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[FINI] Pacte de non-agression [Alice Liddell]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 30 samedi 08 mars 2014, 02:06:14

C’était à se demander combien de règles diplomatiques et de principes Herzeleid comptait violer durant cette réunion. Le message implicite se dégageant d’un tel comportement était limpide : Herzeleid agissait selon son bon vouloir, sans se soucier des conséquences sur les autres, ou de leur avis. Un marché de dupes. Après avoir torturé sous les yeux une femme, la Reine était maintenant en train de les forcer à assister à un viol. Personne ne voyait la femme, mais il fallait être aveugle pour ne pas le voir. Coehoorn ne disait rien, indéchiffrable. Il sentait le regard du conseiller de Liddell sur lui, mais les tentatives de ce dernier de pénétrer dans son esprit étaient vaines. Comme n’importe quel conseiller impérial et Maréchal, Coehoorn avait reçu un entraînement spécial contre les tortures et les tentatives d’altération et d’intrusion mentales. Les tentatives de Chess étaient vaines, et Coehoorn se contenta de silencieusement le regarder. Il tenait à ce qu’Herzeleid sache qu’il n’était pas impressionné. Il incarnait Ashnard, et le millénaire Empire ne ploierait pas devant les caprices d’une gamine cinglée bonne à enfermer.

Marta continua à se faire plaisir, battant et humiliant l’esclave, avant de terminer son viol. Il n’y avait tout simplement pas d’autres mots pour désigner ce qui se passait, et, si Alice n’avait pas l’estomac retourné, elle aurait probablement encore hurlé au scandale. Elle n’avait plus qu’une envie : retourner chez elle, et abandonner cette folie. Sans doute avait-elle espéré, en venant ici, pouvoir raisonner cette femme. Elle ne savait alors pas trop à quoi s’attendre, mais, maintenant qu’elle était face à Herzeleid, le doute n’était plus permis. Cette Reine était folle à lier, et il n’y avait aucun espoir de lui faire entendre raison. Toute la question était de savoir s’il fallait intervenir maintenant, ou plus tard. Alice était partisane d’une intervention dans les plus brèves délais. Comme l’avait dit le Maréchal, Herzeleid était sur la voie d’une guerre massive, et disposait d’une technologie avancée... Leurs armes constituaient des violations des accords internationaux signés entre Ashnard et Tekhos. Les Tekhanes étaient opposées à la prolifération d’armes de destruction massive, et une autre approche, pour les Ashnardiens, serait d’amener Tekhos à se préoccuper d’Herzeleid. Les Tekhanes, cependant, préféraient ne pas voir l’évidence. Herzeleid était loin de chez elles, et elles avaient déjà de gros problèmes à régler avec les Formiens. Il fallait les placer face à l’évidence pour les forcer à agir. Terra était dominée par le duel à trois entre Nexus, Ashnard, et Tekhos. Et aucune des trois puissances n’avait particulièrement envie qu’un quatrième État émerge.

Au bout d’un moment, la seconde de Liddell finit par en terminer, et se releva, tandis que des servantes traînèrent rapidement la femme. Chacun eut toutefois le loisir de voir du sperme sur son visage, et son visage effrayé. Zyra était outrée, Xyola amusée devant un tel culot, et Coehoorn... Neutre. Il n’était pas étonné, car un tel acte était conforme au fonctionnement de cette reine. Il avait d’autres projets derrière la tête. Comme si rien ne s’était passé, la Reine d’Herzeleid proposa à ses invités de passer la nuit ici :

« Si le cœur vous en dit, vous pouvait restez au château cette nuit... Nous reparlerons de ce pacte  plus tard... Aussi, des majordomes vous attendent, ils vous conduiront à une chambre pour la nuit.... Sur ce, bonne nuitée à vous tous... Ihih... »

La Reine et ses hommes se retirèrent, laissant les Ashnardiens seuls. Zyra put alors se tourner vers Alice, qui se releva, une main sur le ventre.

« Je... J’ai mal au ventre... Toilettes... »

Alice fila alors à toute allure, et Zyra la suivit. Elle put ainsi vomir dans les toilettes, laissant Coehoorn et Xyola seuls, avec leurs gardes.

« Cette femme est démente...
 -  Les Emreis et leur sens de la déduction m’impressionneront toujours. »

Le ton était sarcastique, ce qui n’échappa nullement au Maréchal. L’homme se releva subitement, marchant lentement, avant de se tourner vers la femme.

« Je ne suis pas dupe, vous savez. Votre présence a été imposée par Naraël. La ‘‘Reine Noire’’ n’a jamais aimé les Emreis.
 -  Ma sœur et moi militons pour le bien-être de l’Empire... Comme nous tous, non ?
 -  Nous tous... Je ne cherchais nullement à prétendre le contraire, ricana Coehoorn. C’est pour ça que le Conseil a choisi d’envoyer deux ambassadeurs, et pas un seul. »

Xyola haussa les épaules.

« Il faut bien avoir plusieurs avis, on ne peut pas signer un traité de paix d’un claquement de doigts.
 -  Je n’apprécie guère d’être mêlé aux intrigues politiques de mon frère. Si ça ne tenait qu’à moi, j’aurais continué à mener l’offensive, jusqu’à ce que tout ce royaume soit balayé.
 -  La politique de la table rase ? Maréchal, n’est-ce pas vous qui affirmez être contre cette théorie ? »

La table rase était la politique classique menée par l’Empire lors de ses invasions. Tout détruire, et tout reconstruire, afin de créer de l’emploi, et avoir ainsi une région totalement annexée. C’était long et très coûteux, si bien que le Maréchal était plutôt favorable au développement de techniques alternatives quand les Ashnardiens envahissaient des terres hostiles. Cependant, ici, la situation était bien différente.

« Avons-nous une autre solution ? Cette femme voudrait brûler le monde entier, si on la laisse faire.
 -  Mais, si nous envisageons d’envahir Herzeleid, alors, il faudra renoncer à Aldackelm. Je croyais que c’était pour ça que nous étions tous dans ce château...
 -  Ne jouez pas l’idiote, Xyola, ça ne marche pas avec moi. La petite blonde n’y voit peut-être que du feu, mais je ne suis pas un Korvander, moi. Je baigne dans les complots politiques et les manipulations depuis ma naissance. Herzeleid signe lui-même son arrêt de mort, en continuant à se développer. Les Hauts-Elfes nous prêteront main-forte s’il s’agit de l’envahir, j’en suis persuadé. Toute la question est de savoir qui versera le premier sang. »

De son côté, Alice retourna dans sa chambre, pâle, avec un seau qui l’accompagnait.

« C’est cette viande..., gémissait-elle. Elle se refuse à passer. »

Zyra avait également pu noter que cette dernière avait un goût bizarre. Les deux femmes ne pouvaient pas le savoir, mais il était surtout possible que la viande soit avariée. Après tout, Herzeleid était fortement polluée, et la viande produite dans la région ne devait donc pas être très bonne.

« Je vais essayer d’en savoir plus sur cette viande, Princesse.
 -  Est-ce... Est-ce bien prudent ?
 -  J’ai protégé la porte avec un glyphe magique, ça devrait suffire à vous protéger.
 -  D’a... D’a... Haaaa... »

La Princesse vomit à nouveau. Zyra, elle, se dépêcha de sortir. Elle avait un très mauvais pressentiment sur le déroulement de cette nuit dans le château.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 31 samedi 08 mars 2014, 13:37:04

Tu sais Marta, Mr. Le Chat est là pour veiller sur moi, soit tranquille hihi.
Ouai... Je vais tout de même veillais toute la nuit... J'ai pas confiance en l'autre pute...
Bien, fais comme tu le sent.

Alice se faisait coiffer par l'une de ses servante, la jeune reine portais une petite nuisette de soie bleu cyan, tendis que ses bras et ses jambes étaient habillées de mitaine et de collants rayés noir et blancs. Marta attendais dans un coin de la pièce, attendant que la servante finisse son affaire. Une fois la petite Monarque bien au chaud dans ses draps, la maid éteignit les lumières puis elle sortie de la pièce en baissant la tête en passant devant Marta.

Bonne nuit majesté.
Bonne nuit Martatchoupinette, fait pas trop de bêtises, fufu !

La futa referma délicatement la porte derrière elle, avant de lacher un grand soupir... La nuit allait être longue et en plus Grizellda n'était pas là. Grizellda et Marta s'engueuler assez souvent, mais pour le coup, sa faisait vraiment chier Marta d'être seule.

Bon... Elle est ou l'autre poche à foutre, j'ai envie d'lui mettre une cartouche.

Marta parlait bien évidement de la servante qui coiffait Liddell quelques minutes plus tôt. La nuit, le châteaux devenait un immense terrain de jeux pour Marta, cette dernière s'amusait à chercher les petites servantes qui étaient encore en service afin de... Bas de les violer. Le bruit des talons de Marta claquant contre les carreaux se faisait entendre dans le couloir tout entier, prévenant l'arriver de la jeune femme dans les parages. Toutefois, l'idée de violer une servante passa bien vite, Marta se devait de rester un minimum sérieuse, les Ashnardiens étaient aux portes d'Herzeleid et cela n'avait rien de très rassurant. Par conséquent, Marta fit la ronde pendant deux bonnes heures, buvant par moment un petite gorgée d'alcool afin de se donner un p'tit coup de fouet. Mais... La belle hermaphrodite n'en pouvait plus... Fallait qu'elle fasse un truc, là, tout de suite ! Elle se calla contre un mur, elle lança un petit regard rapide au alentours puis...

