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Sorcelienne, synonyme de malchance [Meowlidé.es]

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Sorcelienne

Légion

Sorcelienne, synonyme de malchance [Meowlidé.es]

vendredi 04 avril 2014, 18:42:18

Malchance

Introduction :

Malchance, c'est un pote du destin. Malchance c'est un TRES BON pote du destin, mais d'une manière très étrange, c'est aussi le petit démon sur son épaule droite. Il lui dit quoi faire, comment agir, pour rendre la vie « amusante » et particulièrement croustillante. Qui n'as jamais dit que si il ne s'était pas réveillé, c'était par malchance, qui n'a jamais dit « quel malchance ! » quand il vient de tomber dans le caniveau boueux ? Eh bien oui, de moins en moins de monde, car Malchance dans le fond existe de moins en moins et n'est devenu qu'un prétexte pour le destin qui est devenu de plus en plus sadique. Et sache que le Destin a des cibles, des cibles favorites marquées par la « Malchance » . Ces victimes sont nombreuses et se baladent de temps à autre soit sur Terre, soit sur Terra, mais contrairement à beaucoup leur malchance est irrémédiable. Maudits, poissards, ces personnages sont les protagonistes de cette grande histoire qu'est le gros pas de bol, l'infini loupé, la catastrophe magistrale, et plus souvent encore le : "Quel dommage !" En faites ce sont des personnes qui ne l'ont jamais voulu mais sont nés avec de tels capacités que la malchance est toujours en leurs compagnie, du plus jeune âge à aujourd'hui, et même si ils ont des histoire différentes, une chose les rejoints tous : Quoiqu'il fasse, il y aura toujours quelque chose pour provoquer un grand n'importe quoi dans leurs vies.

Voici, Malchance :





And you gonna bombs, you gonna bombs, you gonna bombs right noooow !

Nom/Prenom/Surnom : Sorcelienne Reinhart :

Âge : 18 ans

Sexe : féminin

Race : humaine

Orientation sexuelle : Tout, étant donner que la Malchance ne lui laisse pas trop le choix...

Description physique :
Aaah Reinhart. Il s'agit d'une charmante jeune femme aux airs généralement amusés, comblés, semblant toujours avoir une mauvaise plaisanterie en tête et toujours prête à la mettre en oeuvre dans le moment qui suit. Il lui arrive parfois d'avoir l'air dans les nuages mais autrement, elle reste une femme vive, active, qui vas toujours cherché à faire quelque chose, que ce soit les courses, son boulot, ses recherches, jouer au jeu vidéo, ou encore son péché mignon, dont nous parlerons plus tard.
Sa tenue commune est une tenue classique de citoyenne en provenance de l'Europe : elle porte des chemise un peu large,  aux manches retroussées jusqu'aux épaules et possède pour ses jambes des pantalons en tissu ou en jean, le tout encore une fois assez large, ce qui lui donne parfois l'aspect d'une personne un peu trop relâché, et qui se vêt de la manière la plus rapide possible, ou qu'elle sort de la perte d'une quinzaine de kilos sans raisons apparentes, car avouons le, elle a toujours été fine et tant mieux, parce que sinon elle serait sûrement beaucoup moins aisée pour prendre la fuite.
Mais cette tenue n'est pas celle qu'elle préfère. Normalement elle aime se vêtir d'une tenue très particulière, constituée de long collant noir, de chaussures de sport bon marché, et d'une veste à capuche à carreaux vert, représentant le héros de son jeu vidéo favori. Une fois cette tenue revêtue, la jeune fille se met alors à vivre pour sa plus belle et grande passion, le terrorisme ! Les flingues, les couteaux, c'est pas son truc ! Elle son trip c'est de faire tout péter !
Elle aime tout ce qui est explosion, destruction, chaos, les pierres qui volent et les gens qui courent de terreur. Elle apprécie aussi beaucoup les jeux vidéos, vivre de nuit, faire du grand n'importe quoi et quand les gens lui disent qu'elle est complètement surexcitée et anormale. C'est une grande fierté pour elle, et jamais rien ne l'as autant fait rire qu'un type qui lui dit qu'elle a l'air plutôt simple, plutôt sympa et qu'il aimerait devenir ami. Les feux d'artifices chez lui furent d'une couleur à la faire partir dans le plus grand des délires !

Caractère :
Folle ? Un peu, disons qu'elle se lâche juste dans une chose qui lui fait voir la vie en couleur. Depuis toute petite elle ne comprend pas pourquoi mais elle est d'une poisse infinie, et très étrangement tout lui est arrivé, de la perte de ses jouets préférés aux carambolages et autres virées en hôpital après avoir découvert son allergie au paprika !
Elle est énergique, survoltée ! Elle ne peut pas se concentrer longtemps sur un seul objectif et va toujours allez faire quelque chose, mais il faut toujours qu'il y ai un souci à ce quelque chose et qu'elle ait à choisir de faire encore autre chose. Finalement elle ne peut plus se retenir et ses pulsions de terrorisme remonte, jusqu'à ce qu'elle ait fait pété un appartement au minimum.
Elle est très vigilante et sursaute à chaque fois qu'elle entends une alarme en pensant qu'il s'agit de son éternel ennemi, le poulet non explosif et rabat-joie ! La police l'a emmené une fois en la pensant victime d'une explosion, et elle avait tout de suite comprise qu'elle n'allait jamais se plaire avec ce genre de rigolo en képi qui mange des gros trucs gras derrière un ordi en la reluquant dans son joli costume de creeper.
Enfin, elle a une terrible peur de sa maladresse, et a développé un perfectionnisme au centimètre près dans toutes ses actions, de peur de créé de nouvelles catastrophes comme dans son enfance. Pourtant sans qu'elle ne sache pourquoi, il lui arrive encore des poisses tout les jours, et quasiment à chacune de ses tentatives de terrorisme les policiers sont dans le coin, prêt à agir et à l'attraper pour la coller derrière les barreaux... la Malchance sûrement !

Histoire :
La vie de la demoiselle ne fut jamais trépidente. Elle vivait dans une boutique avec sa famille, des fleuristes qui avait pour plus grand plaisir de vendre des oeillets, des hortensias, des roses, des tulipes à tout le voisinage en diverses occasion. Ils vivaient dans une petite rue paisible au joli dallage, à l'air frais et embaumé par les odeurs exotique du traiteur chinois d'à coté. Une petit vie paisible pour une jeune fille qui fit ses douze premières années de vie dans la joie de ce gentil voisinage des plus délicat, et dans le coton délicat de la tendresse parentale. Une vie loin d'être incroyable, une vie même banale mais qui convenait à la jeune demoiselle qui aidait du mieux qu'elle pouvait ses parents à la boutique.

Puis un jour elle devait constituée à elle seule près de trois douzaines de bouquets pour un bal de fin d'année, la grande demande pour toutes ces jeunes filles qui porte les petits cercles de fleurs au poignets. Elle faisait tout pour le faire mais se sentait débordée, surtout quand les invités commencèrent à rentrer en boutique pour demander leurs essentielles compositions florales en disant « moins de jaune », « plus de rouge », « est-ce que ça va avec ma robe ? ». Le cauchemar ! Et puis surtout ils se plaignaient tous de la bonne odeur du traiteur chinois d'à coté qui allait les imprégner de cette si charmante fragrance exotique et agréable dans laquelle la petite fille vivait depuis son enfance.

Mais sans vraiment le savoir, il y avait un je ne sais quoi, une fuite de gaz surement chez le chinois d'à coté, alors quand la petite fille faisait ses paquets, le gaz continuait de s'accumuler dans la pièce, jusqu'à ce que le cuisinier ouvre le feu pour commencer à faire cuire ses délicieux raviolis au calamar et là POUF... plus de traiteur chinois. Volant à travers la pièce à cause de l'explosion, la pauvre petite traversa la fenêtre du fleuriste pour aller s'échouer dans la rue. Elle avait mal, toussait, mais voyais là la fin de ses soucis, la fins de tout ces pré-adultes idiot qui l'avait embêter toute la sainte journée. C'était comme un message de dieu, oui elle venait de trouver toute sa future vocation dans ce « POUF »

Après un bon mois en hopital, elle prit son avenir en main et entrepris de demander à ses parents de déménager dans un autre pays, étant donner qu'il n'avait plus rien ici avec l'explosion créé par la fuite du traiteur. En souvenir de leur bon voisin, les parents furent pour partir en Asie, et il ne resta qu'à la demoiselle de leur proposer le Japon, vu que la Chine est pauvre et communiste et tyrannique ! Ce fut de longues semaines d'âpres discussion mais finalement tout le monde put s'engager dans cette nouvelle voix, et les parents acceptèrent de déménager dans une ville connue pour être plutôt multi-nationale que purement japonaise : Seikusu. Rouvrant une boutique, les fleurs s’étendirent bientôt sur la chaussée comme autant de preuve de la floraison de l'économie familiale !

Quand à Sorcelienne ? Elle avait repris ses études, et prit soin de se spécialiser de son coté dans une voie somme toute fascinante : L'art de la bombe ! Explosif de tout genre, système de déclenchement, poudre, plastique, tout était bon pour lui offrir son rêve. Elle fit quelques essais peu concluant dans des zones abandonnée, puis fin prête commença à préparer des outils de plus en plus puissants et entama ses attentats de manière bénigne, puis bien plus sérieuse, ne se rendant plus compte que sa passion avait virée en névrose. Miss Creeper est désormais connue dans la ville pour être une des criminelles qui s'échappent toujours d'un cheveux, mais ça ne devrait pas durer encore longtemps vu que la Malchance la rattrape. Autrement elle est en section science du lycée Seikusu et s'y trouve bien à son aise, participant aux cours avec joie et bonne humeur.

Situation de départ : vierge

Autres : (Shad, référence disney!)





Magic is for the heretic, the whore, the desperate, and the lover... But the lover is just another jerk

Nom/Prenom/Surnom :  Sorcelienne Haffrant

Âge : 25 ans

Sexe : femme

Race : humaine (Terra)

Orientation sexuelle : Ici encore, la Malchance ne lui laisse pas trop le choix.

