Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

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Félicia Hardy

Humain(e)

Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

lundi 28 avril 2014, 02:31:14

Elles se roulaient une sacrée pelle depuis plusieurs minutes lorsque le téléphone de Tracy se mit à sonner. C’était un beau téléphone rose dernier cri, une touche d’exotisme et de sensualité pour cette fille. À contrecœur, elle rompit le baiser qu’elle était en train d’administrer depuis plusieurs minutes à la belle femme noire se tenant contre le mur, Candy. Candy restait avec une délicieuse impression sur le bord des lèvres, un léger frisson. Elle était contre le mur, près d’un élégant tableau, dans un luxueux couloir menant tout droit vers les quartiers du patron.

« Quoi ? s’exclama Tracy dans le téléphone. Ah... Et il a parlé ? »

Candy frissonnait en voyant Tracy devant elle. Ce n’était pas la première fois que les deux femmes s’embrassaient, ou même se faisaient l’amour sur leur lieu de travail. Le patron n’était pas contre, et les deux femmes n’allaient pas se gêner. Sur ce point, Candy était beaucoup plus coquine que Tracy, et, tandis que la femme parlait dans le téléphone, elle retourna à l’assaut, l’embrassant dans le cou, mordillant cette dernière. Les deux femmes portaient d’élégantes tenues, des costumes qui étaient à la fois sexy et impressionnants. Elles étaient très proches entre elles, comme on pouvait le voir... Et étaient également potentiellement des psychopathes. Après tout, quand on travaillait pour Le Pingouin, il ne fallait pas s’attendre à être sain d’esprit.

Tracy discutait au téléphone avec un homme qui était dans les parties inférieures du Salon de l’Iceberg, en train de câliner un Yakuza. Récemment, l’organisation du Pingouin avait souffert de la concurrence émanant d’un clan yakuza, et le patron avait décidé de réagir. Ses hommes avaient capturé un kyodai, et étaient en train de l’interroger pour savoir où la cargaison du patron se trouvait. Tracy avait en personne commencé à l’interroger, et avait hésité à appeler Candy. Si Tracy était la « rigide » du duo, Candy, elle, était la « détendue ». Elle mouillait quand elle torturait ses victimes, et le faisait toujours avec un certain régal. Elle l’aurait bien fait, si on ne lui avait pas dit que le patron voudrait les voir.

« Et bien, continuez à le cuisiner ! Vous tenez vraiment à ce que je dise au patron que vous n’arrivez pas à le faire parler ?... Alors, allez-y franchement, y en a marre que je sois toujours derrière vous pour vous forcer à vous remuer le cul ! »

Candy adorait quand Tracy hurlait, ou la voir torturer les gens. Les deux femmes étaient faites pour s’entendre, et l’avaient senti dès qu’elles s’étaient vues. Malgré leur sadisme, elles étaient très professionnelles, et obéissaient scrupuleusement aux ordres du patron. Candy recommençait à l’embrasser, et Tracy dut la pousser.

« Mmmhhmm... ronronna la belle panthère.
 -  Le patron veut nous voir, Candy. »

Un sourire pervers éclaira les lèvres de Candy, mais elle remisa tout de même sa coiffure, avant de suivre Tracy vers la double porte menant au bureau du patron. Tracy appuya sur le bouton de l’interphone. Elle ne voulait pas déranger le patron, et attendit que le voyant passe au vert, que la porte se déverrouille, pour entrer.

Elle supposait que le patron voulait les voir pour ce Yakuza récalcitrant... Ou bien pour satisfaire ses envies. L’une dans l’autre, Tracy et Candy étaient des employées dévouées.



Il y avait plusieurs entrées dans l’Iceberg Lounge, cœur économique des activités légales et illégales d’Oswald Cobblepot, alias « Le Pingouin ». L’un de ces entrées se trouvait à l’arrière le long d’une ruelle où les employés vidaient les poubelles du restaurant, ou accueillaient la nourriture... Et d’autres choses. Un camion était justement là, déchargeant des caisses remplies de bouteilles de vins, de morceaux de poissons et de crustacés. Au Japon, il fallait aimer le poisson. On déchargeait les caisses dans les entrepôts du salon, se dépêchant, car chacun savait que le patron n’aimait pas quand les choses traînaient.

Un homme était dans un coin, en train de fumer en douceur. Il savait que la législation antitabac était particulièrement sévère au Japon, et il ne voulait pas se faire surprendre en train de s’en griller une. Il se détendait donc, en se disant qu’il aurait bientôt fini sa soirée, qu’il pourrait rentrer chez lui. Sa copine serait encore réveillée, avec un peu de chance. Il pensait à la folle nuit d’amour qu’il allait passer quand une silhouette sombre s’écrasa sur lui, l’assommant sur le coup, dans un léger soupir.

Félicia Hardy, enroulée dans sa combinaison noirâtre, traîna discrètement le corps inanimé à côté des poubelles. Elle aurait bien aimé ne pas avoir à l’assommer, mais le temps lui manquait. Elle se cacha contre un pilier, regardant en coin le camion de transport de marchandises.

*À nous deux, Cobblepot...* se dit-elle alors.

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 1 lundi 28 avril 2014, 10:11:48

Le Pingouin était assis seul dans son bureau, toujours dans la pénombre, en attendant les nombreux coups de fil de ses hommes de main qui lui donnait un suivi en temps réel des opérations qui lui permettrait de prendre le contrôle de la pègre de la ville. Avec un long cigare à la bouche, et des vêtements assez exotiques comme son dernier manteau qui était constitué de fourrure d'ours polaire. Il était ravi de savoir, qu'il était maintenant la plus grosse pointure du crime organisé de Seikusu, sauf qu'il y avait un mais. Un Mei pour être exact. Shunfu Mei, était un "yakuza", un chef de gang qui avait un empire qui rivalisait avec le sien. Et qui ne comptait pas perdre à son tour face à l'armée de gangsters du petit homme trapu.

L'homme au physique assez désagréable avait même réussi à dénicher deux lieutenants, avec un sex-appeal assez affriolant. Toute deux dévouée à sa cause, et à sa personne, il lui arrivait fréquemment de leur faire l'amour sauvagement, et ce n'était pas l'envie qui lui manquait. Mais même si elles avaient de beaux corps, elles étaient cependant de redoutables femmes avec un tempérament psychologique qui plaisait au chef de la pègre. Leur sens de l'organisation leur donnait un talent inné pour le secrétariat, et il savait qu'il pouvait leur faire confiance. Et c'est pour ça que le Pingouin donnait énormément de responsabilités à ses deux fidèles femmes dévouées, comme torturer les victimes, car il considérait que le travail avait déjà été fait.

Peut être pour cette raison qu'il convoqua les deux femmes via un homme de main, et ne fut pas surpris de la vitesse à laquelle elles avaient déjà toute deux, atteintes la porte, et avait appuyé sur le bouton de sécurité. Il se permit de leur ouvrir en restant assis sur son canapé feutré, à les observer avec son monocle, avant de les faire venir avec un geste du doigt, pour qu'ils puissent mater leur décolleté respectif, et il remarqua que les deux jeunes femmes avaient du s'amuser entre elles, au vu de leur regard un peu en manque:

" Vous en avez encore profité pour vous embrasser mes chéries... J'espère pour vous que vous êtes toujours aussi chaude, car j'ai bien envie de vous caresser un petit peu... Mais avant, parlons affaire. Le chintok a t'il parlé ?"


Dit il en respirant encore une bouffée de son cigare, avant de recracher la fumée dans une atmosphère qui était déjà troublée par une fumée assez dérangeante.

