Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Prises dans les griffes du dragon (Maître)

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Almaziane et Emarie

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Prises dans les griffes du dragon (Maître)

dimanche 22 décembre 2013, 03:07:54

Almaziane et Emarie étaient encore partie en exploration dans ce monde nouveau dans lequel elles étaient nées depuis peu, même si elles commençaient à connaitre la vie, sous son bon ou mauvais côtés, mais elles avaient encore beaucoup à apprendre de ce long fleuve imprévisible...

Elles parcouraient encore une fois les immenses terres sauvages, volant dans les ailes, pourfendant l'air de leurs puissantes ailes aux plumes brunes. Elles étaient richement habillées, due à la fortune de leur "créateur", le peintre qui avait dessiné leurs courbes parfaites et rondes et qui par son talent, avait, même sans le vouloir, les rendre tellement réalistes sur la toile qu'elle prirent vie. Elle portaient donc une espèce de kimono blanc, sans épaules, juste de larges manches puis le buste recouvert de tissus, s'arrêtant aux cuisses et continuant derrière comme une traîne jusqu'au niveau des talons, chaque tissus étant brodé de tissus couleur or, le tout était tenu par de larges ceintures de tissus dans lesquelles étaient placé leurs katanas, non elles ne contaient pas vraiment se battre, elles n'avaient donc pas pris leurs armes habituels . Leurs jambes étaient recouvertes d'un fin collant blanc, s'arrêtant aux cuisses, au dessus des genoux et elles avaient aussi des gants assorties le longs des avant bras, ceux ci étant recouvert pas les larges manches, ne leurs recouvrant pas les doigts. Aux pieds elles portaient de petites chaussures blanches à talons plats.

Brassant l'air de leurs ailes, l'une des deux oiselles, Emarie, remarqua un petit village, elle fit signe à sa sœur, elle ci tourna la tête et de suite, sans aucuns discours, elles s'y dirigèrent toutes les deux. Elle atterrirent en douceur sur le centre du village mais à peine eurent t'elles posées le pieds qu'un cri de femme retentit. Elles se retournèrent, portant par réflexe leurs mains à leurs sabres, et virent des cavaliers affreusement moches foncer à travers la rue principal, droit sur elles, en hurlant sans grâce et en étripant les villageois qui avaient le malheur de se trouver sur leur chemin, fonçant droit sur elles par la même occasion. Les deux sœurs sortirent alors simultanément leurs katanas de leurs fourreaux et d'un seul geste amples, les placèrent horizontalement face à elles, les montures des créatures difformes s'y coupèrent, et celles à pieds s'arrêtèrent nette. Des cavaliers se relevèrent, elles furent entourées, Almaziane activa alors sont pouvoir, faisant soulever deux des monstres de chaque côtés pour les envoyer au loin, des maisons proches commencèrent à prendre feu. Emarie s'aida de ses ailes pour décrire un trajet en arc de cercle, tranchant plusieurs soldats. Un des gobelins armé fonça vers elle, elle le stoppa avec son don d'immobilité, sa jumelle enchaîna en le faisant léviter pour le projeter ensuite. Elles se mirent dos à dos, les assaillants arrivèrent, Almaziane s'avança et en coupa deux de sa lame. Tout allez à peu près bien quand...

Le Maître

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    Dragon responsable d'une sombre institution, le Donjon, dans lequel il est impossible de mourir. Envoie régulièrement des hordes de monstre piller les villages aux alentours.
    
    Manipulateur sadique, adepte des tortures les plus abjectes. Mythomane.
    
    Accessoirement magicien spécialisé en sorts persistants et dans quelques autres transmutations douteuses. Alchimiste (prétendument) en avance sur son temps.

Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 1 dimanche 22 décembre 2013, 04:16:40

Maître d'un Donjon, oui, certainement, je le suis ! C'est une vocation bien complète. Vous vous figurez peut-être que cela ne consiste qu'en la gestion défensive d'une tour macabre ? Que nenni ! Ce n'est pas ainsi que fonctionne l'économie de l'établissement. Si nous étions refermés sur nous même, nous ne serions qu'une insipide ruine parmi d'autres. Aussi dangereux que nous pourrions être, tous nos efforts seraient bien inutiles si nous n'avions que la visite ponctuelle de quelques pilleurs de tombe sans le sous. Pour faire marcher le commerce, il est nécessaire d'attirer des aventuriers prestigieux... et pour cela, l'étape marketing est indispensable. Bien sûr, il y a les quelques rumeurs, et les quelques fausses cartes que l'on disperse allègrement sur tout Terra. Cependant, il y a plus impactant encore : les méfaits que l'on peut y commettre. Être une véritable nuisance ! Pillages, vols, kidnappings, en plus de rapporter de l'argent et des ressources en eux-même, étaient des moyens sûrs de faire connaître le Donjon.

L'on en vient donc à la formation de corps de pillards. Comment les rendre efficaces et peu coûteux ? Oh, les créatures dont je dispose ne sont pas vraiment limitées en nombre ; mais déployer une trop grande armée m'attirerait l'attention des entités réellement puissantes de ce monde, et cela, je ne le veux pas non-plus. Il faut donc un peu d'organisation. Les meilleurs éléments pour ces menues tâches sont les êtres perfides et sournois qu'on nomme gobelins. Je les répartis en général par régiments de trente. Enfin, trente, trente-et-un, trente-deux... Une trentaine. C'est en vérité assez difficile de les compter. Ce sont des cavaliers habiles, montant de grands loups féroces et qui manient de petites faux et des petits arcs qui font des miracles lorsqu'il s'agit de massacrer de la piétaille courant en tout sens. Enfin, pour imposer le respect à cette masse qui, autrement, trouverait sans doute plus intéressant de disputer un bout de pain à son prochain, il y a un chef. Il est rare que ce soit un gobelin. Le plus souvent, c'est une autre créature... un orque, ou un terranide, par exemple.

