[FINI] De fil en aiguille [PV Mélinda Warren and co]

Que la partie continue ! Après avoir autant servi sous la table sans pouvoir faire travailler sa queue, elle comptait bien rattraper ce retard, Shii, Mélinda ou une autre, elle comptait bien planter sa verge dans des tas de trous en venant ici. Peut-être pas ce soir, Ai était endurante mais elle n'était pas infatigable, mais tôt ou tard, il y aura un point commun entre ce manoir et les filles qui y vivent, Ai les aura toutes visitées. Pour le moment, seule Shii aura cette chance de profiter pleinement de la jeune futa mais toutes pourront jouer avec elle, elle s'en faisait la promesse ! Restant au-dessus d'elle, assez proche d'elle, elle lui avait demandé la façon dont elle voulait être prise ? Comme un petit chaton qu'on câline, comme deux amoureuses qui feraient l'amour pour la première fois en étant gentille, romantique et timide – même si ce n'était pas trop la façon de faire d'Ai – ou bien comme une tigresse, que ce soit sauvage et brutal ? Dommage, elle n'avait pas le matériel pour agir vraiment de la sorte mais cela ne l'empêchera de prendre vraiment plaisir à jouer avec elle de cette façon.

Mélinda la poussait un peu, répondant même pour elle. Enfin, si c'était vraiment sa réponse, elle n'avait rien à dire ou a rajouté. En guise de réponse, la jeune futa venait l'embrasser avec passion, se collant contre elle, allant même mordiller sa lèvre inférieure avant de rompre ce baiser.

« Ok... tu vas en prendre pour ton grade alors ! Pardon Maîtresse mais dans ces conditions, ça sera difficile de laisser libre cours à vos désirs avec mon petit cul. Mais je vous laisse volontiers réfléchir à la façon dont vous allez vous faire plaisir. »

Si elle devait jouer la tigresse, autant dire que Mélinda aura du mal à rester accroché à ses fesses pour y prendre plaisir. Dans une ambiance romantique et douce, oui, cela aurait pu être possible de faire cela à trois mais là, c'est partie remise. La jeune futa se redressait en ayant un petit sourire sadique sur les lèvres en observant la belle Shii dans sa combinaison de piscine, si ça c'est pas être excitant alors elle ne s'appelle plus Ai Aihara ! Ai venait doucement se masturber en la regardant.

« Bon, je sens qu'on va se marrer ! Oh Maîtresse, si on peut ce soir ou un autre soir, j'aimerais qu'on fasse un cercle d'amour, c'est possible ? »

Mélinda savait-elle ce que c'était ? Il faut bien dire que sans se vanter, cette idée était puisé de son imagination ou bien alors elle l'avait déjà vu quelque part sans se souvenir où ? Possible mais Ai oublier une position pareil, c'est comme demander à quelqu'un d'oublier comment on s'assoit, c'est impossible. Elle éclaira volontiers sa lanterne mais pour le moment, elle avait un délicieux pain sur la planche. Ai lui écarta les jambes doucement pour mieux observer son entrejambe avant d'y glisser un doigt pour miueux écarter cette barrière pas si infranchissable. Elle rapprocha son membre en érection près de ses lèvres intimes déjà bien trempées mais elle se stoppa à quelques millimètres d'elle en relevant son visage vers le sien.

« En plus ça va être vraiment ma première fois avec toi ? Mieux en mieux... »

Elles avaient de l'expérience toutes les deux mais pas en ça. Ai s'était masturbé dans sa culotte, elle s'était faite sucé par Shii, branler aussi et re-sucer mais pas encore la baiser. Alors quand faut y aller, on se lance ! Une de ses mains gardant l'entrée ouverte pour éviter que son maillot de bain ne vienne la protéger puis une autre sur une de ses cuisses, elle s'enfonça sans le moindre problème en elle, soupirant de joie avant de la regarder. La mignonne petite Ai avait son petit sourire sadique sur le visage en la prenant, à moitié allongée sur elle.

« Hum... tu sais que j'aime bien ta petite chatte ? Et j'ai pas fini de l'aimer encore et encore. »

La jeune futa s'allongea sur le corps de Shii, venant l'embrasser avant de la prendre de façon plus rapide et plus sauvage, de plus en plus, aussi sauvage que son baiser alors que ses petites fesses remontaient pour rapidement s'abaisser pour mieux se coller contre Shii, répétant cette même action indéfiniment. Mélinda pouvait loucher sur ses petites fesses, venir les toucher ou les sentir si elle avait envie, mais Ai ne voulait pas stopper la façon dont elle prenait Shii, pas tant qu'elle n'a pas fini ! Certes, sa Maîtresse aura tous les droits sur elle mais pour l'amour du sexe, on n'interrompe pas les gens comme ça, sans raison. Shii n'avait pas fini d'être baisée par Ai, elle savait comment procéder juste après, pourquoi pas le faire de suite après tout ? Faut bien avouer que ça manquait d'originalité. Elle se redressa en gardant ce sourire.

« Tourne-toi vers notre Maîtresse... on va continuer différemment. »

Elle attendit que Shii se tourne avant d'attraper une de ces jambes pour la lever le long de son corps, Ai s'y tenant avant de mieux s'enfoncer en elle. La jambe de Shii lever et poser contre elle, ce n'était pas une position de tout repos mais on pouvait dire qu'elle avait la chatte bien écartée pour la suite. Et ce n'était pas la jeune futa qui allait s'en plaindre, ça allait même être mieux et ce n'était qu'un début !

Mélinda savait que ce serait intense, et c’était comme ça qu’elle le voulait. Shii était une petite timide, une jeune esclave qui peinait à avouer et à s’admettre la profondeur de ses sentiments et de ses fantasmes. Cependant, Mélinda n’était pas dupe. Elle connaissait suffisamment Shii pour savoir ce que cette dernière aimait. La vampire était souvent brutale et rapide avec elle, ample et violente, car elle savait que c’était précisément ce que Shii aimait... C’était bien pour ça qu’elle était toujours proche de Clara, une femme qui ne se gênait pas pour brutaliser Shii quand l’occasion s’en faisait sentir. Ai ne faisait clairement qu’aborder tous les délices qui étaient possibles dans cet harem. Concrètement, plus le temps passerait, et plus elle réaliserait à quel point ce qui se passait ici était magique et dantesque, dépassant de loin ses rêves les plus fous. Restant en retrait, Mélinda était toujours sur le lit, mais se refusait pour l’heure à embêter la belle Ai, qui se concentra.

Elle commença par se masturber devant Shii, faisant rougir cette dernière. Pour le coup, avec ses belles joues cramoisies et ses lunettes rondes, sans parler de sa longue tresse, elle faisait vraiment fille fragile... Comme une sorte de petite poupée qui aurait pu se briser au moindre contact. C’était exactement cette idée, et, pourtant, dans les faits, Shii était bien moins fragile que ce qu’on pouvait croire. Ai se masturba un petit peu, afin de stimuler le sang, et Shii se mordilla les lèvres, puis soupira quand Ai s’allongea sur elle... Et la pénétra d’un coup.

« Hîîîî !! »

Poussant un long soupir ténu, Shii posa une main sur les cheveux d’Ai, et la laissa remuer en elle, enfonçant sa solide queue en elle. Même si ce n’était pas une verge disproportionnée, elle la sentait quand même passer ! Mélinda, elle, continuait à les observer. Le corps d’Ai remontait d’avant en arrière, ses baisers se mélangeant à de longs soupirs langoureux, les deux femmes tournoyant l’une contre l’autre.

« Haaaaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannn... !! »

Le plaisir était bien au rendez-vous pour Shii, qui se laissait prendre, n’opposant pas la moindre objection. La verge d’Ai remuait en elle, encore et encore, donnant de grands coups de reins. Difficile de sodomiser Ai dans cette situation, car Mélinda ralentirait ses mouvements. Ai la violait littéralement, la baisant sauvagement en remuant d’avant en arrière, donnant de grands coups de reins, puis, peu à peu, changea les positions. Sa main souleva l’une des jambes de Shii, qui couinait et gémissait. Avec cette jambe écartée, que Shii rabattit contre celles de la femme, il était encore plus facile pour Ai de la pénétrer. Elle donnait de grands coups de reins, massifs et violents, et Mélinda, lentement, se déplaça vers les deux femmes, un sourire sur le coin des lèvres.

Sa main caressa distraitement les hanches d’Ai, puis ses fesses. La jeune femme avait parlé d’un « cercle d’amour », sans toutefois le lui expliquer. Dans sa tête, Mélinda imaginait une chaîne de Futas en train de se faire régulièrement l’amour. Elle se rapprocha des deux femmes, sans pour autant chercher à interférer, conservant dans l’esprit l’image de corps entremêlés, d’une orgie interminable, de soupirs lascifs et de gémissements onctueux.

