Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Take me away | PV

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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 30 dimanche 01 décembre 2013, 00:07:13

Dylan grognait son plaisir, toujours autour de ses deux amants. La bestialité du moment s’intensifiait au gré de l’éminence plaisante qui l’emportait alors qu’elle cognait autant son intérieur pelvien. John se démontrait sévère, mesquin tout en lui avouant qu’il ne performait pas intégralement en elle. Le fourbe. Il s’enfonça sèchement, jusqu’à la garde. Dylan répondait à ses assauts par des plaintes, dans chaque venu et retrait. Stephen bougeait parallèlement derrière elle, mouvant de plus en plus vite, ne démontrant aucune vergogne à la pilonner furieusement. Les souffles des deux mâles lui enveloppaient la nuque et les cheveux qu’elle inhala fortement pour s’en exciter davantage. Elle ne parvenait pas à maintenir ses cris qui outrepassaient ses lèvres.


Les impacts des deux verges alternaient en rythme, mais elle secouait la jeune femme d’un galvanisant plaisir qui semblait venir de partout. S’en était presque insupportable pour elle. Les plaintes ne suffisaient plus à soulager la pression qu’exerçait à l’intérieur d’elle. Les cris se mirent à pleuvoir résonnant dans toute la pièce, dans tout l’appartement, enrouant pratiquement la voix de la Japonaise. Cette sensation était sans pareille. Bourrée d’une façon vile, indécente, le plaisir était indescriptible, mais bel et bien présente. Son corps répondait par des soubresauts involontaires, dû au faite qu’elle était emplie entièrement des deux orifices. Heureusement que la mouille abondait. Elle était une source précieuse qui aidait dans la prouesse des deux hommes.


Mhhh… Je n’en peux plus.


C’était presque un murmure. Une nouvelle vague s’était emparée de son corps, cassant sa voix pour un couinement. Effectivement, elle n’en pouvait plus. Elle n’en pouvait plus de ce flot de plaisir virulent qui meurtrissait sa croupe, dans le delta de ses cuisses.  Un regard croisa celui de John. Les lèvres de la psy formaient un O parfait qui libéra un profond soupire rempli d’aise. Elle semblait vouloir dire quelque chose, mais les courants qui tiraillaient ses entrailles coupèrent sa voix. En même temps, elle avait envie de le dire. Leur admettre qu’elle aimait ça. Elle se sentait telle une reine, choyée par l’abondante délectation des deux mâles.


Hum… ?


C’est bon… exprime-t-elle enfin. Mais en japonais.


John rit doucement, enfonçant une nouvelle fois son gourdin en elle, mais stoppant tout mouvement de la part de ses hanches. Sa tête planait au-dessus de Dylan qui haletait, la pénétration dans son petit trou n’ayant pas cessé. John se démontra oppressant, plongeant son regard dans la métisse. Leurs fronts se touchaient presque. Il ondula faiblement son gland et picora ses lèvres d’un rapide baiser. Il s’adressa aussitôt :


Redis-moi ça, mais en anglais cette fois…


Il l’attisait. Stephen s’offrait son petit cul pendant ce temps et permit à la jeune femme de se concentrer sur les perceptions que lui offrait son chibre. Il coulissait sa large queue jusqu’à ce qu’elle sente son aine claquer ses fesses. Son dos fondait sur les aspérités parfaites et puissantes de son corps. Comme ça lui manquait de le toucher. Elle aurait aimé lui réserver d’autre attention, quelques caresses et d’autres baiser, mais elle lui offrait déjà beaucoup. L’entrée interdite qui confinait son énorme verge dans une étroitesse sans précédant.


C’est bon ! Continue…


Une pointe de frustration froissa ces mots. John affiche un sourire satisfait, appréciant l’accent japonais qui altérait la phrase. Il posa ses lèvres charnues sur les siennes, lui donnant un baiser langoureux et furieux. Sa langue dansait avec celle de la psy lorsqu’il quitta ses parois intimes pour y revenir avec un puissant coup. Dylan entremêlait ses doigts dans ses longs cheveux, pendant qu’il poussait son gland dans son ventre. Puis ses mains vinrent autour de son beau visage pour les maintenir pendant que leurs bouches s’affolaient. John redoubla d’effort dans ses allées et venues en parfaite accord avec ceux du beau diable.


T’es encore plus étroite dis donc… fit-il remarquer, en arrêtant le baiser.


Elle le contempla un instant, d’un regard brûlant. Une profonde inspiration emplit ses poumons. Son corps pantelant allait bientôt atteindre un autre niveau d’extase. Les mouvements qui martelaient fougueusement son bassin auguraient l’engagement vers la jouissance. Les convulsions dans son abdomen s’intensifient autour des barreaux de chair. Dylan jouit. Les coups de butoir l’expédient dans la torsade d’un orgasme divin et fulgurant.
« Modifié: dimanche 01 décembre 2013, 00:48:19 par Dylan E. Ellison »
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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 31 dimanche 08 décembre 2013, 18:29:58

Oh… Les cuisses de la belle étaient soudainement manipulées par son beau diable qui les gardait bien écarté tout en imposant son propre rythme. Elle raffolait de cette prise diablement sexy autour de son bassin. Elle permettait à Connor de pousser plus loin en elle tout en laissant à John le loisir de l’embrasser et tenir son visage entre ses mains. La psy était solidement suspendue entre les deux masses musculaires de ses partenaires, sans qu’on enlève à ses hanches la liberté de se mouvoir, onduler comme lui ordonnait Stephen.


La passion qui les unissait eut raison de la métisse. Les entraves phalliques furent comprimées dans la pression de son orgasme maintenu par leurs coïts continus et fermes. Dylan criait sa jouissance, possédée par sa force et son degré d’intensité. La verge qui coulissait dans son vagin déversait sa mouille en dehors de ses parois seulement en la bourrant de sa grosseur.  Plus il la pénétrait, plus elle mouillait. John se consentait à la ramoner plus vite, à la baiser plus fort au fil du plaisir de Dylan. L’esprit enivré par l’extase, la jeune femme semblait engourdit par lui, animant ses plaintes et ses mouvements qu’elle exposait sans gêne. 


John allait s’abandonner également. Ou plutôt, il ne pouvait faire autrement que de se laisser aller à la jouissance. Il en tremblait, en grognait. Sa verge vibrait dans l’étau de chair serrée et humide de Dylan. Son visage exprimait cette ferveur totale propre à l’épanouissement de son gourdin. Ses gémissements et souffles se mêlent à ceux de la psy. Le musicien explose en elle, déversant par des jets puissants et longs tout son sperme. Stephen se retira entre temps, abandonnant son bassin en convulsion, remplit par le foutre de John qui achevait de jouir. Ce dernier retenait toujours Dylan contre lui revenant en elle une dernière et longue fois. Son membre se retira tout aussi lentement. Il n’y avait plus qu’un filet de liquide séminal qui reliait leur sexe et celui du musicien n’avait pas encore perdu de sa vigueur ni de son volume, offrant une belle vue à la métisse affalée délicatement au sol.


Une main appuyée sur le plancher, Dylan était à demi-consciente encore sous la joute du plaisir, par tant de sexe. Une langue furtive vient laper une dernière fois le musicien qui en frémit totalement, mais il recula, ne voulant rien rater de la finale imminente. Entre le beau guide et sa protégée.


La nipponne aurait aimé le goûter encore… Mais Stephen l’interpella, la voulant près de son membre, la bouche ouverte. Dylan le fixait avec dévotion en s’exécutant, la langue déployée, offerte. Son ventre et son petit trou étaient toujours marqués par la compression des deux verges massives et les soubresauts évacuaient lentement l’orgasme.