Justement, je suis en ce moment même, depuis une boule de cristal astucieusement enchantée, l'une des scènes de pillage habituelle. Parfois, je n'ai pas mieux à faire. Cela me permet de voir si le modèle peut être amélioré. La horde que je surveille est celle de Ragräg Targ. C'est un terranide hyène, de cette variété qui plaît tant à la déesse gnoll. Je le vois évoluer lentement, sur sa monture, un immense warg aussi noir que lui-même est blanc. Il se trouve derrière ses troupes. Il achève un homme de l'immense chaîne cloutée qui lui sert d'arme. La truffe au vent, il renifle l'air. Le gobelin qui lui fait office de second l’interpelle. Les paysans opposent de la résistance. Cela doit le surprendre. Cela me surprend aussi.

La créature se met alors en chasse. Il arrive sur les lieux du désastre. Au sol, il y avait déjà de nombreux cadavres, humains comme mignons. De ses yeux rouges, au centre de la scène, le fils de Gnoll repère la seule source d'opposition. Son regard devient encore plus agressif lorsqu'il constate qu'elles usent de magie. Pourtant, sa bouche carnivore se tord d'un rictus, proche d'un sourire. De sa main griffue, il fouille dans son bagage. Il en sort ce qui ressemble à s'y méprendre à une boule de Noël (une objection ?), brillant d'une lueur malsaine et violette. Sans attendre que plus de ses hommes trépassent, il la jette de toute la puissance de ses bras aux pieds des deux jeunes femmes. La sphère explose au sol avec un petit « poc ». Puis des cernes mauves se dégagent de la zone où a eu lieu l'impact. Ces dernières se mirent à onduler autour des deux combattantes. Enfin, ce qui paraissait être une simple fumée pénétra dans leur être par la bouche, sans leur causer, au premier abord, le moindre dommage.

Cet objet était en réalité une sphère d'anti-magie. Un petit artefact à usage unique, que j'ai pour habitude de fournir aux plus valeureux de mes guerriers, et qui coupe un nombre réduit de personnes de tout accès à la sorcellerie pendant quelques temps...

La menace qu'il craignait le plus neutralisée, Ragräg ne souffre plus de l'hésitation. Il éperonne sa monture, qui se jette sur les jeunes femmes. Sa chaîne cloutée, que beaucoup d'humains ne soulèveraient même pas, tournoie à grande vitesse : elle pourrait sans mal décapiter un cheval et à fortiori une gamine ou deux. Toutefois, malgré les apparences, le terranide est un être un peu plus subtil que cela. L'écume aux lèvres, il vise non-pas les deux corps, mais les armes. Les mailles de la chaînes s'enroulent autour d'un des katanas. Le barbare profite de l'action soudaine pour tirer puissamment, et ramener la masse assez légère de la fille vers lui. D'un tour de bras, il l'attrape sous l'épaule, et la serre contre-lui. Insensible aux coups qu'elle pourrait donner, il serre, et serre encore le corps délicat, coupant sa respiration et manquant de lui briser une ou deux cotes.

La deuxième fille, n'ayant plus d'appuis ni de don magique, est rapidement submergée par les gobelins, qui l'encerclent. Finalement, après avoir entamé son endurance, les créatures lui jettent un filet lesté, dont elle ne peut se défaire. Ragräg finit aussi par lâcher sa prise, dont le visage est devenu légèrement bleuté, et la jeter sur le sol, hors d'état de nuire. La prise est assurée. Il laisse le soin à ses séides de préparer les cages : des cubes entièrement constitués de barreaux d'acier, et qui rendent le transport assez désagréable... pour le transporté. Les jeunes femmes sont conduites de force à l'intérieur.

Qu'est-ce que c'est, Rag ? Des anges ? s'enquière un gobelin à la longue chevelure tressée mais néanmoins crausseuse, qui sort un peu du lot.
J'sais pas. Ptêtre bien. Ptêtre ça intéresserait le Maître. Ou ptêtre pas. Ptêtre celle qui est encore en état de parler pourrait nous dire c'qu'elles font là. Ptêtre même qu'elles pourraient nous dire c'qu'elles sont.

Le grand terranide blanc descend de sa monture grondante, et s'approche de la cage. Sa main passe entre les barreaux, et il saisit la moins abîmée du duo par le haut de son kimono. Puis sa main se resserre sur son cou, y imprégnant légèrement la trace de ses griffes. Sa force supérieure lui permet sans trop de mal de coller le crâne de l'infortuné contre la grille. Il desserre un peu l'étreinte pour la laisser parler.

Alors, à quelle tribu de jolis p'ti piafs t'appartient, dis moi ?