Description physique :
Sorcelienne est une très belle femme dont les année n'ont fait qu'ajouter à sa naturelle beauté. Point grande mais au corps sculpté par des mains divines, la sorcière possède une forme fine et délicate, non pas faite pour être provocante mais pour attirer le regard par une délicieuse cambrure, une peau lisse et parfaite, ou plus encore une élégance dans ses gestes et ses mouvements qui ne laissent généralement pas de marbre. Pris en détails, ses yeux d'un vert dilué paraisse toujours fixé quelque chose, quelque ce soit, dû à une myopie qu'elle n'a jamais pris le temps de soigner, et ses cheveux d'un roux prononcé tombent en cascade jusqu'à ses fesses, en un turbulent flot enflammé qui a tendance à partir de droite à gauche sans qu'il n'y ai de réelles raisons. Elle l'explique en prétendant que c'est à cause des vent de magie qui l'entoure, mais là encore rien ne permet de prouver une telle chose.
De son coté vestimentaire, elle porte toujours des cuissardes et au niveau du corps des robes, généralement moulantes même si parfois elle préfère les longs habits en cône, la faisant apparaître encore plus petite et inoffensive que d'habitude, mais accentuant aussi son air de mage et l'aidant à jouer de ses pouvoirs et de ses mouvements  pour faire comprendre aux autres son comportement naturel de sorcière versée dans les différents arts magiques et la démonologie. Néanmoins si il y a une chose qui ne change pas, ce sont ses énormes chapeaux qui lui mange le visage et font facilement le quart de sa taille normale. Si il faut bien une chose pour la reconnaître de loin c'est cela, ses énormes chapeaux qui à l'instar de ses autres habits sont très sophistiqués, décorés de motifs et autres tissus pour modifier leurs apparences et leurs particularités.

Caractère :
Sorcelienne est une femme particulièrement étrange, et elle aime nourrir le mystère qui l'entoure, ainsi que ses pratiques. Elle est une mage qui possède de nombreuses connaissances dans diverses voie de magie, et tout son être est tournée vers l'accomplissement de ses recherches et son désir de découvrir encore plus de choses dans les arts de la magie. Elle reste énormément chez elle dans des bouquins de plusieurs milliers de pages, et sa maison est sûrement le lieu le plus en bordels à des kilomètres à la ronde. Point de fierté mal placée ni d'orgueil, elle est juste extrêmement curieuse et toute chose intrigante obtiendras son désir de découverte.
Elle ne reste pas moins coquette, comme le suggère ses vêtements et ses manières, mais elle n'as pas vraiment l'occasion de le montrer aussi se sert de petits homonculus qu'elle crée pour avoir la possibilité d'obtenir des avis plus ou moins judicieux, et en profite pour confectionner ses propres vêtements pour elle et ses petits camarades. Elle a du coup un coté très grande sœur envers ses petites créations et n'accepte pas que l'on se moque d'eux, de quelques façons que ce soit, au risque de maudire la personne concernée, ou de lui jeter un sort, ce qui a tendance à se répercuter de la pire, mais la plus commune des manières possibles aux yeux de Sorcelienne : par la Malchance !
Car des poisses il lui en arrive au moins une par jour, et la moindre occasion est source de nouvelles surprises telles que Sorcelienne ne fais même plus d'efforts pour les éviter, même si dés qu'elle tombe sur une réelle Malchance, elle se tente toujours à une fuite rapide et efficace avant que l'histoire ne tourne au vinaigre. Bien entendu, parfois elle n'est pas assez rapide et découvre encore une fois à quel point ce monde peut être injuste, même si elle ne s'en plaint pas trop et essaye juste de corriger ses erreurs une fois sa Malchance évaporée avec le temps. Elle a bien essayer d'étudier le phénomène, mais cela est tellement aléatoire qu'elle a abandonnée, et se concentre sur le plus important, sa vie et ses trouvailles.

Histoire :
Sorcelienne est … connue de pas mal de monde, avant tout à Nexus, depuis peu à Ashnard. Si on la connait c'est pour sa nature d'incroyable porte-poisse, et en second plan pour être une mage de premier ordre. Une grande partie de ses collègues se questionnent sur la nature de son lien particulier avec la magie arcanique, et jusqu'ici Sorcelienne, par respect envers sont tuteur, et pour dissimuler ses erreurs du passé, n'a jamais dissiper le nuage de rumeurs et de suppositions qui ont put être lancée sur sa personne. Non, maintenant elle est une mage comblée postulante au titre d'archimage avant même d'avoir passer la trentaine et vit peut être de façon mouvementée, mais au moins avec la joie et le succès près de ses doigts, ce qui n'est certainement pas le cas de ce qu'elle a connu durant toutes les précédentes années.

Elle a six ans la première fois qu'elle comprends qu'on ne la voit pas comme un être humain mais comme un être faible, un jouet à l'apparence féminine. Vivant dans une famille pauvre dans les tréfonds de Nexus, et par là allez comprendre dans les égouts par lesquels la capitale scintillante rejette tout ce qui ne convient pas à son divin faciès, elle est la seul enfant d'un homme idiot, vivant en se vidant le service trois-pièces avec tout ce qui lui tombait sous la main d'à peu près féminin, et d'une femme morte en la mettant au monde. Bien heureusement pour elle, la jeune fille n'avait pas encore de quoi attirer son père à l'âge de six ans, et évita donc tout souci d'interprétation de la part de cet être immonde. Laissée seule néanmoins par celui-ci de nombreuses fois, elle se contenta à cette époque d'utiliser les conduits « privilégiés » des désoeuvrés vivant dans la fange pour écouter les gens d'en haut, et notamment un en particulier : Malmotius Jester.

Malmotius avait une salle doté d'une grille d'évacuation, c'est tout ce que Sorcelienne savait, mais cela lui permettait de remonter le conduit qui s'y trouvait pour s'installer peu loin de la grille, et d'écouter par en dessous les élucubrations de ce mage, spécialisé dans la magie arcanique. A force d'écoute et d'apprentissage, la jeune fille se prit d'un jeu qu'elle appela « le jeu de la sorcière », et elle s'y imaginait comme ce grand homme, appelant des forces obscures qui lui obéissaient au doigt et à l'oeil, maîtrisant des forces mystique impossible à arrêter, et se vengeant de son père qu'elle haïssait du plus profond de son cœur. Un jour, elle s'installa dans la seule pièce de leur maison, et visa son père du doigt en ricanant, avant de jouer à son petit jeu et soufflant tout bas une incantation inventée grâce aux mots de Malmotius, imaginant son père devenir gros comme un bourgeois à n'en plus pouvoir se déplacer. Le résultats fut sans conteste...

Son père se transforma sous ses yeux, mais pas en une espèce de barrique ambulante. Elle l'avait rendus difforme, son corps avait pourri, ses yeux avait frit dans leurs orbites et exhalait désormais de lui un fluide noir et poisseux qui s'écoulait sur le sol. Elle avait user de magie, son jeu était devenu réel … Et elle en fut terrorisée. Le monstre plaintif mit moins d'une seconde pour repérée l'enfant paniquée et s'approcher d'elle afin de la dévorer de ses multiples crocs jaunâtre, et c'est ainsi que commença une course poursuite à l'intérieur de l'eau répugnante des égouts, au milieu des rats et des maladies. Sorcelienne était paniquée, se débattait du haut de ses 6 années pour fuir l'être répugnant qui était autrefois son père. Mais peu à peu rattrapée par cette horreur elle ne put que sentir le mort arriver à grands pas, jusqu'à ce qu'une vaste lumière emplisse la zone et réduise sa création malencontreuse à l'état de cendres.

Malmotius avait sentit l'énergie, et était descendu dans les égouts pour comprendre ce qu'il s'y était déroulé. Son regards sur la fille et la bête fut un regard haineux, incompréhensible. Et Sorcelienne croisa ce regard, dégradant, humiliant, au point qu'elle s'en rendit malade. Des semaines plus tard, toujours seule et sans possibilité de réagir à ce qu'il s'était passée, elle était devenue mutique, encore plus maigre qu'autrefois, et se laissait lentement mourir. Et c'est là qu'ils arrivèrent, les démons, ses démons. On dit que les fées sont toutes gentilles n'est-ce pas, mais qu'en est-il de leur parfait inverse ? Sorcelienne rencontra les « diablotins », affreux petits êtres sous le contrôle d'un autre être bien plus dangereux, Ruvid, un étrange démon qui se présenta lui-même comme la fée des enfers. Devant ce spectacle, la jeune fille ne sut quoi faire, elle qui se laissait dépérir pour mourir, mais Ruvid ne l'entendit pas de cette oreille. Il apporta à manger, à boire, offrit à l'enfant d'à peine 7 ans la possibilité d'un service mutuel … Et c'est alors qu'elle répondit pour la première fois depuis de très nombreux jours :

-Quels services ?
-Rien de bien compliqué. J'ai besoin de quelqu'un pour rester en ce monde, et toi tu as besoin de quelqu'un pour vivre, pour partir de ces égouts puant, et pour apprendre à utiliser ce qui dort en toi.
-Tu veux que j'utilise ce qui a tué mon père
--Tu as tué ton père, mais il t'aurais fais du mal si tu avais grandis tu le sais tout comme moi. Et puis regarde ce mage qui t'as sauvé, il a put le faire parce qu'il utilisait cette magie ! Il t'as regardé de haut parce que toi tu ne t'en es pas servie pour te défendre !
-Tu crois ?
-Oui … Abandonne ta vie de paria, viens avec moi et nous pourrons faire de toi quelqu'un de tout à fait valable ! En échange je veux que tu sois mon lien en ce monde, que tu m'abrite dans ton corps pour que je puisse vivre sur Terra. Alors ?
-Je ne sais …
-Tu n'as pas à hésité !
-Je … J'accepte.