Le gland reluisant flottait par-dessus sa langue. Dylan léchait le frein et glissait autour de la couronne, avec  gourmandise afin de propulser Connor vers ce qu’il convoitait. Un premier jet de sperme s’extirpa de son membre qui vint s’écraser sur ses lunettes et sa joue. D’autre suivit, plus ample et épais, recouvrant en partie le beau visage de la psychologue. Elle n’avait jamais fait jouir un homme de la sorte. La quantité de sperme que Stephen déversait sur la jeune femme était démesurée, phénoménale. Un surhomme… Elle le laissa jouir dans sa bouche, tenant son barreau de chair qu’elle branla avec passion. Son regard était remplit de désir, de chaleur. Sa langue, son palais, l’intérieur de sa bouche était couvert de foutre qu’elle fit disparaître par petite gorgée…


John se tenait à l’écart, observant le spectacle d’un regard prédateur. Il s’alluma une cigarette, sourire aux lèvres. Sa nudité ne le gênait pas, ni même son érection qui s’éteignait doucement. Encore à demi-essoufflé, il avait un air satisfait.


Ta petite-amie est une vraie déesse… Aspira-t-il dans une bouffée de cigarette. 
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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 32 mercredi 11 décembre 2013, 20:47:34

Wow… Dylan s’efforce de retrouver le souffle, le visage couverte de filet laiteux. Agenouillée devant Stephen, sa bouche enveloppe une dernière fois le gland, en soutenant la base. Elle déglutit bruyamment et abandonna finalement sa verge qui pointait encore d’excitation. Son membre était propre et ne reluisait plus que de salive. Dylan souriait intérieurement, satisfaite. Elle vacillait légèrement, l’endorphine déferlant dans son corps. Une chance, son bel amant l’aida à se relever. Une fois debout, Dylan retira ses lunettes partiellement enduites de foutre et plongea son regard perdu dans ceux de Connor. Elle n’avait plus la force de parler et se tenait maladroitement sur ses jambes. Le texan lui servait d’appuie, pendant qu’elle reprenait ses esprits.


Derrière, John leur indiqua où ils pourront trouver la salle de bain. Dylan ne tardera sans doute pas à rejoindre ladite pièce, histoire de nettoyer son visage et se rafraîchir. Leur hôte tira une autre latte de sa cigarette et exprima sa fatigue, comptant bientôt se retirer pour sa chambre. La nipponne avait la tête tournée vers lui, s’abreuvant de son regard. Mhhh… Quel délice ! Cette expérience aura été l’une des plus folles pour la psychologue. L’une des plus lubriques. Sa faculté de régénérescence l’aidait à se remettre rapidement des efforts, comme celui fournis par son bassin, mais la férocité de Stephen marquera son petit cul pour un long moment.


Merci John… C’est très aimable à toi. Sa voix était légèrement enrouée par les cris qu’elle avait époumonés.


Sur ce, le maître de maison éteignit sa cigarette d’un air lénifié, mais la braise ne semblait pas vouloir quitter ses yeux. Il se dirigea vers le couloir pour rejoindre sa chambre, tout en leur lançant que le canapé était convertible en lit. Il disparut dans le couloir et Dylan ramena ses yeux vers Stephen, les yeux à demi-clos. Ils s’observèrent un instant, tandis que le salon précédemment chargé de tension sexuelle, garait le calme pour le reste de la nuit. Un mince sourire arqua finalement les lèvres de la psy. Stephen défit le canapé, dépliant un assez grand lit pour qu’ils le partagent.


Je dois nettoyer ça, si tu permets… Fait-elle faiblement, avec une onze d’amusement.


Elle contourna le grand mâle sans éviter d’effleurer son magnifique fessier du bout de son index. Elle marcha en trainant des pieds, mais rien ne venait enlever la beauté de sa nudité. Une fois dans le couloir principal, elle prit la deuxième porte. La salle de bain était spacieuse, décorée comme le reste de l’appartement. Elle contenait une grande cabine de douche et une grande baignoire. Sauf que Dylan était trop fatiguée pour vouloir en profiter et elle se contenta d’asperger son visage d’eau fraîche. L’image de sa figure souillée de sperme était loin d’être charmante, malgré le fait que ça l’amusait un peu. Après quelques minutes à se débarbouiller, elle ressortit des toilettes, un peu mieux rafraîchie.


Dylan… Tiens. 


John l’interpella juste derrière elle. Il avait enfilé un boxer qui moulait bien sa taille et une mine contente ravissait son visage. Il tendit des draps propres à la jeune femme.


Oh, merci. Dylan prit le tout, en les collants contre sa nudité, lui donnant un air intimidé. Mais c’était loin d’être le cas.


Merci à vous plutôt.


Il s’approcha d’elle et déposa un baiser dans sa chevelure. Dylan frémit, dissimulant un sourire derrière les draps et s’éloigna en lui souhaitant une bonne nuit. Une fois auprès de Stephen, elle se permit de couvrir ce dernier avec un des draps. Le climat de la pièce était plutôt frais, mais avec son compagnon qui s’avérait être un vrai fourneau, elle n’avait pas à s’inquiéter. D’ailleurs, elle s’allongea sur le flanc, près de lui, la cuisse et le bras étreignant son torse. Sa tête reposait sur l’épaule saillant de Stephen.


T’es une vraie bête tu sais… Murmura-t-elle, après quelques secondes de silence alors que ses doigts caressaient gentiment le pectoral du boxeur.


L’esprit embrumé, elle se rendit compte que l’effet de l’alcool s’était dissipé, n’étant affecté que par celui de l’après-baise. C’était bon. Elle murmura une bonne nuit après quoi, elle ferma les yeux, se laissant gagner par le sommeil…

______________________________________

Oh merde… Des rayons de lumière traversait la fente d’un volet mal fermé et agressa les yeux de Dylan. Un peu perdue, elle roula lentement vers Stephen qui était encore plongé dans son sommeil. Sa bouche pâteuse lui rappela l’amer sentiment du lendemain de veille. Elle n’avait pas la moindre idée de l’heure qu’il pouvait être. Néanmoins, elle se leva, un drap entourant son buste. Elle dirigea sa carcasse chétive vers la salle de bain en laissant Stephen dormir.

L’appartement était silencieux et Dylan conclut qu’elle était la première à se réveiller. Elle bu un verre d’eau, s’aspergea le visage par la suite. Ceci suffit à la ravigoter, même si elle avait envie d’un café et d’une bonne douche, songeant également qu’il faudra retourner chercher la voiture. Sur le chemin, une note posée sur la table près du canapé attira son attention :

Citer
Désolée de vous abandonner comme ça, mais j’ai oublié de vous mentionner que j’avais une répétition importante aujourd’hui. Ce soir, je donne un spectacle. Voici l’adresse ainsi que deux billets… À vous de voir si vous voulez venir.

P.S Faites comme chez vous. Servez-vous dans le frigo si vous avez faim.
J.

Dylan regarda un long moment la note, tenant un verre d’eau et le drap contre elle. À son avis, John leur accordait un peu trop facilement sa confiance, mais ça devait être normal après tout. Les images de la veille la frappèrent subitement, celles de l’ébat déchaîné dont elle a été « victime ». Son bas-ventre se tortilla, la sensation de l’orgasme intense encore frais dans son être. Son regard se tourna vers Stephen, examinant son visage fort bien dessiné. Elle se mordit doucement la lèvre inférieure, ne pouvant s’empêcher de rougir. Elle réalisait à quel point il était bel homme. Sans doute plus que le sosie de ses fantasmes. Un profond soupire gonfla sa poitrine et s’approcha de lui, trouvant cruel de devoir briser l’instant paisible.

Hey… Assise sur le rebord du lit, elle joignit sa paume vers son flanc qu’elle caressa doucereusement. Il faudrait que tu te lèves, il est… Ah oui, l'heure... Elle chercha du regard une horloge et perçut un afficheur numérique posée sur une des tables du salon. Merde… Il était passé onze heures.
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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 33 dimanche 15 décembre 2013, 17:56:10

Ils n’avaient pas dormi spécialement tard, pourtant. Dylan restait ébahi par tant d’heure de sommeil. Elle n’était pas du genre à faire la grasse mâtiné. Mais considérant que la nuit dernière fut plutôt houleuse pour son corps et grisant pour son esprit, ce n’était pas surprenant. La gêne se volatilisa, au contact chaud et rugueux qui couvrit la paume de sa main. C’était les doigts de Stephen qui se réveillait. À sa grande surprise, il ramena sa main vers son visage et se mit à picorer ses jointures d’une tendresse qu’elle ne lui connaissait pas. Wow, Stephen… C’était à la fois troublant et délicieux. Un sourire mourrait d’envie de fendre son visage en deux, mais la psychologue se contint le plus possible, mordant furtivement sa lèvre inférieure pour crisper les muscles de son contentement.