Sa voix et son ton sont à peu près aussi délicats que ses manières, et l'halène de sa bouche pleine de crocs est infecte. Je le sais d'expérience.
« Modifié: dimanche 22 décembre 2013, 04:23:59 par Maître »

Almaziane et Emarie

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 2 dimanche 22 décembre 2013, 04:49:58

Occupées à trancher, stopper et faire envoler à tour de bras, elles ne purent voire la menace approchée. Almaziane et Emarie ne purent qu'apercevoir une boule violette disperser une fumée de la même couleur mais rien ne se produisit. Elles continuèrent donc leurs combats sans s'en occuper quand elle virent enfin une espèce de loup humanoïde monté sur une grosse bête noire, foncer vers elle, une grosse chaîne à la main, ils étaient beaucoup plus gros et menaçant que les autres, elles se préparèrent, armes verticale. Il projeta un bout de sa lance qui vint s'enrouler sur le katana d'Emarie, elle ouvrit grands les yeux, sentant le danger mais ne voulant surtout pas lâcher son arme sacrée, elle essaya d'activer son pouvoir...sans succès, elle ne le sentait même plus là. Elle fut attirée en avant et se retrouva en moins de deux sous le bras de la sorte de loup bavant qui la serra, serra, serra. Elle commença à manquer d'air, elle s'agita dans tout les sens avant de sentir ses forces la quitter. Almaziane fut déboussolée, elle fut très vite assaillit, elle essaya de les repousser avec son pouvoir mais il n'y avait plus rien ! Prise de cours, elle fut envahie, débordée, engloutit par les gobelins pour finalement se retrouver dans un filet. Sa jumelle fut alors relâchée et tomba au sol, ne pouvant quasiment plus bouger, essayant de respirer un peu d'air avec grande difficulté.

Elle furent mise en cage malgré le fait que celle aux yeux myosotis se débattait avec violence. Une fois pliée en deux dans la cage, le gros blanc qui était apparemment descendu de sa monture s'approcha. Il attrapa Almaziane par le col puis par le cou, lui cognant la tête aux barreaux, elle leva des yeux pleins de colères et sombres vers lui, écumante de rage.

Alors, à quelle tribu de jolis p'ti piafs t'appartient, dis moi ?

-Tu peux parler de piafs, espèce de chien baveux et puant...On n'est d'aucune tribu abruti.

Le Maître

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 3 dimanche 22 décembre 2013, 05:52:10

D'accord les gars. On a un piaf mal élevé. Ptêtre on pourrait lui apprendre la politesse ?

Ce qui reste des gobelins, pour la plupart occupés à rassembler le butin et à piller les habitations à présent vides de toute résistance, ne prêtent pour la plupart pas la moindre attention aux railleries de leur chef. Il fallait dire qu'ils ne sont pas habitués à subir, pendant leurs raids, de pareilles pertes, et cela créer pour eux un surplus de travail conséquent. Quelques uns, plus par peur des représailles qu'autre chose, je suppose,répondent avec un enthousiasme un peu surjoué. Peu soucieux du manque de considération dont il est victime, ce brave Ragräg semble plutôt content de la réponse de la jeune femme enfermée. Un comportement qui pourrait paraître étrange à qui ne le connaîtrait pas...  En vérité, il aime lorsque ses proies se débattent, résistent ; il n'est pas rare d'ailleurs qu'il me fasse part de son ennui. Malheureusement, je n'ai jamais rien de plus dangereux à lui proposer, et quand bien même : il est trop précieux.

D'accord les gars. Alors on me l'amène.

Le terranide exerce encore une pression sur le cou de la fille, aplatissant complètement son visage contre la grille. Puis il la relâche, et se sont deux gobelins qui l'attrapent par les bras, et la tirent en dehors de la cage, pendant qu'un autre ouvre et ferme le verrou. La conduisant devant leur chef, l'un d'entre-eux frappe les jambes non-protégées du bois de sa faucille, pour la faire tomber en avant. Ragräg ne lui laisse pas l'occasion de se relever, et plaque l'une de ses lourdes bottes sur son dos.

C'est moins facile de faire le vilain oiseau, la tête contre le sol. Montre moi ton visage...

Il retire son pied, lui attrape les cheveux, et, avec brutalité, l'oblige à tourner le regard vers lui. Sa gueule est grande ouverte, ses crocs, longs de plusieurs centimètres, longent une mâchoire immense.

C'est très doux. Quoi d'autre ?

Toujours avec la même haine, implacable, il étreint ses épaules et la bascule sur le dos. S'agenouillant lui-même, il bloque les jambes de la jeune femme en se servant de la pression de son propre poids. Une de ses immenses mains rejoint une nouvelle fois la gorge exposée... alors que l'autre commence à parcourir le corps de haut en bas. Une certaine exaltation se lit sur le visage difforme de la créature. Enfin, ses griffes, dont le tranchant n'ont rien à envier aux lames les plus affûtées, commencent à tirer sur la tunique. Avec un petit cri avide, il la déchire sur toute sa longueur, révélant la peau fraîche.

Comme les humaines. Seulement deux mamelles. Oui...

Ragräg ne se fait pas attendre, et mord dans le tissu, l'arrache dans un geste assez spectaculaire. Sa gueule puissante détruit les derniers morceaux d'habits qui couvrent encore les deux seins blancs. La volupté du corps ne l'intéresse pas beaucoup, les femelles de son espèce ne sont pas aussi délicates... ou l'intéresse-t-il seulement parce qu'il est en mesure de la détruire.

Supplie-moi. Et je ne te ferais pas trop mal.

Ce qui lui sert de visage s'approche d'une des collines de chair. Sa longue langue, extrêmement râpeuse, parcourt un instant la protubérance rose. Elle tourne autour du téton, laissant tomber de grandes gouttes de salive. Il avance encore un peu plus sa face, englobant tout le sein dans sa gueule... et ses crocs se referment, attaquant l'épiderme pâle sur presque un centimètre. Du sang perle. Il aime le goût du sang.
« Modifié: dimanche 22 décembre 2013, 06:05:09 par Maître »

Almaziane et Emarie

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 4 dimanche 22 décembre 2013, 16:54:11

D'accord les gars. On a un piaf mal élevé. Ptêtre on pourrait lui apprendre la politesse ?

