Les inconvénients de la lutte {PV Azraël}

Forme Divine.

Une Déesse Chacal, une Ophélie sous sa forme Divine terriblement en colère qui semble ruminer une vengeance violente, mains bien ancrées sur la garde de ses sabres. Oui, sur la garde de ses armes, vous avez bien lu. La Déesse de la Mort, la Jeune Déesse pleine de bons sentiments comptait éliminer de la surface de Terra un homme qui le méritait, un esclavagiste sans âme et sans coeur dont la mort serait bénéfique à toute la population. Elle venait juste d'ouvrir les cages d'à peu près tous les pauvres esclaves, finissant de trancher leurs liens pour qu'ils s'enfuient, chose qu'ils faisaient très bien, détalant comme des lapins dans Ashnard et ses alentours. La demeure où l'esclavagiste gardait ses esclaves était un peu éloignée du centre de la ville et Ophélie n'avait pas eut de mal à entrer dans la grande bâtisse. Un frisson parcouru le pelage sombre de la Déesse, alors qu'elle pensait que des esclaves étaient peut-être retenus prisonniers dans des salles de dressage. La demeure devait en avoir au moins une, et Ophélie ne pouvait s'imaginer entrer dans ces terribles endroits où la débauche sexuelle servait à briser les esclaves réticents. Elle préférait pour l'instant s'occuper directement du monstre qui tenait cet endroit, un homme lâche et haïssable.

Il ne lui fallu pas des heures pour trouver son homme qui alerté par des bruits de pas cherchait à présent ses gardes, déjà décapités par la Déesse vengeresse. Elle pouvait être d'une brutalité et d'une violence sans égards, quand elle était en colère. Et entre dans cet endroit rendait la chacal haineuse, pleine d'une rage qu'elle avait du mal à cacher. L'homme paraissait paniqué. A vrai dire, il y avait de quoi. Il avait devant lui une Déesse qui voulait sa mort, armée de deux sabres bien tranchants et dégoulinant du sang de ses gardes du corps et des gardes de la maison. Il était en gros, seul devant la Mort personnifiée. Après tout, ce n'était pas qu'une image, Ophélie était Déesse de la Mort et allait un peu partager avec l'esclavagiste son statut en lui montrant ce qu'était que mourir. Démonstration pratique gratuite et non renouvelable. Oui, on précise, au cas où ... Le regard du bonhomme était celui d'un humain qui voit sa vie s'écouler devant lui comme un sablier, mais il était lui aussi armé et para le premier coup de la Déesse avec une rapidité surprenante pour son physique peu avantageux. L'habitude, surement.

" - Tu vas crever dans les bouches de l'Enfer, horrible monstre !" La voix frêle d'Ophélie paraissait résonner dans la maison un peu vide de présence. Aucun esclave n'était resté aidé leur sauveuse. Pas l'temps, pas de gratitude, la vie avant tout, la liberté et le grand air. Tant pis pour celle qui les avait sauvé. Après tout, Ophélie ne pouvait pas mourir, ce n'était donc pas réellement un problème. Puis face à la rage de la Jeune Déesse, l'esclavagiste n'allait surement pas pouvoir résister longtemps. Les coups désordonnés s'enchaînaient. La chacal ne connaissait en soi pas grand chose à l'escrime, elle était juste assez souple et rapide pour enchaîner des parades sans discontinuer, se fatiguant peu rapidement par son statut de félin, mais ressentant tout de même l'engourdissement de ses muscles si le combat durait trop longtemps. Son habit laissait justement très bien voir les muscles de la Déesse, son pelage noir et soyeux mettant en valeur les formes de la Déesse.

Le seul avantage qu'avait l'esclavagiste, c'était la maladresse d'Ophélie autant avec ses armes qu'avec ses ailes ce qui l'empêchait de se mouvoir encore plus agilement. Le coup que prit le bonhomme dans l'épaule lui arracha un cri et un sourire vint se glisser sur les babines du museau d'Ophélie. La bataille était bientôt gagnée. Elle se promettait d'aller sauver les esclaves attachés dans les salles de torture comme elle continuait à appeler ces endroits dès qu'elle en aurait fini avec leur "maître". Décidément, elle n'aurait pas parier sur la simplicité ! Ca changeait des missions foireuses qu'elle faisait à longueur de journées.

Enfin, ça. C'était si elle ne parlait pas trop vite. Et malheureusement pour la Déesse, quand elle voulu donner le coup fatal en le décapitant, elle ne put pas. A sa grande surprise ...

