Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

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Le Diablotin

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Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

dimanche 15 décembre 2013, 21:43:55

L’église était silencieuse ce soir. Elle n’était guère éclairée que par quelques bougies installées près de l’autel. Les ouailles étaient parties, et, dehors, le manteau de la nuit s’était abattu sur la ville. Nexus, dès le soir plongeant, devenait une autre ville. Les allées sinueuses devenaient des ruelles dangereuses, et la ville, silencieusement, réglait ses comptes. Cela, Alastar le savait, mais s’en moquait éperdument. Il avançait discrètement dans les rues de la ville, évitant soigneusement les patrouilles de gardes, ne s’attardant pas près des prostituées qui l’observaient. Un manteau noirâtre avec un capuchon le recouvrait, dissimulant sa peau rouge et sa longue queue caudale, alors qu’il évitait les camés gisant sur le sol, les prostituées défoncées dans des tenues aguicheuses, les loubards le regardant nerveusement.

« Une passe, mon mignon ?
 -  Un p’tit coup rapide ? »

Il avançait sans s’intéresser à ces gens. Alastar craignait surtout qu’on ne remarque sa couleur de peau, et qu’on ne l’assimile à un Ashnardien. C’était pour ça qu’il évitait les gardes, tout en se rapprochant de l’église. Il s’éloignait des bas-fonds pour rejoindre des quartiers un peu plus sûrs, et l’aperçut.

*Là est l’appel... Je le sens...*

Un léger sourire naquit sur ses lèvres. L’église était fermée, mais il y avait encore un être à l’intérieur, une âme. Alastar sentait cet appel, cette pulsion qu’il avait ressentie dans le Flux. Le Flux... C’était ainsi que sa mère appelait cette espèce de grande toile sexuelle d’où les succubes pouvaient ressentir les « nœuds », ces endroits où des âmes désespérées appelaient à l’aide. Le Flux avait son propre monde, ses propres règles, et récemment, Alastar avait perçu, avec l’aide de sa mère, un écho lointain, dans les profondeurs d’une ville magnifiée par la luxure et la corruption : Nexus-la-Grande, la glorieuse et multimillénaire cité qui était en train de dépérir. L’appel dans le Flux s’était tari, mais Alastar savait que les humains étaient des créatures de chair. Il n’était guère surpris de voir que cette jeune femme éplorée était dans une église. L’Ordre Immaculé, ces religieux que les succubes et les incubes haïssaient, avaient probablement du essayer de la convaincre de l’horreur abjecte que représentait le sexe. Comment pouvait-on tolérer ça ? D’un autre côté... D’un autre côté, Alastar aimait le challenge, le défi, et une nonne... Au-delà de la sensation de jouissance qu’il ressentirait en la violant, en l’insultant, en la provoquant et l’humiliant, ce serait aussi une sorte de victoire envers un système clérical qui se dressait comme ennemi suprême des démons, une victoire qui serait donc doublement jouissive.

De plus, une nonne était, par nature, excitante... Et, vu que l’appel dans le Flux de cette dernière avait perduré tout de même un certain temps, Alastar en déduisait que la repentie devait avoir eu une belle activité sexuelle avant que ses parents ne choisissent de la confier à l’Ordre. Le démon ne sentait rien de particulier, d’un point de vue sexuel, en approchant. L’Ordre avait calmé les pulsions de la jeune femme, et lui venait pour les relancer.

Alastar s’avançait vers la porte d’entrée de l’église. Elle était close, mais ce n’était pas ça qui le dérangerait. Il se téléporta tout simplement à l’intérieur, et s’approcha lentement vers la femme, traversant la nef. Elle se tenait, de dos, près de l’autel, et, tandis qu’il marchait, il utilisa ses dons de polymorphisme pour se transformer.

*Le viol est une chose, mais c’est toujours plus jouissif quand les femmes sont perverties...*

Il se transforma donc pour prendre l’apparence d’un homme assez bourru, avec une barbe, et une allure assez triste dans les yeux, dans l’objectif d’essayer de l’émouvoir. Il s’approcha de l’autel, et s’arrêta à bonne distance, ayant délaissé son manteau noir.

« Ma... Madame ? lança-t-il d’une voix d’humain, peu assurée. Je... Je suis désolé de vous déranger à une heure si tardive, mais... J’aurais énormément besoin d’aller à confesse avec un membre de l’Ordre. Je ressens le besoin de me faire pardonner pour mes péchés. »

Sa voix d’humain était douce, afin de rassurer cette belle humaine. Il s’imaginait déjà en train de lui attraper les fesses, de la plaquer contre le mur, et de lui défoncer le cul en l’insultant copieusement.

*Calme-toi, mon petit Alastar, calme-toi... Pas tout de suite, pas tout de suite...*

Il la voulait déjà dans le confessionnal.
DC d’Alice Korvander.

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Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 1 dimanche 15 décembre 2013, 22:30:04

Aujourd'hui  Arphélia était restée plus tard que d'ordinaire. Habituellement, à cette heure, la nonne profitait de la chaleur de ses draps mais ce soir, étrangement, beaucoup de pécheurs avaient ressentit le besoin de se confesser. En faite, depuis qu'elle était arrivée, il paraîtrait que la gente masculine s'était fait plus présente dans l'église.. Enfin bref. Toujours est-il que la jeune femme avait encore une dernière prière à faire avant d'aller se coucher. 

Aussi, elle traversa la Nef centrale afin d'aller fermer la grande porte de l'église. S'assurant qu'elle était belle et bien verrouillée, elle fit demi-tour et se rendit devant l'autel afin d'y exécuter une dernière prière. Une fois bien devant, elle leva les yeux vers le Christ et s'agenouilla, joignant ses mains entre elles contre sa poitrine pour entamer sa prière. En vérité, Arphélia faisait tous les efforts du monde pour se consacrer au maximum à ses croyances. Tous les jours, sans cesse, sans relâche, elle ne cessait de prier, de lire la Bible, d'écouter, de pardonner... Même si on aurait tendance à penser le contraire, le métier de bonne sœur était quelque peu fatiguant. En faite, il lui arrivait très souvent de regretter son ancienne vie.. En y repensant, la belle jeune femme se mit à frissonner et fronça les sourcils, tentant par tous les moyens de retrouver son calme.

*Pense à autre chose, pense à autre chose... Oh non je ne peux pas... J'en ai besoin... De bonnes grosses queues bien juteuses... *

Sans qu'elle ne puisse s'en empêcher, la petite blondinette se trémoussa sur place tandis que son cœur s'affolait dans sa poitrine. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas eut le droit de goûter au plaisir de la chair que chaque fois qu'elle pensait au sexe, son corps tout entier bouillonnait de frustration et la rendait folle.

* Calme-toi, ne pense pas à ça... Tu n'es plus ce genre de femme...  Ne pense pas à ce qu'un homme pourrait te faire si il était là, seul avec toi... Ô Seigneur...*

Alors que la bonne sœur s’efforçait de garder son calme, elle se rendit compte que ses tétons étaient en train de se manifester. Honteuse, elle se mit à rougir et camoufla sa poitrine comme si quelqu'un pouvait la voir. Puis, lentement, très lentement, elle fit glisser quelques doigts le long de son corps... D'abord sur le ventre, entre ses cuisses et...

- A..Aaaaah !

En entendant quelqu'un arriver, elle se leva d'un bond avant de se retourner pour faire face à l'individu, oubliant même que cet homme pouvait apercevoir le bout de ses seins à travers sa tenue. Troublée, Arphélia resta muette pendant de longues secondes jusqu'à ce que l'homme lui fasse part de la raison de sa présence.

- Vous.. Vous m'avez vu.. ? (Elle écarquilla les yeux de surprise et mit une main devant sa bouche avant de reprendre) Enfin je veux dire, comment êtes vous entré ? La porte était fermé et...

