Deux Semaines Plus Tard

Le temps avait passé, deux longues semaines s'étaient écoulées depuis la venue de Nava Kaul plus que fantasque à Tekhos Metropolis. Depuis le temps, Karen lui avait quelque peu raconté l'histoire, les moeurs de ce monde, de son monde, et il le connaissait déjà un peu mieux. Seulement, il n'était pas encore sorti de la chambre de Karen, en effet, ces temps-ci, ses parents étaient très souvent à la maison. Ni elle, ni lui ne voulaient leur faire découvrir sa présence.

Leurs transformations dûes à la nanotechnologie, bien que dissimulées auraient trop vite éveillé les doutes quant à une possible présence étrangère dans cette demeure, et, surtout, la nature des rapports que Karen aurait entretenus avec lui.

Alors donc, il était resté là, emprisonné, en captivité, mais s'ils avaient pu tout de même se donner l'un à l'autre, rarement, durant une brève absence de ses parents. Mais alors que Nava supportait de moins en moins cette situation, car, si la nanotech' s'était résorbée physiquement parlant, elle avait laissée de grosses sequelles psychologiques - leurs pulsions et leurs séparations paraissaient de moins en moins supportables pour l'un comme pour l'autre, et le sexe devenait addiction- il se trouvait que les parents de Karen allaient s'absenter durant quelques jours pour un quelconquevoyage d'affaire.
C'était une très bonne nouvelle.

Super, tu te rends pas compte, ils partent demain, après, on fait ce qu'on veut: on visite la ville, on fait plein d'autres choses aussi....

Elle finit sa phrase, lentement, esquissant un mince sourire sur son visage.

Heureusement, parce qu'attendre 3 heures pour espérer aller aux toilettes sans rien risquer, j'en pouvais plus, mais vraiment plus, d'ailleurs je vais devoir encore subir ça une journée.

Moue...

Il cédait néanmoins lui aussi à l'optimisme ambiant.

Deux semaines très remplies à pouvoir s'adonner à leur passe-temps favori: le sexe. Tous les jours, au moins une fois. Et d'ailleurs, ces deux semaines commencaient à être pénibles car la chambre quoique spacieuse de Karen ne convenait plus à leurs besoins, car même si l'effet des nanomachines semblait commençait à s'estomper doucement, un effet secondaire était apparu: leur libido en prenait un coup.

Ils souffraient d'espèces de pulsions incontrôlables qui, souvent, étaient synchrones. D'après Karen qui avait une petite expérience des nanomachines, c'était le probable "mélange" entre le sperme de Nava et le lait de Karen qui avait provoqué cette "synchronisation", et les nanomachines stimulaient les parties visées lorqu'elles entraient en résonance. En gros, ca donnait que la poitrine de Karen se mettait à bouillir et l'excitait, tandis que le sexe de Nava se stimulait et se dressait tout seul, sans même que Karen y soit pour quelque chose. Et ces pulsions étaient tellement puissantes qu'elles étaient inarrêtables.

Aujourd'hui était le dernier jour de torture véritable pour le couple: les parents de Karen partaient vers une base reculée réservées aux réunions importantes du gouvernement Tekhan. Ca tombait bien, Karen avait bien envie de racheter des vêtement qui puisse aller à sa nouvelle silhouette et surtout qui puisse exciter Nava en toute heure.

" Plus que ce soir à attendre, et on en est débarassés pour une ou deux semaines. On va pouvoir s'amuser, avec tout l'argent que j'ai préparé on va profiter de la première semaine pour faire les boutiques et acheter ce qui nous intéresse... "

Elle l'écouta attentivement faire sa remarque à propos de son envie pressante. Pas de bol: une des mères de Karen était en bas, près de l'escalier, tandis que l'autre était aux toilettes en haut. Si Nava sortait, il se ferait inévitablement repérer. Karen réfléchit plusieurs secondes, avant qu'une idée salace ne lui parvienne en tête.

" Facile de remédier au problème, Nava... "

Elle se mit doucement à genoux devant Nava, caressant à travers son pantalon, dont les coutures retenaient difficilement la queue modifiée aux nanomachines.