Azraël en Satyre. Plutôt classe hein ?

Gontrand Von Trafen est un esclavagiste de renom. Depuis maintenant 4 générations, sa famille profitait de la misère humaine et des guerres pour fructifier leurs bénéfices. Et ça tournait plutôt bien. Faut dire qu'à Ashnard, le commerce d'esclave, c'est un peu comme les banques en Suisse, c'est une institution. Surtout que tous le monde est plus ou moins esclave du Seigneur Noir. Donc, notre ami Gongon {comme l'appelle les esclaves le soir, en faisant des pipes {des pipes en bois d'ébène permettant aux nobles de tous l'Empire de fumer les célèbres drogues des maisons closes Ashnardiennes}} avait un gros problème il y a quelques années. Un problème d'ordre financier. En effet, son cousin et plus exécrable concurrent, Fitz Gutenbarr, proposait des esclaves sexuelles de première qualité, avec un rapport qualité-prix imbattable.

Gontrand, dans sa mésaventure financière, allait mettre la clef sous la porte et raccrocher son fouet, pensant même sérieusement à se lancer dans le commerce de fromage de yak. Mais un soir, la lune était devenue rousse. Un signe ? Peut-être. Gontrand, après une grosse cuite, se mit à réver, et à prier. Pas à un Dieu en particulier, ni même à une puissance occulte, je vous ferait dire, mais juste à lui même. Et il dit la phrase magique, celle qui changera son destin.

"Par les Dieux, quel infortune ! Me faire doubler par un foutu berger sorti du cul de sa chèvre ! Le commerce d'esclave n'est pas une affaire d'amateur, il faut de la poigne, de la discipline ! Ce foutu Fitz n'est même pas foutu d'arracher la colonne d'un esclave ! Je le maudit ! Tiens, même mieux, si je pouvais vendre mon âme pour remettre mon commerce sur les rails, et voir ce chien de Fitz plus bas que terre, je le ferait !"

Petite appartée les enfants. Quand vous voulez vendre votre âme, essayer de trouver un autre démon qu'Azraël. Parce qu'Azraël est du genre à vous prendre au mot.

Azraël arriva donc, dans un immense halo de lumière rouge venant de la lune. Il avait décider cette fois de revétir sa forme spéciale "J'fait peur à personne mais tu va te faire enfler". Gontrand vit donc un Satyre d'une grande beauté {pour un Satyre, il est vrai qu'il est bô gosse, comme disent les jeunes}, apparaitre du ciel, et se poser devant lui. Et là, une voix puissante, douce, suave, surgit dans la tête du commercant Ashnardien.

"Toi qui cherche gloire et fortune, toi qui cherche la vengeance auprès des puissances maléfiques, réjouit toi, car Azraël est là !"

Là, dans la tête de Gontrand, une sorte de musique princière résonnait dans son cortex cérébral. Pour les habitants de la Terre, cela ressemblait plus à un message publicitaire un peu vieillot, mais bon, à Ashnard, y a pas la télé, alors les vieux tubes marchent toujours ...

"Je te propose un marché, mortel, moi, Azraël, me charge de remettre ton commerce à flot et tiens, cadeau, je te propose même de pourrir royalement le commerce de ton cousin et ceux de tes ennemis pour une somme modique. Lorsque la Mort te prendra, ton âme me reviendra, ce n'est pas cher payer, n'est-ce pas ?"

Gontrand, sans aucun doute éméché, accepta sans problème ce marché issu d'un de ses rêves d'alcoolique. D'ailleurs, la suite est assez bizarre, puisqu'il se retrouva à quatre pattes, avec le Satyre dans son fondement .. Mais passons les détails croustillants sur la signature des contrats, on est pas là pour ça. Si vous voulez vraiment savoir, ba faite comme tous le monde, vendez votre âme !

Dès le lendemain, son cousin fût surpris de voir les Gardes Noirs débarquez chez lui, hallebarde à la main, avec un mandat d'arrêt. En effet, Fitz vendit toute une cargaison d'esclaves sexuelles avec une maladie vénérienne, et pour des esclaves vendus prétendument vierges, cela ne va pas vraiment ensemble ... Alors, le Seigneur de la Cité, un petit peu énervé de ce coup du sort, décida de saisir la cargaison ainsi que l'ancien propriétaire pour en faire les jeux du cirque. Un bon retour à l'investissement. Les anciens clients de Gontrand revenaient, en plus des clients de Fitz. Finalement, Von Trafen devint, au fur et à mesure, le fournisseur officiel d'esclaves pour la Noblesse de la Cité. Ce qui lui apporta richesse, gloire, et pis faut l'avouer, services sexuels.