Ah oui… Bonjour.


Il se redressa. Une odeur de sueur mêlée à celle de Stephen emplit ses narines une fois qu’il fut à sa hauteur. Il sentait bon. Il avait cette odeur naturelle de mâle, fort agréable et jaillissante qui semblait regorgé de son âme prédatrice. Dylan l’observa se lever. Nu comme un ver, il n’avait aucune pudeur visiblement. Elle se demandait ce que John aurait pensé s’il avait été là. À ce propos, elle n’arrivait pas à lui spécifier de son absence, désarmée face à l’étirement matinal de son compagnon. Ma foi, il le fait exprès ! Le corps magnifiquement ficelé du boxeur se tordait joliment, embellissant les formes musculaires que formait son corps sublime. La mine qu’il avait était loin de ressembler à de la fatigue. Il paraissait en forme.


Tu as bien dormi ?


Dylan observa Stephen l’observer. Elle prit une gorgée d’eau sans le quitter des yeux, tenant négligemment le drap contre sa poitrine. Il lui demanda si la salle de bain était bien par là. Elle regarda où il pointait et rectifia la direction de la porte.


La deuxième juste là.


Autant lui laisser le temps de se réveiller, ensuite ils aviseront. Ils n’avaient pas particulièrement planifiés cette journée. Quoique la décision de ce qu’ils en feront revenait à Stephen. C’était lui qui voulait venir à Nashville, donc elle n’allait pas lui proposer dans l’immédiat d’aller au spectacle de John. Elle devait admettre qu’elle était curieuse de savoir ce qu’il l’amenait dans sa ville natale. Elle n’avait pas souvenir qu’il lui avait précisé. Après tout, elle était sensée qu’être son otage…


Stephen la ramena de ses pensées d’un baiser goulu dans le creux de son cou, lui décrochant un délicieux frisson qui fila le long de sa colonne vertébrale. Mhhh… Pas le temps de lui rendre sa douceur, il se dirigea –lui et ses jolies fesses- vers la salle de bain. Dylan cligna des yeux face à la vue tentatrice qu’exhibait le dos de Stephen. C’était la première fois qu’elle avait la possibilité de détailler l’arrière de son corps. Dylan le fit indécemment, sourire aux lèvres.


Le bruit de jet d’eau propre à celui de la douche résonna subitement. Oh my... Ce bruit l’émoustilla étrangement. Aussi, elle n’avait plus très envie de café, ni de s’habiller pour sortir chercher la voiture. D’un aplomb inattendu, elle se leva, lâchant le drap de son corps. Dans une démarche pleine d’assurance, elle s’approcha de la porte qu’elle ouvrit doucement. Le son du jet d’eau s’éleva et un courant de vapeur humide s’émana dans la pièce. Stephen se tenait à travers la paroi vitrée, sous le pommeau de douche. Son corps reluisait d’eau et d’un peu de mousse. La vue était tout à fait appétissante. La métisse ôta ses lunettes et s’aventura dans la cabine, plutôt spacieuse. Elle sourit, voyant que son ravisseur n’avait pas encore remarquée sa présence. Normal, il était de dos. À sa hauteur, elle glissa ses mains sous les aisselles de Stephen et les croisa sur son torse mouillé. Son visage effleurait ses omoplates et l’eau éclaboussait finement ses lèvres.


Tu m’abandonnes toute seule dans mon coin… Tu n’as pas peur que je m’échappe ? Un sourire discret souligne ses paroles. Ses paumes savourent leurs prises, intrépides, elles s’éparpillent sur son torse humide et doux. Ah mais oui, on en est plus là je pense… En effet. En deux jours les choses avaient évolué entre eux.


Ses seins s’abattent sur son dos et son aine au niveau de son superbe cul, immergeant en partie son corps d’eau. Elle sent le gel parfumé sous ses caresses et s’affaire à laver soigneusement le corps alléchant de son amant. Dylan embrasse tendrement le creux de sa colonne, grimpant sans une onze de tempérance vers sa nuque, du bout des pieds. Son buste fondait amoureusement de ses reins à ses omoplates.


Elle était d’humeur joueuse… Hop ! Elle le pousse -gentiment- par surprise, le tassant du jet d’eau. Lorsqu’il se retournera vers elle, son corps de femme sera enduit d’un reflet suintant, les mèches de ses cheveux collants sur l’une de ses joues et son front, puis ses lèvres reluisante d’une écarlate pulpeuse.


Il faut partager, hein. Fait-elle, sa bouche cachant un sourire. Son regard est de braise. Elle attrapa l’un des produits, déposant une petite quantité de gel douche dans sa paume. 
« Modifié: dimanche 15 décembre 2013, 20:55:11 par Dylan E. Ellison »
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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 34 lundi 23 décembre 2013, 17:55:54

L’eau tiède était absolument divine. Dylan s’en immergeait entièrement, inspirant d’aise, se détendant sous l’écoulement onctueux qui lui parcourait le corps depuis l’arrière de son crâne. Au même rythme, le désir afflue dans son sang éveillant tous ses sens. Ses yeux se ferment quelques secondes et une fois rouvertes, ils brillent et fixent avec désinvolture Stephen qui s’approchait d’elle. Il tenait son membre magnifiquement dressé avec une telle torpeur que s’en était indécent. Mais doucement, la psy entrouvrit ses lèvres laissant voir sa langue, la vue la faisait saliver. Son amant atteignit sa hauteur et la saisit par les hanches, celant leurs corps reluisants dans une étreinte des plus charnelles. 


Entre leurs corps confinait le membre dur et dressé de Stephen et Dylan se joignit aux ondulations de son amant, enveloppant le chibre d’une douce caresse humide. Ses mains fines tracent la colonne vertébrale de son beau diable, alors qu’ils s’embrassaient langoureusement. Le baiser torride était joint par l’eau, accentuant la sensualité du moment, la métisse en savourait le goût mêlé à celui du Texan. Délicieux. Dylan entortillait sa langue généreusement dans la bouche ardente et remplie de saveur de Stephen. Mais lentement, le baiser prit fin. Les  pupilles de la nipponne dilataient, observant avec désespoir, passion son compagnon qui la mirait d’un regard appréciateur. Encore. Telle une affamée, elle avait faim de Stephen, faim de son corps, sa bouche, ses mains sur elle.


Oui, s’il te plaît… et promis, je te revaudrais ça.


Aguicheuse, Dylan, lapa une nouvelle fois ses lèvres. Son cœur battait fort dans sa poitrine, résonnant contre le torse puissant de Stephen. Comment lui faire comprendre qu’elle était galvanisée de désir et que ses mains savonneuses ne feront que l’incendier pour s’abattre sur lui par la suite… Le parfum citronné se dégageait sous ses paumes qui dévalaient son dos dans une lenteur intolérable jusqu’à ses fesses. À ce niveau, elle se sentait détendue, désirée. Stephen lavait son corps, recouvrant les courbes d’une mousse velouté emportant la psy dans une longue spirale de détente et de bien-être. Le bout de ses seins durcit, roulant contre l’épiderme dur et glissante de Stephen. Les yeux mi-clos, son regard n’avait pas quitté le sien, désirant lui exprimer l’effet que ça lui faisait.


