Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

samedi 08 février 2014, 20:10:56

Deux mois... ça aller bientôt faire deux mois que Lucrezia était "morte"... D'après les flics et les médias, bien évidement, car si elle était réellement morte vous croyez que je m'amuserais à vous conter une autre de ses péripéties bizarre, hm ? Enfin bref, dans la tête de tout le monde notre chère Lulu n'était plus de se monde, mais ça... C'est dans leur tête.
Oui car des mortes la Duchesses elles en à vus passer et ce qui était sur c'est qu'elle, elle était belle et bien en vie Bien droite sur ses deux jambes et plus cinglée que jamais. Certes, elle vivait pas la vie de château, mais ça lui suffisait amplement et puis... Elle n'avait d'autres solutions que de se cacher, en feintant la mort notre tueuse s'assurerais un retour parmi les foules des plus tonitruant, comme un éclair dans le brouillard, Lulu reviendrais, comme un zombie tout droit sorti de sa tombe, ouai les mecs, cette Biatch est solide et c'est pas du 9mm qui vas nous la tuer la Lulu.

Mais pour l'heure, elle préférait encore rester un peu terrée dans son coin, plus précisément dans les toilettes d'une vieille rame de métro désaffectée, tout à fait l'genre d'endroit que la tueuse affectionnait. Là, accroupie devant la cuvette, notre tueuse tassais consciencieusement une belle ligne de crack qu'elle sniffa ensuite d'un coup sec avant d'envoyer sa tête en arrière en reniflant fortement, diable que ça lui faisait du bien ! Elle cligna des yeux à plusieurs reprises avant de sentir Petit à petit une douce chaleur l'envelopper ainsi qu'une agréable sensation de bien être et de paix... Elle était stone... Doucement elle se releva, quelque peut branlante sur ses gambettes notre tueuse ouvrie là porte de la cabine afin d'aller se poser en-face du miroir qui surplomber les lavabos. Posant ses mains sur ces derniers, Lucrezia fit glisser l'une d'elles sur la molette qui déclencher l'eau froide. Longuement Lucrezia regarda le mince filet d'eau venir s'écraser sur la céramique sale et écaillée du lavabo, avant d'enfin prendre au creux de ses mains blafarde l'onde qu'elle vint ensuite à ce mettre sur le visage.

Ses yeux se tournèrent alors vers son reflet, montrant une femme pale et sinistrement attirante... Moulée dans une combinaison d'infirmière en latex noir et rose... Ouai... Lulu avait changée sa garde robe, son ancienne uniforme, rendue crasseux et nauséabond à cause des eaux usées, avait fini dans une poubelle... Maintenant, avec le Latex, Lucrezia était sur de ne plus rencontrer ce problème.

Bordel... J'suis tellement bien gaulée que je serais capable de me violer moi même...

Oui, ça nous n'en doutons pas Lucrezia...
Elle se redressa alors avant de prendre plusieurs pauses aguicheuses devant la glace, La tueuse était en rut las amis... Deux mois qu'elle s'était rien mise sous les lèvres, elle avait beau se masturber, que ce soit avec ses doigts ou avec n'importe qu'elle foutu objet contondant, la Duchesse n'était pas rassasiée. Et pourtant elle en à essayée des trucs en solo, poignée de porte, manche de marteau, goulot de bouteille et j'en passe... Elle était vraiment trop en manque la Lulu... Elle poussa un grand soupir puis...

Que ?

Là... Non loin des pas résonnaient dans les galeries... La tueuse tourna alors la tête vers la cabine d'où elle était sortie, puis elle y reparties aussitôt... Plus Parano que Lulu, tu meurs...

Dans sa cabine Lucrezia scrutait la pièce par le glory hole qui trônais sur la cloison... La porte s'ouvrit puis...   

 
« Modifié: samedi 08 février 2014, 20:27:27 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrick]

Réponse 1 samedi 08 février 2014, 21:00:52

Ulrik s’avançait dans la rame de métro en s’éclairant avec une lampe, jusqu’à apercevoir une porte de maintenance fermée.

*La voici !*

Quand un métro approchait, il restait plaqué contre le mur, le train le loupant en filant à toute allure. De cette manière, il s’assurait de rester en un seul morceau, et ouvrit ensuite la porte. Elle était fermée, certes, et il utilisa la clef que son contact lui avait fourni. La serrure grinça, et, comme son contact le lui avait dit, il donna un coup d’épaule, poussant un peu, puis s’avança dans un couloir de maintenance poussiéreux, datant d’il y a plusieurs années. De ce qu’Ulrik avait compris, cette ville avait été bombardée il y a quelques années, lors d’un grand conflit local. La municipalité avait alors agrandi et complètement repensé son système de métros souterrains, abandonnant certaines stations, comme celle-ci. Elle ne figurait plus sur aucune carte urbaine, ni sur aucune carte de métro. Le bourlingueur de l’espace s’avançait en s’éclairant à l’aide d’une lampe-torche, suivant les informations fournies par son contact. Il était venu jusqu’ici pour récupérer une valise, puis devait ensuite retourner sur Terra par le biais d’un portail, emprunter son vaisseau, et aller amener la marchandise près d’une autre planète. Un deal simple et efficace. Le contact avait laissé la cargaison dans la station de métro il y a une semaine, puis lui avait, dans un scénario digne d’un film d’espionnage, envoyé vers une consigne de la gare, afin de récupérer, à l’intérieur, des instructions sur la manière de récupérer le colis.

En tant que transporteur professionnel, Ulrik ne savait pas ce qu’il y avait dans le colis, et s’en moquait. Poser des questions, ou se renseigner sur le contenu du matériel, ne faisait pas partie de ses attributions. Il se contentait d’accomplir sa mission, et descendit des escaliers en fer rouillé. L’électricité ne fonctionnait plus par ici depuis belle lurette. L’installation était vétuste, et il continua à descendre, s’engageant dans un antique couloir, jusqu’à une porte... Entrouverte. Là encore, rien de surprenant. Son contact était passé par là, et avait remis en place le système électrogène de la station, afin de pouvoir délivrer le colis. L’homme pénétra dans l’ancienne rame de métro, qui avait été condamnée, et s’avança dans un coin. Le colis était sous une dalle, et, alors qu’Ulrik cherchait, il nota alors quelque chose d’étrange.

Un rai de lumière s’échappait d’une porte dans un coin. Celle menant aux toilettes. L’homme posa immédiatement la main sur sa ceinture, en sortant son pistolet, un Taurus Raging Bull, un pistolet terrien, dont il était tombé amoureux. L’homme avait beau disposer de pouvoirs paranormaux, il préférait en revenir à l’ancienne. Il s’avança vers le rayon de lumière, et entrouvrit la porte des toilettes pour femmes.

Déserte. Pas un chat. Il s’avança lentement, prudemment, l’arme brandie devant lui. Une lumière allumée dans une station de métro abandonnée... Il se mit à craindre qu’il n’y ait des concurrents, et, très vite, sentit une odeur particulière. Il huma l’air, nerveux, essayant de l’appréhender. On aurait dit l’odeur d’une femme... Dans un endroit aussi poussiéreux, il était assez aisé de sentir cette odeur. Il se rapprocha du lavabo, et vit des gouttes d’eau le long du lavabo. Il vit des débris dans les coins, comme des goulots de bouteille, des poignées de portes... Et comprit qu’il y avait quelqu’un, sans aucun doute possible.

L’homme se releva rapidement, et observa les cabines.

*Il n’y a pas cinquante mille cachettes possibles...*

Tenant son arme à deux mains, canon levé vers le haut, Ulrik s’approcha de la première porte, et donna un violent coup de pied dedans. L’antique porte tint bon, s’ouvrant sur une cabine vide. Il fit un pas de côté, et donna un autre coup de pied. La porte s’arracha, sautant de ses gonds, et tombant sur le sol. Il continua son inspection, et arriva devant une porte avec un trou dedans, à hauteur du sexe. Ulrik eut une brève intuition, et ouvrit la porte... Plus lentement.

Il y avait une femme derrière, et il pointa immédiatement son arme sur sa tête, par précaution.

« ’Bouge pas ! »

Il était en position, ignorant si cette femme pouvait constituer une menace ou pas… En tout cas, elle était sacrément bien roulée, et, à voir tout ce latex, ces formes généreuses, cette belle poitrine, Ulrik s’humecta brièvement les lèvres. Elle avait de beaux cheveux bleus, et il sentit une putain de trique de tous les diables se saisir de lui.