Effectivement, ce n'était plus que le dernier jour de souffrance, mais, comble de malchance, ce serait le plus dur à passer. La maison, pleinement occuppée, il etait difficille de se soulager après le repas que Karen avait discrètement ramené pour lui depuis la cuisinne. D'ailleurs, il avait beaucoup bu aujourd'hui. Et les conséquences de ses actes venaient poindre leur bout de nez à présent.Bordel, ca va être dur de me retenir!

Mais les paroles de la belle l'aaient d'ores et déjà intrigué. Et à peine le temps de se plaindre que ses douces mains, ainsi  que son regard s'étaient posé sur son sexe. Il ne fallut pas plus pour l'exciter et doubler la taille de l'engin. Il n'était pas dur, au contraire, plutôt mou, mais assez gros.

Une solution?
Je ne vois vraiment pas.

Elle rit doucement, en continuant de le caresser doucement. Elle sourit en coin, avant de reprendre...

" Nava, réfléchis. Tu ne peux pas sortir, et je sais très bien ce qui est en train de t'arriver, et tu sais ce que je m'apprêtes à faire: me sacrifier pour ton petit confort. Je suis quand même trop dévouée, mais il faut bien que je prenne soin de toi, pauvre enfant perdu que tu es... "

Elle se mit à rire en déballant le sexe lourd de Nava hors de son caleçon, déjà bien gros, elle se mit à le lécher avec application, passant de long en largue et sous toutes les perspectives.

" Alors, ca y est, le franc est tombé ?... "

Toutes ses paroles avaient rendu Nava muet. D'abord étonné par la proposition implicite qui sous-tendait ces propos.

Si d'abord, son visage n'avait été que deux yeux écarquillés et une bouche impassible, tout cela avait maintenant fai place à un sourire à peine perceptible.

*Je ne pensais pas à cela du tout. Même, ça n'a jamais un de mes fantasmes, mais ça se présente tellement bien pour moi...*

L'instant présent balayait toutes ces pensées en un instant, l'action prenait place...Oh, je crois que j'ai effectivement compris...

Alors qu'elle s'affairait à me faire du bien, je pris mon sexe et le posa sur son visage, histoire qu'elle puisse me lécher là où j'en avais envie...

Je crois avoir très bien compris...

Il avait bien compris le message qu'elle venait de lui faire passer. Probablement les nanomachines et leur impact sur la psychologie de Karen, dans tous les cas Nava allait probablement bien en profiter pendant que Karen restait docile grâce aux nanomachines.

" C'est pas trop tôt, je pensais que tu étais définitivement stupide... "

Sa langue alla titiller l'extrémité, juste histoire de bien le stimuler avant tout ça. Sa langue chaude et humide passait sur le long, le large, les bourses, tout ça en des secondes qui semblaient interminables tant ils étaient impatient. Mais Karen voulait faire durer le plaisir pour que ca aie encore plus d'impact sur Nava.

" On y est... "

Elle ouvrit la bouche, et y engouffra doucement l'énorme sexe de son partenaire, elle put y enfoncer une belle partie, qu'elle se mit à aspirer et lécher avidement, prête...

*Au fond de moi, que cela soit vrai ou pas, je pense que j'aurais toujours l'air un peu stupide ou maladroit sur les bords.. Ca doit être à cause de mon élocution...*

Mmmmh, enfin...

J'étais si bien, entouré d'une si agréable sensation de chaleur, d'être goûté. Les seules hésitations qui pouvaient alors me tourmenter étaient:

Fermer les yeux et relever la tête, profiter sensoriellement de cette nouvelle expérience?

Ou

Regarder et assister à cet unique spectacle, de la voir si belle, mon sexe totalement gobé...
Je me laissais tout de même aller à des carresses dans les cheveux, lui montrer ma gratitude discrètement...
Néanmoins l'envie qui s'était faite, si pressante au cours des minutes qui s'étaient écoulées et un peu plus discrète ces instants revit.

Mmmmh

Je me contractai le ventre, et allai tout sortir, bien au fond de sa gorge je me soulageai et le liquide chaud et amer commencait à se déverser.

Elle resta là, patiente, la bouche ouverte, ce membre chaud et gros enfoncé dans sa bouche qui était prêt à tout déverser à tout instant, le suspense installé chez Karen était presque insoutenable.

Mais la douleur fut de courte durée car déjà elle sentait les vibrations a travers tout le sexe de Nava, signe que ca allait bientôt sortir...