Elle se coupa en réalisant que cet homme avait l'air bien triste. Ressentant le besoin de l'aider, elle lui adressa un petit sourire réconfortant puis hocha doucement la tête, l'incitant à la suivre dans le confessionnal. Alors qu'ils avançaient, la petite nonne dandinait des fesses, fesses que l'on pouvait d'ailleurs apercevoir aisément tant sa tenue moulait ses formes. Le faire exprès ? Non, elle avait toujours eu cette façon particulière de marcher.. Lorsqu'il atteignirent le confessionnal, Arphélia entra dans son petit coin étroit avant de refermer la porte afin qu'ils soient dans le noir le plus total.
 
- Bien, dites moi ce que vous avez sur le cœur mon brave Monsieur.. Le Seigneur vous pardonnera de tous vos péchés... Quels qu'ils soient.
« Modifié: dimanche 15 décembre 2013, 22:37:23 par Arphélia Von Krone »

Le Diablotin

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 2 lundi 16 décembre 2013, 01:47:27

Il perçut cet appel... Cette savoureuse odeur qui attirait les incubes et les succubes avec la même force que la miel attirait les ours : le sexe. Il dut retenir à grands coups un sourire devant cette femme. Finalement, il était possible que l’appel du Flux ne soit pas aussi vieux que ça... À moins que ça ne vienne de lui ? Un incube dégageait naturellement une certaine aura, et, vu la manière dont cette femme semblait troublée, il avait le droit de se demander s’il n’était pas, inconsciemment, lié à son émoi. Il pouvait voir le bout de ses seins mouler à travers sa robe, ce qui lui asséchait sa gorge, lui donnant envie de presser ses seins à travers la robe en la plaquant contre le mur, afin de le traiter de catin, de traînée qui était en train de déshonorer l’Ordre Immaculé. Jouer sur la culpabilité des humains était quelque qui était délicieusement excitant. Comme quoi, Alastar ne pouvait pas dire que du mal de l’Ordre. Grâce à eux, séduire de belles jeunes femmes était encore plus excitant.

En lisant la détresse dans ses yeux, entièrement feinte, la jeune femme accepta d’ouvrir une confession, sans se poser de plus amples questions. Alastar comprit qu’elle devait probablement être naïve, ou manquer d’expérience sur la cruauté et le sadisme des autres. La porte d’entrée étant fermée, il n’avait pas pu pénétrer dans l’église autrement que par la magie. Tandis que la femme s’avançait vers le confessionnal, en moulant des fesses, provoquant une belle érection dans le pantalon du démon, Alastar tourna la tête vers la croix en bois de l’Homme-Jésus, et esquissa un sourire. Ses pulsions le reprenaient, et il sentit sa queue pousser dans son dos, tandis que ses yeux se mirent à luire. Alastar serra les poings. D’aucuns prétendaient qu’une église était par nature un lieu saint, excluant les démons. C’était là pur fantasme, évidemment. Les lieux saints capables de repousser les âmes démoniaques et corrompues étaient extrêmement rares, d’autant plus qu’Alastar estimait qu’il n’était nullement en train de corrompre les gens. Bien au contraire, il avait tendance à considérer sa mission comme sainte, puisqu’elle consistait à égayer les instincts des gens, et à les soulager de leur misère sexuelle.

*Tout dans cette femme est le signe d’une ancienne traînée... Elle a du avoir une longue journée, et devait penser pouvoir se soulager seule, sans aucun regard sur elle...*

Sans rien dire, Alastar s’avança. Son sexe commençait à déformer son pantalon, et il pénétra à l’intérieur du confessionnal, s’asseyant sur le banc.

« Bien, dites moi ce que vous avez sur le cœur mon brave Monsieur.. Le Seigneur vous pardonnera de tous vos péchés... Quels qu'ils soient. »

Il savoura cette délicieuse petite voix, et posa l’arrière de son crâne contre le mur, tout en réfléchissant à la meilleure manière d’aborder cette femme. Alastar savait que, s’il se ruait sur elle, et lui déchirait les vêtements, sa résistance ne durerait pas longtemps... Mais notre brave diablotin était joueur. Dans l’obscurité du confessionnal, à travers la grille, il savait qu’on ne voyait pas grand-chose, et son sexe le démangeait. Il défit donc les lacets de son pantalon, et le laissa s’exhiber à l’air libre, étouffant un léger soupir, ses mains redevenues rouges.

« Hum... Je vous avouerais que je ne sais pas trop par où commencer... Ma Mère. Il y a tellement de péchés dont je me sens coupable que j’ai du mal à savoir par lequel commencer... »

Il attendit quelques secondes, et poursuivit. Il voulait la mettre à l’épreuve, la troubler. Il se contrôla, et ses mains redevinrent normales, alors qu’il alla les poser sur la grille les séparant, ses doigts se serrant lentement.

« Le péché de chair, ma Mère, voilà ce dont je suis réellement coupable... Je suis un professeur à l’académie magique de Nexus, dans la section juridique, et... Enfin... Si j’ai décidé de venir à confesse, c’est parce que, il y a à peine une heure, l’amie de ma fille est venue chez nous... Ma fille a une vingtaine d’années, et son amie était... Elle avait ses gants, ce corset, ses bottes, ses collants... Comment aurais-je pu résister ? »

Alastar émit une pause, légèrement théâtrale, avant de reprendre, son sexe commençant à lui faire mal. Il le masturba lentement avec son autre main, avant de reprendre :

« Je l’ai culbuté dans la cuisine. Elle venait pour se désaltérer, et, vous voyez, elle avait cette manière de remuer les hanches, en les frottant l’une contre l’autre, avec ce petit parfum que les putes mettent pour racoler leurs clients dans les beaux quartiers... Je l’ai plaqué contre le mur, et, malgré ses gémissements, mon sexe... Il... Il était si dur, il me faisait si mal... C’était comme si je ne pouvais pas me retenir... J’ai tiré sur sa culotte, tout en la traitant de... De ‘‘salope’’, de ‘‘misérable pute bonne à se faire fourrer’’, et je lui ai défoncé le cul. Oh putain, j’étais en forme, en plus, je donnais, je donnais, et elle couinait, couinait... Comment vous dire ? Je ne me contrôlais plus... Exactement comme cette fois où j’ai pris l’une de mes étudiantes à l’académie en levrette dans mon bureau... Mère, c’était si bon, tellement bon... Et, quand j’ai lâché cette petite salope, qu’elle s’est écroulée sur le sol en pleurant, et que j’ai vu ma fille, dans mon dos, l’air complètement affolé, tout ce que je pensais, c’est à fourrer ma queue dans sa bouche, et à la faire couiner comme une sale chienne. »

L’homme déglutit, et relâcha ses doigts de la grille, avant d’appuyer à nouveau dessus.

« Est-ce normal que je ne ressente aucun remords, ma Mère ? »
DC d’Alice Korvander.

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Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 3 samedi 04 janvier 2014, 11:29:40

Elle s'assit donc sur le petit banc, s'assurant malgré tout  de rester à une certaine distance du pécheur. Non pas qu'elle avait peur de lui mais.. Elle ignorait toujours comment il s'y était prit pour pénétrer dans l'église et surtout, elle cherchait à cacher l'intenable excitation qui la rongeait. Lorsqu'elle avait vue cet homme entrer, Arphélia s'était surprise à fantasmer sur ce qu'il aurait pu lui faire.. Sexuellement parlant bien sûr. Peut-être qu'il aurait pu.. Se ruer sur elle.., lui déchirer ses vêtements.., la forcer à s'agenouiller et.. Elle secoua la tête, furieuse en réalisant qu'elle fantasmait encore. Pourquoi diable n'arrivait-elle pas à penser à autre chose ? La honte l'envahit d'abord puis, elle se rappela que, de l'autre côté de la grille, un gentilhomme attendait de pouvoir se confesser. Aussi, elle prit une profonde inspiration et se détendit progressivement, prête à écouter.

