"Et vive le cul !" [Ayumi Ishiyama]

Décidément, on était aux antipodes de la Kioko timide et réservée que tout le monde connaissait à la fac. Et pour être sincère, Ayumi préférait très largement cette Kioko ci, très ouverte, plus libre aussi. Elle semblait ne plus rien en avoir à foutre qu'on les prennent sur le fait, alors que la jeune actrice chevauchait avec joie son amante, sentant son imposant manche lui ramoner l'intimité. Déjà qu'Ayumi trouvait qu'elle dansait intensément sur sa camarade, pourtant, cette-dernière l'attrapa par les hanches et accéléra plus encore le rythme, ses lourds seins ballottant si fort, si brutalement, qu'ils lui firent mal, ce qui l'excita encore plus.

- Haaa... Oh ouais, Ayumi... Humm… Danse, ma belle, danse sur moi…

Il ne fallut pas attendre longtemps pour que la jeune femme sente de nouveau le foutre chaud de l'hermaphrodite gicler en elle, rependant une délicieuse sensation de chaleur dans ses entrailles. Loin d'être épuisée, Ayumi s'alongea toutefois contre son amante, ses tétons durcis par le plaisir entrant en contact avec ceux de Kioko, leurs poitrines finissant écrasées l'une contre l'autre. Continuant de remuer son corps d'avant en arrière, elle embrassa goulument sa camarade, aspirant sa langue et sa salive, ses hanches remuant rapidement, comme une forcenée.

- Tu es endurante, toi, hum, répondit-elle lorsque Ayumi décolla ses lèvres des siennes. C’est si bon de jouir en toi... Tu es née pour ça, Ayumi...

- Je te rappelle que je suis née... sur un plateau de tournage... Haaa... Mes parents mon enseignée suffisamment de théorie... Haaaa... Pour me permettre d'exceller en pratique...

Ayumi plongea aussitôt dans le cou de Kioko, léchant sensuellement sa belle peau, la suçotant avec gourmandise, les mains plongées dans sa belle chevelure soyeuse. Il fallut encore plusieurs minutes à Ayumi, avant de sentir un premier orgasme pointer le bout de son nez. Elle accéléra donc le rythme en conséquence, avant de se cambrer soudainement, le vit de Kioko profondément enfoncé en elle. Durant une ou deux secondes il ne se produisit absolument rien, puis plusieurs petit geysers de cyprine partirent, en raison de sa position, droit vers le visage de Kioko, se rėpendant sur celui-ci et se dispersant sur ses seins et son ventre.

- Haaaa... Haaaa... Haaaa... Haaaa... Prête... Haaaa... Haaaa... Haaaa... Pour la suite ? Haaaa... Haaaa...

Ayumi se releva un peu, laissant un flot de semence quitter son antre et se rependre en partie sur le sol et sur son amante, avant de se placer en 69 au dessus d'elle, son intimités ruisselante des deux fluides au dessus de sa bouche, tandis qu'elle-même branlait doucement ce sexe des plus appétissant.

- Itadakimasu~ ♥

La jeune femme enfourna alors le sexe dans sa bouche, un sein de chaque coté, avant de le sucer en pazzuri avec appétit, tandis qu'elle replaçait une mèche de cheveux derrière son oreille. Si elle avait été attentive à son environnement, Ayumi aurait sentit la présence d'une autre femme dans les environs, et pas spécialement humaine.

Ayumi était douée, oh ça oui ! Avec son sexe tendu planté en elle, coincé dans les profondeurs de sa chair, Kioko était aux anges. Cette situation s’aggrava encore plus quand Ayumi, imprimant une rotation de son corps, se plaqua contre le sien. Kioko soupira, avant de répondre à son baiser, avançant une main pour l’aventurer sur l’une des fesses d’Ayumi, tandis que l’autre alla agripper sa tête, pressant ses cheveux. Elles s’embrassèrent goulument, avec passion, leurs langues et leurs salives se mélangeant dans des bruits de mastication relativement sonores, avant que, finalement, Ayumi n’approche de l’orgasme.

