Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Future étoile [Aoki Kou]

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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 45 mardi 01 septembre 2015, 19:48:05

Afin d'avoir la tranquillité avec cette histoire et afin d'être sûre de ses sentiments envers Félicia, Aoki était prête à recommencer ce genre de choses, comme avant. C'était aussi l'occasion d’assouvir ses besoins de dominatrice, souvent laissé au second plan avec Félicia mais que voulez-vous, elle ne peut rien refuser à sa belle chatte noire. La jeune femme était toujours en petite tenue, face à Doutzen à qui elle avait ordonné de prendre place sur ses cuisses pour lui mettre sa première punition. Cela était plus un test, elle voulait voir et entendre comment était la petite Doutzen dans cette situation. La belle prit place sur ses cuisses, sa peau chaude et douce sur ses cuisses, elle faisait du bon boulot en quémandant sa punition, certes, Aoki le lui avait demandé mais au moins, c'était correct dit comme ça.

« Oh mais compte sur moi, petite putain. Je vais te punir et crois-moi, tu te souviendras toujours de cette punition ! »

Elle passait sa main une première fois sur ses fesses, c'était une peau douce, agréable, à se demander si la belle connaissait la fessée ? Il y avait plusieurs stade pour une simple fessée mais c'est sûr que si on compare une chose basique au niveau d'Aoki, ça fait un sacrée différence. La première fois que Félicia à fessée Aoki, elle en avait gardé les marques plusieurs jours. Levant sa main droite, elle la fit claquée une première fois dessus. Un son si beau en sortit, c'était tellement... bon. Tellement bon mais tellement peu aussi.

« Et alors ? Pourquoi tu ne dis rien ? Je veux qu'à chaque fessée que tu reçoit, tu me remercies, petite chienne en chaleur ! Tu peux crier autant que tu veux, ici, les chambres sont insonorisés. »

Aoki levait une nouvelle fois la main pour la fessée, plus fort encore. Elle brûlait peut-être les étapes pour certains mais parfois, il n'y a pas de mal à aller rapidement d'un point A à un point B, le but n'était pas de la punir vraiment mais de la faire souffrir dans le bon sens. Et Aoki était prête à cela, ça, ce n'était qu'une mise en bouche de leur soirée. Toujours plus stricte et plus belle aussi, elle continuait de lever et d'abaisser sa main sur sa paire de fesses. Parfois en fessant plusieurs fois de suite la même fesse, parfois, allant claquer la seconde. Parfois Aoki faisait une pause, une pause où sa main se reposait, allant tirer un peu sur ce string rouge de petite putain, parfois en se montrant plus douce en caressant les belles fesses rouges de la chienne. Elle aura les fesses aussi rouges que la couleur de ses dessous.

« Tu sais qu'une femme, même un homme, peut jouir sans même toucher une partie intime ? Sans aucune caresse, juste avec des coups ? J'ai déjà eu l'occasion de voir ça une fois, elle a tellement aimé ça, cette sale petite trainée, qu'elle a joui sur moi. Et toi alors ? Doutzen ? Serais-tu pire qu'une chienne en chaleur ? Ça te fait mouiller de savoir que je pourrais te fesser jusqu'à ce que tu prennes ton pied ? »

Sa voix était à la fois si douce et si stricte, c'était un curieux mélange vocal et pourtant, on sentait bien la douceur de sa voix enroulée de barbelé de son penchant de domination. Sa main n'avait toujours pas repris les coups, sa main gauche allait d'ailleurs caresser ses lèvres, elle voulait savoir si elle aimait ça au point de baver. Ou peut-être elle bavait à force de dire merci et de crier ? Sa main droite passait son string, fonçant entre ses cuisses, sous son string pour caresser cette petite zone humide qui faisait naître un beau sourire sur les lèvres d'Aoki. Voyait-elle cela ? Aurait-elle l'audace de tourner son visage vers elle alors qu'elle semblait presque faire preuve de douceur après tant de violence ?

« Tu mouilles vraiment comme une petite fontaine... à peine point tu aimes ça, petite putain de Doutzen ? Tu aimes quand je te donne la fessée ? Mais si j'utilise une planche ? Un martinet ? Et s'il me prenait l'envie d'enfoncer une petite mignonnette du minibar dans ton petit trou du cul ? Tu aimerais ça, boire de l'alcool avec ton anus ? Ou dans ta petite chatte peut-être ? Tu mouilles tellement que je serais prête à parier que mon poing pourrait rentrer. Ça doit rentrer comme dans du beurre hein, ma petite putain à moi ?! »

Fin des caresses de minou, elle retirait sa main pour la battre encore, elle la fessait joyeusement, maltraitant ce petit cul d'amour ! Elle n'était peut-être pas un mec super bien membrée mais elle va lui prouver que demain, elle n'osera pas d’asseoir à cause d'elle. Ça n'aura rien à voir avec la sodomie. Il ne faut pas croire qu'elle se contentait de passer ses nerfs en la fessant simplement, non, dans cette simple série de claques, il y avait l'amour, la passion, la domination ! Quand sa main la fit trop souffrir – après une bonne vingtaine de claque – elle se pencha sur elle, sa poitrine frottant ses épaules, ses lèvres effleurant son oreille.

« Tu vas pouvoir te relever, vilaine Doutzen mais avant, je veux te poser une nouvelle question. Si je vide une petite bouteille du minibar dans ta chatte... tu crois que j'aimerais ce cocktail d'alcool et de mouille ou bien tu es bien trop vilaine pour que j'apprécie boire ton petit jus de chatte ? »

Drôle de question mais ça prouvait bien à quel point Aoki était perverse et experte en la matière. Ce n'est pas le genre de proposition qu'elle ferait à Félicia. Mais comment elle s'y prendrait pour ce qu'elle a évoqué ? Il suffit de vider une des mignonnettes dans son vagin, avant de venir lui lécher sa petite chatte en la laissant debout, Aoki sous elle. Prendre une cuite en léchant une chatte, ce n'était pas bien banale ! Surtout quand on sait qu'Aoki devient pire avec de l'alcool. Enfin, elle va dans les extrêmes, soit elle devient encore pire que maintenant, soit elle devient très fleurs bleues, jouant les petites romantiques qui rougirait et glousserait au moindre regard avec Félicia. Mais Félicia n'était pas là après tout. Se reculant doucement, elle tapota doucement sa fesse, comme on tapoterait un chat sur ses genoux pour qu'il file. Bien, elle voulait voir sa réaction, entendre sa réponse et la voir si elle en avait les larmes aux yeux ? Et puis... pense-t-elle que sa question ait un piège selon sa réponse ou non ? Haaa, elle préférait laisser planer le doute !

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 46 dimanche 06 septembre 2015, 09:23:29

Et les claques s’abattirent, filant sur le beau petit cul de Doutzen, qui se mordilla les lèvres au début, soit à la première claque… Avant que sa Maîtresse ne la reprenne. Elle lui indiqua qu’elle ne devait pas juste se contenter de subir, mais qu’elle devait aussi hurler tout son plaisir, afin de montrer à quel point elle aimait bien se faire battre. Les joues rouges, et avec la conviction, de plus en plus assurée, d’avoir affaire à une véritable professionnelle, Doutzen hocha la tête de haut en bas, puis la main de Maîtresse Kou claqua à nouveau sur son cul. Doutzen sursauta, remuant d’avant en arrière, ses mains appuyées sur les belles cuisses de sa Maîtresse, mais elle obtempéra : »

« Haaa… O-Oui, Maîtresse, hum… Encore, haaaann, encore… !! C’est si bon de vous sentir… Frapper mon petit cul de salope ! »

Doutzen s’insultait volontiers, et, vu la facilité avec laquelle elle s’accomplissait, Aoki ne devrait avoir aucune difficulté à comprendre que Reto ne lui avait pas menti, que Doutzen était vraiment une soumise, et qu’elle aimait ça. Peu à peu, les deux femmes étaient en train de vraiment se découvrir, dans la mesure où les masques qu’elles portaient pour vivre de manière civique, en société, s’effaçaient rapidement, derrière les murs insonorisés de ce love hotel. Qui sait jusqu’où elles pourraient aller ? Ces deux femmes étaient toutes les deux de grandes perverses, et cette perversion se confirmait en ce moment, alors qu’elles continuaient à se découvrir, et à aller de plus en plus loin dans leurs jeux.

Aoki alterna donc entre fessées et caresses, et, quand sa main s’approcha des lèvres de Doutzen, la jeune adolescente les lécha. Effectivement, Doutzen était en train de mouiller, salissant les jambes de sa Maîtresse, mais aussi le rebord du lit. Elle frissonnait et soupirait à chacun des contacts tactiles de sa Maîtresse sur son corps. Cette dernière s’attardait avec expertise sur son délicat fessier, appuyant là où il le fallait, caressant les parties qu’il fallait, ne cessant, à chaque fois, de montrer à Doutzen combien elle était talentueuse, et ô combien la petite Doutz’ était chanceuse… Clairement, Doiutz’ ne regrettait rien de ce moment ici, ce qui était sans doute la plus belle preuve que le Petit Chaperon Rouge, après avoir tant de fois côtoyé le Grand Méchant Loup, n’avait plus grand-chose d’innocent. Aoki, quant à elle, lui parlait chaudement, de sa belle voix ferme, multipliant des mots sales et pervers, qui n’avaient que pour effet d’exciter davantage encore la belle Doutz’.