Elle ne se réveilla que dix ans plus tard quand enfin les membre d'un clergé quelconque l'avait attrapée et exorcisée de la présence de Ruvid en elle. Le changement fut flagrant sur son corps, que ce soit physique ou mentale, et l'enfant devenue jeune femme ne se reconnue plus. Elle dut trouver un abri, les ecclésiastes ne voulant pas d'un être ayant été privé de sa pureté volontairement ou non parmi eux, et se trouva dés lors une ruelle où elle se fit un abri de plus en plus confortable avec le temps, découvrant aussi sa nouvelle chance : le démon-fée n'avait pas mentit, ses pouvoir avaient en effet été décuplé au contact avec l'être démoniaque, et elle pouvait dés maintenant en faire usage pour arranger un peu sa vie. Elle renforça donc son abri, se permit d'obtenir rapidement des vivres pour pouvoir manger à sa faim, puis enfin trouva une manière efficace d'user de sa magie : trouver un maître, et devenir un de ces mages qui ont des revenus exceptionnels rien que par leurs présence dans les différentes institutions et gouvernement du monde.

Adieu pauvreté, adieu soucis. Prenant son mal en patience, elle attendit de sentir une autre aura magique dans la ville, puis prépara son petit tour afin d'être prêt le jour où elle capterait la présence de quelqu'un doté de ce genre de capacités. Un beau matin, Jackpot ! Peu loin dans la rue elle présent la présence d'un mage, et saute sur l'occasion. Sortant de sa ruelle en courant, elle fonce dans le mage et le percute sans prévenir, s'écroulant avec lui au sol, et profite du mouvement pour lui déchirer son manteau sur une vingtaine de centimètres. L'homme pesta, enragé.

-Putain la merdeuse, regarde devant toi quand tu cours
-Par...Pardon je ne voulais pas … Votre manteau …
-OUAIS MON MANTEAU ! Regardes en l'état sotte, c'est ta faute...
-JE …. Je vais réparer ça attendez !

Et elle recousue le costume sous ses yeux. L'homme n'eut pas le temps de répondre qu'il vit son manteau se refermer de lui même, les fils redevenir intactes et solides. Tout était parfait, elle se mit à reculer un peu, faisant mine de partir mais l'homme l'arrêta dans son mouvement. Voilà, elle avait ferrée son poisson. Le regardant avec de grands yeux elle fit mine d'être surprise.

-Attendez … je suis un « connaisseur » et … je crois que vous avez quelque chose qui pourrait si ce n'est m'intéresser, intéresser des collègues qui cherchent de nouveaux apprentis. Viendriez vous avec moi ?
-Vos … Vos désirs sont des ordres monseigneur, je vous suis...

Son plan ayant fonctionner, elle n'eut plus qu'à convaincre le dirigeant de l'école de magie de la prendre parmi les autres élèves, et c'est ainsi que commença la fameuse carrière de Sorcelienne, mage de Nexus. Une élève parfaite, des cours dynamique contenant une élève toujours prompt à montrer son génie, la progression de Sorcelienne fut incroyable, même si le plus étrangement du monde ses sorts semblaient toujours s'annuler aux moments cruciaux, faisant d'elle la seconde de l'école, et non la première. Certains se permirent le droit de croire qu'elle pactisait avec quelques démons pour s'améliorer, mais la vérité était sensiblement différente : Elle avait bien essayée, mais ses rituels et convocations avaient la malheureuse habitude de toujours comporter une erreur, ce qui lui avait offert par trois fois un viol dont elle se souvenait comme si c'était la veille, et l'avais dissuadée de réessayer de tels pratiques... Même si elle ne pouvait s'empêcher de tenter l'expérience une nouvelle fois par pur orgueil.

Et comme vous l'avez lu plus tôt, tout génie qui soit a ses moments de déchéance. Un jour, un sort mal utilisé de la part de Sorcelienne, après un rituel qu'elle avait très étrangement mal préparé, fut l'occasion pour elle de prouver sa légendaire malchance, et un sort visant à créer une cage magique pour bloquer un monstre assez inoffensif eut pour effet de bannir toute sa classe et son professeur dans une autre dimension. Si le résultat était d'un niveau largement supérieur à ce que l'on prêtait comme capacité à Sorcelienne, il fallut aussi se rendre compte que c'était un crime de la part de la jeune femme, même si ce n'était pas intentionnel, et une troupe fut envoyée pour emporter la mage. Évidemment elle se défendit, et prit la poudre d'escampette après avoir fait sauter son ancienne maison, et les 5 soldats venus la chercher avec !

Dans sa fuite elle ne trouva qu'un seul lieu pour reprendre études et améliorations de ses capacités, aussi alla-t'elle droit à Ashnard. Une fois installée là-bas, elle fit le nécessaire avec l'université de magie pour prendre place en tant qu'élève, puis obtint ses promotions jusqu'à aujourd'hui. Bien sur la malchance ne la quitte pas mais elle se contente de sort simples où d'un niveau qu'elle est sur de maîtriser pour éviter des catastrophes comme celle de Nexus. Désormais assez riche et puissante, elle s'intéresse dans une participation avec l'armée, mais ne s'engage dans rien le temps qu'elle n'ai pas obtenue le titre d'archimage. Le temps s'en occuperas ...

Situation de départ : Quelques expériences, toujours contre son gré.





I don't like to purr, I don't like to be a pet. I'm not a pet ! I'm a savage animal !

Nom/Prenom/Surnom : Sorcelienne Mayu

Âge : 15 ans.

Sexe : féminin

Race : Terranide Binturong

Orientation sexuelle : Pas le choix, faut faire avec la malchance.

Description physique :
Il s'agit d'une jeune adolescente à l'apparence particulièrement fragile. Les membres longs, fins, elle possède un corps encore immature mais ravissant, où tout semble fait de légèreté et de délicatesse. Ses mouvements sont généralement agile, bondissant, et plus d'une fois elle présente quelques prouesses pour monter, grimper, arrivant étrangement à ne jamais se faire mal quelque soit la hauteur dont elle tombe aussi. Pourtant elle le fait peu souvent, étant assez faible physiquement, et la finesse de son corps est aussi bien représentative de sa faiblesse naturelle qui la pousse à ne pas trop sortir de chez elle, hormis pour les cours au lycée. Sa peau est d'une pâleur de neige et très étrangement ses cheveux roux semble avoir connus la même transformation, étant devenus uniformément rose avec le temps. Ses yeux d'un vert céladon est lui aussi sujet de controverse, mais elle prétexte que ce sont juste des yeux verts qui ont tirés vers le bleu avec le temps.
Ses goûts vestimentaires vont apparemment vers des choses aussi légers qu'elle, et ses tenues ont toujours des tons pastels, entre le lila, le céladon, même si parfois elle apprécie de mettre une petit touche de couleur vive parmi tout cela en plaçant un ruban prune, ou un nœud azur dans ses cheveux. Autrement, tout ce qui comporte dentelles, fins tissus et rubans lui plaise, et elle s'est elle-même dirigée vers le style gothic lolita japonais, qui lui convient tout à fait quand elle trouve autre chose que des complets sombres, ce qui nécessite un peu de recherche de sa part. Il faut aussi noté que si on la trouve chez elle, elle ne quitte pas un énorme ours en peluche qui est largement plus grand qu'elle, et dont son affection pour lui est aussi intense qu'inexpliqué.

Caractère :
Si elle est capable de prouesse physique, faisant d'elle une personne fière et prête à tout pour montrer que rien ne l'arrête, sa faiblesse la rendu pourtant peu prompt à agir et à s'activer. Généralement peu loquace, elle préfère rester chez elle, sous la surveillance de sa mère, et ne bouge pas beaucoup car ayant maintenant une certaine frayeur du monde extérieur. Actuellement au lycée de Seikusu, elle n'y fait pas de vague, essaye d'être al plus discrète possible et rentre vite chez elle, si elle n'a pas eut déjà l'occasion de voir sa mère la chercher à l'infirmerie suite à un souci de santé. Cette différence l'a encore un peu éloignée de ses camarades de classes et elle vit donc sa scolarité dans le calme et la solitude, pas mal de méfiance aussi. Étrangement deux choses l'attire beaucoup, à savoir tout ce qui a un lien avec les chats, et les ours, cette jeune fille allant même jusqu'à poursuivre les chats qu'elle voit dans la rue pour essayer de les attraper, du moins jusqu'à ce que son souffle la quitte et qu'elle soit obligée de s'asseoir pour respirer.
Au premiers abords elle paraîtra toujours un peu hautaine, un peu acerbe, mais continuer un peu derrière cette carapace et tout volera pour laisser timidité et naïveté prendre le dessus.

Histoire : 
C'est l'histoire d'une jeune terranide et de sa mère, loin d'un village attaqué il y a peu par une bande de brigands prévoyant quelques pièces faciles en revendant les habitants comme esclaves. L'une et l'autre courent dans la forêt avec la peur au ventre, cherchant avec espoir un abri où se dissimuler de ces chacals qui les poursuivent depuis maintenant plusieurs heures. La jeune fille est épuisée, mais ne peux lâcher la main de sa mère, cette main chaude qui est tout ce qui lui reste, et elle continue sa fuite alors que ses jambes demandent un repos qu'elle ne peut s'allouer. Elle s'enfonce, de plus en plus loin à l'intérieur des bois sombres, ne voient plus devant elles, mais entendent les cris et les poursuivants derrière. Elle paniquant, redoublent d'allure sans savoir d'où peut leur venir tant d'énergie puis … Silence. Une clairière, un étang, elle n'ont pas trop le choix, l'ennemi est sur leurs talons, alors la femme prend sa fille dans ses bras et saute, allant chercher dans les herbes, les joncs et les roseaux, une cachette pour elle et son trésor.