Comme Kioko le pressentait, l’orgasme d’Ayumi était celui de la femme-fontaine, signe qu’elle largua plusieurs litres de cyprine dans tous les sens. Plusieurs jets réussirent à éclater sur le visage de Kioko, à hauteur de ses lèvres, ainsi qu’entre ses seins, avant qu’Ayumi, à son tour, ne vienne se décharger, larguant tout le stock, trempant la virilité de la belle Kioko dans un bassin de mouille. Si on ne pouvait guère se tromper pour savoir quand un homme jouissait, pour une femme, il était un peu plus difficile de discerner ce moment : elle mouillait continuellement, et, quand elle avait un orgasme, elle mouillait juste plus... Ce qui, et Kioko l’avait réalisé, ne sautait pas forcément aux yeux, quand votre queue était tendue comme un arc prêt à exploser.

Ayumi se releva, et, n’en ayant pas terminé, se rapprocha du visage de Kioko, avant de s’allonger sur elle, de manière à, tout en honorant un peu plus le corps de Kioko, pouvoir approcher sa bouche de son sexe, et offrir sa fleur à celle de Kioko. Déglutissant silencieusement, les seins tendus, Kioko accueillit cette délicate attention en soupirant lentement.

« Viens, ma beauté... »

Et la beauté en question vint. Elle enfourna le chibre de Kioko, ruisselant de sperme et de mouille, entre ses lèvres, tandis que Kioko, guère en reste, attrapa les belles fesses de sa partenaire, pour la plaquer contre son visage, et pouvoir ainsi glisser sa langue dans ses entrailles. Cette dernière se mit à remuer, allant chercher la mouille d’Ayumi, et son clitoris, pressant sur son bouton d’amour, tandis que, entre ses doigts, elle empoignait les fesses, les tirant, les écartant l’une de l’autre, sentant ces masses de chair glisser entre ses doigts. Elle devait constater le talent d’Ayumi, qui encercla le sexe de Kioko entre ses seins, le branlant ainsi, tout en le suçant. Kioko gémissait et soupirait, le bas de son visage se recouvrant de la mouille de sa partenaire, une sensation qui était tout simplement divine. D’agréables sensations se répandaient dans tout le corps de Kioko. Son sexe tendu recommençait à la faire souffrir. Elle aussi ne fut donc pas en mesure d’entendre ou de voir la jeune femme qui, depuis quelques minutes déjà, les observaient.

Entre ses lèvres, une sucette roulait, et la jeune créature observait avec un vif intérêt ce qui se déroulait ici. Elle aurait normalement du retrouver Kioko dans un coin sombre et lui faire une petite « surprise », mais, quand elle avait vu que Kioko ne venait pas, elle avait décidé de se rapprocher, et d’aller voir par elle-même ce qui se passait. Les deux femmes faisaient l’amour dans une ruelle discrète, et Macy, Terranide de son état, comme en attestait sa queue touffue, bondit sur le sol, devant elles.

« Si ce n’est pas un attentat à la pudeur, je me demande ce que c’est... »

Sa voix était douce, amusée. Lentement, Macy se rapprocha, et s’assit sur le corps d’Ayumi, sa queue venant tapoter la tête de la femme, glissant le long de son cou. Retirant sa sucette de ses lèvres, la Terranide promena ses doigts le long de la croupe d’Ayumi.

« Tu devrais me présenter plus souvent tes amies, Kioko...
 -  Hun-hun !! »

Macy se contenta d’un sourire amuse, et se pencha un peu, venant renifler près des fesses d’Ayumi, sentant cette odeur si caractéristique de sueur et de mouille. Ses lèvres embrassèrent le postérieur d’Ayumi, la léchant, et elle enfonça alors un doigt dans son fondement, sans se poser plus de questions. Contrairement aux deux jeunes femmes, Macy était habillée, de manière assez courte : un débardeur blanc montrant son nombril,  avec un col, et un minishort vert, si petit qu’on voyait sa culotte. Macy sortait toujours de manière clandestine, afin de ne pas se faire repérer par les Terriens... Mais elle était facilement excitée.

Comme en ce moment.

Ayumi adorait les sexe masculin, qu'elle préférait très largement aux sextoys ou aux godes ceinturés, même les plus réalistes. Rien ne valait un long bâton de chair à la fois dur et tendre, d'autant plus que la douce chaleurs et la délicieuse odeur qu'ils dégageaient avaient toujours eu tendance à l'enivrer. Et bien c'était pareille avec le sexe de Kioko, et même plus encore, sachant que ce pénis se trouvait sur un corps féminin. Ayumi suçait donc cette belle verge en y mettant toute sa passion, bougeant la tête de bas en haut sur cette virilité. Sa langue tournoyait autour du gland gonflé de sang, comme une grosse glace et, parfois, la jeune femme resserrait ses lèvres sur la hampe pour pomper, avec un fort bruit de succion, avant de l'enfourner d'un coup tout au fond de sa gorge et de tenir de longues secondes. La salive qui s'écoulait de sa bouche et glissait le long de ce sexe finissait sur sa poitrine, lubrifiant celle-ci et améliorant le glissement entre le chibre et les seins. Ayumi suçait donc cette belle bite avec appétit, se triturant ses tétons tendus pour se donner plus de plaisir par la même occasion.