« Oui, Maîtresse, hum… Doutzen n’est qu’une pute qui adore se faire fesser et maltraiter par vous… !! »

Elle raffolait de ça, et aurait pu continuer à se faire battre pendant des heures encore, mais sa Maîtresse avait une imagination fertile, et lui proposa alors autre chose, consistant à utiliser une mignonette, soit une petite bouteille d’alcool, le genre de trucs qu’on servait dans les bars ou les boîtes de nuit, et qu’on pouvait boire rapidement. Doutzen en connaissait, évidemment. Il lui était déjà arrivé d’être attachée à une table, et de recevoir des coulées de vin sur ses seins, avec des langues qui filaient entre ses seins. Elle se rappelait de cette soirée, une immense orgie dans un manoir luxueux, où chaque invité portait des masques. Rien ne semblait effrayer sa Maîtresse, qui en avait encore profité pour la gifler, faisant hurler Doutzen, chacune des gifles de la femme étant de plus en plus fortes… Et, à terme, le cul de Doutzen était bien rouge, tandis que la respiration de la jeune élève était haletante.

Maîtresse Aoki proposa alors de remplir sa chatte d’alcool, ce qui la fit rougir. Comment est-ce qu’elle comptait procéder ? Dans sa petite tête, elle se mit à imaginer la femme approcher la bouteille pour la glisser dans son sexe, et y déverser l’alcool… Ce qui la faisait frissonner, sans qu’elle ne puisse déterminer avec précision si ce frisson était un frisson de peur ou de plaisir. En tout cas, elle rougissait, excitée par l’imagination fébrile de sa Maîtresse, qui l’insultait avec une telle facilité, et avec un tel désir dans la voix, qu’on sentait en elle la femme frustrée, frustrée de ne plus pouvoir battre ou jouer la dominatrice.

« Hum… Je… Je pense que ma mouille est suffisamment bonne pour n’importe quel palais, mais… Votre palais est celui d’une Maîtresse, et il est donc délicat. Doutzen ne veut pas que sa mouille de petite pute vous déplaise, et, si vous voulez l’accompagner d’alcool, elle sera ravie de vous obéir. »

Elle parlait d’une voix chaude, vibrante d’excitation, et se redressa.

Maîtresse Aoki lui tendit ensuite la petite bouteille, et se mit sous elle. Doutzen écarta bien les jambes, et suivit les instructions, en venant tenir la bouteille, dont on glissa le bout dans son sexe, après avoir retiré le capuchon. Elle pencha ensuite la bouteille, en arquant son corps vers l’arrière, et frissonna au contact froid du verre… Tout en mouillant.

Ce faisant, ce qui déferla le long de ses cuisses fut surtout de l’alcool, mais avec de la cyprine.

« Hnnn… Hnnnn… !! »

Yeux clos, Doutzen gémissait de plaisir, encore et encore.
DC d’Alice Korvander.

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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 47 mardi 15 septembre 2015, 21:45:12

Aoki avait beau tout faire pour changer un peu par amour et éviter les soucis comme Reto lui montrait depuis leur rencontre, chasser le naturel et il revient au galop. Cette phrase n'avait jamais été aussi bien utilisée qu'en compagnie de Doutzen. Finie la fessée, elle laissait reposer sa main endolorie en insultant et avouant bien des choses à cette salope de chienne. Des choses que peu de gens auraient sûrement dit à voix haute ou même y penser. Mais Aoki était aussi intelligente que perverse et quand on sait qu'elle sort d'une grande école, sa perversité atteint des sommets ! Doutzen en semblait pas vraiment effrayé par ce qu'elle proposait, verser de l'alcool en elle pour se faire un cocktail de cyprine avec du wiksy ou de la vodka, cela devait être un cocktail savoureux. Peut-être imaginait-elle qu'elle allait juste verser le contenue sur sa petite chatte avant de lécher mais non, ça, c'est pour des novices et Aoki, elle joue dans une grande école !

Doutzen accepta, commençant à vouloir lui servir ce savoureux cocktail spécial. Elle invitait sa maîtresse à s'allonger avant de commencer son petit mélange. Que faisait cette sotte ? Elle ne disiat rien en observant avant de se redresser, venant quand même lécher quelques gouttes qui coulait le long de ses cuisses.

« Quelle idiote tu fait ! Tu fais déborder mon cocktail comme ça ! Allonges toi ! Je suis obligée de tout faire moi-même ici ! »

Vu le ton d'Aoki, Doutzen venait de mériter sa prochaine punition mais avant cela, Aoki avait une petite soif ! Aoki repoussa Doutzen pour l'allonger sur le lit avant de prendre une nouvelle petite bouteille, de whisky précisément avant de retourner vers elle, un petit sourire en coin qui montrait bien que Doutzen allait prendre cher ! Avait-elle déjà laissé couler sa cyprine alcoolisée sur le lit ou non ? Ce n'est pas grave, peu importe la réponse.

« Tu vas me servir de checker petite putain ! Alors lèvre moi ce bassin pour commencer. »

Aoki venait quand même lui retirer ce petit string rouge qu'elle remettra sûrement au cours de la soirée pour mieux s'amuser encore. Du bout de ses doigts, elle caressa cette petite chatte bien trempée avant de l'écarter avec deux doigts, venant même sentir cette petite odeur de sexe dans l'air.

« Ne craint rien, si je suis de bonne humeur ensuite, j'en ferais autant pour toi. Tu as peut-être déjà goutté à de l'alcool, c'est de ton âge mais jamais servit dans une petite chatte je présume ? »

On ne pouvait pas dire que ça courait les rues ce genre de pratique. Devissant le petit bouchon, elle venait lécher une petite goutte de cette mignonette avant de doucement l'enfoncer dans son petit trou. Elle laissa couler le tout dans ce petit trou, on peut pas dire qu'il y avait des litres dans cette mini-bouteille. Une gorgée ou deux à peine ! Aoki laissait la bouteille enfoncée en elle, la tenant quand même à deux doigts avant de la retirer lentement en gardant ce petit sourire en coin qui montrait qu'elle aimait infliger ce genre de supplice.

« Quand on parle de cockatil, il faut bien mélanger, câtin. Alors secoue-moi ces petites fesses le temps d'aller chercher un petit verre. »

Retournant dans le bar, elle sortit deux verres à vin, ils étaient de taille normale puis elle retourna vers Doutzen, posant un verre loin d'elle sur le lit. Elle se rapprocha et tendit le verre à sa petite putain en lui faisant signe de se redresser.

« Maintenant qu'il est bien mélange, il est temps de me servir, ma petite pute. Tu vas jouir dans ce verre... Mais te connaissant, je préfère te donner un coup de main. »

Elle laissa Doutzen tenir le verre au-dessus de ses lèvres intimes alors qu'elle venait pincer son clitoris, pas très fort mais si elle tardait trop, oui, elle va augmenter la pression mais pour le moment, la japonaise restait relativement douce, venant même embrasser son nombril doucement, en lui demandant de temps à autre de jouir.

« Si tu me sers mon verre rapidement, tu auras le droit de te reposer sur mes cuisses le temps de ma petite dégustation alors... saisi cette chance. »

Il n'en était plus qu'à Doutzen de choisir ce qu'elle veut ? Un peu de douceur avec Aoki pour se reposer les fesses ou en prendre encore plein le cul ? Ou ailleurs qui sait ?

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 48 vendredi 18 septembre 2015, 10:09:04

C’était quoi, le problème de cette femme avec l’alcool ? Une ancienne alcoolique qui avait trouvé un moyen de lutter contre son problème en utilisant l’alcool à des fins sexuelles ? Doutzen avait déjà rencontré ça lors des fêtes... Le fantasme du mec vidant une bouteille d’alcool entre les seins de l’une des prostituées présentes, pour ensuite lécher l’une des lignes. Dans les films, ça rendait toujours super. Dans la réalité, il fallait bien reconnaître que c’était un peu ridicule. De l’alcool, Doutzen en avait déjà bu, mais elle ne pouvait guère prétendre avoir aimé ça. En réalité, si on le lui avait demandé, elle aurait dit qu’elle préférait le jus d’orange. Néanmoins, elle n’allait pas décevoir sa Maîtresse, et obéit donc en se couchant sur le dos, un peu intriguée par tout ce que cette dernière lui demandait, ou par le fait de remplir sa chatte d’alcool.