« C’est bien, Ai... Baise-là fort, cette salope... Montre-moi de quoi les membres du Futabu sont capables...
 -  HAAAAA... O-Ouiiiiii, haaaaaaaaaaaaaan... Ooooooouuuuuuiiii !! »

Shii exprimait, elle aussi, tout le bonheur qu’elle ressentait. N’était-ce pas formidable ? Tous ces corps entremêlés, enlacés dans une danse sensuelle et magnifique ? Diable, Mélinda en aurait presque eu les larmes aux yeux ! Elle se mordillait les lèvres, nullement insensible à ce plaisir réciproque. D’une manière ou d’une autre, ce soir, elle allait défoncer des culs !

Cette date sera à jamais graver au fer rouge dans l'esprit de la jeune futanari. Sa rencontre avec Mélinda, mais quelle journée ! Quel rêve ! Certes, si on prenait que le fait de s'être masturbé dans la culotte de Shii, être surprise par cette caché, caché dans un étroit casier et leur petite balade au parc, c'était une bonne journée. Mais ça ?! Quel jour saura détrôner ce jour ? C'était encore mieux que le week-end qu'elle a passé seule chez elle, une journée entière à mater du porno de plus en plus hard ou très doux et un second jour à baiser avec le futabu ! En une soirée, Mélinda avait su prendre la première place. D'un autre côté, son club n'avait pas vraiment autant de filles à proposes, aussi cochonnes que sexys, toutes avec leur petit caractère. Ai était aux anges ! Et avec Shii, ça atteignait des sommets. Gardant sa jambe contre elle, la jeune futa venait prendre son pied en s'enfonçant toujours plus brutalement et toujours plus rapidement en elle, savourant chaque seconde, chaque sensation.

S'il est de ces personnes qui en savent beaucoup sur le sexe, il y avait bien sûr Ai. Elle ne pouvait pas se vanter d'avoir eu autant de rapprort sexuel que Mélinda, avec autant de partenaires, son tableau de chasse se limitait au futabu et à celles qui connaissait l'existence du club en général. Mais à force de mater bon nombre de vidéo sur le net, de se renseigner ici et là sur le plaisir, elle savait des choses qui tenaient parfois sur des rumeurs mais elle le retenait. Le plaisir sexuel était une chose des plus importante pour la jeune futa et elle fera tout pour offrir ce plaisir à ses partenaires. Parfois avec des choses qu'elles connaissaient plus ou moins, parfois de l'inédit, parfois des choses étranges... mais pas désagréable. Shii étant une des partenaires de Mélinda, elle avait déjà dû essayer ce genre de choses mais tant pis, elle se lançait aussi dedans, même si entre guilletemet, c'était une première pour elel aussi. Approchant son visage de sa jambe, elle léchait son mollet, remontant vers son pied. L'art d'utiliser sa langue. C'était un plaisir qui pouvait se faire sentir autrement qu'en léchant les parties intimes. Eh oui, ce sont des choses à savoir mine de rien.

Ai se mettait à doucement lécher son pied, ne perdant pas le rythme de ses va et viens alors que Mélinda se rapprochait d'elle, caressant les hanches et les fesses de sa nouvelle amie, tout en susurrant des mots doux au petit couple en plein ébats.

« Haaaa, t'aime çaaaaa, hein ! Hoouuuuuu ma... ma Shii-chan... c'est une très belle... salope, hmmmm ! »

Mais le petit lapin qu'était Ai se calmait un peu, relâchant cette position pour laisser Shii reprendre sa position habituelle, venant même stopper de son côté ses mouvements si rapides. Mais vue son sourire, elle ne déclarait pas forfait. Toujours en elle mais immobile, elle se laissait tomber sur elle, ses mains la maintenant au-dessus d'elle, ses cheveux tombant près de son visage.

« Là, je vais tout donner ! »

Se redressant, elle posa ses mains sur ses hanches, bien agrippées dessus avant de se reculer un peu pour mieux la pénétrer d'un coup très rapide, très sec, avant de renouveler l'opération plusieurs fois. Ce n'était plus la rapidité mais la force cette fois. La peau claquait sur la peau, Ai s'y mettait vraiment ! Et même si elle était moins rapide, elle commençait à trouver son rythme néanmoins. Mordant sa lèvre inférieure, elle s'en donnait à cœur joie, venant enfoncer son membre aussi loin que possible que elle, donnant tout ce qu'elle avait, elle n'allait pas tarder à tout donner. Vu combien de temps elle s'était retenue sous la table, il ne faut pas croire qu'en une seule fois, c'était suffisant pour refixer sa limite. Mais après ça, elle devrais pouvoir tenir le coup un peu plus longtemps... Puis pour sa défense, elle baisait Shii... Elle avait bon nombre de points qui faisait d'elle qu'elle était plus que désirable !

« Oh ouaiiiis ! Accepte... Accepte tout, ma belle ! »

D'ici quelques instants, elle connaissait un ventre qui allait grossir sous le raz-de-marée de foutre qui arrivait !

Ai était une femme surprenante, et, en le disant, Mélinda ne pensait pas à mal. Ce petit bout de femme se révélait particulièrement énergique et endurante, conformément à l’impression que Mélinda avait eu du Futabu Club, ce qui faisait que, maintenant, Mélinda se voyait bien invitée chez elle tout le reste du troupeau... Pourquoi pas lors d’une grosse orgie commune ? En tant que membre du Futab u, et trésorière de ce dernier, elle pouvait certainement organiser des activités, avec le témoignage d’Ai à l’appui... Belle petite Ai. Si jamais elle redoutait le chômage, elle était maintenant assurée de pouvoir trouver un boulot dans le harem de Mélinda. Elle ne l’avait pas encore vu, mais Mélinda savait, par avance, que son harem ne pourrait que lui plaire. Elle lui palpait tendrement les fesses, tandis qu’Ai léchait les pieds d’une Shii rougissante et nerveuse, qui couinait et haletait, léchant également les beaux pieds d’Ai, suivant, en ce sens, les envies fétichistes de la vampire. Ai remuait en elle, et elle finit par se redresser au bout de quelques instants, sa verge dressée, quittant dans des bruits d’éclaboussure l’intimité de Shii. Les joues rouges, cette dernière subissait les assauts fougueux d’Ai Aihara, et la lycéenne se positionna ensuite face à elle, debout, prête pour l’ultime mouvement.

Ne disant toujours rien, Mélinda se coucha sur le flanc, juste à côté de la belle Shii, et caressa tendrement son ventre. Elle voulait sentir l’orgasme d’Ai, sentir le sperme remplir le petit ventre de Shii, sentir ce dernier enfler contre son doigt, comme si ce foutre était une sorte de matière vivante qui ne demanderait qu’à éclore en elle.

« Haaa... Haaannn... »

Brave et belle Shii ! Ai donnait maintenant de solides coups de reins en elle, soulevant pour cela son corps... Et Shii n’avait rien à faire d’autre que de savourer, ses mains caressant aussi bien sa Maîtresse qu’Ai, ses lunettes rebondissant sur son nez, sur sa belle petite tête toute rouge. Il était surtout très important, avec Shii, de ne pas lui ôter ses lunettes. Mine de rien, c’était ce qui faisait sa principale beauté.

« Allez, Shii... Laisse-toi aller, ma petite catin... Vas-y, ma petite pute... »

Shii eut rapidement son orgasme, se tortillant, couinant, hurlant, se tortillant sur le lit, et, suivant cet orgasme, Ai se vida à son tour. Mélinda sentait le sang des deux femmes, comme une sorte de magnifique symphonie, en train de battre joyeusement dans leurs veines, et elle sut ainsi quand, précisément, Ai allait jouir... Son foutre éclata longuement dans le corps de Shii, balançant de longs filaments. Se pinçant les lèvres, la vampire sentit tout ce foutre jaillir contre ses mains. De multiples giclées de foutre, rythmées par de petits cris, des soupirs, des couinements et des gémissements... Puis le ventre de Shii se mit à enfler, grossissant, enflant, enflant, enflant encore, au fur et à mesure qu’elle se retrouvait avec du foutre en elle. C’était comme si Ai venait de se transformer en usine à foutre, conformément à tout ce que Mélinda savait sur le Futabu. Leurs jouissances étaient phénoménales, comme si une bombe de foutre venait d’exploser. En seulement quelques secondes, Shii se retrouva avec un ventre gonflé, comme si elle était devenue enceinte, crachant sa salive, les yeux écarquillés.

« Ooooohhh... Et bien, Ai, voilà ce que j’appelle un orgasme. Tu as bien rempli cette petite salope !! »

Mélinda se redressa, et embrassa la belle Ai sur les lèvres, après lui avoir laissé tout le temps de jouir en elle.

« Haaa... Haaaa... »

Shii gémissait et soupirait, papillonnant des yeux, sans rien dire, la respiration lourde et saccadée. Supporter tout ce foutre en elle, ce n’était pas simple !

