Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Amy Chikako

Invité

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jeudi 16 janvier 2014, 20:03:34

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« Modifié: lundi 04 décembre 2023, 14:26:28 par Kõya Breathless »

Poison Ivy

Créature

Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 1 vendredi 17 janvier 2014, 01:04:53

Juan quitta pesamment la classe, aussi soulagé qu’un nouveau-né.. Sans doute pensait-il que Pamela ne l’avait pas vu, mais l’homme avait eu bien du mal à se concentrer durant l’oral. Avant-dernier candidat, il avait passé après une foule d’érections et d’hommes en rut. Affronter Ivy lors d’un oral était terrible, car la sévérité de cette belle Occidentale se muait avec le charme fou qu’elle émettait, charme naturellement mis en avant par sa beauté légendaire, mais accrue davantage par les spores aphrodisiaques que son corps émettait continuellement. Juan avait réussi à livrer un bel exposé, tout en bafouillant sur place, en résistant à retirer son col de cravate, et en louchant sur les seins de sa senseï à plusieurs reprises. Ivy avait exigé qu’il se tienne bien de bout, et avait feint de ne pas voir sa belle érection. Ayant trouvé son exposé plutôt convaincant, Ivy l’avait soulagé en le masturbant, glissant sa main gantée sous son pantalon après son exposé, et l’avait caressé ainsi, jusqu’à ce qu’il éjacule dans son pantalon. Un baiser avait scellé cet entretien, et l’homme était parti, tout heureux.

La dernière élève à passer était Amy Chikako. Un choix volontaire. Pamela savait qu’elle était aveugle, et elle avait estimé logique de la faire passer en dernier, afin qu’elle ait le temps de mieux se préparer, de pouvoir se lever le matin à une heure décente. Amy était aussi belle que douée, et Pamela trouvait assez injuste qu’elle soit aveugle, quand on voyait sa redoutable beauté. Les hommes devaient sans cesse lui tourner autour, et, pour le coup, il était juste d’estimer qu’elle ne voyait rien. Pamela préférait donc la passer en fin de journée, quand elle était plus tolérante, moins stricte. D’un œil distrait, elle contempla ses notes durant les oraux, ainsi que la notation provisoire qu’elle avait attribuée à ses élèves. La meilleure note était, pour l’heure, un 11/20, ce qui, concrètement, correspondrait à un 15/20 chez un autre professeur moins strict qu’elle. Cependant, avec Ivy, la moindre petite faute en biologie, même bénigne, prenait de fortes proportions. Au Japon, elle ne recevait aucune critique, car les Japonais trouvaient plutôt intéressants d’avoir une senseï stricte, et avaient tendance à gronder leurs enfants pour qu’ils travaillent mieux. Aux Etats-Unis, elle aurait déjà été assignée en justice pour acharnement pédagogique, ou n’importe quel autre chef d’inculpation puéril.

Attendant une petite minute après le départ de Juan, Pamela ne vit toujours pas Amy arriver. La jeune femme étant aveugle, Poison Ivy se releva, tout en défaisant sa blouse. À chaque chose, malheur est bon, et le handicap d’Amy lui permettait au moins de ne plus avoir à porter sur son corps de rêve cet affreux vêtement synthétique. Au lieu de ça, elle était nue. Son corset végétal avait disparu, donnant à sa peau une teinte verte. La plante de ses pieds foulait le sol, et elle s’avança lentement, telle une nymphe. Elle ouvrit la porte, mais ne vit personne dans le couloir... Et réalisa alors que la porte de son laboratoire était entrouverte, et que des petits cris plaintifs s’en échappaient.

*Merde, elle s’est trompée de porte ! Pamela, ça, tu aurais du le voir !*

L’arrière-salle de la salle de cours de Pamela était son petit laboratoire personnel. Il n’était pas bien grand, et c’était là qu’elle utilisait le matériel du lycée pour mener ses recherches. Si un expert comptable s’était renseigné au budget du département scientifique du lycée, il aurait vu que le coût était anormalement élevé. Malgré la taille rudimentaire de ce laboratoire, l’équipement était digne d’un laboratoire d’université. Mishima était un lycée particulièrement riche, sous la sage administration de leur mystérieuse directrice.

Pamela fila à l’intérieur, et constata que l’une de ses plantes, en sentant de la chair fraîche, s’était réveillée. Ses tentacules étaient déployés. Il y avait plusieurs plantes dans le laboratoire, et, surtout sur la gauche en entrant, plusieurs grosses temples, suffisamment grandes pour englober une personne de taille adulte. Ces grosses cosses étaient les générateurs de sa serre. Ivy avait réussi à faire muter ses plantes à l’aide d’une sève récupérée dans une forêt magique sur Terra, mais cette sève fonctionnait avec les fluides sexuels. Depuis toute la journée, elle n’avait pas pu abreuver ses plantes, et cette dernière s’attaquait donc à la jeune femme, avec uen technique qu’elle connaissait bien.

Ivy vit plusieurs tentacules verdâtres, légèrement gluants, s’enrouler autour des chevilles et des poignets d’Amy, écartant ses membres, tandis que d’autres sortaient du sommet de la plante, où un trou se creusait, pour lui arracher ses vêtements. Elle finit ainsi rapidement en sous-vêtements rouges, et les tentacules glissaient sur sa peau, l’enveloppant. Un autre tentacule s’approchait, l’extrémité en forme de seringue. Quelques gouttes s’en échappaient, et il se rapprocha de la nuque d’Amy, et se planta en elle, diffusant un aphrodisiaque, destiné à calmer ses hurlements.

Poison Ivy intervint alors, en refermant sagement la porte derrière elle.

« Je crois que tu t’es trompée de pièce, Amy... », résonna la voix de Pamela.