Aller Marta, s'pas une petite pignole qui va entrainer la mort de la reine, toute façon, à par les deux Sylvandines, tout les autres sont retournés au camps. Pensât elle alors silencieusement.

Fermant ses yeux délicatement tout en lâchant un grand soupir, Marta défit sa ceinture, pour ensuite sortir sa verge et commencer son petit plaisir solitaire, là, en pleine nuit. Elle y allait franchement, les yeux fermés, elle s'imaginait des diverses scènes en compagnie de sa Reine ou bien alors en compagnie de Grizellda... Toutefois... Au bout d'un moment, une étrange sensation se mit à l'envahir... La sensation d'être épiée, observée par quelqu'un quelqu'un...
La belle Futa se stoppa net dans son activité, et tendis qu'elle tenait toujours son phallus entre sa mains droite... Elle se mis à dire d'une voix forte et autoritaire :

Il y a quelqu'un !?... Qui que vous soyez montrez vous !

... Personne... Aucune réponse... Mais Malgré ça, Marta n'était pas confiante, elle rangea rapidement son engin puis, elle sorti de son holster un gros revolver noir. Elle s'avança alors dans les couloirs du châteaux... Mais visiblement il n'y avait réellement personnes... cela devait surement être un garde un peu trop curieux... Voir une simple impressions... Oui, c'était surement cela.

*Pfiu... Aller, ressaisit toi Marta... Tu manque de sommeil, voilà tout.* 

Elle rangea donc son Revolver dans son Holster puis, nonchalamment elle rebut une petit gorgée d'alcool.

Bon... Je vais aller pisser un coup, pis je retourne voir la Reine.

Sur ses paroles, Marta alla donc en directions des toilettes masculines que se trouvaient au bout du corridor. Une fois dans les dites toilettes, la jeune femme pus constater qu'elles étaient vides... tend mieux, son membre avait tendance à faire des jaloux. Marta se dirigea donc vers l'un des urinoirs qui ce trouvaient là, elle se mit bien en position puis... Elle sortit un cigare de sa poche... Ouai, elle aimait bien fumer en pissant... Allait savoir pourquoi... Enfin bref, elle arracha le bout de son cigare avec les dents, avant de le recracher plus loin, elle sortie ensuite son briquet puis elle alluma son cigare, tirant alors une bonne grosse latte dessus.

Pffffffffff... comme c'est bon...
Le cigare entre les lèvres, marta défit doucement sa ceinture, dégrafa la braguette de son mini-short, pour enfin finir par sortir sa nouille. Mais alors qu'elle n'avait même pas commencer... La porte derrière elle s'ouvrit en faisant un long couinement, Marta, par reflexe, tourna rapidement sa tête afin de regarder par dessus son épaule... Et que vit elle alors... Et bien elle vit La commandeur Sylvandine... Là, plantée comme un cerisier... Évidement Marta était surprise... Mais bien vite, son naturel "joueur" revint au galop.

Eyh... C'est pas cool de déranger les gens dans leur intimité... Tu m'a coupée l'envie avec tes conneries...

Toujours le sexe à l'air, Marta se tourna vers la jeune femme, la même que celle avec qui elle avait échangée des regard froids et cinglants. D'ailleurs... Cela semblait être encore le cas. Les deux femmes se regardèrent une nouvelle fois en chien de Fayence, à l'exception prêt que cette fois ci, Marta avait un petit sourire en coin. La futa, tout en ne lâchant pas Zyra des yeux, se mise à soupeser son sexe, elle la provoquer, elle voulait voir sa réactions...
Il n'y avait personne... Elle avait sa queue de sortie... C'était le moment rêvé pour ce vider les bourses un bon coup dans cette petite pute qui avait oser la regarder de travers à table. et c'est tout naturellement que Marta poussa la provoc encore plus loin.

Je le savais... Je l'ais bien vue à table que tu voulais de mon corps... hm ?

En disant cela, Marta s'avançait vers la Commandeur en se masturbant, avec toujours son cigare entre les lèvres...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 32 dimanche 09 mars 2014, 02:14:53

Zyra était un Commandeur. Si elle le voulait, elle pouvait être aussi furtif et invisible que ceux qui veillaient sur la petite tête blonde en train de vomir ses intestins dans leur chambre. Cependant, elle savait aussi qu’elle était en territoire ennemi, et qu’il ne fallait pas apparaître comme une espionne. Elle avançait à travers des couloirs sombres, nullement inquiète... Même s’il lui fallait bien admettre, tout à fait entre nous, que la sempiternelle mélodie se dégageant des murs du château avait de quoi l’énerver. Elle ne savait pas comment la musique venait, car elle ne voyait aucun appareil qui la diffusait, et, peu importe le point auquel on se tient dans le couloir, la musique était toujours au même volume sonore. Le Commandeur cherchait des servantes, des domestiques, en allant dans les rares pièces encore éclairées, mais, à chaque fois qu’elle approchait, elles étaient systématiquement vides. Mis à part quelques austères gardes, on aurait dit qu’il n’y avait personne. Le doute n’était pas permis : les servant es se cachaient. Dieu seul sait quel sinistre jeu pouvait encore avoir lieu dans ce fort, après la nuit tombée. Pourtant, la Reine était couchée... Était-ce Chess qui poursuivait les servantes pour les dévorer ? Ou cette autre cintrée, Marta, qui partait à la recherche de chair fraîche ?

Le Commandeur l’ignorait, mais les bruits de pas qu’elle entendit étaient précisément ceux de Marta... À croire qu’il y avait là une funeste ironie. Alors que Zyra avançait à travers une multitude de couloirs et de pièces, en voyant parfois de grandes fenêtres donnant sur la ville, elle entendit les bruits de talons, venant à proximité, sons qui rebondissaient contre les parois, et entreprit de les suivre. Elle se mit donc à marcher, plus ou moins rapidement. Zyra n’était pas nerveuse, et elle savait qu’il n’y avait personne dans son dos. Ses cercles de perception étaient aiguisés, et, au moindre geste d’agression, elle réagirait immédiatement. Elle se disait surtout qu’il y avait là une piste. Pour analyser ce bout de viande, elle avait besoin d’accéder à un laboratoire alchimique, et elle se doutait bien qu’il devait y en avoir ici. Zyra avait des connaissances élémentaires en alchimie, suffisamment élevées pour analyser la composition de ce morceau, et déterminer sa provenance. Elle suivait donc Marta, sans savoir que c’était elle, jusqu’à se rapprocher des toilettes où la Princesse avait été à la fin du repas.

La jeune femme y entra, et fut relativement surprise de voir que c’était... Marta.

*Je ne devrais pas l’être, dans le fond...*

Zyra n’avait pas oublié son viol sur cette servante, ce qu’elle trouvait particulièrement barbare et ignoble. Un crime, et une faute diplomatique grave. À l’époque du Roi Fou, ce genre de comportement aurait sans doute pu être toléré, mais, des siècles après la Guerre civile, c’était tout simplement inacceptable. Marta était en train d’uriner, et, en entendant Zyra, se retourna, un énorme cigare sur les lèvres, son chibre pointant devant elle. Elle se retourna donc, et les deux femmes se dévisagèrent, Zyra ayant les bras croisés. Marta finit par s’approcher la première, rompant le silence qui s’était installé entre les deux :

« Je le savais... Je l'ai bien vu à table que tu voulais de mon corps... hm ? »

Elle la vit s’avancer vers elle, se masturbant. Muette, Zyra se décolla du mur, et décroisa les bras.

« Ma Princesse est malade, rétorqua-t-elle. J’aurais aimé trouver une servante susceptible de m’envoyer vers une infirmerie, un centre médical, ou un laboratoire alchimique, mais je n’arrive à en trouver aucune. À défaut, pourrais-tu me renseigner ? »

Zyra faisait attention à ne pas observer son sexe, de manière à ce que Marta ne se fasse pas d’idées. Certes, Zyra ne pouvait pas nier que cette femme était d’une redoutable beauté, mais le Commandeur savait aussi ce qu’elle avait fait. Or, Zyra n’était pas une bête. Elle était une femme civilisée, qui ne supportait pas le viol. Elle ne s’attendait pas vraiment à ce que Marta l’aide sans se poser de questions, et Zyra s’apprêtait donc à devoir continuer à errer toute seule dans les profondeurs d’Herzeleid.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 33 dimanche 09 mars 2014, 12:27:09

"... À défaut, pourrais-tu me renseigner ? "

En entendant cela, Marta arqua l'un de ses sourcils en ayant toujours son petit sourire en coin, l'air de dire "hmmm intéressant". Elle tenait peut être là, un moyen de se purger un coup ainsi qu'une délicieuse façon d'humilier la Sylvandine. La jeune femme se souvenais très bien des regards qu'elles avait échangées toutes les deux, et ça, quant on à l'orgueil et la fierté de Marta von Kruspe... ça ne passe pas. La belle Futa, toujours le manche à la mains, vint alors ce rapprocher très prêt de la Commandeur, prenant un malin plaisir à faire frotter sa verge contre la cuisse de la Sylvandine. Elle tira une bonne grosse taf sur son cigare et d'un petit ton emplie de sarcasme, Marta répondue à son interlocutrice.