« Putain, mais t’es qui, toi, bordel de merde ? »

Pour autant qu’il s’en souvienne, Ulrik ne se souvenait pas que le contrat ait mentionné une quelconque femme.

Ignorant un peu tout de la Terre, il ne savait pas qu’il se trouvait en face d’une tueuse en série.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 2 samedi 08 février 2014, 21:59:16

Bordel... Bordel, de bordel de bordel de merde... Là, dans les toilettes, un type battit come une armoire à glace venait de faire irruption... AVEC UN GUN ! Lulu en voyant cette homme ne pensa qu'a  une chose... "ils ont fini par me coincer..." Ouai, là elle faisait pas la fière... surtout au vus du flingue de ce mec, un Bazard monstrueux capable de vous faire un trou au moins aussi large que la rondelle à Lulu après une très violente sodomie. Le type en question huma légèrement l'air ambiant avant de jeter un p'tit coup d'œil au lavabo... puis aux cabines... Lulu, t'es grillée...

"Et, merde..."

Ouai, merde c'est le mot... Lucrezia se demander bien comment elle allait pouvoir ce barrer de ce mauvais pas, mais ses pensée firent bien vite perturbées par un violent bruit de porte que l'on défonce, ce mec est un putain de dingue ! à chaque coup de pied Lucrezia eu un petit sursaut, notre psycho nurse n'en menait pas large et la drogue, avouons le, n'arrangée pas son anxiété ni sa parano. Cet alors qu'il y eu comme une petite accalmie... La tueuse fixait fermement la poignée de sa cabine, poigné qui comme vous devez vous en douter, pivota lentement sur elle même... Ouvrant la porte délicatement...

« ’Bouge pas ! » Vociféra l'inconnue en pointant Lucrezia avec son flingue.

Bordel ce mec pointait son putain de jouer sur le front de notre Lulu, sur qu'à cette distance il risquait pas d'la rater, et notre tueuse, comme un reflexe de survie, leva les mains en l'air en fermant ses yeux tout en  se mordant la lèvres inférieur.

Putain, mais t’es qui, toi, bordel de merde ?

Que... Hein ? Ce mec ne savait qui était Lucrezia ? Bon je sais qu'avec sa nouvelle tenue elle change un peu mais il y a des limites, ont la reconnais bien tout de même !... à moins que ce type ne connaisse justement pas la Duchesse, ce qui serait un gros coup de pot pour la tueuse qui, en ayant entendue la question de l'inconnu, rouvrit ses yeux et lui répondit d'un voix quelque peut déformée par la l'émotion.

Je... Suis...

Ouai, vas lui dire que t'es une tueuse en série toi, je le vois bien t'exploser la cervelle par peur que tu l'émascule puis que tu lui bouffe les couilles avec des salsifis.

Je... suis une...

Pute ! Aller ! Dit Le ! Franchement, on verrait mal une autre femme s'habiller ainsi si elle n'était pas une catins...
Lucrezia ravala alors sa salive et fini par le dire...

Je... Je suis une prostituée... ça te va comme réponse ?

Sa lui faisait un peu mal de le dire... Mais c'était ça ou lui raconter un vieux bobard merdique... ou la vériter... Dans les deux cas, c'était pas terrible au vue de la situation.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 3 dimanche 09 février 2014, 01:35:05

À cette distance, il ne faisait aucun doute que, si Ulrik avait fait feu, toute cette belle tête n’aurait été plus qu’un souvenir. La cervelle de cette femme aurait décoré le mur, éparpillé en plusieurs morceaux. Le bourlingueur ne comptait cependant pas faire feu, mais il se méfiait. Son contact ne l’avait pas prévenu d’une quelconque femme ici, et il se pouvait donc qu’elle soit une menace... Cependant, vu son air effrayé, il pensait plutôt à une paumée, une femme que son contact n’avait pas vu. Habillée comme elle était, il imaginait déjà une pute battue par ses macs, ou poursuivie par un client, qui s’était enfuie ici. Ce scénario semblait assez probable, car cette fille était vraiment bien roulée, avec un air de perverse psycho’ qui, il fallait bien le dire, exerçait un certain attrait, une certaine attirance. Paniquée, la femme aux cheveux bleus peinait à trouver ses mots, avant de finalement se présenter :

« Je... Je suis une prostituée... ça te va comme réponse ? »

Ulrik hésita un peu, puis finit par ranger son arme.

« Ouais, ça me va. T’en fais pas, poupée, tu risques rien. »

S’il avait été plus professionnel, il l’aurait neutralisé, et aurait récupéré la marchandise. S’il avait vraiment été professionnel, il l’aurait tué, car cette belle femme constituait un témoin potentiel, soit quelqu’un capable de remonter jusqu’à lui. Cependant, Ulrik n’était qu’un transporteur, un contrebandier. Il n’avait rien d’un grand criminel qui abattait froidement tout le monde, afin de se forger une quelconque réputation. Il effectuait des missions de merde pour gagner trois ronds afin de continuer à vivre. Il rangea donc son arme dans son holster. L’homme portait, outre un pantalon noir, un débardeur sous une veste. Il se pencha vers la femme, et l’attrapa par la main, l’aidant à se relever. Il en profita pour loucher sur ses seins, démesurément grands.

« Latex, hein ? glissa-t-il en souriant, détaillant les vêtements de la femme. Ça te va plutôt bien. »

Il la relâcha alors, et s’écarta un peu. Son parfum était délicieux, une belle odeur de femme. Se sentir près d’elle ne fit qu’accentuer son érection. Il sortit de la cabine, observant un peu les toilettes. L’endroit était vraiment craignos, vétuste, avec des gros rats qui devaient parfois traîner par ici.

« Ah, navré de t’avoir menacé, mais je m’attendais pas vraiment à voir du monde en traînant par ici. Si tu me disais ton nom ? Je peine à croire qu’une pute puisse trouver des clients dans un endroit pareil... Et, vu que l’emballage est à la hauteur du contenu, je me doute que tu dois pas manquer de clients prêts à te sauter dessus. »

Ulrik se demandait si cette femme avait senti son érection, quand il l’avait aidé à se relever.

L’un dans l’autre, qu’elle l’ait senti ou pas, ça ne le dérangeait pas. Elle était habillée comme un garage à putes prêt à se faire engrosser par une tournante sauvage un soir de fête. Il était normal qu’il bande en la voyant.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 4 dimanche 09 février 2014, 15:54:23

Quand la tueuse lui pondue qu'elle était une Pute, l'bonhomme hésita quelques secondes... Puis il fini par ranger son révolver dans son holster. Ah ce moment précis une petite boule se creva au niveau du ventre de la Duchesse... Bien jouer Lulu, ta tête restera sur tes épaules encore une soirée.

« Ouais, ça me va. T’en fais pas, poupée, tu risques rien. »

Maintenant que ce type de montrais plus aucun signe d'animosité envers notre tueuse, cette dernière pris le temps de mieux le regarder. C'était un beau gaillard, un blondinet plutôt musclé avec un chouette tatouage au bras gauche, un mec plutôt appétissant en somme... Aller Lulu... Dit pas que là, t'as pas envie te le faire st 'inconnu... Hm ? Une bonne baise bien hardcore des les chiotte, ça lui manquer à la tueuse et là... Elle sentais une petite flamme monter en elle... L'homme aida notre psycho' à doucement ce relever, lui adressant au passage, un p'tit sourire. Ma fois il n'avait plus l'air si effrayant, notre tueuse se laissa soulevais sans mal par cet homme, ce retrouvant ainsi à quelques petits centimètres de lui. Il sentais le mâle, l'animale, la bestialité à plein nez ! Non pas qu'il sentais mauvais non, oooh grand non ! Notre Lulu adorait ce parfum, et le sentir là, tout prêt d'elle ne fit que l'exciter plus encore. D'ailleurs... en parlant d'excitation... Notre tueuse put légèrement sentir une petite bosse au niveau du pantalons de ce beau mâle, serait il lui aussi en proie à l'excitation ? L'homme complimenta ensuite la Duchesse sur ça tenue, certes il est vrai que le latex lui aller bien, ça la moulait bien de partout mais sans entraver ses mouvement, c'était léger et bien plus solide que le tissus et de plus c'est beaucoup moins dure à nettoyer.

Merci beau mec... mais tu n'es pas non plus... Dit elle en lui adressant un petit sourire en coin.