Mais cela lui apporta également l'épée d'Ophélie dans sa jugulaire. Quand l'épée toucha la peau du commerçant, une étrange magie fût mit à l'oeuvre. Le monde fût comme figer. Ophélie resta néanmoins consciente, seule sa bouche et ses yeux ne furent pas pris au piège du sortilège. Un Satyre se trouvait là, regardant l'exécution avec délice, et ne pût s'empêcher de sourire.

"Pauvre Gontrand, il aurait du comprendre que la Mort elle même viendrait la chercher ... Comment va tu, Déesse inférieure ? Cela te plait de tuer mes esclavagistes préférez ?"

Soudain, la magie disparue, et la tête du commerçant roula dans le sol, aspergeant la pièce de gros jets de sang, touchant aussi bien le Démon que la Déesse. Le Satyre lui, lécha ses babines et goûta le sang de Gontrand.

"Délicieux ... Je te remercie, créature, tu m'a rendu service ! Tu devrais en profiter, et te mettre à genoux, avant que j'aspire ton essence comme j'aspirerai les fluides de ce malheureux ..."

Le Satyre semblait extrêmment confiant, trop peut être ... Que ferait la jeune Déesse ?

Tiens, donc. Ca aurait été si simple, si normal qu'elle tombe enfin sur une mission qui se passe sans accroc, une mission où elle n'échouait pas bêtement au dernier moment. Il avait quoi, ce con ? Il avait quoi pour protéger son cou, cet idiot ? Elle le détestait encore plus. Puis, elle comprit d'un coup. Elle était bloquée. Et il y avait un horrible satyre devant elle. Des cornes affreuses, des yeux d'un jaune visqueux, un crane effrayant et un corps musclé à faire pâlir certains mâle de Terra. Mais il était laid, très laid,. Voilà tout, Ophélie le trouvait horriblement laid. Et elle était bloquée. Bloquée ! Elle pouvait à peine parler, ses yeux cherchant à saisir ce qu'il se passait. Quoi, quoi ? Il bloquait l'espace temps, lui ? Oh l'idiot ! Le regard haineux et rageur de la Déesse l'expliquait très bien : elle était furieuse ! Furieuse contre le satyre et contre l'esclavagiste qui lui emmenait encore des soucis alors qu'elle aurait pu être déjà sortie de la demeure devant une bonne bière, furieuse contre ce satyre qui paraissait la connaître, furieuse parce qu'il l'insultait en bonne et due forme, furieuse parce qu'en soi, il avait pas tort et qu'elle ne pouvait être qu'une Déesse inférieure sans pouvoir ...

Quand le temps reprit son cours, elle vit la tête de l'esclavagiste tomber sur le sol, le sang coulant sur le sol, éclaboussant et tachant le pelage soyeux d'Ophélie. Elle fronça les sourcils et eut une moue de dégout alors qu'elle essayait d'enlever le sang sur son corps. Elle relève les yeux. Peut-être qu'elle a imaginé le satyre. Ca serait bien, ça ! Donc relevant le museau vers la place où le satyre c'était tenu une seconde auparavant, la Jeune Déesse ne put réprimer une soupir. Il était encore là. Pourquoi ? Lui lançant un regard d'affreux dédain, la chacal le remarqua en train de gouter le sang de l'esclavagiste. Alors comme ça, il avait fait un pacte avec cet homme ? C'était bien un satyre, peut-être plus. Un démon ? Ophélie hocha la tête à cette idée et recula d'un grand pas, pour mettre une bonne distance entre eux-deux. Elle n'avait réellement pas du tout confiance en cette chose à sabot.

"- Me mettre à genoux devant toi, vile créature ?" La chacal laissa échapper un rire moqueur, alors qu'elle reprenait bien en main son sabre. Après tout, si elle pouvait faire deux bonnes actions ..? Sa queue balayait nerveusement l'air autour d'elle et elle fixa le satyre, redevenant sérieuse. " - Tout ce que tu mérites de moi, c'est que je t'offre la Mort comme à ton esclavagiste." Aussitôt dit, aussitôt fait.