Les tentacules l’immobilisaient et la pressaient, tandis que d’autres se rapprochaient.

« Rassure-toi, cette plante ne te veut aucun mal... »

Elle doutait qu’Amy soit encore en l’état de pouvoir l’écouter. Cet aphrodisiaque était une sorte de concentré de ses propres spores. Il était donc particulièrement efficace.
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 2 dimanche 19 janvier 2014, 01:56:38

« Ma… Madame… C’est-vous ?... Aidez-moi Madame…
 -  Mais c’est justement ce que je fais... » rétorqua l’intéressée.

Elle s’avança lentement vers la scène. Les tentacules de la silencieuse plante continuaient à s’affairer. Amy avait beau se débattre, elle ne pouvait pas se défaire de cette emprise. Pamela aurait pu, en se forçant, contraindre la plante à relâcher son proie, mais, maintenant que sa plante était excitée, elle était comme un mâle en rut. Il fallait qu’elle jouisse, qu’elle se laisse aller. La Nature, contrairement aux êtres humains, ne connaissait pas la retenue. La plante avait un désir, et elle ne comprendrait tout simplement pas qu’on puisse s’y dérober. Si Ivy récupérait Amy, la plante risquait de s’énerver, et de devenir incontrôlable. Tout en s’avançant, nue, Pamela se demandait si le fait qu’elle n’ait pas verrouillé la porte n’était pas une sorte d’acte manqué... Comme si elle avait inconsciemment entretenu l’espoir que la belle Amy réussirait à y entrer.

La jeune lycéenne était terrifiée, Pamela le sentait... Mais elle sentait aussi le plaisir commencer à naître. Les seins opulents et généreux d’Amy se tendaient, son corps se mettait à se détendre, ses muscles à se décrisper. Sa culotte semblait s’humidifier. Les tentacules immobilisant Amy continuaient à agir, et Pamela se glissa dans le dos de l’intéressée. Elle avançait lentement, et pressa ses seins contre son dos, tout en caressant ses hanches avec ses mains. Pamela l’embrassa ensuite dans le creux du cou, léchant sa belle peau, la mordillant.

« Voilà, Amy, détends-toi... Tu ne crains rien, absolument rien... Ma plante ne te fera jamais de mal... Pour être honnête, je comptais même t’emmener ici, afin de te récompenser, et te montrer toute mon affection... Tu m’as devancé... »

Si proche d’elle, Ivy pouvait la renifler, lécher sa peau, tout en laissant son aphrodisiaque se répandre, renforçant l’excitation de la jeune femme, contrebalançant sa peur. Pamela ne pouvait pas non plus se retenir. La délicieuse mutante, depuis qu’elle était arrivée à Seikusu, avait vu son appétit sexuel, déjà fort, s’aggraver encore plus, s’intensifier, au fur et à mesure qu’elle confectionnait des plantes sexuelles. À Gotham, elle était déjà une perverse, mais Seikusu n’avait absolument rien arrangé. Au contraire, même.

« Tes seins ont l’air tellement lourds... Laisse-moi donc les mener à l’air libre... »

D’une main calme et experte, Pamela retira le soutien-gorge, et massa avec chacune de ses mains les lourds seins de sa partenaire. Elle en prit un dans chaque main, les pressant à hauteur des tétons, tandis que ses propres seins se durcissaient. Cependant, la plante se focalisait surtout sur Amy, et des tentacules-verges heurtaient sa culotte, à l’emplacement de son intimité. La jeune femme avait beau être paniquée, l’aphrodisiaque dans son corps faisait merveilleusement effet, la délurant progressivement. Amy ne pouvait pas le voir, mais deux tentacules spéciaux se rapprochaient de ses seins. Des espèces de langues pointaient à l’extrémité des deux tentacules, jusqu’à former une myriade de petits tentacules qui allèrent remplacer les doigts de Pamela. Ils pressèrent les deux seins de la jeune femme, les tirant de part et d’autre de son corps. Pamela glissa alors sa main sous la culotte d’Amy, et caressa son intimité, avant de la doigter.

Tout ça était très rapide, mais la Nature n’avait pas pour habitude de s’embarrasser de préliminaires. Ivy aurait préféré, dans l’absolu, mettre Amy en confiance, en lui faisant passer un oral, et en lui offrant, par la suite, une récompense. Mais bon, maintenant qu’elles y étaient, il était trop tard pour reculer.

« Laisse-toi faire, Amy, cette plante ne veut que ton bien... »

Est-ce que ce serait suffisant pour la rassurer ? À sa place, Pamela aurait, en réalité, bien du mal à ne pas paniquer !
« Modifié: jeudi 06 mars 2014, 19:30:52 par Poison Ivy »
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 3 vendredi 07 mars 2014, 02:25:10

« Oui… Madame ! Encore… »

Cet encore, voilà qui faisait plaisir à entendre. Tout le reste était superflu, maintenant. La petite aveugle avait craqué, et Ivy ne pouvait que la comprendre. Comment dire non à ce qu’on lui offrait ? Elle était là, déshabillée, n’ayant plus qu’une culotte pour recouvrer son corps magnifique, ses bras et ses jambes entravés par des tentacules verdâtres, une nymphe dans son dos. Pamela se délectait de ça. Elle soupçonnait qu’être transformée en Poison Ivy avait réveillé en elle ses longues années de frustration sexuelle. Quand elle était étudiante, elle ne se mettait pas vraiment en valeur, et, inconsciemment, compensait son manque d’activité sexuelle par un acharnement au travail et à la recherche tenant du fanatisme idéologique. Pamela avait été ainsi, dévouée au travail, acharnée, et, depuis cet incident, qu’elle voyait maintenant comme un véritable don, elle avait laissé libre cours à ses pulsions sexuelles, et estimait qu’il en allait de son rôle de professeur d’aider ses élèves à se libérer, et à se laisser aller. L’adolescence était l’âge rêvé pour faire l’amour. C’était l’âge de l’insouciance, mais aussi, et surtout, l’âge de la beauté. L’âge parfait pour coucher avec ses petits camarades, et elle estimait qu’il était le rôle des professeurs de les éduquer.