Mhhh… T’es doué avec tes mains. On dirait un massage…


Son ventre écrasa son barreau de chair, serrant ses poignets ensemble pour comprimer son emprise. Elle s’affaira à masturber son membre en ondulant sensuellement contre lui, l’eau jouant le rôle de lubrifiant avec brio. Elle alternait les caresses autour de sa virilité turgescente, de haut en bas, puis enchaînant des roulades, le tout en gardant un rythme très lent. Puis discrètement, elle attrapa la bouteille et y déposa une petite quantité dans le creux de sa main. À son tour, elle lave le corps magnifiquement sculpté de son beau diable, dessinant des cercles partout dans son dos musclé. La mousse abonde, recouvrant à présent totalement son épiderme et la psy en dirigea vers ses fesses étalant le savon sans vergogne.


Dis-moi, où tu veux que je lave… Là ?


Elle ne lui laisse pas le temps de répondre. Sa bouche fond sur le sien. Ses mains fines englobent les galbes durs de son fessier et les ramènes vers son torse, rompant légèrement le contact de l’étreinte humide.


Ici… ?


Quel délice c’était de sentir la puissance sous ses paumes, sous la pulpe de ses doigts. Dylan longeait les lignes que formait sa musculature, de ses pectoraux à ses abdos sous son regard envieux. Elle attrapa l’aine d’une pogne douce longeant tendrement et parallèlement vers les hanches du boxer. Son visage se lève, croisant le visage de son bel amant pour admirer ses réactions. L’espace se gruge entre leur bouche. Elle respirait fortement. Ses mains n’avaient qu’une seule envie à présent et Stephen devait deviner quel était leur objet de convoitise.


Ou ceci… ?


Sa voix était chaude. Elle attrapa son membre de ses deux mains et se mirent à « laver » toute sa longueur. Elles pressaient férocement sa colonne de chair, glissant aisément autour à l’aide du savon. Ses pouces effleurent l’arrêt du gland entre chaque mouvement de va et vient. Elle émet un profond gémissement, se torturant face à la jolie gueule de Connor, s’attisant elle-même de ses lèvres pulpeuses. Malgré la baise sauvage d’hier, son appétit semblait redoublé ce matin.  C’était sans doute parce qu’elle vivait un moment avec nul autre que Stephen. Un moment purement doux, mais remplit de passion. Elle avait envie qu’il y aille plus franchement, qu’il outrepasse la barrière et vienne s’emparer de sa chatte de ses doigts, reluisante –à travers l’eau- de désir.
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Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 35 lundi 30 décembre 2013, 17:48:07

Dylan affichait un air mêlant plaisir, apaisement, un soupçon d’amusement et de fascination face aux réactions de son bel amant. Le visage levé vers le sien, ses yeux sont mi-clos, ses lèvres arquent un petit sourire indéchiffrable et des gouttelettes généreuses lui tombent sur les joues, les lèvres et le front, l’eau défilant depuis le crâne de Stephen. Partagée cette douche était une activité intime et douce, mais frustrante en considérant les gestes inachevés de Stephen. Il descendait ses grandes mains plus bas sur son corps, malaxant les galbes arrondis de ses fesses en effleurant son petit trou et sa chatte. Mais jamais il ne la pénétrait. Le salaud. Ses doigts atteignaient la bordure de ses grandes lèvres, touchant sa vulve mais à aucun moment il ne venait assouvir son désir d’être pénétrée. Sa respiration s’alourdit, élevant son diaphragme à chaque bouffée d’air. Son désir cherchait à présent un moyen de sortir, mais Stephen jouait au fourbe, comme il savait si bien le faire, lui annonçant qu’il ne fera rien, pas tant qu’elle ne lui aura demandé.


Le désir ralentissait ses pensées, engourdissait son esprit… Il se nourrissait de la fragrance de son beau diable, chargé d’avidité et de virilité. Le texan semblait connaître ses faiblesses, la façon de la mener au bord de l’intolérable. Il ne la ménageait pas. Un doigt, prêt à se glisser en elle, l’abandonna aussitôt. Grr. Le ventre de Dylan se tordait naturellement. Il ne voyait pas les signes ou fermait les yeux sur ses appels. Elle avait envie de lui.


Mais ce jeu se jouait à deux. Dylan immobilisa ses mains, à la basse de la colonne de chair, appuyant ses pouces vers les bourses de Connor. Elle le tenait fermement ainsi, jusqu’à ce qu’il comprenne ses intentions. Mais encore une fois, impossible de se mesurer à la fourberie d’un diable comme lui. Putain, Stephen ! Il recula, quittant ses mains savonneuses et mouillés. Sans s’écarter de sa position, elle plongea ses prunelles dans les siens, admirant la beauté du texan et anticipant la suite. Un sursaut la parcourut, sentant quelque chose de dur et humide envahir l’intérieur de ses cuisses. Son cœur s’emballa. Son amant venait d’y caler son énorme verge, écartant ses grandes lèvres à l’aide du gland dans un mouvement mimant un coït. L’effet fut immédiat pour Dylan qui n’en supportait pas le plaisir galvanisant car il paralysait ses gestes durant un long moment. Le souffle coupé, elle regardait toujours le boxeur qui lui exprimait son appréciation.

N’est-ce... N’est-ce pas ?

C’est tout ce qu’elle réussit à dire, sans céder. La chose étant de faire languir l’autre, le plus longuement possible, faire durer le plaisir. Et laver. Dylan déposa tendrement ses paumes sur les mains de Stephen qui caressaient sa chevelure et guidée par la fièvre de son bas-ventre elle longea ses poignets, se dirigeant vers ses bras tout en essayant entre temps de retenir ses gémissements. La mousse se formait au passage, rendant les caresses souples et incroyablement suaves. Ses pouces bordaient les reliefs des biceps de son amant et firent de même pour les épaules. Enfin, elle atteignit le cou. Elle dégagea lentement le front de Stephen, ramenant ses mèches vers l’arrière de sa tête. La dévotion totale brillait dans ses mires qui contemplaient celles de son amant, limpide. Ses mains étreignaient ce beau visage, ses pouces sur les joues et le reste de ses doigts à l’arrière de la nuque, recouvertes par la cascade de l’eau. Elle resta ainsi quelques secondes devant lui, réprimant une autre plainte en se mordant la lèvre inférieure. Son souffle s’avérait épuiser et ne suffisait plus pour exprimer son envie.


Tu attends vraiment... que je te le demande ? Murmura-t-elle entre ses dents.


Elle ferma les yeux, rapprochant son visage du sien et l’embrassa fougueusement. Ses seins s’écrasent sur son torse, guidant ensuite le reste de son corps vers lui. Son chibre fait rouler divinement son clitoris, détonant une décharge de plaisir dans tous son corps. Ses lèvres forment un O inaudible et parfait, entre deux coups de langue. C’était si bon. Elle emporta Stephen sous le jet d’eau qui coula sur leur visage, se mêlant à leurs baisers enfiévrés. Tenant toujours son visage, elle collait leurs fronts ensemble lorsqu’elle était à bout de souffle, épargnant leurs narines de la noyade. À son tour, elle ondulait des hanches, faisant glisser sans difficulté l’imposante verge contre sa vulve.


Ses hanches entamèrent des mouvements de plus en plus amples et n’y tenant plus, la métisse souleva son corps du bout des pieds, permettant au gland de Stephen de se hisser naturellement vers le haut. Il lui suffit d’écarter légèrement des cuisses pour guider le gland en elle, expédiant son corps dans l’extase. Elle gémit férocement, mordant presque Stephen. Elle enlaça sauvagement, comme si elle ne voulait pas le laisser s’échapper de son emprise.


MHHH, Stephen… Prends-moi maintenant.