Te renseigner ? Bien sur... Dit elle avant de cracher sa fumer au visage de la Commandeur. ... Tout dépendra de comment tu arrive à me satisfaire... Aller... A genoux ! Et Suce !

Marta continuer de faire joujou avec sa queue tout en regardant la Sylvandine droit dans les yeux... Attendant que cette dernière ce décide.

Aller... J'attend...



Pendant ce temps, autre par dans le chateaux.

Cela faisait deux heures qu'Alice cherchais le sommeil, le fait que la petite Princesse soit malade la tracassait beaucoup... Et ci jamais quelqu'un venait à pensait qu'Alice ais voulue l'empoisonner... Nan ! Elle devait rectifier le tire !  C'est donc avec empressement que la petite monarque fit venir l'une de ses servantes afin que cette dernière lui rapporte des médicament contre ce qui était manifestement, qu'une simple petite indigestion. Alice était légèrement paranoiac, et ce petite accident l'inquiétait, tendis qu'une autre partie de son esprit malade lui soufflait que, peut être, cet acte serait bien vus de la petite princesse et que cela aiderais les deux petit royaumes à ce "réconcilier"... Mouais, pas sur que cela fonctionne au vue des atrocités qui c'était passées sous les yeux de son Altesse Korvander. Toutefois, Alice ne voulais pas laisser les choses ainsi, et tendis que Marta était à deux doigts de faire une bêtise, Liddell, pour une fois, jouais la bonne élève. Chess lui, il ne disait rien, il avait disparue dans les méandre du cerveau d'Alice, laissant cette dernière tranquille. La petite Monarque marchait donc d'un pas guilleret vers la chambre de son Altesse Korvander, accompagnée bien sur de la servante qui lui avait rapportée les médicaments. une fois Arrivée devant de la chambre de la Sylvandine, Alice tapota doucement à la porte de cette dernière.

*toc,toc*

Miss Korvander... Miss Korvander ? êtes vous réveillée ?... C'est moi, Alice Liddell... Ihih... J'ai pus remarquer à table que vous ne vous sentiez pas très bien, j'ai donc, dans le doute, amenée des médicaments... Miss Korvander ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 34 lundi 10 mars 2014, 03:05:53

ZYRA

Le Commandeur se reçut un nuage de fumée en pleine figure, et cligna lentement des yeux. Cette femme, aussi belle que démente, s’était tellement rapprochée d’elle que Zyra sentait une sorte de pointe désagréable titiller ses cuisses. Elle savait très bien de quoi il s’agissait. Marta n’avait aucune forme de pudeur, et ne cherchait même pas à le cacher. Zyra avait été un peu naïve en lui demandant son aide, mais, pour être honnête, elle ne s’attendait pas à tomber sur elle. Il fallait bien qu’elle dise quelque chose, et quelque chose de crédible, afin d’éviter l’incident diplomatique... Cette idée aurait pu faire sourire. Après avoir vu une scène de torture, et avoir été les témoins et complices silencieux d’un viol, l’incident diplomatique était une notion abstraite. Zyra aurait pu égorger sa femme sans que cela ne fasse sourciller quiconque, et elle aurait dissimulé le corps suffisamment longtemps pour être loin d’ici quand la Reine Liddell l’aurait vu. Pour être honnête, cette perspective la tenta énormément quand elle se reçut de la fumée crachée en pleine figure.

Marta continua à remuer son membre. C’était répugnant, tout simplement.

« Allez, s’impatienta-t-elle. J'attends... »

Zyra baissa la tête, son visage inexpressive, voyant ce bout tendu. Les hermaphrodites... Une mode tekhane qui s’exportait de plus en plus. Le Commandeur savait que la Princesse de Sylvandell n’y était pas insensible, sa femme étant, notamment, hermaphrodite. Cependant, Zyra trouvait ça... Bizarre. Certes, elle savait qu’il existait de vrais hermaphrodites, mais ils étaient tellement rares qu’il s’agissait plus, pour elle, d’anomalies génétiques, qu’autre chose. Tout ça ne l’excitait pas le moins du monde, alors, quand elle voyait une queue qui avait servi à violer une femme... Zyra comprit pourquoi elle ne voyait personne dans tout le château. Cette femme devait les traquer, et elles devaient donc se cacher.

Cette constatation amena Zyra à froncer lentement les sourcils.

« Si je m’abaisse, et que je prends ce truc entre mes lèvres, je mordrais si fort dedans que je te raccourcirai. Là d’où je viens, c’est le sort qu’on réserve aux violeurs dans les contes. »

Le ton était sec, froid, et très inamical. En aucun cas, Zyra ne voulait que cette femme croit qu’elle avait la moindre chance envers elle.

« Si je te vois attaquer une servante cette nuit, sache que, cette fois, je m’interposerais. »

Sur cette menace à peine voilée, Zyra sortit. Elle n’avait pas besoin de cette folle pour obtenir des pistes, et se perdit à nouveau dans les couloirs.



ALICE KORVANDER

Le sommeil continuait à la fuir. Les boyaux de son estomac se tordaient douloureusement dans son ventre, et elle se tortillait sur le lit, vomissant à chaque fois, sentant le moment venir, attendant désespérément qu’il vienne, avant de se lâcher. La chambre comprenait un lavabo, et elle allait parfois jeter son seau, avant d’essayer, vainement, de trouver le repos. Elle se tortillait dans son lit, ayant chaud, ou froid. Elle retirait la couverture, la remettait, se couchait sur le flanc, le dos, le ventre, sans que le sommeil vienne. Elle abandonna assez rapidement l’idée d’être couchée sur le ventre, car son estomac lui faisait alors encore plus mal. Pâle et malade, elle savait que Zyra avait du aller chercher des médicaments.

*C’est cette maudite viande... Il n’y a rien à faire, ça ne passe pas !*

La Princesse entreprit de se relever, les cheveux en bataille. Elle était pâle, et, à chaque fois qu’elle croyait aller mieux, ses crampes d’estomac revenaient. La nuit promettait d’être terrible. La petite Alice était alors dans sa fine nuisette blanche, avec un nœud papillon, et ses gants blancs, et avait réussi à ne pas se salir. Elle attendait avec impatience le retour du Commandeur, quand elle entendit toquer à sa porte. Ce n’était certainement pas Zyra, et Alice sursauta, avant d’entendre une femme parler, reconnaissant le son de sa voix :

« Miss Korvander... Miss Korvander ? Êtes-vous réveillée ?... C'est moi, Alice Liddell... Ihih... J'ai pu remarquer à table que vous ne vous sentiez pas très bien, j'ai donc, dans le doute, amené des médicaments... Miss Korvander ? »

Alice soupira lentement, se mordillant les lèvres. Il ne manquait plus que ça, tiens ! La Princesse avait bien espéré ne plus jamais tomber sur cette folle de sa vie, et voilà qu’elle toquait à sa porte ! Il aurait été inconvenant de la laisser dehors. Alice grogna donc.

« Très bien, très bien, j’arrive ! »

La jeune femme descendit sur le sol, et alluma un candélabre sur un bureau, éclairant ainsi la pièce. Elle se dirigea ensuite vers la porte, et tourna la clef dorée dans la serrure, puis ouvrit la porte. La souveraine démente d’Herzeleid était derrière, tenant un genre de récipient dans la main, abritant probablement le médicament... Si tant est qu’il s’agisse d’un médicament.

« Je... J’espère que vous n’avez pas vu mon... Mon comportement comme une offense, c’est juste que...Je viens d’un royaume situé en pleine nature... Je crois que mes poumons ne sont pas habitués à toutes ces usines et ces cheminées industrielles. »

Que ce soit elle qui s’excuse était une gageure, mais Alice se rappelait encore les propos de Coehoorn : éviter de faire des vagues. Elle aurait bien aimé penser que le geste de Liddell était purement attentionné, mais, la connaissant, elle s’attendait à un coup fourré. Elle imaginait très bien cette souveraine chercher à la tuer, et, tout d’un coup, l’idée de la laisser entrer rendit nerveuse Alice. Où donc était passée Zyra ?!

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 35 lundi 10 mars 2014, 16:55:44

Alice Liddell

Quand la Sylvandine ouvrie la porte à Alice, cette dernière lui adressa un large sourire, pas que ce soit très inhabituelle chez Liddell mais, pour le coup, en pleine nuit, voir La reine sourire ainsi avait de quoi faire peur. Avec son air de psychopathe toute droit sortie d'un Asile, le petite Liddell avait le don d'effrayer ses propre servantes quand celles-ci devait venir en pleine nuit dans sa chambre, pour quelque raison que ce soit. Toutefois, il n'y avait aucune pensée meurtrière ou sadique dans l'esprit d'Alice à ce moment là, nan, elle désirais vraiment aider la petite Sylvandine à ce sentir mieux.

« Je... J’espère que vous n’avez pas vu mon... Mon comportement comme une offense, c’est juste que...Je viens d’un royaume situé en pleine nature... Je crois que mes poumons ne sont pas habitués à toutes ces usines et ces cheminées industrielles. »

Oh non, non... Ne vous en faite donc pas, cela peut arriver à tout le monde d'être malade ihih... Le fait de vous savoir mal me gênait, j'ai donc pris l'initiative de vous apporter un médicament. je suis vraiment, vraiment désolée pour votre malaise votre Altesse... Et aussi pour tout ce qui c'est passé entre nous... sincèrement !