Le Pingouin attendait une commande, et était un peu sur ses gardes, car il avait volé un objet d'art qui en valait pour son pesant d'or. Une réplique d'un pingouin en or, qui avait été découvert dans un tombeau d'esquimaux ancien, datant de plusieurs milliers d'années, qui valait dés à présent une fortune. Et il se doutait que si une cambrioleuse viendrait pour lui voler quelque chose, lui le grand collectionneur, c'était forcément pour lui voler cette chose ci... Ou peut être un médaillon incas qui lui permettait d'hypnotiser une personne pour la rendre plus sensible charnellement.

" Maintenant mes chéries, passons aux choses sérieuses... Venez vous relaxer en ma compagnie..."

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 2 mercredi 30 avril 2014, 02:18:36

Candy et Tracy n’auraient sans doute pas eu cette place, au sein de l’organisation, si elles n’avaient pas été aussi belles, et autant perverses. Pour autant, elles ne couchaient pas avec n’importe qui, et avaient tendance à ne se réserver qu’au patron. C’était lui qui signait les chèques, après tout, et elles n’étaient jamais mécontentes d’avoir de l’argent en plus. Les tests du Pingouin pour voir si les nouvelles personnes venant le rejoindre n’étaient pas des policiers infiltrés avaient plutôt tendance à être cossus, et les deux femmes avaient su s’en acquitter à la perfection. Leur place au sein de l’organisation, elles l’avaient gagné, non seulement par leur plastique et leur professionnalisme, mais aussi par leur perversion. Elles savaient que le patron ne les abandonneraient pas, car elles étaient fiables. La porte se referma derrière elles, et elles s’avancèrent lentement, sensuellement, ondulant des hanches. Leurs talons aiguilles claquèrent sur le sol.

En les voyant, le patron, qui était occupé à fumer avec un élégant cigare, dans son costume, leur ordonna de s’approcher :

« Vous en avez encore profité pour vous embrasser mes chéries... J'espère pour vous que vous êtes toujours aussi chaude, car j'ai bien envie de vous caresser un petit peu... Mais avant, parlons affaire. Le Chinetoque a t'il parlé ? »

Le Chinetoque était en réalité un Japonais, qui travaillait pour le clan des Mei. L’Oyabun des Mei, Shunfu, était en guerre directe contre l’influence du patron, et la rumeur disait qu’il comptait s’allier avec un autre grand clan yakuza de la ville, les Guramu. Ce clan était né à Seikusu, et exerçait principalement son influence dans cette ville. Il avait bénéficié du bombardement de Seikusu durant la Seconde Guerre Mondiale pour s’enrichir, notamment en récupérant une quantité de titres de propriété dans les conserveries des hypothèques, et en les falsifiant, ainsi que dans les registres cadastraux de la municipalité. Par la suite, avec l’essor du maoïsme, et le risque qu’une expansion communiste ait lieu dans un pays en pleine reconstruction, les Guramu avaient profité de l’aide des Américains pour raffermir leur mainmise sur la ville. Le clan avait progressivement perdu de sa superbe suite à l’adoption de la loi Antigang au début en 1991, et, même si le clan était encore un gros poisson, il avait cédé pas mal de places de marché, non seulement aux étrangers, mais aussi à d’autres clans. Cependant, si les Mei s’alliaient avec les Guramu, le patron pourrait avoir des problèmes.

De plus, il y avait cette belle statuette que le patron avait réussi à récupérer. C’était une réplique d’un pingouin en or, valant une petite fortune, et qui confirmait l’appétit de leur patron pour ce genre d’objets. En attendant, les deux femmes s’étaient assises sur le rebord du bureau, de part et d’autre du patron, croisant leurs jambes, en lui offrant une vie improbable sur son décolleté.

« Notre invité est plutôt résistant, répondit Tracy. Vous savez comment sont les Asiatiques, patron... La logique kamikaze et tout ça... J’ai conseillé à ceux qui le cuisinent d’y aller un peu plus sérieusement. »

L’homme finirait par parler, ce n’était qu’une question de temps, et le patron sembla rassuré. Elles, de leur côté, savaient très bien ce qui allait se passer. Elles savaient que leur patron n’était pas vraiment un premier prix de beauté, loin de là. Il avait un dos bossu, un long menton crochu, il était trapu, avec un ventre proéminent, mais, pour elles, ce n’était pas un problème. Elles ne simulaient pas quand elles jouissaient, et elles savaient qu’il le savait.

« Maintenant mes chéries, passons aux choses sérieuses... Venez vous relaxer en ma compagnie...
 -  Nous n’attendions que ça, patron... » sussurra Candy.

La jeune femme se pencha vers le patron, et posa chacune de ses mains sur ses joues, puis alla l’embrasser, tandis que Tracy se mit sur le côté, l’embrassant à son tour, les deux femmes l’embrassant alternativement sur les lèvres, leurs confortables poitrines se heurtant contre lui, tandis que chacune de leurs mains vinrent caresser le pantalon de l’homme, à l’emplacement de sa virilité.

Il était peut-être laid, mais sa queue suffisait à compenser toute cette laideur, ce qui était amplement suffisant pour les deux femmes.



Les annexes et les dépendances de l’Iceberg Lounge étaient tout, sauf désertes. Félicia était sûre que, si elle inspectait les entrepôts et les portes closes, elle tomberait sur des armes, de la drogue, ou probablement d’autres produits qui auraient fait le plaisir d’une descente de la police. Cependant, Cobblepot savait s’entourer pour éviter des perquisitions un peu trop gênantes dans le quartier général de son organisation criminelle. Félicia s’abritait parfois dans des angles de murs, évitant ainsi de tomber sur les quelques gardes qui passaient par là.

« Il est résistant, ce sale Yakuza ! s’exclama un homme qui s’avançait dans les couloirs, accompagné d’un autre.
 -  Il a intérêt à vite parler… Le patron n’aime pas ça ! S’il ne parle pas, on risque d’en prendre plein la gueule !
 -  Ne t’en fais pas, va, personne n’a jamais su résister à la gégène ! »

Félicia déglutit silencieusement. Visiblement, ces types ne rigolaient pas, et étaient en train de torturer quelqu’un. Malheureusement, elle ne voyait pas ce qu’elle pouvait faire pour lui. L’homme devait être plutôt bien entouré, et Félicia ne pouvait pas prendre le risque qu’on finisse par l’apercevoir. Mieux valait faire preuve de prudence, et elle continua à explorer l’Iceberg Lounge, en cherchant un moyen de sortir d’ici pour rejoindre le bureau du Pingouin.

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 3 jeudi 01 mai 2014, 19:26:01

Le Pingouin se fichait énormément de ses familles de chinetoques, avec leurs affaires. Mais si les leurs rivalisaient avec les siennes, il était obligé de s'occuper de leur cas avec la manière forte. Et quoi de plus fatal que deux bombes sexuelles, lieutenant, secrétaire et tortionnaire à la fois, pouvait s'acquitter de faire parler ses sales bouffeurs de riz. Quoi qu'il partageait avec eux une passion, celle de mangeur de poisson, et plusieurs idées de partenariat lui montèrent à la tête, pour se débarrasser de la concurrence, et les avoir sous sa coupe. Voir les deux nymphomanes s'avancer avec une démarche à la fois terriblement sensuelle, et terriblement provocatrice, fit monter le sang, dans le sexe de l'homme oiseau, qui sentit une chaleur au niveau du bas ventre. Son dard était en train de grandir, prêt à donner des piqures de rappels à ses petites poupées, qui ne demandait que ça, en échange d'un revenu financier. Même si elles semblent prendre énormément de plaisir au fur et à mesure qu'ils connaissaient leurs corps respectifs.