La Tueuse vit ensuite le bel inconnu s'éloigner un peu d'elle, regardant ainsi la pièce ou ils se trouvaient tout les deux. Ouai... c'était des chiottes... miteuses et insalubres, mais au moins il y avait de l'eau, la ventilation fonctionnait encore, donc au fond, était ce ci mal que ça ? Bas... Pour une tueuse en série soi disant morte et qui cherche à ce cacher... C'est pas trop mal.

« Ah, navré de t’avoir menacé, mais je m’attendais pas vraiment à voir du monde en traînant par ici. Si tu me disais ton nom ? Je peine à croire qu’une pute puisse trouver des clients dans un endroit pareil... Et, vu que l’emballage est à la hauteur du contenu, je me doute que tu dois pas manquer de clients prêts à te sauter dessus

Je... Mon nom ? Je...

Oui Lucrezia, ton nom...

Je... Hum ! Je m'appelle Lulu...

La tueuse contourna alors l'inconnu afin de rejoindre une nouvelle fois les lavabos. Elle se saisit alors de sa nouvelle petite sacoche, une vieille sacoche de premier secours qu'elle avait réussi à dégoter dans une autre station désaffectée. Elle en sortie une petite pochette pleine d'une fine poudre beige, du crak pour êtres précis. La tueuse l'avait trouvée dans une galerie, surement perdu par un clodo ou une quel qu'onc junkie. Mais la tueuse était pas en très bonne état, la dope la rendais un chouia moins habille et la petite pochette eu vit fait de filait entre les doigts de la Duchesse, tombant alors à ses pieds.

Put... Merde... Crotte !

Ohlalala, quel langage ! La tueuse se pencha alors pour ramasser le petit pochons, exhibant sans vraiment le vouloir, sa culote rose fuchsia. Ouai... rose fuchsia, comme ci c'était pour attirer le regard... D'ailleurs, un œil aguerrie aurais remarquer le contour des lèvres intimes de la tueuse se dessiner sous le tissus. Une fois le p'tit pochon récupéré, Lucrezia se redressa lentement, en remettant au passage le bas de son uniforme en place en tirant un peut dessus. Elle jeta au passage un petit coup d'œil au bel homme par le biais du miroir... Et à la vue de la petite bosse au niveau de l'entre-jambe de l'inconnu, Lucrezia arqua son sourcil gauche... Ouai Lulu, tu lui fait un effet bœuf ! La tueuse resta quelque secondes les yeux rivait sur le miroir, à contempler la bosse du bel homme. Elle se mordit la lèvre inférieur avant de dévier son regard vers autre chose... Sa sacoche tiens ! Elle est belle sa sacoche...

Dit moi... Serait il possible de me faire un petit massage ? J'ai un peu mal dans le bas du dos en ce moment...

Bordel Lulu ! C'est sur, avec des ballons pareilles tu m'étonne que t'as mal au dos.
« Modifié: dimanche 09 février 2014, 16:06:56 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 5 lundi 10 février 2014, 02:12:16

Quand elle se retourna pour aller vers les lavabos, Ulrik en profita tout naturellement pour observer son dos, et ses fesses. Sa robe en latex moulait plutôt bien ses formes. Une pute... Curieusement, il avait du mal à croire à cette affirmation, sans toutefois pouvoir vraiment préciser en quoi. Il pensait plutôt à une camée, l’endroit était plus indiqué... Ou à une fugitive. Une fille qui se terrait ici pour fuir on ne sait trop qui. Elle avait un air... Comment dire... Elle ressemblait un peu trop à une dominatrice pour vraiment avoir la forme d’une pute. Elle avait de solides jambes, des hanches fermes, un corps élancé. Ulrik la matait délibérément, sentant sa mission disparaître rapidement. De toute manière, ce n’est pas comme s’il avait un planning chargé, et, quand il vit la femme s’agenouiller, avec cette robe qui se mit à remonter le long de ses cuisses, découvrant une culotte rose qui moulait ses formes, laissant apparaître ses lèvres intimes qui se découpaient le long du tissu, il sentit son érection s’accroître. Difficile de s’extraire du charme d’une magnifique femme bien roulée, même dans un endroit où il s’attendait à tomber à tout, sauf sur une femme comme ça. Elle sonnait faux dans ce décor, comme s’il y avait un piège, comme si elle était là pour le perturber, pour l’attirer dans un traquenard.

Elle lui expliqua s’appeler Lulu, sûrement un surnom, à moins que les habitants de ce monde soient vraiment très cons, et en profita pour loucher sur son érection. Elle le fit de manière discrète, en observant le miroir, mais Ulrik n’était pas dupe, et lui-même en profitait pour mater son dos, ses fesses, ainsi que ses interminables jambes. Il ne pouvait pas nier que cette femme l’excitait. Elle était d’une beauté redoutable, une beauté sombre, dans le style femme fatale... Un style que le bourlingueur savait apprécier. Pendant un certain temps, aucun des deux ne vint à parler. Ils se contentaient de se dévisager.

« Dis-moi, lâcha-t-elle alors. Serait il possible de me faire un petit massage ? J'ai un peu mal dans le bas du dos en ce moment... »

Il se mit à sourire, un léger rire, puis s’avança vers la femme, et se glissa dans son dos, posant chacune de ses mains sur ses hanches.

« Dans le bas du dos, hein ? »

Sa question était légèrement sceptique, et il se pencha un peu contre la femme, approchant sa bouche de son cou, léchant brièvement cette belle peau. Il ignorait totalement qu’il avait affaire à une femme dangereuse, une psychopathe qui avait été activement recherchée par les forces de police, mais il se doutait bien qu’elle était dangereuse. C’était dans son allure, dans ses yeux, dans cette absence de peur qu’il discernait dans la manière dont elle évoluait. Oui, elle était dangereuse, et il aimait ça. Il aimait ce parfum, cette sensation, ce contact sur ses doigts. Ses mains remontaient lentement, explorant ce latex, appréciant la forme de cette femme, ses côtes doucereuses. Son sexe heurtait ses fesses, remontant un peu, et il l’aida à se retourner. Elle était coincée entre lui et le lavabo, et, le temps qu’elle se retourne, il fit tomber sa veste.

Il se croyait dans un scénario d’un mauvais film porno. Comme quoi, la vie révélait parfois bien des surprises. Face à cette femme aux seins énormes, à la beauté infernale, il respira lentement, son visage près du sien, leurs yeux s’observant.

« J’avais prévu de ne pas rester en venant ici... Mais je crois bien que je vais faire une pause un peu plus prolongée que à ce quoi je m’attendais. »

Il avait l’impression que cette réplique sortait de la bouche d’un mauvais acteur. Il se rapprocha, et l’embrassa lentement sur les lèvres, se pressant un peu plus contre elle. Ses lèvres bleues sentaient légèrement l’alcool, mais ce baiser était nécessaire, nécessaire pour qu’il se persuade qu’il n’avait pas affaire à une sorte de vision de l’esprit, de mirage. Non, cette femme était bien réelle. Et ses lèvres étaient savoureuses.

Rompant le baiser, il demanda alors :

« Juste... C’est une tradition culturelle, chez vous, de foutre des nanas bien habillées dans des stations de métro abandonnés, ou j’ai eu un coup de bol ? »

Vu la tournure de sa phrase, « Lulu » devrait sans aucun doute comprendre que l’homme qui venait de l’embrasser n’était pas d’ici.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 6 lundi 10 février 2014, 11:32:27

L'homme s'approcha de notre tueuse et délicatement il se mis à se pencher sur son cou, passant sa langue sur ce dernier avec délicatesse. Puis doucement, langoureusement il se mis a parcourir les formes voluptueuses de la Duchesse, partant de son bassin en remontant lentement vers ses cotes. Bordel... Lulu ce sentait revivre, ça faisait presque deux mois que personne l'avais touché et... Et bordel ! Elle sentais la virilité de ce type contre ses fesses ! Lucrezia regarder fixement l'homme aux travers du miroir en se pinçant les lèvres mais... Son esprit était ailleurs. Là, dans sa tête, elle imaginais une violente sodomie conte se putain de lavabo, elle imaginais se type la prendre comme une chienne, lui baiser violement le cul, envoyant des coup d'butoir si puissants que ses pieds ne toucheraient plus terre... Bordel Lulu... Maitrise toi, car mine de rien, de telle pensées commence à légèrement humidifier ta culotte.

la tueuse pris une grande inspiration en fermant les yeux, sentant doucement l'homme la retourner face à lui... Il enleva sa veste et... Bordel... Qu'il était bon ! Son débardeur noir moulait légèrement des abdos que la Duchesse mourait d'envi de toucher, de lécher, d'embrasser... Le contact charnel lui manquais atrocement et ce soir... C'était le soir de la libération. Elle était coincée entre ce grand type et le lavabo, elle se sentais un peut soumise mais surtout elle se sentais atrocement chaude et fiévreuse... Son bas ventre la démangeais mais... Nan, elle devait attendre encore un peu... Faire monter la pression, et une fois cela fait... Elle enlèverais la soupape !
 