Mais quand elles ressortent de l'eau, le monde autour d'elles a changer. De gigantesques maisons de pierres dures entourant un pauvre bout de verdure . Arrivés de nuit, la mère et la fille sortent du bassin maladroitement, et essayent de trouver leur repère dans ce nouveau monde avant qu'un gardien de nuit les découvre. Ils ne se comprennent pas, ne parles pas la même langues, mais les blessures et l'état des deux fugitives semblent avoir touché un cœur. Amenées à l'abri, cet homme réussira tout juste à apprendre leurs prénoms, et à leur donner le sien, découvrant dés lors deux personnes bien étranges et inhabituelles. Des oreilles, une queue, un comportement un peu sauvage et une absolue ignorance du monde technologique, le pauvre essaya rapidement de palier à ces soucis pour les deux terranides, puis leur ouvrit la grille au matin pour qu'elle découvre le monde alentours. Elles osèrent, malheureusement.

… Et tombèrent rapidement dans le quartier de la Toussaint. Je vous laisse imaginer une femme d'à peine 25 ans avec une fille de 6 ans près d'elle dans ce quartier, le danger vint vite à leur porte et la femme comme la fille ne trouvèrent qu'une manière d'échapper à nouveau à la vilenie humaine : Par la transformation. C'est ainsi que la mère, mage débutante, prit un court instant pour prendre une forme animale pour elle et sa fille, les transformant toute deux en Binturong, chat-ours considéré comme NAD (Nouvel Animal Domestique). Elles vivèrent ainsi un temps, cherchant dans les poubelles pour se nourrir, se déplaçant pour éviter humains et animaux, les chiens ayant pour peu attaquer et manger la petite Mayu un jour. Finalement c'était une vie de paria, une vie difficile mais au moins le soir, Mayu pouvait se rouler en boule contre le ventre chaud de sa mère, et la vie fit son office.

Mais un jour elles furent signaler dans un appartement. Immeuble bloqué, elles furent capturées toutes les deux et mise en cage, puis trimbalées deux jours dans un camion froid et désagréable avant d'être installées dans un nouveau lieu, une cage plus grande, espacée, ouverte sur l'extérieur et devant laquelle passait nombre d'humain qui les regardait avec des yeux généralement surpris, parfois émerveillés, d'autres fois haineux et ennuyés. La nourriture qu'on leur donnait était plus mauvaise encore que quand elles fouillaient dans les poubelles, mais au moins avaient elles un toit, un lieu pour se protéger de la pluie et du vent, sans parler d'un constant contact avec l'être humain sans que celui ci ne soit dangereux pour elles, ce qui permit à la mère, puis à la fille, d'apprendre leur langage et donc de pouvoir interagir et comprendre ces gens. Elles apprirent donc qu'elles étaient dans un zoo, un lieu où les humains de ce monde gardaient les animaux dans des cages pour les montrer aux autres humains. Outre la cruauté de la chose, la pauvre mère put voir que les traitements n'étaient pas des meilleures, mais fit de son mieux pour garder un lieu habitable pour sa fille. Il lui suffisait de plaire, de faire du spectacle, sa forme de binturong étant déjà une raison d'attirer le regard.

Cela dura quelques temps, puis vinrent les écolos ! Plusieurs manifestations se déroulèrent dehors et à l'intérieur même du zoo, dans une cacophonie qui empêcha la mère de bien comprendre, mais apparemment la réputation du zoo était telle que de nombreuses personnes avaient choisit de le faire fermer, et d'amener à ce que les animaux soient libéré dans des zones faites uniquement pour les animaux dans leur genre. C'est un peu paniquée que la mère apprit donc qu'elle allait être emmenée loin d'ici tandis que sa fille serait emportée dans un autre zoo à Kyoto. Impossible, Inconcevable, elle loin de son enfant ? Les monstres. Elle ne pouvait plus rester sous cette forme, ni prendre le risques de rester ainsi. Un soir, elle endormit son enfant puis rompit le sort envoyé plusieurs mois déjà auparavant, et prit donc la petite dans ses bras avant de s'échapper du zoo, nue et sans défense, mais avec son enfant au moins entre les bras.

Elle ne connaissait qu'une personne qui avait pu agir de manière honnête et simple envers elles, aussi trouva t-elle le chemin vers le parc, cachant sa nudité aux rares passants nocturnes par une habile capacité à la discrétion et à la perception d'éventuelles voyageur nocturne, et enfin arriva au parc. Elle ne pouvait pas rester à la vu de tous, face à la grille, le temps de voir le gardien … Alors elle grimpa le mur d'enceinte, son enfant toujours tout contre elle, puis retrouva la salle de garde et vérifia par la fenêtre si c'était bien l'homme qu'elle souhaitait revoir qui s'y trouvait. Ce fut lui. Elle toqua, il ouvrit, fut surpris. Ce soir là l'histoire de plusieurs mois furent expliqué et croyez le ou non le gardien n'en douta pas un instant. A vrai dire les cas d'étrangers particulier arrivant dans ce parc était, sans être courant, récurrent de par l'histoire, et les gardiens conservaient ce genre de fait dans des journaux classés en arrière-salle, journaux qu'il avait consultés suite à sa rencontre avec la femme et son enfant. La suite fut plus calme, l'homme les aida à avoir un foyer, puis la mère de Mayu trouva un travail, de quoi la faire vivre elle et sa fille.

Mayu quand à elle découvrit que sa vie jusqu'ici l'avait affaiblie, la rendant chétive malgré son coté animal, et quand elle retrouva forme humaine elle était à peine capable de tenir sur ses jambes. Vexée d'avoir perdu sa vivacité, les premiers mois de vie avec sa mère dans son nouveau foyer fut compliqué, la jeune fille restant dans son coin, entourée de peluches achetées par sa mère par simple désir d'offrir enfin un peu de confort à son enfant. Puis elle fut envoyer à l'école. Ayant besoin de quelques aides, elle put néanmoins s'améliorer bien vite, et donc avoir le niveau nécessaire pour passer d'année en année, certes seule mais avec brio. Elle voulait que sa mère ne s'inquiète plus pour elle, qu'elle puisse bosser le cœur léger en sachant que sa fille s'en sortait. Sa mère s'inquiéta pour ses relations et finalement rien ne changea, l'une comme l'autre s'aimant tendrement mais se compliquant un peu la vie.

Cette année elle est entrée en seconde au lycée de Seikusu. Mayu se fait peu remarquée, tant mieux selon elle, mais continue donc son dur labeur, ne se doutant pas que dans ce lycée se trouve d'autres personnes provenant de ce monde dont lui parle sa mère, mais dont elle n'a désormais plus le moindre souvenir. Sa mère viens de Terra certes, mais Muya est bien plus terrienne qu'autre chose, et sera toujours bien gênée à chaque fois que sa mère lui parle d'essayer de lui montrer sa terre natale un jour, cette terre pleine de brigands, d'esclavagistes, et d'autres dangers qui s’abattrait immanquablement sur elles si elles choisissaient d'essayer d'y retourner. Elle était peut être seule, mais elle aimait sa vie ici, et ne souhaitait pas partir. Terrane peut-être, mais Terrienne de cœur.

Situation de départ : Vierge







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Nom/Prenom/Surnom : Sorcelienne Abraxis

Âge : 23 ans

Sexe : Féminin

Race : Gynoïde (Créature)

Orientation sexuelle : Ne comprends pas cette notion.

Description physique :
Une ombre dans la nuit, un trait argenté sous la lune, deux billes azur dans les ténèbres, voilà ce que la majorité des cibles d'Abraxis ont le temps de découvrir d'elle avant qu'elle ne les élimine.
Produit dans les laboratoire de Tekhos Metropolis, avant de finalement disparaître dans la nature, la demoiselle fut produite avec en tête un corps fin et dynamique. Presque dénuée de musculature apparente, épaule, bassin et membres fluets, ce ne fut pas pour autant que sa créatrice ne s'adonna pas à quelques modifications personnelles, lui offrant une petite poitrine, un appareil reproducteur en plein état de marche, non sans parler d'un fessier rebondi. Un certains nombres de détails échappant à la logique de la gynoïde, de tels atours étant sûrement complètement inutiles pour ses missions.
Quelque chose de bien moins inutile en revanche, ce sont ses membres. Des jambes lui permettant de se déplacer rapidement à une vitesse déraisonnable, un corps doté de nombreux points d'élasticité et jonctions supplémentaires afin de lui permettre de se faufiler par des passages normalement impossible à emprunter... Mais surtout un certains nombre de bras supplémentaires, élevant son nombre de mains à cinq. Deux bras gauche et trois bras droit, un avantage certain par rapport au commun des mortels qu'Abraxis connaît désormais brillament, au point de faire de chacun de ses membres une arme mortelle.
Toutefois, voilà bien le résumé le plus évident de son enveloppe. Au dessous d'une pellicule extrêmement solide de fausse peau d'une pâleur lunaire, un enchevêtrement de mécanisme méticuleusement agencé pour essayer de mimer le système psycho-moteur humain. Par dessus cette peau, une tenue légère, quasiment diaphane, dont le manque de tissu lui évite de se trouver gênée dans ses mouvements, sans même parler de ses contorsions humainement improbables. Enfin, si la chance survient de pouvoir voir son visage, ce sont deux perles brillante dans la nuit que l'on remarque, soutenant un regard d'un froid meurtrier, le tout englobé d'une chevelure mi-longue généralement en bataille. En soi, une figure presque parfaite de l'assassin professionnel... comme on peut le lire dans les oeuvres de fiction que dévorent le public Tekhan.

