Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Le grand jour [PV Slade]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Amandine Kamuh

Humain(e)

Le grand jour [PV Slade]

jeudi 14 novembre 2013, 20:42:05

Amandine ouvrit doucement ses yeux rubis et cligna plusieurs fois des paupières tandis que son cerveau tentait de se souvenir où elle se trouvait, pourquoi et surtout si cela représentait un danger. Loin de paniquer, elle se redressa lentement, les sourcils légèrement froncés, éloignant ses longs cheveux rouges de son visage angélique. Elle avait prit l'habitude de se réveiller après un délicieux rêve, mais ce matin elle était seule dans le dortoir et en plus elle avait fait un cauchemar. Elle portait encore sa nuisette de chambre et décida de se préparer et attrapa sa robe bustier blanche de coton et de satin, cintré a la taille d'un ruban en satin noir. La jeune femme aux dix-sept printemps (ou bien 18 elle ne savait plus) était née dans un riche environnement et en avait gardé les valeurs. De la prestance, de la politesse, du respect, mais jamais d'orgueil ou de vanité. Il n'y avait pas fille plus généreuse et naïve que cette petite poupée là dans un monde de luxure. Pourtant elle s'y était faîte. Elle pensait vivre une aventure formidable comme dans les romans qu'elle dévorait. Tout avait commencé comme si c'était un jeu, mais lorsqu'elle avait été confronté aux faits véritables, le sexe, elle n'avait pas prit peur, loin de là. Aujourd'hui... elle en était tombé amoureuse. Et bien quoi ? On l'avait éduquée comme ça après tout. Comme la victime qui s'attache à son bourreau en quelque sorte. A la différence que son bourreau n'avait rien d'un homme violent mais plutôt très gentil et soigneux envers elle. Cette jolie pucelle qui ne semblait pas pouvoir faire de mal à une mouche, était devenu la chouchoute du dirigeant. Elle passait des journées entières avec lui à le masser, danser pour lui et écouter ses histoires, et elle y trouvait une certaine magie et une douce sensation de sécurité.

Amandine se souvint soudain qu'elle avait maintes choses à faire encore aujourd'hui. Elle avait ses cours sexuels mais aussi une danse à faire pour son Maître.
Quittant la pièce avec ses sandales noire et sa robe à la main, elle se dirigea vers la salle d'eau afin de prendre une douche. Ignorant la timidité, elle partagea la pièce avec d'autres filles. Amandine était de taille plutôt moyenne et un corps féminin pas encore tout à fait formé, mais déjà fort agréable, et elle ne faisait preuve d'aucune pudeur. Mais qu'elles avaient de la chance, ces grandes femmes fines à la poitrine ronde et généreuse ! Comme elle aurait aimé leur ressembler...
Amandine se glissa sous l'eau délicieusement chaude et fit une rapide toilette avant de se rhabiller, de se coiffer du mieux qu'elle pouvait, de se maquiller discrètement et de sortir au plus vite avant de rater le début de son cours. Malheureusement, ce fut le cas. Heureusement, son professeur était de bonne humeur et ne lui fit pas de remontrance.
Le cours dura tout la matinée. Après un bon déjeuner au réfectoire avec les autres filles, elle partit enfiler sa tenue de danse ((http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=709263dancingflowerbysuikkad5yi47h.jpg) et rejoignit son Maître. Elle bougeait avec une sensualité et une légèreté hors du commun. Darwin, le propriétaire, aimait particulièrement ces moments.

C'est alors qu'elle fut soudainement interrompue par l'intendant du domaine. Un homme, un client en vérité, attendait dans le salon d'à coté et désirait s'entretenir avec le patron pour affaire. Darwin grogna un peu mais se leva rejoignant le siège derrière son bureau. La jeune femme, par habitude, voulu quitter la pièce mais étrangement, son Maître lui demanda de rester.

- Ne sors pas. Tu peux toi aussi potentiellement plaire à cet homme tu sais. S'il te choisit tu pourra partir et découvrir de nouveaux horizons, et travailler pour de vrai. Tu verra, c'est formidable.