« J’avais prévu de ne pas rester en venant ici... Lâchât il. Mais je crois bien que je vais faire une pause un peu plus prolongée que à ce quoi je m’attendais. »

Une pause ? Ooooh grand oui bordel ! Elle ne voulait que ça ! Une "pause" bien hard et bien violente, elle voulait qu'on lui défonce le col, la rondelle, la gorge, tout... TOUT ! Elle en pouvait plus ! Pire que toutes les dope, c'était bien le sexe ! Lucrezia était dévorée par ses pulsions et là, elle se battais pour ne pas sauter sur se type et ce mettre à lui bouffer la queue comme la pire des catins... Nan Lulu... Laisse encore montais le désir...

Notre tueuse bouffais cet homme du regard, ça sentais les hormones à plein nez, accentuant fortement la Libido dévorante de la Duchesse... Elle se mordit une fois de plus les lèvres, imaginant en une fraction de seconde des tonnes de scènes plus hardcores les une que les autres...

L'homme embrassa langoureusement la Duchesse, posant ses mains baladeuses sur les hanches de la tueuse, la rapprochant encore un peut de lui... Putains cette queue ! Elle la sentais contre son ventre, elle pouvait sentir le pouls de ce type au travers de sa teub en érections, tendis que ce baiser semblait s'éterniser. L'homme brisa se petit moment, et parla une nouvelle fois à notre tueuse.

« Juste... Reprit il alors C’est une tradition culturelle, chez vous, de foutre des nanas bien habillées dans des stations de métro abandonnés, ou j’ai eu un coup de bol ? »


Euh... Nan, disons que moi... Euh...

Aller... Dit le ! Dit le qu'tu t'cache là pour pas que les flics te chope, d'toute façon tu vois bien qu'ce type est un étranger alors tu peut tout lui balançais, tu crains rien.

Moi j'aime bien ce genre d'endroits... On est au calme étou...

Ah ça... Tu peux l'dire, te faire troncher sur un urinoir ou tailler des pipes au travers d'un trou, on peut dire que t'aime ça... Ouai. Sans compter que ce genre "d'endroit", comme tu dis, c'est bien pour se shooter la gueule comme la sale putain de junkie que tu es, et fait pas genre, si tu aime les chiottes autant que ça, c'est en partie pour les deux raisons que je viens de citer... Et quelques autres que nous ne dirons pas là parce que faut pas tout dire... (haaan bas oui Gaspard...*)


La tueuse glissa ses mains sous le débardeur de ce type, caressant amoureusement les beau abdos de cet inconnu dont elle ne connaissait pas le nom... Et enfaite elle s'en foutait pas mal, elle ce qu'elle désirait c'était que ce type se purge en elle, qu'il lui remplisse tout les orifices bien comme il faut, elle voulait qu'ça lui dégouline le long des cuisses étou... Enfin, en gros... St 'une salope... Elle continuait tendrement ses caresses, elle pouvait sentir l'animosité derrière ces belles tablettes de chocolat... Elle souleva le dit débardeur jusqu'aux pectoraux de l'inconnu puis... Doucement elle vint à poser ses lèvres contre se beau torse, les faisant glisser contre le tétons gauche de ce beau monsieur, tétons quelle lécha doucement tout en continuant d'apprécier du bout des doigts les abdos saillants de ce mâle venu de nul part.

HmmmMmMm... Gémit elle en descendant petit à petit ses lèvres vers les abdos, laissant au passage une trainait de bleu à lèvres sur le corps de ce monsieur. Et une fois les abdos atteint, elle les lécha et les embrassa amoureusement en continuant de les palpait avec ardeur... Sentant par moment, la virilité de cet homme, frottait contre son menton.
« Modifié: lundi 10 février 2014, 13:52:03 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 7 mercredi 12 février 2014, 01:20:46

« Moi j'aime bien ce genre d'endroits... On est au calme étou... »

Même Ulrik, pourtant prompt à croire n’importe quel bobard quand une fille l’échauffait, et qu’il se retrouvait avec la queue qui le démangeait, ne croyait pas une seule seconde à cette histoire. Cette fille n’était pas nette, il le sentait autant que le cul d’un mammouth puait, mais il s’en foutait. Elle était bonne, et il sentait dans ses yeux une phénoménale envie de baiser. Gentleman avant tout, il envisageait bien de la satisfaire. Ses lèvres avaient un goût délicieux, et il sentait toute sa tension, toute son envie de baiser. Maintenant que les esprits étaient calmés, que chacun des deux était plus ou moins convaincu que l’autre ne chercherait pas à le tuer, les fantasmes pouvaient s’exprimer. Cette poupée bleue en latex était irrésistible, et, s’il y avait là-dedans une sorte d’impression surréaliste, le bourlingueur s’en accommodait sans problème. Son visage était proche du sien, et il la laissa venir à l’assaut de son corps, embrassant son torse, écartant son débardeur, pour glisser lentement sur sa peau, aspirant sa peau, délivrant une série de suçons.

Un bref soupir traversa les lèvres d’Ulrik, qui alla à nouveau poser ses mains sur ce corps, agrippant ce latex, le caressant lentement, en éprouvant la texture. Très agréable. Cette femme était délicieuse, et fit lentement glisser ses lèvres le long de son corps, caresser ses pectoraux, tout en fléchissant les genoux, démontrant une certaine habileté. Si ce n’était pas une pute, il était en tout cas convaincu qu’elle n’était pas vierge. Peu importe ce qu’elle foutait là, Ulrik n’avait pas l’intention de sympathiser outre mesure. Il ne savait rien d’elle, elle ne savait rien de lui, et c’était mieux ainsi, car il avait une intuition, une petite voix lui soufflant qu’il n’aimerait pas en savoir plus sur cette femme. Autant qu’ils restent à l’aspect extérieur des choses. Un coup de baise dans ces chiottes pourries, l’homme n’en demandait pas plus. Il se viderait les couilles une bonne fois, tout simplement.

Elle continuait à l’embrasser, se rapprochant de son sexe, faisant malicieusement glisser son menton sur sa bosse, la durcissant davantage, la grossissant. Elle savait y faire, et Ulrik caressait ses cheveux, glissant dessus.

« Hum... T’es une vraie salope, toi... On est faits pour s’entendre. »

Il caressait ses cheveux, tout en veillant à ce que sa tête reste plaquée contre son torse, et aventura son autre main, caressant sa joue, avant de déboutonner son pantalon. Il tomba assez rapidement, révélant un boxer déformé par son sexe, qui était de plus en plus de se tendre. Ulrik insistait avec sa main, et découvrit son sexe en tirant sur le sous-vêtement.

« Descends plus bas, ma chérie, va là où tes lèvres doivent aller... Suce donc, c’est gratuit. »

Il ne s’était pas trompé. Cette femme était en manque, et, quant à lui, il était toujours en manque quand il voyait de belles femmes. Il la guida donc vers son sexe, et l’enfouit entre ses lèvres, puis soupira de plaisir.

Comme ça, c’était parfait.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 8 mercredi 12 février 2014, 18:06:32

« Hum... T’es une vraie salope, toi... On est faits pour s’entendre. »

Tu l'a dit bouffis ! On trouve difficilement plus cochonne que Lulu, et ça, même dans cette ville remplies d'personnages libidineux. Cette Duchesse du crime et autant une tueuse, qu'une suceuse en série, adorant la sodomie profonde et tuant par simple désir sexuel. D'ailleurs... C'est en partie ça qui rend la Duchesse ci... singulière. Les meurtrières en séries, habituellement, sont discrète et utilise le poison, un moyen propre et efficace d'atteindre leur but, qui la plupart du temps est :

- soit l'argent (veuve noire)
- Soit la recherche de pouvoir (ange de la mort)

Mais Lulu ce démarque des autres tueuses sérielle de part sa violence et son atrocité et surtout de part son but, qui est, en partie, de combler des pulsions d'ordre sexuelles, faisant d'elle une sorte de mélange entre une ange de la mort et une "lust killer".