C'était leurs énormes connaissances dans le milieu de la finance, et dans celui de la politique, qui lui avait permis l'expansion de son empire du crime. Car elles connaissaient toute les ficelles du milieu, et son sens des affaires lui permettait de tirer profit de ces connaissances à disposition pour faire tomber ses rivaux, grâce à la magouille. Et ses ennemis étaient parfaitement au courant qu'ils avaient de la ressource, beaucoup de ressource. Et voir ces corps de déesses en train de croiser les jambes d'une manière assez sexy, juste devant lui, lui donnait des idées, beaucoup d'idées. Il avait une folle envie de se marier avec une femme, pour avoir une femme à qui se confier, et à qui donner les rênes s'il fallait qu'il aille sur le terrain pour une opération de grande ouverture. Quoi de mieux qu'une vilaine, comme lui pour mieux gérer son organisation, quoi que cela pouvait attirer la trahison. Et quelle vue sur leurs globes de chair, elles étaient en train de lui donner.

Il écouta attentif, le regard rivé sur leurs cuisses couvertes de collants, le briefing donné par Tracy. Il savait que ces gens là étaient animés d'une honneur à toute épreuve. Des kamikazes, quelle idée. Pourquoi ne pas envoyer cet homme de main à son patron, à bord d'un avion rempli de bombes, pour lui faire passer l'envie de se confronter à lui. L'idée était sublime et parfaitement réalisable. La plus coquine, Candy, semblait la plus disposée à assurer ses charmes auprès de son patron.

" Ca ne m'étonne qu'à moitié, mes poules! Je suis certain qu'on va passer une bonne soirée!"


Celle à la peau la plus sombre, promena ses mains amoureusement sur son visage, avant de l'embrasser d'une manière langoureuse. Tracy suivit le mouvement, en posant à son tour ses lèvres sur celle de l'homme d'affaires, qui n'hésita pas à glisser sa langue abjecte dans les cavités buccales de sa seconde secrétaire. Chacune leur tour, elle échangeait des baisers langoureux avec l'homme monstrueux, et profitèrent de leur poitrine pour la coller contre lui, pour lui donner une vigueur, et une dureté assez impressionnante pour un homme aussi petit que lui. Quand il sentit les douces mains de ses femmes de main, en train de palper son entrejambe à travers le morceau de tissu du pantalon, il put sentir une envie de les culbuter à même le bureau, et se dépêcha de fourrer une de ses mains sous les jupes des deux femmes, pour caresser leur antre de désir, qui semblait humide.

Jusqu'au moment, où un appel dans son oreillette, de la part d'un de ses gardes lui signala qu'il avait trouvé un de ses collègues K.O. Il suggéra à son sbire, de vider les couloirs, excepté celui où était gardé le prisonnier, pour voir la tête de ce voleur, car il ne pouvait venir que pour une chose en venant ici. Pour sa tête, ou pour la réplique du Pingouin en or massif, à la valeur inestimable. Et il était certain que le voleur venait pour ça. Quelle serait sa surprise, quand il verrait l'homme en train de faire l'amour à deux splendides femmes, quand il rentrerait dans son bureau!

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 4 vendredi 02 mai 2014, 02:44:08

Les deux femmes ne se mentaient pas à elles-mêmes. Elles savaient leur patron difforme et grotesque, d’une laideur effrayante. C’était un petit gnome qui semblait sorti tout droit d’un film d’horreur, avec des dents crochues et une perversion à toute épreuve. Il était aussi cruel que vicieux, mais c’était ça qui faisait ses charmes. Candy et Tracy n’étaient pas des petites princesses attendant la venue d’un prince charmant et d’une ribambelle de gosses. Elles étaient deux psychopathes en puissance, et avoir l’opportunité de travailler pour quelqu’un qui leur laissait l’occasion de laisser libre cours à leur fantaisie, voilà qui était tout simplement formidable. Elles sentaient la langue longue et difforme, pointue et élancée, du Pingouin s’enfoncer en elle, ainsi que sa salive, et sa virilité qui poussait contre son pantalon. Il avait beau être petit, son sexe, lui, était tout à fait honorable, et les deux femmes étaient sur le point d’en mouiller leur culotte. Elles allaient lui faire l’amour ce soir, et comme toujours, ce sera violent, et torride. Non, elles n’avaient pas à se plaindre, et elles ne se plaindraient pas. Certes, leur loyauté tenait avant tout aux chèques que le Pingouin versait, mais ce n’est pas pour autant qu’elles le trahiraient... Sauf s’il venait à ne plus les payer, bien entendu.

Il aventura l’une de ses mains vers leurs culottes, et elles gémirent de plaisir... Avant que le patron ne reçoive un message dans son oreillette. Candy était alors près de cette dernière, léchant et embrassant la peau de son patron, lorsque ce dernier se mit à parler. Tracy s’écarta alors, prudemment, sachant que Cobblepot n’aimait pas qu’on le dérange pendant qu’il était en conversation, mais Candy, plus perverse qu’elle, restait blottie contre le corps de son patron. Tracy en profita pour lui gifler les fesses, faisant gémir la belle panthère, tandis que le Pingouin apprenait qu’un intrus était entré dans son antre. Il ne semblait toutefois pas inquiet outre mesure, car, si le voleur venait chercher le pingouin en or massif, il devrait forcément passer parle bureau... L’homme mit rapidement fin à la conversation.

« Un problème, patron ?
 -  En tout cas, ça n’atteint pas votre légendaire queue... »

Candy avait recommencé à le masturber, toujours aussi assoiffée, et Tracy se rapprocha alors, se mettant à genoux, sous le bureau. Elle tira sur le pantalon de l’homme, et prit son sexe entre ses doigts, tandis que Candy recommençait à l’embrasser. Elle savourait les lèvres de l’homme, et on pouvait entendre les deux femmes gémir de plaisir, continuant à embrasser l’homme en se pressant contre lui. On pouvait également entendre les bruits de mastication de la bouche de Tracy s’activant sur le membre du Pingouin. Le fauteuil de l’homme craquait sous les élans des deux femmes...

... Lorsque que quelque chose atterrit en plein sur le bureau, provoquant un bruit sourd. Candy se retourna brusquement, surprise, et s’affala sur le sol.

« J’espère que je ne vous dérange pas trop... »

La voix espiègle appartenait à une femme en combinaison noire qui était à moitié courbée sur le bureau, et se releva lentement, découvrant des formes gracieuses et élégantes. Un sourire éclaira ses lèvres, surtout lorsqu’elle vit la virilité de l’homme, à l’air libre. La Chatte Noire venait d’entrer dans le bureau de l’homme.

« On m’a dit que vous aviez une statuette, Monsieur Cobblepot... Et les chatons comme moi aiment bien tout ce qui brille... Nous ressemblons un peu à des piverts, nous, les félins, vous savez... »

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 5 vendredi 02 mai 2014, 13:03:22

Son physique atypique aurait du repousser les femmes, pourtant ça ne l'a pas empêché d'avoir eu des rapports sexuels avec les plus belles femmes du monde que même les acteurs les plus glamours n'avait jamais eu la chance de connaitre. Car le monde du crime était beaucoup plus attirant, peut être car les femmes aimaient le coté bad boy de ces chefs du crime qui connaissait tout le monde, et qui pouvait tuer n'importe quelle personne sur un simple claquement de doigt. Excepté ces satanés super héros, qui malgré leur enquête de proximité, réussissait toujours à cacher leur identité secrète. Mais malgré cette relation 100% professionnelle, il sentait que ces deux femmes s'attachaient à lui, ou enfin plutôt à sa chose de plus en plus. Et ces deux nymphomanes semblaient adorer par dessus tout la violence qui dégageait de lui pendant les ébats. Leurs gémissements de plaisir suite à ses caresses contre leurs jambes, lui donnait encore plus envie de les besogner avec une cruauté qu'elles voyaient régulièrement.