Caractère :
La pensée d'Abraxis, sans pour autant être purement binaire, est globalement relativement éloignée de nuances. La raison principale de ceci est son rapport relativement maladroit avec de nombreux concepts liés uniquement à la chair, qui donc ne l'affectent que très peu, elle qui est une création mécanique. Pourtant, depuis peu, les mises à jours de sa créatrice l'amène peu à peu à questionner son rapport à la vie, notamment depuis que l'ensemble de sa peau et ses capteurs ont été extrêmement affinés, lui permettant de découvrir le monde des sens tels que l'envisagent les êtres de chairs.
Ainsi, la demoiselle a developpé plusieurs notions de comportements qui la définissent sur les trois dernières années de son activité. Tout d'abord, en dehors des missions, la curiosité personnelle prime sur bien des choses. Chaque occasion de découvrir, de se permettre une nouvelle expérience, de compléter sa base de donnée est une sorte de joie pour elle, l'amenant souvent à agir inconsidérément. Notamment, elle semble avoir une passion naissante pour le soda, boisson qui semble l'émerveiller non pas par le goût mais la sensation en bouche. Elle a aussi développer l'intense plaisir de la course à pied, quelque chose dont elle peut avoir bien souvent le bonheur de pratiquer, que ce soit dans sa vie de tout les jours que pour ses missions.
Et en parlant de ses missions, c'est bien la seule partie de sa vie particulièrement différente. Car si elle cherche à vivre comme un être humain au jour le jour, elle devient complètement différente une fois qu'on lui a donné un objectif. Lors de son travail, elle quitte sa vie consciente, devient une superbe poupée meurtrière, traverse le ciel et court le long des murs avec vivacité et précision, son regard de glace fixé sur ses victimes. Ni joie ni contrariété, elle est une meurtrière sans remords, et traverse monts et vallées jusqu'à atteindre son objectif, profitant de son énergie sans fin pour ne jamais avoir à se reposer. Pour l'instant, rien n'a sut l'arrêter, mais rien ne dit que les deux faces de sa psyché ne sont pas vouée... à se contredire un beau jour.

Histoire : 
Projet n°31 de la série de recherche "arme et personnel militaire" de l'institut Gäfhen de Tekhos Metropolis. C'était là sa première dénomination, la ligne de code qui apparut en premier lieu dans sa pensée binaire quand elle ouvrit les yeux. Loin de posséder alors la moindre forme de réflexion complexe, le projet n°31 n'était qu'une ligne de texte foisonnante de caractères, née sous les doigts agiles de la professeure Hariette Juminoff, en pleine surdose de cafféine, après l'accumulation de trois nuits blanches et d'une discussion intense avec l'une de ses collègues de travail sur le principe de créer un automate doué d'une conscience humaine, mais dont les différentes parties mécaniques ne seraient pas limité à la forme naturelle d'un humanoïde. Autant dire, un petit défi qui se vouait à mélanger tout autant le don de la mécanique profuse et de l'intelligence artificielle suffisamment évoluée pour sortir du cadran d'activité de la vie mortelle. Tout un charabia que sa créatrice mettait en avant pour justifier de créer un androïde possédant plus de bras qu'un être humain lambda.

Le projet n°31 ne pouvait pas vraiment avoir un avis sur la question, elle se laissa simplement construire, cherchant lentement à créer les connexions logiques entre les différentes ressources techniques et virtuelles qui lui étaient fournies. Un travail qui n'était pas bien compliqué, sa créatrice ayant somme toutes un superbe talent en terme de programmation, ce qui lui permit de rapidement faire fonctionner l'ensemble et de commencer à relever les différents bugs qui se glissaient dans son programme à mesure qu'il avançait. Bien entendu, les premières années furent un enchaînement croissant d'erreurs diverses, nombreuses et de plus en plus complexes, ce qui ne manqua pas un court instant de filer un véritable syndrôme de la page blanche à dame Juminoff, à telle point qu'il fallut un hiatus de quelques mois pour qu'elle se remette de ses émotions, pour alors reprendre la mise en forme de son chef-d'oeuvre virtuel. Une époque où le projet n°31 ne comprit guère son but, étant donné que les informations qui la constituait semblait clairement être dédié à une existence dans une enveloppe, chose qu'elle ne possédait pas encore, n'étant qu'un morceau de technologie virtuel sur un serveur quelconque.

Pourtant, après plus de cinq années de tests et d'affinement, elle sentit qu'on la téléchargeait enfin vers un autre support. Ce fut le moment où elle ouvrit enfin les yeux sur le monde. Ses programmes prirent rapidement de l'ampleur, s'adaptèrent à la mécanique dans laquelle elle avait été implantée, puis avec un certain talent, l'intelligence artificielle combla les trous en combinant des recherches rapides de morceaux de codes ainsi que l'écriture maladroite de programmes personnels pour s'adapter à cette enveloppe partielle. Ses yeux vides s'illuminèrent, elle traita les images qui lui furent alors présentés, analysa les environs, traita morceaux après morceaux les agglomérats de pixels qui lui permettaient d'identifier son environnement. Un travail de longue haleine qui lui demanda onze mois supplémentaires, simplement pour qu'elle parvienne naturellement à comprendre le simple décor du laboratoire où elle se trouvait, mais un premier pas vers la conscience humaine. Quand sa créatrice entra après cette longue période ce fut pour lui sourire, constatant qu'elle avait terminée ses analyses étant donné que son regard s'était enfin fixé sur un point précis, cessa d'observer l'ensemble de la pièce.

Ce fut un travail à deux mains à partir de ce moment là. Ayant libérer son espace de traitement de donnée, le projet n°31 commença à organiser ses tâches pour progresser plus efficacement, tandis que dame Juminoff continua de développer son enveloppe matérielle et de la nourrir de programmes et d'informations. Il fallut pas moins de cinq mois pour qu'elle accède à la parole, plus de neuf pour qu'elle commence à bouger son cou par saccade, puis trois autre mois pour qu'elle en assouplisse le mouvement. Lentement le projet commençait à prendre forme, aquérant de plus en plus d'informations en même temps, notamment toutes les notions de motricité nécessaire à l'usage de son corps mécanique, non sans parler de l'utilisation de l'ensemble de ses capteurs sensorielles, même si ces derniers restaient encore relativement rustiques, la faute à des équipements de qualité moyenne à cause du manque de ressource de sa créatrice.

En revanche, l'avantage de la parole permit au projet n°31 de commencer à échanger avec sa propriétaire. Ce ne fut pas, encore une fois, sans difficultés. Disons que la manière de concevoir les informations n'étaient pas la même chez les deux interlocutrices, tant et si bien que certains échanges nécessitaient parfois de longues pauses de plusieurs minutes entre chaque réponses, le temps que la scientifique fouille dans les différents dossiers numériques de sa création pour trouver de quelle notion elle parlait. Ce fut d'ailleurs ainsi que Juminoff se mit à comprendre non seulement l'arborescence mentale du projet n°31, mais surtout le chaos absolu dans lequel elle avait conçue et ranger celle-ci, obligeant la scientifique à appliquer de nombreux patchs et correctifs pour simplifier un peu la mise en relation cognitive de tout ce que le projet accumulait dans sa caboche de métal. Une pratique qui devint rapidement le coeur de son travail à mesure que les mois passèrent, puis les années.

C'est ainsi donc que les deux femmes, l'une de chair et l'autre de métal, passèrent la majorité de leur temps ensemble. Si la scientifique avait parfois d'autres projets sur les bras, il sembla malgré tout évident pour la gynoïde qu'elle restait la principale source d'intérêt de sa créatrice, le moindre temps libre étant alloué à sa progression. De son côté, elle ne se permit pas de tarir en effort. Rapidement, une fois qu'elle eut prit le contrôle de sa tête, de son cou et de son buste, elle entama de faire fonctionner les ébauches de membre qu'elle possédait. Ses jambes furent les premières à répondre à son code, puis elle prit le temps de concevoir des formules d'une complexité croissante pour chacun de ses bras, les associant et les dissociant avec une précision exemplaire. Tant et si bien qu'elle put enfin quitter son piédestal, commencer à se déplacer dans le labo, decouvrir la préhension, l'équilibre, ainsi que le plaisir de pouvoir se déplacer avec toute l'agilité et la puissance que ses câbles, ses tenseurs, ses pistons et ses petites prouesses de technologie pouvaient lui permettre. Elle goûtait au plaisir d'être mobile, même si pour l'instant elle ne percevait encore ni toucher, ni goût, ni odorat.

Ce fut alors l'ultime étape de sa conception. Sa créatrice la présenta à un petit nombre de collègues, tout en lui offrant enfin un nom complet, le statut d'une entité à part entière, méritant sa dénomination propre. Devenue ainsi Abraxis, la gynoïde put comprendre que si sa créatrie avait eut bien du mal à faire comprendre sa passion par ses consoeurs de recherches, elle avait depuis longtemps fait de nombreux paris pour s'assurer de pouvoir pousser à terme ce travail si elle prouvait la réussite de ce dernier. Le constat de sa victoire fait évidence, Abraxis eut la surprise de la voir exploser de joie quelques jours plus tard, stipulant que son compte en banque était tellement "plein à craquer" qu'elle pouvait enfin achever l'enveloppe de sa protégée. C'est ainsi que la gynoïde repassa à nouveau en mode veille, pour un long moment, le temps qu'on finalise son enveloppe.

Elle fut remise en fonction deux ans plus tard, devenue désormais un petit bijou de technologie Tekhane. Peau synthétique bourrée de capteurs d'une précision étonnante, visage complet, et amélioration de ses compétences cognitives, tout lui semblait soudainement infiniment plus efficace et rapide. De son esprit comme de son corps, elle les fit parfaitement sien en un rien de temps, pour alors découvrir deux choses qui lui promirent dès lors un avenir bien différent de tout ce qu'elle avait vécue auparavant : Une identité agréée par la société Tekhane, faisant d'elle une citoyenne robotique, ainsi qu'un travail : De sa mécanique et sa conscience, on lui donnait le devoir de s'en servir pour son pays, en tant qu'unité de capture et d'élimination. Ce fut le début de trois années d'améliorations fulgurantes, au bout desquelles elle comprit deux choses : Elle aime autant la vie calme que le champ de bataille et ... étrangement, elle semble toujours rencontrer des inconvénients, comme si elle était incapable de tout prévoir, de tout calculer, de tout théoriser.

Le hasard est son ennemi, elle cherche encore à ce jour à en percer les mystères ... Mais pour l'instant, elle n'a pas trop le choix, Abraxis se contente de vivre comme elle peut, découvrant jours après jours de nouvelles informations à stocker, de nouvelles expériences à vivre, sous l'oeil bienveillant de sa créatrice.

Situation de départ : Aucune utilisation du matériel sexuel enregistrée à ce jour.