Ça lui rappelait juste quand ion l’avait rempli d’eau à l’aide de seringues, sensation assez désagréable. L’idée était de faire gonfler son ventre, puis de l’inciter à tout relâcher ensuite. Aoki proposait quelque chose de similaire, et s’approcha de son sexe, toujours avec cette redoutable maîtrise d’elle-même. Les joues rouges, Doutzen la sentit rapprocher l’autre bouteille, et déglutit en comprenant ce qu’elle avait en tête... Elle enfonça la mignonnette dans sa croupe, et Doutzen soupira longuement, sentant ce contact froid et en verre heurter sa peau douce et sensible. Elle se tortilla sur place en sentant l’alcool venir en elle pendant quelques secondes.

« Haaaa... Haaaaa... »

La petite bouteille se vida rapidement, mais l’alcool ne repartit pas tout de suite, car sa Maîtresse avait veillé à bien l’enfoncer dans son derrière. Sentir ce bout froid partir procura néanmoins à Doutzen le plus grand bien, mais elle sentait l’alcool remonter en elle pour remonter dans son estomac, où elle ne tarderait pas à repartir... Tremblant sur place, Doutz’, qui avait enfin compris où Aoki voulait en venir, se dandina donc sur place. Elle s’était mise à quatre pattes, remuant ainsi plus facilement son corps, sans trop savoir si cela avait un quelconque intérêt. Aoki expliqua ensuite qu’elle comptait boire ça, et revint donc, avec un nouveau verre.

*Je ne suis pas sûre que ce sera toujours de l’alcool qui viendra...*

Doutzen se retrouva ainsi avec le verre sous elle, coincée entre ses cuisses, et Aoki vint l’aider à la faire jouir. Étant déjà très excitée, la belle blonde n’avait plus aucune résistance à fournir. L’imagination perverse d’Aoki avait même réussi à la surprendre... C’est dire à quel point cette dernière était une redoutable Maîtresse ! Doutz’ était frappée de voir à quel point cette situation l’excitait, alors qu’elle aurait normalement dû l’effrayer. Reto avait réussi à la perfection son travail sur elle. Doutzen était devenue une redoutable perverse, n’ayant rien à voir avec les Princesses des contes de fées. On venait de lui enfoncer une bouteille, et de remplir son ventre d’alcool.

En se pinçant les lèvres, elle se dandina donc au-dessus du verre, sentant Aoki venir embrasser son nombril.

« H-Huuunn... Maî... Maîtresse... »

La sentir si proche d’elle était terriblement excitant...

...Ce qui finit par la faire jouir, dans de longs soupirs, sa cyprine se déversant dans le verre... Accompagnée d’un autre liquide et de multiples soupirs de plaisir...
DC d’Alice Korvander.

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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 49 lundi 05 octobre 2015, 21:21:42

Aoki était redoutable, experte en la matière, c'est le moins que l'on puisse dire. Combien de personnes sur Terre avaient eu cette idée si originale ? Elle n'était peut-être pas la seule, ni la première mais on ne pouvait pas dire qu'elle avait copié, elle l'avait simplement imaginé. Puis en réalité, la belle Japonaise n'avait pas de soucis avec l'alcool, elle a déjà connu la gueule de bois plus d'une fois mais elle buvait pour s'amuser entre collègues après le boulot, ni plus, ni moins. Là aussi c'était pour s'amuser et former son élève. Et puis ce n'était pas une mignonette qui allait avoir raison d'elle, c'est à peine s'il y avait une gorgée complète dans cette minuscule bouteille ! Même dans un bar, on en sert plus que ça. Après avoir vidé cela en Doutzen pour faire d'elle son checker, elle plaçait son verre entre ses jambes en embrassant son mignon petit nombril, jouant aussi avec sa petite chatte tant qu'elle le pouvait.

Son élève était parfaite dans ce rôle, elle n'avait plus qu'à se laisser aller et à lui servir son verre. Aoki ne disait rien à ce sujet mais si de l'urine il y a... elle risquait de le payer cher. Elle n'était pas une grande fan de ce genre de pratique, elle avait déjà essayé quelques fois mais même avec Felicia, ça ne lui plaît pas. Alors en avaler, ce serait pire qu'en recevoir sur soi et ça... Doutzen risquait de se souvenir de ce détail. Mais passons, elle continua de jouer, voulant réussir ça, elle fit enfin jouir son élève, voyant le verre se remplir d'un liquide transparent mais assez foncé malgré tout. Ce n'était pas clair comme de l'eau de roche. Puis il y avait une légère teinte orange plutôt foncé. Cela dit la question que se posait la jeune était, whisky ou urine ? Dur était la question. Son verre a vin avait un joli petit fond, l'équivalent d'une bonne petite gorgée, rien de plus. Son cocktail était près !

Aoki prit place sur le lit, entre les deux oreillers, la belle était toujours en sous-vêtement mais qui allait le lui reprocher après tout. Bien calée, son verre dans sa main droite, elle écartait doucement les jambes en invitant sa petite Doutzen à venir s'installer ici. Elle ne donnait cependant pas plus d’indication. Coucher entre ses jambes, allongé de façon à avoir sa tête sur sa poitrine, assise devant elle ? Telle était la question mais en vérité, la jeune fille pouvait se placer comme bon lui semble, tant qu'elle ne la prive pas de son verre. Elle passait une main dans ses cheveux, se montrant douce même si sa voix gardait encore une pointe d'autorité.

« Repose-toi quelques instants Doutzen. Ensuite, je penserais à la suite. Tu aimerais goûter ce petit cocktail ? En le faisant sur moi bien entendu. »

Elle n'allait pas boire de l'alcool avec sa propre cyprine. Elle aurait le droit mais avouons le, l'image serait bizarre si elle y prend goût de le faire ainsi, toute seule... Le verre à vin entre ses doigts remuait doucement, faisait tourner le liquide au fond du verre en le reniflant doucement. On pourrait croire Aoki experte en vin vu ses manières mais elle n'y connaît rien. Elle en a déjà bu quelques verres mais de là à dire qu'il a une belle robe, qu'il est moelleux ou autres, ce n'est pas le cas. Et pourtant, elle passait plus de temps à l'observer sous tous les angles plutôt que le mettre en bouche. Dans un sens, une fois en bouche, elle en ferait qu'une bouchée. Elle continuait de caresser Doutzen, ayant de petits gestes doux avec elle pour le moment. Bon, l'instant de vérité ! Elle porta le verre à ses lèvres en faisant couler le liquide vers sa bouche, buvant son contenu en une seule gorgée avant d'imposer le silence. Qu'était-il du goût ? Bénédiction ? Punition ? Après quelques secondes d'un visage figé en dehors de sa bouche qui semblait chercher la réponse, elle finit par avoir un petit sourire.

« Ma petite Doutzen, du whisky avec ton petit jus de chatte de salope, ça reste une très bonne chose ! »

Mais comme on dit pour l'alcool, avec modération ! Alors si elle lui impose ça de nouveau, ce sera une prochaine fois. Gardant à la fois le sourire et son côte supérieure, elle tendait les bras à son élève.

« Allez, viens te blottir contre moi petite putain. Tu sais quoi ? Ton petit cocktail t'a fait gagner un bon point. Alors demande-moi quelque chose et je verrais si je peux répondre à tes attentes. Allez, je t'écoute. »

C'était un peu un piège car si elle demandait quelque chose de trop gros, elle va surtout surbir une nouvelle punition mais si ce n'est pas grand-chose, Maîtresse Aoki pourrait le lui accorder dans sa grande bonté. Mais pour le moment, elle lui offrait ce câlin délicat et doux, son corps contre le sien avec cette possibilité d'avoir un petit cocktail à la sauce Aoki ou bien même tout autre chose ! Aoki était un jeton d'othello. Entièrement blanc, d'une extrême gentillesse ou bien entièrement noire, devenant une vraie sadique qui prend son pied dans la douleur. Donc, le risque de voir le jeton debout était mince lors d'un pile ou face.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 50 mardi 06 octobre 2015, 10:11:11

Ce qu’Aoki lui faisait subir était... Typiquement japonais. Typiquement japonais dans le sens où c’était bien zarbi, et en même temps terriblement excitant. Elle contemplait ce verre, rempli d’un mélange assez improbable de mouille et de whisky... Et de quelque chose d’autre ? La question intriguait aussi Doutzen, mais elle ne pensait pas avoir uriné. Elle en aurait sûrement envie après, mais, pour l’heure, et elle était bien placée pour le voir, sa vessie était plutôt calme. Est-ce qu’Aoki était du genre à aimer jouer avec l’urine ? Doutzen se posait la question en toute légitimité, car elle avait déjà rencontré des ondinistes. Il y avait des fantasmes zarbi’ partout, et les ondinistes n’étaient pas que des Japonais. Néanmoins, malgré ce qu’elle avait vécu, il y avait chez Aoki quelque chose de différent des autres. Maintenant qu’elle venait de jouir, que sa respiration était lourde, la jeune blonde avait les idées un peu plus claires, et vit très bien, à la manière dont Aoki venait de s’allonger, dont elle contrôlait la situation, et dont elle l’invita à se coucher sur elle, qu’elle n’était pas sa première fois... Mais qu’elle devait l’être malgré tout sur la durée.