Si on exceptait le fait que le satyre n'était pas n'importe qui. Bien sûr. Ophélie se servit de ses ailes pour monter un peu dans les airs et foncer vers la créature dégoutante qui se tenait devant elle, prête à lui ficher son sabre dans le coeur. Elle dévia de son but, et fixa plutôt un des bras qui tenait une arme, pour le rendre un peu plus inoffensif. Il lui faisait légèrement peur, de cette peur des monstres qui caractérise un enfant courageux mais naïf, et la Mère des Morts ne put s'empêcher de frissonner en s'approchant d'Azraël, choisissant finalement le bras droit comme première cible. Le sabre voulait s'enfoncer dans la peau du démon, de manière à le blesser. Elle était un peu en hauteur, planant grâce à ses ailes de chauve-souris un mètre en dessus du satyre.

" - Et sache que je ne suis pas une Déesse inférieure et que par rapport à ton cerveau croulant je te suis de loin supérieure !"

Il ne fallait pas attaquer Ophélie sur son statut de Déesse. Non, c'était sacré et le talon d'Achille de la demoiselle qui était prête à parer si jamais son coup dans le bras se faisait lui aussi parer. Après tout, il paraissait tout de même assez dangereux, ce bouc/satyre armé et ami d'esclavagiste. Il ne fallait pas nier que la Déesse était aussi prête à s'enfuir rapidement, si ça tournait vraiment au trop violent. Lache ? Non, elle tenait juste à ses poils. Et elle ne tiendrait pas éternellement en l'air, non plus.

La façon de voler de la jeune déesse rappelait à l'Archidémon ses premiers vols. Azraël, avant d'être un Démon reconnu et détesté, était un Ange d'une beauté sans pareil. Pas autant que Lucifer, l'Ange Orgueilleux, mais assez pour faire chavirer n'importe quelles femmes normalement constituées. Notamment une, Elena, Ange de l'Apocalypse.

Elena était un peu plus jeune qu'Azraël, d'environ trois millénaires, mais cela ne l’empêchait pas de combattre d'égal à égal avec son ainé. Fière et forte, elle maniait la lame avec une efficacité sans pareil, réussissant à devenir la partenaire d'entrainement du futur Champion Infernale. Les entrainements étaient longs et particulièrement difficiles. Manier le combat aérien était une chose, mais combattre Azraël était d'un autre niveau. Le Démon et ce depuis sa création, fût l'incarnation même du combat. Créer par Dieu lui-même, il devint l'Instructeur des Anges de l'Apocalypse. Son rôle consistait à leurs apprendre à manier les armes dont ils disposaient. Étant des Anges de première catégorie, la première et dernière ligne de défense de la Horde Ailée, leurs rôles consistaient à tuer tous ceux devenaient une hérésie auprès de leur Créateur.

Maniant l'épée et les pouvoirs divins avec une aisance quasi-naturelle, Elena attira très vite le regard de l'Impétueux Instructeur. Mais ce n'était pas la seule chose qui attira Azraël. Très vite, les deux Anges connurent leurs premiers ébats sexuels, avec, notamment, la première fellation et la première sodomie active d'Azraël ...  Très vite, l'entrainement des deux Anges furent plus tournés vers la luxure que l'entrainement.

Cette relation existe encore aujourd'hui. Elena devint l'une des maîtresses d'Azraël, certains diraient même la principale, mais cette relation entre les deux êtres n'est que purement physique et psychologique. Les deux créatures aiment particulièrement leurs ébats, mais aiment également avec les autres personnes ...

Ce qui est le cas d'Azraël. En voyant les Ailes d'Ophélie, l'Archidémon ne pût réprimer une furieuse envie de sexe totalement bestiale. Le sexe du Satyre devint long, gros et extrêmement dur. Un liquide séminale s'écoulait du gland turgescent de la Bête, pointant droit vers la Déesse de la Mort, comme en réponse à l'attaque de la jeune femme.

Le Sabre d'Ophélie se dirigea droit vers le bras de la Bête, qui, en réflexe, ne chercha nullement à esquiver le coup, mais à s'en emparer. La main droite lâcha finalement son arme, pour prendre le poignet de la jeune Déesse, tandis que la main gauche agrippa l'autre avant-bras de la Créature.

"Vilaine fille ... Regarde donc ce que tu me fait faire ... Voilà que je me retrouve avec une furieuse envie de ... Chaire Fraîche ... M'aiderais tu à combler mon envie ?"