« Je t’interdis d’uriner rapidement, Shii... J’aime bien l’idée de te voir comme ça... Ça me donne encore plus envie d ete marier rapidement à un riche homme d’affaires japonais qui pourra t’engrosser... Je te baiserais quand tu seras enceinte de neuf mois, et que lui sera au boulot...
 -  Hîîîîî... Haaaaa... Maî... Maîtresse... »

Oui, Mélinda avait des fantasmes bien pervers, parfois.

C’était sa marque de fabrique, après tout.

Ce n'était pas sa première fois aujourd'hui, elle avait joui il n'y a pas si longtemps après tout mais à chaque fois, c'était merveilleux ! Ai ne se lassait jamais de cette sensation, sentir le flot de semence sortir et couvrir ou remplir sa partenaire, n'y avait-il rien de mieux ? Surtout quand les cris de jouissance l'entouraient. Fermant les yeux en se laissant aller, elle savourait chacune des sensations autour d'elle. L'odeur de sexe et de transpiration, la sensation entre ses jambes, cette peau qu'elle caressait, Mélinda qui approcha en la caressant, l'embrassant. Elle reprenait son souffle comme elle pouvait en se retirant d'elle. À chaque fois, c'était pareil, la jeune futa était dans sa bulle rose, complètement droguer par la sensation magique qu'elle venait de ressentir. Avec plaisir, elle observait la fente intime de Shii, observant ce liquide blanchâtre qui était le sien couler doucement en dehors de ses lèvres alors que Mélinda évoquait ses fantasmes bien pervers.

« Meuh non Maîtresse. Faut pas la marier à ce genre de personne... Il ne saura pas quoi en faire, ça serait donner de la confiture aux cochons ! »

Il devait bien y avoir un compromis mais Ai n'y pensait pas vraiment, elle observait simplement ce ventre rond en rejoignant Mélinda sur cette idée. Elle défiait n'importe quelle fille d'avoir un fantasme qui ne figurait pas sur la longue liste de ceux qu'elle rêvait d'avoir au moins une fois dans sa vie.

« Mais lui faire l'amour comme ça, je vous comprends, ça doit être super excitant... Sa poitrine gonflée, ce ventre bien rond et doux, le fait qu'elle soit épuisée et doucement frustrée sexuellement par une absence de sexe... »

Le sourire pervers sur son visage en observant ce ventre voulait tout dire, elle s'imaginait bien dans sa tête la situation. Mais en réalité, la vérité était différente, elle n'oserait pas, de peur d'arroser ou de noyer le bébé vu sa quantité de foutre. Elle exagère en conséquence mais elle n'irait pas essayer de peur que le pire arrive. Faire l'amour à une femme enceinte, oui, risquer quelque chose pour le bébé, ça non. Restant assise sur ses fesses, à reprendre son souffle, elle n'avait aucune gêne à laisser ses jambes écarté face à son pénis qui n'avait qu'une demi-molle face aux propos évoqués. Elle préférait laisser le temps de se reposer un peu pour tout le monde mais pas question de changer de sujet, Ai observait Mélinda et Shii, elles étaient si belles, avant de poser sa question.

« Dites Maîtresse, c'est quoi votre plus grand fantasme ? »

Une bonne question quand on sait qu'elle a un harem rien qu'à elle. Si ça se trouve, c'est un truc sur la liste de la jeune futa ? Ou alors aussi somptueux et grand qu'elle n'a jamais imaginé ce genre de choses ? Elle était assez impatiente de savoir ce qu'elle allait répondre ? Et après, c'est reparti pour un tour ! Même si elle ne serait pas contre un peu d'eau... Elle devrait demander à Mélinda ? Ça ferait venir une soubrette en petite tenue qui risque de tenter Ai ou non ? Car si c'est le cas c'est aussi bien que... mauvais. Bah oui, elle commençait à peine à jouer avec Shii même si elle ne comptait pas quitter cette chambre avant de l'avoir comblé. Peut-être est-ce déjà le cas ? Peut-être passera-t-elle la soirée dans cette chambre ? Peut-être pas. Elle n'avait pas fini de trainer dans ce somptueux manoir, c'est une évidence !

Son petit ventre était maintenant bien rempli, et Shii, toute rouge, avait du mal à parler, ainsi qu’à respirer. Elle clignait des yeux, haletant et gémissant, frissonnant au contact de Mélinda sur son ventre. Ce n’était pas la première fois qu’elle se retrouvait avec l’estomac plein à craquer de foutre, et le pire venait d’après... Quand sa vessie la démangeait, et qu’elle balançait tout ce surplus, formant d’épaisses flaques sur le sol, lorsque sa Maîtresse lui interdisait de se rendre aux toilettes. Pour l’heure, Shii se retenait, et Mélinda, elle, caressait son ventre, tout en discutant avec Ai.

« Oh, mais, au contraire, Ai... Imagine donc notre belle Shii, mariée, avec un homme qui la besognera une fois tous les deux jours... Elle se fera chier au lit, et nous, nous pourrons la prendre dans toutes les positions... Nous pourrons même droguer son mari et la prendre juste à côté de lui, pendant qu’il ronflera comme un gros porc... »

Un sourire malicieux sur les lèvres, Mélinda était déjà en train de s’y croire. Shii, elle, n’osait rien dire. Si sa Maîtresse comptait la marier, que pourrait-elle faire ? Elle avait depuis longtemps admis être son esclave, et, en conséquence de cause, faire exactement tout ce que sa Maîtresse voudrait. Alors, si la vampire comptait la marier, Shii ne pourrait que s’exécuter. Cependant, elle était encore une lycéenne, et parler de mariage était déjà très avancé pour elle. De plus, son ventre lui faisait mal, et ce d’autant plus que, pour la provoquer, Mélinda s’amusait parfois à appuyer dessus. Elle continuait à le caresser, et embrassa la belle Shii sur les lèvres. Dans sa tête, elle revoyait toujours tout ce qu’elle pourrait faire subir à la Shii mariée, et probablement enceinte. Tous ses bébés seraient à Mélinda, de beaux petits esclaves. Toute rouge, Shii se tortillait de droite à gauche, encaissant les baisers, les caresses, et les provocations de sa Maîtresse. Shii la connaissait suffisamment pour savoir comment sa Maîtresse agissait et pensait en ce genre de circonstances.

Pendant ce temps, Ai, qui se reposait, en vint à demander à Mélinda quelles étaient ses fantasmes... Ou, plutôt, quel était son plus grand fantasme. La requête, curieuse, amen Mélinda à se redresser, soulageant un peu la pauvre Shii, qui gémissait lentement en se tortillant sur le lit.

« Hum... Malheureusement, je n’ai aucune réponse précise à te fournir, Ai. Des fantasmes, j’en ai énormément. Quant à les trier, c’est toute une histoire, tout dépend de mes envies. Parfois, j’ai juste envie de sodomiser de petites salopes comme ma Shii adorée... Parfois, il s’agit de déflorer de belles vierges, de goûter à leur sang... De manière générale, je dirais que mon plus grand fantasme est de coucher avec une Ange... Ou avec ma propre fille... »

Avoir son propre enfant était le plus grand rêve de Mélinda, mais, malheureusement, être une vampire n’était pas sans tares. L’un des problèmes du vampirisme était la grande stérilité que cette nature entraînait. Le seul moyen qu’avait un vampire, pour se reproduire, était de mordre d’autres personnes, afin de leur offrir son sang. Sauf quelques cas exceptionnels dont Mélinda ne faisait pas partie, la procréation leur était refusée. Elle avait tout tenté, et avait à chaque fois échoué.

Ne voulant pas s’attarder sur un sujet sensible, alors qu’elles étaient ensemble, à partager un si bon moment, Mélinda se mit à parler :

« Pour l’heure, le fantasme qui me traverse serait d’inviter tout le club Futabu ici, afin de faire une longue et magnifique orgie... »

Cette soirée était déjà plus que mémorable, rien qu'avec les mots de Mélinda, elle ne risquait pas d'oublier de sitôt des mots aussi beaux tels que Harem et Invitée. Sans compter les filles qui vivaient ici et qui désiraient toutes Ai, que ce soit juste pour ce soir ou être vu comme de la chair fraîche, tant qu'elle fait l'amour, elle, ça lui va ! Mais elle reprenait son souffle quelques minutes avant la suite en bavardant avec Mélinda, de ses fantasmes ou même son plus grand fantasme. Malheureusement, elle ne savait lequel choisir. C'était bien la preuve qu'elle était gourmande. Il est vrai que chaque position, partenaire, endroit, tout jouait comme facteur pour rendre cela grandiose. Avec Ai qui a le souci du détail, c'est encore plus difficile pour faire le tri mais elle comprenait sa maîtresse, elle serait bien incapable de dire ce qui est le mieux dans sa tête. À moins qu'on lui donne simplement deux situations bien précises en indiquant la ou les partenaires, les sous-vêtements, l'endroit, la situation, bref, en étant très précis ! Mais sans ça, elle serait incapable de choisir.