Et elle l'eut, sa récompense à sa patience. Un jus chaud et fluide, très liquide, au goût amer mais pas si désagréable, qu'elle laissa jaillir au fond de sa bouche jusqu'à ce que le jet s'amenuise, puis se termine, suivi d'autres petit jets courts, elle se mit à avaler tout le liquide dans un déglutissement bruyant, et se mit aussitôt à la tâche de nettoyer le sexe de son amant.

" Parfait... "

Fit-elle une fois la tâche accomplie, en se relevant.

" Tu as aimé, j'espère ? C'est pas tout les jours que tu te soulages en moi. "

Chaque millème de seconde avait été savouré comme s'il avait duré des heures, d'ailleurs j'avais l'impression d'être en apensanteur. Il s'était vidé, elle avait aspiré sa queue avec envie et zèle et gouté à son soulagement d'une manière on ne peut plus dévouée, ce qui avait accrû le plaisir...Son plaisir.

T'es trop forte, bébé, et trop gentille...Tout est toujours si bon avec toi, c'est fou!


Allégé de ses souffrances, d'une onctueuse façon, il se rhabilla.


Merci, je me sens quand même mieux.

Et puis, l'idée lui vint.

Il me semble que je te suis hautement redevable, non? Faudra p'têt me dire comment je peux te rendre la pareille.

Dans une situation telle que celle-ci, tout était implicitement déjà écrit. C'est pourquoi il affichait un large sourire après ces dires.

Elle sourit doucement, en se frottant la bouche d'un revers de manche. Décidément, passer du temps avec Nava était une source de distraction incroyable. Elle avait, jusqu'ici, rarement plus excitant que Nava. Elle avait encore le goût chaud du liquide dans la bouche...

" Logique que ça soit bon avec moi. Sinon personne ne viendrait me voir... "

Elle croisa les bras sous son immense poitrine nue, avant de sourire délicieusement

" J'espère bien que tu te sens mieux, après tout ce que je fais pour toi ! "

Elle passa son doigt sur ses lèvres en imitant quelqu'un en pleine réflexion, et répondit en lui souriant d'un air moqueur:

" Ne fais pas ton naïf, tu sais très bien ce que je veux. Et t'as tout le temps de rembourser ta dette, non ?... Bon... "

Elle alla se lover dans les bras de Nava, en passant les siens derrière la nuque de celui-ci.

" Tu sais que ce soir, on va sortir. Et avant ça, j'aimerai aller faire un peu de shopping... Mais c'est toi qui va décider des articles à prendre. Je connais un bon magasin avec des jouets très amusants, et une boutique de fringues que tu va adorer. "

Elle passa son index sur les lèvres de Nava, avant d'y coller un baiser.

" Je veux être la plus excitante possible, ce soir. Et tu va m'aider à l'être. "

Même si Nava, auparavant, n'avait pas été un garçon fana' de shopping, cela ne lui déplaisait pas pour autant maintenant. C'est vrai que sa renconrte avec Karen l'avait beaucoup transformé, cela constituait une plaisante redécouverte de soi, dans un monde assez différent du sien.

Alors, faire les boutiques, pourquoi pas? Même, il était enjoué à cette idée.

Rembourser ma dette, t'accompagner: je ferai tout ce que tu veux, ne t'en fais pas.

Il s'allongea, les bras croisés derrière la tête.

Encore plus excitante? Ca va être dur, mais j'aime les challenges, ça sera fun j'espère. Je m'appliquerai à la tâche de toute manière.

A présent, Nava comprenait en quoi une femme dans la vie d'un homme pouvait le changer incroyablement. Le simple fait qu'il accepte avec enthousiasme d'aller faire les magasins avec elle en était qu'un exemple parmi tant d'autres, après tout, ils étaient ensembles pour l'instant. Alors autant en profiter un maximum.

En le voyant s'allonger sur le lit, elle le rejoignit bien vite en s'asseyant sur l'entrejambe de Nava.

" Y'as intérêt, après ce que j'ai fait, tu me dois quelque chose. "

Elle s'allongea sur lui, son visage près du sien.

" J'espère bien que tu va t'appliquer. Parce que c'est toi qui va choisir. "

Elle lui offrit un baiser, avant de se relever.