Elle vacillait, n’osant pas poursuivre le moindre mouvement, offrant la suite à son beau diable. Le savon s’était dissipé de leur épiderme, mais malgré cela, la psychologue pouvait toujours sentir l’odeur d’homme que dégageait Stephen mêlé au parfum citronné. Quel délice qu’offrait ce mélange. Quel délice qu’offrait cette eau qui ne cessait de couler sur eux.
« Modifié: mercredi 01 janvier 2014, 00:09:48 par Dylan E. Ellison »
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Dylan E. Ellison

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Re : Take me away | PV

Réponse 36 lundi 06 janvier 2014, 09:03:24

La permission ? Stephen devait pourtant se douter qu’il la détenait. Jusqu’à maintenant, Dylan s’était offerte et dévouée à son propre plaisir, mais également au sien. Elle éprouvait un désir sans équivoque envers lui, celui de le satisfaire, qu’il la désire à son tour, de le marquer de toute sa chaleur et douceur, de sa sensualité aventurière et singulière. Nuancé après leur rencontre, il avait explosé en elle lors de leur première nuit ensemble… Mais ce ton taquin, comme il sonnait faux dans son esprit tourmenté par l’envie. Il n’attendait que ça, selon elle, qu’encore elle délaisse la raison et lui voue qu’elle ne veut rien de plus être prise par lui, par sa chair. Il raclait l’intérieur de ses cuisses avec ferveur, limant leurs sexes coulissantes avec insistance, dépendance. Son clitoris gonflait d’excitation, roulé par toute la longueur de Stephen, du gland jusqu’à la base. Ses fesses magnifiquement galbées et emprisonnées entre les grandes mains de son amant, se mouvaient sensuellement en rythme, dansant autour de l’énorme sexe de son beau diable. Le reste de son corps tressautait d’une extase grandissante, abondante de gémissement et d’ardeur. Leurs bouches se rejoignaient pour un langoureux baiser, offert cette fois par Stephen dont les lèvres charnues fondaient parfaitement sur les siennes, les recouvrant d’une chaleur moite et d’un goût tonifiant.


Mais tout son corps le demandait. Son ventre priait qu’il l’emplisse de toute sa largeur. Coinçant son gland à l’entrée de son vagin, elle passa les rennes à Stephen. Ses yeux finement bridés le suppliaient d’un regard enfiévré. Ses paupières légèrement baissés, n’arrivaient pas à couvrir la captivité de sa convoitise. Quand enfin le beau diable s’empara de sa cuisse, elle se cramponna fermement autour de sa nuque, ses lèvres s’ouvrant sans qu’un son ne sorte, sa respiration s’était arrêtée. Ses lèvres intimes s’écartèrent autour du barreau de chair qui filait lentement en elle, frappant la jeune femme d’une très forte amplitude plaisante et ses poumons s’emplissent d’assez d’air pour émettre une longue plainte significative. Il heurtait son esprit, comme son gland heurtait le tréfonds de sa chatte qui s’habituait de sa grosseur entre chaque allée et venue. Stephen la coinçait fermement contre lui, s’assurant de la prendre entière, repoussant de plus en plus loin les aspérités de sa chair intime. Dylan s’habitua vite au calibre de son bel amant, qui lui rendait une sensation étonnamment plaisante à force d’étirer ses parois vaginales. Peut-être était-ce la mouille, le pré-sperme l’eau, ou tout simplement l’envie, mais la jeune femme recevait chaque assaut lent et puissant avec dévouement et plaisir. Son bel amant émit un soupire, son prénom, tandis qu’il revenait en elle, profondément. Bon sang… Je peux le sentir dans mon ventre.


Stephen…


La belle se tenait sur une seule jambe. La cuisse sollicitait chaque muscle de cette partie, sans vaciller son corps maintenu par le corps gigantesque de son beau Texan. Elle se tordait. Le mouvement guidé par lui était torride, profond mais surtout horriblement lent. Le gland glissait en elle, caressant chaque parcelle de son intérieur, insistant sur l’ensemble de son intimité, pulsant à grande échelle la volupté dans toutes les veines de son être. Leurs corps unis s’enveloppaient de la cascade d’eau qui défilait sur eux, entre eux, se joignant à leur conjonction interminable et ferme. Pourtant, la métisse sentit Stephen partir pour revenir un peu plus rapidement en elle, mais il gardait ce rythme étrangement lent. Ça ne lui ressemble pas… Un grognement léger gronda dans sa gorge, espérant qu’il diminue l’espacement des allers-retours de son gland. Il filait de nouveau, presque hors de sa chatte et revint avec la même fougue, mais la vitesse n’était pas encore au goût de la jeune femme. Elle l’observa, sourcil froncé. Son visage était dévasté par un début de frustration et ses lèvres tremblotaient cherchant les mots sans devoir le supplier. Mais ce sont ses hanches qui répondirent à son appel se mettant à bouger, à onduler, à rouler dans un sens puis dans un autre. Le chibre volumineux exerçait à présent un mouvement plus court et encore plus appuyé vers son col. Elle gardait Stephen vigoureusement enfouit à travers sa vulve qui enflait autour de lui, amplifiant leur plaisir commun. Dylan gémissait vers la bouche de son mâle, révélant sa satisfaction d’être sortie victorieuse de sa fourberie, ne laissant plus le sommet de sa verge battre en retrait trop loin.


Han… Reste en moi… Comme ça…


Sa poitrine oscillait délicatement contre le torse de Connor, se gonflant et rapetissant dans sa respiration effrénée. Ses seins et leurs bouts torsadaient sur sa peau saillant, riche en vigueur. Parfois ses mains prenaient le cou de son amant pour sentir les battements du cœur qui y résonnait ou venait caresser son visage, contournant sa forme et ses traits sous le regard enfiévré et tendre de la métisse. Sa bouche explorait sans cesse la sienne, fouillant de sa langue humide et goûteuse sa consœur tout aussi délicieuse. Dylan n’était plus qu’extase et flamme, tout autour de Stephen, lovée à lui, cherchant à l’engloutir avec elle, jusqu’à la plénitude.


Je n’arriverais pas à me défaire… de toi… Ni toi, de moi… Souffla-t-elle, d’une voix plaintive et éperdue.


Pour un long moment encore. Elle complétait ses roulements de hanches, l’empêchant toujours de la quitter entièrement. Sa colonne de chair accumulait la mouille regorgeant sa chatte étroite et enflée, s’enfonçant encore et encore dans son ventre. Mais bientôt… Elle risquerait de perdre pied, drainée par tant d’effort.
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Dylan E. Ellison

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Re : Take me away | PV

Réponse 37 mardi 07 janvier 2014, 22:57:01

Ce que John entendrait, s’il avait été là, serait le son de la douche à travers la porte qui tenterait en vain de camoufler les échos mélodieux d’une Dylan en effervescence, d’un Texan aux rugissements bestiaux, des échanges langoureux en parole et en geste. De quoi en faire douter plus d’un de l’ambiance qu’habitait la pièce. Dylan s’adonnait à ce moment de pur plaisir charnel sans amertume, ricochant vers l’intégrité de la tendresse de ses envies en emportant Stephen dans sa longue torsade. Mais sa volonté ne supportait plus de laisser son corps en proie à la frustration. Son ventre retenait cette verge, jouant de ses hanches ondoyantes autour de son mâle, l’emprisonnant à travers elle. Stephen ne paraissait aucunement dérangé qu’elle prenne les rennes ainsi sur la vitesse de ses retraits et retours mais, malgré tant d’effort fournit, ça n’allait pas assez vite pour elle, ni pour lui. Leurs fronts collés, la métisse s’abreuvait du souffle brûlant et fort du Texan qui clamait enfin le désir d’aller plus vite.


La psychologue gardait le front de son amant contre son visage, enfouissant des doigts dans ses cheveux allégés par l’eau. Ôtant ce masque de fourberie, Stephen claqua sa main à l’arrière de sa cuisse tremblante, celle qui menaçait plus tôt de s’effondrer d’épuisement. Ses doigts étaient rugueux sur sa peau de soie ponctuée par l’eau, mais elle n’appréciait pas moins l’habileté de ses caresses et la force de sa poigne. Ils grimpaient sur elle, s’approchant du galbe naissant de ses fesses, allant effleurer son petit trou titillé tel un bouton. Son amant rendait ses doigts insidieux, autour de ses fesses, enrobé par le liquide soyeux et tiède de la douche.