Bref, cessons  là la psychologie criminelle, d'toute façons je suis sur que ce bon Monsieur s'en  branle à l'heure qu'il est... Comme la Duchesse d'ailleurs, trop absorbée par cette affaire qui était, de ce soulager la conscience avant son come back dans les rues de cette ville. Alors qu'elle s'affairait à embrasser les muscles saillants de cet inconnu, palpant délicatement de bout de ses lèvres et de ses doigts les magnifiques tablettes de cet homme d'un soir. Ce dernier paso délicatement l'une de ses mains dans les cheveux de notre Duchesse qui, les yeux fermés continuait d'apprécier les abdos de l'inconnue. Puis... Soudain, elle entendue un bruit ressemblant à un bruit de ceinture que l'on débrailler... Oui Lulu, ce bonhomme est à deux petits doigts de te montrer sa belle verge dressée, tu sais, l'objet de tout tes désires de salope en chaleur. La tueuse rouvrit alors ses beaux yeux turquoise, voyant ainsi ce dressée devant elle une grosse bosse dissimulée sous un boxer blanc... Bordel Lulu... ça ! C'est un morceau d'barbaque ! L'homme tira ensuite sur le dit boxer et Notre tueuse put enfin la voir... Ce mec avait une queue énorme ! Lucrezia en avait peine à croire, là, les yeux grand ouvert devant cette tour Eiffel de chair, notre tueuse resta quelque peu bouche bais... Tellement bouche bais que... L'homme n'eu aucun mal à gentiment glissait la baguette dans le four, enfin baguette... Vu les proportions de la bêtes, c'était clairement un bon gros pains de campagne format familiale que Lulu avait dans le bec.

Levant ses yeux vers cet homme, Lulu hocha doucement de la tête, faisant signe à son amant qu'il pouvait, ci il le désirait, commencer l'irrumation... Mais visiblement ce dernier ne compris pas le message, ou avait il tout simplement envi de laisser faire la Duchesse, histoire que ça bouche s'habitue à cet énorme braquemart, braquemart qui pour l'heure n'était pas entièrement enfonçait dans sa bouche, juste le gland y était... Un bon gros gland comme Lulu les aime.
 
Ne quittant pas l'inconnu du regard, Lulu cligna doucement des yeux tout en ce cambrant légèrement. Puis, doucement elle glissa sa mains droite le long de la jambe de l'homme, atteignant petit à petit la verge de ce dernier.
Une fois celle-ci atteinte, elle fit comme une sorte d'anneaux avec son pouce et son index, anneaux qu'elle glissa le long de la verge jusqu'à sa base, histoire de bien la décalotter. Puis doucement Lulu se mise à "tater le terrain", passant sa langue derrière le gland de l'inconnu... Visiblement, il avait une bonne hygiène.

Ouf...

Ouf ?... Ouf !?  Ouf Quoi ?! OOOOOOooooh ! Je t'en prie Lucrezia, fait pas celle qui n'aime pas ça, hein. Combien de fois t'as peut en sucer des queues avec du smegma, hm ? Et on pouvait pas dire que ça te dérangeait plus que ça, alors s'il te plait... Pour le coup, tais toi.

Une fois le terrain jaugé, Lulu put enfin commencer à avaler la queue de cet homme, une putain de belle queue d'au moins 30cm, facile ! Elle était ci belle cette queue que... Lulu ne put pour l'instant pas l'avaler entièrement, préférant surement garder la gorge profonde pour plus tard. Là, elle devait y aller mollo. Donc elle commença par une petite mise en bouche classique, caressant doucereusement la hampe de cette verge de long en large, titillant au passage le gland chaud et turgescent du bel homme. Il semblait ravit d'ailleurs. Puis au final, elle commença petit à petit à sucer la belle queue qui lui était offerte, pompant amoureusement ce phallus gargantuesque qui emplissait quasiment toute sa bouche, alors qu'il n'était enfoncé qu'à moitie. La belle Duchesse empruntant ensuite un délicat mouvement de vas et viens en laissant s'échapper de langoureux petit gémissements de plaisir et de gourmandise... S'te coquine...

De longues et tendres minutes s'écoulèrent, la Duchesse prenait plaisir à délicatement caresser les belles bourses pendouillantes de l'homme tout en continuant de lentement lui prodiguer des soins buccaux digne de Venus elle même. La tueuse aspirait par moment de l'air de façon à creuser ses belles joues, histoire que l'homme ce souvienne de cette pipe toute ça vie... Et surtout parce que Lulu elle aime sucer et qu'sa fait un baille qu'elle a pas eu un aussi gros bout d'viande dans l'bec.

Au final, Lucrezia fini par doucement retirer ce beau sexe de sa bouche, resserrant ses lèvres juste au moment ou le gland aller les passer. Une fois sortit du fourreau, Lulu regarda une nouvelle cet homme dans les yeux, avec en prime de la bave et du pre-sperme que qui reliaient sa bouche au sexe du dit homme.

Elle attendait la suite, soit... Un baisage de gorge en bonne et due forme.
« Modifié: mercredi 12 février 2014, 20:13:12 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 9 vendredi 14 février 2014, 01:33:21

Après avoir servi de rat de laboratoire, Ulrik avait pu constater que l’un des effets secondaires de ces expériences avait été un accroissement de son sexe, ce qui était lié à une augmentation de son rythme sanguin et de ses pulsations électriques. Ulrik n’avait pas tout compris, si ce n’est que, maintenant, il avait un sexe assez massif. Sans être excessif, il pouvait se targuer d’avoir une superbe verge, et cette poupée de latex, qui avait l’air d’être un croisement entre une pute et une psychopathe sadique, excitait son membre avec force, le durcissant amplement. Elle était face à son chibre, et, avant de le prendre entre ses lèvres, en palpa la matière, l’éprouvant avec ses doigts de latex. Sentir cette peau délicieuse sur son sexe le faisait trembler, et sa main se raffermit sur la chevelure bleue de la femme, la pressant, tandis qu’elle continuait à caresser ce sexe, l’emprisonnant entre ses doigts. Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, et il remua un peu son corps, ses fesses heurtant le mur carrelé. La main de Lulu s’amusait sur son sexe, glissant dessus, de bas en haut, allant à la base de son sexe, avant de remonter. Elle savait y faire, et, si elle prenait son temps, c’était sans doute parce qu’elle voyait ce vit comme un gros gâteau, un repas délicieux, à savourer longuement, et avec appétit, afin de n’en rien gaspiller.

Une fois sa main utilisée, elle la remplaça par ses lèvres, tout en titillant ses testicules. Fermant les yeux, Ulrik soupira longuement, entre ses lèvres entrouvertes, basculant sa tête en arrière. Elle heurta le mur, et chacune de ses mains se posa sur la tête de Lulu. Ce latex... Il adorait le sentir sur sa peau, glisser sur elle, excitant son membre, remuant dessus. Et sa bouche... Ses lèvres étaient merveilleuses, sa salive filant sur son membre, le faisant plonger dans un liquide délicieux. Continuant à soupirer, Ulrik caressait les cheveux de la femme, se cramponnant à ses mèches, la laissant faire, sans chercher à la repousser, ou à la forcer à agir. Elle prenait son temps, et il aimait ça... Quand c’était long et sensuel, quand on prenait le temps... Comme pour faire monter toute la tension, avant de la relâcher d’un coup.

Elle prenait son temps, glissant le long de sa queue, l’enfournant de plus en plus. Se faire sucer, c’était vraiment le pied. Il n’y avait pas à dire, Ulrik adorait ça, et il bandait littéralement en sentant cette salope glisser sur son sexe. Elle y allait lentement, pour l’exciter, pour réveiller ce côté brutal et dominateur que les femmes aimaient souvent chez les hommes. Ulrik avait appris à le savoir, à force de se balader dans l’espace, et de croiser les minettes. Officiellement, elles rêvaient toutes de l’homme calme et mûr, celui qui avait de l’oseille, des beaux vêtements, mais, profondément, hommes et femmes restaient des bêtes primitives... Et une bête primitive aimait quand c’était ardent, quand ça remuait et que c’était violent. Or, le sexe avait pour lui de rappeler aux gens leur caractère primitif, car il n’y avait rien de plus primitif que le fait de baiser. Ulrik se laissait aller, mais il savait où Lulu voulait en venir. Elle prenait son temps, le titillant, l’excitant, pour qu’il la défonce. Un sourire amusé éclaira son visage, alors qu’il ramena sa figure en avant, observant cette belle femme.