Avec Amy, la logique était un peu différente. Par une quelconque ironie cruelle du sort, il avait fallu que cette beauté soit aveugle, et Ivy voulait lui faire l’amour, presque comme si elle était la porte-parole de la Nature, et qu’elle voulait lui offrir des excuses à retardement. Après tout, Ivy se considérait comme plus proche de la Nature que de l’humanité, et ce quand bien même elle considérait que les deux étaient liés.

« Là, ma belle, là... Laisse-toi aller... »

Ivy l’embrassa dans le cou, tout en continuant à la doigter, fourrant deux doigts dans son intimité. D’autres tentacules s’étaient rapprochés, se frottant contre le corps de la femme, vibrant contre ses hanches, l’enlaçant à hauteur de l’estomac. Ils étaient gluants, laissant une sorte de liquide saliveux sur la belle peau de cette femme. Un autre tentacule vint ainsi s’enrouler autour de sa nuque, mais tout était parfaitement maîtrisé, contrôlé par la belle plante. Elle offrait à Amy un voyage dans le pays des plaisirs éternels, et, tout ce que cette dernière avait à faire, c’était à se laisser bercer.

« Vois ça comme une sorte de rêve... De fantasme éveillé, et laisse-toi bercer... Tu n’as pas envie que ça s’arrête, tout ce que tu souhaites, c’est que je continue... Et je continuerais, ma puce, ne t’en fais pas pour ça. »

C’était une promesse qu’elle lui faisait, et Pamela tenait toujours ses problèmes. Pendant quelques temps, elle continua ainsi à titiller l’intimité de sa belle partenaire, la sentant peu à peu s’humidifier, et, quand le bout de ses doigts fut recouvert de cette délicieuse mixture intime, elle les retira de la culotte, laissant alors un tentacule revenir. Ce dernier tapa contre la culotte, s’enfonçant contre cette dernière, en éprouvant la solidité. Il agissait exactement comme s’il voulait la pénétrer, sans pouvoir le faire, répandant sur la culotte ce liquide qui accompagnait les tentacules.

Dans un sourire, Ivy aventura ses doigts, remontant le long du ventre d’Amy, caressant sa belle peau, et les approcha de ses lèvres.

« Tiens, Amy... Bois donc. Goûte ton propre nectar. »

Le bout de ses doigts titillait les lèvres d’Amy. Il était maintenant certain, pour Poison Ivy, qu’elle allait la guider dans son antre. Amy le méritait, et, ainsi, Ivy aurait le temps nécessaire pour pouvoir s’occuper pleinement d’elle.
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 4 samedi 08 mars 2014, 02:04:09

Lentement, la bouche d’Amy alla gober les doigts joueurs de Poison Ivy. C’était exactement ça... La belle aveugle se laissait aller. Ivy y avait été rapidement, de manière assez intense, mais Amy finissait par s’y faire. Nul doute que, si Ivy n’était pas rapidement entrée dans son laboratoire, Amy aurait hurlé en vain, et n’aurait pas fini par apprécier ce cadeau. Heureusement que la belle plante était réactive ! Elle avait su réagir à temps, et, maintenant, tout ce qu’Amy avait à faire, c’était à se laisser aller. Entre ses cuisses, un tentacule continuait à se presser, comme pour continuer à la titiller, à la provoquer, et à l’exciter davantage. Le tentacule sentait la mouille de la jeune femme, son nectar intime, et ce liquide renforçait son geste. Il n’attendait qu’un geste, un signe de sa créatrice, pour la défoncer, mais Ivy était alors occupée par la bouche d’Amy. La jeune femme, lentement, suçait, léchait, et se laissait aller.

« Madame merci… Merci de me faire goûter à ce plaisir. »

Ivy n’était pas encore assez insensible pour ne pas apprécier ce compliment. Elle sourit lentement, en récupérant ses doigts, et caressa les belles hanches de sa partenaire, continuant à rester dans son dos, l’embrassant à nouveau sur la nuque. Amy s’y faisait, et c’était tout ce que Pamela voulait. Elle se dévouait pour ses élèves, et c’était bien normal. Amy le méritait, et c’était vraiment une injustice cruelle qu’elle ne puisse pas voir ce qu’elle subissait.

Comme si Amy lisait dans son esprit, l’heureuse humaine réussit à parler, alors que ses seins étaient toujours ponctionnés par des tentacules assoiffés de sexe :

« Madame… Pouvez-vous me décrire comment vous êtes. Votre posture. S’il vous plaît. Mais aussi la plante qui glisse sur moi. Tout cet univers qui me fait tant de bien. »

Pamela hocha lentement la tête, et se blottit contre le dos d’Amy, enfonçant ses seins contre sa peau, tout en posant ses mains sur son ventre, la ceinturant, caressant sa belle peau trempée. Des tentacules continuaient à remuer sur elle.