Cela dit, autant elle comprenait la sodomie, les vierges mais... boire leur sang ? Hum elle n'avait rien quand c'était assez sauvage au point de mordre mais de là à aller jusqu'au sang... Cela ne la tentait pas. Après, elle aime peut-être mais là, ce n'est pas son délire. Après, elle parle peut-être du sang des vierges en déchirant l'hymen mais là aussi, la jeune futa n'est pas très branchée. Surtout que Mélinda s'enfonçait. Une ange ? Ça reste un fantasme après tout, elle n'a jamais demander à ce que ce soit réel mais quand même... sa fille ? L'inceste ? Ai n'était ni pour, ni contre. Après tout, si les membres de la famille sont d'accord et que cela ne va pas jusqu'à procréer ensemble... mais l'idée la dérangeait quand même un peu. Admettons qu'elle ait une fille – Mélinda aurait été enceinte et aurait caché cela – au pire des cas, sa fille aurait un voire deux ans maximum ?! Ça serait... pédophile... Ai aime les femmes, pas les petites filles, adolescente à la limite si elles sont intéressées par cela mais petite fille, ça non ? C'est vrai que la jeune futa n'avait pas tous les détails en tête, une fille qui a environ l'âge d'Ai, Mélinda une Vampire qui a à son service aussi bien des démones que des nekos ou kitsunes ou bien plus encore. Mélinda reparlait bien vite du Futabu, ce qui fit sourire Ai.

« C'est vrai que ce serait génial ! Mais pour le moment je veux jouer mon égoïste et goûter à chacun des jolis fruits qu'il y a ici avant de faire venir nos camarades. Je suis méchante, hein ? »

Une légère provocation pas méchante. Il est vrai que si elle avait l'exclusivité sur elles, elle n'allait pas s'en privée. Mélinda était aussi membre mais c'était ses « jouets » à elle alors elle n'allait pas en faire une histoire. Ai se releva rapidement pour s'allonger à côté de Shii, s'allongeait sur le ventre, elle jouait à remuer ses jambes en observant sa nouvelle copine avec son ventre bien rond, c'était vraiment amusant de la voir se retenir. Elle jouait avec quelques-unes de ses méchés de cheveux avant de réajuster ses lunettes, ça fait partie de sa personnalité après tout. C'est comme Ai sans pénis, il manque un truc. Mais bon, elle tenait quand même à être honnête avec sa maîtresse, espérant ne pas tirer un trait sur le harem mais soyons franc, chacun ses goûts, certes mais même si Ai est aussi grande perverse que fétichiste, elle ne voudrait pas partager ses goûts et aventures sexuelles avec une femme qui a fait de drôles de choses pas très légales... Si seulement elle savait à quel point elle se trompait ! Elle va certainement vite s'en rendre compte mais autant la laisser encore nager dans le flou.

« Dites Maîtresses, ne le prenez pas mal mais vos goûts ne sont pas étranges ? » Une telle phrase venant d'une fille qui se masturbe dans les culottes des autres filles, c'est le comble ! « Je veux dire, que vous aimiez mêler le sexe à des rapports assez violents pour mordre au sang... bon si la partenaire est d'accord, ok, c'est votre délire à vous deux. Mais avec votre fille ? Je suppose que vous en avez pas et même si vous en avez une en secret, elle a quel âge ? Pas plus de deux ans ? Trouvez pas ça un peu bizarre et pas très net ? Tu n'es pas d'accord avec moi Shii ? Je vous adore Maîtresse et tout le monde à ses qualités et défauts et là, bah je pense avoir trouvé un mauvais côté chez vous... Désolé d'être franche mais... enfin, comprenez que dire ça, c'est assez louche quand même ? »

Dire que vu comment elle s'enfonçait le doigt dans l’œil, elle pourrait sûrement se gratter l'anus depuis l'intérieur mais bon, il y a deux sortes de gens sur Terre, ceux qui ignorent tout de Terra et ceux qui en viennent. Ha et ceux qui sont pas de là-bas mais en connaissent un rayon, ce qui était sûrement le cas de ses trois-là. Mélinda venait clairement de là-bas, Ai était clairement d'ici et Shii... elle devait sûrement être terrienne avec beaucoup de connaissances sur ce monde étrange et magnifique mais chut, elle ne le sait pas encore, sa surprise ne sera que plus grande dans son regard.

La réflexion d’Ai amena sur les lèvres de Mélinda un grand sourire. Ainsi donc, la belle Futa ne savait donc rien... Rien sur Terra, rien sur les êtres surnaturels qui peuplaient cette planète. Elle venait d’avouer dans la totalité son ignorance, et l’avait fait avec une telle naïveté que Mélinda ne put s’empêcher, au bout de quelques secondes, de pouffer. Elle se tenait en face d’Ai, séparée de la belle femme par Shii. Ai avait à nouveau joué avec elle, délicatement, et Shii respirait lourdement, une main sur son ventre, gémissant et haletant, se retenant de ne pas balancer toute sa crème. C’était difficile, et, par conséquent, elle avait du mal à parler, et se contentait de cligner des yeux, en se faisant à tout ce foutre en elle, en essayant de retenir les envies de son organisme de se lâcher d’un coup. La main de Mélinda caressa le ventre de Shii, puis elle sourit alors à Ai.

« Pardon, Ai... Je crois qu’il est temps que je te montre quelque chose. Shii, mon beau petit cœur, tu peux aller aux toilettes... »

Shii ne se le fit pas dire deux fois, et fila dans les toilettes, tenant son ventre, laissant, entre ses jambes, un fin filet de sperme. La porte se referma derrière elle, puis Mélinda sourit gentiment à Ai.

« Suis-moi, ma belle... »

Mélinda sortit de la chambre, et tendit sa main vers Ai, afin qu’elle l’attrape, puis les deux filles se mirent à déambuler dans le couloir. Mélinda marchait calmement, sur un rythme calme et tranquille. Elle savait qu’Ai n’avait pas toutes les cartes en main, et Mélinda craignait que, même en ne lui disant la vérité, la femme se refuse à la comprendre. Certes, Ai était membrée, et, partant de là, on pouvait supposer qu’elle était plus encline à admettre l’impensable, mais, par expérience, Mélinda savait combien l’esprit humain pouvait se montrer réfractaire à ce qu’il ne comprend pas. Elle n’avait pas envie de se perdre dans des explications interminables. En chemin, elles croisèrent plusieurs autres filles, et Mélinda les salua, recevant à chaque fois de délicieux « Maîtresse », un mot qui, peu importe le contexte, faisait toujours plaisir à entendre. Le duo rejoignit un escalier, et Mélinda monta, toujours sans rien dire, laissant Ai à ses questions et à ses doutes.

Elles avancèrent le long d’un couloir, et, par une porte entrouverte, on pouvait entendre des soupirs et des gémissements. Trois femmes se faisaient tendrement l’amour à l’intérieur, l’une des trois étant cantonnée au cruel rôle de simple observatrice, en étant attachée. Celle qui était attachée était en couple avec l’autre, et regardait donc sa petite copine se faire défoncer le cul, entre les mains expertes d’une prostituée de Mélinda, une esclave venue du harem, et qui avait, dans ce domaine, un talent indéniable. Mélinda continua à marcher, jusqu’à s’approcher d’une porte, et toqua à cette dernière.

« C’est la chambre d’Edessa... Tu vas vite comprendre... »

Les portes étaient insonorisées et solides, et cette dernière ne tarda pas à s’ouvrir sur un beau visage rayonnant, puis sur un grand sourire large.

« Maîtresse ! »

Edessa accueillit Mélinda et Ai avec un grand sourire sur les lèvres. Elle portait de beaux collants blancs, des gants noirs découvrant ses mains, et, surtout, cette insolente robe qui, de dos, était un appel au viol.

« Comme je suis heureuse de vous revoir !
 -  Et moi aussi, ma belle Edessa... »

Les deux femmes s’embrassèrent. Le plus troublant, pour Ai, ce serait sûrement les deux cornes ayant poussé sur les cheveux d’Edessa, ainsi que sa queue caudale, qui remuait tout seule.

« Je me demandais même quand vous comptiez venir voir votre petite Edessa...
 -  Je tenais à te montrer notre invitée... Ai Aihara, je te présente Edessa. Edessa, voici Ai Aihara, une lycéenne de Mishima que Shii a eu la générosité d’inviter ici. Elle est très gourmande et très curieuse, et je me disais qu’elle serait ravie de te rencontrer. Après tout, elle est ma succube. »

Elle avait avoir l’occasion de voir si l’esprit rationnel et cartésien d’Ai allait s’imposer sur la vision qu’elle avait en ce moment des choses.