- Hum... Je vous avouerais que je ne sais pas trop par où commencer... Ma Mère. Il y a tellement de péchés dont je me sens coupable que j’ai du mal à savoir par lequel commencer...

Elle ferma les yeux, cherchant à faire le point dans sa tête. D'une part, une petite voix lui criait de se méfier et de sortir d'ici le plus vite possible. D'autre part, une autre petite voix lui rappelait que seul le Tout-Puissant pouvait juger les hommes et ainsi, qu'en aucun droit, elle ne pouvait se permettre de le juger et de porter des conclusions trop hâtives. La nonne hésita un bref instant puis décida de l'encourager afin qu'il puisse tout déballer.

- N'hésitez pas mon fils... Prenez votre temps. Elle marqua une courte pause et reprit. Vous oublierez vos fautes après vous être confessé.

Remarquant les doigts sur la grille, elle sursauta d'abord puis, histoire de le rassurer quelque peu,  les effleura du bout de ses propres doigts jusqu'à ce qu'il évoque le Péché de chair. Aussitôt, elle se crispa et retira brusquement sa main, la posant sur sa cuisse. Au fur et à mesure qu'il parlait, Arphélia sentait son coeur s'affoler dans sa poitrine à un point tel que son souffle devenait plus irrégulier voir saccadé. Elle se mordit la lèvre inférieur pour se calmer mais n'y parvint pas. Bientôt, ses jambes se frottèrent entre elles et elle dut faire un effort considérable pour ne pas glisser une main entre ses cuisses. Ses paroles agissaient sur elle comme un aphrodisiaque et elle savait que, si il n'arrêtait pas bientôt, elle allait craquer. Comme quoi, son côté nymphomane venait de refaire surface.. Non, en faite, il n'avait jamais disparu.

Lorsqu'il eut fini, elle avala sa salive et entrouvrit les lèvres pour dire quelque chose mais aucun son ne sortit. Elle était si troublée, tellement excitée qu'elle ne trouvait pas quoi lui répondre. Cet homme.. Il était exactement ce dont elle rêvait depuis des mois et des mois.. Si il savait à quel point elle avait envie lui en ce moment même, il la traiterait sûrement de "grosse salope".

*Non.. Tu n'es pas ce genre de fille Arphélia.. Tu ne l'es plus, reprends toi !*

Elle inspira profondément, une fois encore et glissa ses deux mains entre ses cuisses en espérant calmer sa petite chatte qui ne cessait de la démanger depuis un bon moment déjà. La nonne hésita un moment avant de prendre la parole mais y parvient, non sans balbutier toutefois.

- Eh bien... Vous... Il s'agit probablement de... Enfin...

Ne trouvant pas les mots, elle baissa les yeux.

- Je suis confuse.. Je dois vous avouer que... Ce genre de confession me met très mal à l'aise... Pardonnez moi... avoua-t-elle tout en agitant quelques doigts entre ses cuisses..

Le Diablotin

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 4 dimanche 05 janvier 2014, 00:37:52

« Eh bien... Vous... Il s'agit probablement de... Enfin... »

Un léger sourire éclaira les belles lèvres du Diablotin. Déguisé en humain, il peinait de plus en plus à se contrôler, à retenir son apparence démoniaque. L’incube ressentait l’excitation sexuelle de cette nonne. Loin de l’horrifier, son discours l’avait excité, ce qu’il sentait à travers cette grille. Les effluves remontaient dans son nez, formant comme une délicieuse odeur de sexe. Alastar se mordilla les lèvres, en sentant son érection s’accroître. Sa main continuait à joueur sur son sexe, et il peinait à se contrôler. Son érections ‘accroissait, et sa tête s’écrasa contre le fond du confessionnal. Il ferma les yeux, en soupirant silencieusement, et continua à se masturber, lentement, pinçant ses lèvres, évitant de soupirer. Un léger silence pesant s’installa dans le confessionnal. L’excitation sexuelle de la nonne influait sur sa propre excitation.

Tandis que la jeune femme hésitait, lui avait de délicieuses visions dans sa tête, où il l’enculait comme une chienne, défonçant son cul en la claquant, tandis que sa queue caudale enchaînait les gorges profondes. Se taper une religieuse... Dans une église ! Pour le Diablotin, c’était un fantasme, tout simplement. Un succulent fantasme qu’il allait pouvoir réaliser. Son sperme inonderait le bénitier de l’église, et il la prendrait sur l’autel, longuement, violemment, passionnément. Oh oui, ce serait magnifique !

« Je suis confuse.. Je dois vous avouer que... Ce genre de confession me met très mal à l'aise... Pardonnez moi... »

Très mal à l’aise... Alastar sourit silencieusement. Yeux clos, il les rouvrit, et ses yeux brillaient dans la nuit.

« Hum... Je vous comprends, ma Mère... »

Il sentait l’excitation entre les cuisses de la femme. La sœur ne tarderait certainement pas à aller se caresser. Elle n’était pas de taille contre lui, et la suite était désormais clairement prévisible. Le Diablotin sentit son dos remuer, et sa queue caudale apparaître. Progressivement, il se transforma totalement, ses vêtements humains tombant pour relever sa tenue démoniaque habituelle : des bottes, une grosse culotte recouvrant son sexe, et deux espèces de ceintures en cuir le long de son torse glabre, ainsi que des cuissardes. Sa main se crispa autour de son sexe, et, dans un soupir, il jouit. Son sperme jaillit de sa queue, venant éclabousser le sol, ainsi que ses doigts, et il les approcha de sa bouche, les léchant lentement.

Le Diablotin tourna alors sa tête vers la grille, et parla, d’une voix désormais bien plus sensuelle, car il ne parlait plus sous sa forme d’humaine :

« Je viens de jouir, ma Mère. De belles tâches de sperme ornent désormais le sol. Votre sol. »

Il l’annonçait sans difficulté, et poursuivit, d’une voix qui devenait également légèrement moqueuse, comme s’il se gaussait de cette situation. Son sexe était à l’air, toujours en érection, formant un beau tas rouge, une belle barre érigée vers le plafond.

« Qu’allez-vous faire, maintenant ? reprit-il, un sourire sur le coin des lèvres. Continuer à vous tripoter comme une grosse pute, salope que vous êtes, ou venir m’expulser de votre confessionnal pour l’avoir souillé ? Dites-moi de le partir, dites-le avec conviction, en vous dressant face à moi, et je le ferais. »

Il se rapprocha lentement, et posa ses doigts dans la grille, permettant à la nonne d’apercevoir ses griffes rouges.

« Dites-moi de partir, ou vous serez ma salope pour cette nuit. »
DC d’Alice Korvander.

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Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 5 dimanche 05 janvier 2014, 01:18:27

Elle qui ne s'était pas tripotée depuis un bon bout de temps prenait un plaisir fou à effleurer son clitoris et ce, même par dessus ses vêtements. La nymphomane était délicieusement excitée et les aveux de l'homme n'avait pas arranger les choses. De ce fait, sa petite culotte était à présent complètement mouillée au point qu'une odeur de mouille lui parvenait aux narines. Arphélia se pinça la lèvre inférieur, luttant à un point inimaginable pour se contrôler et résister à l'envie d'écarter sa petite culotte pour se tripoter comme la dernière des putes. Elle savait pertinemment qu'en tant que "Prêtresse de l'Ordre Immaculé", il lui était formellement interdit de se comporter de la sorte.. En faite, elle ne devait même pas songer au sexe en soi. Mais c'était plus fort qu'elle, elle ne parvenait pas à se contrôler. Doucement, trèès doucement, elle glissa sa deuxième main sur sa robe pour la soulever, laissant ainsi apparaître une belle paire de jambes accompagnée de bas plus que provocants. Alors qu'elle s'apprêtait à décaler sa lingerie carrément trempée, elle distingua deux petits ronds brillants. Elle plissa les yeux, cherchant à voir de quoi il s'agissait et découvrit avec stupeur qu'il s'agissait d'une paire d'yeux. Apeurée, elle commença à paniquer et se releva brusquement, se cognant la tête avant de retomber sur le banc, un peu sonnée.