Le sexe incroyablement long et dur du Satyre touchait le ventre d'Ophélie, cherchant sans nul doute un moyen d'atteindre le vagin de la Belle ...

Tiens, si elle avait su qu'il pensait comme ça, en la voyant voler, elle n'aurait pas voler. Du tout. Vous voyez l'idée ? Non, parce que ce n'était pas du tout amusant, parce qu'elle n'avait pas du tout envie de plaire à un satyre. Non, ce n'est pas amusant, elle n'était pas contente et elle aurait voulu reculer beaucoup plus rapidement, reculer beaucoup plus loin, ou même pouvoir disparaître comme de la poussière entre les doigts griffus de la bête, disparaître et partir loin, très loin de lui et de cet endroit. Clair ? Je suis sûre que c'est clair comme de l'eau de roche, que vous comprenez, que vous ressentez la terreur d'une Jeune Déesse à peu près innocente quand elle sentit les mains d'Azraël sur ses poignets. Elle retomba sur le sol immédiatement, sa concentration tombant en même temps qu'elle, un cri s'échappant de sa gorge déjà nouée par la peur. Ses ailes se remirent à battre pendant qu'Ophélie essayait de s'éloigner du satyre.

Il la tenait fermement par les avants-bras et elle ne pouvait pas faire grand chose à part venir baffer et donner des coups au satyre avec sa queue de chacal quelques peu courte. Elle sentait la queue du démon sur son ventre, sur son bas-ventre, qui glissait doucement. Elle avança vers le démon, son membre s'enfonçant dans son ventre sans pénétrer la Déesse, alors qu'Ophélie plantait ses crocs dans le bras du satyre pour qu'il lâche. Elle se remit debout en volant, mordant encore plus fort la chaire, pour lui faire lâcher prise, pour qu'il la lâche. Elle arrivait enfin à se défaire de l'emprise du démon en volant, en s'éloignant, retombant sur le sol, incapable de voler plus, sans concentration, sans armes. Elle se retourna pour voir le démon reculant toujours.

Comme un animal qu'on traque, elle courait à quatre pattes, effrayée. Elle ne se sentait pas du tout bien, avec ce monstre qui la désirait. Elle sentait sur son poil le liquide séminal courant sans regarder où elle allait. Et badabam. Elle se prit quelque chose en pleine poire, un gros truc qui l'assomma à demi, et elle tomba sur son arrière train, enroulant sa queue autour d'elle. Elle l'avait égaré, peut-être ? Elle regarda devant elle, se remettant sur deux pattes. Ou était-elle ? Apparemment devant les salles de dressage. L'avait-il suivi ? Apparemment, aussi. Elle attrapa un fouet qui était dans la salle. La salle, remplie de chaines et d'objets bien effrayants.

" - N'avances pas sale monstre ! Je ne suis pas d'humeur à combler tes envies luxurieuses."

Elle lui jeta un regard terriblement furieux.

Azraël savourait déjà l'idée du vagin doux et onctueux de la jeune déesse autour de son membre turgescent. Sentir la femelle se débattre alors qu'il allait la prendre là sur place, dans le sang de l'esclavagiste, le rendait particulièrement excité. Plus elle se débattait, plus le Démon était aux anges ... Mais la morsure d'Ophélie le perturba. Les dents particulièrement éffilées de la Furry lui firent un mal de chien, qui s'entendit à des kilomètres à la ronde. Pas de doute, le Satyre n'était pas juste un Satyre ... Mais bel et bien un Démon, si ce n'est plus ...

La Déesse Immortelle réussi à se dégager de l'étreinte d'Azraël. Elle profita de la douleur du Démon pour essayer de s'échapper. Elle courrait à quatre pattes, tel un animal, ses fesses rebondies excitaient encore plus l'Archidémon qui l'exprima ainsi.

"Viens là ma petite divinitée, viens me voir ... Je vais te montrer ce qu'est une véritable puissance ..."

Le Satyre suivait la jeune femme avec une facilitée sans pareil. Son museau était particulièrement proche du vagin de la jeune femme, sentant l'odeur de mouille et de stress d'Ophélie ... Finalement, la Déesse de la Mort prit un fouet et essaya de contrer le Démon. Ils étaient tous les deux dans une salle contenant nombre de fouets, menottes et autres liens pour maintenir les bêtes en place. Sans le vouloir, la jeune femme venait de faciliter l'envie du Démon.