De son coté, Kioko n'était pas en reste. Ayumi pouvait sentir la petite langue gourmande de son amante lécher encore et encore son intimité, passant inlassablement sur ses lèvres inferieure et son clitoris, avant de plonger aussi profondément que possible dans son vagin, pour s'occuper des parois humides et ruisselante. Le visage de sa partenaire était trempé, ce qui n'empêchait pas celle-ci de continuer encore et encore, écartant ses fesses, les étirant, avant de les compresser de nouveau. Les deux étudiantes gémissaient à l'unisson, en harmonie, sans se soucier de ce qui pourrait se passer dans cette rue. Mais ce qui devait finir par arriver arriva, et une troisième protagoniste apparut de derrière un buisson pour se retrouver juste devant elles. Ayumi ne la vit pas, mais elle ne broncha pas non plus à sa présence, trop occupée à déguster son objet de convoitise et de désir...

- Si ce n’est pas un attentat à la pudeur, je me demande ce que c’est...

A son ton, on pouvait sentir son amusement. Elle n'était pas là pour s'en prendre à elles ou pour les sermonner, bien au contraire. D'ailleurs, la nouvelle arrivante s'installa sur le dos de la future idole porno, avant de caresser et lécher ses fesses et sa rondelle. Visiblement, elle était d'avantage intéressée par son cul que par le reste, ce qui n'était pas pour déranger Ayumi. Cette dernière sentit tout de même quelque chose d'étrange la concernant... La jeune femme avait d'abord crue que ce qu'elle sentait était une sorte d'écharpe en fourrure, avant de se rendre compte que c'était ratacher au derrière de la nouvelle femme. Un accessoire de cosplay ? Après tout, Ayumi n'ayant encore jamais croisée de Terranide, c'était bien possible.

- Tu devrais me présenter plus souvent tes amies, Kioko...

- Hun-hun !!

Ayumi sentit alors les lèvres de la nouvelle arrivante embrasser ses fesse et introduire un doigt, long et fin dans son fondement, et le remuer doucement. Cela n'eu pour effet que d'augmenter un peu plus encore le plaisir de la brune, ainsi que ses gémissement étouffés. De son coté, Ayumi lâcha finalement un de ses seins et manœuvra pour continuer son pazzuri d'une seule main, tenant ses deux tétons dans celle-ci, tandis que l'autre vint s'amuser un peu avec l'autre intimité de Kioko, y enfonçant deux de ses doigts dans cette antre des plaisir inondée et encore inexplorée par la jeune femme, son pouce frottant doucement le clitoris gonflé de son amante. Et sous les doigts de fée de Macy, elle se mit également à remuer lentement des hanches, ses lèvres intimes frottant contre le visage de l'étudiante en droit.

- Hmmmmmm...♥ Hmmmmmmmmm...♥

« Hmmmmmm... Hmmmmmmmmm... »

Sur Terre, il y avait trois choses que Macy adorait : les jeux vidéos (notamment la Xbox 360, ou la Xbox One, qu’elle avait précommandé dès que c’était possible), les sucettes... Et les adolescentes. Macy était bisexuelle, mais elle avait un fort penchant homosexuel, et, sur Terre, elle adorait bondir sur des lycéennes et des étudiantes isolées pour les doigter en silence, les léchant. Quand les jeunes femmes, effrayées, voyaient ses attributs, elles ne pouvaient s’empêcher de la prendre pour une créature infernale, comme une espèce de démone, ce qui amusait Macy. Elle avait beau avoir la vingtaine, ses raisonnements étaient parfois encore dignes de celles d’une gamine de dix ans. Très insouciante, elle voyait Maîtresse Mélinda comme une mère naturelle. Ainsi, quand cette dernière lui disait de ne surtout pas fréquenter les Terriens, la première tentation de Macy était de la contredire... Ce qu’elle faisait en « violant » des lycéennes. Bon, ce n’était pas vraiment un viol, car elle s’assurait, avec ce doigté et cette expérience qu’elle avait apprise, au sein du harem, de toujours les faire jouir. L’éducation de Macy avait fait qu’elle ne considérait pas le viol comme quelque chose de possible, et qu’elle estimait qu’un rapport sexuel ne pouvait être que librement consenti, si l’autre partenaire était doué. De manière assez différente, Macy estimait qu’un viol s’apparentait à une relation sexuelle laissant l’une des parties insatisfaites... Ce qui, d’un certain point de vue, incluait également le viol. En cas de viol, il était peu probable que les deux parties soient pleinement satisfaites.