Sur ce, le grand loup blanc n'eut pas grand nombre de réponses, ses sbires étaient plus occupé à piller, juste quelque gobelins répondirent, faussement enthousiasmés. Un rictus moqueur s'afficha sur le visage d'Almaziane, elle comprenait les soldats, elle, jamais vraiment très interpellé par l'appel de la chaire...

-D'accord les gars. Alors on me l'amène.

Après quoi il lui plaqua complètement la face sur les barreau de la cage avant de la relâcher, à peine "libre" de sa grosse main griffue, laissant sa marque sur son cou, on lui attrapa de suite les bras et la tira hors de la cage. Emarie, encore bleu d'avoir étouffée sous le bras de la créature bavante, leva un regard désespérée, fatiguée, vers sa sœur. Celle-ci se débattit toujours avec force, on la força à s'aplatir devant leur chef qui la plaqua au sol en écrasant son pied sur son dos.

C'est moins facile de faire le vilain oiseau, la tête contre le sol. Montre moi ton visage..

Il lui saisit violemment la chevelure et lui redressa le visage vers lui, lui permettant d'avoir toute la vue sur sa gueule béante et armée de crocs. Elle lui lança toujours un regard noir, le visage fermé, nullement impressionné.

C'est très doux. Quoi d'autre ?

Il lui attrapa les épaules avec force et la retourna puis s'agenouilla sur ses jambes pour les bloquer et porta sa main à son cou, une nouvelle fois, l'autre caressant le reste de son corps, elle serra les dents. Il déchira ensuite avec avidité son vêtement, gueulant au passage.

-Comme les humaines. Seulement deux mamelles. Oui...

Comme les humaines ? Elle ? Ça elle ne le supporta pas, elle se considère toujours au dessus, par ses ailes alors qu'eux étaient obligé de ramper au sol et puis même au dessus des autres créature, n'étant pas nées comme eux et possédant un pouvoir par dessus le marché. Elle se croyait vraiment au dessus de tout le monde, son égo pompé toutes ses qualités pour décorer son panel de vertus, pour elle, elle était parfaite. C'est ainsi son égo et sa fierté qui l'amenait souvent dans les embrouilles, comme ici d'ailleurs...

La mâchoire de la hyenne lui arrachèrent ce qui lui restait de tissus avant qu'il déclare, aussi inutile soit-elle, cette proposition.

Supplie-moi. Et je ne te ferais pas trop mal.

Elle sourit, moqueuse. Supplier, sérieusement, elle ne pourrait jamais, au grand jamais supplier, prier, se plier, servir, etc... La moindre personne ! Elle se considère beaucoup trop au dessus des autres pour !

-Tu peux te brosser sale feliformia hyénidé puant ! (insulte de malade)

Mais à peine eut-elle finit sa phrase qu'il commença à lui lécher sa langue avec son grand muscle buccal granuleux, lui bavant dessus, elle sera les dents encore plus et tenta de le repousser.

- Lâche moi, va baver ailleurs !

Il prit son sein en bouche et mordit d'un coup, touchant une des partie de l'anatomie la plus sensible chez une femme, aussi froide, brutal et sauvage soit elle, Almaziane ouvrit grand la bouche, muette de douleur, écarquillant les yeux.

Emarie, couchait dans la cage, redressait juste accrochait à la grille, regardait la scène, essoufflée. Elle savait que sa jumelle ne cédera pas et que, même après ça, ne ferait rien, et même en fera plus, pour qu'il arrête de lui faire mal. Elle tendit mollement un bras et d'une voix faible  dit,

- S...s'il te plaît...Ne la touche pas...ne lui fait pas mal...par pitié..pas elle...


Bien sûr, pour elle aussi, ces mots lui coûtèrent, elle était elle aussi fière mais pas jusqu'à l'entêtement comme sa sœur et elle ne voulait pas qu'on lui fasse mal. Oui, à première vue on pouvait croire qu'elles n'étaient pas très proche, ne se disant jamais rien mais, pour Emarie, cela ne voulait rien dire, au contraire, pour elle, elles étaient très soudées...

Le Maître

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 5 dimanche 22 décembre 2013, 22:59:43

Le sang, cela déchaîne les bêtes sauvages, c'est bien connu. Il n'y a rien de mieux pour donner à un orque, à un gobelin, ou à un chien (c'est du pareil au même) le goût de tuer. Ragräg ne fait pas exception à la règle. C'est un animal primitif, lui aussi, à sa manière. Le liquide rouge qui s'écoule à présent de la poitrine blessée de la jeune femme, et qu'il peut sentir sur sa langue, sur son palet... ne tarde pas à monter à lui monter à la tête. Si cela n'avait tenu qu'à lui, peut-être l'aurait-il dévoré vivante. Mais malheureusement pour ses instincts, il sait qu'il doit me les rapport sans trop de dégâts. Que ça me fera plaisir. Ce brave Ragräg...

Il retire sa gueule de la chair, des filets de salive et de sang reliant encore la peau meurtrie et ses crocs à présent carmins. Sa main libre arpente le sein toujours intact. Du bout d'une griffe, il appui sur le mamelon, le piquant, le faisant saigner un peu. Je le vois qui jubile de sentir le petit corps se contracter sous la douleur. Puis il s'en désintéresse, et descend. Ses griffes entaillent l'épiderme, laissant des stries rougeâtres, tout le long de leur sinistre et lente progression. Il arrive au ventre, lui aussi découvert, mais il ne s'y attarde pas. Il attrape les ceintures, les malmènent jusqu'à ce qu'elles se déchirent, ce qui ne lui prend qu'une seconde. Débarrassé de toute entrave, le terranide hyène peut alors tirer sur le bas, ce qu'il fait avec une certaine barbarie. Ses doigts velus ne mettent pas plus de temps à s'en débarrasser que pour la tunique.