Alice tendit alors la  fiole contenant le médicament à Miss korvander, avec toujours le même sinistre sourire pendu au bout des lèvres.

Tenait, cela devrait vous soulager... Fufu !

En disant cela, Liddell attrapa l'une des mains de son Altesse korvander, avant de délicatement y poser la fiole puis de venir déposer un petit bisous sur la joue de la jeune femme. Les intentions de la reine de pique pouvait parait troubles, l'esprit de cette dernière était un insondable bordel, un enfer psychologique monstrueux, un mélange abominable de tout un tas de saloperies malsaines et crades... Mais toutefois, là, Alice ne voulait en rien faire du mal... Nan elle désirais vraiment faire plus ample connaissance avec son interlocutrice... Après tout, elle partageait le même nom, alors pourquoi ne pourrait elle pas devenir amies ? Certes... L'idée est farfelue mais... Derrière les abysses profondes de l'esprit d'Alice, il restait encore un petit bout "d'innocence", un vague reste d'enfance par encore pourrie et désintégrée qui, peut être, aller aider les deux jeune fille à se réconcilier.

Allez y... Buvais Miss Korvander... Je vous assure qu'il n'y a rien de mal là dedans. Toutefois si le doute persiste en vous, je peut en boire une gorgée devant vous yeux, afin de vous rassurer.



Marta

RAAAAAAAH ! PUTAIN !

Marta était furax. Cette zyra avait osée lui tourner le dos, et ça, ça c'était pas cool. L'hermaphrodite s'était donc fait une raison, ce soir, elle allait pouvoir ce la mettre sur l'oreille, et ça, c'était VRAIMENT pas cool. Par conséquent, la seule chose qu'il lui restait à faire était de retourner voir sa petite reine adorée. Mais une fois devant la chambre de cette dernière, elle pus voir la servante qui avait, un peu plus tôt dans la soirée, coiffée Alice Liddell, vous avez, celle que Marta voulait troncher au début.

Qu'est ce tu fout la toi ? Tu tient pas à ta vie.

Je... La reine m'a demandée de vous dire qu'elle s'était rendue à la chambre de la princesse Korvander, afin de lui donner un médicament... Aussi ma t'elle dit de vous dire, qu'il n'était pas nécessaire d'aller la voir et qu'il vous était donc permis de vous reposer un peu...

Me reposer hein...

L'idée de laisser sa petite reine seule ne plaisait pas à Marta... Mais toutefois, cette dernière était toujours plus ou moins surveillée et protégée par Chess, même tiré au fond de l'esprit d'Alice, il pouvait encore faire surface d'un coup si la jeune fille venait à être en danger... Marta n'aimer pas forcement se gros chat, mais c'était surement la meilleur protection dont disposait la reine, car notre ami félin était lui, immortelle, increvable et  aucune blessure ne pouvait lui être affligée... Un ange gardiens si l'on puis dire.

Je... Enfin elle n'est pas vraiment seule, Lyzzie est avec elle...

hm... ok...

Marta regardera vaguement les alentours... Puis...

Met toi contre le mur... Dos à moi s'il te plait...
P... Pourquoi ?
Ta gueule et fait ce que je te dit...
M... Mais...
MET TOI DOS A MOI !
Ah... D... D'acc... D'accord...

La servante s'exécuta, les larmes au bord des yeux... Elle savait à quoi s'attendre... Et c'était bien ça le pire.
Marta elle, se souvenait très bien de ce que lui avait dit la Commandeur Sylvandine... Mais franchement, ici, elle n'était pas chez elle, Alors que Marta, elle ci ! Elle avait le droit de violer  toutes les servantes qu'elle voulait.
Marta souleva doucement la robe de la Maid, déculottant cette dernière en lui donnant une bonne fessée au passage, fessée qui semblât résonner dans le couloir tout entier.

Aller ma pute.... Bück Dich*...
N... Nan... S'iiiiiil vou plaiit... *snif*... Pas ça...

Bück dich... befehl ich dir...
N... je vous priiit.
J'AI DIT BUCK DICH !!!!..


La Maid se penchât alors, étouffant comme elle pouvait ses larmes et ses gémissements... La pauvre ravala sa salive... Puis...
Marta, doucement se mit à faire descendre sa mains le long de la fesse droite de la pauvre servante en pleur, et d'un ton amusé, elle lui dit...

Aller... C'est partit !

La futa tenait fermement la tête de la servante contre le mur d'une mains, tendis qu'avec son autre main, Elle écarta l'un des fesses de la jeune femme, libérant ainsi la voie vers sa rondelle.

Oh... Oh, non... P... Pas là.... Je vous en supliie... *Snif*
Si, si... Moi je veux aller là ! Histoire que tu ais bien mal !
N...

Marta crachat sur l'anus de la servante, Elle fit glisser son gland jusqu'à la belle petit rondelle de la pauvre Maid... Puis, sur un ton sadique elle lui soufflât à l'oreille :

Sert les dents...

Et VLAM ! La futa donnât un grand coup de rein dans le cul de la pauvre femme, cette dernière hurla de douleur, tendis que Marta, elle, se mordit la lèvre inférieur en poussant un grand gémissement... L'anal c'était bon, mais le passage était toujours douloureux.

Hummpfff... Mon gland y est salope... Prépare toi à hurlait .

Les mains de violeuse prirent toutes deux appuie sur le fessier de la servante et une fois ce dernier fermement maintenu, la valse des coups de reins pouvait commencer. Le début était calme, Marta y aller doucement, tellement doucement qu'a un moment, elle eu même le temps de s'allumer un autre cigare. Par contre, au bout d'une dizaine de minutes, les choses se mirent à accélérer, Marta se mis à aller de plus en plus vite, baisant toujours plus fortement le cul de la pauvre servante qui, quant à elle, essayait de retenair tant bien que mal, de grands hurlements de douleur. Cinq longues minutes purent encore s'écoulait, les gémissement de la pauvre maid se faisaient entendre dans tout le couloir, tendis que Marta elle, elle soufflait lourdement, elle prenait son pied au dépend de cette pauvre femme.

Put... Je sent que ça viens !

en disant cela, la futa attrapa violement sa victime par les cheveux, tout en accélérant fortement la cadence,

HMMMMMM ! HmMMmMmM!!!!! Gémissait la pauvre femme

La pauvre jeune femme pleurait à chaudes larmes, elle n'en pouvait plus, elle avait mal  , elle se sentais sale, humiliée, dégoutante à présent...

AAAAAAH !

Marta s'enfonçât un grand coup dans le cul de la Maid, déversant en elle un gigantesque flot de sperme... La pauvre victime avait la tête écrasée contre le mur, elle tremblotait comme une feuille en pleurant et en gémissant... Au final, Marta se retira lentement du cul de la servante, avant de se rhabiller silencieusement, comme ci ce qu'elle venait de faire était normal. Marta, toujours son cigare à la bouche, envoya ensuite la tête de la servante dans le mur. La pauvre femme tomba ensuite au sol, le nez en sang, la culote en bas des jambe et du foutre pleins le cul.

Marta crachat une dernière fois sur sa victime, puis elle repartie faire sa ronde dans les couloirs. Finalement, elle avait fini par ce les vider les couilles.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 36 mardi 11 mars 2014, 02:09:50

Tandis que Marta violait une servante, que Zyra cherchait en vain le laboratoire d’alchimie, Alice, elle, continuait à affronter son mal de ventre. Son estomac continuait à l’élancer, et l’idée d’être seule avec cette Reine folle avait de quoi l’effrayer Malgré ses airs doucereux, elle avait vu sa sauvagerie, elle avait vu de quoi cette femme était capable... Et, si elle savait que ce qu’elle vomissait était des extraits de viande humaine, elle aurait définitivement pris les jambes à son cou. Pour l’heure, elle avait cependant uniquement mal au ventre. La Reine Liddell lui remit une potion, tout en l’embrassant sur la joue... Un contact très déplacé. Si Alice n’avait pas été aussi mal, elle l’aurait sûrement repoussé.

« Allez y... Buvez, Miss Korvander... Je vous assure qu'il n'y a rien de mal là dedans. Toutefois, si le doute persiste en vous, je peut en boire une gorgée devant vous yeux, afin de vous rassurer. »

La Princesse hésita un peu. Oh, comme elle aurait aimé que Zyra soit là en ce moment ! Il était tentant de renoncer, mais cette Reine était instable. Une folle, complètement schizophrène. Si Alice refusait, la souveraine pouvait s’énerver, interpréter ça comme un manque de confiance, et réagir en conséquence... Cette idée était tout à fait probable selon la Princesse. Liddell était toute mielleuse, et elle savait que ce n’était pas un jeu. Elle agissait vraiment ainsi, sans arrière-pensées, mais, avec sa démence, elle pouvait à tout moment basculer. Alice tremblait des lèvres, et hocha lentement la tête. Au moins, cet affreux chat goguenard et vicelard n’était pas là.