 Lorsqu'il reçut le message, la brune était en train de lui lécher l'oreille d'une manière fort érotique, comme si elle ne pensait plus qu'au plaisir de son patron, et du sien! Et le fait qu'elles soient en train de s'occuper de lui pendant qu'il était en train de parler à l'oreillette ne le dérangeait pas, surtout avec la manière consciencieuse et appliquée dont elle faisait preuve. Le fait de sentir la poitrine contre lui de la belle pantère, lui donnait fortement envie de mordre dedans, et de lui lécher ces globes de chair qui le défiait sur son propre fauteuil. Il fut amusé du gémissement de la belle Candy avant de raccrocher car son homme de main, semblait s'imaginer la scène au bout du fil. Les deux femmes furent très réactives et lui demandèrent directement qu'est ce qu'il était en train de se passer.

" Aucune chance Candy, que quelque chose me fasse perdre de la vitalité, avec ce que tu me fais pendant que je suis au bout du fil... Ne t'inquiète pas Tracy, il va juste y avoir du plomb de distribuer"


Dit il, en resserrant sa main sur son parapluie, prêt à être dégainer pour braquer le sale impudent qui venait le narguer jusque dans son propre bureau. Il ressentit la main froide de sa secrétaire brune qui commença à le masturber, alors que la blonde venait de se mettre sous son bureau, pour lui donner une pipe sous son bureau. Il était en train de pousser des gémissements, en râlant de plaisir alors que la pantère, lui donna à nouveau un baiser qu'il appréciait. Elles savaient s'y prendre pour lui donner du plaisir, et leur instinct pervers confirmait qu'il avait bien choisi ces prostituées de luxe! Même s'il les considéraient comme bien plus... Le cuir du fauteuil grinçait, et le Pingouin posa son autre main non occupée, sur le fessier de la belle brune, pour qu'elle frotte son entrejambe contre son torse, en mimant des gestes de vas et vients, chargés de la chauffer un peu plus, même si elle l'était déjà pas mal. La main se mit ensuite sur le crâne de la blonde pour la forcer à lui faire une gorge profonde, avant d'entendre le cuir du fauteuil grincer à cause de ses mouvements érotiques.

Il entendit un nouveau fracas, comme si quelque chose venait de tomber du plafond, avant de voir le nuage de poussière se dissiper, révélant une belle femme toute vêtue de cuir. Elle avait une plastique un peu plus grosse que celle de ses deux assistantes, et ses jambes vêtues de sa combinaison de cuir lui donnait un aspect brillant, qui lui donnait encore plus envie de jouer. Cependant la belle brune tomba sur le sol suite à la surprise et Tracy arrêta directement sa succion. Il l'entendit s'excuser de déranger, et braqua l'intrue avec son parapluie à multiples gadgets.

" Voyez, mes associées et moi étions en train de parler affaire! Je ne sais pas qui vous êtes mais j'espère que vous avez de quoi vous faire pardonner..."


Cette jeune femme était vraiment bien gaulée, et la voir dans une tenue pareille, attisait encore l'excitation sexuelle de l'oiseau, qui matait ses excroissances mammaires à travers son vêtement. Elle ne semblait rien porter dessous, ce qui rendait la scène encore plus érotique, et il n'était pas le seul à être séduit. Il put distinguer un sourire sur ses lèvres charnues, lorsqu'elle vit son engin à découvert, avant de enfin connaitre le motif de sa visite.

" Alors comme ça vous êtes une chatte! Tu vas me montrer que tu sais lapper alors, sinon je vais te faire sauter la caboche, et mes assistantes seraient certainement ravie, de vous enlever cette tenue qui semble un peu trop vous tenir chaud! Les filles, immobilisez la, que je m'occupe de cette fouineuse!"

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 6 samedi 03 mai 2014, 01:51:10

Rejoindre le bureau de Cobblepot n’était pas facile, mais Félicia avait déjà réussi à infiltrer l’Helicarrier du SHIELD. Elle estimait donc pouvoir pénétrer dans le bastion d’un baron du crime. Depuis les caves, elle avait rejoint les ascenseurs, et soigneusement évité le restaurant, filant à travers les couloirs de maintenance et les ailes interdites au public. La sécurité savait qu’elle était là, car ils avaient retrouvé l’homme qu’elle avait du assommer. Félicia espérait surtout que les hommes du Pingouin penseraient qu’elle était venue pour sauver leur prisonnier, et que les forces de Cobblepot se concentreraient donc là-bas. Elle put ainsi rejoindre les étages de l’Iceberg Lounge, et, à partir de là, pour rejoindre le bureau du Pingouin, elle avait emprunté des conduits de ventilation, avançant gracieusement, faisant la démonstration de sa légendaire agilité. C’est ainsi qu’elle avait vu le Pingouin en galante compagnie, et qu’elle avait décidé d’atterrir devant ce trio, non pas par jalousie, mais tout simplement parce qu’elle avait besoin de savoir où se cachait la statue... De fait, elle n’était pas vraiment jalouse de ces deux filles en train de coucher avec ce gnome abominable.

Félicia interrompit leurs ébats, et vit l’homme pointer son parapluie vers elle, tandis que els deux prostituées qui l’accompagnaient se retournaient, fronçant lentement leurs sourcils. Connaissant la réputation du Pingouin pour ses parapluies, Félicia se doutait que celui-ci devait avoir quelques propriétés spéciales, comme des balles mortelles, ou des jets d’acide. Elle fit donc attention. Le Pingouin semblait surpris de la voir ici, mais surtout... Excité.

*Sale pervers dégueulasse... Tous les mêmes... Pourquoi est-ce que tu crois que je me sape ainsi, mon petit Cobblepot ? mate mes nichons, et tu ne verras pas le pied que je t’envoie en pleine gueule.*

Cobblepot réagit en tout cas plutôt bien, et la menaça avec ses deux assistantes, qui s’étaient relevées, et fusillaient du regard Félicia, non seulement pour les avoir interrompues alors qu’elles jouaient avec le patron... Mais aussi parce que le sex appeal de la Chatte Noire concurrençait facilement le leur.

« Alors comme ça vous êtes une chatte! Tu vas me montrer que tu sais lapper alors, sinon je vais te faire sauter la caboche, et mes assistantes seraient certainement ravie, de vous enlever cette tenue qui semble un peu trop vous tenir chaud! Les filles, immobilisez-là, que je m'occupe de cette fouineuse ! »

Finalement, il n’allait pas utiliser son parapluie, voulant probablement profiter du corps de la femme.

« Avec plaisir, patron ! »

Candy fut la plus rapide à attaquer, mais Félicia bondit alors gracieusement, faisant une roulade en l’air, et atterrit derrière le fauteuil du Pingouin. Tracy l’attaqua alors, et révéla maîtriser quelques techniques d’arts martiaux. Sa jambe se souleva, filant vers la tête de Félicia, qui bondit en arrière. Candy se rua alors sur elle, cherchant à la griffer, mais la Chatte Noire était agile, et attrapa la femme par les poignets. Félicia bascula alors son corps en arrière, enfonça son genou dans l’estomac de son adversaire, et la renversa par-dessus elle. Tracy en profita alors pour la charger. Elle la frappa à hauteur du ventre avec son pied, et enchaîna par une claque qui résonna dans la pièce. La tête de Félicia partit sur le côté, et elle choisit de suivre le mouvement avec son corps, feignant de tomber sur le sol. Elle en profita pour poser une main sur le sol, et fit une élégante roulade, qui lui permit de se remettre sur pied. Tracy la chargea à nouveau, négligeant sa défense, et Félicia en profita pour lui faire un croche-pattes, la renversant sur le sol.