Plus intelligente qu’on pouvait le croire, Doutzen alla donc se coucher sur le ventre de la femme, la tête nichée contre son estomac, sous ses seins. Elle sentait la respiration précipitée de la femme, mais toutefois calme, maintenue, une autre façon de trahir son expertise de la manière... Le genre de calme soutenu qu’une première expérience ne pouvait certainement pas fournir. Prenant tout son temps, elle faisait tourner le verre à vin, et, silencieuse, Doutz’ la laissait faire. Elle savait où était sa place, et, alors qu’elle venait de jouir, elle s’interrogeait aussi sur l’étonnante fascination qu’elle ressentait pour ce moment.

*Jusqu’à quel point mes soirées avec les victimes de Reto m’ont changé ? En un sens, c’est un peu effrayant...*

Doutzen avait changé. Elle avait changé, et elle ne savait pas si elle retrouverait un jour l’ancienne Doutzen Kroes. À force de goûter à toute cette perversion ambiante, elle avait fini par s’y insérer, et, dans ces rares moments de lucidité, elle s’abritait derrière un cynisme qu’on ne trouvait normalement pas à un âge aussi jeune. C’est surtout ce qui expliquait pourquoi elle avait plaqué Alex Sanderson. Où serait-elle dans cinq ans ? Dans dix ans ? Une toxicomane marginale dévastée par une dépression ? Ou une égérie vivant dans les étoiles ? Est-ce que sa culpabilité finirait par prendre le dessus, ou est-ce qu’elle s’enfoncerait à ce point dans la perversion qu’elle en finirait par perdre son humanité, comme dans tous ces hentaïs hardcore sur la soumission, où la personne soumise finissait par devenir une poupée de chair entre les mains d’indéfinissables pervers.

Couchée sur l’estomac d’Aoki, les questions se multipliaient dans son esprit, l’une de ses mains posées sur la peau de la femme, mais elle releva malgré tout la tête pour la voir boire... Et boire sans aucune hésitation, ce qui la fit rougir. Honnêtement, Doutzen était, en ce moment, incapable de dire si ce qu’elle buvait était bon ou non. Mais ça semblait lui plaire, car elle avala tout d’une traite, puis son visage sembla s’éclairer, ce qui, pour une inexplicable raison, fit davantage rougir la belle Doutz’.

*Incroyable, elle a tout bu... Tout bu d’une traite !*

Elle finit par lui demander que ce cocktail était effectivement bon, et Doutzen sourit légèrement, se sentant... Étrangement gênée.

« Et bien... Merci, Maîtresse... »

Aoki lui demanda ensuite de se rapprocher, et Doutzen, docilement, s’exécuta, et alla s’allonger contre le corps de la femme, venant nicher son visage contre le creux de son épaule, et alla embrasser sa peau. Sa Maîtresse était en train de lui faire une fleur, Doutzen en avait conscience, mais elle, elle avait une question à lui poser, et elle se mordilla les lèvres, avant de la balancer... Car, après tout, Maîtresse lui avait bien dit de demander « quelque chose ».

« Vous avez rencontré quelqu’un, Maîtresse, c’est ça ? Je suis sûre que c’est pour ça que vous ne couchez plus avec vos élèves... »

C’était la donnée manquante dans les investigations de Reto, et, quand Doutzen posait cette question, elle était purement rhétorique.

« Je... J’adore que vous me torturiez, Maîtresse, mais... Je ne voudrais pas que ça vous pose de problèmes par la suite avec la personne que vous aimez. Et, si je vous dis ça, c’est parce que... »

Elle se pinça les lèvres, et reprit son souffle, avant de poursuivre :

« J’ai envie que vous soyez ma Maîtresse sur la durée. Je sais que vous n’avez pas Reto, mais... J’aimerais vraiment que vous reconsidériez son invitation, et que... Vous veniez de temps en temps me... Me former à domicile... Mais je comprendrais tout à fait que vous n’ayez pas ! C’est juste... Une envie de ma part. Ne le faites pas pour Reto, mais... Pour moi... Ce... »

Doutzen se pinça encore les lèvres, se demandant si elle avait raison de poursuivre, ou si elle ne faisait que s’enfoncer, mais, comme il était trop tard pour faire marche arrière, elle poursuivit :

« Vous serez une personne... Extérieure au système de Reto, alors... Ce... Ce serait mieux pour moi... J’aurais la garantie que personne d’autre que vous ne viendrait me soumettre chez moi... Car vous êtes une Maîtresse parfaite, et je ne peux qu’envier votre amour pour ses talents et pour être capable de contenir une telle dose de sexe qui brûle en vous. »

C’était un compliment bizarre... Mais, au point où elle en était, Doutzen n’était plus à ça près.
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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 51 mercredi 14 octobre 2015, 20:52:58

Aoki était bizarre ? Non, Aoki était lucide, très clair, naturelle. Elle avait été dans son enfance un exemple pour les parents Japonais typique. Calme, bonne élève, douée dans tout ce qu'elle faisait que ce soit par pur talent ou à la sueur de son front, elle avait été parfaite. Mais elle n'avait du coup pas profiter de sa jeunesse, les joies du sexe, même les plus innocentes, elle ne les avait découvert que bien plus tard, à plus de dix-huit ans. Et en rattrapant ce retard, elle a vite fini emporté par ce torrent, finissant par devenir ce qu'elle était aujourd'hui, une perverse qui s’assume mais qui se cache aussi. Compréhensible, elle n'allait pas serrer la main d'une inconnue lors d'un rendez-vous et lui proposer un collier et une laisse qui irait bien avec son tailleur.

Allongée sur le lit, elle savourait ce verre comme une victoire. Soyons honnête, même en étant une maîtresse, ce n'est pas tout le monde qui irait faire ce qu'elle a demandé dans sourciller. Elle laissait donc Doutzen se coucher contre elle, un verre dans une main, des cheveux qu'elle caressait dans l'autre. Aoki était douée, pas parfaite sinon elle ne se serait pas faite piéger par Reto mais elle était douée. Elle savourait ce silence qui accompagnait bien son petit cocktail qu'elle but avec un sourire. Comment décrire ce goût ? C'était une chose impossible, certes le whisky, c'est du whisky, mais la mouille... c'est comme vouloir décrire un nuage, tous sont similaires et tous sont différents à la fois. C'est pousser la comparaison loin mais comme comparer un ADN, en apparence, c'est pareil mais il n'en existe pas deux identique.

Elle laissa à Doutzen une petite fleur, l'occasion pour elle de vouloir peut-être demander quelque chose de plus classique ou d'audacieux ? Même si en vérité, elle comptait voir où ses envies allaient l’amener, dépassant ou non la bonne grâce d'Aoki. La belle demoiselle se blottissait un peu plus contre elle avant de poser une question qui l'étonnait. Aoki avait quelqu'un dans sa vie ? Oui et non... Elle était amoureuse, elle avait envie d'aller plus loin avec Félicia mais... elle avait fait le premier pas avec Hitomi et elle avait tout gâché alors elle ne voudrait pas que cela recommence une nouvelle fois...

Doutzen parlait, évoquant non pas qu'Aoki dévoile ce qu'elle pourrait cacher mais plutôt l'envie de rester avec elle, de continuer ce chemin, sa formation, ses rêves... Elle gardait un regard sur elle, sans insister, sans changer de ton, d’expression, elle la laissait parler en caressant doucement ses cheveux d'or. Aoki resta silencieuse un petit moment, même une fois que Doutzen avait fini de parler, réfléchissant à tout cela. C'est vrai que former, c'est son métier, son boulot, sans parler sexe bien sûr, elle faisait en sorte de faire grimper des jeunes vers les étoiles, qu'ils tentent de faire briller la leur plus longtemps possible. Et Doutzen avait vraiment du potentiel, ce serait dommage de jeter une telle chose... Elle évita de parler de ses histoires de cœur pour le moment, peut-être un piège de Reto – même si Félicia saurait se défendre – mais aussi, elle n'avait pas envie de repenser à ses peines de cœurs.

« Je ne veux pas être une personne extérieure à son système, je veux que nous soyons des personnes extérieures à son système Doutzen. Il n'est peut-être pas ton vrai père, je ne peux pas m'empêcher de trouver ça ignoble la façon dont il se sert de toi. Tu n'as pas sourcillé une seule fois avec tout ce que j'ai fait, proposer, tu... tu es si jeune et pourtant, tu as jurement vécu bien que ça ce soir... Tu n'a pas mérité tout ce que tu as vécu, tu mérites mieux... »

Aoki la gardait contre elle, dans ses bras en posant sa tête sur ses cheveux. Il n'était plus question de domination là mais... de quelqu'un, d'une présence, de la rassurer.