Avait-elle été trop loin ? Sur le coup, elle se demandait si sa remarque serait bien prise ? Jusque-là Mélinda était super sympa mais peut-être est-elle aussi l'image type de la fille trop gâtée qui n'aime pas les remarques ? Elle laissa Shii aller se vider, Ai devait la suivre. Elle ne semblait pas en colère, elle lui tendait même la main, qu'elle prit bien évidemment. Et si c'était un piège ? Qui sait ce qui l'attend là-haut ? Un piège ? On va la faire disparaître ? Les jolies filles croisées en chemin ne semblaient pas avoir de regard de pitié ou autres pour Ai ? Bof, elle se faisait peut-être des films ? Grimpant les escaliers avec elle, les doux murmures qu'elle entendait lui plaisaient ! Si elle devait être torturée avec du sexe, pourquoi pas ! Elle veut bien insulter Mélinda de tous les noms si on lui garantit le sexe ! Mais ce n'était pas vraiment ça. Edessa était un nom qui sonnait étrange à ses oreilles mais ici, elles pouvaient peut-être prendre le surnom qu'elle voulait ? Comme un nom d'artiste ?

Ouvrant la porte, elle remarqua à peine ce qui se passait dans la chambre, elle remarqua surtout cette beauté qui sautait au cou de Mélinda en l’appelant Maîtresse comme beaucoup ici – dont elle aussi à présent. Après quelques mots et un joli baiser, Ai remarquait ce qui n'allait pas avec cette ville ? Cette queue était-elle vibrante et planter dans son anus ? Et ses cornes, un simple serre-tête caché dans ses cheveux ? Quoi, elle avait le droit d'aimer les jeux de rôles sexuel, Ai aimait bien en regarder aussi. Quand Mélinda prononça le mot « Succube », ce eut presque le même effet qu'avec le mot Harem qui l'avait fait tomber dans les pommes. Son regard se bloqua et elle perdait sa force dans ses jambes pour tombé d'un coup mais elle était assise, se tenant sur ses mains ? Elle avait bien entendu ? Elle levait la tête vers Edessa, la vue était agréable de cette façon aussi.

« Une Succube ? »

Se redressant en étant à genoux déjà, elle se colla contre elle, observant le tissu de sa robe, n'hésitant pas à la caresser en remarquant que derrière, ça manquait de tissu. Elle se glissa dans son dos, remarquant cette si joli robe mais surtout cette queue bien fixée à sa peau, remuant toute seule. Ai la prenait en main, elle n'entendait rien de ce qu'on pouvait lui dire, elle était dans son peit monde. Elle pinça doucement la base de cette queue, voire si on se fichait pas d'elle ? Tirant légèrement dessus mais... Non, c'était une vraie !

« C'est incroyable ! »

Face à son joli fessier, elle venait plonger sa tête dedans – autant en profiter un peu – avant de se redresser en caressant cette queue sublime, observant ce dos si joli où sa robe formait un pentacle dans son dos, passant ses mains sur sa poitrine avant de retourner entre elle et Mélinda pour observer ses cornes de plus près. Elle les toucha doucement, pinçant la pointe pour voir si ce n'était pas du cosplay une fois encore mais c'était aussi dur que de la pierre !

« Stupéfiant ! »

Ses mains se baladaient sur son cou mais c'était pour caresser la fourrure de sa tenue, replaçant ses mains sur sa poitrine, caressant autant la robe que sa poitrine et sa peau à découverte. Reprenant conscience de la réalité, elle offrait un grand sourire en continuant de palper ce corps délicieux, des étoiles plein les yeux !

« Ouh je crois qu'on va devenir très copine Edessa-chwan ! Ta robe est particulière mais aussi délicieuse qu'excitante ! Le tissu reste doux, de dos, n'en parlons pas ! Avec tes collants, ça forme un beau contraste. J'ai toujours rêvé de baiser avec une Succube, je me suis même renseigné sur le net pour tenter d'en invoquer une mais certaines choses m'ont fait peur. Il y avait des bêtises bien sur mais il était écrit qu'une Succube baisait jusqu'à la mort de celui qui l'a invoqué, ça reste une belle mort cela dit mais certaines rumeurs indiquaient qu'une Succube vous bouffait la bite avant de partir... »

On comprend donc son hésitation à vouloir en invoquer une. Inutile de dire que depuis sa rencontre avec Edessa, Ai était prête à faire n'importe quoi, son entrejambe parlait pour elle à ce niveau-là. Elle enlaçait Edessa, se collant contre elle, sa tête sur sa délicieuse poitrine même si elle tentait de regarder Mélinda pour la remercier une fois de plus.

« Maîtresse, je crois que vous rencontrer aura été la plus belle chose de ma vie ! Un harem où je serais invité, des copines partout, une Succube rien qu'à vous ? Mais vous devez être la femme la plus heureuse au monde ? »

Réalisant une petite chose, elle observa un instant Edessa et Mélinda d'un air suspicieux...

« Tant que je tiens Edessa, y a-t-il autre chose que je dois savoir ? Plus je passe de temps ici et plus j'ai l'impression que votre but, Maîtresse, n'est pas de me laisser aller en couchant avec n'importe qui mais de tenter de me faire perdre connaissance le plus de fois possible ? »

Reste à savoir ce qu'elle va vouloir faire la petite Futa ? Coucher avec Edessa et chaque créature de rêve qu'elle va rencontrer sur son chemin ou bien juste voir ça de ses propres yeux et continuer à baiser Shii avec toujours plus d'entrain et d'envie en sachant tout ce qu'elle pourrait fourrer chez Mélinda ?

Ai avait droit à une rencontre qui était tout simplement hors du commun. Une succube… Une véritable succube, honnête et authentique ! Edessa était la succube de Mélinda, comme une sorte de joker que la vampire abattait régulièrement. Elle était l’une de ses esclaves les plus douées, et, en un sens, Mélinda la considérait presque comme sa fille. Elle avait tenu Edessa entre ses bras quand elle était encore un bébé, elle lui avait fait téter son sein, et Edessa avait grandi sans aucune restriction de ses pouvoirs magiques. Au contraire, Mélinda avait veillé à ce qu’elle continue à se former, à manipuler et à exercer sa magie rose. Sur ce point, Edessa était irréprochable, et avait bénéficié de formations privées dispensées par des formateurs de l’Académie Impériale, qui venaient exprès au harem pour la former, étant payés en nature par les multiples femmes du harem.

N’en revenant pas, Ai se plongea dans son monde, en se mettant à fureter autour d’Edessa, qui la regarda en clignant des yeux, un peu étonnée. Elle n’avait jamais vu cette esclave, ce qui l’intriguait un peu. Est-ce que c’était une nouvelle ? Mélinda pensait qu’Edessa avait pensé avec tous les esclaves majeurs et adolescents de son harem, hommes comme femmes. Ce faisant, elle ne reconnaissait pas Ai, mais vit son bâton, qui était en érection, remontant le long d’une culotte féminine en dentelle qui n’était pas conçue pour contenir un tel équipement. Ai se rendit dans le dos d’Edessa, et joua avec sa queue. C’était une zone érogène, et Edessa eut un frisson… Puis couina quand Ai tira dessus.

« Hey ! Ce n’est pas extensible ! »

Ai ne sembla cependant pas tenir compte de sa remarque, continuant à l’observer, pour retourner devant elle, palpant ses cornes. Elle essayait de se convaincre que ce qu’elle voyait était bien réel, et Mélinda avait presque cru qu’elle allait faire une attaque. En effet, quand elle avait vu Edessa, elle en était tombée littéralement sur les fesses, parvenant à s’appuyer avec les bras. Edessa était magnifique, et portait des vêtements spécialement conçus par Mélinda, comme sa robe. Il n’y avait que Mélinda pour concevoir un tel vêtement. C’était un cadeau offert à Edessa, et, depuis lors, elle le portait presque tout le temps. Il cachait tout devant, mais rien derrière, et il suffisait de dénouer rapidement un simple nœud pour pouvoir la sodomiser. Autant dire que son magnifique petit cul chocolaté avait été visité de bien nombreuses fois, non seulement par Mélinda, mais aussi par d’autres personnes.

Edessa observait Ai avec curiosité, et, quand cette dernière finit par palper les gros seins de la succube, un gémissement ténu s’échappa des lèvres de la Succube. Elle n’avait pas fait l’amour depuis environ une heure, ce qui, pour elle, représentait une éternité ! Ai finit enfin par expliquer la raison de sa fascination, et, tandis qu’elle parlait, la queue caudale d’Edessa se déplaça pour palper ses fesses, caressant sa culotte, tandis que ses bras caressaient le dos et les cheveux de la petite Futanari. Ai Aihara était impayable, et Mélinda la voyait bien, le sexe à l’air, chercher sur Internet toutes les manières possibles d’invoquer une succube.

« Oh, mais je ne suis pas comme toutes ces succubes, moi ! se défendit l’intéressée. Seule compte la volonté de ma Maîtresse, et je n’ai encore jamais tué personne au lit… »

Mélinda savait que les succubes étaient normalement des femmes dangereuses, car, si ceux qui les invoquaient ne parvenaient pas à les satisfaire, elles pouvaient dévorer leurs âmes… Or, satisfaire une succube était potentiellement très difficile, car elles étaient très exigeantes. Edessa était différente, car elle n’avait jamais été éduquée en Enfer. Toute sa vie avait été faite pour et par Mélinda. Elle ne vivait que pour servir celle qu’elle voyait comme sa Mère, sa Maîtresse, et sa Déesse.