Candy fondit à nouveau, mais la Chatte Noire para son attaque, et bondit au-dessus d’elle, en s’appuyant sur ses épaules. Candy tenta de se retourner, mais en fut pas assez rapide. Félicia eut le temps de la repousser.

« Dites donc, mes chéries, vous êtes déchaînées ! »

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 7 samedi 03 mai 2014, 14:04:46

La belle femme à la chevelure immaculée ne semblait pas super attirée par sa personne. Étonnant vu les montagnes de richesse qu'il possédait. Ses deux secrétaires semblaient vraiment contrarier de ne pas avoir fini la gâterie qu'elles étaient toutes deux en train de lui faire. Evidemment qu'il était excité, il était en train de coucher avec deux superbes femmes, et une troisième venait d'arriver dans une tenue toute en cuir, avec rien en dessous d'après ses premières constatations. Quelque chose surprit aussi le redoutable homme d'affaires, car elle avait un oeil attentif sur son parapluie, et seul les plus grands connaissaient son fétichisme pour les parapluies qu'il trafiquait de temps à autres. Il sélectionna discrètement le mode " Gaz Soporifique", et ne perdit pas de vue la jeune femme, et la garda en cible. Mais pourquoi ne pas essayer d'abimer son joli petit visage, pour pouvoir profiter de son corps ensuite. Et ses assistantes le comprirent, en allant directement à sa rencontre, pour l'affronter, et la ramener en guise de trophée pour son maitre. Il s'imaginait déjà, en train de l'habiller dans une vieille cellule, avec une tenue de Pingouin sexy, et elle, en train de devenir son esclave sexuelle. Mais son imagination lui jouait des tours, et c'est avec un air déçu qu'il contempla ses fidèles lieutenantes, échouer à lui porter un coup.

"Fais dodo mon petit... Fais dodo!"


Il en profita quand elle essaya de ruer de coups Candy, pour administrer son gaz soporifique, qui sortit du canon au bout de son parapluie. Et il vit le gaz de couleur vert faire chanceler la belle femme, qui ne comprenait pas forcément ce qui lui arrivait. Il la vit marcher 3-4 pas, comme si elle était saoule et tomba lourdement sur le sol. Il se dépêcha alors de prendre une corde qu'il noua autour de la jeune femme, avec l'aide de ses deux complices, avant de la faire s'asseoir sur une chaise où fut de nouveau attachée pour plus de sécurité, avec des câbles métalliques. L'homme oiseau en profita pour ouvrir un peu sa combinaison pour voir sa poitrine nue. Jusqu'à ce que Candy lui fasse parvenir une seringue avec un sédatif appelé " Drogue de Stockholm" qu'il injecta dans la belle cuisse de la voleuse, qui allait devenir une femme amoureuse du premier homme qui l'embrasserait. Et qui de mieux placé pour servir de prince charmant à cette belle femme ? Il posa doucement ses lèvres contre les siennes, pour faire agir le poison, et se rassit à son bureau, en invitant ses femmes de main à continuer leur partie de jambes à l'air:

" Continuons mes chéries, je vais m'occuper de vos blessures, avec un élément naturel..."


Il posa alors ses mains sur les jambes de Candy qu'il continua de faire danser sur ses hanches, en demandant à Tracy de continuer sa petite séance de relaxation.

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 8 lundi 05 mai 2014, 01:36:49

Les deux assistantes de Cobblepot étaient tendues. Cette femme toute vêtue de cuir était aussi rapide que forte, et ses coups faisaient mal. Elles savaient se battre, pourtant. Leur grande beauté faisait qu’elles avaient du apprendre à se protéger des mâles un peu trop insistants, et Candy, aussi bien que Tracy, avaient déjà cassé la figure à de nombreux prétendants n’ayant pas assez d’arguments pour convaincre ces femmes de petite vertu. Cependant, cette femme à la chevelure argentée se battait comme une diablesse. Candy essaya à nouveau de l’attaquer, mais fut repoussée contre le mur. Elle attaqua à nouveau, visant la tête de la femme, qui fléchit élégamment les genoux, et lui faucha ensuite les jambes en faisant tournoyer les siennes. Candy tomba à la renverse, roula sur le sol, se relevant à son tour, et tenta de la griffer. La main de Félicia agrippa son poignet, immobilisant la tigresse, et, alors que la femme allait la frapper, le patron intervint alors, et un gaz verdâtre frappa la femme au visage.

Candy la repoussa alors, un sourire vorace sur les lèvres. Dans l’empressement du combat, la voleuse n’avait pas vu le patron s’approcher. Il avait utilisé un gaz soporifique très efficace. La femme tituba, parvenant à y résister pendant quelques secondes, mais la dose était suffisamment forte pour assommer un éléphant, et la belle femme vêtue de cuir s’écroula sur le sol. Le Pingouin ordonna ensuite à ses deux assistantes d’agir. Elles la soulevèrent, et l’attachèrent à une chaise, tandis que Tracy alla chercher une drogue... On l’appelait la « drogue de Stockholm » un référence au célèbre syndrome éponyme. C’était un équivalent de la drogue du violeur, comprenant de fortes doses de GHB, ainsi que de produits spéciaux qu’on ne trouvait qu’à Seikusu, étrangement. Il déclenchait une sorte de fort appétit sexuel en faisant sauter les inhibitions, généralement à l’encontre du sexe opposé... Soit le patron, en somme. Les deux femmes avaient bien compris ce que ce dernier voulait avec cette femme, comme il le prouva en tirant un peu sur la fermeture Éclair de la combinaison de cette femme, découvrant des seins généreux. Elles jalousèrent ce corps, tout en ayant une envie terrible de lui faire l’amour.

La femme avait une bonne résistance, et ne devrait pas tarder à se réveiller. Cependant, elle n’était pas attachée de manière très sexy, et les deux femmes avaient d’autres idées. Si le patron les aimait tant, c’était aussi parce qu’elles savaient faire preuve d’initiative, et qu’elles n’hésitaient pas à laisser parler leur imagination.

« Continuons mes chéries, je vais m'occuper de vos blessures, avec un élément naturel... »

Candy resta près du patron, tandis que Tracy observa un peu la femme.

« Laissez-moi la mettre en position, patron... J’ai une idée qui devrait vous plaire... »

Elle détacha la femme, et Candy alla l’aider à la porter. Elles allèrent dans un coin. La femme gémissait lentement, mais ce n’était pas ça qui allait les empêcher de l’attacher. Elles soulevèrent ses bras, et les attachèrent à des sangles en hauteur, en utilisant ensuite une espèce de manivelle à côté pour soulever les sangles, et les écarter l’une de l’autre. Il y avait également des sangles sur el sol, pour les pieds, et, Candy et Tracy les attachèrent également. Cette position était généralement utilisée pour torturer les proies, mais elle pouvait aussi avoir d’autres fonctions. Elle était orientée face au bureau du patron, et les deux femmes retournèrent ensuite le voir.

« Voilà, patron... Un joli cadeau rien que pour vous, quand cette petite voleuse ouvrira les yeux...
 -  En attendant... »

Elles retournèrent accomplir ce que le patron leur avait demandé. Candy se remit sur ses joues, et découvrit un peu l’un de ses seins, tirant sur son costume, laissant ainsi le soi à la bouche avide du Pingouin de venir le téter, tandis que Tracy avait repris sa fellation, poussant des gémissements de plaisir, tout en allant se caresser elle-même.