« Tu as du talent Doutzen, tu veux devenir une star de cinéma, tu le pourras ma chérie, je ferrais tout pour que tu réussisses ton rêve, je te le promets. Tu sais quoi ? Je ne vais pas être ta maîtresse sur la durée, enfin oui mais non. Je serais ta maîtresse jusqu'à ce que tu sois vraiment célèbre, que les producteurs s'arrachent ton nom que ce soit pour une pub ou un grand rôle ! Comme un oisillon avant son premier vol, je prendrais soin de toi de A à Z, quand tu seras une star... je ne serais plus ta maîtresse. Mais jusqu'à ce que ce jour arrive, je veux une chose de toi Doutzen, une seule chose... Je veux être l'unique maîtresse à tes yeux, l'unique personne qui te dira quand rire, quand pleurer, quand sourire, quand t’énerver, quand jouir... Je ne veux pas que Reto se serve de toi, cela a trop duré, tu as assez donné pour lui. S'il t'aime vraiment comme sa fille, il doit dire oui et te laisser prendre ton envol. Je ne te dis pas de le renier... même si personnellement, je verrais cela d'un bon œil. Je te dis juste que dorénavant, tu n'es plus sa chose... tu es la mienne Doutzen... »

C'était étrange, Aoki se montrait à la fois très protecteur et très... maîtresse justement. À la fois libre et sa possession. Elle ne savait pas sur quel pied danser... Il était évident que cet abruti de Reto ne risquait pas de lâcher Doutzen comme ça mais Aoki aimerait tant que ce soit le cas, pas pour vraiment en faire sa chose, pour qu'elle soit libre d'être une jeune femme. De vivre selon son envie. Doutzen était comme Aoki en sa jeunesse, en son opposée. Aoki avait été baigner par l'éducation, privilégiant les études avant tout le reste et Doutzen avait été un objet pour son père, pour ses affaires, faisant passer son argent avec sa « famille ».

« Je ferais en sorte que ton rêve se réalise ma chérie... »

Oui, loin de ce gros porc, quitte à ce qu'elle enfonce elle-même le couteau et le dénonce. Doucement elle passa sa main sous son menton pour lui faire redresser le visage, la regardant dans les yeux.

« Suis-je ta seule Maîtresse désormais ? »

Il est évident que désormais, elle va tout faire pour obtenir Doutzen, tant pour que son rêve devienne réalité que pour en profiter aussi. Joindre l'utile à l'agréable. Et puis en toute franchise, si Doutzen venait à refuser ses avances un jour, elle comprendrait et s'en ficherait. Elle était là pour l'aider, pas pour profiter de son corps.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 52 jeudi 15 octobre 2015, 23:13:25

Doutzen avait subi une évolution étrange, atypique. Elle était la victime de Reto, clairement, mais elle était aussi terriblement intelligente. Serait-elle née ailleurs que dans des fermes abandonnées dans un pays pauvre d’Europe de l’Est qu’elle aurait pu faire de grandes études, devenir une astrophysicienne, et gagner une grande influence. Au lieu de cela, elle était née dans un endroit pauvre, et avait été vendue par ses parents. Silencieusement, elle écoutait donc Aoki, appréciant les caresses sur ses cheveux, tout en souriant légèrement. Un tel discours aurait pu faire écho à ses oreilles il y a encore quelques mois... Quand il y avait eu l’épisode Sanderson. Alex Sanderson, un play-boy multimillionnaire, l’héritier d’un vaste empire de l’immobilier, qui avait été la cible de Reto. Quelqu’un qui avait pensé tomber amoureux d’elle, et qui, convaincu qu’il y avait quelque chose de louche chez Reto, avait tenté de la faire changer. Leur rupture avait été... Houleuse. Mais elle avait confirmé quelque chose chez Doutzen. En cela, elle pouvait remercier Alex, car, par ses tentatives maladroites de se montrer romantique, il avait confirmé aux yeux de Doutzen, non seulement ce qu’elle était devenue, mais aussi ce qu’elle voulait.

Aoki était donc à la fois dans le vrai et dans le faux en lui proposant d’être sa Maîtresse exclusive, mais en disant qu’elle ne voulait plus que Reto se serve d’elle. Doutzen ne put que sourire, amusée.

« Mon âge... Je n’ai pas dix ans, Aoki, j’approche de la vingtaine. Je ne suis plus une petite fille, loin de là. Reto m’a abusé, oui... Il n’est pas mon père biologique, mais... »

Elle haussa les épaules.

« Est-il plus moralement condamnable que mes propres parents ? Ils m’ont vendu à la Mafia pour une bouchée de pain, et j’aurais pu me retrouver prostituée dans la rue, ou être vendue à des émirs gros et gras qui ne prennent leurs pieds qu’en battant et en torturant leurs amantes. Je n’ai aucune cicatrice. Oh, bien sûr, Reto peut parfois se montrer violent et brutal, mais... Il ne franchit pas les limites. »

Cette ultime phrase tomba comme un couperet, annonçant clairement que Doutzen n’avait pas envie de jouer le couplet de la petite femme fragile.  Elle faisait, au contraire, preuve d’une lucidité terrifiante, quelque chose qu’elle avait eu du mal à expliquer à Sanderson à l’époque, ce qu’elle regrettait... Mais, avec le temps, elle avait eu tout le moment nécessaire pour faire le point sur sa propre existence, et elle se redressa, se mettant à califourchon sur le corps d’Aoki.

« Je suis élève à Mishima, déléguée de classe. Je sais ce qui se passe dans ce lycée, et même dans cette ville. Mishima, sous ses allures de lycée efficace, abrite quantité de clubs sexuels. On y baise à tour de rôle, et les délégués qui sont membres du conseil des élèves de Mishima peuvent participer à des réunions très spéciales, où on se fait subir ce que Reto me fait subir. Tu comprends, Aoki ? Toutes les atrocités que Reto m’a fait subir... À Mishima, on les fait pour s’amuser ! »

C’était une sacrée ironie ! Doutzen soupira encore, puis ses mains allèrent caresser l’une des mains d’AOki, ses doigts glissant délicatement sur sa paume.

« Je ne fais que te dire la vérité, Aoki... Reto n’est pas là pour me surveiller ou pour me dire quoi faire. Je suis son Petit Chaperon Rouge... Il vend mon corps à des sales types pour les faire chanter ensuite, car, légalement parlant, je suis mineure. Alors, oui, j’ai voulu le quitter, jadis... Mais je suis une fille lucide. Que se passera-t-il se je pars ? Reto ne pourra plus me protéger, et je suis une menace pour lui et son organisation. Ses amis n’hésiteront pas à me tuer, et à maquiller ça en incident. Que voudrais-tu que je fasse ? Que j’aille porter plainte à la police ? J’ai été sodomisée par un lieutenant de police... Et même, personne ne protègera éternellement une prostituée, et les Russes, eux, ont tout le temps. Et, quand bien même, je n’ai aucune raison de me retourner contre Reto. Il est mauvais, oui, mais il ne l’est pas autant que tous ces politiciens qui pactisent avec des dictateurs pour combattre des terroristes islamistes. C’est la même chose ici... Reto purifie la ville, à sa manière. Les gens avec qui je couche sont des sales types, des pervers, des pédophiles, des salopards qui aiment brutaliser les femmes. Reto s’assure de les briser. »

On aurait pu dire que Doutzen avait été victime du syndrome de Stockholm, ce syndrome qui avait fait que, en 1973,n suite à une prise d’otages dans une banque, on ait noté un rapprochement entre les otages et le preneur d’otages, Jan Erik Olsson. Doutzen, de son côté, continuait à parler, et finit par poser ses lèvres sur la paume de la main d’Aoki.