Il fallut un peu de temps à la nonne pour qu'elle s'en remette et pour qu'elle comprenne que le pécheur n'avait en faite rien d'humain.

- M-M-Mais vous..! Vous n'êtes pas..! Vous n'êtes pas humain !

Complètement affolée, Arphélia tâtonna les murs à la recherche d'une éventuelle sortie. Elle était tellement troublée qu'elle ne savait même plus où elle se trouvait. Alors qu'elle s'acharnait à trouver un échappatoire, elle sentit un souffle chaud lui caresser l'oreille, la forçant ainsi à tourner la tête vers le démon aux yeux luisants.

- Je viens de jouir, ma Mère. De belles tâches de sperme ornent désormais le sol. Votre sol.

Cette révélation la choqua tellement qu'elle laissa échapper une sorte de jappement. Même si elle refusait de le croire, elle pouvait sentir cet odeur si familière planer dans le confessionnal. Du sperme.. Il y'avait du sperme juste à côté d'elle. La gorge sèche, elle dut avaler sa salive. Sa bouche, sa langue et même sa gorge réclamaient ce jus bien crémeux..

*Il y'a tellement longtemps que je n'y ai pas goûté.. Ahh.. Du sperme bien frais...*

Elle hésitait, partagée entre l'envie de se faire démonter comme une vraie salope et l'envie de fuir ce démon qui ne tarderait pas à la souiller.

- Vous... Vous ne...

Il la coupa, lui faisant comprendre qu'il savait qu'elle s'était tripotée. Rouge de honte, la nonne voulut forcer la porte du confessionnal et s'enfuir loin d'ici mais elle ne pouvait pas, son corps ne voulait pas. Lorsqu'elle vit les griffes du démon à travers la grille, elle eut un déclic. Il fallait qu'elle fuit.. Qu'elle fuit loin d'ici avant qu'il ne l'attrape et la force à replonger dans la luxure. Subitement, elle recula le plus loin possible et arracha son collier, tendant le crucifie en direction du démon en espérant l'éloigner.

- N'approchez pas ! Vous êtes une.. Une créature du Diable, de Satan lui même ! Allez-vous en, tout de suite !

Si il était doté d'une bonne vue, le démon pouvait constater que la petite culotte d'Arphélia était transparente tant elle avait mouillée.. Libre à lui de partir, ou de rester.

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 6 dimanche 05 janvier 2014, 18:46:55

« N'approchez pas ! Vous êtes une... Une créature du Diable, de Satan lui même ! Allez-vous en, tout de suite ! »

Devant cette hypocrisie, Alastar ne put s’empêcher de rire. Un rire bref et moqueur, avant qu’il en secoue la tête, et ne se relève alors, lentement. Sa main attrapa à nouveau la grille séparant les deux parties du confessionnal, et, d’un coup sec, il l’arracha, l’envoyant sur le sol.

« Parce que vous vous croyez différente, ma Mère ? Croyez-vous donc que la Grâce Divine ait touché les humains, eux aussi, ces êtres si petits et si égoïstes ? Créatures du Diable... Alors, nous sommes égaux, vous et moi... »

La queue caudale du démon jaillit alors, comme un serpent, et s’enroula autour de la nuque de la belle sœur, avant de tirer d’un coup sec, renversant la nonne sur le sol. Elle tomba la tête la première, sa tête près du rideau, ses fesses redressées en arrière. Le temps qu’elle puisse éventuellement songer à se relever, le Diablotin s’était relevé, et était sorti du confessionnal, sa queue glissant derrière lui, heurtant le mur. De sa main, il arracha le rideau qui se trouvait du côté de la nonne, et le laissa tomber au sol, dévoilant l’homme. Il était éclairé par les bougies de l’église, ce qui faisait qu’on ne le voyait pas trop. Sa peau était sombre, et seuls ses deux beaux yeux bleus luisaient, tandis que sa queue caudale ondoyait autour de lui. Il se pencha vers la femme, et l’attrapa par les cheveux, la traînant par le sol. Elle aurait beau se débattre, Alastar était un démon. Sa force était supérieure à celle d’un humain classique, et il la traîna sur le sol.

Il savait que la sœur mouillait. Pas besoin de la voir pour le constater : il suffisait de faire appel à son odorat. Il sentait la cyprine qui s’échappait de son intimité. Il se pencha vers elle, et la retourna sur le dos. Voyant qu’elle s’agitait un peu, mue par un réflexe d’autodéfense très classique, il l’attrapa à la gorge, et serra. Sa poigne était de fer, comme si un étau d’acier l’encerclait. Peu à peu, il l’étranglait, l’étouffant, un sourire sadique naissant sur ses lèvres. La voir gémir, tenter d’inspirer de l’air, accrut sensiblement son excitation. Un frisson de pouvoir remonta le long de son corps. Elle était à lui, rien qu’à lui ! Oh, comme cette sensation était enivrante ! Il continuait à serrer, et sa queue caudale vint caresser la culotte de la nonne, s’enfonçant à hauteur de son intimité, mimant une pénétration.

Soné rection était accrue, et il relâcha peu à peu sa prise lorsque la femme cessa de se débattre. Quand elle fut calmée, il retira sa main pour de bon, la laissant respirer, tout en retirant sa queue caudale. Il attendit quelques secondes, fléchissant les genoux à côté d’elle, caressant d’une main distraite ses cheveux.

« Il faut plus que des mots pour me repousser, jeune femme... Il faut de la conviction. Mais, vu que vous inondez vos sous-vêtements comme la pire des putes, j’en déduis une chose évidente : vous me désirez. »

Il se pencha un peu plus vers elle. Le Diablotin était derrière elle, et il la coucha sur le flanc, l’embrassant sur l’épaule, remontant jusqu’à son oreille. De ses mains, il défit la robe de la femme, s’aidant de sa queue. Elle reprenait encore son souffle, et ne pouvait donc pas s’y opposer. Sa robe partit au loin, révélant des vêtements plus qu’excitants : des jarretelles, un élégant corset, une belle culotte blanche trempée... Le sexe tendu d’Alastar frotta contre les fesses de la femme, alors qu’il se mit à susurrer dans le creux de l’oreille de la femme :

« Vous avez mouillé votre culotte en pensant à moi, un démon, un Incube... Pire, c’est votre propre frustration sexuelle qui m’a appelé. Sais-tu ce que tu es, ma sœur ? Tu n’es qu’une salope, une infâme pute qui mériterait de se faire baiser et enculer comme la pire des chiennes par une quarantaine d’hommes en rut qui te laboureraient le cul en te fouettant, et en traitant de tous les noms d’égout qui leur traverseraient l’esprit. En Enfer, tu serais ma chienne, une pute que je fourrerai de mon impériale queue tous els jours, et qui ne jouirait comme la pire des catins... Car, en définitive, c’est tout ce que tu es : une infâme salope... Une salope qui a soif, et qui va aller se sustenter... »

Alastar se redressa alors, et attrapa la femme par son chapeau, la ramenant dans le confessionnal, où elle se retrouva à quatre pattes, près des tâches de sperme offertes par le Diablotin, et qui maculaient le sol. Dans son dos, il fouetta alors les fesses de la sœur avec sa queue, donnant un grand coup, et donna un ordre, sur un ton sec, tout en posant ses mains griffues sur chacune de ses fesses.

« Passons aux choses sérieuses. Lèche, salope. »
DC d’Alice Korvander.