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 9 lundi 05 mai 2014, 21:31:41

Il avait enfin réussi de se débarrasser de cette fouineuse, qui avait failli abimer les charmes de ses assistantes. Mais le Pingouin était un ardent ferveur de la loi de Talion. Elle avait voulue abimer les visages d'ange de ses concubines, et elle allait dorénavant le payer, en ayant un rapport sexuel futur, avec l'homme qui était son opposé. Elle avait beau être belle, grande, lui était petit et moche, mais c'est lui à présent qui avait les cartes en main. Heureusement qu'il était intervenu, car il aurait été dommage qu'elle ait abimée leurs deux charmants minois. Mais il comptait bien lui faire payer son culot, avec plein de sévices, dont lui seul et ses assistantes avaient le secret. Ses fidèles gardes du corps, avait le même sourire vorace que lui, lorsque leur victime commença à chanceler, comme si elle tombait dans les vapes. Preuve qu'ils étaient complètement sur la même longueur d'onde, et avait les même plaisirs de la vie, même s'ils étaient assez dérangeant pour des personnes normales. Et elles semblaient aussi attirés que Oswald, quand il ouvrit cette combinaison noire qui lui donnait un décolleté monstre. Et elles avaient bien raison d'en avoir envie, car ils profiteraient tout les trois de cette petite chatte, qui s'est égaré dans son immense repaire.

Et effectivement, les filles lui donnèrent satisfaction une fois de plus lorsqu'elles attachèrent la captive, dans une position digne d'un film pornographique sadomasochiste. Il pourrait ainsi la tringler plus facilement quand elle se réveillerait, et espérait évidemment que cette garce devienne son esclave sexuel, avec la dose qu'il venait de lui mettre. Il garda la demoiselle à lunettes prêt de lui, sa main sous sa jupe en train de caresser son abricot de désir, pour l'exciter davantage qu'elle ne l'était déjà.

" Effectivement les filles! C'est une bonne idée! Mais ceci finira dans un lit, car imaginez bien qu'une créature avec un corps pareil, doit finir avec les honneurs, malgré son tempérament de fouineuse!"


Et les idées sur le devenir de cette belle femme, venait de lui venir à l'esprit. Pourquoi ne pas la déguiser en Pingouin à son tour, et la faire travailler sous ses ordres dans son bar personnel, pour servir les clients. Sa chevelure blanche s'accorderait parfaitement avec sa tenue à lui, ou pourquoi pas s'en servir comme pour Candy et Tracy. Mais beaucoup plus dans un rôle sexuel, car il ne voulait pas qu'elle serve d'argent double. Il commença à fouiller la jeune femme pour éviter qu'elle n'ait d'arme sur elle, en constatant qu'elle n'en avait aucune. La jeune femme a la peau la plus foncée se remit sur ses genoux, pour entamer une nouvelle danse érotique, alors que la Blonde posa de nouveau ses lèvres pulpeuses sur son gland, en poussant des petits gémissements. Il vit la brune ouvrir son décolleté sur sa poitrine généreuse, qu'il se dépêcha de laper d'une manière gourmande et érotique, en jouant avec sa longue langue sur son téton hérissé, alors qu'une main forçait sa partenaire a lui faire des gorges profondes. Son autre main malaxa la poitrine de Candy, et il en profita pour l'embrasser d'une manière encore plus langoureuse, avant de finalement coincer son nez crochu entre les deux ballons de chair de sa femme de main.

" Tu sais exactement ce qui me fait plaisir Candy... Je pense à une augmentation prochaine... Mais elles ne vous sera acquise, que si vous me dites le moyen de faire de cette fouineuse, une esclave dévouée et fidèle à mes besoins particuliers."


« Modifié: mardi 06 mai 2014, 23:03:07 par Le Pingouin »

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 10 mercredi 07 mai 2014, 01:06:43

Candy et Tracy faisaient l’amour à leur patron sans aucun scrupule, soupirant et gémissant de plaisir. Tracy avait la bouche pleine, et ne pensait à rien d’autre que cette verge qu’elle était en train d’enfourner, ses doigts en profitant pour filer sous son tailleur, afin de lui permettre de se caresser. Des gouttes de mouille léchaient le sol. Deux perverses, en effet, qui salivaient d’envie à l’idée de coucher avec leur patron, mais aussi à l’idée, ultérieure, de coucher avec la femme. Candy, elle, avait posé ses mains sur la tête d’Oswald, en sentant ses lèvres venir jouer avec l’un de ses seins. Les deux grandes femmes s’étaient blotties contre lui, soumises et excitées comme des puces. Les tétons de Candy s’étaient durcis sous l’effet du plaisir. Leur patron était une petite teigne, qui pouvait se laisser aller. Un homme plein d’ardeur et de vigueur dans le sexe. Elles ne savaient pas grand-chose de son passé, mais, vu son physique, elles se doutaient qu’il avait du être un grand frustré... Du moins, elles le supposaient, car, pour elles, c’était sa   ns doute ce qui expliquait sa grande soif sexuelle... À moins qu’ils soient juste aussi cinglés qu’elles. Vu son physique, Candy n’avait eu aucun problème à perdre sa virginité, et avait toujours aimé les hommes brutaux, sadiques, violents... Mais, curieusement, elle n’aimait pas ceux qui étaient jaloux et possessifs. Comme quoi, Candy avait ses petits caprices. Tracy, elle, était un peu pareil, si bien que, sauf leur couleur de peau, on aurait tout à fait pu croire à des sœurs.

Le sexe du Pingouin était englouti dans la bouche de Tracy, tandis que Candy continuait à caresser la tête du patron. Dans le dos du trio, Félicia était toujours inanimée, émergeant petit à petit, la drogue ingérée par Cobblepot agissant silencieusement dans son organisme. Les résultats promettaient d’être étonnants, car Félicia n’était pas vraiment une femme normale. Elle secouait lentement la tête, gémissant silencieusement. Entre-temps, Cobblepot formula une demande à Candy :

« Tu sais exactement ce qui me fait plaisir Candy... Je pense à une augmentation prochaine... Mais elle ne vous sera acquise, que si vous me dites le moyen de faire de cette fouineuse, une esclave dévouée et fidèle à mes besoins particuliers. »

Candy esquissa un léger sourire. Augmentation... Ce mot résonnait délicieusement à ses oreilles. Cependant, soumettre cette femme. Candy tourna lentement la tête vers elle. La femme en combinaison de cuir noir était toujours affalée contre les chaînes, mais Candy avait bien senti qu’elle était aussi belle que résistante. Elle savait qu’il y avait des forces surnaturelles dans cette ville, des mutants, dotés de capacités paranormales et surnaturelles. Il était évident que cette femme toute vêtue de cuir en faisait partie, car un simple individu n’aurait pas réussi à rejoindre si facilement le bureau du patron.

« Hum... Je dois admettre, patron, que cette femme est plutôt résistante... Il faudra la motiver... Cependant, si elle... Hummm... Si elle porte tout ce cuir, c’est que ça doit être... Haaaannn... Une petite salope, comme moi et Tracy, alors... Haaaa... »

Autrement dit, en jouant avec sa perversion, il devrait être possible d’obtenir quelque chose. Tracy, de plus en plus excitée, enchaînait les gorges profondes, respirant parle nez, gémissant délicieusement. La verge du patron était recouverte de la salive de la femme, qui la suçait, creusant ainsi ses joues, tout en continuant à donner des coups de langue. Tracy soupirait et gémissait, aux anges, et ne comptait pas s’arrêter avant d’avoir sa récompense : la semence chaude de son patron exploser en elle. Pouvait-on encore douter de ses compétences ? De sa perversion naturelle ? La femme était terriblement douée, et elle était en train de le prouver avec un indiscutable talent.