« Je... Euh...Non, c’est bon, je vous fais confiance. Je le bois... Comme ça ? »

Elle s’assit sur le lit. La fiole n’avait pas l’air dangereuse, ni toxique. Alice s’assit sur le rebord du lit, la décapsula, contempla le liquide à l’intérieur, et le but lentement. Le liquide déferla dans ses intestins, et elle ferma lentement les yeux en le buvant. Difficile de dire si c’était efficace ou non, mais elle ne se mit pas à trembler. Elle but toute la fiole, et la posa sur la table de chevet.

« Me... Merci... »

Alice ferma les yeux. Elle avait du mal à rester le dos droit, et la tête lui tournait, mais, d’un autre côté... Liddell semblait sincèrement désolée par ce qu’elle avait fait, et Alice voulait le croire. Cependant, elle ignorait comment réussir à aborder cet élément. Cette femme était instable, la petite Princesse le savait, et essayer de l’aborder ne serait pas aisé. Pour autant, il fallait qu’elle essaie. L’occasion était trop belle, et, de toute manière, Zyra ne devrait pas tarder à revenir.

Suivant cette détermination, Alice finit ainsi par parler, après avoir légèrement toussé.

« Je... Pour... Pourquoi vous avez fait ça ? Torturer cette servante...Et... Laisser votre subordonnée en violer une autre ? J’ai lu... J’ai lu les rapports vous concernant... Vous avez contribué à... À améliorer cette... Hum... Ce royaume... A... Alors... Pourquoi... Pourquoi les faire souffrir ? »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 37 mardi 11 mars 2014, 20:29:27

La petite princesse sembla consentir à boire le médicament de notre reine bien aimée, aussi, semblait elle accepter ses excuses... Au moins, un dialogue était possible entre les deux Alice's et ça... Bas c'était plutôt bien.
La jeune Sylvandine était assise sur le bord de son lit, et Miss Liddell ne mit pas bien longtemps à la rejoindre.

« Je... Pour... Pourquoi vous avez fait ça ? Torturer cette servante...Et... Laisser votre subordonnée en violer une autre ? J’ai lu... J’ai lu les rapports vous concernant... Vous avez contribué à... À améliorer cette... Hum... Ce royaume... A... Alors... Pourquoi... Pourquoi les faire souffrir ? »

A l'entente de cette question, Alice pencha sa tête sur le coté, avec toujours le même sourire, éternellement figé sur sa bouille d'ange. Le pourquoi ? Il n'y en avait pas... Il n'y avait qu'un vide affreux, des limbes infernales et ténébreuses, un roncier aux aiguilles acérées... La folie, la folie... Rien que la folie... Toutefois, la jeune reine ne répondue pas cela à la jeune Sylvandine, au risque que cette dernière, une fois de plus, ne rejette notre petite monarque. Là, il y avait une ouverture, un moyen de ce rapprocher de Sylvandell.. il était hors de Question de laisser filer cette occasion. C'est donc sur un petit ton innocent, que la jeune reine se mit à répondre à son interlocutrice.

Je... Je... Je ne sais pas... Je ne me l'explique pas... Surement est ce à cause du fait que je n'ais plus vraiment toute ma tête... Oui... C'est surement ça, Fufu ! Lâchât elle avant de marquer une petite pause. Chaque jour qui viens.... Je me sent vide... Un horrible vide... Je suis morte... Je me sent ci... ci.. Ci froide et ci cadavérique... Ihihi... Ma propre vie n'a plus aucune importance à mais yeux... Pourtant je m'accroche, je respire encore... Je suis un pantin désarticulé... L'incarnation de la folie... Cette ville, je l'ais redressé car je ne supportais pas l'idée d'être dominée par un empire aussi inférieur qu'Ashnard, ihih ! Ma folie me permet de voir, de percevoir les choses sous un autre angle, sous une autre forme... Vous comprenez ? J'ai pris les armes pour montrer à Terra qu'aucune force en ce monde n'est plus grande que la folie... Et c'est cette même folie qui terrifie Ashnard et Nexus... Iihihihi !

Alice se saisit alors doucement des deux petites mains de sa voisine, avant de lui faire un autre bisoux sur la joue, on aurait dit une gamine qui aurait trouver une nouvelle copine... Plus encore... On aurait presque put dire que les deux jeunes filles étaient sœurs.

Mais ne vous en faite pas, je n'ais aucune envie d'attaquer Sylvandell... Toutefois, je na serais dire la même chose d'Ashnard... fufufu ! En disant cela, la jeune reine sous entendais qu'un jour, Ashnard finirais par trahir Sylvandell... Mais fallait il encore que la princesse korvander comprenne ce message.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 38 vendredi 14 mars 2014, 01:25:19

« Vous comprenez ? J'ai pris les armes pour montrer à Terra qu'aucune force en ce monde n'est plus grande que la folie... Et c'est cette même folie qui terrifie Ashnard et Nexus... Iihihihi ! »

Alice ne comprenait pas grand-chose, en réalité. Ou, plutôt, elle comprenait qu’il n’y avait rien à comprendre... Alice Liddell maltraitait ses servantes parce qu’elle avait envie de le faire, parce qu’elle le pouvait, et parce qu’elle trouvait ça amusant. La Princesse en avait froid dans le dos. Une véritable psychopathe, en plein délire de grandeur. La Sylvandine eut alors l’intime conviction que rien n’arrêterait cette femme, qu’elle détruirait le monde entier si elle le pouvait, et qu’il était urgent qu’Ashnard et Nexus mènent une campagne conjointe pour mettre fin à la démence de cette femme. Non, elle n’était pas folle... Le fou ignorait qu’il était fou, et se croyait toujours sain d’esprit. Ça... Ça, ce n’était pas de la folie, c’était de la perversion, du vice à l’état pur. Herzeleid était le royaume mauvais des contes de fées, elle était cette mauvaise souveraine qui, dans les histoires, se faisait chasser par un chevalier en armure d’albâtre, et qui, ce faisant, permettait à un royaume oppressé de vivre à nouveau en paix. Comment les habitants pouvaient-ils tolérer que leurs servantes soient torturées, battues, violées... Et même mangées ? Ignoraient-ils donc ce qui se passait là-dedans ? Croyaient-ils sincèrement que ce petit royaume avait la moindre chance contre deux des plus grandes puissances mondiales ? La Princesse ne comprenait pas comment un peuple pouvait à ce point fermer les yeux... Il devait forcément y avoir un mouvement de résistance, mais pour que Liddell continue ses impunités en toute quiétude, ce mouvement devait être très faible.

La Reine l’embrassa à nouveau sur la joue, et Alice eut froid dans le dos, alors que cette femme poursuivait :

« Mais ne vous en faite pas, je n'ais aucune envie d'attaquer Sylvandell... Toutefois, je na serais dire la même chose d'Ashnard... fufufu ! »

Alice soupira lentement. Avait-elle bien entendu ? Elle n’était pas suffisamment malade pour ne pas voir la perche que cette femme lui tendait. La Princesse réfléchit rapidement. Son ventre gargouilla à nouveau, et elle soupira faiblement, parvenant à contrôler sa respiration, évitant ainsi à nouveau de vomir. Difficile de dire si elle était en train de guérir ou non, mais, en tout cas, elle ne venait pas de vomir à nouveau. Mine de rien, c’était toujours mieux que rien. Elle reprenait lentement son souffle, avant de reprendre :

« Vous... Vous espérez que je mette fin à... À une alliance millénaire, qui n’a été que bénéfique pour nous, afin de soutenir votre attaque contre Ashnard ? »

Le simple fait de formuler cette question suffisait, selon Alice, à démontrer toute la stupidité d’une telle proposition. Sylvandell ne trahirait jamais Ashnard. Certes, les Sylvandins caressaient un rêve, le Grand Rêve d’être un jour indépendant, mais il s’agissait plus d’un fantasme, qu’on aurait, pu, en d’autres lieux, comparer aux velléités indépendantistes de certains Bretons. Personne ne songeait sérieusement à quitter l’Empire, Sylvandell en était trop dépendant, et ses programmes militaires s’inséraient dans d’étroits échanges avec l’Empire. Sylvandell avait sa propre armée, sa propre monnaie, mais le royaume était, aux yeux de l’Empire, une province impériale autonome.

« Je désapprouve vos méthodes, Majesté... Je ne comprends pas qu’on puisse opprimer ainsi ses propres servantes... J’ai été éduquée dans le respect des autres, afin de servir d’exemple. Un bon souverain doit gouverner en inspirant le respect de ses sujets, pas leur terreur. Je ne pourrais jamais cautionner ce que vous avez fait, ce n’est pas bien. »

On aurait presque cru entendre le discours d’une petite fille, mais c’était exactement ça. Ce qui se déroulait ici n’était, aux yeux d’Alice, pas plus différent que ce qui avait eu lieu au moment de la Guerre Civile, ou, sur Terre, pendant l’avènement du nazisme. Tout était généralement compliqué avec la politique, mais, parfois, cette dernière était monstrueusement simple.