Throw, cut, break, stomp, pummel, mash... Fighting is just like cooking, the only difference is the lack of seasoning.

Nom/Prenom/Surnom : Sorcelienne Karm

Âge : 31 ans

Sexe : Féminin

Race : Terranide

Orientation sexuelle : Kratosexuelle (Attirance envers la force physique)

Description physique :
Karm est une femme dont l'ensemble de la position révèle une grande confiance d'elle-même. Droite, perchée sur de longues jambes fuselées, rares sont les hommes qui peuvent prétendre la regarder de haut, et pour cause : Avoisinant les deux mètres cinq, la dame n'a jusqu'à ce jour que rarement rencontré un humanoïde qui puisse la dévisager sans qu'elle ne baisse son visage.
Elle est une des puissantes guerrières, sûrement la plus grande d'ailleurs, de la tribu Gik Nolin, une tribu de terranides pouvant encore se vanter, à ce jour, de vaillamment se défendre contre la tyrannie humaine. Une défense dont la femme est la plus belle représentation. Titanesque, son corps naturellement puissant fut bénie d' un entraînement stupidement ardu, développant ses muscles pour que chaque fibre soit capable de produire une force herculéenne. Vigilante en tout temps et en toute heure de son enfance, ses sens furent eux aussi amenés à évoluer, son ouïe, sa vue et son odorat étant désormais bien supérieurs à celui de son espèce. Le tout dans une enveloppe aux charmes reconnus, d'une poitrine charmante combinée à une peau de pêche en passant par une silhouette grâcieuse, même si Karm ne sait clairement pas en prendre soin, son hygiène de vie l'amenant bien plus souvent à être couverte de tripes que de baume hydratant.
C'est donc une bête de puissance, généralement vêtue de tenue de cuir renforcée pour protéger ses parties vitales, ainsi que de pièces d'armures sur ses bras et ses jambes, ces dernières lui servant à dévier les assaut ou parer les coups durant ses charges bestiales. Elle ne porte jamais de chausses et ne couvre jamais son visage, la femme ayant besoin de l'ensemble de ses sens à leur pleine capacité pour se sentir en sécurité, mais se laisse parfois allée à quelques ornements rituels, afin de plaire aux dieux terranides par le scintillement de l'or et l'abandon de sa position de soldate. Toutefois, elle est bien incapable de se séparer de sa hache, sa fidèle compagne, monstruosité d'acier qui suffit à glacer le sang des plus courageux.

Caractère :
Fière et puissante, droite et intègre, imposante et éblouissante, autant d'adjectifs qui peuvent parfaitement aller à Karm. Elle s'impose naturellement comme une figure de pouvoir sans se laisser perdre dans la tyrannie et le manque de contrôle de soi, inspirant autour d'elle une confiance qui n'est pas sans toucher chacuns de ses confrères et consoeurs de la tribu. Prête à se mettre en avant, à poser le pas devant les plus grands dangers, mais aussi se retourner afin de passer une main maternelle entre les oreilles des jeunes de sa communauté, elle est une fierté pour beaucoup de ses congénères, qui voient en elle un modèle, une dame méritant l'ensemble de de leur admiration.
Mais de manière plus insidieuse, si l'on regarde sous la couche de vernis, Karm n'est pas à ce point taillée dans le marbre que ses homologues semblent le penser. Marquée au plus profond de sa chair par la malédiction, elle est toute aussi puissante qu'elle peut-être imprudente, le tout de son être la poussant à aller vers le danger sans jamais parvenir à se maîtriser. Elle est toujours parvenue jusqu'ici à défendre sa tribu, mais cela ne veut pas dire pour autant qu'elle n'a pas conscience de son incapacité éventuelle, un jour, à ne pas planter son arme devant un trop grand défi, dont elle paiera sûrement les conséquences.
Pourtant elle ne peux s'empêcher de courir le danger. Le coeur enflammé par l'affrontement, l'arme levée comme étendard de sa confiance, elle cherche à accomplir, encore et encore, les plus impressionnants tours de forces. Tendre avec les siens, furieuse envers le reste du monde, elle prie surtout pour que les jeunes de la tribu vivent sainement, dans le calme et la générosité des terres, tandis que son sang lui rappelle son besoin d'action, que son esprit lui sussure sa nécessité de se mettre en danger. Plus les années passent, plus elle s'éloigne de sa terre natale. Plus les années passent et plus elle désire, au plus profond de son être, oeuvrer non plus pour son peuple, mais pour que les dieux soient témoins de sa grandeur.

Histoire : 
Karm n'est ni une reine, ni une descendante de quelques lignées que ce soit. Dans sa tribu, elle n'est rien de plus qu'une autre naissance quand elle est venue au monde. Si bien sûr il y eut de joyeuses et amusantes festivités tandis qu'elle agitait ses mains potelées de nourrissons par dessus son berceau, ce ne fut pas plus que pour féliciter ses parents d'avoir eut une nouvelle descendante. Bien sûr, à l'époque, difficile de voir en cette petite bouille innocente toute la férocité et la puissance qui l'animera, mais bien loin de rester calme dans son enfance, ses premières années auront vite tendance à annoncer la gloire à venir de cette fantastique guerrière.

Âgée de trois ans, elle règlera son compte à un serpent ayant osé rentrer dans la case de ses parents. Quelques mois après, elle frappera un porc en fuite, assommant la bête qui cherchait bien malheureusement à ne pas finir rôti. La conséquence pour la pauvre bête aura été de finir dans le ventre de la féroce gamine. Puis, à mesure que les années passent, elle continuera ses coups d'éclats, commençant notamment à soutenir ses parents dans leurs activités de tout les jours, les plus physiques surtout, tandis que ses excursions la verront devenir, même au jeune âge de dix ans, une fantastique chasseuse. La lance n'avait aucun secret pour elle, ses lancées étaient précis, ses attaques fulgurantes, tant et si bien que les autres jeunes de la tribu se réunissaient autour d'elle pour les parties de chasses, certains de pouvoir se féliciter d'attraper au moins un gibier. Mais Karm avait de biens plus grandes ambitions.

Alors, quand son tableau de chase comptait la quasi majorité des bêtes des steppes, elle commença à se préparer plus ardemment à la rencontre de créatures magiques. Guêtant la venue des êtres les plus puissants qui pouvaient passer dans les plaines, elle entama de se battre, à l'orée de ses quatorzes années, contre une salamandre, puis contre une furie, avant de remporter la victoire face à la puissance lourde et ravageuse du paisible le plus costaud des steppes, un éléphant, complétant finalement la liste des créatures qu'elle pouvait éliminer couramment sur ces terres. Autant dire, elle rayonnait dès lors d'une prestance que nul n'osait remettre en cause. Karm, à l'orée de son âge adulte, était déjà la meilleure des guerrière de la cité, la plus puissante des femmes de la tribu, et une dame que bien des hommes souhaitaient courtiser.

Mais les promesses de vies qui lui étaient faites alors ne firent que l'écoeurer. Nul ne l'égalait, nul ne lui convenait. Elle enchaîna les rejets, plus secs les uns que les autres, éloignant les prétendants d'un geste large pour leur signifier qu'ils n'avaient pas la moindre chance. Ses parents tentèrent de la sermonner, de lui faire comprendre que produire une descendance allait aussi dans le sens de prendre soin du village, d'assurer son futur. Elle n'en eut cure. À la place, la demoiselle s'éloigna d'autant plus des abords du village, commençant à silloner son pays en quête de défi, d'affrontements de plus en plus mportants, d'adversaire à la hauteur de sa puissance physique. Ce fut là qu'elle rencontra son premier et seul maître, signant définitivement la fin de sa vie comme simple terranide.

Il s'appelait Aptigore, un minotaure qu'elle rencontra aux confins Ouest de ses steppes. Elle le défia sans réfléchir, connu pour la première fois une réelle différence entre son niveau et celui de son adversaire. Non pas qu'elle ne puisse rivaliser en terme de force musculaire ou de vivacité, non ... Ce qui l'empêcha de combler la différence de niveau, c'était la science militaire et la connaissance du combat du puissant mi-homme mi-taureau. Karm perdit, mais de cette défaite naquit un respect profond. Elle harcela le vieil humanoïde plusieurs jours d'affilés, la créature grisonnante la renvoyant sans s'arrêter plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il craque un soir face à l'insistance juvénile de la terranide. Elle obtint le droit d'apprendre, ne serait-ce que quelques mois, à ses côtés, comblant la jeune femme d'une joie qu'elle ne cacha pas un instant.

Les mois qui suivirent furent rudes, mais lui permirent de progresser à une vitesse démentielle. Sans égale jusqu'alors parmi les siens, les adultes ayant dût rapidement plier l'échine face aux capacités naturellement surhumaine de Karm, le minotaure était le premier adversaire qui lui rendait coup pour coup. Elle le savait pourtant, elle l'avait comprit, que son maître était déjà au bout de sa vie et qu'il n'était que la pâle forme d'un être bien plus puissant autrefois. Elle s'en moquait malgré tout, le simple fait de sentir le poing de son supérieur lui écraser le pif l'amenant à sourire comme une dépravée. Des jours, des semaines d'affrontements réguliers dont elle sortait parfois avec la douleur comme seule compagne était tout ce qu'elle vivait en ce temps, mais aussi tout ce qu'elle redemandait chaque matin, sans même s'inquiéter de la santé d'Aptigore.

Puis les bêtes quittèrent les plaines en quête de verdures lointaines, tout comme son maître qui eut le devoir de reprendre la route. Il lui légua son enseignement, puis après une longue hésitation, laissa entre les mains de cette jeune guerrière un dernier cadeau : l'arme qu'il avait jusqu'alors emporté avec lui. Karm obtint en ce jour cette hache titanesque que jamais elle n'abandonna depuis lors. En revanche, Karm dut abandonner ce precieux enseignant avec le coeur serré, mais pour la première fois elle remercia quelqu'un de lui avoir tant apprit. Son retour au village se fit avec autant d'inquiétude que de soulagement, sa disparition ayant laissé entendre sa mort malheureuse en quelques lieux inatteignables, autants de réactions que Karm balaya rapidement avant d'atteindre la maison de ses parents. Elle les enlaça pour fêter leurs retrouvailles, puis leur expliqua ce qu'il s'était passé durant cette longue absence de sa part. Curieux, ceux-ci ne manquèrent pas de questionner la relation qui avait animé les deux combattants durant cette période, mais leur fille jeta d'un grand rire leur suspicion au loin.