Félicia, quant à elle, commençait à rouvrir les yeux.

« Hnnnnnnnnnnnnn... ! » gémit-elle, en sentant ses membres être entravés par des liens solides, provoquant des cliquètements métalliques.

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 11 jeudi 22 mai 2014, 20:20:27

Le Pingouin était entouré par ses deux belles collaboratrices, qui était en train de sauvagement lui faire l'amour. Candy, la plus bronzée était en train de ouvrir son col, pour faciliter les lèvres du génie du crime, qui était sur le moment dans son décolleté plongeant, tétant son téton droit, pour exciter sa belle partenaire. Tracy n'était pas en reste. Elle était plongée dans sa fellation, en train de mimer des vas et vient avec sa bouche qui suffoquait car elle ne respirait pas assez. Sa main était en train de fouiller son nid de plaisir, qu'elle touchait sans retenue, afin de faciliter une éventuelle future pénétration. Felicia, elle, surnommée la « Chatte Noire» était en train d'attendre, à demi consciente, attachée tel une actrice pornographique dans un film «bondage». Le venin que lui avait administré cet homme perfide, était en train de faire son effet, en s'injectant lentement à l'intérieur de son cerveau, et à l'intérieur de ses veines, afin que ce corps que les trois comparses trouvaient si désirable, lui appartiennent pendant un long moment. Cependant, à part dans sa jeunesse, son pouvoir dans le monde du crime lui avait permit de coucher avec les plus belles du monde. Sauf celle-ci, qui ne figurait pas dans son tableau de chasse, mais il saurait son identité, quand il enlèverait le masque de cette fouineuse, car il ne connaissait que son nom de scène. Nom de scène qui lui convenait d'ailleurs, car une chatte, c'était bien de ça dont il avait envie de s'occuper.

Peut être que c'est son coté animal, et sa ressemblance physique avec les oiseaux, qui lui avait fait développer ce trait de caractère lors des débats amoureux. Ou peut être simplement son envie sexuelle, qu'il ne comblait qu'en maltraitant des partenaires, pour les enlaidir peut être un peu. Lorsqu'il entendit un des gémissements plaintifs de la captive pendant son sommeil, il fut pris d'un doute, en se demandant quel effet aurait le sérum sur cette femme imprévisible. Car il s'attendait à tout, sauf à une femme, quand il avait entendu parler d'un fouineur. Peut être un journaliste, ou un flic pas corrompu, qui aurait juste eu les idéaux de la justice. La belle brune lui renvoya un sourire à sa question de la soumettre. Ses gémissements qui coupaient régulièrement sa réponse, était du à cause des traitements de succion qu'il était actuellement en train d'infliger à sa poitrine, mais elle ne lui fournit pas la réponse qu'il attendait. Il était certain, que vu sa tenue assez aguichante, et ouverte sur ses deux magnifiques globes de chair, elle devait avoir un certain attrait pour la chose. Cobblepot continua de jouer, quand il sentit que Tracy était en train de lui prodiguer son fameux traitement. Appliquée à l'idée de sucer son engin, il sentit celui-ci être la cible de divers spasmes, avant de cracher tout son foutre dans la gorge de la belle blonde qui avait bien bataillée, pour avoir cette fameuse récompense.

Quand il vit que son hôte était en train de rouvrir les yeux. Il se dépêcha d'aller à sa rencontre et lui enleva ce fameux masque qui couvrait son regard, avant de poser ses lèvres sur les siennes, avec une certaine bestialité, pendant que sa longue langue était en train de forcer le passage pour jouer avec sa congénère. Il demanda à ses secrétaires de s'occuper de ses jambes qui était fortement bien moulé par sa combinaison, pendant qu'il jouerait avec les seins de la belle femme à la chevelure éclatante de blancheur. Il en profita pour déserrer les chaines pour qu'elle se sente un peu plus à l'aise, avant de lui donner finalement un coup de langue sur son cou, en lui chuchotant :

« Tu vas désormais te faire violer par nous trois. J'imagine que si tu es entré ici, avec une tenue pareille, tu t'attendais forcément à ce que cela arrive. Tu dois déjà être en train de subir le sérum que je t'ai injecté, et tu dois déjà en avoir les pulsions sexuelles... J'espère que tu vas aimer faire l'amour avec un volatile!»

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 12 vendredi 23 mai 2014, 21:52:50

Sentir dans sa gorge le foutre du patron fut effectivement, pour Tracy, une délicieuse récompense. Ses doigts étaient imbibés de mouille, mais le patron se désintéressa alors des deux femmes, sautant sur la nouvelle arrivée. Tracy et Candy savaient qu’elles étaient plutôt bien foutues, mais ça ne les empêchait pas d’être jalouses à l’encontre de cette femme. Elle savait que la motivation du patron était défaillante, variable selon son humeur. Elles espéraient que la présence de cette gêneuse ne se traduirait pas par une réduction de leurs salaires... Ou pire.

Le poison du Pingouin était plutôt efficace, et Félicia, quand elle émergea, sentait effectivement monter en elle le désir. Pour autant, il en fallait plus pour lui laver l’esprit, ou lui faire oublier qui elle était. Elle avait manqué de vigilance, voilà tout. Elle ne s’était pas attendue à tomber sur deux spécialistes du kung fu, et, en les combattant, elle avait négligé les parapluies du Pingouin. Cobblepot la tenait à sa merci, mais lui aussi avait commis l’erreur de la sous-estimer. La Chatte Noire n’obéissait à personne d’autre qu’à elle-même... De plus, il était moche. Affreux, même. Son poison avait excité Félicia, et ce fut bien pour ça qu’elle ne le mordit pas quand il l’embrassa... Ça, et le fait qu’elle était maligne. Elle n’agirait pas à l’emporte-pièce, et, même si elle était prisonnière, Félicia pouvait encore réfléchir. Il fallait juste qu’elle arrive... Qu’elle arrive à se concentrer, ce qui, en réalité, serait plus difficile que ce qu’elle pensait. La toxine du Pingouin, avait réveillé son manque, et ses seins étaient tendus, tandis que tout ce cuir contre lequel elle se frottait ne contribuait qu’à l’exciter. Même le baiser vorace de Cobblepot l’émoustilla. Il se blottissait contre elle, tandis que Tracy et Candy, elles, allèrent se frotter contre ses jambes, suivant scrupuleusement, sans le contredire, les ordres du patron.

Elles se pressèrent donc contre son corps, et Félicia serra ses poings, avant d’écarter les doigts, sentant leurs seins glisser contre son corps, sentant leurs baisers embrasser et mordiller ce cuir, satisfaisant leurs envies fétichistes en se masturbant contre elle. Félicia en frissonnait, et on pouvait l’entendre ronronner. Ses cellules de chat la trahissaient. Contre son cou, la langue du Pingouin glissait, et elle pouvait aussi sentir sa verge se presser contre elle. Les chaînes cliquetèrent. Le Pingouin avait beau les avoir desserrées, Félicia était toujours immobilisée. C’était le principal problème. Cependant, même s’il les retirait, elle ne pourrait pas s’échapper pour autant. La toxine la piégeait, et elle devait s’en libérer.

*Or, pour ça, il n’y a pas cinquante solutions...*

Elle n’en voyait qu’une, et elle comptait bien l’appliquer sous peu. En sentant ses mains sur ses seins, ses doigts glissant sous la combinaison, Félicia soupira lentement, sentant le plaisir continuer à croître, sa mouille se heurtant à sa combinaison noire. Aucune tâche visible, mais elle était bien là, cette cyprine, en train de s’échapper de son corps.