« Les souverains ne devraient pas abuser de leur pouvoir en opprimant leurs seconds. »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 39 vendredi 04 avril 2014, 19:29:13

La jeune Sylvandine semblait tellement... Niaise et ingénue, avait elle peur alors qu'elle était face la reine Liddell. Les yeux grands ouverts et le sourire large, cette dernière écouta attentivement les dires de la jeune princesse qui, n'avait semble t'il, pas vraiment tout compris de tout ce que Liddell lui avait dit. Enfin ci, elle avait compris, mais elle avait compris sans comprendre... Diantre mais... C'est pourtant pas dur de comprendre qu'Ashnard est un empire pourri jusqu'à l'os... Enfin, Herzeleid aussi, mais c'est différent... Oui, non... Crotte ! Liddell n'avait que faire des petites jérémiades enfantines de Miss korvander, ça l'amusait plus qu'autres choses, mais vous savez, quand on a atteint son niveaux de folie, tout est plus ou moins un amusement. Une fois encore, la main de Lidell vint à caresser le visage de sa délicate petite "copine", et autant dire que c'était pas trés rassurant, enfaîte... On peut pas vraiment savoir ce qui trotte dans l'esprit de Liddell, sa folie la rendant aussi insondable que les abysses elle lui octroie en plus une "hyper sanité mental" Aucune hypnose ni aucune forme de potion, magie, enchantement ne peut prendre le contrôle d'Alice, ni altérer son esprit et encore moins le sonder. Sa folie la rend "unbreakable".

Ihihihi... Vous êtes... Drôle ! Fufufufu ! Mais je ne parler pas forcement de vous allier à moi, je ne faisait que vous mettre en garde. Le jour où Ashnard n'aura plus besoin de Sylvandell, il vous laisserons tomber, plouf ! Ahahah ! Je suis peut être folle, je suis peut être cruelle, mais... Mais je suis folle ! Et... Puis folle AHAHA ! De toute manière,  Les Ashnardiens ce casserons les dents contre Herzeleid, votre Maréchale croit pouvoir nous dominer, mais s'il attaque mon royaume... Rien ne pourra sauvait l'empire IHIHIHIHI ! Rien de rien... de rien de rien !

Oui, folle, c'est bien là l'adjectif qui sier le mieux à Liddell, toutefois, peut être avait elle raison, peut être les Ashnardiens avaient comme plan, à long terme, de laisser tomber Sylvandell, peut être... Peut être... Enfin, avec les peut être, on peut refaire le monde aussi.

Ihih ! Je... J'aime bien ruiner des nations de l'intérieur... Un peu comme la gangrène, ou le cancer ! Oui c'est ça ! Le Cancer ! Il peut rester des années sans se manifester, puis un beau jour... CrrrrrrrRRRR-ACk ! Vous crachez du sang et perdait la raison !... Un peu comme Ashnard AHAHA ! V... Vous savez ce que je pense, hm ? Je pense qu'en réaliter, la guéguerre entre Ashardounet et Nexusinoux, c'est du FLAN ! Du flan au cerises ! Ils... Ils fomente leurs petits plans, pour... Pour contrôler leur petit monde, leur... Sylvandell aussi à son plan, oui, oui oui ! Mais moi... MOI ! je suis comme une petite chienne qui court après une voiture c'est... Gouverner c'est géniaaaaaaaaAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAH ! fufufu ! 

Et hop ! Liddell fit un gros câlins à Miss korvander, serrant cette dernière dans ses bras, exactement comme ci c'était une copine de jeu.

J'aimerais beaucoup que nos deux nations puis se rapprocher l'une de l'autre... Ihihih, je puis vous assurer que vous ne le regretteriez pas.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 40 lundi 07 avril 2014, 01:51:40

[HS. – Joker inside xD ?]



Alice s’écarta quand Liddell lui caressa la joue. Elle n’était pas son petit chien ! Elle resta ensuite devant elle, tandis que la femme se remettait à parler, retournant dans son délire paranoïaque et omnipuissant. Alice était sidérée, commençant, peu à peu, à comprendre qu’il n’y avait rien à faire. Elle ne fonctionnait pas de manière rationnelle, et lui assura que, face à Herzeleid, l’Empire sera détruit. Elle était donc décidée à s’engager dans une guerre, et voulait vraisemblablement que Sylvandell les aide... La Princesse était partagée entre la peur, la stupéfaction, et un sentiment naissant et croissant d’horreur. Comment diable avait-elle pu croire qu’elle arriverait à faire changer l’avis de cette femme ? Rien de ce qu’elle disait n’avait de sens, rien de ce qu’elle lui sortait n’était logique. C’était une succession de propos incohérents, de rires, et de menaces voilées.

La Princesse n’avait plus envie de rester avec elle. Son mal d’estomac était en train de passer, mais elle ne voyait pas quoi tirer avec cette femme. Soudain, Liddell alla la prendre dans ses bras, réitérant sa demande d’alliance :

« J'aimerais beaucoup que nos deux nations puissent se rapprocher l'une de l'autre... Ihihih, je puis vous assurer que vous ne le regretteriez pas. »

Alice se débattit, et la repoussa délicatement. Elle avait encore en tête cette pauvre servante griffée au sang sous son nez, la vision de cette scène de torture, de ce viol commis pendant le dessert... Et cette musique lancinante qui trottait dans sa tête, et les odeurs de soufre s’échappant des cheminées industrielles d’Herzeleid... Cette femme était aussi mignonne que folle. Son sourire était celui d’une démente, la lueur brillant dans la prunelle de ses yeux était l’expression de la folie la plus profonde, d’une redoutable psychose qui aurait du l’envoyer dans un asile, et sûrement pas à la tête d’un pays.

La décision de la Princesse de Sylvandell était irrévocable.

« Les Ashnardiens ne sont pas des anges, mais ils ont toujours traité les Sylvandins avec respect. Je vous l’ai dit, Reine Liddell : pacta sunt servanda. Nous sommes engagés auprès des Ashnardiens, et je ne vois aucune raison de revenir sur cet engagement. Croyez-vous donc que je compte devenir Reine pour meurtrir mes sujets ? Pour les torturer sous les yeux de mes invités ? Ce que vous faites n’est pas bien, Majesté ! Je ne peux pas le tolérer ! »

Alice secoua négativement la tête, de gauche à droite, avant de croiser les bras sous sa poitrine.

« Je ne peux pas faire confiance en une personne qui torture ses propres sujets. »

Elle en revenait toujours au même point, mais elle avait bien compris que Liddell ne partageait pas le même point de vue. Elle était folle. Discuter avec elle ne rimait à rien, si ce n’est à convaincre Alice de la nécessité de déclencher une guerre, et de destituer cette femme, afin que l’autorité ashnardienne s’empare de ce royaume, et ne le rationalise... À sa manière.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 41 samedi 26 avril 2014, 15:00:06

[ HRP : Liddell est bien pire que le Joker XD]


Liddell écouta attentivement les dires de la Sylvandine. Cette dernière semblait refuser toutes formes d’alliances avec Herzeleid, répétant une fois de plus que, torturer ses sujet n'était "pas bien". Mais, dire cela à une folle, est ce réellement très utiles ? La jeune Sylvandine aurais bien à faire de pisser dans un violons, ça, c'est sur.

Fufu... lâcha la jeune souveraine, en prenant délicatement l'une des mains de la sylvandine. Vous me jugeais... Mais vous ignorais tout de moi... Je reviens de loin, de très loin... Là, dans ce monde... Vous jouissez d'une certaine "raison"... Mais imagineait un monde où tout n'est que folie, où rien n'a de sens ...

Liddell marquat une courte pose, regardant silencieusement la Sylvandine dans les yeux. Pouvait elle vraiment comprendre ? Pouvait elle imaginer à quel point Takerland avait était cruel avec Alice, au point de la rendre folle à lier.

Je vous met au défi de revenir d'un monde gouverné par la crasse, embaumé par la puanteur suintante de la folie, un monde de péd... De péd... Ihihih... Un monde où être une gamine n'a rien de bon, un monde gouverné par une reine qui... J'ai vue la folie, la crasse, le meurtre ! Je suis un petit miroir brisé... J'ai tuée la partie pure qui vivait en moi, uniquement pour survivre... Car on ne survie à la folie, qu'en devenant fou... ihi...ihihihi... AHAHAHA !

Liddell caressait doucement le dessus de la main d'Alice Korvander, elle ne cherchait pas à lui faire mal, cela aurait d'ailleurs était très mal perçue et aurait surement entraînée un conflit, ce que Liddell ne voulait pas, bien entendu.

Je ne vous demande pas de me faire confiance, je vous dit juste qu'un jour... Ashnnard vous laissera tomber... Le jour où les Ashnardiens auront un moyen de griller vos petits dragounets... Ils vous détruirons... Vous vous méfiez de moi car je suis folle, mais croyez vous vraiment qu'Ashnnard et Nexus sont plus dignes de confiance ? Trouvez vous normale que deux nations soient disant "ennemies" s'allies pour en détruire une autre ?... "Ils" vous briserons un jour ou l'autre... Et ce jour là... Vous aussi vous deviendrez folle !



Minerva

Là, dans les méandres du châteaux, un bruit étrange vint à résonner dans les couloirs. Un bruit de chariot, un chariot avec des roues quelque peut grinçantes. Cela provenait en réalité d'un lit monté sur roulettes, avec à son bord, le corps d'une femme rasée, shootée au médocs et fortement sanglée à l'aide d'un camisole blanche.

Hmmmm.. haaa.. haa... Articula péniblement la pauvre femme.
Ferme la, la boss est pas du genre à aimer les bavardes... Surtout à des heures aussi tardives.