Ai posa une ultime question, et Edessa en profita pour la soulever, la succube étant plus grande qu’elle. Elle avait une main sur ses cheveux, et l’autre alla s’appuyer sur ses fesses, tandis que sa queue caudale se déplaçait encore, pour venir flatter la virilité tendue d’Ai.

« Si je t’ai présenté Edessa, Ai, reprit alors Mélinda en s’avançant, tu te doutes bien que ce n’est pas sans raison. »

Tout en parlant, Mélinda s’était avancée, et se positionna à côté des deux femmes, sa main venant caresser le magnifique dos d’Edessa, ce dos qu’elle avait léché, sucé, mordillé, et griffé un nombre incalculable de fois, tout en lui prenant le cul. Ses doigts heurtaient les cordages sophistiqués de sa robe, et elle se pencha vers le duo, s’humectant les lèvres. Son autre main, elle, caressait le dos d’Ai, pour finir également par se positionner sur ses fesses, croisant les doigts d’Edessa, qui était en train d’embrasser goulûment Ai.

« Je ne suis pas humaine, Ai… » murmura-t-elle dans le creux de son oreille.

La belle arriverait-elle à se défaire du baiser d’Edessa ? Comme tout le reste, tout ce qui, chez Edessa, était lié au sexe, avait quelque chose de magique. Elle était fondamentalement douée dans ce domaine, instinctivement forte, et entraînée et endurcie pour l’être. Sa langue s’enfonçait joyeusement dans la bouche d’Ai, se plongeant en elle, venant tendrement et sensuellement jouer avec Ai.

« Je suis une vampire… » acheva-t-elle d’un souffle.

Une succube... c'était tout simplement incroyable et tout cela ne semblait pas être un simple cosplay, sinon c'est qu'il était vraiment bien fichu ! Ai était fasciné, devant toucher avec ses mains chaque partie de son corps pour tenter de voir si ce n'était pas une blague ? Mais non, Edessa était aussi réelle qu'elle ou Mélinda... Et c'était une succube quoi ! Perverse comme elle était, une Succube représentait tant de choses pour elle... Comment ne pas être fascinée ?! Elle baladait ses mains sans le moindre problème sur ce corps délicieux, venant lui faire face, la câlinant en imaginant bien plus que ça évidemment. Son odeur seule suffisait à lui donner envie de faire mille et une choses avec elle. Edessa était rassurante en un sens, elle n'avait jamais tué personne au lit. Mais pour ce corps, Ai voulait bien risquer de mourir de fatigue ! Ce corps bon sang de bon soir !!! Posant donc sa question sur le vrai but de Mélinda, Edessa en profita pour soulever Ai par les fesses en la caressant doucement. Pas folle, la futa se laissait faire en continuant de câliner Edessa, son membre bien dur se collant contre son ventre bien chaud.

Mélinda tournait autour d'elles, comme un fauve envers deux proies cernées, mais Edessa lui retira tout le moindre doute avec un délicieux baiser. Une langue de succube, combien de queues et de chatte elle avait dû lécher ? Quels doux sons elle avait dû dire avec cette langue ? Ai était curieuse, envieuse mais sa soirée était loin de se terminer. Elle avait un peu de remords a avoir laissé Shii toute seule mais elle la reverra bien assez tôt, si ce n'est pas ce soir, ce sera demain ou plus tard. Ce baiser était hypnotisant, très rassurant et si bon, Ai lui sucerait bien la langue autant de fois qu'il faudrait, elle adorait ça, c'était bien excitant. Mélinda, en passant sa main sur ses fesses venait à avouer ses origines au creux de son oreille. Une vampire ? Si elle s'attendait à ça ! Mais alors, ça voulait dire quoi ? Elle réussit à se défaire un peu à regret de ce baiser, il suffisait de la regarder, elle observait Edessa en se demandant pourquoi elle stoppait ce baiser.

« Une vampire ? Mais alors... Oh je sais ! Vous voulez montrer une sorte de groupe de vampires qui baise tout ce qui bouge ! Et vous m'avez sélectionnée pour en faire partie ! Je vais devoir sucer du sang en plus du reste, c'est ça ?! »

Quelle imagination. Mais quand on parle sexe avec elle, il fallait s'attendre à tout de toute façon. D'où certains délires qui pouvaient partir bien loin. Mais bon, dans son délire, elle restait quand même sincère en tournant son visage vers elle.

« Mais si vous me laissez baiser autant de jolies filles de votre harem, je veux bien que vous me suciez un peu de sang, Maîtresse. Ce serait même la moindre des choses. »

Cependant, il ne faudrait pas le lui faire tout de suite, lui privé de sa vitalité... ce serait dommage de passer à côté de si belles choses, elle voulait s'amuser quand même. Mais n'oublions pas le plus important, elle rapporta son regard sur Edessa en lui souriant d'un large sourire. On pouvait même apercevoir sa petite quenotte trop longue qui dépassait de ses lèvres.

« Cela dit, ce sera la première fois donc que je baise avec une Vampire et une Succube. Enfin, le contraire vaut aussi. Ce sera la première fois que je Me fait baiser par une Vampire et une Succube. »

Ha, Ai ne perd pas le nord. Même si elle est plus de nature dominante, face à sa délicieuse Maîtresse et sa si belle Succube, créature de ses fantasmes, elle pouvait bien leur faire ce petit plaisir. Ce n'est pas comme si, fraîchement arrivée, Ai avait un rôle important dans cette maison, elle était invitée, voilà tout. Bien que la Succube la tenait toujours, elle se pencha vers Mélinda, déposant un court baiser sur ses lèvres en la regardant droit dans les yeux.

« J'aimerais ne jamais me réveiller de ce beau rêve, Maîtresse. »

Une vie de luxure, à baiser sans arrêt avec toutes sortes de femmes aussi belles que douées et surprenante... Mais elle ne demandait que ça. Pour sûr, une fois le lycée terminé, elle se fera une joie d'aider Mélinda de toute son âme mais pour le moment, ce sera surtout du plaisir et de l'amusement.

La belle Edessa était une femme qui mettait tout le monde d’accord. Elle était le joker de Mélinda, une succube parfaite, comme un cadeau du Ciel pour son harem. D’une soumission sans faille, elle avait été éduquée par Mélinda, de ses premiers jours jusqu’à maintenant. En conséquence, elle voyait Mélinda pour ce qu’elle était réellement : sa mère. Mélinda l’avait initié au sexe, elle l’avait initié à la maîtrise de ses pouvoirs magiques, et, si Edessa était partie pendant un temps, ce n’était que dans le but de perfectionner ses pouvoirs magiques. En effet, la succube savait que le harem de Mélinda ne pouvait pas lui offrir de quoi bien former ses pouvoirs magiques. Or, Edessa voulait être la plus parfaite possible pour sa Maîtresse. Voilà pourquoi elle était partie pendant de nombreux mois, avant de finir par revenir. Maintenant, Ai avait la chance d’y goûter, et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle était conquise. Mélinda lisait dans ses yeux une telle fascination qu’elle en avait presque envie de pouffer. Oui, Edessa semblait véritablement lui plaire, et la pauvre en perdit ses mots pendant quelques instants.

Un sourire sur le coin des lèvres, Edessa, elle, reniflait Ai Aihaira. Étant une succube, elle pouvait sentir la perversion sexuelle d’Ai, et sentit donc qu’elle n’était pas vierge, et, surtout, qu’elle était terriblement perverse. Était-ce une nouvelle esclave de sa Maîtresse ? Une belle petite Terrienne perverse aux cheveux verts ? Si ce n’était pas le cas, ça ne saurait tarder... Comment résister au charme conjugué d’une magnifique succube et d’une délicieuse vampire tournant autour de vous ? Ai n’avait tout simplement pas les moyens de lutter contre ça...

Sa théorie fit sourire Mélinda. Transformer Ai en vampire ? La petite s’emballait, et Mélinda mit ça sur le compte de l’excitation. Elle lui répondit en lui ébouriffant les cheveux, et laissa ensuite Ai l’embrasser. Débordante d’excitation, la lycéenne ne semblait plus savoir où donner de la tête, ce que la vampire pouvait tout à fait comprendre. Entre elle et Edessa, difficile de savoir quoi faire. Ai laissa donc à sa Maîtresse le soin de lui ponctionner son sang, ce qui fit sourire Mélinda. Maintenant, Ai comprenait tout... Elle comprenait pourquoi Mélinda lui avait parlé, tantôt, de boire du sang. Pour une vampire, c’était normale, mais, pour l’heure, il n’était nullement question d’affaiblir Ai en lui ôtant son énergie vitale. Cette énergie, elle allait en avoir besoin, si elle comptait jouer avec Edessa. Restant relativement silencieuse, la succube avait toujours une main sur les fesses d’Ai, et l’autre caressait les beaux cheveux verts de la femme. Edessa sentait qu’Ai prenait soin de son corps, qu’elle veillait à être la plus belle possible, et qu’elle avait déjà une grande expérience sexuelle... Alors même qu’elle était encore très jeune. À son âge, Edessa était loin d’avoir une telle odeur... De cela, la succube était sûre.