« Tu vas désormais te faire violer par nous trois, lui annonça alors Cobblepot. J'imagine que si tu es entré ici, avec une tenue pareille, tu t'attendais forcément à ce que cela arrive. Tu dois déjà être en train de subir le sérum que je t'ai injecté, et tu dois déjà en avoir les pulsions sexuelles... J'espère que tu vas aimer faire l'amour avec un volatile ! »

La Chatte Noire le regarda, en se mordillant les lèvres.

« Aimer ça ? Non... »

Elle l’embrassa à son tour, penchant la tête vers l’avant.

« Je vais l’adorer ! » souffla-t-elle ensuite.

Pour l’heure, elle ne pouvait que subir, mais ce n’était pas tellement un problème. Il n’y avait que comme ça qu’elle pourrait se défaire de cette emprise.

Elle était donc prête à endurer.

DC d’Alice Korvander.

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Le Pingouin

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 13 dimanche 20 juillet 2014, 13:18:37

Il avait acheté ce poison pour une somme faramineuse a un scientifique inconnu, qui portait souvent des bobs. Il s'était dit que ça pourrait servir s'il trouvait une fouineuse à son gout, et son intuition fut la bonne visiblement. Vu qu'il avait désormais une visiteuse habillée de cuir, avec un corps à damner un saint. Les deux femmes étaient visiblement angoissées de perdre leur poste, alors qu'elles n'avaient rien à craindre. Il ne pourrait jamais retrouver deux tarées pareilles, et qui était aussi folle du sexe que lui. Lorsqu'il la vit essayer de se débarrasser de ses chaines, Cobblepot ordonna à ses deux lieutenantes de la libérer des chaines, afin d'en profiter, mais la belle voleuse ne semblait pas détester le traitement qu'ils étaient en train de lui faire subir.

Il put entendre un ronronnement suite à son baiser qu'il venait de poser sur sa bouche, et suite aux caresses que les deux obsédées étaient en train d'exercer sur son corps. Elle ne refusa pas son baiser malgré son physique repoussant. Oswald n'était pas le genre de gars qui disait être un beau gosse. Il était conscient de sa laideur, mais ce n'était pas que pour son argent que Tracy et Candy étaient devenus accros aux relations sexuelles avec leur boss. C'était notamment pour son sexe, qui savait bien les faire jouir, et surtout ses manières perfides pour coucher avec une grognasse comme la chatte noire! Le Pingouin continua donc de glisser ses mains sous sa combinaison pour effleurer ses formes, et surtout cette peau si douce, qui ressemblait à un morceau d'étoffe rare et précieux. Elle semblait avoir adorée son baiser, et il continua donc de lapper son cou, tel un chaton en train de boire un verre de lait. Voyant qu'elle adorait le traitement, il baissa ses lèvres pour se mettre à baiser ses globes de chair, qui étaient si généreux, qu'il commença à les mordiller à travers le cuir, avec ses dents pointues pour lui donner un maximum de plaisir:

" Alors comme ça tu vas adorer le traitement ? Parfait, je vais faire de toi mienne pour cette nuit!"


Lorsque la chatte noire l'embrassa directement sur la bouche à son tour, il se dit que la partie était gagnée! Elle avait du manquer de vigilance, et la voici dans ses bras pour une nuit entière. Il claqua des doigts pour ordonner à ses deux secrétaires de s'occuper de son vagin, et de son cul, pendant que lui était occupé à l'embrasser passionnément, et en train de séparer doucement les deux parties de cuir, en tirant sur la fermeture éclair:

" Profite en pour me couver ma belle! N'hésite pas à glisser ta main de féline, sur mon sexe tendu par le désir."


Il glissa sa main dans son combinaison, pour jouer avec son sexe pendant que Candy était en train de jouer avec sa langue sur cette antre du désir, et l'embrassa d'une manière plus passionnée:

" Tu trouves comment mon traitement envers mes prisonnières ?"


« Modifié: mardi 26 août 2014, 20:29:37 par Le Pingouin »

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Réponse 14 mercredi 27 août 2014, 01:39:17

Sa situation n’était pas des plus favorables, et Félicia était tout simplement en train de s’adapter à cette nouvelle situation, à ce nouvel environnement. Elle était venue ici pour voler quelque chose, et elle avait échoué. La toxine du Pingouin embrouillait ses opinions et sa lucidité, mais Félicia savait qu’aucune toxine ne pouvait créer le désir, simplement l’amplifier. Elle le laissait venir, et ronronnait en sentant les langues des deux femmes du Pingouin lécher son bassin, et en sentant la bouche de ce dernier mordiller sa poitrine à travers le téton. Elle serra ses mains. Félicia était toujours attachée, mais elle sentit l’une des femmes se relever, et commencer à défaire ses liens, optant par ceux entravant ses chevilles, puis ses poignets. Entre-temps, le Pingouin tirait lentement sur la fermeture Éclair de la femme, dévoilant sa délicieuse poitrine, son nez pointu frottant contre la peau douce et parfaite de la femme. Elle était belle, et lui ne l’était pas. Elle aurait pu se sentir repoussée par cet être, mais, curieusement, sa laideur lui donnait une sorte d’attirance supplémentaire. Ses mains étaient graisses, longues, coupantes, ses dents aussi aiguisées que des rasoirs. Il avait mordu ses seins à lui en faire mal, mais seul le plaisir avait dominé.

Le Pingouin voulait qu’elle le masturbe, et, dans son dos, elle sentit Tracy se relever. Tout en lui embrassant le cou, elle dénoua ses liens à hauteur de ses poignets, la libérant définitivement. Félicia serra les poings, placée alors face à la possibilité concrète de pouvoir partir d’ici. Ces trois individus ne pourraient pas la retenir, elle le savait... Mais elle n’en avait pas envie. Pas du tout, même. Candy, elle, se tenait à quatre pattes devant elle, léchant goulument son intimité à travers la combinaison moulante de la femme, et Tracy, elle, retourna s’occuper de son cul, massant chacune de ses fesses, léchant sa croupe, en forçant sur ce cuir. Sa combinaison était en train de superbement mouler ses formes, et elle avait compris que Cobblepot avait un penchant fétichiste. Il aimait les femmes en cuir, et elle ne pouvait pas lui jeter la pierre. Cette tenue était sexy.

« Tu trouves comment mon traitement envers mes prisonnières ? » demanda alors Cobblepot.

Elle lui sourit, et caressa les maigres cheveux de l’homme, avant d’aventurer sa main le long de son costume, caressant les bourrelets de son estomac, et trouvant, sous cette dernière sa verge.

« Et bien, je dois admettre que la féline que je suis a toujours adoré les câlins... » répliqua-t-elle sur un ton langoureux.

Elle lui lécha le rebord de l’oreille, et empoigna son membre, le serrant fermement en remontant de la base au gland, un sourire malicieux glissant sur ses lèvres.

« Ma foi, il y a du potentiel là-dessous, Monsieur Cobblepot... »

Elle retira sa main, et souleva le visage gras et rond de l’homme, allant tendrement l’embrasser. Elle était en train de mouiller, ce que Candy pouvait sentir. Elle sentait aussi, contre sa tête, le long de sa chevelure, le sexe du Pingouin. Il poussait à travers le pantalon de son patron, heurtant son chignon... Ce qui ne pouvait que lui faire plaisir. Comme son patron, elle adorait le cuir et le latex. Sur le corps de belles femmes, c’était comme un emballage magique, tout simplement délicieux.

DC d’Alice Korvander.

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