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Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 7 samedi 25 janvier 2014, 14:56:00

Prise de frissons, Arphélia se sentit défaillir. Sa tête heurta lourdement le mur et elle du prendre sur elle pour rester consciente. Lorsqu'il arracha la grille, un petit cri s'échappa de sa gorge et elle se releva avec lenteur, non sans quelques difficultés.

- Parce que vous vous croyez différente, ma Mère ? Croyez-vous donc que la Grâce Divine ait touché les humains, eux aussi, ces êtres si petits et si égoïstes ? Créatures du Diable... Alors, nous sommes égaux, vous et moi... 

Elle entrouvrit les lèvres pour lui répondre mais quelque chose l'en empêcha. Sans qu'elle n'eut le temps de comprendre quoique ce soit, elle se fit tirer en avant et percuta violemment le sol. Par pur réflexe, elle planta ses ongles dans l'espèce de corde qui semblait vouloir l'étouffer et réalisa qu'il s'agissait de la queue du démon. Rapidement, elle voulut se défaire de son emprise et constata avec surprise qu'il avait quitté le confessionnal en quelques secondes.

Arphélia chercha à se relever puis se figea quand le rideau tomba devant elle. Prudemment, elle leva les yeux puis les écarquilla en découvrant le démon en face d'elle. Elle n'y voyait pas grand chose à vrai dire.. Seulement deux beaux yeux bleus luisants ainsi qu'une queue qui semblait onduler comme un véritable serpent. Elle voulut dire quelque chose mais il l'attrapa sévèrement, la forçant à sortir du confessionnal.

- Aaahh ! Lâchez-moi ! Vous me faites mal !

La nonne se débattit comme elle le pu, poussant de petits gémissements plaintifs.

- C'est ainsi que les démons traitent les femmes en Enfer ?!

Lorsqu'il s'arrêta, elle prit appuie sur ses bras pour se relever mais il la retourna de justesse sur le dos avant de lui attraper la gorge. Privée d'air, Arphélia écarquilla les yeux et agita les jambes avec nervosité. Elle attrapa son poignet et le serra faiblement, gémissant et couinant pour qu'il ait pitié d'elle. Elle tentait de respirer et, n'y parvenant pas, les larmes ne tardèrent pas à perler le long de ses joues.

- S...s'il...vous...plait... souffla-t-elle d'une voix à peine audible.

Peu à peu, elle sentit qu'il relâchait la pression et prit une grosse bouffée d'air pour pouvoir respirer. Encore sous le choc, elle mit un peu de temps à s'en remettre et ne réagit que quelque peu à ses caresses. Toutefois, elle sentit qu'elle avait perdu une couche de vêtements ce qui la mit légèrement dans l'embarras. Quand elle sentit un truc long, dur et bien épais se caler entre ses fesses, Arphélia se trémoussa légèrement. Elle tendit le bras pour s'échapper mais ses chuchotements firent mouche ;  il avait raison, entièrement raison. Elle était une salope.. Une salope qui, depuis des années, ne rêvait que d'une chose.. Se faire baiser comme la pire des catins.

Depuis combien de temps exactement en rêvait-elle ? Combien de fois s'était-elle masturbée en réclamant une queue ? Combien de fois s'était-elle mise à fantasmer dans le confessionnal ? Et aujourd'hui ce démon était là, prêt à lui faire passer probablement la meilleure nuit de toute son existence. Elle ne pouvait pas, elle ne pouvait plus reculer en arrière. Ainsi, elle se laissa faire lorsqu'il la conduisit dans le confessionnal et se laissa presque tomber à quatre pattes, regardant le sperme avec une envie irrésistible de tout avaler. Elle ne mit d'ailleurs pas bien longtemps à lécher le sol, avalant la semence comme si ça vie en dépendait. Avec une lenteur calculée, elle raclait le sol avec sa langue pour pouvoir savourer ce délicieux nectar qui lui avait tant manqué. Tout en nettoyant le sol, elle glissa sa main droite sur sa lingerie pour tripoter sa petite chatte trempée qui ne cessait de réclamer son dû. Puis, lorsque le sperme commença à manquer, elle se redressa afin d'observer le démon du coin de l'oeil. Elle voulut lui dire quelque chose mais son regard descendit le long de son corps pour finir sur sa queue. Et lorsqu'elle la vit.. Si grosse, si palpitante, si pleine de vie.. La nymphomane se retourna pour lui faire face. A genoux devant lui, elle l'attrapa du bout des doigts et la tapota sur son visage, enivrée par l'odeur de cette grosse queue si imposante.

- Seigneur... Ça m'a tellement manquée...

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 8 dimanche 26 janvier 2014, 02:13:52

Alastar avait senti le fonctionnement de cette femme. Une ancienne repentie. Peut-être avait-elle vraiment, un jour, désiré changer de vie, mais il n’y croyait pas trop. Il pensait que les aventures sexuelles de cette femme avaient du énerver ses parents, qui l’avaient envoyé au couvent, en espérant que l’Ordre Immaculé et les préceptes religieux élèveraient les motivations de leur rebelle de fille, et la forceraient à s’assagir, et à mener une vie chaste et honorable. Le Diablotin s’amusait toujours de cette philosophie simpliste et faussement morale, qui voulait voir le sexe comme une sorte de maladie qu’on pouvait soigner. Le sexe était à la base de la vie, au centre de la Création. On ne pouvait pas le nier, mais la société faisait comme si, partant du principe que ce qui était au cœur du monde se devait d’être caché. Une sorte d’ambivalence troublante, mais dont il ne se plaignait pas. Le Diablotin n’allait pas cracher dans la soupe, et il y avait là quelque chose de doublement excitant. Non seulement il se tapait de belles nanas, mais il agissait un peu comme une sorte de vicieux professeur.

À quatre pattes, Arphélia offrait à la vue du Diablotin la vue de ses magnifiques fesses. Il l’avait laissé s’avancer vers le confessionnal, s’écartant un peu de son corps, s’imprégnant de cette atmosphère de sainteté. Coucher dans une église, c’était jouissif. Le sexe, c’était se perdre avec un autre, c’était fusionner, assembler deux corps pour qu’ils se transcendent. C’était, en un sens, un acte de foi. L’église était donc toute indiquée pour faire l’amour, et, si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait suggéré au Grand Confesseur de Nexus la possibilité d’organiser des soirées orgasmiques dans les églises.

La nonne avait cessé sa futile résistance, et léchait désormais les flaques de sperme. Le sperme d’un incube avait généralement des propriétés aphrodisiaques, mais il pensait que ce ne serait pas forcément nécessaire, vu le comportement de la petite Arphélia. La nonne avait renoué avec ce qu’elle était profondément : une femme qui aimait le sexe. Il aurait pu lui dire que c’était là tout à fait honorable, et qu’elle n’avait pas à en avoir honte, mais il n’était pas là pour la libérer. Il était là pour l’exciter, et pour s’exciter lui-même. Un contrat tacite les liait entre eux, l’obligeant à la satisfaire. Tandis que cette salope léchait le carrelage, lui avait une belle érection, déformant sa lourde culotte en cuir. Un sourire sur le coin des lèvres, il la vit ensuite se retourner, avant de se rapprocher de sa longue queue caudale. Créature de désir, elle vint alors se frotter contre sa queue, la faisant glisser le long de sa peau. Le Diablotin en eut un frémissement. Il avait les bras croisés, et les déplia, les faisant pendre à droite et à gauche de son corps, montrant de belles griffes.

« Seigneur... Ça m'a tellement manquée.. » soupira-t-elle.

Il sourit, tandis que sa queue caudale s’enroula lentement autour du cou de la femme.

« C’est bien pour ça que je suis venu. C’est toi qui m’as appelé, Arphélia. J’ai ressenti ta soif sexuelle, tu comprends ? Comme les vampires ressentent le sang, les incubes ressentent le sexe... J’ai senti un appel ici... Un appel inconscient, mais non moins exact... Celui d’une salope qui regrettait l’époque où elle se faisait défoncer le cul par des ivrognes et des hommes brutaux dans les bas-fonds de cette ville puante. »

Il restait debout devant elle, et sa queue caudale se resserra alors un peu autour du cou de la nonne, mais sans l’étouffer.