Macy avait voulu faire une blague à Kioko, et essayer de voir si cette dernière avait enfin acheté « Dead Rising 3 », sous peine de devoir sèchement la violer, et lui voler sa culotte. Au lieu de ça, Kioko était en train de s’envoyer en l’air avec une camarade dans une impasse. Macy avait donc décidé d’intervenir, car elle trouvait cette scène très appétissante. Elle s’était donc confortablement assise sur le corps des deux femmes en train de se lécher, et, tout en sodomisant Ayumi, elle pouvait voir les doigts de Kioko s’aventurer le long des fesses d’Ayumi, glissant délicatement dessus. Kioko cachait vraiment bien son jeu. Studieuse et professionnelle, elle passait toutes ses soirées à coucher avec les autres filles. Après avoir fait ses devoirs, ou pendant. Combien de fois Macy avait-elle ainsi vu Liana faire une longue fellation à Kioko sous son bureau, pendant que cette dernière multipliait les analyses d’arrêts ? Lorsqu’Ayumi glissa deux doigts en elle, son sexe se roidit légèrement, et elle eut un second orgasme, soupirant, la bouche recouverte de la mouille de sa partenaire.

« J’aime beaucoup le cul de ton amie, Kioko... Il me semble indispensable de l’emmener au manoir, celle-ci. Maîtresse Mélinda adore les culs bien ronds comme ça, et les jolis dos tendres et doux. »

Macy ne faisait guère preuve de romantisme, mais, après tout, quand on grandissait dans un monde où on parlait de « se faire fourrer le cul par une grosse bite bien juteuse », il ne fallait pas s’attendre à des miracles. Elle était éduquée, certes, mais un harem resterait toujours un harem. Macy, tout en glissant un second doigt dans les fesses de la femme, donnait également de petites gifles. Le chibre de Kioko était toujours aussi tendu, même s’il ruisselait de salive et de sperme. Sa langue continuait à s’activer frénétiquement dans l’intimité d’Ayumi, et Macy finit par retirer ses doigts, afin de les remplacer par sa langue, ce qui l’amena, à son tour, à s’allonger sur le dos d’Ayumi, contribuant à écraser Kioko, sous le poids des deux femmes. Sa langue se glissa dans l’anus de la femme, le titillant, alternant avec ses doigts, tandis que sa queue glissait sur la tête d’Ayumi. Elle remuait à hauteur de ses cheveux, avant d’enlacer son cou, de le caresser, le pressant tendrement, pour continuer ensuite à la frotter.

La position du trio était assez improbable, et Macy agissait juste pour s’amuser. Pour elle, c’était tout simplement une manière de s’introduire, de se présenter. Elle ignorait totalement l’identité de cette femme, mais elle aimait bien ses fesses. Elle ne savait même pas à quoi elle ressemblait. Et, en vérité, ça l’excitait souvent assez. Quand elle ne savait rien sur les clients, et que ces derniers venaient directement la prendre en levrette, elle trouvait ça délicieusement pervers et excitant, jouissant comme une petite folle... Parfois, elle était assez déçue en voyant les visages, mais ça faisait partie des petits plaisirs de la vie.

Pour l’heure, elle léchait un cul, et elle n’en demandait pas plus. La vie était faite de ces petits plaisirs qu’il fallait savoir déguster au jour le jour.