« Comment te dire... Tu es dans une petite pièce sombre... La porte est fermée. Il y a quelques grandes tables qui me servent à faire mes expériences, avec des plantes, des néons lumineux éteints, et tout ce qu’on trouve dans un laboratoire de chimiste : des livres remplis de formules, des tubes à essai, ce genre de choses... Visualise ce décor, Amy, laisse parler ton imagination, ma belle... Moi ? Et bien, moi, je suis ta prof’, une femme avec une longue chevelure de feu, et, comme tu peux t’en douter, vu mes plantes, je ne suis pas totalement humaine. Oh, ne t’en fais pas, je ne te mangerais pas, ou quoi que ce soit. Je ne veux que ton bonheur, ton épanouissement personnel et sexuel. Je suis toute nue, et je me presse contre toi... Sens-tu mes seins ? Ma peau est douce comme la nature, et tu auras l’occasion de l’embrasser et de la caresser... »

Ivy hésitait à lui dire qu’elle était de couleur verte. Si Amy était aveugle de naissance, les couleurs ne devaient pas lui parler. Qu’est-ce que le vert, le jaune, le rouge, le beige, le bleu, quand on ne voyait pas devant soi ? Des mots indistincts, des paroles frustrantes... Pamela remisa donc cette idée, tout en descendant l’une de ses mains, caressant la culotte d’Amy, la massacrant à l’emplacement de son sexe, filant de haut en bas, le tentacule s’écartant poliment, se frottant contre les cuisses de la belle femme. Ses jambes étaient relevées, ce qui faisait qu’elle ne touchait plus le sol, totalement esclave de sa senseï. Emprisonnée dans un cocon de plaisir.

L’Empoisonneuse continuait à l’embrasser dans le cou, tirant sur sa culotte avec sa main, la tirant aussi fort que possible, avant de la relâcher. Le bout de tissu rouge allait claquer contre ses cuisses, et elle poursuivit, continuant à décrire la scène :

« Mes pieds touchent le sol. Je suis totalement nue, comme je te l’ai dit. Toi ? Toi, tu ne portes qu’une culotte, et tu es en forme d’équerre. Tes bras sont écartés l’un de l’autre, chacun immobilisés par un tentacule différent, et il en va de même pour tes poignets. Tu es comme une poupée entre mes mains. Les tentacules, eux, sont comme de longs fouets verts, des espèces de lianes. Ils émanent d’une grosse plante un peu plus grande qu’un homme adulte de grande taille. La plante est ouverte en deux à son extrémité, et des tentacules en sortent. Quand elle t’a senti approcher, elle les a elle-même déployés. D’autres glissent lentement sur le sol, ou tournoient autour du toi. Deux ont attrapé tes seins, et leur extrémité s’est ouverte pour révéler des sortes de petites langues roses. Elles sont multiples, et c’est la tension que tu sens s’exercer sur la pointe de tes tétons. Elles te prennent, elles tirent, elles sont assoiffées... Mes tentacules ont soif de ton corps, et celui que tu sens entre tes cuisses n’attend qu’une chose... Que j’écarte ta culotte pour te baiser sauvagement. »

Elle parlait lentement, dans le creux de l’oreille, sur un ton sensuel.

« Est-ce que tu veux te faire prendre, ma belle ? Tu n’as qu’à un mot à dire, qu’une supplique à formuler, et ce tentacule viendra en toi... Tes jambes sont écartées, ton sexe est dilaté, il fondra en toi, et heurta ton clitoris. Il déforma ton sexe, l’adaptant à sa présence, et il te prendra... Il sera violent, indomptable, furieux, et inépuisable, car, la Nature, vois-tu, ne connaît pas la fatigue. Elle est immuable, éternelle, et ce tentacule en est l’illustration. Il te défoncera sans relâche, jusqu’à ce que je lui ordonne d’arrêter... Un seul mot à dire, se répéta-t-elle, et il te prendra. »
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 5 mardi 11 mars 2014, 02:11:11

Ivy parlait avec la voix sensuelle du démon. Ses mots étaient de velours, ses promesses étaient comme des cascades perlées d’or qui descendaient le long du corps ravissant qui lui était offert. Elle n’était pas une tortionnaire. Amy avait été surprise, mais il aurait suffi d’un « Non », d’un « Non » bien affirmé, pour qu’Ivy calme sa plante, et la laisse repartir chez elle. Il aurait suffi d’une supplique, mais cette supplique ne devait jamais traverser les lèvres d’Amy. La belle était en train de découvrir l’attirance secrète et profonde que des tentacules et des lianes pouvaient exercer. Longs, gros, gluants, infatigables, n’avaient-ils pas tout pour plaire ? Ils étaient l’incarnation parfaite de la supériorité de la Nature sur l’Homme. Quand ils vous prenaient, on ne pouvait que se laisser faire, s’accrocher à la barque, et suivre le courant. Si Ivy laissait Amy, et revenait le lendemain matin, elle serait encore en train de se faire baiser par sa plante, de se faire prendre de toutes les manières possibles et inimaginables. La Nature n’avait aucun tabou, aucune restriction. Elle ne négociait pas, elle ne concédait pas, elle agissait. C’était aussi simple que ça.

Amy se contorsionnait entre les tentacules. Poison Ivy lui avait sorti un discours qui aurait décoincé la plus frigide des nonnes, et elle pouvait désormais sentir le plaisir qu’Amy ressentait. Oui, impossible pour elle de le cacher, de feindre, de prétendre l’étonnement. Cette belle lycéenne allait y passer, et le tentacule était de plus en plus intrusif, insatiable. Cependant, Ivy voulait que sa lycéenne le dise, elle voulait qu’elle-même s’avoue vaincue, et se laisse ainsi pleinement aller. Amy avait bu ses paroles, sa description de la scène. Devant elle, les tentacules remuaient lentement, semblables à des espèces de longs serpents sifflants. Ils continuaient à maltraiter les seins de la jeune femme, et elle finit par le dire, sans surprise, car son intimité commençait lentement à s’humidifier :

« Oui ! Oui Madame donnez-lui l’ordre de me prendre… Retirez ma culotte…[ /b] »

La senseï se permit de sourire, légèrement. Voilà qui faisait plaisir à entendre ! Elle attrapa les pans de la culotte, et tira vers l’arrière, enfonçant ainsi ce morceau de tissu contre les cuisses de la belle, les tirant au maximum.