« Tu vas le dire, maintenant, ma petite pute... Tu vas dire que je suis ton Maître, et que tu n’es qu’une sale chienne, une pute qui ne désire que se faire défoncer le cul sévèrement. Je veux que tu t’insultes, que tu me donnes envie de te baiser. »

La perversion, c’était tout un art, un art qu’un incube se devait de maîtriser à la perfection. Il fléchit les genoux, sa queue caudale libérant le cou de la femme. Il posa alors chacune de ses mains sur les joues d’Arphélia. Ses mains étaient chaudes et réconfortantes, et il s’assura que son regard croise celui de la femme. Alastar pouvait être aussi bestial que romantique, et il se pencha vers elle, l’embrassant sur les lèvres. Il voulait qu’elle réalise qu’elle n’était qu’un jouet entre ses mains, qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait, et ce que bon lui semblait. Pendant plusieurs secondes, il l’embrassa ainsi, goûtant à la saveur de sa bouche, pour un long et sensuel baiser, enfonçant sa langue dans la bouche de la femme. Il s’imprégna de sa salive, de sa délicieuse odeur, de ses délicieux soupirs, tout en glissant l’une de ses mains sur l’un de ses seins, le serrant, le pinçant à hauteur du téton. Lentement, il tira sur le corset blanc de la jeune femme, pour découvrir ses deux lourds seins, et les pinça tous les deux, tout en l’embrassant.

Le baiser dura bien plusieurs minutes, avant qu’il ne rompe, en aventurant sa langue violette sur ses lèvres et sur le bout de son nez, dans un sourire espiègle. Il planta à nouveau ses yeux dans les siens.

« Je pourrais te faire l’amour ainsi, comme on le fait à une reine, avec sensualité, fermeté... Mais toi, tu n’es pas une reine, pas vrai ? Tu es une salope, et tu vas me le dire. »

Il se releva alors subitement, et la tira par les cheveux, faisant basculer sa tête, la penchant vers l’arrière.

« Insulte-toi, pétasse ! Allez, vite !! »
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Arphélia Von Krone

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 9 dimanche 03 mai 2015, 15:45:15

Elle ouvrit la bouche en grand, prête à avaler ce pieux de chair lorsqu'il vint enserrer sa gorge avec sa queue. Effrayée, elle déglutit et s'immobilise, n'osant plus faire le moindre geste par peur de se faire étrangler. Il prit la parole et elle écarquilla les yeux en apprenant qu'elle l'avait invoquée. Comment était-ce possible ? Elle se mordit la lèvre et jura entre ses dents : Jamais plus elle ne se toucherait en dehors de sa chambre. Il évoqua son passé et sa salive partit directement dans sa trachée, la faisant tousser bruyamment. Comment pouvait-il le savoir ? Se pourrait-il qu'il ait déjà prit l'apparence d'un ivrogne pour... Non, impossible... Elle déglutit à nouveau et opte pour le mensonge comme pour se rassurer elle même.

- Vous... Vous mentez...! Je ne suis pas une salope qui...se faisait sauter par n'importe qui..!! Je ne suis pas une assoiffée de sexe !

Il resserra la pression sur sa gorge et elle serra la mâchoire. La tête haute, elle le fusillait littéralement du regard. Le démon lui demanda alors de s'insulter et elle sourit, un air provoquant au visage. Même si ce qu'il venait de dire ne la laissait pas indifférente, elle fit la fière pour ne rien laisser paraître.

- Si vous croyez que je vais me rabaisser pour vous... Je vous enverrai en Enfer, Démon. Par tous les moyens possibles ! Vous allez le regretté, je vous le garantis...!

Il vint s'agenouiller pour lui saisir le visage et elle le fixa, luttant contre l'envie de venir embrasser ses lèvres bigrement sexy. L'idée la fit frémir et elle ne put qu'apprécier quand il vint déposer l'embrasser. Toute excitée, elle fut incapable de résister et répondit à son baiser avec fougue. De délicieuses sensations parcoururent son corps et elle poussa de nombreux soupirs de plaisir, réagissant à chaque caresse de sa langue violacée. Il vint attraper l'un de ses seins et elle mit fin au baiser pour pouvoir couiner.

-N-Nooon... Pas mes tétons... Vous... Vous n'avez pas le droit... ♥

Le fait qu'il joue avec ses tétons la rendait complètement folle et elle sentit ses forces la quitter. Sachant que s'il continuait ainsi elle sera incapable de lutter, elle abandonna toute idée de résistance. A quoi bon persister ? Quoiqu'il arrive, elle se fera ramoner les trous. Autant profiter... Il lui attrapa sévèrement les cheveux, lui arrachant un petit cri de douleur. Elle hésita un bref instant et finit par s’exécuter.

- Vous êtes mon Maître et je ne suis rien d'autre que votre petite pute en chaleur. Je vous appartient corps et âme, libre à vous de m'humilier, m'insulter et me brutaliser comme bon vous semble. Je suis votre chose, je ne vis que pour vous servir et satisfaire vos désirs... Utilisez-moi jusqu'à ce que je tombe dans les vapes ... ♥

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 10 lundi 04 mai 2015, 02:26:27

Arphélia ne tarda pas à lui faire une véritable déclaration d’amour. La tenant contre elle, jouant avec sa généreuse poitrine, Alastar esquissa un sourire en l’entendant répéter sa phrase, avec une envie lancinante et profonde dans la gorge. Tout son ton transpirait la lubricité et une envie violente de se faire méchamment défoncer et ramoner l’arrière-train. L’Incube sentait en lui des pulsions remonter le long de son être. Cette jeune religieuse était particulièrement belle, et le fait de se la taper dans une église rendait le moment encore plus délicieux... Comme une sorte d’ultime provocation envers la prétendue sainteté de l’être humain. En tous, aussi saints et dignes qu’ils puissent prétendre l’être, tous s’inclinaient devant les pulsions primaires et fondamentales...    Des pulsions de luxure, des pulsions de corps s’entremêlant, de chairs claquant l’une contre l’autre, des pulsions que notre Diablotin incarnait à la perfection.

Alastar sourit donc devant cet aveu, et, pourtant, n’agit pas immédiatement. Au lieu de ça, il délaissa ses seins, et posa une main sur son menton, la soulevant lentement. Il l’observa silencieusement, comme captivé par son beau visage, et, tout en tenant son menton, son autre main vit jouer avec ses mèches de cheveux. Cette fille était vraiment belle... Croire qu’elle pourrait gaspiller sa beauté en s’enterrant dans une église, c’était une offense au bon goût et à la beauté... Rien que pour ça, il aurait pu lui donner des baffes.

« Tu es vraiment belle, ma petite Arphélia... »

Comme s’il n’avait pas envie de la satisfaire, mais de la frustrer encore plus (ce qui serait très vil !), Alastar se pencha à nouveau vers elle. La nonne était entre son pouvoir, et il l’embrassa goulûment sur les lèvres, venant mordiller sa lèvre inférieure, tirant agréablement dessus avec ses dents, tandis que sa queue caudale faisait le tour d’Arphélia, s’enroulant autour de la taille de cette femme. Ah, le beau sexe... Si souple, si agréable, si délicieux. Cette belle bouche était l’expression même de la beauté, de la douceur, et de tout ce qui était bon sur cette femme. Alastar posa une main sur l’épaule de la femme. Ses seins s’enfonçaient contre son torse, et il l’embrassait longuement. Sa langue se nicha dans le creux de sa bouche, remuant dans sa cavité buccale, allant chercher la sienne pour un tendre et langoureux ballet. Il soupirait de plaisir, et agrippa ses cheveux, en lui faisant un baiser qui avait tout du French kiss, de ce baiser amoureux qu’un jeune collégien romantique transi d’amour ferait à sa dulcinée ferait à sa petite copine du moment pendant toute la récréation.