Ayumi était fière d'elle, non pas pour avoir entraînée Kioko à lui faire torridement l'amour nue au beau milieu de la rue, mais pour avoir réussie à la faire jouir si vite alors que son orgasme précédent était encore assez récent. S'abreuvant goulûment du nectar blanc qui fusa dans sa bouche, elle essaya d'en perdre le moins possible, sentant ses joues gonfler, avant qu'elle n'avale le tout dans un délicieux bruits de déglutition. Repartant aussitôt à l'assaut de ses sexe, Ayumi refit de rapide vas et viens, léchant et pompant ce chibre, ses doigts filant dans son vagin ruisselant de cyprine. Au bout d'un moment, Ayumi décida finalement de lâcher sa poitrine, pour glisser sa seconde main vers le petit puits secret de sa partenaire, titillant sa rondelle, ses doigts lubrifiés de mouille, avant d'en entrer deux dans son fondement, alternant les vas et viens entre les doigts glissants entre ses lèvres intimes, indépendamment de sa bouche, qui continuait de rendre cette sublime queue bien brillante de salive.

- J’aime beaucoup le cul de ton amie, Kioko... Il me semble indispensable de l’emmener au manoir, celle-ci. Maîtresse Mélinda adore les culs bien ronds comme ça, et les jolis dos tendres et doux.

Ayumi ne répondit pas, car ce n'est pas bien de parler la bouche pleine. Mais elle n'en pensait pas moins et avait hâte de se rendre dans ce fameux manoir, où toutes les occupantes semblaient avoir l'esprit très ouvert en matière de sexe. Une sorte de manoir luxueux, dans les deux sens du terme, selon son imagination. Kioko et la nouvelle étaient déformaient à deux à la lécher, l'étudiante enfournant sa langue toujours plus profondément dans sa grotte intime, l'inconnue en faisant à présent de même avec sa rondelle. La future actrice était tellement excitée qu'elle bougeait désormais convulsivement des hanches sur le visage de son amante, son bouton d'amour tapant régulièrement sur le menton de celle-ci. Sous les assaut des deux autres femmes, il ne lui fallut guère longtemps avant de contracter un second orgasme, envoyant plusieurs jets de mouille sur le visage et dans la bouche de Kioko, gémissant longuement en gorge profonde... Heureusement, cela avait duré suffisamment longtemps, pour qu'Ayumi n'absorbe en elle une autre fournée de foutre chaud.

- Haaaaaa... Haaaaaa... Fiouuuu... Kioko... Tu veux goûter à mon cul pendant que ta copine me lèche ? Ou on va à ce fameux manoir tout de suite ?

Au vu de son ton, il était évident que la brune souhaitait ardemment que son amante ne choisit la première invitation. D'ailleurs, se redressant après que Macy ne se soit relevée, Ayumi s'était déjà mise en levrette, appuyée contre une benne à ordures, ses mains écartant bien ses fesses.

Macy s’amusait avec les fesses de cette jeune femme, et Kioko se laissait également aller. Cette partie à trois dura encore le temps de quelques orgasmes, jusqu’à ce que Macy ne s’écarte. Les deux femmes allaient-elles être raisonnables ? Elles venaient après tout de jouir, et, même malgré l’air frais, Macy pouvait sentir l’odeur de sexe, le mélange de sueur, et cette espèce de chaleur corporelle qui se dégageait après des séances de sexe. Macy se mit à sourire quand la jeune femme se releva. Elle ne les regarda pas, et entreprit de s’appuyer contre une poubelle, leur tendant ses fesses, des gouttes d’eau glissant  le long de son corps, formant des lignes qui atteignaient ensuite le sol.

« Haaaaaa... Haaaaaa... Fiouuuu... Kioko... Tu veux goûter à mon cul pendant que ta copine me lèche ? Ou on va à ce fameux manoir tout de suite ? »

Kioko esquissa un sourire. Son sexe était trempé, mais, à cette idée, il se redressa subitement... Aidé en ce sens par la main de Macy, qui le caressa, le masturbant délicatement. Sa queue alla se déplacer, pour caresser le corps de Kioko. Les deux femmes étaient nues, à l’exception de Macy.

« Hum... Elle est infatigable, celle-ci ? Je ne savais pas que tu devenais la rabatteuse de notre Maîtresse, Kioko...
 -  Haaa... Ce... Hummm... C’est elle qui... Haaaa...
 -  Oh, pitié, ne viens pas me dire qu’on t’a forcé, je te prie ! Pas à moi ! Ton petit soldat m’a l’air un peu trop fier d’être à l’air libre pour qu’on puisse prétendre que tu te forces ! »

Kioko soupira à nouveau, et finit par écarter gentiment Macy. Oui, elle ne pouvait effectivement pas le nier. Ayumi était une véritable traînée, Kioko ne pouvait tout simplement pas le nier, et elle avait, effectivement, une envie phénoménale de goûter à son cul, de s’enfoncer dans sa chair. Maîtresse Mélinda pouvait bien attendre un peu, non ? Après tout, elle voulait que Kioko se dévergonde un peu, qu’elle accepte un mieux les plaisirs de son corps. Alors, dans un sens, Kioko ne faisait qu’accomplir la volonté de sa Maîtresse. Elle n’avait donc aucune honte à avoir, aucune gêne. Elle sourit alors, et se retourna vers Macy, puis l’embrassa, attrapant la femme par son débardeur.