« Tes désirs sont des ordres, ma belle... Je te conseille d’hurler. Ne retiens surtout pas ça en toi, ou tu en deviendras folle. »

Ivy continua à tirer, et la culotte finit par se déchirer en deux, tombant sur le sol. Le tentacule vert ne pénétra pas tout de suite la femme, et se mit en position. Au bout de l’extrémité verte du tentacule, une sorte de bouche s’ouvrit, livrant peu à peu passage à une sorte de seconde peau rougie, plus longue, beaucoup plus grosse, avec des plis, qui se tendit, jusqu’à former une sorte de bourgeon qui découvrit tous ses pétales : une magnifique verge gluante qui se dressa en l’air. Elle s’approcha alors, et les tentacules autour des chevilles d’Amy raffermirent leurs prises,s errant si fort qu’ils en coupèrent pendant quelques secondes la circulation du sang, comprimant tout ce beau corps. Ils tirèrent les jambes d’Amy le plus loin possible, livrant son sexe, sans plus aucune protection.

La grosse verge s’était rapprochée, et se mit à cracher une sorte de liquide séminal sur les lèvres de la femme. C’était un liquide qui faciliterait le glissement. Le tentacule s’écarta alors un peu, remua, ondula sur place, puis la pénétra d’un seul coup, fonçant en elle. Un puissant coup qui fit remuer les tentacules. Ivy sentit le corps d’Amy heurter le sien, mais réussit à la maintenir. Le tentacule se mit à remuer intensivement, sans relâche, avec une ardeur terrible. Quand il s’enfonçait, ses plis de peaux se plaquaient sur elles-mêmes, se pliant, permettant ainsi à la verge de remuer en elle. Les tentacules d’Amy la laissèrent remuer, tout en la maintenant. Ivy, elle, l’aida à basculer sa tête en arrière, caressant ses joues, embrassant son front, tendrement, tandis que le tentacule continuait à la pénétrer lourdement.

Comme Ivy aurait aimé être à sa place pour ça ! La première fois, c’était toujours quelque chose d’inoubliable !
DC d’Alice Korvander.

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 6 lundi 07 avril 2014, 01:50:49

Infatigable, le tentacule aurait pu la prendre ainsi pendant des heures, et c’est ce que la plante aurait fait, si Ivy n’était pas là pour la contrôler. La Nature n’était pas éduquée comme les humains, et ignorait le concept d’inhibition. Elle ne s’arrêterait pas avant d’avoir pris son pied, et même Poison Ivy ne pouvait totalement contrôler sa plante. Si elle lui ordonnait maintenant de se retirer, et de ne rien faire d’autre, sa plante deviendrait agressive, et échapperait à son contrôle, en violant sauvagement sa génitrice. Quand on jouait avec des forces qui vous étaient supérieures, il fallait s’attendre à ce que les choses vous échappent, et puissent se retourner contre vous. La Nature était assoiffée, la Nature était insatiable, et, quand la Nature se laissait aller, il fallait suivre le mouvement.

Rapidement, les cris d’Amy emplirent la pièce, une délectable symphonie. Yeux clos, Ivy l’écoutait hurler, frottant son corps contre son dos, embrassant sa nuque, mordillant sa peau trempée, en sueur. Les tentacules s’étaient instinctivement resserrés autour de ses poignets et autour de ses chevilles, afin de la maintenir sur place, de faciliter le glissement et la pénétration du tentacule-verge. Tout était savamment calculé pour un confort maximal de l’usagère, car les tentacules libéraient une sorte de substance qui permettait de faciliter les frottements et les glissements, en évitant les irritations. Le tentacule-verge était relativement gros, et bien plus long qu’aucun sexe masculin ne le serait jamais. Comment avoir envie de partenaires masculins, après ça ? Comment ne pas comprendre, en pas partager l’amour d’Ivy pour la Nature ? Voilà des plantes qui ne tenaient pas compte des critères esthétiques, et qui étaient infatigables. La panne sexuelle était inconnue à la Nature, parfaite en tout point, car la Nature avait pour elle de supprimer ce qui était imparfait, d’éradiquer le faible, pour ne conserver que le fort. La Nature était, par définition, élitiste : seules les espèces les plus fortes survivaient. En ce sens, elle atteignait une sorte d’immuable perfection, uniquement rompue par la présence de l’humanité. C’était le partenaire sexuel rêvé. Silencieux, il se contentait d’apporter du sexe pur, et une affection éternelle.

« MADAME… MADAME… AHHHH… C’EST TELLEMENT BON MADAME HUMMM ! »

Le tentacule était comme une espèce de serpent vorace. Il tournait sur lui-même, se retirait en remuant, se tordant dans tous les sens, pour s’enfoncer ensuite d’un coup sec, faisant remuer le bassin de la femme. Avec son corps parfait, Amy était faite pour être prise ainsi. Elle pouvait hurler sans encontre. Bizarrement, les murs du lycée Mishima étaient tous insonorisés, et, quand bien même, il n’y avait plus personne, à cette heure. Le tentacule heurtait son clitoris, l’écrasait, se concentrant sur son bouton de plaisir, défonçant son intimité, avec un plaisir vorace.

« Aaaaah, ma belle, ma plante t’adore... Elle pourrait te baiser ainsi toute la nuit, sans relâche, toujours avec la même fougue... »

D’autres tentacules glissaient sur le corps de la femme, plus petits, presque semblables à des espèces de fouets verts, mais qui se contentaient juste de faire un peu de bondage... À leur manière. Ils s’enroulaient autour des cuisses d’Amy, de ses bras, pressant alors sa peau, pour la relâcher ensuite, et glissaient ensuite sur son corps, filant dessus, tendrement, provoquant des frissons, tandis que le tentacule-verge continuait à remuer lourdement en elle.