Il termina son baiser au bout de quelques minutes, arquant un sourire sur ses lèvres.

« Je pourrais te laisser ici, tu sais... Tu pourrais conserver ta vertu... Et mon souvenir te hanterait la nuit. Oh, je t’imagine déjà, te réveillant dans tes draps trempés en pleine nuit, implorant la venue de cet être à la peau rouge qui aurait fait tant de bien à ton corps... Tu es une trop belle fleur pour laisser tes pétales se flétrir, ma puce... Et moi, je suis trop gentil pour te laisser souffrir. Alors, je vais m’occuper de tous tes trous... »

Sa main se déplaça de son épaule pour caresser sa culotte, appuyant dessus, enfonçant un ou deux doigts dans sa moule.

« ...Comme celui-ci... »

Il continua ensuite, avec un sourire sur le coin des lèvres, et une lueur malicieuse dans le regard. Sa queue caudale se déplaça un peu, et la pointe vint s’appuyer sur les fesses d’Arphélia, s’enfonçant dans la croupe.

« ...ou encore celui-ci... »

Alastar sourit à nouveau, et se défit d’elle, en attrapant l’une de ses mains, puis s’avança vers le chœur de l’église. Il monta les quelques marches de l’estrade, et se tint devant l’autel. Un fin drap en soie le recouvrait, et Alastar le caressa lentement, puis la regarda.

« Retire ta robe, mon amour... Déshabille-toi intégralement, et allonge-toi là... Je vais te prendre ici, et nous laisserons notre marque pour la messe à venir... »

C’était un blasphème... Mais il fallait bien s’attendre à ça d’un Incube, après tout.
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Arphélia Von Krone

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 11 lundi 04 mai 2015, 15:12:55

Suite à cet aveu, Arphélia attendant impatiemment qu'il s'occupe d'elle. Elle lui avait clairement fait comprendre qu'elle voulait se faire ramoner, qu'elle voulait éperdument qu'il lui démonte les trous et pourtant... Il ne vint pas lui sauter dessus pour la violer. Il ne vint pas l'étrangler en l'insultant de tous les noms... Non, au lieux de ça, il souleva son menton pour mieux la regarder. Frustrée, la nonne serra la mâchoire pour se retenir de jurer. Il se moquait d'elle et elle le savait.

- Si je suis si belle que ça, qu'est-ce que vous attendez ?

Oui, elle le provoquait. Elle n'aimait pas qu'il joue avec elle, surtout après ce qu'elle venait de lui avouer. Il se pencha vers elle et elle lui tendit ses petites lèvres roses et pulpeuses pour accueillir son baiser. Et, tandis qu'elle espérait qu'il se fasse plus brutal, il vint enserrer sa taille à l'aide de sa queue avec douceur. Comment osait-il la frustrer ainsi ? Il lui offrit un baiser la langoureux et elle n'y répondit pas. Il était hors de question pour elle de faire dans le soft. Rien ne pouvait plus l'irriter que ça. Elle n'était pas une sentimentale, elle n'aimait pas faire l'amour. Ce qu'elle voulait c'était baiser. Se faire limer les trous, couiner de plaisir, s'étouffer sur un chibre bien gros, jouir à n'en plus finir, se faire remplir.... Mais non. Le Démon se montrait particulièrement doux et cela la rendait folle.

Il prit la parole et elle se retint de lui dire qu'elle préférait qu'il l'abandonne plutôt qu'il fasse preuve de douceur. Toutefois, ses doigts appuyèrent sur sa petite chatte débordante de mouille et ne put s'empêcher de gémir, se trémoussant contre lui pour qu'il aille plus loin. Arphélia entrouvrit les lèvres, prête à le supplier de lui offrir sa queue lorsqu'elle sentit quelque chose forcer sur son petit trou. Là, elle se mit à trembler, enfonçant ses ongles dans ses épaules.

- A..aahhh... Je vous en prie... Sautez-moi ♥

Elle le fixait, les yeux pétillants mais il recula, lui arrachant un gémissement de frustration. Le Démon la fit marcher jusqu'à l'hôtel et, lorsqu'il lui demanda de s'allonger, elle s’exécuta sans réfléchir, lentement, sensuellement, pour l'inciter à se défouler sur elle par la suite. Attrapant ses deux cuisses pour les ramener de chaque côté de ses épaules, elle lui offrit une vue imprenable sur ses trous et en particulier sur sa petite chatte trempée.

- Pitié... Ramonez mes sales trous en manque... ♥
« Modifié: lundi 04 mai 2015, 18:47:55 par Arphélia Von Krone »

Le Diablotin

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 12 mardi 05 mai 2015, 13:54:11

Pauvre petite Arphélia... Elle avait tellement envie de se faire baiser qu’elle ne réfléchissait même plus, et n’avait plus qu’un seul souhait sur les lèvres : sentir la queue du Diablotin, sentir l’Incube la défoncer violemment. Alastar s’amusait de cette situation. Dans ses dernières réactions, il avait fait preuve d’une douceur inattendue, et nécessairement frustrante pour la nonne. Cette frustration avait confirmé tout ce qu’Arphélia voulait, et confirmait qu’elle était sous l’emprise de l’Incube. Si Alastar sortait maintenant, il était plus que probable que la non ne perdrait toute vertu en se ruant dans les rues sordides de Nexus, afin de se faire prendre par des soudards... Mais ça, Alastar ne pouvait pas l’autoriser. Cette femme était trop belle pour que de simples manants puissent se permettre de la souiller. Il jouait avec elle, en la regardant se dandiner sur l’autel, lui offrant la vue de sa chatte, avec une lueur de désir forte dans les yeux... Une phénoménale envie de se faire défoncer remuait dans son corps, amenant sur les tendres lèvres du Diablotin un sourire amusé.

« Pitié... »

Le Diablotin hocha lentement la tête, arquant sur ses délicates lèvres un sourire. Il se redressa alors, et se tint debout sur l’autel, jambes écartées, son sexe rouge se mettant alors à gonfler, à gonfler démesurément... Il devenait si gros qu’on pouvait croire qu’il allait éclater. Les veines à l’intérieur de son organe saillaient, visibles, et, soudainement, son chibre se divisa en deux. Deux parties se séparèrent, et Alastar soupira légèrement, serrant les poings en sentant des vagues le traverser. Il contempla le corps d’Arphélia avec ses deux verges, dressées l’une en-dessous de l’autre. La magie rose... Elle s’exprimait en ce moment, et était en train d’envoyer à Arphélia un message simple et explicite : « tu vas prendre cher ».

Il se pencha vers elle, et posa sa main sur son épaule, l’incitant à se retourner, et à se mettre à quatre pattes sur l’autel, tout en prononçant quelques mots, sur une voix douce et calme :

« Ne t’en fais pas, ma belle Arphélia... Une magnifique salope comme toi mérite de se faire baiser dans tous les sens possibles et inimaginables du terme. Tu sais ce qu’on te dit sur nous ? Que les plaisirs offerts par les démons de Luxure sont des trésors interdits aux mortels... »

Alastar esquissa un  nouveau sourire, sa bouche désormais proche de l’oreille de la belle nonne.

« Mais toi... Toi, tu es ma... Petite... Pute. »

Il lâcha le dernier mot sur un sifflement, tout contre l’oreille de la femme, et l’embrassa sur l’oreille... Puis se redressa, et donna une grosse gifle sur ses fesses.