Lentement, elle retirait sa bouche de son sexe. Il était chaud, pulsant, recouvert de sa salive, et le bourlingueur raffermit sa prise sur les cheveux de la femme, et entreprit alors de la baiser. Il remua son bassin, et enfonça son sexe en elle, puis ramena ce dernier en arrière, et l’enfonça encore. Le geste n’était pas très compliqué, mais très intense, se renforçant progressivement. Ulrik soupirait sous l’effort, enfonçant son sexe toujours plus loin. Plus les gestes se prolongeaient, plus il était facile d’enfoncer sa queue en elle. Son membre se perdait dans sa bouche, tapant contre sa gorge, glissant, remuant, frappant, crachotant en elle, dans sa salive, tandis que ses mains l’immobilisaient. Elles étaient fermes, veillant ainsi à ce que la femme ne bouge pas. Parfois, il arrêtait les mouvements pendant quelques secondes, en enfonçant son sexe aussi loin qu’il était possible de le faire dans sa bouche, si bien que ses testicules heurtaient le menton de la femme. Il restait alors ainsi pendant quelques secondes, savourant ce contact, en oubliant presque de respirer, avant de reprendre, sur un rythme toujours plus fort, toujours plus rapide.

Les dents de la femme raclaient contre son membre, et les minutes continuèrent à défiler. De la sueur coulait le long du torse d’Ulrik, qui avait chaud, son corps en proie à une activité physique particulièrement intense.

« Hum... Haaaa... »

Il poussa un léger soupir, et continua à donner des coups de reins, baisant de plus en plus fortement la bouche de la femme, l’empêchant très certainement de pouvoir boire sa salive, son sexe se faisant de plus en plus agressif. C’est dans ce scénario qu’Ulrik finit par se déverser en elle, donnant des coups de reins un peu plus forts en jouissant, avant de lentement se calmer, son rythme décroissant, tandis qu’il continuait à larguer des giclées de sperme dans sa bouche.

Il se calma progressivement. Son sexe avait légèrement dégrossi sous l’effet de cette érection, mais il tint rapidement à rassurer la belle femme :

« C’est bon de jouir en toi... Mais j’en ai pas encore fini totalement avec toi, rassure-toi... Loin de là, même. Tu mérites d’être honorée comme il se doit, ma belle. »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 10 vendredi 14 février 2014, 17:38:09

à peine Lulu avait elle fini de tailler sa pipe, que l'homme vint à remettre sa belle queue dans la bouche de notre tueuse, raffermissant sa prise au niveau de sa tête, enfonçant graduellement son sexe dans sa bouche... Lulu, quant à elle, levait les yeux vers ce belle inconnue qui, Elle hoqueta quelque peu en sentant cette verge monstrueuse lui caressais la luette, tirant au cœur à plusieurs reprise sans, fort heureusement, vomir sur les godasses du type. Halala... Quelle grosse gourmande notre Lulu.
Plus les choses allaient, plus l'homme enfonçait loin son sexe dans la gorge de Lulu, cette dernière commençait à manquer d'air, cette queue gargantuesque emplissait toute sa bouche et son gland arrivait bientôt au fin fond de sa gorge chaude et étroite... Bordel.  La sensation était à la fois douloureuse et... Affreusement bonne. Lucrezia ferma ses yeux, et entrepris de respirait doucement par le nez. La Duchesse sentais que sa allait crescendo, que l'homme allait de plus en plus vite, qu'il était de plus en plus violent dans ses coup d'butoir. Lucrezia adorais ça bordel ! Se sentir dominée par un homme qui lui labouré violement la gorge, ce cramponnant fermement à sa belle chevelure... Bordel ouai ! Lulu kiffait un max !

« Hum... Haaaa... »

A partie de là... Tout est allé très vite... Et très fort aussi. L'inconnu agrippa fermement de ses deux mais la tête de notre tueuse et d'un coup sec il envoya son vit au fond de sa gorge, sans aucune douceur ni aucun pitié et ça a plusieurs reprises, Lucrezia avait les sourcils fronçait, elle essayait de respirait tant qu'elle pouvait par le nez mais... Cette baise devenait particulièrement hard ! Mais sous son apparente "souffrance" Lulu était en réalité entrain de prendre son pied ! Elle savait que cette soudaine monté en puissance voulais dire, elle savait que là... La purée aller sortir ! Le rythme s'accélérait, les coup devenait de plus en plus fort et au final...

Gggggh!!!!!

La tueuse écarquillât grands ses yeux en sentant la chaude semence de ce monsieur lui exploser dans la gorge... Puis se fut bien d'autres giclées qui suivirent, accompagnées d'autres coups d'butoir moins violent. Les yeux de Lucrezia se révulsèrent, elle avait du foutre pleins la bouche, la gorge et il y en avait même qui lui sortait par le nez... C'est dire. Au final, l'homme se retira lentement, laissant à la Duchesse le plaisir de savourer la chaude laitance qu'il venait de lui mettre. Une fois que Lulu eu la bouche libérée, son premier reflexe fut de prendre une grande bouffée d'air... Puis de tousser juste après, recrachant un peu de sperme au passage. La jeune femme haletait comme une petite chienne, tandis que l'homme la regarder en lui adressant la parole.

« C’est bon de jouir en toi...
Lâchât il Mais j’en ai pas encore fini totalement avec toi, rassure-toi... Loin de là, même. Tu mérites d’être honorée comme il se doit, ma belle. »

Ah bas là déjà, j'trouve qui tu l'a bien honoré.

Lucrezia le regarda avec des yeux de chiennes en chaleur, haletante et toute essoufflée avec du foutre plein la bouche, venant jusqu'à dégouliner dans son décolleter.

Je...Haaaa... haaan... Je... Ouiii... Honore moi... *glups*... Haaa

Doucement, Lucrezia se releva, tournant lentement le dos à son amant d'un soir. Elle posa ses deux mains sur le lavabos avant de gentiment tortiller du cul devant l'inconnu... Nan les amis, je sais à quoi vous pensez, mais ce n'est pas encore pour toute de suite.

J'ai... j'ai goutée à ta sucette... Maintenant viens donc me lécher l'roudoudou ♥

Oui... Lulu aime les sucreries. Cette dernière releva doucement le bas de sa combinaison en Latex, laissant le soin au bel homme de lui baisser la culotte. Culotte sur laquelle on pouvait voir un gros trait humide signe que notre tueuse était vraisemblablement bien chaude... Quoi ? Vous vous en doutiez ?


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 11 dimanche 16 février 2014, 02:21:50

Salive et sperme coulaient de la bouche de cette femme. Son charme si particulier, cette aura spéciale, exerçait sur Ulrik une sorte de fascination croissante. Il se sentait comme électrisé, et en avait totalement oublié sa mission. Tout ça semblait trop bon pour être vrai. Tomber sur une femme au hasard dans des toilettes abandonnées, voilà qui était cocasse ! L’homme respirait lourdement en la regardant. Les yeux de cette femme luisaient de désir, comme si elle était en manque... Il était alors convaincu qu’elle devait être folle. De toute manière, il fallait l’être, pour vivre dans un tel endroit. Il avait bien vu les traces de bouteilles, les sacs plastiques déchirés jetés sous l’évier... Cette femme vivait ici. Depuis combien de temps, il ne saurait le dire, mais, vu la taille de ses hanches, et ce corps aux formes généreuses, ça ne devait pas non plus faire une éternité. Autrement, elle serait rachitique. Sans doute devait-elle se croire en train de rêver, tellement en manque qu’elle attendait la venue d’un homme depuis des décennies... En d’autres termes, Ulrik aurait presque pu se sentir investi d’une mission divine, d’autant plus que lui-même peinait à croire que tout ça soit réel. Il avait le sentiment diffus d’être ne train de rêver, comme s’il avait inhalé une sorte de produit chimique hallucinogène. Pour autant, les réactions de son corps, elles, étaient crédibles, et bien réalistes. Il ne pouvait pas l’imaginer, tout simplement.

La femme le regardait, avant de se mettre à parler, d’une voix lente, forte, sensuelle, marquée par la passion. Elle se releva, et il s’écarta légèrement, son sexe pointant hors de ses cuisses, la tête légèrement baisse. Son membre lui faisait moins mal, mais, tandis qu’elle avançait, il se masturbait, frottant sa queue trempée, la durcissant à nouveau. Il fallait l’honorer comme il faut, en effet. Elle lui tourna le dos, posant ses mains sur le lavabo, courbant ensuite son dos, le creusant en lui offrant la vue de son croupe, relevant sa combinaison en latex. Derrière elle, il put voir sa culotte, d’un rose blafard. Elle remuait ses fesses, comme pour l’inciter à venir, ses mains de part et d’autre du lavabo, son visage se reflétant dans le miroir.