« Contente-toi de faire ce que la dame a dit... Catin ! »

Macy esquissa un léger sourire, et, docilement, s’exécuta. Elle se laissa tomber au sol, et posa ses deux mains sur les chevilles d’Ayumi, s’en servant comme appui pour se rapprocher. Sa tête fila sous les jambes de la femme, voyant son intimité dégoulinante, ses lèvres intimes écartées, offertes, une fleur intime délicate. Un sourire naquit sur les lèvres de Macy, qui entreprit de lentement se hisser. Kioko, de son côté, posa ses mains sur la croupe généreusement offerte de sa partenaire. Elle pelota ses fesses tendrement, puis approcha son sexe.

« Je vais m’occuper de ton cul avec tout l’amour du monde, Ayumi, n’en doute pas, il me tente... Et, comme ça, tu seras enfin prête pour voir dignement ma Maîtresse... Et crois-moi, ton petit cul ne se reposera pas beaucoup face à elle. »

La sodomie, après tout était le plaisir suprême de Maîtresse Mélinda. Kioko, de son côté, dirigea son sexe, et l’enfonça entre les fesses de Kioko, satisfaisant ainsi ce que cette dernière voulait, et commença à donner des coups de reins... Ainsi que des gifles, les abattant sur la croupe de la jeune femme.

Pendant que les deux autres femmes se disputaient gentiment, Ayumi se doigtait le cul sous leur nez, gémissant doucement pour les exciter, les observant langoureusement et avec un petit sourire coquin. La jeune femme était littéralement en chaleur dans cette rue froide, trouvant l'exhibitionnisme particulièrement enivrant, d'autant plus qu'elle était avec deux autres personnes, dont l'une d'elle était aussi habillée qu'elle.

- Contente-toi de faire ce que la dame a dit... Catin !

Après un baisé, la kitsune s'approcha d'Ayumi en arrivant par en dessous et se mit à brouter son intimité, léchant avec gourmandise ses parois vaginales, s’abreuvant de son doux et abondant nectar sucré, tandis que la brune se mit à gémir plus fort, caressant la chevelure de la femme, entre ses oreilles, et plaquant sa tête contre son entrejambe. Derrière elle, Kioko posa ses mains sur son cul et le pétrit amoureusement, la jeune fille sentant rapidement la verge de son amante contre sa croupe.

- Je vais m’occuper de ton cul avec tout l’amour du monde, Ayumi, n’en doute pas, il me tente... Et, comme ça, tu seras enfin prête pour voir dignement ma Maîtresse... Et crois-moi, ton petit cul ne se reposera pas beaucoup face à elle.

- Hmmmm... Mais qu'attends-tu donc pour me la mettre, Kioko ?

Cette dernière s'exécuta donc et Ayumi se cambra de plaisir sous cette pénétration sec, se redressant, tandis que sa camarade de fac débutait d'intenses vas et viens, claquant de temps à autre ses fesses, amenant l'étudiante à haleter et soupirer de plaisir. Ses seins bougeaient en rythme avec les assauts de ce pieu de chair et, lentement, Ayumi se remis à baver, la langue pendante. Le sexe était quelque chose de tellement bon et plaisant, que l'étudiante ne pouvait décidément pas s'en passer.

- Tiens moi... par les seins... Haaaaa... Kioko... Ex... Excite moi... Haaaa....

De son coté, Ayumi remua également des hanches, permettant au sexe de son amante de s'enfoncer plus profondément encore. La langue de la kitsune ne la laissa pas en reste et son petit manège avait également pour conséquence de frotter son intimité contre son visage.