« Alors, maintenant, ma petite pute va me faire le plaisir de couiner bien comme il faut... HURLE, MA SALOPE ! »

Sa voix était devenue bien plus grave, et ses deux mains se crispèrent contre ses fesses... Puis ses verges s’enfoncèrent dans le corps de la femme. Celle du dessous se perdit dans sa fleur intime, trempée comme si une bombe à eau venait d’exploser dedans, et l’autre força le passage de son cul, avant de s’y enfoncer, non sans douleur. Ses mains, elles, se crispèrent sur ses fesses, et il commença alors ses coups de reins. Rapides. Forts. Puissants.

Il fallait bien la faire hurler un petit peu, après tout.

Et, pour s’en assurer, Alastar n’hésitait pas à admonester sur son divin postérieur quelques gifles bien senties.
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Arphélia Von Krone

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 13 mardi 05 mai 2015, 15:33:11

La nonne se trémoussa par terre, impatiente, puis se figea lorsque le membre du démon se mit à grossir encore et encore... Elle écarquilla les yeux persuadée qu'une chose de cette taille ne rentrerait jamais. Arphélia entrouvrit les lèvres, prête à dire quelque chose mais aucun son ne put sortir de ses petites lèvres roses après que le chibre se soit divisé en deux. Un démon pouvait-il réellement avoir deux membres ? Cela voulait dire qu'il allait se défouler sur chacun de ses trous, en même temps... En proie à des frissons incontrôlables, la religieuse se mit à trembler. Elle savait qu'elle allait prendre cher.

Il vint l'attraper par l'épaule et elle ne rechigna pas, lui facilitant même la tâche en se mettant à quatre pattes. Elle était tellement excitée que de petits filets de mouille dégoulinaient de ses lèvres pour se répandre sur le sol. En attendant qu'il se décide à la prendre, elle écrasa son visage contre le sol et lui tendit ses fesses rondes et rebondis, les remuant de gauche à droite pour l'exciter d'avantage.

- Oui ! Je suis votre petite pute ! Et votre salope attend impatiemment que vous lui ravagiez les trous, Maître...

Il s'approcha de son oreille et son baiser la fit frémir de tout son être. Ses deux membres ne tardèrent pas à lui écarter les trous et Arphélia ne put retenir son orgasme. Elle poussa un véritable cri de plaisir tandis, qu'au même moment, de gros jets de mouille sortirent difficilement de sa petite chatte pour éclabousser le sol.

- AAAAH OUIII !!! C'est tellement BON, putain !! ♥

Ses trous se mirent à palpiter et elle se mordit la lèvre inférieure après avoir réalisé qu'elle venait de hurler. Ses deux queues lui procuraient un bien fou et elle savait qu'elle ne pourrait plus jamais dormir sans penser à lui. Arphélia attendit quelques secondes le temps de "digérer" son orgasme puis tourna légèrement la tête pour plonger son regard suppliant dans celui du Démon. De ses deux mains libres, elle attrapa ses fesses pour les écarter en grand.

- Encore... Encore...! Faites-moi jouir encore, je vous en supplie !! ♥

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Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]

Réponse 14 jeudi 07 mai 2015, 09:49:22

La petite Arphélia explosa sur place. Dire qu’elle avait voulu le retenir… Elle s’était engagée dans un bras-de-fer sans espoir, avec la force d’un deux face à un flush royal. La belle petite nonne, aussi vierge qu’une pute, eut un orgasme presque immédiatement après la double pénétration d’Alastar… Une double pénétration. Une double pénétration ! Le Diablotin n’était pas un démon de rêve pour rien. Quand on disait que les Anges étaient bons, et les Démons mauvais, on faisait une dichotomie morale qui ne correspondait pas à la réalité. Un Démon n’était, fondamentalement, pas plus mauvais qu’un Ange, il avait juste une vision différente des choses. Le Diablotin ne venait pas vers Arphélia pour la faire souffrir, mais parce qu’il sentait toute la frustration sexuelle de la jeune femme… Et puis, se moquer des sacrements religieux, c’était amusant. Pour lui, la religion n’était qu’une mauvaise farce, et tout le caractère sacré de l’Homme une douce blague. Qu’est-ce qui rendait un drap plus sacré qu’un autre ? Une eau plus bénite qu’une autre ? Un homme plus sacré qu’un autre ? Ah ! Comme ils étaient amusants ! Tout cela, ce n’était que de douces illusions, que de vaines et hypocrites volontés de dissimuler la vérité. Refuser la nature profonde de l’Homme, refuser le fait que l’Homme était, avant tout, un animal sexuel, c’était s’exposer à la frustration, à la colère, au fanatisme, qui n’était rien de plus qu’une forme de compensation de cette frustration profonde. L’Incube ne pouvait s’imaginer l’Homme qu’à travers le prisme du sexe, et analysait tout le comportement humain sur la base de ce constat : plus une personne était sexuellement frustrée, plus elle était dangereuse, mauvaise, jalouse, envieuse.

Alastar pénétrait donc Arphélia avec ses deux queues. Elles remuaient lourdement en elle, d’avant en arrière. Si le plaisir était fort pour Arphélia, il l’était aussi pour Alastar, qui expérimentait de nouvelles sensations, des sensations merveilleuses, interdites aux humains. C’était comme si le coït s’était dédoublé, chacune de ses queues étant aussi sensibles que les autres. Ses mains griffaient les fesses de la nonne, et, quand elle hurlait, il la giflait… Il frappait fort, faisant claquer ses doigts, remuant son corps d’avant en arrière, s’enfonçant lourdement et profondément en elle. Ses queues étaient grosses, tendues, et il voyait la salive de la femme salir le suaire, tandis que sa mouille glissait dessus. Plus il la prenait, et plus cette truie avait enfin de se faire défoncer. Aussi belle que gourmande… Elle se faisait prendre par deux grosses queues rouges et joufflues, et en demandait encore plus.

« Haaa, Arphélia… Ma petite Arphy’, tu… Ah ! Quelle gourmande ! »

Sa main gifla à nouveau les fesses d’Arphélia, et il pinça son cul. Elle posait ses mains sur ses fesses, les écartant, et ses mains se déplacèrent, venant attraper les poignets de la femme. Le Diablotin était un amant terrifiant, un amant démoniaque, et il tenait à le lui rappeler. Il tira sur ses poignets, soulevant le corps de la femme, la suspendant au-dessus de l’autel. Il remuait en elle, encore et encore, les lourds seins d’Arphélia se soulevant d’arrière en arrière. C’était comme si ses deux queues étaient de véritables pistons, ramonant son arrière-train et sa chatte… Et elle, elle continuait à hurler, et à se tortiller, toute chaude, mouillant comme si une piscine venait de se former dans son sexe.

« Tu mouilles comme… Comme une véritable pute, Arphélia… Hum… Ma pute à moi… Ma Prêtresse »

Sa prêtresse, oui… Voilà tout ce qu’Arphélia était, maintenant. Elle ne servait plus l’Ordre Immaculé ou le Dieu Unique. Elle servait Alastar, elle servait le clan Magoa. Elle était SA chose ! Ses mains continuaient à tenir ses poignets, et sa queue caudale se déplaça alors, comme un serpent, et forma une boucle au-dessus d’Arphélia. L’extrémité de sa queue se transforma, s’affina, pour prendre la forme grosse et tendue d’une verge, qui alla se frotter contre le visage de la nonne, heurtant son nez, glissant dessus.

« Lèche, Arphélia… Lèche ma queue pour avoir ma crème… »

Et, tandis qu’il parlait, ses deux queues continuaient à vibrer en elle. Il lui défonçait lourdement le cul et la chatte, chacun des orgasmes de la femme étant tout simplement délicieux. Elle aurait pu s’affaisser contre l’autel, mais Alastar continuait à la tenir, et à tirer sur son corps, la redressant ainsi, ou la relâchant. Le haut de son corps heurtait alors le drap, et il la relevait à nouveau, continuant à jouer avec elle. Il était son Maître, elle était sa Pute.

Ça, tout simplement.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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