Baver ailleurs ? D'accord, je vais baver ailleurs... Ptêtre bien ici.

Il a un rire mauvais. La jeune fille est alors presque totalement nue, ne portant plus que quelques lambeaux de kimono, et des collants arrachés au niveau du bassin. Il se recule un peu, et approche ses griffes de l'intérieur d'une cuisse, qu'il force à s'écarter. Une nouvelle fois, il s'apprête à pénétrer la chair, lorsque l'appel de l'autre femme l'interrompt. Ses petits yeux rouges se portent sur celle qui est toujours enfermée. Il sourit ; il s'arrête.

C'est pas à toi que j'ai dit de supplier. Mais d'accord. Promesse tenue. Je lui ferais pas trop mal.

De façon surprenante, Ragräg se lève, ne manquant pas de piétiner de sa botte le bras de la demoiselle à terre. Des gobelins se précipitent sur elle pour l'immobiliser. Passant le bras à travers la cage, il attrape l'ange à qui il vient de s'adresser, évitant cette fois la gorge, sachant qu'un nouvel étouffement prolongé la tuerait peut-être, préférant s'en prendre à la chevelure.

Mais si tu veux pas que ta sœur souffre, va falloir m'aider un peu.

Sur ces mots, la créature défait la partie basse de son armure. Son sexe est là, déjà tendu, rose et turgescent, s'étendant sur une vingtaine de centimètres. Ce n'est cependant pas sa taille qui le rend impressionnant, mais sa constitution particulière, propre à certains féloidés, dont les hyènes. Plus pointu que celui des humains, son gland est surtout barbelé par une multitude de petites pointes rigides. Je sais qu'elles ont tendance à accrocher les parois, et que c'est atrocement douloureux. Par contre, hors de question que je vous dise comment je l'ai découvert.

Les miens déchiquettent souvent les femelles de l'intérieur. Mais si c'est bien humide, ça passe mieux.

Il approche le visage de la jeune fille de son pénis, qu'il fait passer à travers les barreaux. Pourtant, il lui laisse un peu de latitude pour aller d'avant en arrière. Il ne l'oblige même pas. C'est à elle de choisir. Du moins, pour l'instant.

Ptêtre que tu sais faire ça bien.

Almaziane et Emarie

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 6 lundi 23 décembre 2013, 00:23:10

Le monstre retira son immense gueule et appuya sur le deuxième téton d'Almaziane du bout d'une griffe, lui faisant pousser un gémissement aigu de douleur. Puis il lui laboura le ventre, elle se mordit la lèvre, sentant la douleur la traverser mais elle était forte, la douleur ça se surmontait. Il déchira le reste de ses habilles.

Baver ailleurs ? D'accord, je vais baver ailleurs... Ptêtre bien ici.

Il lui écarta les cuisses quand Emarie intervint, Almaziane tourna la tête vers sa sœur, sans aucune expressions au visage. La créature se stoppa en souriant,

C'est pas à toi que j'ai dit de supplier. Mais d'accord. Promesse tenue. Je lui ferais pas trop mal.

Il se redressa et vint vers la cage, écrasant le bras d'Almaziane et y porta de suite sa main en criant de douleur, les soldats se jetèrent sur elle pour lui empêcher tout mouvement. Le mastodonte s'approcha de la oiselle en cage pour lui saisir les cheveux

Mais si tu veux pas que ta sœur souffre, va falloir m'aider un peu.

Emarie s'en était douté de ça. Il enleva le bas de son armure, dévoilant un long sexe différent de ceux qu'elle avait vue alors, pointu avec pleins de crochets.

–Les miens déchiquettent souvent les femelles de l'intérieur. Mais si c'est bien humide, ça passe mieux.

Un frisson la parcourut, ça ne serait pas une partie de plaisir...Elle appréhendais ce qui allait se passer, qu'elle était la dose de "ça passe mieux" ?? Il lui présenta son membre à travers la grille, sans trop d'obligation mais la jeune fille savait que si elle ne le faisait pas, c'est sa jumelle qui endurerait les conséquences.

Ptêtre que tu sais faire ça bien.

Elle s'accrocha encore plus aux barreaux et prit son membre en bouche. Pour sûr c'était pas la même chose que d'habitude. Elle passa sa langue puis commença un va et viens, à vitesse régulière car trop lent ou trop rapide, elle se couperait plus la bouche. Elle n'appréciait pas vraiment et grimaça mais faisait tout pour le satisfaire un maximum. Elle englobait tout son sexe, passait sa langue en long, faisait glisser ses lèvres...Mais en retour elle s'entailler l'intérieur de la bouche, le goût de sang l'envahissant mais elle continua.
 
« Modifié: lundi 23 décembre 2013, 00:41:25 par Almaziane et Emarie »

Le Maître

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 7 lundi 23 décembre 2013, 02:10:11

Une lueur de plaisir malsain apparaît dans les iris sanguins de la créature, alors que, les deux mains agrippées aux barreaux de la cage, la jeune femme avale son sexe. La chaleur et l'humidité de la gorge stimulent de plus en plus son envie de violence, qui va crescendo. C'est un cercle vicieux. Elle s'active sur son membre, mais en il en veut davantage, la fureur le gagne. Il grogne :

Plus vite. Plus vite !