Le chariot était poussé par deux "Schmerzen Krankenschwester " .
Ces dernières l'emmenait vers les laboratoires, là où surement elle allait être le cobaye de plusieurs tests pas très recommandables, test commandités par Minerva Engel, commandante des  Schmerzen Krankenschwester et dirigeante des Labos d'Herzeleid. C'est elle qui à mis au points toutes les armes chimiques, les vaccins et les virus qu'Herzeleid utilise contre les autres nations. Moins Psychotique que Marta et n'en reste pas moins une sadique qui à pour principale occupation de dézinguer et trépaner de pauvres servantes, et ceux, au nom de la science bien évidement ! Cependant, malgré ce petit détail, elle reste une excellente chirurgienne... Un peu fifolle mais... Très compétente. Tranquillement, le petit convoi descendit d'un étage, pénétrant alors dans une succession de couloirs entièrement capitonnés. Couloirs qui étaient garnis de part et d'autres de salles numérotées, d'innombrable cellules pleine de "rejets" et de cobayes, certains hurlants comme des déments tendis que d'autres étaient prostrés dans un coins de leur cellules, tremblant comme des feuilles en couinant comme de petites fillettes... les cachots ont beau avoir un sale réputation, les labos son surement bien plus atroces. Les deux infirmières avançait dans ce dédales illuminé par les néons clignotant et sales de cet endroit  empli d'une odeur d'ether, d'alcool et de camphre.

Ont y est ma belle... Prépare toi à rejoindre le panthéon de cobayes ahaha !

Le convois traversa deux portes au dessus desquelles l'on pouvait voir un écriteau  "Bloc Opératoire". Le dit bloc était quant à lui d'une impeccable propreté, l'odeur qui s'en échapper était celle de aseptisée, un mélange de tous sortes de désinfectants divers et variés, tendis que la lumière en ce lieu était celle d'une énorme lampe d'opération qui trônait au centre de la pièce, juste au dessus d'un lit ressemblant à une chaise de torture couverte de plusieurs taches de sang.

Cependant, les deux infirmières ne semblait pas avoir remarquées qu'elles étaient suivis... Par Zyra.
« Modifié: samedi 26 avril 2014, 15:10:06 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 42 dimanche 27 avril 2014, 02:10:28

ALICE KORVANDER

Dans le grand jeu des trônes et du pouvoir, il n’y avait pas de moralité. Un État qui prétendrait agir pour le « Bien » serait, par définition, un État illégal. Chaque État avait sa propre souveraineté, chaque État fonctionnait selon ses propres règles et selon sa propre législation. Dès qu’on admettait cette idée, on admettait qu’un État puisse s’affranchir de règles morales, car un État avait avant tout pour but de permettre une organisation pacifique et durable des relations sociales. Dans un monde idéal, l’État n’existerait pas, car son existence était une monstruosité, une aberration restreignant la liberté des hommes en leur imposant des règles abstraites et impératives, mais ces règles étaient nécessaires, car, par définition, l’être humain était instable, et prompt à faire le mal. Un État était une construction abstraite et amorale, et c’est pour ça que, cyniquement, on pouvait parler d’un « jeu » en désignant les relations internationales. L’ennemi d’hier devenait l’allié de demain, et, si, en théorie, ce mécanisme pouvait trouver une justification – l’impérial intérêt supérieur de la Nation, en pratique, il laissait souvent des gens sur le carreau.

Que Nexus et Ashnard s’allient contre Herzeleid n’était pas si surprenant que ça, et Alice ne croyait pas à l’histoire de cette femme. Elle se dégagea de l’étreinte sur sa joue, fronçant les sourcils.

« Me prenez-vous donc à ce point pour une idiote, Reine Liddell ? N’auriez-vous tout de même pas le culot de prétendre être une victime ? Aucune force au monde ne vous pousse à torturer vos gens ! Si vous êtes folle, vous n’avez qu’à vous faire soigner, mais ne venez pas vous dédouaner de la responsabilité de vos actes devant moi ! Ce que vous faites est ignoble, et ça n’a rien à voir avec Ashnard ou Nexus. C’est de la violence gratuite ! »

Quand la Princesse était ainsi, il était difficile de lui faire entendre raison... Mais, d’un autre côté, il serait assez difficile de lui faire avaler que Liddell était une victime, après ce qu’elle avait vu. Fort heureusement, elle ignorait que la viande qu’elle avait mangé était celle de la servante. L’aurait-elle su qu’elle aurait probablement juré de tuer Liddell sur place, et de contraindre les Nexusiens et les Ashnardiens à un double assaut groupé pour capturer cette femme, et libérer son peuple de cette femme folle et de ses maudits soldats. Alice se moquait bien de son curriculum vitae. Quantité de gens souffraient perpétuellement, et, de fait, les plus grands bourreaux de ce monde étaient souvent, à l’origine, des victimes. S’il fallait les plaindre, on ne s’en sortait jamais, et les rôles étaient progressivement inversés. Le coupable devenait victime, et la victime n’était plus tellement une victime que ça, mais presque une sorte de coupable inconscient. Alice ne pouvait accepter cette logique. Elle croisa les bras en fronçant les sourcils.

« Et je ne lis pas dans le futur. Sylvandell appartient à l’Empire depuis des siècles, et il n’y a aucune raison que les Ashnardiens nous trahissent... Et quand bien même ce serait le cas, je ne vois aucune raison qui me pousserait à allier nos deux royaumes ! »

Et, vu ce que Zyra était en train de découvrir, Alice aurait encore moins de raisons de le faire.



ZYRA

C’était effectivement un château labyrinthique, et, dans l’obscurité ambiante, avec cette musique incessante, Zyra avait du mal à se repérer. Elle était nerveuse, car la Princesse était en ce moment sans protection. Le Commandeur ne pouvait pas se permettre de déroger ainsi à sa mission de protection. Si seulement elle arrivait à tomber sur une servante, ou à rejoindre les Ashnardiens, mais elle était totalement perdue ici. Il n’y avait aucune servante, toutes les femmes semblant se cacher, probablement pour fuir la violeuse qui avait fait une proposition relativement indécente à Zyra. Le Commandeur avançait à travers les couloirs, lorsqu’lele avait entendu des bruits de pas, ainsi que le raclement de roues sur le sol.

N’ayant aucun autre point de repère, Zyra suivit ces bruits, et se retrouva ainsi à pister deux femmes dans des tenues improbables d’infirmières, traînant une autre femme, ligotée à une table en acier. Zyra comprit immédiatement qu’il se passait des choses pas nettes ici, et pesa le pour et le contre. Traquer ces deux femmes ne lui permettrait probablement pas de retrouver la Princesse, mais, d’un autre côté, elle obtiendrait des informations sur Herzeleid. De plus, elle savait que personne n’oserait lui faire du mal... Personne de rationnel, en tout cas, mais ce château était tout, sauf rationnel. Zyra hésita donc, mais la curiosité fut la plus forte, et elle entreprit de suivre ce curieux convoi, filant à travers des escaliers et des couloirs, qui l’amenèrent dans les profondeurs du fort, dans un endroit que la Reine Liddell n’avait évidemment pas daigné montrer à ses invités.

Zyra entendit les hurlements et les cris en pénétrant dans ce qui ressemblait à une sorte de laboratoire tekhan complètement fou. Elle se croyait dans un asile, avec des cellules de part et d’autre, entendant des cris et des gémissements s’échappant parfois des lourdes portes.

*Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Qu’est-ce qui se passe ici ?!*

Zyra avait un mauvais pressentiment, et continuait à  suivre les deux « infirmières », dont les rires étaient peu encourageants. Elle entendit très distinctement le mot « cobayes », et continua à les suivre, hésitant à intervenir. Elle finit par les suivre dans une sorte de grande pièce opératoire, avec une chaise de torture au centre, et une grande lampe éclairant l’endroit. Zyra se dissimula dans un coin, hésitant à intervenir.

Pour l’heure, elle allait voir comment les choses se passeraient, mais elle savait qu’elle ne laisserait pas ces deux femmes commettre des atrocités sans réagir. Zyra était peut-être une soldate, mais, si elle était Commandeur, c’était aussi parce qu’elle savait faire preuve d’initiative quand il le fallait. Quoi qu’il se passe ici, elle avait surtout le sentiment que ça n’avait rien de bon pour Sylvandell.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 43 dimanche 27 avril 2014, 22:50:51

Alice Liddell


Que...

Oui, visiblement, la petite Korvander ne voulait rien entendre... Et cela commençait à vraiment enquiquiner Liddell, qui cependant, gardait un immense sourire pendu au bout des lèvres. Nan, au fond... S'allier à Sylvandell n'était en rien une bonne idée, cette petite princesse était une vrai tête de mule et ça, rien au monde ne pouvait le changer. Toutefois, notre adorable petite folle avait bien d'autres projets à soumettre... Des projets... Plus intimes. Doucement, la jeune reine vint une fois de plus au prêt de Miss korvander, faisant lentement glisser son petit nez contre la nuque de son invitée en lui susurrant a passage, de bien douces paroles.

"Do riechst so gut... Mein kleines Herz "*

Notre petite folle ne cherchait plus à pactiser, mais belle et bien à s’adonner à de nobles douceurs. Mais qu'allait être la réactions de la Sylvandine face à ces avances ? Qu'importe, Alice prit l’audacieuse initiative de ce mettre à doucement parcourir le corps de la sylvandine, la couvrant de délicate petites caresses, rien d'obscène cependant, il ne s'agissait pas la de faire fuir la princesse, mais juste de s'amuser un peu avec elle... Mais qu'est ce que l'amusement dans la tête de liddell... Là est la question.