Ai leur avoua que c’était la première fois qu’elle allait « baiser » avec une vampire et une succube, ce qui fit sourire Edessa.

« Alors, il faudra s’assurer que cette première fois soit mémorable, ma belle... »

Ai termina en glissant à sa Maîtresse ô combien elle était heureuse, et Mélinda, qui était assise à côté des deux femmes, se pencha un peu vers elle, venant caresser son dos, en le griffant légèrement. Elle ne cherchait pas à la faire saigner, mais à provoquer d’exquises sensations de douleur.

« Un rêve ? Tu ne rêves pas, Ai... Tout cela est bien réel. Quand tu te réveilleras demain matin, si toutefois tu t’endors, ceci sera vrai... Et, comme tu peux le voir, je sais être hospitalière avec mes invitées. Tu pourras toujours revenir ici afin de goûter aux charmes infinis de mon manoir et de mon harem... »

Est-ce qu’elle pouvait lui en dire plus ? Est-ce que Mélinda pouvait lui dire qu’elle avait chez elle une Ange de Luxure ? Si Ai l’apprenait, elle risquait de faire une rupture d’anévrisme. Edessa, quant à elle, se mit à sourire à nouveau, et déplaça sa main de ses fesses le long de son string à dentelle, caressant ensuite ses jarretelles. Elle avait une tenue magnifique, et ses doigts vinrent ensuite caresser son sexe, deux doigts remontant le long de sa verge. Un sourire sur le coin des lèvres, Edessa entreprit ainsi de la masturber, un sourire sur le coin des lèvres. Elle se pencha à nouveau, et l’embrassa encore. Le corps d’Ai se pliait devant le sien, et Edessa savait ce qu’elle allait faire, maintenant. Le plaisir sexuel était très fort chez elle.

« Je te laisse le choix, petite Ai... Entre goûter à mes fesses, ou à ce que j’explore ton fondement... Mais n’oublie pas que la magie permet de faire bien des choses qui défient l’entendement... »

La succube ferma alors les yeux, et utilisa l’un des sorts qu’elle avait appris au cours de son pèlerinage. Une silhouette apparut dans le dos d’Ai, et des mains douces vinrent alors caresser ses collants, tandis qu’une silhouette nue se blottissait dans son dos, avec une verge pointant vers ses fesses. Si Ai tournait la tête, elle aurait l’impression de regarder dans un miroir... Car c’était une autre Ai qui se dressait dans son dos.

« Salut, toi... Tu es très mignonne... »

Le clone sexuel d’Ai, généré par Edessa, alla lécher le cou d’Ai, emprisonnant ainsi la femme entre Edessa et son clone.

La belle n’était clairement pas au bout de ses surprises ici...

Plus le temps passait et plus la futa était au paradis. Du moins elle s'en approchait, ça, il n'y a pas à en douter. Shii était devenue une très bonne amie alors qu'elle s'était branlé dans sa culotte, puis elle avait rencontré la grande Mélinda qui était elle aussi une futa mais en plus, la cerise sur le gâteau, possédait un harem rempli de fille qui, comme elle voulait sans cesse s'amuser ! Que demander de plus ?! Ai était naturellement sous le charme si bien que la belle vampire voulait se la jouer gourou et demanderait une compensation financière elle offrirait sans hésiter ses économies mais là n'était pas la question, d'autant plus qu'elle n'était pas pleine aux as. Mais la double cerise sur le gâteau, c'était quand même de voir que des créatures mythiques se trouvaient ici. Elle n'avait rien vu pour le moment à part une vampire puisque Mélinda le disait ainsi qu'une succube qu'elle se faisait un plaisir de caresser. Elle n'avait pas fini de revoir toutes les mythologies en tous genres pour mieux demander à sa Maîtresse si elle avait ceci ou cela dans ses contacts pour pouvoir pousser ses fantasmes un peu plus loin.

Déjà que sa liste de fantasme était aussi épaisse qu'un dictionnaire, elle n'avait pas fini de faire grossir sa liste maintenant qu'elle savait ce genre de chose possible sans passer par la case cosplay. Bien que coller à Edessa, elle gardait le sourire en observant Mélinda, la suivant du regard.

« Je saurais jamais vous dire assez merci, Maîtresse. Pouvoir venir ici autant que possible, c'est presque un rêve pour moi. »

Qui sait, une fois l'école fini, elle irait peut-être lui donner un coup de main pour son harem ? Pour Ai, c'était la réponse la plus logique qu'elle avait à offrir après tout. Mais face à une belle succube et une vampire qui s'amusait à ljui caresser le dos du bout de ses doigts aux longues griffes, la petite futa était en transe, ne sachant pas par quoi commencer au final ? Edessa la branlait si bien, puis elle embrassait bien aussi, c'était un choix cornélien devant elle ! D'autant plus qu'elle en rajoutait sur la liste, c’était de plus en plus compliqué ! La proposition était la bienvenue mais franchement... Ai venait même à froncer faussement ses sourcils en se plaignant d'un tel traitement.

« Mais comment tu veux que je fasse un choix après tout ça ? Moi je sais plus quoi choisir à force ! »

Fini de regarder Edessa, elle tourna son visage vers Mélinda pour se plaindre de ce trop-plein de choix mais de nouvelles mains arrivèrent dans son dos avant de se voir ? Elle observa un instant Edessa avant de regarder tour à tour la succube et elle-même... Vraiment ? À ce point-là ? Prisonnière de deux créatures de rêve, même trois si l'on ajoute Mélinda qui bloque une autre sortie possible, ça commence à faire beaucoup !

« Non Maîtresse, là je proteste ! Je veux m'adopter !!!! Avoir une sœur jumelle, c'est juste trop cool ! Elle est mon portrait craché, elle a ma voix et je sens même la même chose que moi entre ses jambes ! Holala, combien j'ai de fantasme qui implique une deuxième moi ? Il va falloir que je me suce, je me suis toujours demandé si j'avais bon goût ? Et mon cul ? Il est comment ? Et mes seins, ils ont bon goûts ? Et ma langue aussi ? Haaaaaaaaaa j'ai trop de trucs à penser !!!!!! »

Faut la comprendre, la pauvre avait le choix entre une vampire, une succube, une sœur jumelle, trois genres de fantasmes différents, un mix de fantasmes qui sera toujours bon a faire pour ne pas grossir sa liste. Rien que là, elle avait déjà tant de choses à rajouter sur sa liste, c'est trop pas juste ! Elle se dégageait de leur bras pour se faire face et ce face à face était trop bizarre ! Elle se regardait, touchait son propre visage, se frottait contre elle-même, c'était aussi bizarre qu'excitant !

« J'hallucine comme c'est trop bien ! Pas contre il manque un truc... Va falloir te trouver de quoi t’habiller Ai-chan ? Mais je veux pas te lâcher d'une semelle alors comment on fait donc ? Tu es vraiment trop craquante, tes petites fesses ont l'air si moelleuse et si tendre entre mes mains... Et nos deux queues se frottent si bien ensemble... Maîtresse, je crois que je m'adore ! »

Ai venait s'embrasser tendrement en savourant chaque seconde contre elle-même, sa langue contre la sienne, de même que sa poitrine qui s'écrasait contre la sienne et de leur queues se frottant mutuellement. Après ce baiser, elle observa Edessia comme Mélinda en affichant un grand sourire fidèle à la petite futa.

« Maintenant qu'il y a deux Ai-chan, vous pouvez toutes les deux jouer avec Ai-chan à la fois ? »

Reste à savoir qui voudra de l'original ou autres ? Puis même si elles voulaient simplement regarder, pas de soucis ! Peu importe sa partenaire, elle avait tellement de choses à réaliser avec chacune d'elles alors si on ajoute une partenaire ne plus ou même deux, elles ne sont pas prêtes de se quitter !