" Ma', Pa', soyez pas stupides. Je n'ai jamais rencontré homme qui me plaise ! Aptigore était un guerrier, pas un homme. Et dorénavant, moi aussi, je serais une guerrière ! "

Si le sens de ces mots échappèrent à ses parents, ils étaient clairs comme de l'eau de roche pour la femme. Son arme en main, elle entreprit de devenir le plus grand symbole de force des steppes. Que ce soit face aux esclavagistes, aux créatures magiques, aux bêtes de légendes qui apparaissent parfois par quelques miracles, la femme s'assura de faire comprendre à tous qu'elle était la seule et unique maîtresse de ces terres. Son combat continua, d'année en année, suffisamment pour qu'elle soit lentement connue des contrées voisines, jusqu'à ce que quelques mages entament de la pourchasser, en quête d'une esclave si précieuse que la simple vente de sa personne suffirait à faire vivre une famille pour plusieurs générations. Tous échouèrent jusqu'ici, non sans toutefois une petite victoire, qu'encore à ce jour la femme ne comprends pas.

Depuis quelques semaines, suite à l'ultime assaut des mages, elle porte au creux de son bassin cette marque maudite. Les sorciers des tribus des steppes n'en connaissent ni la fonction, ni le remède, mais une chose est certaine... Il est possible qu'elle soit bientôt obligée de partir, en quête d'un moyen de se laver de cette trace magique dont elle espère ne jamais avoir à connaître la fonction.

Situation de départ : N'a pas encore trouvé quoi que ce soit qui puisse la faire plier.






I always thought myself to be a calm guy in a harsh world. But I guess I was wrong. I'm a tired guy in a cynical world.

Nom/Prenom/Surnom : Solusu Lihi'enu, dit "Panda"

Âge : 28 ans

Sexe : Masculin

Race : Humain

Orientation sexuelle : Bisexuel (Globalement confus face à tout ce qui fait "efféminé")

Description physique :
Solusu est un homme de taille moyenne, compensant son mètre soixante-treize par un corps qu'il a entretenue non seulement par une musculation journalière, mais surtout par les exercices pratiques des forces de police de Seïkusu. Course à pied, course d'obstacle et boxe libre sont ses principaux moyens de garder pour lui un corps d'athlète, même si les bières de fin de journée avec les collègues lui mettent une barrière certaine sur le chemin du corps aussi sec qu'un bodybuilder en pleine perte de graisse. Et c'est bien tout ce qu'il a pour lui...
Car autrement, le pauvre homme a bien des difficultés à être vu comme un honnête membre des forces de police, pour de bonnes raisons d'ailleurs. Que ce soit ses airs patibulaires, son sourire tordu généralement fixé à la glu sur son visage, non sans parler de son regard de méchant de série B, il est rare qu'il attire la sympathie des passants, alors la confiance n'en parlons pas. Ce fut encore pire après l'accident de la presse, qui lui a laissé deux superbes cicatrices de chaque côté du visage, lui valant désormais le surnom de "Panda". D'ailleurs, cela fait longtemps qu'il sait pertinemment qu'il ne fait pas l'unanimité du quartier de son commissariat, aussi il a même cessé de se raser les cheveux, y préférant depuis le retour de sa coupe de jeunesse, une brosse haute rabattue vers l'intérieur, confirmant définitivement son air de loubard. Au moins comme ça, il fait flipper les jeunôts irresponsables.
En dehors de tout cela, cet homme porte en chaque jour le costume des forces de police. Habitué à cette norme vestimentaire, c'est presque devenu une seconde peau, tant et si bien que le reste du temps, il le passe en caleçon dans son appartement. Même une fois qu'il eut terminé ses heures de travail, aussi aléatoires soient-elles, il ne quitte pas son costume, prêt éventuellement à le mettre en avant pour mieux s'assurer d'être estimé par ses interlocuteurs. En revanche dans ses habitudes de tout les jours, il est fréquent de le voir la clope au bec, ainsi qu'à jouer de ses clefs, un tic qui lui permets de se détendre quand il se prend gentiment la tête, mais qui a souvent tendance de fatiguer son auditoire.


Caractère :
Solusu, c'est un peu la coqueluche de son commissariat. Tout le monde le connais, tout le monde sait qu'il n'est pas bien méchant, mais surtout tout le monde a bien conscience que s'il se fait muter, sa malchance naturelle aura tôt fait de le mettre dans une situation inextricable où il risque de se faire tuer. Car oui, le policier est toujours dans les pires situations possibles. Que ce soit moralement ou physiquement, l'homme semble avoir la fâcheuse tendance de poursuivre le mauvais suspect jusqu'à se faire percuter par une voiture, ou de s'occuper de la garde à vue d'un récalcitrant dont les menottes s'ouvrent au pire moment. Pour toutes ces raisons, et malgré la volonté naturelle de l'homme à faire le bien, il commence lentement à devenir de plus en plus impitoyable envers tout les contrevenants à la loi, sans même chercher à questionner ses propres actions à ce sujet.
Solusu, c'est donc un extrêmiste. Un chevalier blanc, prêt à punir tout les petits salopiauds qui font un tag sur les murs tandis qu'il se pliera en quatre pour permettre à une petite dame de traverser les passages piétons. C'est l'homme qui collera une rouste au petit fils de sénateur qui ose se foutre de ses collègues alors qu'il a été prit à dealer à des mineurs, mais qui arpentera l'ensemble de la ville à vélo pour retrouver le chien d'une famille esseulée venue demander un peu d'aide. Et si ses actions deviennent de plus en plus attendrissante d'un côté, ses punitions deviennent de plus en plus viles envers ceux qui se détournent du droit chemin.
Alors héros des temps modernes ou simple cas croissant de double personnalité, en tout cas l'homme reste secret sur ses guérillas personnelles, se contentant de veiller à garder son uniforme propre, son sourire tordu sur le visage, et un paquet de cigarettes dans sa poche. Il boit des bières avec ses collègues, fait la fête avec ses amis de longues dates, rentre chez lui pour regarder des films et manger des salades sur lesquelles il ajoute une énorme pièce de viande rouge saignante. Il vit de ses plaisirs, tente de survivre au monde ainsi que d'en faire un espace meilleur pour tous. Et en soi, à ses yeux, c'est déjà pas si mal.

Histoire : 
Solusu, c'était une petite frappe de Seïkusu. Honnêtement, depuis tout jeune, l'homme a souvent eut l'occasion de se faire connaître des forces de polices, parfois parce qu'il volait des clopes pour son père, d'autre fois parce qu'il avait tagué la queue d'un chien en rouge pour qu'il aille plus vite. Malheureusement, ses farces et ses exactions, même si produites d'une volonté innocente de faire le bien, n'était pas au goût de tous. Notamment du gardien de la paix de l'époque, Hitoshi Bakuga, qui avait pris le gamin en grippe au point de toujours savoir reconnaître quand les méfaits était de sa main. Le nombre de fois où il a visité le foyer de Solusu ne saurait être défini, amenant l'adolescent de l'époque à se demander pourquoi un vieux con le poursuivait à ce point. Puis, malheureusement, il fut prit un jour la main dans le sac, mis en garde à vue, et tandis qu'il s'apprêtait à vivre la même mascarade, il vit le visage fatigué du vieux bonhomme passer la porte, cigare au bec.

" Oh putain non pas vous.
 -  Boucle la, p'tit con. "

Se faire insulter ça le gênait pas. Par contre, la voix basse et sans agressivité de l'inspecteur, ça, ça lui avait couper la chique. Il était certains que l'homme ne l'appréciait pas, tant mieux en soi car c'était réciproque, mais son comportement immédiat ne laissait pas entendre ce genre de confrontation hargneuse. Non, le bonhomme qui fumait son épais cigare semblait simplement ... Fatigué. Comme au bout de sa vie. À l'époque, Solusu ne pensait clairement pas que ça pouvait être de son fait, après tout il n'était qu'un minot qui déconnait, des comme lui il y en avait des dizaines rien que dans Seïkusu. Et pourtant, une fois qu'il eut Hitoshi en face de lui, qu'il put voir ses prunelles grises le fixer, il commença à se sentir particulièrement mal à l'aise. Il... avait l'impression que l'homme en face de lui le contemplait avec déception. Pire, avec résignation.

" Tu vas continuer longtemps comme ça ?
 -  Tu parles de quoi vieux schnock ?
 -  De tes conneries. Solusu, t'es clairement pas le pire cas qu'on ait à traiter, rien qu'à ta gueule suffisante je sais que t'en as conscience. Mais tu me sors par les yeux. Sincèrement.
 -  Gaspille pas ta salive, c'pas comme si j't'écoutais d'toutes manières. "

Posture défensive. Solusu refusait complètement les mots du flic, et pour cause, il le sentait pas ce plan. Le mec en face, il était pas loin de le faire sortir de ses gonds, mais le problème ... C'est qu'il y avait un quelque chose dans le ton, dans la supériorité qu'il prenait, dans les termes qu'il utilisait. Un rien du tout qui empêchait le délinquant de lâcher prise et de juste lui exploser à la figure, mettant fin à toute forme de discussions. Le pire, c'est que visiblement, même si Solusu se montrait désagréable il était visiblement impossible de faire cesser les propos de l'inspecteur, ce dernier poursuivant son monologue sans faillir.