« Je n’ai aucune envie d’être libérée de l’emprise de Reto, Aoki. J’ai besoin de lui... Mais aussi de toi. Tu n’as pas froid aux yeux, Aoki, et... Je veux bien que tu sois ma Maîtresse, mais ça ne se fera pas au détriment de Reto. Si tu veux vraiment m’aider... »

Elle se tut un peu, consciente de l’aspect très culotté de ce qu’elle allait demander. Néanmoins, elle était prête à prendre ce risque, et, après quelques hésitations, se lâcha :

« Je veux que tu me formes, aussi bien artistiquement que... Que sexuellement. Je veux que tu te rapproches de moi, et que tu interfères auprès de Reto si jamais tu penses qu’il dépasse les bornes. Et... Hum... Disons que, si tu acceptes, on va se fixer une période d’essai d’un mois. Si, au bout de ce délai, tu n’es pas convaincue... Je reconsidérerai très sérieusement ta proposition de devenir ma Maîtresse unique. »

Doutzen reprit ensuite, après quelques secondes de silence, sur un ton nerveux et peu assuré :

« Est-ce que ça t’intéresse ? »
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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 53 lundi 02 novembre 2015, 19:30:47

Malgré le sexe de façon très pervers et poussé qu'elles venaient d'avoir, il était temps de bavarder un peu, d'être sérieuses quelques minutes, Aoki abordant le fait de vouloir la protéger, de l'avoir pour elle aussi mais de façon moins... Reto. La possédée de façon sexuelle certes mais de façon consentit, non abusive mais le dialogique ne serait pas aussi simple que cela. Doutzen appréciait Reto mais pas Aoki. Pour elle, ce « père » qui n'était pas le sien était immonde. Oui il n'y avait pas de liens de sang, non les vrais parent de Doutzen n'étaient pas mieux mais, cela restait sa « fille », Reto devait se comporter comme un père, non comme un proxénète ! Si encore il aurait été ce mafieux sans abuser de sa fille, Aoki aurait eu un peu plus de respect pour ce personnage mais pour elle, il avait dépassé les limites que Doutzen disait, au contraire, qu'il n'avait pas franchi. Enfin, cela n'était question de point de vue après tout.

Cependant elle apprenait certaines choses sur le lycée Mishima, jamais elle n'avait fréquenté ce lycée. Ses parents voulaient pour elle le meilleur et elle avait donc étudié ailleurs, dans une école privée et non ce lycée public qui semblait si... étrangement effrayant ? Elle savait que de nos jours, les jeunes étaient plus en avance mais de là à avoir des clubs sexuel secrets, c'était à la fois scandaleux et... un peu excitant aussi mais vu ce qu'elles venaient de faire, logique qu'Aoki ne soit pas en condition pour bien raisonner  à ce sujet. Mais les paroles de Doutzen étaient aussi vraies qu'effrayantes. Le pays était corrompu de bien des façons et c'est dans ce genre de moment qu'Aoki regrette de ne pas être comme les amies de Félicia. Elle lui avait parler de femme indestructible, super-forte, qui repoussait les balles comme des mouches, si seulement elle aurait été ainsi il y a quelques années, elle aurait protégé Doutzen et non lui laisser subir ça...

Gardant la demoiselle dans ses bras, elle la serrait contre elle, posant sa joue contre sa tête...

« J'aurais voulu être là pour te protéger Doutzen, sincèrement... »

Sauf que lors de son « adoption », Aoki était sûrement encore mineur pour commencer. Aoki était une grande perverse mais elle n'en restait pas moins femme avant tout et elle aurait tout donné pour la protéger à cette époque. La demoiselle venait lui proposer quelque chose qui la rendait presque « justicière » pour la protéger, durant un mois, devant arrêter Reto quand elle le pouvait. Cela risque d'en énerver plus d'un mais Aoki compte bien cesser ce cirque. Doutzen était censé être sa fille, pas son jouet. Il veut qu'elle reste à ses côtés ? Qu'il se comporte en père ! Aoki abuse d'elle ? Et alors, non seulement Doutzen le voulait mais elle n'avait pas de lien familial avec elle contrairement à celui qui est censé être son père. Cela dit, Aoki avait beau ne pas être aussi influente que Reto ou aussi doué en armes à feu, elle avait des as dans ses manches, Félicia et ses amis ne laisseront pas une jeune femme rester l’objet sexuel d'un tel homme censé être son père alors dans le pire des cas, elle avait un atout à jour pour contre-attaquer. Elle va devoir en parler avec Félicia du coup, qu'elle se tienne prête un jour...

« Tu sais que si on fait ça, Reto n'est pas prêt de profiter de toi au moins ? Comprends bien une chose Doutzen, j'ai vu ton talent, je sais qu'en te formant, tu réaliseras tes rêves, je te le garantis. Alors je ne veux pas que tu restes auprès de lui et ses fréquentations, c'est bien trop dangereux. Lui qui donne l'air de tout contrôler, si un jour il se fait dépasser par les événements et te met en danger par la même occasion ? Je pourrais pas accepter une telle chose, tu es innocente dans cette affaire Doutzen, tu n'as pas eu la chance de grandir avec quelqu'un qui devrait te protéger et non t'utiliser et te mettre en danger. Je ferais le contraire, je te protégerais Doutzen et plutôt que te tirer vers le bas, je te pousserais vers le haut. »

Aoki était prête à redoubler d'efforts pour éloigner Doutzen au plus vite de ce monde de criminels dangereux pour la pousser ailleurs. Hiollywood n'était pas mieux – quoiqu'un peu sûrement – mais en restant son agent exclusif, elle était sûre de garder un œil sur elle et la protéger comme il se doit. Mais Aoki n'avait pas que ça en tête, elle avait des choses plus douteux en tête, c'est vrai mais toujours moins pire que ce qu'elle a pu vivre...

« Puis Reto a bien trop profité de toi, ma petite Doutzen, il est temps que tu apprennes tout le plaisir qu'une femme a à t'offrir... tu seras une toute autre personne après t'avoir formé ma petite chérie... N'ai pas peur, dorénavant, je vais te protéger, ma petite Doutzen... »

Caressant autant ses cheveux que son visage, elle venait doucement l'embrasser. Qu'elle cela pour un oui à sa proposition. Il va y avoir de l'orage dans l'air à présent entre elle et Reto mais Aoki, même si elle n'était pas un exemple vu ses projets étaient toujours un meilleur choix que Reto. Il veut piéger ses ennemis ? Qu'il trouve autre chose que Doutzen. Stopper des pédophiles ? Une bonne chose mais il peut très bien engager un bon hacker qui va fouiller son pc et livrer le tout à la police pour coincer ce dégueulasse. Doutzen n'était pas la solution à ses problèmes. Il avait bien trop usé d'elle.

« Crois-moi, ta vie sera différente à mes côtés... »

Très différente, oui. Elle n'allait pas la forcé à détester Reto, ça ne servirait à rien mais elle pouvait toujours lui montrer combien son monde était mieux que celui de son « père ». Il faudra qu'elle ait une discussion plus privée avec lui aussi, à ce sujet, qu'elle montre qu'elle n'est pas si piégée que ça, elle aussi à des cartes à abattre mais si elle les abats, il n'y aura pas de second round.

« Souhaites-tu un peu de douceur ou bien encore un peu de domination ? »

Elle était prête à reprendre leur jeu ou à continuer sur cette douce longueur.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 54 dimanche 08 novembre 2015, 16:44:59

Il y avait comme une sorte d’incompréhension entre les deux femmes, une incompréhension qui tournait autour de Reto Kroes, son « père » adoptif. Un homme qui avait abusé d’elle, un homme qu’elle détestait. Reto avait abusé d’elle à maintes reprises, il l’avait prostitué, utilisé comme un Petit Chaperon Rouge… Un homme détestable… Mais aussi un homme puissant, influent, dangereux, et les explications de la jeune Doutz’ n’avaient visiblement guère convaincu Aoki, qui lui expliqua qu’elle comptait la protéger, la hisser vers le haut… Doutzen entendait tout cela, bien sûr, mais les explications de la jeune femme la convainquirent qu’elle n’avait pas saisi certaines choses. Elle goûta néanmoins à son baiser, puis Aoki lui demanda si elle comptait faire de la douceur… Ou opter davantage pour son rôle de Maîtresse. La jeune femme se mordilla les lèvres, et lui répondit :

« Non, Aoki… Je… Tu ne comprends pas… Reto ne me tire pas vers le bas. Il… Il souhaite vraiment que je devienne une actrice, que… Que je progresse. »

Est-ce que Reto l’aimait ? C’était une question dont la réponse était difficile. Voyait-il simplement en elle une prostituée à utiliser pour piéger les autres ? Il ne pouvait pas vraiment la considérer comme sa fille, car ils faisaient régulièrement l’amour ensemble. Doutzen, en toute honnêteté, s’était à de maintes reprises demandé ce que l’homme ressentait pour elle, sans jamais réussir à avoir une réponse claire. C’était toujours quelque chose de très compliqué, et ça l’était encore plus avec un homme comme Reto, qui était, par nature, très changeant.

« Je ne veux pas que tu te heurtes à lui, Aoki. Reto m’a fait des choses horribles, je le sais, mais… Le monde est ainsi. Si ça n’aurait pas été lui, ça aurait été mes camarades ou mes professeurs à Mishima. J’ai couché avec plusieurs de mes profs, Aoki. Qu’est-ce qui rend ça moins acceptable que ce que Reto me fait ? Ou ce que tu me fais ? Soyons honnêtes, Aoki… Je ne crois pas que ton contrat t’autorise à coucher avec des élèves, encore moins si elles sont mineures… »

Au Japon, la majorité civile était à 21 ans, et, même si la majorité sexuelle était à 13 ans, Doutzen n’était pas sûre que des juges auraient pu faire une différence. Légalement parlant, Aoki avait couché avec une mineure. Alors, elle pouvait continuer à jouer la moralisatrice, mais Doutzen n’était pas dupe. Reto lui avait enlevé son innocence, il lui avait montré que le monde n’avait rien de féérique, et que le sexe en avait une place prépondérante.