Ivy, de son côté, ne restait pas inactive. Elle avait ceinturé le corps d’Amy, appuyant sur son estomac, la serrant davantage, avant de glisser ses mains pour presser ses fesses, malmenant son joli petit cul.

« Ma belle, hum... C’est si bon... »
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 7 samedi 12 juillet 2014, 02:01:01

La belle Amy vivait un spectacle ahurissant, où tout fonçait à 200 à l’heure. Le tentacule-verge en elle était assoiffé, et impérial. Rien ne l’arrêterait, rien ne le stopperait, il était à l’image de la Nature : parfait, immuable, invincible. Il remuait en elle, la pénétrant lourdement, lui faisant vivre un plaisir immense, plaisir renforcé par la présence de Pamela. Dans le dos de l’intéressée, ses attouchements très réussis continuaient à attiser le feu qui bouillonnait dans le corps de cette jeune femme. La lycéenne aveugle était pleinement devenue son amante, et, en ne voyant rien de ce qui lui arrivait, le plaisir qu’elle subissait n’en était que d’autant plus grand. Autrement dit, elle n’avait pas à se plaindre. Elle vivait un véritable rêve éveillé, ce que ses soupirs, ses cris, et ses gémissements traduisaient.

Furieusement excitée, Pamela se tenait dans son dos, pétrissant ses seins, les pinçant, glissant ensuite ses doigts le long de son corps, laissant cette femme se faire plaisir. Son orgasme devait approcher à grands pas, et la plante était de plus en plus excitée. Ivy le ressentait en elle. C’était un organisme vivant, et, comme tout organisme, il était capable de ressentir des choses, et ce même si c’était un ressenti s’effectuant à un niveau microscopique. Grâce aux formules de Pamela, cette plante ressentait le plaisir, et le tentacule en elle, ainsi que les autres, illustraient cette sensation. Ce qu’Amy vivait n’était qu’un prélude pour un baisage en règle, un baisage sauvage et impérial qui allait la laisser écartelée sur le banc de touche, à demander pitié pendant que la Nature, impériale et inassouvie, entamerait la seconde mi-temps. Ooooooh oui, elle allait vivre un parfait rêve ! Ivy en aurait presque été jalouse,  si elle n’était pas la maîtresse de ce spectacle.

Amy se mit à jouir généreusement, contractant son premier orgasme de la soirée, et la plante jouit à son toujours, heureuse de goûter à cette mouille, ce liquide qui était tant pratique pour permettre à la plante de se reproduire et de se régénérer. Elle balança donc un sperme chaud dans le corps d’Amy, jouissant généreusement, sans que, bien entendu, cela n’atténue nullement la taille disproportionnée de sa verge. Ce phallus finit néanmoins par se retirer, tandis qu’Amy, en gémissant, invitait sa senseï à y participer.

Pamela se mit à sourire en se déplaçant, l’une de ses mains glissant le long de l’épaule d’Amy, s’y appuyant tandis qu’elle se retournait, se dressant face à elle. Amy lui était offerte, une magnifique fleur humaine, bras et jambes écartés, l’intimité dégoulinante de sperme et de mouille, le corps en sueur, ses yeux blancs la fixant avec une lueur de désir. Si elle pouvait voir, Ivy sait ce que le regard d’Amy donnerait : un plaisir immense, ainsi qu’une reconnaissance sincère et complète. Ce que Pamela lui offrait, c’était un ticket vers le rêve, tout simplement. Avec un sourire attendrissant, qu’Amy ne pouvait malheureusement pas voir, Pamela tendit sa main, et caressa l’une des joues de la femme.

« Je suis ta senseï, et ce laboratoire est une annexe intégrée dans mon cours… Mon rôle consiste à te former, à t’enseigner… Je ne m’amuse jamais sur mon temps de travail. »

Elle fit un signe en claquant des doigts, et le tentacule qui avait pénétré Amy retourna la voir, se rapprochant de sa bouche, titillant ses lèvres  en restant apposée près de son visage.

« Lèche, Amy… C’est ta mouille, ton nectar intime. Goûte à quel point tu es bonne, goûte à quel point les produits de la Nature sont délicieux ! »

Pour autant, il ne serait pas dit que Pamela serait inactive. Elle se rapprocha d’Amy, caressant ses cuisses, et se rapprocha, léchant également le tentacule, redressant ses mains le long des hanches, pour les poser à nouveau sur ses délicieuses fesses. Avec elle, elle lécha le bout de ce tentacule, sentant ce goût spongieux, visqueux, et collant, contre ses lèvres. Le tentacule remuait lentement, oscillant sous les mouvements de langues des deux femmes, tandis que les tentacules immobilisant les membres d’Amy se resserrèrent légèrement, avant de légèrement se desserrer, tout en remuant un peu. Ivy avalait avec plaisir ce mélange de sperme et de mouille, s’en délectant, puis, lorsque le tentacule s’écarta, elle posa l’une de ses mains sur les cheveux d’Amy, et l’embrassa tendrement.

Son autre main, elle, restait sur ses fesses, et de nouveaux tentacules s’approchèrent. Un retourna entre les cuisses d’Amy, passant sous les jambes d’Ivy pour retourner pénétrer Amy. C’était un autre tentacule avec un gros phallus, une belle verge qui s’enfonça dans le corps d’Amy, et commença à remuer. Ivy, elle, serrait Amy contre elle, l’embrassant à pleines bouches, se pressant. Deux autres tentacules continuaient à jouer avec les seins d’Amy, les suçant, et un autre se rapprocha de ses fesses, caressant sa croupe, avant d’enfoncer un fin tentacule, de la taille d’un petit doigt dans son fondement, répandant à l’intérieur un jus pour lubrifier ce canal.