"Calme toi, jeune femme. Mon nom est Azraël, l'un des 9 Archidémons, et je suis le Champion des Légions Infernales ... Tu es une Déesse de l'Ancien Temps, toi et moi, nous pourrions combattre, encore et encore, alors que le monde et l'existence même se détruirait sans que l'un de nous ne prennent le pas sûr l'autre. Bien entendu, je pourrais te tuer par ma simple volonté, mais grâce à ton corps, je ne souhaite que jouir en toi ..."

Son sexe, aussi vigoureux que celui d'un taureau, donnait envie à toute femelle normalement constituée. La taille et la raideur du sexe, ainsi que les pouvoirs latents d'Azraël, font qu'il lui permettent, même si sa forme Satyrienne est loin d'être extraordinaire belle, de combler et de coucher bien plus facilement que n'importe quel autre mâle.

"Si tu te laisse faire, douce Ophélie, tu connaitra seulement le plaisir, ô ma petite Déesse ..."

P'tit thèmeÂmes vraiment très sensible s'abstenir. :3

Elle l'avait senti. Qu'il était un démon, elle le savait, elle le sentait, elle le comprenait, elle le craignait. Ca ne lui plaisait pas. Pas du tout. Elle en tremblait presque, mordillant sa lèvre, sa queue noire s'enroula où elle pouvait nerveusement, se dressant par moment lors d'un sursaut de la demoiselle. Il l'avait suivi et retrouvé avec une rapidité déconcertante, une rapidité à faire pâlir la Déesse des Morts qui lui lança un regard sûr, froid et calculateur. Si elle commençait à paniquer maintenant, autant directement s'empaler sur le membre du Satyre/démon. Non, il fallait rester calme, sûre de ses capacités et de ce qu'elle pouvait faire contre Azraël. C'est à dire, nada, rien, rien du tout. Et elle en était consciente, c'était bien ça, le pire ! Elle souffla et recula encore d'un pas s'asseyant calmement sur une des tables que la salle contenait.

Jouir en elle .. Une vague image de ce membre en elle, la prenant comme une chienne fit son apparition dans le cerveau de la Déesse qui hocha la tête vigoureusement de droite à gauche, enlevant cette vision torride de son esprit, malgré le doux frisson qui venait de monter le long de sa colonne vertébrale, épousant la forme de son dos un peu cambré, son pela frissonnant lui aussi en imaginant ce que ce sexe d'une telle taille pouvait donner comme plaisir. Fixant longuement et silencieusement le satyre, elle hocha de nouveau la tête, en fronçant ses fins sourcils blancs. Non, non. C'était contraire à ses principes, contraire à son statut de Déesse que de se laisser aller dans les bras d'un tel amant, dégoutant et démon qui n'agissait qu'en mal pour la terre, qui aidait les esclavagistes, qui était une ordure finie. Il ne fallait pas se laisser aller dans de telles abominations. La fange n'attendait pas déjà la chacal qui sauta de la table pour se remettre debout.

" - Je ne me laisserai pas faire par un Archidémon. Vous êtes la fange et la honte de ce monde, vous traînez avec vous la puanteur de vos méfaits et l'horreur de vos actes." Cela lui coutait presque d'envoyer balader un amant qui paraissait si bien monté mais la Déesse voulait au moins respecté quelques unes des règles édictées par son tuteur. Il aurait eu bien honte de voir sa pupille se donnait à un démon tel qu'Azraël. L'un des Champions des Légions Infernales, un des fidèles les plus proches de Lucifer. Non, elle ne pouvait pas, malgré l'envie et le désir qui devait émaner d'elle. " - Laissez moi partir maintenant, et soyez heureux que je ne vous tue pas." Comique. Elle ne pouvait pas le tuer, elle n'avait pas d'armes et aucun pouvoirs digne de ce nom. Mais il fallait faire de l'esbroufe. En tout cas, son ton était sans réplique, froid comme son regard, à l'inverse de son corps qui se réchauffait toujours plus. Avançant d'un pas timide elle se positionna devant le grand satyre, essayant de ne pas sentir l'odeur de luxure qui émanait de la créature.

Mon Dieu, c'était de la torture mentale ! Il savait, elle en était certaine, il savait qu'une femme un tant soit peu perverse aurait envie de lui malgré sa forme assez laide. Et Ophélie n'y échappait pas ! Pourtant, elle faisait tout pour rester la tête haute et refuser à ce démon ce qu'il voulait. Un peu de morale ne pouvait pas lui faire de mal, elle le faisait pour Ruloc.