« J'ai... j'ai gouté à ta sucette... Maintenant viens donc me lécher l'roudoudou » demanda-t-elle.

Ulrik réfléchit silencieusement. Lécher ce cul, voilà qui était tentant... Mais, l’enculer à sec, voilà qui était vraiment trippant. Il se rapprocha lentement. Si cette femme avait été un peu moins salope, si ce décor avait été autre chose que des toilettes sordides, et s’il n’avait pas eu le sentiment de se taper une folle, ou d’être dans une sorte de jeu télévisé, d’expérience farfelue visant à voir si de parfaits inconnus pouvaient coucher entre eux dans l’endroit le plus improbable qui soit, Ulrik aurait sans doute hésité. Là, il devait bien admettre que voir ce petit cul le tentait. En l’observant plus attentivement, il put constater qu’elle mouillait déjà, ce qui acheva de le convaincre.

Toujours sans rien dire, le bourlingueur de l’espace se rapprocha, et posa chacune de ses mains sur les fesses de Lulu, appréciant sa croupe, tout en se pressant contre elle. Il huma ce latex, tout en regardant le visage de la femme par le miroir crasseux. Comme pour mieux la titiller, il mima des coups de butoir contre ses fesses, continuant à durcir son sexe, afin qu’il retrouve sa première érection. Sa verge glissait contre les fesses bien rondes de cette femme, ce délicieux cul, qu’il comprimait entre ses mains, tout en observant son opulente poitrine. Elle avait un magnifique décolleté, un corps de rêve.

« Hum... Putain, ma chérie, ton cul est magnifique... Et, puisque tu as affuté ma sucette, je crois bien que je vais continuer à t’explorer avec... Ose me dire que tu n’en as pas envie... »

Il s’écrasait contre son dos, remontant ses mains le long de sa taille, filant ainsi vers ses seins. Sans vouloir enlever cette combinaison, qui lui allait si bien, il agrippa chacun des pans de son espèce de veste, tirant un peu sur eux, à hauteur de ses seins, tout en approchant ses lèvres de son oreille. En attendant, sa verge glissait sur la croupe de la femme, enfonçant un peu sa culotte entre ses fesses. Se rapprochant de son oreille, il lui lécha la peau, tout en continuant à parler, à la tenter :

« Je vais te défoncer le cul comme si tu étais la pire des chiennes, ma belle... Prépare-toi à hurler. »

Autant annoncer le programme. Il avança ses mains, et tira lentement sur la culotte, jusqu’à la faire glisser le long de ses jambes. Elle se retrouva à hauteur de ses cuisses, et il écarta les fesses de la femme avec ses doigts, découvrant ainsi sa croupe. Ulrik dut manœuvrer un peu, le bout de sa verge heurtant sa peau, glissant dessus, avant de finalement atteindre sa rondelle. Il donna alors un coup sec, tout en allant s’appuyer sur chacun des seins de Lulu, se crispant sur ces derniers. »

« Hurrrmpfff... Putain, ma salope ! »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 12 mardi 18 février 2014, 19:41:24

Lulu était là, les fesses bien en évidences, totalement à disposition de son amant d'un soir. Elle avait demandée à ce bel homme de la lécher, mais ce dernier était libre de lui faire autre chose s'il le désirait, Levrette, fist, butjob ou encore... Une bonne sodo'... Comme Lulu les adoraient tant. Rien que d'y pensait notre tueuse en frissonnait de plaisir en se mordant les lèvres d'impatiente. Dieux qu'elle aimait ça ! Elle observait ce beau mal au travers du miroir crasseux, astiquant son mat afin de le rendurcir un peu... Puis délicatement il vint à s'approcher des fesses de notre tueuse, caressant doucement sa belle paire de miches, se délectant de la peau douce et blafarde de la Duchesse. Aller Lulu... fait pas ta mijaurée... Tu vas y avoir droit, c'est sur ! Cet homme est entrain de te mâter le derche comme un vieux pervers et tu croix vraiment qu'il vas seulement te faire un petit lichette ? Oh grand non ma grande ! Soit il vas te prendre en levrette, soit il vas t'enculer !

« Hum... Putain, ma chérie, ton cul est magnifique... Et, puisque tu as affuté ma sucette, je crois bien que je vais continuer à t’explorer avec... Ose me dire que tu n’en as pas envie... »

Ooooooh que ci elle en mourait d'envie ! Là mec, ce que tu lui fait, c'est cent fois mieux qu'une demande en mariage !

Ouh... laissât elle faiblement s'échapper en sentant le sexe de ce beau mal venir se lover contre ses fesses tout en faisant doucement glisser ses mains sur le corps de la Duchesse pour au final rejoindre ses seins. La tueuse frissonna en sentant cet homme contre elle... Elle pouvait sentir son odeur, sa force... toute l'animosité qui s'échappait de lui... Lulu se sentait comme une femelle en chaleur, comme une belle petite lionne à deux doigts d'se faire labourer l'train par un bon gros Moufassa fort et virile... la tignasse en moins.


« Je vais te défoncer le cul comme si tu étais la pire des chiennes, ma belle... Sussurat il doucement à l'oreille de la tueuse en frottant délicatement sa verge conte le cul de cette dernière.  Prépare-toi à hurler. »

Ho... Hooo oui... Lui répondit elle d'une voix faible et étouffée par la désire et l'excitation.

L'inconnu se recula doucement et La tueuse regarda par dessus son  épaule en se mordant les lèvres, l'homme était entrain à présent de lui baisser sa culotte, ce qui provoqua un autre petit frissons de la part de notre Duchesse. Cet alors que d'une poigne à la fois ferme et délicate, l'homme se saisit des deux fesses de la Duchesse en les écartant de façon à dégager la vue sur la petite rondelle de notre adorable meurtrière.

Ah... Ah...

Lucrezia haletait faiblement sous l'effet de l'excitation, cet homme était à deux doigts d'lui mettre une sentence, une bonne sodomie sans préparation aucune... Un labourage de sphincter à sec ! Pour sur Lulu... Avec le gourdin que ce type trimbale... Tu vas couiner !

Oh ! Lâcha Lucrezia en sentant le gland de son amant venir au contacte de ses fesses misent à nues.

Doucement l'homme fit une petite manœuvre avec son monolithe de viande, essayant d'caser l'bestio' bien dans l'rang, ce qui, au passage, fit une nouvelle fois frissonner notre Tueuse.
L'homme se stoppa... Et... BAM !

AAH !

L'bonhomme venait d'envoyait un premier coup d'butoir dans le fion de Lulu, histoire de faire rentrer l'animale dans l'enclos... Enfin pour l'instant ce n'était que le bout d'la tête qui y était. Avec le cul serré que se payait Lulu, ce type avait tout intérêt à y aller doucement à partir de maintenant, la phase "d'entrée" était assez sportive avec Lucrezia, il fallait y aller par pallier, éviter de vouloir aller trop vite sinon... Bas sinon... ça craque et ça fait mal. Lulu était entrain de serré les dents en fermant les yeux, poussant de léger couinement, tendis que l'homme entrez doucement en elle. Notre Lulu avait peut être mal surestimée son anus pour le coup...
Elle le sentais en elle, elle sentais son énorme gourdin lui déformer le rectum d'une manière à la fois douce et terriblement douloureuse, mais allez savoir pourquoi... Elle aimait ça elle. Les poings de la tueuse se refermèrent tendis qu'au fur et à mesure que l'homme entrait en elle... Une légère larme se mise à couler sur l'une de ses joues... Lulu... aurait tu était trop gourmande ?

Qu... Quiiiii... Ah...Ahh...

Lucrezia haletais doucement... Elle avait mal mais... Elle adorait ça ! Pour preuve, des millions de frissons parcourais le corps de la tueuse... Ouai... Elle avait mal, mais elle kiffait un max s'te salope.

Ah... Haaan... J'ai... j'ai était très vilai... Vilaine...

ça... tu peux le dire...


