps, glissant le long de ses jambes, de ses cuisses, pinçant ses seins, griffant son corps rougi et trempé. Ils ne cherchaient pas du tout à la ménager, et elle ne pouvait guère le leur en tenir rigueur. Tout ça était intense, très intense pour elle, mettant à l’épreuve sa constitution physique, sa résistance, et son endurance. Ils la prenaient sans ménagement, pendant de longues minutes, des minutes qui défilèrent comme des secondes.

Alice eut plusieurs orgasmes, avant de les sentir la remplir, puis un Vehk se glissa dans l’eau, n’ayant pas besoin de respirer, et elle s’empala sur lui. Son hurlement mourut quand les deux autres se présentèrent face à elle, enfouissant leurs verges dans sa bouche, les sexes se heurtant entre eux, les mains fermes et puissantes des deux clones saisissant sa tête, l’immobilisant, tandis qu’ils la bourraient, donnant d’impitoyables coups avec leurs sexes, faisant basculer la tête de la Princesse vers l’arrière. Poupée de chiffon entre leurs mains, elle les laissait la violer, leurs membres heurtant sa gorge, multipliant les gorges profondes. La salive de la Princesse glissait le long de sa bouche, cette dernière n’arrivant plus à la retenir.

Encore une fois, les orgasmes vinrent en série, les trois clones jouissant en elle. Ils la prirent ensuite dans une autre position, le sperme s’écoulant de ses lèvres pour glisser sur ses seins. Vagin, anus, et bouche… Elle se retrouva prise dans toutes les positions, dans une posture similaire à cette nuit, la tête en bas, les testicules du troisième clone vehkien heurtant son nez et ses yeux. Ils jouirent encore, gonflant son estomac, mais ne s’arrêtèrent pas là.

« Haaa… Haaaa… »

Elle se retrouva à nouveau assise au milieu de la piscine, un amant entre les cuisses. Cependant, il n’y avait pas que deux Vehks face à elle, mais plusieurs, formant un cercle. C’était comme si le plaisir de la Princesse les amenait à se décupler. Elle les masturbait, les suçait, véritable traînée royale, ses deux mains glissant sur de belles verges, sa bouche prise frénétiquement d’assaut par un amant furieux que s’agrippait à ses cheveux, donnant des coups secs. Il jouissait en elle, t un autre le remplaçait, tandis que son bassin était en feu, traversé par les ondes désir d’un phallus énorme perforant son vagin, écrabouillant son clitoris.

Ils jouirent tous sur elle au bout d’un moment, la recouvrant de sperme, au milieu des hurlements de la Princesse.

L’eau était froide. Dieu seul sait depuis combien d’heures les clones du Dieu la baisaient, usant de leur magie pour renouveler sa vigueur, retournant la prendre, encore et encore. Ils suçaient ses seins, frottaient leurs verges contre son corps, ‘enfermant dans une intense orgie, interminable, et ô combien, ô combien, jouissive.

La deuxième journée se fondit dans une spirale de plaisir et de sexe. Alice se retrouva dans le lit de Vehk, complètement épuisé, le ventre arrondi par cette journée de baise en tout sens. Tout son corps lui faisait mal, mais ce ne fut pas pour autant qu’elle put longtemps goûter à une nuit sereine et apaisante. Alice passa en réalité la majorité de sa nuit dans les toilettes, vidant son ventre défoncé dans le pot. Ce ne fut guère glamour, guère élégant. La Princesse prouva qu’elle était une humaine comme les autres en pétant, en pissant comme une fontaine, et en chiant tout autant. À chaque fois qu’elle sortait des toilettes, en se tenant le ventre, les jambes transformées en poteaux en bois, elle y revenait, vidant à nouveau son corps, s’en faisant mal au bide en se vidant. Elle avait été bien remplie, et son organisme avait été proche de la saturation. Quand elle retournait dans la chambre, elle voyait les deux amants revenir, avec un bébé divin dans le ventre de cette mystérieuse femme. Elle les trouvait mignons.

Ensuite, elle retournait sur le pot, et se vidait, l’esprit encore embrumé par ces heures et ces heures de sexe. Ça avait été terrible, oui.

*Si l’amour avec les Dieux fonctionne toujours comme ça, je crois que je vais préférer le contact des humains... C’est moins fatigant, et je ne passe pas ma nuit à chier !*

La Princesse de Sylvandell était glorieuse ainsi, sur les toilettes, où elle y passa l’essentiel de la nuit. Fort heureusement, elle ne vomit pas, tandis que son ventre, peu à peu, décroissait. Elle passait surtout son temps à uriner, recrachant le sperme en l’entrecoupant d’urine, devant parfois boire pour que sa vessie s’enclenche, et que le mécanisme s’opère. Alice était épuisée, et, pour autant, elle n’avait pas envie de retourner dans le lit. Elle se sentait de trop entre Vehk et cette autre femme, dont elle ne connaissait même pas le nom.

Son ventre dégrossissait lentement, et elle somnolait, en se disant que, demain, elle rentrerait chez elle.

Les négociations étaient positives, et elle ne pensait pas que ce Vehk était un ennemi. Soulagée, elle retourna ensuite se coucher dans le lit.