Qu'on l'achète ? Amandine savait qu'elle était né ici pour ça mais n'avait jamais imaginé plaire à quelqu'un d'autre. C'était un honneur d'être achetée ici. Mais d'un autre coté, elle aimait tant cet endroit ! Un peu étonnée mais obéissante, elle rajusta sa belle chevelure et son Maître ordonna à l'intendant de faire entrer l'homme en question...
« Modifié: jeudi 14 novembre 2013, 20:51:04 par Amandine Kamuh »

Slade

Créature

Re : Le grand jour [PV Slade]

Réponse 1 dimanche 17 novembre 2013, 22:24:51

Le palais de glace dans lequel il vivait à la cour de la reine Mab le lassait particulièrement. Il était las, las des jeux de courtisans, las de devoir défendre une position qu’il n’avait, au final jamais désiré, mais qui lui avait été imposée par la reine. Son chevalier servant, le chevalier de l’hiver. Il était aussi particulièrement las du froid qui l’entourait, las de cette glace perpétuelle. Il voulait voir le soleil, il voulait voir l’herbe verte et les fortes de feuillus, il voulait voyager, il voulait vivre et revivre. Il voulait se satisfaire d’un air plus chaud, se laisser dorer au soleil comme le lézard qu’il était en train de devenir malgré lui.
Sa nomination en tant que chevalier de l’hiver avait énormément ralenti sa transformation, mais cela ne suffisait apparemment pas à la stopper complètement. Il était las de se sentir rogné peu à peu jusqu’à devenir ce qu’il n’était pas et ce qu’il n’avait jamais voulu devenir.

Il avait décidé par conséquent de prendre congé un temps de la cour et après de nombreux palabres avec la reine elle-même il avait obtenu son congé pour une durée déterminée, le temps de se remettre en forme, à la simple condition qu’il se débrouille par ses propres moyens. Il ne partirait qu’avec ce qu’il pourrait emporter et devrait revenir comme un prince et non comme un mendiant ayant dilapidé son argent. C’était sa condition et il avait donné son accord. Il avait prêté serment. Et un serment avec les faes ne vous engage pas sur votre parole, mais sur votre vie et votre âme. Même Tut ne put l’accompagner. Elle n’en avait pas le droit et on dut l’enfermer pour l’empêcher de le suivre.

Il ne partit qu’avec peu de choses en fait, des lettres de crédit et de change, ainsi que sa tenue et son destrier, ainsi qu’un cheval de bât. Voilà ce de quoi il était parti. Pour le reste, ses pouvoirs l’avaient bien aidé. Il avait vendu son cheval de bât et en avait tiré une somme folle comme étalon reproducteur, et pour le destrier, le jeune homme vendait ses saillies pour se faire une rente. Il n’habitait pas dans un domaine immense, mais contrairement à ce que la reine pouvait croire, il possédait des placements ça et là qui lui avait permis de s’offrir un petit manoir : toujours de quoi vivrez décemment, en effet, il n’y avait qu’une vingtaine de chambres d’amis, trois salles de balles, quatre salles à manger, une aile réservée aux serviteurs. Et une aile avec d’autres logements et salles diverses. Tout cela, la reine ne le savait pas et avec cela il avait une chance de revenir comme promis.

Seulement, une fois arrivé là bas, il avait eu un sentiment de vide insondable. La maison était retournée dans cet état de peur permanent qui régissait l’existence de la domesticité, la peur de la colère du maitre, certes, mais aussi la peur de sa lassitude. En effet, Slade était non seulement quelqu’un dont il fallait éviter la colère, mais en plus, il fallait en permanence éviter qu’il ne s’ennuie, il s’en prenait au personnel par ennui en permanence. Et que fait-on pour distraire un maitre qui s’ennuie vite ? On lui trouve une occupation !  A l’insu du maitre des lieux, les domestiques se renseignèrent, et finir par trouver le nom d’un certain Darwin, qui, parait-il, avait un magnifique élevage d’esclaves, et trouver une pouliche pour le maitre serait une excellente idée. Le reste fut facile, très facile, il a suffi de glisser une petite publicité sur le cheptel et laisser la curiosité du maitre faire le reste.

En effet, il avait été attiré par la curiosité et devant l’aspect de la brochure il avait pris contact avec ledit Darwin pour fixer un rendez-vous et voir toutes les pouliches qu’il aurait à proposer, d’autant plus qu’il avait une perle rare à ce qu’on prétendait… et il voulait l’examiner de plus près. Elle ferait un cadeau de choix pour la reine, qui revient de prince revient avec un cadeau royal !

C’était fort de cette idée qu’il avait pris la direction de cet élevage. Il mit deux jours à cheval pour rejoindre le lieu indiqué et même là, il dut encore attendre une heure après s’être fait accueillir froidement par l’intendant. Et ce fut seulement au bout d’une heure qu’on le fit entrer dans une autre pièce. Il y avait là deux personnes,  un homme et une femme, l’homme était l’éleveur à n’en pas douter. L’autre devait être cette fameuse perle rare. Et elle en avait l’apparence. Le reste viendrait à être dévoilé en temps et en heures. Il ne la détailla que rfapidement. Elle n’était qu’un objet, un cadeau à apprêter.