Dylan ne contenait plus rien, l’expression de son visage altérée par mille sensations qui se chevauchaient. Son regard se perdait sur les lèvres sucrées de son beau diable dont le reflet mouillé les rendait encore plus appétissantes. Avant même qu’elle ne revienne à l’assaut d’un nouveau baiser, sa bouche se suréleva, planant au-dessus du visage de Stephen qui venait de la soulever. Les jambes machinalement agrippées derrière son dos, elle l’enlaça amoureusement en geignant, les yeux fermés. La vigueur de son beau-diable soulevait son bassin pour la ramener immédiatement vers lui, imprimant une puissante pénétration bien profonde. Son gland allait chercher le creux de sa cavité intime pour le pousser plus loin dans ses entrailles, sans en diminuer les impacts torrides qui claquaient sur leurs peaux.


Très vite, son beau diable la suspendit sur une des parois carrelées de la douche tenant fermement ses fesses arrondis entre ses mains viriles, tout en pilonnant à l’intérieur d’elle. Tout le corps de la jeune femme en résonnait, agité de plaisance et d’intensité. Stephen semblait prendre son plaisir, supposant que cette vitesse devait mieux leur convenir. Dylan le regarda, inclinant son visage vers elle. Le sien était marqué de passion, d’aise, d’une douce folie et son regard brûlait de leur couleur terre. Une longue plainte s’échappa entre ses dents.


Ce n’est pas… La vitesse que j’aime… C’est comment tu t’y mets, HAN…


Sa grosseur filait dans sa chatte trop aisément, bloquant ses mots par des plaintes inopinés. Sa vulve jutait hors de ses lèvres, extraite par le phallus reluisante de son homme, ce précieux liquide coulait abondamment de son sexe, fluide vers ses cuisses. Quand sa voix acheva un gémissement, elle articula le prénom du beau diable, d’une voix amoureuse et salvatrice poursuivant son discours attentionné.


La façon dont tu me touches… M’embrasses. Me possèdes. MHHH…


Elle ouvrit sa bouche sur son cou, le lécha. Elle se pâma dans une nouvelle descente et planta ses dents dans la peau résistante de son amant. 
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Re : Take me away | PV

Réponse 38 mardi 14 janvier 2014, 22:31:58

La tendresse se déployait en parole, la passion en gestes. Mêlé à une violence amoureuse, Dylan pinçait la peau cuivrée de son beau diable entre ses dents, s’appropriant de sa saveur d’homme, étanchant sa soif. L’eau coulissait sur lui magnifiquement, tel une complice à ses caresses et baiser, déversant sa chaleur sur leur épiderme qui s’en imprégnait. Elle se joignait à eux, à leur étreinte, l’engorgeant de sa douceur abondante et tentatrice. Elle rendait leur baiser plus langoureuse, leur peau scintillante, léchant de sa nappe limpide, coulissante, bienfaitrice jusqu’à leur sexe abrité de sperme et de cyprine. Elle embuait la cabine, le carrelage et sans doute l’esprit des deux amants qui n’était plus guidé que par l’instinct primaire, mouvant vers la volupté de cette essence. Dylan emportée par l’esprit bestial de Stephen, s’abreuvait de ses paroles en parfaite accord aux sensations qu’il déchaînait sur elle, appuyé par son gourdin qui ramonait sa chatte avec constance. Ses couinements ressemblaient aux oui qui résonnaient dans sa tête, lui donnant la conviction qu’elle s’était exprimée assez explicitement.   


Mhhh… Stephen. J’aime ça. Oh… Il lui mordait la nuque, parsemant sa salive à l’aide de sa langue sur ses fines morsures, irradiant la belle psy soumise à la volonté de Connor. Te sentir en entier… Encore et enc-…


Il se mit à l’empaler plus vigoureusement, à l’image de sa voix bestiale qui détonnait de sa gorge plaintive. Il était tel un fauve sur sa proie, tenant cette dernière entre ses griffes, la manipulant comme bon lui semble. Dylan pouvait sentir toute sa force autour des galbes de ses fesses dont Stephen griffait sans ménagement. Il ne la soulevait plus, il la maintenait en place pour pilonner son sexe et Dylan ne pouvait plus que subir les percutions de ses coups furieux. Elle l’enlace solidement, la tête posée sur son épaule, le dos cambré. Elle cligne des yeux, subjuguée par la densité de sa colonne de chair qui n’épargnait aucune parcelle de ses parois intimes. Ses lèvres étaient remplies de souffles qui se rependaient sur la chair du boxer, entrecoupé par des gémissements de plus en plus secs et exprimant un plaisir virulent.


Oh… Tu me gardes toujours… HAN ! Son gland s’acharnait contre son col, s’y logeant pour ensuite remuer par les spasmes de plaisir. …en otage d’une certaine façon.


Elle murmurait. Elle avait amené sa bouche près de son oreille, l’effleurant de la pulpe de ses lèvres, guidant sa langue à l’intérieur. Sa respiration déferlait ensuite près de ses joues, vers son cou, s’appliquant à rehausser les frissons de son homme. Elle lui suçotait goulument le lobe, pour aller dévorer l’arrière de l’oreille ensuite, à la naissance de ses cheveux, dévalant vers sa nuque. Ses doigts se plantèrent de nouveau dans sa chevelure, les massant et tirant délicatement dessus. Les doigts de sa main libre s’enfoncèrent lentement dans sa peau fine qui couvrait, tel du velours, les muscles de Stephen juste au-dessus de ses omoplates.


Et toi… C’est bon ? MHHH…


Ce chuchotement vole droit vers son oreille avant que son visage s’enfonce dans son cou, y poussant un profond gémissement, gardant ses bras et mains autour de leur prise. Une violente vague lui traversait le corps, enivrante et affreusement incontrôlable. Elle absorbait cette force ardente sous forme de convulsion qui tressaillait dans sa masse pelvienne, entourant d’étroitesse Stephen qui coulait continûment en elle. Tout son corps sursautait, heurtant son dos contre le carrelage de la douche. La belle faisait face à Stephen, tenant fermement sa nuque. Quelques mèches de ses cheveux collaient sur ses joues. De fines gouttelettes perlaient de part et d’autre sur sa figure qui n’exprimait rien d’autre que l’extase, l’abandon et l’orgasme imminent.   
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Dylan E. Ellison

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Re : Take me away | PV

Réponse 39 jeudi 16 janvier 2014, 20:30:35

Sa bouche se détendait, articulant un Ah… qui resta inaudible, bloqué par les soubresauts provoqués par les coups de butoir. Sa respiration s’en étouffait, dans le dynamisme de Stephen à racler son intimité et à heurter son fond, il l’ébranlait. Il la baisait comme aucun homme ne l’avait fait, labourant de tout son calibre sa chatte étroite. Stephen était avantagé par la nature, mais il investissait une passion ardente dans chacun de ses lancées pour combler leur plaisir à tout deux, fermement scellé comme leur coït. À entendre les gémissements rauques et féroces poussés par son amant, à voir son corps massif qui ne répondait plus que par des raclements intenses et laborieux, il faisait durer le plaisir le plus longuement possible, jusqu’à ce que Dylan ait l’ordre de jouir. L’aimable mâle était à bout de souffle ? Non, il était temps de vivre le fruit de leur passion béante à leur bonheur et satisfaction.   


Mhhoui… Mais jouis avec moi. Soupira-t-elle, d’un souffle trahissant la rigueur à se retenir de jouir.