« La Nature va te prendre comme une reine, Amy… Ensuite, nous irons chez moi, et je te prendrais toute la nuit. Ta vie ne sera plus jamais la même. »

Avec Ivy, il était très facile de voir la vie en vert, et elle retourna l’embrasser à nouveau, avant de s’écarter, et de laisser un autre tentacule-verge la remplacer, s’enfonçant dans sa bouche.
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 8 mercredi 24 septembre 2014, 01:24:54

C’était une première fois pour beaucoup de choses avec Amy... C’était la première fois que des plantes venaient lui faire l’amour, la première fois qu’elle découvrait la sodomie... Pour elle, ce serait une soirée inoubliable, sans parler de la nuit qui s’annonçait. Restant près d’elle, Pamela regarda les tentacules de sa plante recommencer à la prendre, à lui offrir du bonheur à l’état pur. Amy se tortillait entre les plantes, remuant la tête d’avant en arrière. Ses jambes et ses bras restaient immobilisés par les verdâtres tentacules, et Pamela se tenait devant elle, mouillant follement. Elle avança sa main, et caressa le corps de la femme, glissant le long de ses hanches, laissant sa fleur intime seule, pour l’heure. Amy gémissait de plaisir, sa bouche pleine, et son petit cul se faisant également prendre. Ce qu’elle avait prévu de faire avec elle pour cette nuit... Elle avait compris ce que la jeune femme avait dit, et elle se rapprocha, venant l’embrasser dans le cou, mordillant légèrement sa peau, apportant une touche de douceur à la sauvagerie tentaculaire qui était en train de s’abattre sur son magnifique corps.

Poison Ivy remonta vers l’oreille de sa partenaire, l’embrassant tendrement, la mordillant même un peu.

« Hum... Je pourrais te susurrer dans le creux de l’oreille tout ce que je vais te faire cette nuit, Amy, mais tu n’y croirais pas... Et puis, il vaut mieux te laisser le suspens. Sache juste que les pouvoirs de la Nature sont immenses, pour peu qu’on accepte de bien vouloir en bénéficier. »

Ivy se retira de son oreille, puis s’écarta de la femme, et un troisième tentacule s’enfonça alors dans le sexe de la femme, venant parfaire le tableau. Pamela se tenait face à ce spectacle, et laissa les tentacules prendre Amy sans relâche. Ils serraient ses jambes et ses bras, les écartant et les tirant ensemble. C’était un spectacle magnifique, celui d’une belle femme prise par les tentacules multiples d’une plante sexuellement vorace, et qui était en train de se nourrir des fluides sexuels de la femme. Pamela était un professeur sévère, mais elle savait respecter les bons éléments de ses classes... Et sa récompense voulait le détour. Les tentacules s’enfonçaient rudement dans le corps d’Amy, l’amenant à multiplier les orgasmes, l’amenant à s’abandonner... C’était comme si elle couchait avec des amants insatiables, impossibles à épuiser, qui jouissaient régulièrement en elle, étant toujours plus possessifs, toujours plus rapides et sauvages.

La belle se faisait tellement défoncer que sa salive coulait de ses bouches, filant le long de son menton. Rien ne semblait pouvoir arrêter les tentacules, les réfréner, et ils continuèrent à la prendre jusqu’à ce que la femme finisse par tourner de l’œil, et que son corps lâche. Elle aurait pu mourir d’épuisement, mais, quand elle commença à s’écrouler, Pamela cessa ce traitement, et les tentacules se retirèrent, faisant mollement tomber Amy sur le sol. Ivy la rejoignit rapidement, se mettant à califourchon sur elle, lui caressant tendrement les cheveux. Elle avait eu droit à sa première sodomie, et elle avait été plutôt intense, s’accélérant progressivement, jusqu’à devenir un bon vieux pilonnage.

« Là, repose-toi, ma chérie... Ce n’est pas encore terminé... »

Loin de là, même.



Quand Amy commença à se réveiller, elle n’était plus dans l’arrière-salle de la classe de Pamela Lilian Isley, senseï en biologie au lycée Mishima. Elle se trouvait sous le lycée, dans une ancienne station d’épuration et de traitement des eaux usées de la ville, dans un endroit qui avait été totalement amélioré selon un design floral. Une odeur très agréable régnait d’un bout à l’autre du repaire de Poison Ivy, et Amy était allongée sur une sorte de lit organique, fait de mousse végétal.

« Tu sais, Amy, je ne suis pas qu’une simple professeur, comme tu as pu le remarquer... Avant tout, je suis une scientifique. Tout ce que tu vois est la résultante d’un mélange réussi entre la science et la nature, la preuve que la science devrait être mise au service de la nature, et non vouloir chercher à la contrôler... »

Pamela parlait lentement et calmement, afin de laisser le temps à Amy le temps de se réveiller, de reprendre des forces. Elle lui tournait le dos, nue, et observait entre ses doigts une seringue. Elle comprenait un dérivé du sérum Titan, le fameux virus utilisé par le Joker pour renforcer ses compétences et sa force. Pamela avait utilisé la solution de base pour la remanier, la stabiliser... Et lui trouver des applications supplémentaires tout à fait intéressantes.

Pamela se l’injecta dans une veine, et soupira légèrement, sentant un vertige la saisir. Elle grogna même, ce qui était susceptible d’inquiéter Amy, et sentit quelque chose pousser entre ses cuisses... Une verge verdâtre apparut, poussant le long de son corps, et Pamela soupira à nouveau, manquant défaillir.