Ragräg n'y tient plus. Il prend la tête de l'ange dans ses deux mains, et dicte lui-même le mouvement. Évidemment, les vas-et-viens ne ménagent absolument plus la bouche de la fille. C'est sa langue qui en fait en premier les frais, bien vite recouverte d'une multitude de petits entailles. Le gland vient frotter contre le palais, lui faisant subir les même sévices. Enfin, il insiste plus profondément, s’engouffrant complètement dans la gorge. Les parois saignent, la bête, elle, gémit et souffle, mais ne relâche pas le rythme.

La victime du coït buccal, outre les douleurs vives, doit avoir une impression étrange. En effet, le long du sexe en action émergent d'autres pointes, en haut, en bas, et à sa base. Les crochets qui étaient déjà visibles, eux-même, paraissent se dresser un peu plus. Sous l'afflux de sang, les moindres protubérances ressortent de la masse caverneuse. Le terranide est secoué de quelques contractions. Il paraît être sur le point de jouir ; il s'arrête. Il lâche alors la jeune femme et retire son sexe dégoulinant de fluides de son orifice.

J'ai menti. C'est bien plus douloureux comme ça.

Il y a beaucoup de jubilation dans ses paroles. La hyène se retourne vers la fille ailée encore tenue par deux gobelins. Il les chasse, l'attrape aux aisselles, et la soulève, collant son ventre animal contre le dos nu et blanc. Il pivote, et la tourne face à la cage, en une prise primaire, crochète sa jambe avec la sienne, dévoilant le sexe de l'ange à la vue de sa sœur. Le pénis de la créature, toujours en érection, se place dans le creux de la cuisse. Il écrase la poitrine blessée d'une main puissante, la soupesant, l'exposant.

Regarde ! Regarde comme je déchire ta sœur.

Si le phallus n'est pas particulièrement large, les pointes qui sortent à présent dans toutes les directions lui donnent beaucoup de volume. Ragräg le place devant le pubis de la jeune femme. Sa gueule se tord, en prévision de l'acte à venir. Finalement, il appuie brutalement, empalant l'ange sur le sexe barbelé. Les crochets ripent contre la chair, entaillant et écartant les lèvres, avant de forcer l'entrée du vagin. Le pénis peine un peu à s'enfoncer dans le con lubrifié seulement par la salive. Le pillard ajuste sa position, et donne un coup de rein plus puissant.

Almaziane et Emarie

Créature

Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 8 lundi 23 décembre 2013, 12:44:18

L'animal grogna,

Plus vite. Plus vite !

Alors qu'elle allait obéir, la créature, trop impatiente, lui saisit la tête pour donner des coups de reins dans sa bouche. Elle sentit son pénis couper sa langue puis son palais et enfin la gorge puis il lui fit subir un rapide va et viens, le goût salé du sang envahit complètement sa bouche. Le mâle s’exaltait et soufflait comme la bête qu'il était, Emarie, elle, secouait les bras dans tout les sens, sa bouche entrain de se meurtrir, ses cris étouffait par le membre. Mais cela empira quand, se gonflant encore plus, son sexe fit resortir des petites pointes, plus grosses que les crochet qui le recouvrait entièrement, l'entaillant encore plus, sa langue et sa gorge en subirent les frais, encore plus douloureux que les petits crochets. A côté, Almaziane ne voyait pas complètement mais elle regardait vers la cage, l'air neutre. Des larmes coulèrent le long des joues d'Emarie, son corps tressaillit de douleur et , quand il se retira enfin après l'acte, ce que l'oiselle eut sentit durer comme une éternité, elle tremblait encore, elle alla s'écraser au sol en toussant du sang. Elle tentait de se racler la gorge pour enlever le sang qui y coulait, s'étouffant à moitié. Elle leva le regard vers son bourreau quand celui-ci déclara, dégoulinant de jubilation et de sadisme,

J'ai menti. C'est bien plus douloureux comme ça.

Elle ouvrit les yeux. Le monstre se dirigea vers sa sœur et l'attrapa pour la tourner vers la cage, derrière elle il crocheta sa jambe à la sienne, lui écrasant son sein déjà meurtrie, lui arrachant une grimace, il colla son membre contre son entre-jambes, il s'adressa ensuite à sa précédente victime, Almaziane se débattant dans tout les sens,

-Regarde ! Regarde comme je déchire ta sœur.

Emarie écarquilla les yeux, ses mots sonnèrent dans son oreille, elle s'accrocha au barreaux, la peur pour sa sœur l'envahissant,

-Non !

Son pénis était maintenant complètement hérissait de pointes, il l'enfonça en Almaziane, qui ouvrit grand la bouche sans qu'un son n'en puisse en sortir, il continua, brutal. Elle reprit sur elle et se débattit avec force, s'accrochant à lui, tentant de le repousser, n'hésitant pas à mettre sa main dans sa gueule. Elle serra les dents, sentant le sang de ses lèvres vaginales couler et celui de ses griffures sur le ventre, perler mais s'était une battante, elle était déjà par le passé allé jusqu'à se couper elle-même la main, juste pour prouver que son arme n'avait pas besoin d'être affûtée. Elle lui dit, pleine de rage, presque écumante, les yeux emplit de folie guerrière,

-Monstre de pacotille ! Lâche-moi !



Le Maître

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    Description
    Dragon responsable d'une sombre institution, le Donjon, dans lequel il est impossible de mourir. Envoie régulièrement des hordes de monstre piller les villages aux alentours.
    
    Manipulateur sadique, adepte des tortures les plus abjectes. Mythomane.
    