Cuisses fixés autour de la taille de son homme, la nipponne roulait à présent des hanches dans un ultime effort, décidée d’entraîner Stephen vers l’orgasme. Voyant son excitation, le voir vibrer, crier d’extase, elle savourait, se délectait de cette image, aimant –en osant croire- ce qu’elle provoquait chez lui. Il revient à l’assaut de ses lèvres. Dylan ouvrit sa bouche sur la sienne, mêlant leurs langues voracement. Elle tenait son visage, les bras longés sur ses larges épaules qui lui servaient d’appuie et gémissait dans sa gorge. Ils étaient animés par les dernières secondes qui les expédiaient tout droit vers les cimes de l’extase.  Le buste délicat de la métisse se retrouva brusquement coincé entre le mur et le torse puissant de Stephen qui la gardait prisonnière de sa force, traduisant sa fébrilité absolue. La métisse l’enlaça éperdument, visage contre visage, l’ourlet de ses lèvres toujours en contact avec le souffle mâle. À l’unisson, ils respiraient, s’envolaient.


La crudité des paroles la rendait folle, folle d’envie de lui assouvir ces envies lubriques qui semblaient répondre aux siennes. Car sa gorge était également friande de son foutre, de son énorme queue. C’était comme si son esprit s’évaporait pour laisser place à la déesse charnelle qui s’éveillait pour son beau Texan. Elle rata le passage de sa langue chaude et onctueuse sur ses lèvres, car elle dérapait de plus en plus vers les fossés de l’épanouissement. Son orgasme se manifesta enfin, explosant en millier de vague qui submergea tout son être, le secouant de spasme intense. Elle râlait, déployant son souffle depuis le creux de son ventre en convulsion. 


HAN, Stephen, je jouis. Elle prit les cheveux derrière son crâne, les serrant dans sa poigne, tout en rugissant son prénom.


Elle vibrait, encaissant avec dévouement Stephen qui se déversait en elle, tapissant son antre d’amour de semence épaisse et abondante. Sa large queue fondit hors d’elle, abandonnant sa chatte débordante de liquide séminal qui allait en contraste avec l’eau beaucoup moins épaisse. Ça sentait bon. Une odeur de plaisir mêlé à celle du citron toujours ancré dans leurs peaux. La psychologue lécha furtivement le coin des lèvres de son bel amant, caressant sa tête et sa joue tandis qu’il lui exprimait son appréciation et lui réclamait sa gorge. Elle n’avait pas terminé de le laver.


Il la repose au sol. Ses jambes chancelantes se plient aussitôt et Dylan s’accroupie. Elle plante ses yeux embrumé mais brillant dans le sien. Sa myopie l’empêche de voir clairement les traits de ce visage qui la surplombe, mais elle voyait parfaitement le magnifique phallus aux veines ondoyantes tenus par des mains habiles à la peau transparente et brunie. Ils reluisaient d’humidités. Mais c’est le liquide crémeux qu’elle vient chercher avec sa bouche, suçant d’abord le gland avec appétit, recevant un dernier filet de semence généreux qui s’écrasa sur sa langue. Elle dévale ensuite la longueur de sa verge sans le prendre en bouche tout en respirant la moiteur musquée de la cyprine et du sperme. Habilement, elle passe en dessous, embrassant goulument l’orée de ses bourses et remonta vers l’autre côté de son chibre, s’attardant sur la base pour bien nettoyer le jus de leur plaisir. Sa main soutien son membre à moitié affaibli et remonte à nouveau vers le sommet.


Comme ça ?


Elle enfonce lentement son gland entre ses joues, formant un mince anneau blanc autour de ses lèvres, accumulant la sève veloutée de ses bourses. Jointe par sa main, elle le masturbe avec délicatesse ramenant son sperme vers sa bouche gourmande qui répète le mouvement, dans un rythme attentionné et langoureux.                 
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Dylan E. Ellison

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Re : Take me away | PV

Réponse 40 dimanche 26 janvier 2014, 00:32:03

Les ondes de plaisir rendaient leur dernière vague, gardant la psy dans un état second. Engourdie, elle suçait Stephen, menée par la sensualité de sa bouche, de ses mains, dans la passion ultime qui prenait possession de ses instincts. Stephen ne perdait pas cette vigueur qui permettait à la jeune femme de dévorer son sexe goulument. La sulfureuse bouche de la nipponne l’aspirait doucement et profondément, empêchant son chibre de perdre toute sa vigueur. Elle pouvait le sentir vibrer sous ses attentions, à la limite de l’insupportable. Elle les rendait irrésistible, qu’il ne soit pas en mesure de s’en défaire pas tant qu’elle aura tout avalé. Dylan se plaisait à le rendre fou de désir et à prolonger l’orgasme. Elle pouvait sentir son regard sur elle, son pouls s’accélérer, entendre ses lèvres se crisper lorsque son gland butait le fond de sa gorge. Il allait jouir une seconde fois à ne point douter.


Sa main sur son crâne, il alternait les mouvements de ses hanches à celle de sa poigne, invitant la belle à suivre son rythme. Dylan le savait endurant, mais Stephen l’étonnera toujours. Une quantité plus modeste, mais tout de même singulière se mit à emplir sa fine bouche de sperme et fila par intermittence vers sa gorge. C’était brûlant, exquis, exaltant qu’elle en geignit de plaisir. Elle l’abandonne, reluisant de salive, propre tel qu’il lui avait ordonné et s’adosse au mur, à bout de souffle. Elle caresse doucement son bas-ventre, murmurant son assentiment. Oui, ce fut parfait.  Elle resta un instant dans cette position, une main au sol, l’autre joignant le poignet de Stephen qui caressait ses cheveux. Son visage perlait d’eau, dégagé de ses cheveux, un mince sourire qui l’illuminait.


Bien. J’ai terminé aussi.


Elle se leva lentement, tandis que Stephen quittait la cabine de douche. Elle passa rapidement sous le jet d’eau tiède, rinçant le fluide séminal de son visage et l’intérieur de ses cuisses, réalisant que les convulsions causées par l’orgasme marquaient toujours son corps. Un profond soupire s’étala de sa bouche, tandis que l’eau s’éteignit. La vapeur s’était émancipée pour embuer les carrelages et parois vitrée de la douche, regorgée d’effluve corporel et de savon. Dylan inspira doucement, semblant émue de quitter cette douche…


Aucune idée… Se contenta-t-elle de répondre au Texan, une pointe d’amertume dans la voix.


Après un moment pareil, son esprit revenait difficilement des cimes confortables de l’extase. Mais Dylan se ressaisit, pivotant vers son guide qui l’attendait gentiment à l’entrée de la cabine, serviette à la main. Son sourire s’élargit, avançant vers lui pour prendre la serviette tout en le remerciant. Elle enfouit son visage dans le tissu absorbant, moelleux et chaud et s’occupa du reste de son corps.


Je serai gênée de te proposer quelque chose. C’est toi qui voulais venir ici, hum ? Elle lui gratifie ces mots d’un nouveau sourire, penchée vers ses jambes où elle passait la serviette. Sa nudité ne lui gênait même plus. Disons que c’est ta journée. Fais-moi visiter ce qui te tente.


Elle frotta vivement la serviette dans ses cheveux pour les sécher et les ramena vers l’arrière de sa tête. La serviette enroulée autour de ses seins, elle s’immobilisa devant Stephen, les yeux illisibles, rivés vers les siennes, ses lèvres pincées. Le temps de quelques secondes, elle appréciait le moment, où elle songeait à la veille et ne regrettait rien… puis le rompit en déposant un baiser soudain sur le torse chaud du Texan. Ayant repéré la forme d’une brosse posée près de ses lunettes, elle s’en approcha puis s’occupa à démêler sa chevelure.


Par contre, j’ai une proposition pour la soirée. John nous a invités à son concert. Il nous a offert deux billets… Postée devant le miroir, elle passa sa main sur la buée, accédant à son reflet pour se peigner, en donnant des petits coups de brosse. Et pour toute suite j’ai plutôt faim…


Encore… Ironique, elle rit intérieurement. Il faudra qu’il retourne à la voiture, qu’elle puisse mettre de nouveau vêtement, finir sa toilette, prendre sa pilule…
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Dylan E. Ellison

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Re : Take me away | PV

Réponse 41 lundi 24 février 2014, 17:11:30

Tu en es certain ? Demanda la psychologue, qui ne voulait pas l’empêcher de faire ce qu’il avait à faire sous prétexte qu’elle était l’invité.