" Bon, on va voir si elles vont bientôt partir... "

Elle colla son oreille étrange à la porte, avant de sourire.

" Vers 20 heures, c'est bon. On à qu'à attendre... Les magasins ferment pas avant minuit. "

Le temps avait passé assez rapidement et les huit heures venait à peine de sonner. Nava était plutôt curieux et pressé d'aller se balader et découvrir cette nouvelle métropole futuriste qui s'offrait à lui dès à présent. Karen serait son guide, et sans nul doute, ils s'amuseraient beaucoup durant cette soirée.
Je parie que la nuit sera courte, je me trompe?

Mais par contre, tu m'auras à ta merci tout au long de la visite..J'ai pas envie de me perdre...

Même sur le ton de l'humour, Nava s'inquiètait un peu. Il n'aurait pas voulu se perdre au milieu d'un monde et d'une immense foule de personnes inconnus.

Dès qu'on sort de cette chambre: Je suis perdu.

Il se leva.

Allez je te suis.

L'impatience générée par l'attente du soir avait été une véritable torture pour Karen. Les minutes étaient longues comme des heures, et les heures donnaient l'impression d'une éternité passée.

Même si l'attente avait été d'une longueur insupportable, l'heure de liberté avait enfin sonné: aux environs de 20 heures, on put entendre les mères de Karen lui souhaiter un bon repos tandis qu'elle partaient en voyage d'affaire, pour la réunion du gouvernement Tekhan.

" On peut y aller. "

Déjà habillée, Karen portait un pantalon ouvert sur les fesses et l'entrejambe avec une culotte rouge, des bottes à talons, un petit gilet ouvert et un top couvrant pauvrement sa poitrine. Le même habit que lorsque Nava et elle s'étaient rencontrés la première fois, il y a deux semaines, dans cet hôpital désaffecté.

Ils descendirent les escalier et après quelques préparations, ils purent sortir. Il leur fallut dix bonnes minutes de marche avant d'arriver dans la rue des magasins, encore foule de gens, et elle alla vers un magasin a l'enseigne rose et noire, qui visiblement n'avait pas l'air d'attirer beaucoup de monde, car les vêtements exposés étaient plutôt provoquants.

" Ici, c'est parfait. "

Elle entra la première, chaleureusement accueillie par une femme d'environ la quarantaine qui la pria de visiter les rayons comme elle le désirait. Karen se retourna alors vers Nava, et lui sourit.

" Allez, trouve moi quelque chose d'intéressant. "

-Hj- Libre à toi d'imaginer le plus provoquant possible, même si on doit se dénuder à moitié. -Hj-

Durant tout le trajet, une seule question taraudait l'esprit de Nava, enfin son esprit, la part de celui-ci qui n'était pas distraite par le fait qu'il reluquait beaucoup l'arrière-train de Karen. En effet, comment trouver plus provocant, plus apétissant que ce qu'elle portait déjà. Son seul et unique espoir était que, dans le futur, ou du moins, dans ce monde, les gens rivaliseraient pour trouver des vêtements aussi aguicheurs et que, donc, il aurait moins de mal à en trouver, quoique, même sans rien n'y connaître cela paraissait être un sérieux défi.

J'espère que tu ne me demandes pas l'impossible.

Lâcha-t-il d'un sourire.

Arrivés dans la boutique, à peine rentré, il fût jeté dans "le vide", dans l'inconnu, et à lui de se débrouiller.Il arpenta les rayons peu à peu, comme un vautour à la recherche d'un proie à l'agonie. Tout cela dura plusieurs minutes. Lorsqu'il revint enfin.

Alors, ça te plaît?

Il tenait en main une paire de haut-talons, rouges et noirs, qui enlaçait le pied et la jambe jusque sous le genou, une espèce de shorty qu'il appréciait tout particulièrement, presque transparent, mais qui variait de couleur et d'opacité selon, sans doute, la volonté de la propriétaire. Pour le haut, il avait fallu trouver quelque chose d'encore plus dénudé et de provocant que ce que Karen portait sur elle. Il avait donc trouvé, un fin tissu élastique, circulaire, de deux ou trois centimètres de largeur, qui ferait le tour de sa poitrine et de son dos, tout en les compressant quelque peu.

Gagné?