Minerva

Dans le vaste bloc opératoire, les deux infirmières préparaient l'arrivait de leur "boss". l'une d'elles avait amenée prêt du lit, toute une ribambelle d'outils chirurgicaux, soigneusement disposés sur un petit chariot en fer monté sur roulettes. Tendis que l'autre préparait la patiente, commençant par la chose la plus élémentaire, le déshabillage. 

Dit moi, elle est tatouée au moins ?
Ouai... T'inquiète...
T'inquiète, t'inquiète... Je te rappelle que la boss tient à ce que tous son bétail soit immatriculée, ça l'aide dans son organisation et ses recherches.
Je sais, je sais...
Regarde moi ça... J'en connais une qui serait verte de pas pouvoir ce mettre un tel morceau sous la dent.
Qui, Marta ?
A ton avis...
Elle pense avec ça bite celle là de toute manière...
N'empêche tu l'a bien sucer la dernière fois... Je me trompe ?
Insubordination, tu connais, pouffiasse ? Si j'avais dit non elle m'aurais enculée à sec de toute manière...
Ou elle t'aurais envoyée "au cuisines" AHAHA !
Ferme la ok !
Quoi... T'aime pas la cuisine exotique ?
Ce que j'aime pas c'est quand tu l'ouvre un peu trop...
Roooh c'est bon...

Cet alors que la dite Boss fit son entré dans le bloc et ce de manière magistral, les yeux rivés sur un gros bloc note.

B... Bonsoir Docteur Engel ! lâchèrent en cœur les deux infirmières.
Bonsoir... Qu'est qu'il y a au menu ?
Une servante, Docteur, âgée d'une vingtaines d'années, elle à été condamnée pour insubordination...
Et... comme la semaine dernière deux décès ont eu lieux, la reine vous l'a envoyée...
Deux décès, hein ?
Oui, number 627 et 347 ont mis fin à leurs jours en... Eux... Je crois que 627 a avalé des morceaux de verre provenant d'une seringue brisée et... 347 est morte des suite de sa dernière opération... Donc pour le coup c'est pas vraiment un suicide.
Hmm... Je vois...

Minerva regarda vaguement la patiente du coin de l’œil, avant de ce replonger dans son bloc-note.

Bon... La séance d'aujourd'hui va être une succession de test psychomoteur et electro-psychiques... Donc, trépanation !
Fufufu ! ça promet d'être drôle !
Ah...Aaaah
Sanglait moi ça à la table et faites en sorte que sa tête soit solidement maintenue.
Bien !

Minerva déposa son bloc-note sur le chariot et enfila une paire de longs gants en latex. La suite des événements n'aller visiblement pas être des plus "propre", tendis que  l'une des infirmière traçais des pointillé tout autour du crane de la pauvre jeune femme, l'autre s'attelait à préparer une petite scies circulaire montée sur un manche.

Dite docteur, aurions nous la chance de faire une petite révision d'ordre, "gynécologique" ?
Hm... Tout dépendra si elle est encore en vie, cependant, la stimulation sexuelle est belle est bien au programme, par conséquent, oui... Il y aura du tripotage de doudoune ce soir.
Dommage que ce ne soit pas une hermaphrodite, comme cette grosse timbrée de Marta.
Chut... Doit je vous rappelez qu'elle est votre supérieur, par conséquent, et ce, quel que soit l'endroit où elle vous a mis sa viande, vous lui devais le respect... Sous peine de finir en faux-filet saveur cyprine...

Sur ce, Minerva clôtura la discutions et commença l'opération. Injectant d'abord une bonne dose d'anesthesiant à la patiente, avant de prendre en mains la scies circulaire que lui tendais l'une des deux infirmières... Mais c'est alors qu'une autre personne vint à faire irruptions...



[HRP: "traduction" Tu sent si bon... mon petit coeur ]
« Modifié: lundi 28 avril 2014, 12:05:08 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 44 mercredi 30 avril 2014, 02:33:42

ALICE KORVANDER

Alice Korvander était effectivement têtue, et ne se laisserait pas marcher sur les pieds. Ce n’est pas parce qu’elle était belle et calme qu’elle n’était pas capable de défendre au mieux les intérêts de son pays. Contrairement à son père, dont les crises de colère étaient difficilement discernables des périodes où il était calme, quand Alice s’énervait, on avait tendance à l’écouter, et ça avait tendance à faire un blanc, car la petite Princesse s’énervait plutôt rarement, essayant toujours de rester calme et diplomate. Lorsque quelqu’un l’énervait, c’est que cette personne avait vraiment dépassé les bornes... Comme l’avait fait Liddell tantôt.

La Korvander avait peur d’elle, peur de ses sautes d’humeur, et elle désespérait de voir Zyra revenir. La résistance de la Princesse sembla troubler la Reine, et, pendant un infime moment, Alice se mit à craindre que Liddell ne s’énerve, et ne cherche à la battre... Ou pire encore. Zyra n’étant pas là pour la protéger, elle était un peu seule contre cette femme, qui se rapprocha d’elle. Nerveuse, Alice fit un pas en arrière, sentant alors le mur rencontrer ses fesses. La Reine d’Herzeleid se mit alors à poser ses mains sur son corps, les remuant lentement. La Princesse se mit à frissonner en se mordillant les lèvres, peinant à comprendre ce que la femme faisait.

« Mais... » commença-t-elle.

Liddell lui parla alors dans une langue qu’elle ne connaissait pas, tout en se rapprochant, se faisant d’un coup mielleuse, douce. Ses mains glissèrent le long de ses épaules pour caresser ses hanches, remontant par le même chemin pour glisser le long des bras de la tête blonde. Alice clignait lentement des yeux, peinant à comprendre ce que Liddell faisait. C’était une démente, qui venait de passer d’un coq à l’âne, noyant leur dispute par des caresses qui étaient tout, sauf innocentes. Même quand manger cette viande lui avait fait mal au ventre, elle savait qu’un viol avait eu lieu juste à côté d’elle, sans qu’elle ne semble aucunement s’en soucier. Comment était-elle censée réagir ? Cette Reine la dégoûtait, et Alice ressentait son envie de gerber remonter quand elle se rapprochait d’elle. C’était... C’était malsain, tout simplement. Il n’y avait aucune autre manière de le dire.

« Majesté, non... Je... Arrêtez ça, s’il-vous-plaît, ça me gêne... »

Ses joues avait légèrement rougi, et elle se débattait, comme pour que Liddell cesse ses attouchements.

*Zyra, où est-ce que tu es ?*



ZYRA

Zyra sentait que des choses vraiment peu saines avaient lieu ici, dans cette partie souterraine d’Herzeleid, et elle était placée entre plusieurs soucis. Intervenir, ou pas ? Cette question continuait à la hanter. Herzeleid avait déjà commis des incidents diplomatiques, mais, si Zyra agissait, elle risquait de mettre en danger toute la délégation ashnardienne. Elle écoutait attentivement la conversation entre les deux « infirmières ». Elles évoquèrent l’appétit sexuel de Marta, ainsi que la « cuisine exotique » que le château servait.

*Qu’est-ce qu’elles veulent dire par là ?*

Zyra avait toujours avec elle le morceau de viande, mais elle n’avait pas encore eu le temps de l’analyser. Malheureusement, elle n’eut pas le temps d’en savoir plus, car une troisième fit son entrée. Une blonde pulpeuse qui avait également l’air de ressembler à une cintrée. Le docteur Engel... Zyra resta tapie dans l’ombre, sentant que les évènements étaient dangereusement en train de se précipiter. L’ultime coup de massue fut seulement la révélation finale du docteur, alors qu’elle comprenait que les expériences ici n’avaient visiblement que pour but de tuer celles qui en étaient victimes :

« Chut... Dois-je vous rappeler qu'elle est votre supérieure, par conséquent, et ce, quel que soit l'endroit où elle vous a mis sa viande, vous lui devez le respect... Sous peine de finir en faux-filet saveur cyprine... »

En faux-filet saveur cyprine » ? Zyra repensa soudain au morceau de viande qu’elle avait avec elle, et...

*Oh non ! Alors, cette viande est...*

Zyra avait mangé de la chair humaine ?! Elle en fut sis surprise qu’elle ne réagit pas sur le coup. Le docteur Engel anesthésia sa victime, et approcha sa scie circulaire... Quand Zyra apparut soudain.

Son épée était dégainée, et son poing libre était serré, tandis qu’elle fusillait ces trois femmes du regard.

« Touchez-là, salopes, et je vous tue sur place. »

Le ton était sec, hargneux, et, dans son poing serré, des flammes se mirent à crépiter, enroulées d’éclair. Les Commandeurs n’étaient pas que des bretteurs, ils étaient des mages-guerriers particulièrement efficaces. Ces sales tarées leur avaient fait bouffer de la chair humaine ! Voilà qui expliquait le malaise de sa Princesse !

« Je ne sais même pas ce qui me retient de débarrasser le monde de votre misérable existence, odieux et cruels monstres. »

La Princesse n’était définitivement pas en sécurité ici, mais elle ne pouvait définitivement pas laisser cette femme ici, en compagnie de ces folles.


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