Très vite, Stephen la rassura qu’il désirait plutôt voir un concert que de vivre des retrouvailles risquant d’être houleuses en vu des circonstances. Dans un contexte pareil, elle comprenait que ça pourrait créer un tas de questionnement et d’embrouille vis-à-vis de la personne qu’il voulait voir. Il valait peut-être mieux le laisser y aller à son rythme, même si elle voulait insister sur le fait que c’était également son voyage…


Mais pour l’instant, les vêtements.


Allons au centre-commercial, oui.Le plus urgent je crois, c’est de te trouver des vêtements. Dylan sourit, en regardant son beau diable se rhabiller, s’attardant sur son joli fessier, manquant de s’inonder d’excitation en l’imaginant dans l’effort. Même si la nudité te va comme un gant.


Accompagné d’un franc-sourire et d’une légère raideur dans son ventre, elle ramassa ses vêtements, les enfilant aussitôt pour déjouer l’irruption du désir à se fondre contre lui.

Un peu plus tard...

L’après-midi fila très vite. Il débuta par un délicieux repas irlandais offert par le guide avant qu’ils ne partent tous les deux pour le centre-commercial, ravivés de tout leurs sens. Dylan s’était remise des tumultes de la vielle, mais pas encore celui de la matinée et cela affecta quelque peu son comportement, d’ordinaire assez timide. Elle avait joué, tout au long de leur sortie. De geste évocatrice à éloquente. Que ça soit de trempée ses doigts dans la mousse de son café avant de l’apporter à ses lèvres tout en échangeant un long regard avec son compagnon ou en l’invitant à remonter ou descendre une fermeture éclaire, lorsqu’elle essayait une robe, sans le laisser entrer dans la cabine d’essayage avec elle. Le tout était de jouer avec finesse, sans lui livrer explicitement son envie de lui, sans s’y laisser mordre. C’est donc dans un certain entrain qu’elle visitait les nombreuses boutiques en compagnie de Stephen. Elle réussit même à oublier que l’argent qui servit à payer les vêtements provenait de son vol à la station-service…


Les boutiques américaines n’étaient pas si différente de ceux qu’on retrouve au Japon. Il y a des styles différents, des vêtements typiques du pays, des tenues assez courtes qui dévoilaient beaucoup de peau. Elle choisit trois tenues, au gré des goûts du Texan. Une robe noire dont la coupe ornait bien ses formes et au long décolletée sexy, mais décente surplombé d’un tissu transparent. La deuxième, une mini jupe noire qui rappelait celle des écolières ou joueuse de tennis avec un t-shirt léger et gris et pour finir des jeans bien ajusté qui moulait la forme de ses fesses et ses hanches, avec une camisole blanche et une veste en cuirette. Faire les boutiques avec un homme fut beaucoup plus agréable qu’elle ne l’aurait cru. Surtout avec un homme comme Stephen. Il agrémentait le voyage avec délice…


Les sacs en main, elle marchait tranquillement au côté du Texan, observant nonchalamment les vitrines qui défilaient lentement devant eux. Une question lui brûlait les lèvres, l’envie d’en savoir davantage sur sa venue à Nashville, les raisons qui le ramenaient ici...


Est-ce que… débuta la psy, assemblant sa phrase mentalement pour éviter d’être déplacée. … la personne que tu dois voir te croit mort lui aussi ?


Intimidé par une quelconque réaction, elle n’osait pas le regarder, préférant garder le regard baissé.
« Modifié: mardi 11 mars 2014, 02:17:13 par Dylan E. Ellison »
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Merci Connor chéri pour le kit <3

Dylan E. Ellison

E.S.P.er

Re : Take me away | PV

Réponse 42 vendredi 28 février 2014, 04:31:54

Dylan se doutait bien que ses petits jeux avaient su mettre la libido de son compagnon à l’épreuve. La sienne aussi d’ailleurs… Percevoir le désir à travers ses yeux, ses petits rugissements qu’il émettait tel un animal en proie, c’était tel des décharges électriques qui se déferlaient vers le bas de son corps. Dommage qu’elle l’ait autant soumis à sa contenance. Mais un magasin de plus et ça aurait été le comble… pour tous les deux.


Elle échappa à son avertissement lorsqu’elle lui posa la fameuse question sur cet ami qu’il voulait voir. Le silence qui suivit pesa lourd dans le cœur de la psy. Avait-elle bien fait de lui demander ? Son regard se porta à lui, d’un air circonspect, elle essayait de deviner si sa curiosité lui avait fait défaut. Après quelques pas, Stephen stoppa, semblant réfléchir. Dylan en fit autant, lui faisant face, cherchant son regard. Son pouls s’accélérait malgré elle, presque certaine d’avoir fait une connerie. Mais il se lança enfin, expliquant que cet ami l’avait aidé à partir du pays, qu’il était au courant que Stephen était en vie. Cette réponse la soulagea, mais nourrissait par malheur ses questionnements ouvrant vers une plus directe, plus indiscrète : Pourquoi au juste s’est-il fait passer pour mort ? Mais elle tue l’idée de la lui poser trop inquiète de heurter un mur ou d’être trop brusque.


Mais… Tu as fait tous ce chemin… Commença plutôt la psy, tout en regardant Stephen d’un air désolé, craignant par le fait même d’être la raison de son manque de temps.


Il finit par ajouter que c’était un type spécial et qu’elle risquerait de ne pas l’apprécier. Peut-être qu’au fond, elle ferait mieux de le laisser le voir seul. Une proposition qu’elle devra garder pour elle dans l’immédiat, car son guide jugea qu’il serait temps qu’ils rentrent se changer pour la soirée. Dylan émit un long soupire, déçue que la discussion prenne fin à l’instant où elle mourrait d’envie de comprendre. Peut-être aura-t-elle la chance d’y revenir plus tard…


La paume du Texan tapota sa peau et la ponctua d’une caresse. Ce contact fit bien vite d’apaiser Dylan alors qu’ils se mirent en marche en direction de la sortie.


Ça va te faire du bien de changer de vêtement… Mais il t’est passé quoi par la tête de voyager sans bagage ? Elle éclata de rire, cognant doucement son bras contre le sien, alors qu’ils quittaient tranquillement le centre-commercial.


En soirée...

Le soleil s’était couché en abandonnant une nappe orangée virant vers le bleu dans l’horizon. Un spectacle que Dylan eut la chance de profiter tout en se rendant vers la salle de spectacle. Ce dernier ne se trouvait pas très loin de l’appartement de John et donna la chance au couple de profiter d’une balade. La nuit s’annonçait fraîche, mais bienfaitrice après cette journée de chaleur et permit à la métisse d’essayer une nouvelle tenue. Elle opta pour la jupe noire et le t-shirt gris et au col en V. La tenue lui profilait une silhouette dont l’accent misait sur ses hanches et ses épaules carrées ainsi qu’une allure plus ou moins alternative, dans l’entremise du spectacle qui allait se donner.


Tiens, on n’a pas demandé à John quel genre de musique il joue… fit remarquer la psy, en suivant de près son guide.


Nashville était en fin de compte une ville plutôt petite, mais possédait un grand charme avec  ses panneaux lumineux qui ornait les bâtisses. Les rues étaient animées par le clignotement constant des affiches et les foules assemblés près des bars et restaurants. Dylan se laissait émouvoir par l’ambiance, enlaçant le Texan tout en marchant à ses côtés. Tout paraissait propice à la fête, égayant la jeune psychologue, fébrile à l’attende du spectacle. Ils arrivèrent d’ailleurs face à une grande façade qui présentait les groupes locaux à venir et pour celui de ce soir, le groupe de John...


C’est ici… Il y a du monde.


Elle siffla d’admiration face à la longue file d’attende qui bordait la bâtisse. Les portes allaient s’ouvrir sous peu. Elle n’avait pas pensé une seule seconde que John attirait autant de monde à son concert, ce qui ajoutait de la hâte pour la nipponne.
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