    Accessoirement magicien spécialisé en sorts persistants et dans quelques autres transmutations douteuses. Alchimiste (prétendument) en avance sur son temps.

Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 9 mardi 24 décembre 2013, 00:04:09

Tu vas souffrir comme jamais !

La créature a un deuxième rire, plus rauque et plus profond. L'impulsion qu'il donne à son bassin achève de faire entrer son sexe dans celui de sa victime. Le pénis ne fait pas que perforer la chair, il la déchire littéralement, les pointes les plus grosses mutilent la muqueuse rose et sèche dans laquelle ils s'enfoncent. Le premier coup fait jaillir une petite rivière de sang, qui s'écoule lentement. Mais Ragräg ne s'en tient pas là : faire sortir son phallus est encore plus douloureux, car les pointes sont recourbées. Il n'a pourtant aucun scrupule. Cela l'excite d'autant plus.

Il veut l'entendre crier.

Il sort son sexe, qui, s'étant encore élargi, s'accroche aux parois. Les barbelés arrachent des morceaux entiers de chair. De la viande, rien que de la viande. Le terranide aime la sensation que lui renvoi l'être chétif coincé entre ses bras musculeux. La souffrance. Le dégoût. La soumission imposée. Il appuie sur les épaules de l'ange, et s'enfonce une nouvelle fois en elle. Il commence à imposer au coït un rythme soutenu. Son sexe entre et ressort dans l'antre chaude et saignante, traînant à chaque fois avec lui un peu plus d'hémoglobine et de chair vive.

Les protestations de l'autre sœur, après l'avoir amusé, l'agacent un peu. Elles le gênent dans l'acte reproducteur sur lequel il est à présent concentré. Il ne veut plus être dérangé. Il sait comment s'en débarrasser. Entre deux coups de poinçon barbares, la créature s'adresse à ses subordonnées d'une voix cruelle :

L'autre est à vous.

Trois des gobelins, qui étaient alors jusqu'ici restés assez statiques, attendant les ordres de leur chef et surtout assistant à sa performance entrent alors en action. Le voir violenter l'oiselle les a exciter, eux aussi. Ce sont des nabots d'environ un mètre quarante, assez musclés, la peau verdâtre, et les bras très longs. L'un d'entre-eux est coiffé d'une longue tresse, les deux autres sont chauves, et il y en a un, qui, entre les deux narines, porte un os. Ils sont tous d'une saleté remarquable.

Les êtres malveillants attrapent la fille par les bras et la jettent hors de la cage, la contraignant à une position à quatre pattes. Un gobelin n'attend pas, et, ayant sorti un sexe d'une quinzaine de centimètres, il tente de l'entrer dans la bouche de la jeune femme. Il vise assez mal, et le phallus puant ricoche contre sa joue, avant de finalement trouver le chemin de sa gorge. Il n'attend pas, et va directement au plus profond. À l'arrière, un minion tire sur les collants et s'en défait rapidement. Suivant l'exemple de son semblable, il place son pénis à l'entrée du vagin, sans même défaire la culotte qu'il pousse simplement sur le côté d'un doigt griffu.

Il pénètre  l'oiselle sans le moindre préliminaire et la moindre lubrification. Il accentue très vite le rythme, faisant claquer son ventre et ses testicules contre les fesses de la fille. Finalement, il se synchronise assez bien avec le gobelin de l'avant, et ainsi, chacun profite de l'impulsion donnée par l'autre. Le troisième larron a déchiré le bustier, et joue à présent avec la poitrine qui s'agite toutes les secondes.

Almaziane et Emarie

Créature

Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 10 samedi 22 février 2014, 16:50:58

–Tu vas souffrir comme jamais !

L'immense hyène eut un rire qui résonna aux fin fond des têtes des jumelles. Emarie écarquilla les yeux, accrochée aux barreaux. La bête s'enfonça en Almaziane qui serra les dents, sentant son propre sang chaud couler, s'échapper d'elle puis le terrible bâton ressort, l'oiselle ouvre grand la bouche à s'en déboîter la mâchoire en courbant le cou tel que la douleur et profonde. Son intérieur est meurtrie. Puis l'ignoble créature recommença ainsi un va et vient, la torture se fait trop intense, elle ne peux pas même la supporter, elle commence à hurler, se sentant déchiré, arraché. Cette sensation de faiblesse, d'impuissance, de soumission, de douleur est insupportable, surtout pour elle en particulier n'admettant jamais un tort, une plaie, une défaite. Là, elle y était obligée. Elle criait son mâle, intérieur et extérieur, à s'en casser la voix, devenant folle de rage, bavant comme un animal malade, ivre de colère et de douleur, les yeux dénuées de toutes raisons.
Emarie assistait désespérée à ce spectacle et voyait sa sœur souffrir. Elle, qui n'avait qu'une vision renfermé de sa jumelle la voyait ,pour la première fois de leurs existence, souffrir à plein poumon. Une larme coula de ses yeux bleu ciel, pourquoi tant d'injustice ? Pourquoi Almaziane et pas elle ? Pourquoi après son sacrifice ? Elle commença elle aussi à hurler, suppliante, secouant les barreaux,

- NON ! NON PITIÉ ! ARRÊTE ! ARRÊTE ! JE T'EN SUPPLIE !

Au bout d'un instant, pendant lequel elle put voir que ces supplications n'avaient comme effet que d'amuser le prédateur, celui-ci déclara à trois de ses sbires gobelins,

–L'autre est à vous.

Elle écarquilla les yeux,

- Non !