« Bonjour, monsieur. J’ai eu un rapide aperçu de votre cheptel, j’en sui fortement impressionné ! Je ne peux que vous faire tous mes compliments ! »

Comment pouvait-on avoir une voix chaleureuse et des yeux aussi froids en même temps ? En étant chevalier de l’hiver, ou en ne confondant pas travail et plaisir, même si là, c’était juste la phase pénible avant le plaisir.

Il devait faire forte impression, avec sa peau pâle, ses cheveux de neige, contrastant avec une armure d’ébène comme si elle aspirait la lumière alentour. Mais il en allait ainsi pour la amjorité de ses tenues, il aimait le monochrome, et la ténèbre tout particulièrement.

« Je crois qu’il est inutile de vous expliquer la raison de ma venue, non ? Mais laissez moi m’introduire ! Mon nom est  Slade, chevalier de la cour de l’hiver de la reine Mab ! Enchanté de faire votre connaissance ! »

Amandine Kamuh

Humain(e)

Re : Le grand jour [PV Slade]

Réponse 2 lundi 18 novembre 2013, 11:11:22

Un client voudrait-il d'elle ? Amandine avait tendance à en doute, ce qui agaçait parfois Darwin.  Il ne comprenait pas vraiment pourquoi cette adorable jeune femme doutait autant de sa beauté et de son attraction.  Si elle n'avait pas été si jeune et si précieuse, voilà longtemps qu'il l'aurait prise parmi les Duchesses, ces cinq et uniques jeunes femmes qu'il désignait chaque année pour son harem personnel. Un peu angoissée, il la regarda retoucher ses cheveux et soupira doucement, un sourire au lèvre. Avec lenteur, il quitta le siège derrière son bureau et s'approcha, glissant une main sous son menton pour l'inciter à le regarder dans les yeux.
Ces deux là entretenaient une relation vraiment fusionnelle. Un mélange de père/fille et d'élève/professeur. Un lien étrange, mais fort. L'idée que sa petite perle la quitte peut-être aujourd'hui ou un autre jour lui brisait le cœur. Mais jamais il ne l’admettrai. Il caressa quelques secondes son visage puis fit d'une voix douce et suave :

- Ne te sous-estime pas, mon Trésor. Tu as toutes les qualité requises pour sustenter un Maître.
- Darwin... tu le sais bien, aucun homme ne pas encore touchée. Je suis une bonne élève, mais... j'ai peur de ne pas savoir...
- Allons, allons...

Amandine était la seule à pouvoir tutoyer et parler aussi intimement avec le Maître des lieux. Celui-ci posa ses mains sur ses épaules pour la rassurer et la réconforter.

- Pour beaucoup d'hommes, il n'y a rien de plus excitant que de déflorer une aussi jolie pucelle que toi. C'est ce qui fait ta force. Tu es un bijoux que nul n'a jamais souillé, une vraie perle. Crois-moi Trésor, ton heure viendra. Plus vite que tu ne le pense...

Il ne croyait pas si bien dire. Il sourit de plus belle, déposa un baiser sur le front de sa préférée, puis eut tout juste le temps de retourner à son bureau que l'intendant faisait entrer ce fameux client. Le propriétaire des lieux l'accueillit chaleureusement et l'invita à entrer.
A peine l'individu avait-il passé la porte qu'Amandine fut estomaquée par sa beauté. Dans cet élevage, on ne croisait pas toujours de superbes hommes. Il n'y avait guère que lors des Saillies que l'on croisait les plus beaux spécimen. Et celui-là en faisait partie. Qu'il était beau avec ces cheveux de neige et ses grands yeux clairs ! Et quelle allure...
La jeune femme fit un effort pour ne pas rester tel un poisson rouge dans son bocal et s'inclina à son entrée.
Le bel éphèbe complimenta tout d'abord l'endroit, ce qui plu beaucoup à Darwin qui aimait que l'on reconnaisse la qualité de son travail.

- Vos compliments me touchent et me vont doit au cœur, Monsieur. Je me présente, mon nom est Darwin. Soyez le Bienvenu dans mon domaine ! Mon intendant m'a fait part de votre désir d'acheter l'une de nos filles...

Le nom de l'individu était Slade. Il sonnait bien et lui allait à ravir ! Amandine se surprit à réellement espérer qu'il l'achète. Et bien quoi ? Elle aussi avait des critères...
Chevalier de la cour de l'hiver de la reine Mab ?! Ça alors ! Très impressionnée, la jeune femme se contentait d'observer l'homme sans un mot. Darwin sourit de plus belle et quitta l'arrière de son bureau pour s'approcher de l'homme.