Doutzen esquissa donc un léger sourire, presque désabusé, tout en restant contre Aoki, mains posées sur ses épaules :

« Reto m’a éduqué… Je le déteste, mais je lui suis reconnaissante. Il m’a montré que, peu importe nos talents, la beauté d’une femme reste toujours l’élément prépondérant. Il m’a montré comment m’en servir, comment l’utiliser. Si je veux devenir actrice, c’est une chose que je dois apprendre à faire. Tu sais… »

Elle se tut un peu, se pinçant les lèvres, avant de reprendre :

« J’ai toujours voulu ressembler à Marilyn Monroe. Je la voyais comme mon idole… Et j’avais raison. Crois-tu que le succès de Marilyn est dû à son talent, ou à sa beauté ? C’est une sex-symbol. Le monde entier est hypocrite. On nous bassine depuis l’enfance qu’on se fout du physique, mais c’est la seule chose qui importe. Tous ces mecs que j’ai embobinés, tous ces pervers et ces pédophiles, je n’aurais pas pu le faire si Reto ne m’avait pas montré de quoi le monde était réellement fait. »

Est-ce qu’Aoki comprenait où elle voulait en venir ? Elle ne faisait concrètement que répéter ce qu’elle avait déjà eu l’occasion de dire il y a quelques minutes, mais sous un angle différent.

« Je ne veux pas choisir entre toi et lui… Tu es ma Maîtresse, il est mon père, et c’est comme ça. »
DC d’Alice Korvander.

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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 55 mardi 24 novembre 2015, 20:07:11

Doutzen se heurtait à un mur, Aoki n'arrivait pas à avaler le fait qu'elle puisse ne serait-ce que pardonner à son père. Oui ses parents biologiques n'étaient pas mieux, oui, elle aurait pu avoir pire ailleurs mais... de là à se dire que c'était « normal » ? Non, ça, elle avait beau tenter de l'avaler, elle finissait par le recracher avec sa bile. Elle tentait de comprendre, d'accepter mais c'était plus fort qu'elle, elle n'y arrivait pas. Doutzen avait beau avoir de bons arguments, elle n'y arrivait pas, tout simplement. Elle la laissa parler encore et encore, se rendant compte que même en lui montrant par A plus B que sa situation n'était pas acceptable pour elle, elle ne voudrait rien entendre. C'était peut-être juste à cause du fait que Reto était le « père » de Doutzen qui bloquait tant Aoki ? Ce serait un simple mafieux qui est accroché à Doutzen ou elle qui s'accroche à lui... une sorte de syndrome de Stockholm mais là... Comment lui faire comprendre simplement ce qu'elle pense ? C'était inule. Aoki resserrait l’étreinte de ses bras, laissant la jeune femme contre elle, lui baisant les cheveux en enfonçant le clou une bonne fois pour toutes.

« Alors faisons comme ça, Doutzen. »

Elle restait sa maîtresse, il restait son « père ». Gardant la tête de la jeune femme contre son sein, elle continuait de la câliner, sans prononcer le moindre mot. Il est évident que cette discussion devrait rester sous terre le plus souvent possible et éviter d'en parler, Aoki était parfois vraiment têtu alors, restons en là. Ce petit câlin était le point final à cette discussion, Aoki restera sa maîtresse et fera d'elle une star, comme promis mais il ne vaudrait mieux pas jouer avec le feu. Après quelques minutes de tendresse, elle levait sa main, redressant le menton de sa petite Doutzen pour lever ses lèvres et venir l'embrasser doucement, pas de maîtresse à la cravache pour le moment, juste une douceur infinie avec elle... une douceur qui va rapidement virer à la perversion avec la belle Japonaise.

Rapidement, ce doux baiser avait un goût de luxure... Aoki qui avait gardé sa main sous le menton de son élève lui tirait doucement le menton pour lui faire ouvrir sa bouche, ouvrant la sienne pour laisser leur baiser au grand air. Gardant un œil sur elle, elle cessa de l'embrasser sans pour autant fermer la bouche de la demoiselle.

« Alors, où en étions-nous ? Hum ? »

Sans lui faire quitter son corps, sans lui faire fermer la bouche, elle crachait dans la sienne, sans pour autant être violente, accumulant la bave sur ses lèvres pour lui cracher dans la bouche. Pourquoi ? Elle était sa maîtresse alors elle fera ce qu'elle lui demande, sans rien dire. Le B.A.BA d'une esclave sexuelle après tout. Aoki était affamé, venant lécher ses lèvres et sa langue avant de lui refaire un vrai baiser, lèvres contre lèvres.

« Viens me faire jouir... »

Et hop, le train était de nouveau en marche !

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 56 vendredi 27 novembre 2015, 13:16:20

Doutzen, en toute honnêteté, ne voyait pas en quoi son raisonnement était compliqué à comprendre. Reto était dangereux, certes, mais, à sa manière, il voulait le bien de Doutzen. Autrement, il n’aurait jamais laissé la jeune femme suivre des cours de management et de théâtre. À sa manière, Reto voulait faire amende honorable sur ce qu’il lui avait fait subir, et Doutzen était intelligente... Suffisamment pour savoir qu’il n’était pas dans son intérêt de partir, de fuguer. De fait, si elle avait vraiment voulu fuir l’emprise de Reto, elle aurait eu quantité d’occasions de le faire. Aoki avait du mal à le réaliser, et Doutz’ pensait que c’était parce qu’elle ne vivait pas au quotidien avec Reto, et qu’elle avait donc une vision biaisée. Doutz’ avait essayé d’être la plus claire possible, en lui expliquant que, si Aoki voulait vraiment l’aider, le meilleur moyen était de se rapprocher de Reto.

Semblant comprendre qu’elle n’arriverait pas à faire changer la jeune femme, Aoki finit par admettre, brièvement, qu’elles feraient  « comme ça », sans en dire plus... Ce qui était à la fois frustrant et encourageant. Doutz’ sentit ensuite le sein d’Aoki, et soupira contre ce dernier, mais elle sentait bien que, dans les deux parties, le cœur n’y était plus vraiment. Il y avait un abcès à crever, et, si Doutzen avait réussi à s’en sortir sans devenir folle, c’était bien parce qu’elle ne cachait jamais rien. Cependant, Aoki n’avait visiblement pas envie de discuter, car, après ce contact sur sa poitrine, leur jeu sexuel reprit... Et Doutzen se mit à rougir pendant leur baiser, quand elle sentit clairement Aoki lui... Lui cracher dessus !

La salive de sa Maîtresse filait en effet dans sa bouche, et les yeux de Doutzen s’écarquillèrent de surprise... Puis elle gémit silencieusement, puis elle lui ordonna ensuite de la faire jouir. Doutzen restait là, face à elle... Elle avait encore l’occasion de revenir sur leur conversation, ou de reprendre les choses sérieuses... Choix difficile ? Pas vraiment ! Un sourire vint illuminer ses lèvres, et elle hocha la tête.

« Oui, Maîtresse... Je suis à vos ordres... »

Aoki avait visiblement envie d’être une Maîtresse... Ou, plutôt, d’en redevenir une. Elle aussi, elle avait quelques histoires à raconter, visiblement ! Doutzen se pencha donc, et glissa sa tête entre les cuisses de la femme. Elle portait encore ses longs collants, ainsi que sa culotte, et, si Doutzen aurait pu la retirer, elle choisit de ne pas le faire. Elle était obéissante, et, dans la mesure où Aoki ne lui avait donné aucune instruction de ce type, elle n’allait pas agir autrement que comme une esclave dévouée et perverse.

En se raclant donc la gorge, elle se pencha vers la culotte, et entreprit de la lécher, relevant parfois les yeux pour observer le visage de sa Maîtresse... Puis ses mains se posèrent délicatement sur les cuisses de sa Maîtresse, et elle continua à lécher, à hauteur de son intimité, sa langue remuant sur ce morceau de tissu. Doutzen savait les Japonais fétichistes, et c’était un fantasme qui avait déteint sur elle.

« Hmmmm-mmmhhmmmm... »

Lentement, elle continuait à lécher l’intimité de la femme, y allant néanmoins de plus en plus vite...

...Pour la faire jouir !
DC d’Alice Korvander.