Les pouvoirs magiques d’Edessa étaient terrifiants d’efficacité. La succube s’était entraînée pendant des années, avait perfectionné tous ses talents, afin de devenir la démone forte et puissante qu’elle était actuellement. La succube avait fait tout ça uniquement pour plaire à sa Maîtresse, et elle avait bien réussi. Elle avait également fait un clone sexuel de Mélinda à plusieurs reprises, et faisait fréquemment un clone sexuel d’elle-même. Edessa jouait beaucoup avec les clones sexuels, et, même maintenant, la vampire n’avait pas trop compris leur fonctionnement. La magie était pour elle une grande inconnue, mais, de ce qu’Edessa lui avait expliqué, elle générait un clone sexuel à l’aide de la magie et de l’hôte d’origine. L’idée était d’avoir un clone aussi réaliste que possible, et la deuxième Ai avait donc une mentalité très semblable au modèle d’origine. Elle lui souriait donc en se mordillant les lèvres, face à une Ai qui ne savait plus où tourner la tête. Il y avait tant de si belles choses au harem, tant de perspectives intéressantes et stimulantes. Ai en voyait beaucoup ce soir, mais il ne fallait pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Elle était gourmande, et Mélinda avait atteint son objectif. Ai Aihara resterait avec elle pour longtemps, et la vampire était convaincue que, en la motivant bien, elle deviendrait volontairement son esclave, et que « Maîtresse » ne serait plus un simple mot pervers dans sa bouche, mais la constatation d’une réalité concrète.

Le sexe d’Ai caressait celui de son clone, et chacun de ses commentaires faisait sourire Mélinda. Elle voulait lui faire tant de choses, et ne ressentait aucune gêne à l’idée de se voir… Souvent, quand une personne voyait un clone d’elle-même, elle éprouvait une quelconque gêne… Mais pas Ai. Sa vie était vouée au sexe et à la luxure. C’était la caractéristique des membres du club Futabu, des femmes dont la perversion était si forte qu’elle égalait sans problème celle de Mélinda.

*Je dois bien admettre qu’elle me surprend de plus en plus…*

Ai ne savait pas quoi faire, et finit par se retourner vers sa Maîtresse, la laissant libre de déterminer la suite des festivités. Elles étaient quatre, après tout… Mélinda hésita donc un peu, s’humectant les lèvres. La vampire finit par sourire, et hocha lentement la tête.

« Nous le pouvons, oui… »

La deuxième Ai embrassa alors la première, en se frottant contre elle.

« Et nous ferons l’amour ensuite, hein, Ai-chaaaaaaaaaaann ?! »

Elle lui lécha la joue, mordillant sa peau. Ai avait de belles grosses joues, lui donnant l’impression de ressembler à une pomme d’amour. Mélinda s’approcha alors, et attrapa avec ses mains les bras du clone, la tirant vers elle, et s’assit sur un fauteuil. Edessa, elle, fit de même avec la version d’origine, la tenant par le dos. Elle la souleva, un sourire sur le coin des lèvres, tout comme le fit Mélinda, en couchant le clone, avançant l’une de ses mains sur l’un des seins de la femme. Elle le pinça, ses doigts s’agrippant autour du téton, faisant gémir la belle Ai, qui se tortilla contre sa virilité turgescente.

« Allez, mes chéries… Empale-toi sur ma verge, ma salope…
 -  Haaaaaannnn Maîtresse, ouuuuuiiii… !! » s’enthousiasmait le clone.

Le fauteuil se trouvait face au rebord du lit, et Mélinda sentit Ai s’enfoncer contre sa verge, avant de se tortiller sur elle. La main de Mélinda se crispa sur son sexe, qu’elle se mit à masturber violemment, tout en laissant Ai se dandiner sur elle. Le corps de la clone remuait d’avant en arrière, cette dernière s’appuyant sur les accoudoirs du fauteuil pour pouvoir mieux sentir cette grosse queue en elle.

Edessa fit de même avec Ai, l’empalant sur sa verge, qui jaillit d’entre ses cuisses, la robe de la succube s’écartant suffisamment pour révéler son sexe. Elle l’enfonça dans le cul d’Ai, en tirant un peu sur sa culotte, et en profita pour la masturber à son tour. Sa bouche l’embrassa sur la tête, et, en la masturbant, elle en profitait pour soulever et abaisser le corps d’Ai, l’empalant donc sur son chibre.

« Aaaah ! Quel joli cul, ma petite Ai… Hum… ! Délicieux, oui… »

Elle lui lécha le creux de la nuque, et continua à la masturber.

« Vas-y, vas-y, jouis sur ton clone… Cette salope jouira aussi sur la petite pute nymphomane que tu es, hummm… C’est ça que tu veux, hein ? Haaaa… ! »

Et la femme continuait à remuer en elle, et à continuer à astiquer sa verge.

Que dire de plus ? Elle était si heureuse d'être aux côtés de Mélinda et même si ses parents étaient cool, ils savaient qu'elle était une futa, elle était née comme ça et se fichait de la vie qu'elle menait. Mais s'il y a une chose sur laquelle ils ne rigolent pas, c'est l'école. Qu'elle ne soit pas la première de la classe n'est pas un problème mais qu'elle assiste aux cours et fasse de son mieux. C'est pour ça que malgré ce paradis sur Terre, à Seikusu, elle n'allait pas sécher les cours demain et allait y aller. Cela lui permettra de souffler un peu. Mais si ses parents s'en seraient fiché, elle aurait eu du mal à quitter ce manoir aussi rapidement. Mais avant de songer aux cours, elle va bien profiter de son séjour au manoir. Face à son clone, elle n'était que très heureuse ! Encore un fantasme supposé impossible à réaliser – à moins de trouver son sosie dans le monde entier – qu'elle pourra rentier de sa liste.

Se voir venir lui faire un câlin en lui léchant la joue, supposant qu'après elles vont jouer ensemble ? Mais c'est plus un clone, c'est sa jumelle.

« Mais comment pourrais-je te refuser Ai-chan ? »

Toutes les deux étaient deux véritables perverses que rien na va pas arrêter, pas aussi simplement du moins. Mais face à tant de fantasme dansant devant ses yeux, elle observa Mélinda pour demander son conseil et le choix fut simple. Couper Ai en deux, une avec la vampire et l'autre, la succube. Elle observa avec envie son clone qui s'enfonçait sur sa verge alors qu'Edessa allait en faire de même. Elle ressentait déjà une bosse agréable dans son dos avant de la sentir venir s'enfoncer dans sa chair. C'était si bon, si chaud, elle gémissait à l'unisson avec son clone, l'observant avec envie et désir, si heureuse de sentir cette bite en elle, si heureuse qu'on l'aime tant... et elle savait qu'on n'avait pas fini de lui montrer combien elle était aimée ici.

« HHHaaannn ouiiiii, Ede-chhaaaaaaannn !!! »

La belle Succube était si délicieuse, sa queue si chaude en elle, la futanari va aimer Mélinda et son manoir plus que tout. Quoique non ? Elle aimera Mélinda Et son harem plus que tout. La manoir n'était qu'un mince échantillon de ce qui pourra lui être offert par la suite. Et sa masturbation, oh qu'elle branlait si bien ! Vite mais bien. Lente ou rapide, ça reste aussi bon alors elle était ravie de tout ce bonheur ! Face aux quelques mots susurrés à son oreille, elle gloussait entre deux gémissements, observant sa copie. Bien sur qu'elle serait ravie de cette douche de sperme, comme son clone mais... autant profiter de « cette » situation avant de songer à la suite. Elle se pencha en avant, sa copie l'imita. Avait-elle deviné son envie ou bien elle savait qu'elle voulait lui parler ? Face à face, séparé de quelques centimètres, les Ai s'observaient avec amusement et envie.

« Ai-chaaaaan veut... jouir sur moi ? Huuummm ? »
« Ouiiiiiiii ! Je veux t'arroser hhhAAAANNNNnnnn ! Toi... et Ede-chan ! »
« Oh ouiiiiiii ! Et moi aussi... je t’arroserais... avec la Maîtresse... hmmm... »
« Embrassons-nous. »
« Huhu... je voulais commencer... par ça. »

Et les deux petites futas venaient s'embrasser langoureusement. Entre leurs gémissements, des bruits de bouche se faisaient entendre, délicieux et excitant, alors que toutes les deux bougeaient sous les coups de reins de la vampire et de la Succubes. Toutes les deux jouant avec leur petit trou et leur petite queue. En quelques instants de passion, les deux futas cessaient de s'embrasser pour se caler contre leur maîtresses respectives avant de jouir presque en même temps, à quelques secondes, d'abord l’orgasme d'Ai puis de son clone. Toutes les deux s'arrosaient, arrosant par la même occasion leur maîtresse. Ai avait toujours une bonne quantité de foutre à délivrer. Mais avec cette arrosage, sa jolie tenue ne serait plus aussi chic... mais pas grave, me^me couverte de foutre, de sa foutre, elle aime sa tenue, elle aime cette sensation chaude sur sa peau alors que sa poitrine se soulève et s'abaisse doucement, se frottant un peu contre Edessa. Comme une petite chatte.

« Huuummm Ede-chan... c'est si bon... Je peux échanger ma place ? Je veux savoir comment baise la Maîtresse. »

Cela dit, même si Edessa veut un peu profiter encore d'Ai, elle n'allait pas s'en plaindre, tant qu'elle s'amuse après tout. Elle devait jouer avec Edessa, Mélinda et aussi, son clone.