Kioko rentra assez rapidement. Le cul d’Ayumi, comme la jeune femme pouvait s’y attendre, s’adapta assez rapidement à son membre inquisiteur, confirmant que ce dernier avait déjà pu servir. À être ici, à défoncer le cul d’une traînée contre une poubelle dans une ruelle, Kioko ressemblait vraiment à ce qu’elle avait toujours dédaigné et méprisé, depuis ses assemblages de lois et d’arrêts, formant comme un bouclier : les traînées et les prostituées. Elle se trouvait terriblement salope, et trouvait ça particulièrement grisant. Sous l’effet de cette sourde excitation qui remontait en elle, et se diluait dans tout son corps.

Son sexe remuait dans le fondement d’Ayumi, et elle la giflait fort volontiers, donnant des petites claques, savourant les soupirs et les gémissements que sa partenaire poussait. Macy s’était légèrement redressée, ses mains s’appuyant également sur les fesses tendres et douces de la Japonaise, s’en servant comme appui, sa langue s’enfonçant dans son corps. Elle se régalait de toute cette mouille qui affluait sur sa langue, et continuait à boire, avec avidité. Macy se contrôlait un peu mieux que Kioko de ce point de vue, ce qui n’était pas surprenant : contrairement à Kioko, elle avait été formée dans le sexe. Macy était une Terranide talentueuse dans ce domaine, et elle le prouvait en jouant admirablement avec sa langue.

« Tiens moi... par les seins... Haaaaa... Kioko... Ex... Excite moi... Haaaa.... »

Kioko déglutit silencieusement, et obtempéra. Elle releva ses mains, et s’enfonça un peu plus dans les fesses de la femme. Kioko soupira contre les oreilles d’Ayumi, gémissant près de ses cheveux, et pinça chacun de ses seins, à hauteur de ses tétons, tout en continuant à donner de puissants coups de reins. Son corps remuait longuement, s’enfonçant profondément en elle, la perforant joyeusement. Elle se délectait de cette sensation. Oh oui, la sodomie, c’était tellement bon ! Tellement jouissif, tellement intense ! Kioko se régalait, et, au fur et à mesure que le temps passait, il lui était de plus en plus facile de remuer son vit, de glisser son sexe en elle. Ses mains, couvertes de sueur, se resserraient sur les tétons de sa partenaire, et elle continuait ainsi à longuement la prendre.

« Haaaann... Espèce de... Sale pute, haaan !! »

Kioko l’insultait dans le creux de son oreille, tout en continuant à malaxer ses seins, pinçant ses tétons, tirant chacun des seins dans tous les sens. Après tout, c’était Ayumi elle-même qui avait demandé à ce que Kioko l’excite... Et, vu leur situation, Kioko trouvait que l’insulter était très excitant... En partie parce que c’était ainsi que sa Maîtresse procédait. Elle l’excitait en l’insultant, tout en la prenant en levrette, et Kioko avait honte de l’admettre, mais elle trouvait ça tout simplement excitant. Elle se lâchait donc sur le corps d’Ayumi, la maintenant contre elle. Sa sodomie était un peu plus lente, aussi se débrouillait-elle pour conserver son sexe en elle, le plus loin possible.

Ce manque de rythme incita sans doute Macy à déplacer sa queue, et à user de ses mains. Elle les posa sur la croupe de Kioko, et les griffa légèrement, très légèrement. Kioko eut un brusque hoquet de douleur, et sentit ensuite Macy l’aider à remuer son bassin, renforçant ainsi sa sodomie. Son sexe s’enfonça dès lors bien plus rapidement dans les profondeurs du corps de sa partenaire. Gémissant de plaisir, de la salive s’échappant de ses lèvres, pour heurter l’épaule d’Ayumi, Kioko continua à la prendre, grognant dans son dos, ses seins s’enfonçant contre son corps. La chair claquait, la mouille s’échappait... Que de sensations exquises.

Kioko ne put retenir un nouvel orgasme, et s’abandonna assez longuement dans le fondement de sa partenaire. Elle sentit la vague venir, et se retint, se mordillant les lèvres, inspirant longuement, avant de se déverser dans son corps. Pendant de longues et de longues secondes, par à-coups, Kioko déversa son foutre dans le fondement de sa partenaire, s’abandonnant délicieusement en elle. C’était si bon ! Le sperme ne devait jamais être gaspillé en atterrissant ailleurs que dans un trou. Elle remplit les fesses de sa partenaire, et s’arrêta au bout de presque une minute. Le sperme s’échappait lentement du fondement de sa partenaire, et elle se pressa contre elle.

« Haaa... Oh, c’est si bon, ma petite pute... De te défoncer le cul... Ma Maîtresse adorera goûter au tien, sois-en sûre... »