- La Reine Mab. Oui, j'ai entendu parler d'elle. C'est un honneur de vous recevoir dans mon domaine, Chevalier. Mais avant de parler affaire, peut-être désirez-vous boire un verre de vin en ma compagnie ? Si vous êtes pressé je peux aussi faire venir mes meilleures filles durant votre dégustation. Qu'en dîtes-vous ?

Amandine avait le cœur battant. Quelle angoisse ! L'avait-il seulement remarquée ? Elle commençait à douter de nouveau mais elle croisa le regard brillant et tendre de Darwin. Elle reprit un peu de contenance et se redressa. N'importe quelle fille aurait espérer plus que tout avoir un Maître pareil. Peu importe qu'il fut irrespectueux ou mauvais... il était si beau ! Et cette qualité était si rare chez les acheteurs...

Slade

Créature

Re : Le grand jour [PV Slade]

Réponse 3 mercredi 20 novembre 2013, 12:47:57

Particulièrement poli et bien élevé, l’éleveur était installé et semblait déjà prêt à négocier, en effet, nul doute que le maitre des lieux estimaient qu’une affaire intéressante était en route : il ne pensait pas sincèrement que  Slade allait tourner longtemps autour du pot, si ? Ce n’était pas, sincèrement, le genre du chevalier de la cour de l’hiver. Non pas qu’il soit impatient, mais il avait une certaine forme d’intolérance à la perte de temps, ainsi, chaque ordre devait être exécuté dans la minute suivante, il ne tolérait aucun lambinage, quel qu’il soit ! Dans le meilleur des cas, le lambin était fouetté, dans le pire, même les chiens restaient sur leurs faim quand on leur livrait les restes…

« Certes, je souhaite m’offrir une esclave qui soit belle et bien dressée. J’ai tenté de prendre quelques renseignements avant de venir, monsieur, et je dois vous avouer que j’ai été étonné de ce que les échos font parvenir sur votre travail sont particulièrement flatteurs ! J’avoue qu’une telle notoriété est rare. Vous avez un cheptel de qualité ! Toutes les bêtes issues des saillies de votre élevage sont très satisfaisante. Quant à l’éducation, le programme est tout à fait correct. Une collation n’est jamais de refus, nous pouvons bien bavarder en mangeant, d’autant que je serai ravi de voir vos perles à vendre. Et ainsi, je pourrai être demain chez moi avant la nuit ! »

Il sourit, aimablement. Tant de bonne humeur et de bon sentiment, c’était à vomir, mais il devait en passer par là, ainsi allait le commerce… il s’agissait au moins de faire emblant. Il estimait avoir le pouvoir de dévaster les lieux et prendre ce qu’il voulait, mais il ne le faisait pas, parce qu’il était en vacance, et qu’il avait la flemme, d’autant que s’il utilisait ses pouvoirs de chevalier de l’hiver, Elle le saurait et il serait sa risée à son retour. Le petit Slade incapable de se débrouiller sans sa reine et maîtresse…. Oui, ce serait une honte incroyable, alors on se fie aux règles du commerce. Toutefois, à cette pensée, pendant un bref instant, ses yeux reptiliens firent surface. Cela ne dura pas, mais cela remit sur le devant de la scène une idée toute simple et vraie : il n’était plus humain, il était un monstre, un monstre tentant de se faire passer pour un pitoyable humain.

« Ma foi, je dois vous avouer que Sa Majesté n’a cure de  ce que l’on pourrait penser d’elle, car personne ne comprend vraiment qu’il ne faut pas en avoie entendu parler, il faut avoir peur qu’elle se déplace. Elle sème le froid, le silence, la désolation, la mort. Mais oui, c’est un honneur de m’avoir au sein de votre établissement. Parce que je ne suis pas la reine, et si je suis satisfait, il se pourrait que les faes viennent se fournir en chair fraiche ici…. J’ai énormément d’influences…. Encore faudrait-il que je suis conquis par un de vos modèles… »

Finalement il se mit à dévisager celle qui était près du maître des lieux, une jeune femme, sa perle bien évidemment, il ne voyait pas qui d’autre il aurait ainsi gardé auprès de lui, un peu comme si il l’exposait. Et, sans amicalité, ni hostilité d’ailleurs, d’un ton sec mais neutre :

« Ton nom ? Ta fonction ? Tes compétences ? »

Il faisait un état des marchandises. Mais il sembla s’en désintéresser aussitôt pour retourner vers le maitre des lieux.

« Bien évidemment inutile de me montrer celles qui ne sont pas pucelles avec certificat. En la matière, j’ai vu tant d’arnaques… c’est tellement facile de faire passer une esclave pour vierge en période de chaleur… »


Répondre
Tags :