Elle se recula au fond de la cage mais ils la saisirent et l'extirpèrent avant de la mettre à quatre pattes, elle se mit à pleurer, des larmes coulant sur ses joues. Un gobelin lui enfonça son membre dans la joue, elle ferma les yeux, il réussi à la mettre dans sa bouche, elle se laissa faire sans bouger. Un deuxième lui enleva ses bas et s'enfonça en elle. Un troisième arracha son haut et palpa sa poitrine sans douceur. Elle fut ainsi malmenée dans tout les sens tandis qu'elle continuait de pleurer, yeux fermés, acceptant le fatal sort sans bouger.

Le Maître

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Re : Prises dans les griffes du dragon (Maître)

Réponse 11 vendredi 02 mai 2014, 15:25:10

Mes troupes n’ont jamais fait dans la finesse, mais tout-de-même, ils s’en donnent à cœur joie cette fois là. Ragräg Targ... ce terranide hyène monte dans mon estime. La façon dont il fait souffrir la petite humaine ailée est admirable en soi. Cela manque beaucoup de subtilité et de psychologie, bien sûr, ce n’est qu’une bête. Mais pourtant, il sait bien user de ses atouts naturels. Le spectacle est alléchant.

Je n’aurais jamais pensé qu’un sexe féminin puisse tant saigner. Le moindre mouvement du pénis dans la chair rouge de l’oiselle est maintenant suivie d’une petite gerbe de sang. C’est presque comme s’il la poignardait directement entre les jambes... et avec une puissance dans les assauts que bien peu d’humains sont capables de fournir. Cela n’a plus grand-chose de sexuel : ce serait un exploit de ressentir du plaisir alors que presque toutes ses zones érogènes sont écorchées. Je crois que l’on peut appeler ça une boucherie. Il existe des tortures pires, bien sûr ! Mais pas beaucoup.

Quant au sort de la seconde... il n’est pas beaucoup plus enviable. Elle a seulement de la chance que les verges des gobelins soient bien moins barbelées. Ils n’en sont en revanche pas moins violents. La jeune fille est malmenée de tous les côtés : les sexes des gobelins la poussent successivement en arrière et en avant, l’un frottant jusqu’au fond de sa gorge, l’autre contre les parois rêches de son vagin. Le dernier semble vouloir se fourrer un peu partout, et tâte comme il peut toutes les parties de son corps. Finalement, il lui attrape le bras et lui tord dans le dos, faisant en sorte qu’il forme un angle assez aigu. C’est un fourreau parfait où il coince son pénis et le fait jouer contre l’épiderme.

Le problème avec le manque de retenue, c’est que ça ne dure jamais longtemps. Ragräg, au bout de quelques minutes de coït sanglant, arrive au bout de son endurance. Il s’en suit une série de coups de reins plus puissants encore, et finalement, il éjacule dans la femelle. Son sexe déploie ses dernières piques et des secousses convulsives l’enfoncent complètement. Il pousse un râle de plaisir.

Ahhh. J’espère que ça t’a plu. Attend, y’a encore le plus difficile.

Il cherche à faire ressortir son pénis de l’oiselle. Dans les accouplements traditionnels, les amants restent collés l’un à l’autre encore une demi-dizaine de minutes après l’orgasme, car les reliefs du sexe sont encore trop acérés. Lui n’a pas cette patience : il attrape le fessier de la demoiselle, et prend appui dessus. Il le pousse avec force vers le sol pour parvenir à déloger le phallus. Ce dernier s’extrait tant bien que mal, ses pointes recourbées arrachant de gros lambeaux de chair. Puis il la laisse là, gisant au sol et dans son propre sang, certainement incapable de marcher. Une marre de liquide rouge, mêlé à une substance jaunâtre et visqueuse se forme entre les jambes de la jeune femme.

Qui est la pacotille, maintenant ?

Les gobelins ne sont pas beaucoup plus longs à venir que lui. C’est d’abord celui qui pénètre le vagin qui se décharge à l’intérieur de la cavité. Puis celui qui est occupé avec la bouche le suit, tenant la mâchoire de sa victime pour l’obliger à accepter l’offrande qu’il lui fait. Il est immédiatement poussé par celui qui n’avait pas de véritable orifice : il n’a pas le temps de forcer le passage des lèvres. Trop excité, sa semence gicle directement sur le visage de l’oiselle alors que son pénis dressé en caresse les reliefs.

Ils ricanent et se regardent, regardent l’être à leur merci. Ils la prennent et la retournent sur le dos, et se place au-dessus d’elle. Ils attrapent chacun leur verge, et se soulagent ensemble sur le corps blanc. Leur urine, épaisse et odorante, dégouline sur le visage, le cou et la poitrine, qu’ils ont volontairement ciblées. Ils tentent même de viser la bouche, sachant qu’elle risque de toute façon d’en avaler un peu.

Cela fait, les deux oiselles ont reconduites dans leur cage. Elles peuvent voir que d’autres femmes, ailleurs, ont subi des traitements semblables. Les plus jolies sont hissées sur d’autres chariots, tout comme le sont le reste des maigres richesses trouvées dans le village. Elles doivent avoir conscience de n’être qu’un butin comme un autre.

Puis la caravane de pillards se met en route, tirée par les animaux volés aux villageois. Leur geôlier est le gobelin avec la tresse : perché sur son warg, il les suit pendant le voyage, leur lançant des regards torves. Les effets de la sphère d'anti-magie ne devraient pas se dissiper avant la fin du trajet. Je me dis que la femelle aux iris violets souffre peut-être d'une hémorragie. Qu'elle meurt avant d'arriver me désolerait, vraiment.


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