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Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 57 jeudi 17 décembre 2015, 20:48:50

C'était une chose difficile à comprendre pour Aoki, cette histoire père-fille-inceste. Si encore ce serait qu'un pervers qui jouerait à ce genre de jeux avec Doutzen de façon consentante, elle serait plus clémente. Ce rejet était sûrement dû au fait que, même adoptif, ça restait vraiment son père et... il abusait de sa fille. Enfin bon, l'heure n'était plus à ça, elle comptait accepter ça tôt ou tard, avec Doutzen ou Reto, elle verra, peut-être même que Félicia pourra l'aider à comprendre ça ? Mais pas pour le moment. Aoki montrait bien un stéréotype qui était loin d'être abusé, les Japonais sont de sacrés pervers, elle le prouvait bien. Pourquoi cracher dans sa bouche ? Simple envie, à défaut d'être un homme et d'avoir un peu de « lui » en elle, elle avait à présent un peu « d'elle » en elle. Puis avouons-le, c'était sacrément excitant ! En général, elle faisait surtout ça sur les lèvres intimes mais... eh bien dans la bouche, elle ne l'avait encore jamais fait avec quelqu'un comme Félicia, Doutzen était donc chanceuse.

S'abaissant, elle venait se diriger sur sa culotte, venant lécher la surface, sa petite langue épousant les petites bosses et autres recoins cachées par le tissu. Mystérieux et pourtant commun, ce royaume était encore à découvrir pour la petite Doutzen mais elle en profitera, ça oui, c'était une promesse. Mais une chose à la fois, il ne faut pas croquer la pomme trop vite. Aoki observait sa petite Doutzen, si elle l'aurait rencontré avant Félicia, Chatte Noire ou non, elle serait sûrement rester sa chose exclusive en dehors de la femme qu'elle aimait. Mais si elle s'en serait privée, elle aurait été sûrement celle qu'elle regrettait le plus. Ses mains caressaient ses cheveux alors qu'elle soupirait doucement, la jeune femme caressait son sein en la regardant faire ce travail, c'était bien agréable. La Japonaise léchait son index avant de le poser sur le nez de son élève, pressant doucement dessus pour lui demander de reculer son visage. Qu'elle regarde sa culotte ou Aoki, elle avait le choix alors que sa main descendait sur sa culotte. Elle pinçait le contour du tissu avant de tirer doucement dessus, de plus en plus fort, le tissu s'étirait pour laisser à découvert un peu de sa peau, laissant un long trait de tissu qui cachait toujours l'essentiel.

« Alors Doutzen ? Vas-tu goûter ma peau à cet endroit si intime... Ou bien tu vas continuer de lécher cette ravissante culotte ? »

Peut-être la lui fera-t-elle porter ensuite ? En espérant qu'elle ne soit aps trop large pour elle ? Au pire, ça fera un bon bâillon pour retenir ses cris. Le jeu était simple mais il privait à la fois du plus important si elle voulait lécher sa peau. Et elle laissait le plus important si elle visait le tissu. Dans cette ligne, il y avait ses lèvres mais aussi son petit bonbon... voilà qui va lui donner envie.

« Tu veux que je tire encore un peu dessus, coquine ? »

Reste à savoir qui était la plus coquine des deux mais pour le coup, c'était sûrement Aoki, y a pas photo. Si la pauvre savait tout ce qu'elles vont faire dans cette chambre, Aoki risque de la surprendre et de la fatiguer à bien des égards ce soir.De sa main de libre elle lui caressa la joue en lui offrant un sourire presque innocent, comme sa voix douce et mielleuse et pourtant, ce qu'elle sortait était aurait étonné bien des prudes...

« Maintenant, déchaînes-toi sur ma chatte, d'accord ? »

Elle voulait voir comment allait s'en prendre sa petite Doutzen ? Façon douce ou bien en se déchaînant dessus ? Que de surprise.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 58 mardi 22 décembre 2015, 01:55:24

Avec Aoki, Doutzen pensait avoir trouvé sa véritable maîtresse en manière de sexe. Oh, des pervers, elle en avait rencontré plein. Les fétichistes, les sodomites, et les hommes aimant les fellations (les « fellationistes » ? Doutzen ne savait pas trop comment les appeler) étaient légion, mais, dans cette foule, il y avait aussi des ondinistes, hommes ou femmes. Il était fréquent qu’un homme, ou qu’une femme, lui demandent de boire son urine. Doutzen trouvait ça dégoûtant, même si, entre-temps, elle avait appris que, contrairement à une idée reçue, l’urine était loin d’être aussi désagréable pour le corps humain que ce qu’on pouvait penser. Au contraire, l’urine avait même des vertus curatives. Il existait même une pratique consistant à boire sa propre urine pour entretenir sa santé : l’amaroli ! Doutz’ le savait, car elle avait vu la page Wikipedia qui en parlait... Alors, ça relativisait un peu, même si ça ne rendait pas la scène moins dégradante. Doutzen avait donc connu bien des pervers, mais, avec Aoki, il y avait cette espèce de douceur et d’assurance innée, ce mélange de tendresse, d’autorité, d’amour et de fermeté, le tout gravitant autour d’une forte dose de perversion, qui faisait que Doutzen se sentait toute excitée. Elle avait rarement ressenti une telle attirance envers quelqu’un d’autre, et, en voyant la culotte toute trempée de sa Maîtresse, elle déglutit lentement.

Les joues légèrement rouges, Doutzen voyait cette dernière tirer sur sa culotte, afin de dévoiler l’accès à sa chatte... Puis sa belle Maîtresse blonde l’invita ensuite à venir lécher sa chatte, ou, plutôt, à se « déchaîner » dessus. Doutzen, en tant qu’esclave attentive, écouta silencieusement, et hocha la tête de haut en bas.

« Bien, Maîtresse... »

La discussion avec Reto avait disparu pour le moment, ne laissant plus que leur perverse relation. Doutzen se pencha donc rapidement, et vint enfoncer rapidement un doigt en elle, jusqu’à sentir son bouton de plaisir, qu’elle pressa, en se mettant à remuer. Son autre main s’appuyait sur l’aine de Maîtresse Kou, avant de caresser sa peau, puis elle vint lécher son sexe, fourrant sa langue à l’intérieur, et lécha rapidement, en gémissant et en soupirant, tout en alternant avec ses doigts.

Elle agissait comme sa Maîtresse lui avait dit...

En espérant que ça lui plairait !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Future étoile [Aoki Kou]

Réponse 59 vendredi 29 janvier 2016, 22:22:57

Aoki tenait sa chose entre ses mains, laissons de côté les détails et les soucis qui peuvent ruiner cette soirée, laissons plutôt parler le sexe et rien d'autre que ça. D'autant plus qu'elles n'avaient pas toute la nuit devant elles, la soirée à peine, elle ne comptait pas la maintenir ici jusqu'à tard dans la nuit. Doutzen était son élève, pas son amante et passer la nuit ici ferait mauvais genre. Passe encore en privé chez elle mais ici... non, bien trop risqué. Sa culotte était étirée entre ses jambes, même ainsi, très coquine, Aoki ne laissait pas le plus important être dévoilé. Son dessous délicat était tiré, ne formant qu'une fine ligne de tissu mais une ligne qui cachait quand même le plus important, eh oui. Son élève observait cela avant de passer à l'attaque en venant retirer cela pour s'attaquer à ce qu'il y avait de mieux. Bien visé...

« Voilà ma jolie... Lèche bien surtout... »

Qu'elle y mette tout son cœur, c'est important. Une main maintenait sa culotte, la seconde offrait une caresse sur la tête de Doutzen, c'était une brave petite quand elle y mettait du sien, c'est évident. Ses doigts caressaient doucement ses cheveux, un peu comme un chien, oui mais un chien sexy alors. Elle s'y prenait bien, elle léchait doucement, ses doigts s'y mettaient aussi, Aoki gémissait doucement en la laissant faire, la Japonaise approchait doucement de l'orgasme mais il y avait encore du chemin avant d'en arriver là. Pour le moment, elle savourait ce moment de douceur en lui rendant la pareille...

« Tu vois ? Elle est bonne ma petite chatte... et si tu fait du bon travail, tu auras le droit de la manger autant que tu le voudras, huuuum... »

Et inversement, si elle faisait mal son travail, ce sera une Aoki plus stricte et plus sévère qui lui fera face. Lui offrant avec joie ses lèvres intimes mais en la traitant comme un chiotte sexy, pissant sur ou en elle. S'amusant à claquer ce superbe cul qu'elle avait, lui montrant les délices de la douleur jusqu'à son paroxysme ! Mais inutile de l'inquiéter avec ça, la jeune femme la laissait continuer sur ce chemin pour le moment, tant qu'elle avait son plaisir, c'est ce qui comptait.

« Laisse mon minou tranquille deux secondes et fait moi rêver... Qu'est-ce qui a été ton meilleur coup ? Que ce soit avec ton ou ta ou même tes partenaires ? Quelle position, combien de temps, combien d'orgasme ?! Fait moi voir à quel point tu aimes être salope... »

Rien de mieux que de savoir certains détails croustillants pour savourer plus encore cet ébat. Elle continua de la caresser, de même qu'elle était libre de continuer avec ses doigts en lui racontant ses cochonneries, Aoki attendait d'entendre avec joie ce qu'elle avait vécu dans sa petite vie...


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