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 13 mercredi 19 février 2014, 00:35:54

Il avait senti qu’elle aimerait ça. Une sorte d’intuition. Cette femme en latex avait l’air d’être cinglée sur les bords, et ceci se confirmait. Une sodomie à sec... Il s’était attendu à ce qu’elle hurle, à ce qu’elle le repousse, mais, au lieu de ça, elle se contorsionnait entre ses bras, poussant des hurlements de douleur, mais, et il en était persuadé, également de plaisir. Cette femme était une tarée, mais il ne s’attendait pas à grand-chose d’autre, dans un tel endroit. Son cul était sec comme un désert, et Ulrik dut rapidement ralentir le rythme, tout en se demandant si, en définitive, ce n’était pas lui qui allait souffrir le plus. Serrant les dents, il grognait lentement, ses doigts se crispant sur la combinaison en latex, pressant les seins tendus de la femme. Il observait son dos en soupirant lentement, glissant lentement son sexe, avant de pousser, soupirant. Son fondement n’étant pas lubrifié, il était très rêche, et déformer les parois était très difficile. Elles résistaient, et il devait forcer, sans pour autant y aller trop violemment, afin de ne pas devoir se retirer. Ulrik grognait et soupirait donc, adaptant peu à peu son rythme. Ce cul était vraiment serré, et c’était un bonheur de le défoncer. Sa température corporelle explosait, de grosses gouttes de sueur glissaient le long de son corps, et il libéra les seins de la femme, préférant poser ses mains sur ses hanches, là où il pourrait bénéficier d’un meilleur appui.

« Hurrrmpff... Pu… Putain, aaaahh... »

Le bourlingueur soupirait lentement, et préférait pousser des jurons. C’était un bon moyen d’évacuer la douleur, de penser à autre chose. Il faisait plutôt appel à sa rage, et en vint à donner de solides coups, plus forts, afin de, petit à petit, écarter les fesses de cette femme. Sa verge lui donnait l’impression d’être rouge, et il s’était rarement senti aussi vivant. Tout son corps vibrait et tremblait, et il donna une grosse claque sur le cul de Lulu en l’insultant.

« Haaa ! Haaa ! Putain, espèce de SALOPE !! Huuuuuuuunnn… Bo… Bordel de merde, aaaah ! »

Il donna d’autres coups, tandis que la femme frappait le lavabo avec sa main. Il continuait à la prendre, se sentant de plus en plus violent. Douleur et plaisir formaient comme une sorte d’épée qui s’enfonçait dans les strates de son esprit, pour former une sorte de puits allant chercher, dans les tréfonds de son être, l’animal primitif qui sommeillait en lui, une bête de sexe qui n’était uniquement motivée que par le souci de jouir. Dans ce cul sec comme une bouteille vide, Ulrik était frustré, et cette frustration brûlait en lui.

Au bout de quelques efforts, son membre commençait peu à peu à s’enfoncer. L’homme grognait et soupirait, remuant énergiquement, son sexe se frottant dans cet étau de chair. La douleur était intense, et ce devait être aussi terrible pour la femme face à lui. Pour autant, il n’éprouvait nul remords. Il avait dépassé ce stade. En d’autres circonstances, il aurait été un peu plus galant, un peu plus prévenant... Mais cette femme, en un sens, le faisait flipper. Il n’aurait pas trop su le dire, mais il y avait quelque chose qui n’était pas normal chez elle. Certes, un homme qui se promenait dans une station de métro abandonnée et s’envoyait en l’air avec la clocharde du coin n’était pas forcément un exemple de normalité, mais, même en ayant ça en tête, il y avait quelque chose qu’il ne se fixait pas avec cette femme... Une sorte de sentiment diffus qui lui échappait. L’enculer comme une biche, c’était un moyen de reprendre la main sur elle, de la voir ramper à ses pieds... Et c’est en suivant cette sage idée qu’il alla de nouveau palper son cul, lui administrant une nouvelle claque, bien forte, qui résonna dans la pièce, et en fit trembler ses mains. La tête de Lulu heurta le miroir, et, pour éviter qu’elle ne se fasse mal, Ulrik lui attrapa les cheveux, et s’écarta alors. Ses pectoraux et ses muscles furent requis, mais il put déplacer la femme, et plaquer contre un mur, l’envoyant s’écraser contre le mur carrelé, faisant sauter un carreau, de la terre glissant près des ongles de la femme.

Contre le mur, elle avait tout de la femme violée. Il posa une main sur le haut de ses épaules, s’agrippant à sa nuque, et continua à donner des coups de reins, s’écrasant contre elle, soupirant longuement, envoyant le bassin de Lulu heurter le mur, rebondissant contre ce dernier.

« Hnnn ! » soupira-t-il.

Il était écrasé contre elle, avant de se retirer, pour revenir en bloc, son sexe s’enfonçant de plus en plus dans le corps de la femme.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 14 dimanche 23 février 2014, 12:56:17

Lucrezia sentie bien que l'homme avait du mal à faire passer la pilule, ce dernier avait voulu jouer les gros dur et enculer notre duchesse sen prépa', et bien le voilà servie. Lulu avait certes un peu être mal... Mais lui aussi visiblement, au vue des grognement et des jurons qu'il poussait. Les belles fesses de la Duchesse cacher une bien terrible épreuve pour les hommes bien montés, s'y aventurer sans vaseline et sans élargissement préalable s'avérait être une petite torture... Mais une fois totalement à l'intérieur, la récompense était de taille. Le cul de Lulu épousant à merveille le sexe de l'intrus, il ne faut rarement plus de 10 minutes à un homme avant qu'il ne lâche la purée dans la Duchesse qui prendra ensuite, un plaisir plus que gourmand à s'enfoncer les doigts dans le fondement afin de récupérer la chaude laitance qu'elle emmènera alors à sa bouche... Ouai... Lulu s'une cochonne.

Mais pour l'heure... C'était sportif, l'bonhomme suait comme un buffle à vouloir sodo' notre tueuse favorite, agrippant fermement les seins de cette dernière en envoyant de petits, mais néanmoins puissant coups d'butoir, s'enfonçant alors petit à petit, dans le cucul de lucrezia. Elle, elle couinait de douleur et de plaisir, en ce mordant la lèvre inférieur et en fermant les paupières, tachant tant bien que mal de faciliter le travaille de son amant d'un soir.
L'homme agrémentant quant à lui l'action de quelques jolies fessées bien placées. Vas y mon gars, Lulu elle aime quand sa claque !

AAAh !

Les bras puissants de cet hommes finirent ensuite par redescendre au niveau du bassin de notre tueuse, assurant ainsi une meilleur prise à notre bonhomme qui, en profita pour administrer une autre bonne grosse claque sur le cul de la Duchesse. Une claque si forte, que lulu avait le sentiment qu'on venait d'lui marquer le cul au fer chaud, comme avec les bovins. Mais bien évidement, cela ne fit qu'accentuer le désir de notre Duchesse adorée.

AAAaaah... aaaah... oui... oui...Met moi d'autres fessées...je...aaaah... je suis une vilaine infirmière...

En disant cela, lucrezia regardait par dessus son épaule avec des yeux chienne en chaleur, tentant d'augmenter le désir de ce male qui enfonçait chaque fois plus sa queue dans le rectum de notre Lulu.

AAAAh...haaaannnn ou..ou...ouii.... ha..ha..

Cet alors que l'homme donnât un coup d'butoir tellement puissant qu'il fit cogner la tête de Lulu dans l'miroir, rien de grave rassurez vous mais... Après cela, l'homme agrippa fermement la tignasse bleu de Lucrezia tout en continuant de maintenir son bassin et il alla la plaquer contre le mur, en mod "rape machine". Lulu se sentais affreusement... Bien ! Ouai, Là, elle kiffait grave sa race ! Se faire baiser ainsi s'était du pur délire, elle pouvait sentir le torse chaud de cet homme contre elle, la sueur animale lui dégouliner dans le cou et sur les fesses... Bordel, là Lulu... T'es au anges. Notre tueuse sentit une nouvelle fois le mat de cette homme rentré un peu plus en elle, ce qui la fit au passage griffer le mur de carreaux toute en serrant les dents de douleurs, poussant de surcroit de petits gémissements et de petits couinements que résonnaient dans toute la pièce.

Quiiii niuuuuuu.. put.... HAAAAaaa...ha...ha...

l'homme continua de donner de petit à-coups, jusqu'au moment où enfin... Il fut totalement à l'intérieur de Lucrezia.
L'inconnu se tortilla un peu puis, l'espace de quelques secondes, il resta immobile contre lucrezia, ce délectant surement de la délicate et chaude étroitesse de cul de la tueuse. Tueuse qui, quant à elle, frissonnait de mille plaisirs, appréciant aussi silencieusement que possible cette énorme bite profondément enfuie dans son fondement... Comme on dit, après l'effort, le réconfort.

Ou... hou... Lâchât elle faiblement, les yeux mi-clos et vides de toute émotions, faisant par la suite glisser sa mains vers sa vulve pour se mettre à doucement se masturber, décuplant ainsi son plaisir sexuel.



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