" Tu veux savoir pourquoi tu me sors par les yeux ? Ça fait trois ans que je cours après ta trogne de petit salopiaud. Trois ans que tes potes te couvrent malgré tes conneries, que tes parents te jettent hors de la maison dès que je viens te chercher. Trois ans que j'ai un dossier épais comme le ventre de l'officier Hibukashi sur mon bureau, compilant chacun de tes petits délits. T'es le pire des petits mécréants de la ville, à croire que tu cherches à te faire chopper.
 -  Sans votre nez de fouine dans mes affaires, j'passerai sous les radars...
 -  Non ducon. T'es mauvais. Tu m'énerve parce que t'es absolument misérable comme criminel. Et le pire, c'est que la moitié des fois où je te choppe, t'es en train de te la jouer petit samaritain.
 -  J'ai b'soin d'thunes, c'est tout.
 -  Oh pitié... "

Il prend l'un des dossiers avec lequel il est rentré, le jette sur la table devant Solusu, puis l'ouvre sur un paquet de témoignages divers.

" Tu sais ce que c'est ? Ce sont les témoignages de tout ceux que tu aides chaque jour. Le fleuriste chez qui tu bosse de 16 à 18, le bar qui t'appelle quand ils ont un ivrogne à sortir, la mamie du 14  voie Katsu pour qui tu fais les courses. Alors pour tout ces gens, pour tout le bien qu'ils m'ont dit de toi, je viens vers toi ce soir avec une proposition.
 -  Quoi ?
 - T'es en garde-à-vue pour 72 heures. Je te laisse ce temps pour réfléchir à ta vie, à ce que tu fais et veux faire, entre tes conneries et les gens qui te font confiance. Si tu veux enfin marcher droit, j't'aiderai.
 -  Et...
 -  Et sinon t'es majeur dans trois mois, donc t'as intérêt à apprendre à cacher des trucs au fond de ton cul pour survivre à la taule. Parce que c'est là-bas que tu finiras p'tit con. "

Solusu s'en était toujours foutu de finir en taule. En revanche, quand il vit l'inspecteur partir, il remarqua sans aucuns problèmes qu'il avait laissé derrière lui le dossier complet des témoignages du voisinage. Le délinquant ne put s'empêcher de les lire, non sans s'y perdre finalement de longues heures, passant de témoin en témoin avec la sensation croissante qu'il ne méritait pas la quart des mots inscrit dans ces lignes. L'émotion l'étreignit. Il ne put s'empêcher de pleurer au bout d'un moment, heureusement qu'aucun de ses potes n'était là d'ailleurs, parce que sinon il aurait eut vite fait d'avoir la honte de sa vie. Mais quand finalement lagarde-à-vue toucha à sa fin, ce fut avec les yeux rouges et le nez encore un peu humide qu'il se redressa de sa chaise à l'entrée de l'inspecteur. Une réaction qui ne manqua pas de faire sursauter le vieil homme par ailleurs.

" M-monsieur je ... Je veux changer !
 -  Je préfère ça. Allez viens p'tit gars, t'as de quoi être ce qu'on a le plus besoin dans cette ville.
 -  Genre, quoi ?
 -  Un flic, bien entendu. "

Les années qui suivirent ce propos furent aussi étranges que salutaires pour le jeune homme. Originellement peu emballé par l'idée d'entrer dans les forcesde police, il ne put s'empêcher de remarquer avec le temps que son éthique et sa morale personnelle rentrait en parfaite adéquation avec les codes de conduite de ce nouveau métier. Sortant comme n'importe quel quidam de sa promotion, sans aucuns honneurs mais prêt à faire son travail, il fut rapidement engager dans un des petits commissariats de quartier de sa ville natale, Seïkusu, où il entama d'echaîner les missions avec la plus grande des bonnes volontés. Pourtant, rapidement, plusieurs choses permettent de comprendre que la vie ne va guère être un long fleuve tranquille pour ce jeune homme, bien au contraire.

Quasiment chacune de ses missions ne se passe pas comme prévu. Non pas qu'il s'agisse fondamentalement d'échecs, mais il finit toujours blessé, mis en danger, voire même parfois carrément poussé vers les abords d'une fin soudaine et terrible. C'est le cas notamment de son avant-dernière mission sur le terrain, que tout le monde appelle tout bas "la presse", où Solusu en pleine poursuite fut bousculer par un employé de la zone industrielle qui ne l'avait pas remarqué, basculant le policier alors en plein élan au milieu d'une presse lourde à métaux. Si le réflexe d'un autre employé sauva l'homme d'une mort certaine, le crâne du jeune homme en porte encore les stigmates depuis. Pourtant ça n'a pas l'air de calmer l'homme, ce dernier une fois sortit de l'hopital reprenant immédiatement du service, se jurant de retrouver la trace de celui qu'il a manqué attraper la dernière fois.

Nombreux sont ceux qui se demandent si le jeune policier n'est pas en soi un peu trop simplet ou inconscient pour continuer, mais l'ensemble du commissariat apprécie suffisamment leur collègue pour simplement lui offrir soutien et encouragements. Malheureusement, c'est ainsi que tous passèrent sans remarquer les infimes changements qui s'opéraient en Solusu. S'il s'était remis de sa blessure physique, son âme de justicier, elle, avait définitivement cicatrisé en gardant, en elle, une marque indélébile dont la justice n'allait que mieux en attiser les aigreurs.

Situation de départ : A eut une petite copine qui l'a plaqué il y a quatre ans.


*
*   *


Autres : graon

Comment avez vous connu le forum : double-compte (évident ou non?)

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Pas plus qu'avant...
« Modifié: vendredi 23 juin 2023, 15:02:22 par Kõya Breathless »
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Lucrecia

Créature

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance

Réponse 1 vendredi 04 avril 2014, 18:46:44

Description trop courte, histoire trop courte, caractère trop court...

Non, je plaisante ! Fiche de bonne taille et de qualité !

Validée ! Tamponnée ! Approuvée !

Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 2 vendredi 04 avril 2014, 18:49:05

Hm tu ... tu lis vite ...
... o.o I'm impressed !

Merci !
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Lucrecia

Créature

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 3 vendredi 04 avril 2014, 18:51:23

Bon, il y a quelques fautes, mais dans l'ensemble, elles ne sont pas si nombreuses...

Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 4 vendredi 04 avril 2014, 18:53:28

Merci ça me rassure, je pensais que j'allais en avoir une tripotée !

Et j'aime pas les fautes '^'
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Cassidy Green

Avatar

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 5 vendredi 04 avril 2014, 18:56:04

Re-bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Lyan Rose

Terranide

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 6 vendredi 04 avril 2014, 19:10:13

J'ai lu et je suis confus.

Je pensais que "Sorcelienne" était un titre pour les trois victimes de la Malchance quand j'ai survolé les trois fiches, puis quand j'ai lu dans le détail j'ai remarqué que toutes les trois étaient désignées comme Sorcelienne. C'est leur nom ? Leur prénom ? Je t'avoue être un peu perdu sur cet aspect.

Le concept est intéressant, sinon. Le fait de relier trois comptes sur le fait qu'elles ont une poisse pas possible, j'aime bien. Si je jouais tous mes comptes, je serais venu te souhaiter la bienvenue avec l'un d'entre eux, le dieu de la Malédiction, rien que pour faire quelques commentaires comme à mon habitude. :D

J'aime particulièrement cette pauvre petite fleuriste chinoise... :D

Bref, rebienvenue !

Nouvelle fiche - Suivi RP/Trames

Thème [Standard] - Thème [Alternatif]

Ça se prononce "Layanne" fils de pute.

Oh, et ce kit génial a été fait par Connor. o/

Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 7 vendredi 04 avril 2014, 19:15:09

Sorcelienne est en effet une chose qui les relient toutes les trois :

Pour la première, Sorcelienne est son prénom !

Pour la deuxième, Sorcelienne est aussi le prénom !

Pour la troisième c'est son nom de famille ^^

J'hésite encore, mais peut-être que j'éditerais plus tard avec deux autres personnages, dont LA Sorcelienne, qui expliquera les différents liens entre les personnages ^^

En tout cas merci ^^ Sorcelienne Reinhart te remercie d'ailleurs de ton appréciation
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Les 4 Délices cachées

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 8 vendredi 04 avril 2014, 19:18:31

Bienvenue à vous trois :3

Creeper Girl *^*

Par contre... c'est normal ça ? '^'

Citer
Malchance c'est un TRES BON pote du destin,javascript:surroundText('', '', document.forms.postmodify.message)

Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 9 vendredi 04 avril 2014, 19:22:38

Merci petite mi-félin mineuse !
Et merci de m'avoir prévenue de cette immonde faute que je vais corriger de suite !

"Muya lui tourne autour, le rose aux joues, observant curieusement" ...Hmm

Edit : pardon j'ai oublier de remercier Cassidy pour son bienvenue ... Pardooooon T^T
« Modifié: vendredi 04 avril 2014, 20:12:45 par Sorcelienne »
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S.E.R.F - 23

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 10 vendredi 04 avril 2014, 21:43:08

Mmmm... Ton style d'écriture me fait penser à quelqu'un. °°

Rebienvenue. <3


« Le jus d'Homme, la nouvelle boisson énergisante, par SERF. Goûtez-y, et vous serez accroc.  Attention, l'abus de jus d'Homme peut provoquer des fécondations. » - Lionne

Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 11 vendredi 04 avril 2014, 22:07:51

Essaye toujours demoiselle de la S.E.R.F, et nous verrons si tu as raison ^^

Je n'attends que ça de voir si tu as trouvée la bonne personne ^^
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Youmu Konpaku

Créature

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 12 lundi 07 avril 2014, 05:57:29

Bienvenue, ou rebienvenue.

J'aime bien, les persos *highfive*


Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 13 lundi 07 avril 2014, 06:45:16

Oh merci demoiselle de Touhou, j'en suis flattée !

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Sorcelienne

Légion

Re : Sorcelienne, synonyme de malchance [valucidée]

Réponse 14 vendredi 23 juin 2023, 13:25:34

Bonjour bonjour o/

Petite demande à la modération, vous me connaissez bien et ... Et je viens de rajouter trois autres personnages à la fiche des Sorceliennes, trois personnages qui ont donc grand besoin d'une validation !

Regardez, je vous fais même les yeux doux OwO ! Sivopléééééé.
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