« Haaaaaaaaaaaa !! »

Elle soupira lentement, grognant, éructant, sentant les ondes de douleur repartir peu à peu de son corps. Elle respirait bruyamment, sa verge en érection l’élançant douloureusement. Elle avait réussi à limiter les effets du Titan sur ses muscles, qui ne se développaient pas de manière à lui donner l’apparence d’un monstre.

« Tout... Tout va bien, Amy... »

Sa voix était légèrement essoufflée, et elle se rapprocha de la femme. Pour l’heure, aucun tentacule ne la retenait, et Amy était toute nue. Pamela posa ses mains sur ses hanches, venant caresser sa peau, ses doigts glissant sur sa délicieuse, sa magnifique peau, se rapprochant de son bassin, le bout de sa verge caressant l’intérieur de ses cuisses.

« Est-ce que tu veux continuer, ma puce ? » demanda Pamela, avec une excitation sourde et contenue dans la bouche, comme une tempête sur le point d’éclater.
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 9 lundi 18 septembre 2017, 00:55:13

Une belle aveugle comme Amy, dévouée et studieuse, méritait amplement sa récompense. C’était tout ce que Pamela comptait faire : la récompenser. L’honorer pour sa patience, son dévouement, et lui offrir une journée inoubliable. Elles avaient plutôt bien commencé dans la salle de cours. Amy l’ignorait, mais, pendant qu’elle dormait, Pamela lui avait injecté une solution très particulière, un aphrodisiaque qui aurait pour effet, non seulement de la rendre plus assoiffée, sexuellement parlant, mais aussi, et surtout, plus endurante. C’était ce fameux dérivé du sérum Titan qu’elle venait aussi de s’infliger, et qui leur garantirait un très long moment de plaisir, intense et brutal, pour leur plus grand bonheur.

Amy réalisa alors, en posant ses mains sur le corps de Pamela, qu’elle avait bien une verge, ce qui ne manqua évidemment pas de la surprendre... Mais, après tout ce qu’elle avait vécu, son esprit dut se dire que ce n’était, somme toute, pas si surprenant que ça, et elle avoua vouloir continuer, s’abandonner à elle. Devant cet aveu, Ivy sourit à nouveau, et sa main caressa le visage d’Amy, glissant sur ses cheveux, puis sur ses joues.

« Bien... Je n’en attendais pas moins de toi, ma chérie... »

Elles étaient dans le refuge végétal de Pamela, et elle continua à caresser la tête d’Amy, dont le visage était, en réalité, fort proche de son sexe. Sa queue se redressa même, et la pointe heurta le nez de la femme. Pamela s’avança, et appuya davantage son chibre sur sa tête, sa queue se dressant au contact de sa peau, jusqu’à former une belle barre découpant en deux le visage de son amante. Pamela savourait lentement ce contact, en se faisant doucement plaisir, puis sourit encore, sentant le souffle de la jeune femme sur la base de sa verge, longeant ses testicules.

Tout était fait pour qu’elle s’occupe d’elle, et qu’elle la baise très longuement.

« Je t’ai injecté une solution qui t’aidera à tenir la cadence, Amy... Car je compte bien te baiser pendant des heures et des heures, et me régaler de tes hurlements et de tes orgasmes multiples. »

Autant dire que tout ce qu’Amy avait subi jusqu’à présent n’avait été qu’un prélude pour des plaisirs beaucoup plus forts. Pamela se pinça les lèvres, ses deux mains posées sur la tête d’Amy, caressant doucement cette dernière.

« Mais commençons par les choses sérieuses, amour... Viens jouer avec ma queue, viens voir à quoi ça ressemble avec tes lèvres et tes mains... »

Puisqu’Amy était aveugle, autant qu’elle prenne conscience de l’importance de son sexe à travers la meilleure sensation qui soit : le toucher.
DC d’Alice Korvander.

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Poison Ivy

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Re : The pleasure of plants. [PV Poison Ivy]

Réponse 10 lundi 09 avril 2018, 00:17:39

Pamela se dévouait toujours pour ses élèves talentueuses. Pourtant, pratiquer la science quand on était aveugles, ce n’était pas facile. Il y avait, après tout, des expériences à faire, des constatations visuelles à donner. La belle Amy méritait donc tout ce à quoi elle avait droit, et Pamela avait encore envie de s’amuser longuement avec elle. Tout ça, ce n’était qu’un délicieux cadeau pour elle. Amy venait de se réveiller dans son bureau, et s’attaqua à sa verge. Les deux mains de Pamela se posèrent sur sa tête, ses doigts s’enfonçant dans sa chevelure, et elle remua doucement d’avant en arrière, laissant Amy s’habituer à son membre, à cette grosse queue qui s’enfonçait en elle, entre ses lèvres. Amy s’y faisait, et, pendant ce temps, les tentacules se déplaçaient encore.

« Là, Amy, oui, hmmm... Enfonce cette queue plus profondément entre tes lèvres, ma chérie... Respire par le nez, surtout... Ma petite beauté... »

Ivy caressait ses cheveux, tirant sur ses mèches, et des tentacules phalliques s’approchèrent des joues d’Amy, caressant sa peau, appuyant dessus. Pamela se dandinait doucement d’avant en arrière, esquissant de nouveaux soupirs. Elle entrouvrit les yeux, se pinça les lèvres.

« Tes mains, Amy... Déplace-les, caresse mes tentacules. Vas-y, ma beauté... »

Pamela lui parlait doucement, lentement, telle une professeur s’adressant à son élève. Tout était fait pour qu’elle soit à son aise, pour la faire doucement sombrer dans la perversion et dans le stupre. Amy n’avait plus qu’à se laisser aller, tout simplement, et à goûter à la joie de faire l’amour avec une femme talentueuse au milieu de tentacules et de plantes... D’autres tentacules caressaient d’ailleurs le reste du corps de la femme, glissant tendrement dessus.
DC d’Alice Korvander.

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