Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un morceau de choix, si tu ne prends pas cher. [Sayori la fut'artiste]

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Louis de la Lavande

Louis était chez lui, dans sa chambre. Sur son lit était déversé de nombreuse caméra, muni d'une rallonge qui permettait de pouvoir filmer dans des endroit étroits et difficile d'accès. La présence d'un tel matériel n'était nullement le fruit du hasard. Le jeune homme avait installé les caméras dans le conduit d'aération, qui passait entre les toilettes des garçons et celui des filles. Une petite nuit dans l'établissement fut suffisant pour percer de tout petit trous et installer les rallonges. Ainsi les jeunes demoiselles et les professeur féminin ne pouvaient savoir qu'elles étaient filmées à leurs insu. Mais nous parlons là du passé.

Louis avait branché ses caméra, heureusement la télé était équipée de nombreux branchement, permettant au voyeur de zapper entre les chaînes pour regarder ce qui avait été filmé, bien sur tout était en accéléré, mais Louis avait l'habitude de ce genre de manipulation, restant très concentré sur les différentes vidéos. C'est alors qu'il fit une pause sur la caméra numéro 2, il était à la fois surprit et intéressé, donnant à ce moment là une expression effrayante au jeune homme.  D'un geste souple, il se mit à photographier l'écran avec l'image de la demoiselles. Il ne pouvait dire si cette charmante lycéenne allait se laisser manipuler ou non, mais avec une telle chose, elle ne pouvait que courber l'échine. Louis savait parfaitement comment il pourrait semer des rumeurs et l'obliger à plier, mais comme on le dit, ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer.

Le Lendemain, Louis fit un léger détour dans la salle des professeurs, désirant s'informer un peu plus sur sa future proie. Il comprit avec étonnement que personne en semblait au courant, ne restait que l'infirmière. Elle ne fut pas encline à donner ce genre d’information, le secret professionnel dirons-nous, Louis avec une autre explication, elle fantasmait sur ce genre de personne et ne voulait pas qu'une de ses beautés s'éloigne d'elle. Il put cependant avoir son nom et son prénom, ce qui était une bonne chose.

Pendant les heures de cours, il se mit à zyeuter discrètement sur internet, avec son téléphone portable. On pouvait trouver de nombreuses informations sans avoir à s'exposer. En une journée il put obtenir l'adresse fournit dans son dossier d’inscription, ne se fiant que très peu à cela, car il restait méfiant. Louis sentait que cette jeune fille allait lui réserver de mauvaises surprises et restait aux aguets. Aussi prit-il le choix d'essayer de la croiser, sans pour autant se mettre à discuter avec elle.

Il se mit à aller dans les toilettes des garçons, la raison à cela , il attendait qu'elle revienne. Il attendit soigneusement dissimulé, ayant prétexté avant à l'administration un léger tournis et qu'il préférait rentrer chez lui par mesure de précaution. C'est alors qu'il vit la demoiselle avec des amies, quelle ne fut pas la surprise de voir que certaines d'entre-elles avaient un petit oiseau entre les jambes. Le jeune homme se dit que les dieux devaient être avec lui, une brochettes de simplettes à faire chanter. C'est alors que cette petite troupe ressortie. Louis attendit un peu et fit de même, suivant Sayori sans pour autant chercher à vraiment se dissimuler, ne faisant que circuler dans la foule. Cependant Louis sentit un frisson dans sa nuque, il préféra faire mine de prendre un autre chemin, sachant que si lui-même était filé, il aura l'avantage des témoins et aussi de ne suivre personne. Il se mit à monter à l'étage et profita de la cohue pour semer son poursuivant, ce dernier ne pouvait rien faire, tout le monde s'écartait devant lui et se refermait aussitôt derrière, formant un rempart.  Une fois le frisson passé, Louis se mit à descendre par un autre escalier.

Le timing fut parfait, il décroche son téléphone et mima une écoute téléphonique et vlan ... Sayori et le stalkeur se percutèrent tout les deux. Immédiatement, le jeune homme aida la futanari à se relever, l'aidant aussi pour ramasser les différents papiers au sol.

- Excusez moi, je suis si tête en l'air, vous n'avez rien ? Je suis franchement désolé, je n'aurais pas du décrocher mon téléphone dans les escaliers.  Qu'est-ce que je peux faire pour m'excuser?

Louis assommait littéralement Sayori d'excuse, le but ici était simplement d’entamer une petite conversation, pour jauger le caractère de la jeune lycéenne et savoir si elle était idiote ou intelligente.
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Sayori & Motoko Yukihiro

Humain(e)

Depuis qu'elle savait qu'elle n'était pas la seule futanari du lycée, Sayori se sentait nettement plus à l'aise. Pour la première fois de sa vie, elle avait des amies, des vrais, avec qui elle pouvait tout partager, y compris ses problèmes plus intimes. Et il n'y avait pas que ça. A travers le "Futa-club" qu'elle avait ouvert avec Cassy et Asuka-Sensei, sous les dortoirs et – ironiquement – à coté d'une cave investie par le Cercle, elles avaient attirées d'autres Futa, ainsi que des femmes normales dont c'était justement le fantasme. Seules les membres connaissaient l'emplacement exacte ainsi que le code d'accès, ce qui garantissait leur sécurité et leur anonymat. Même sa garde du corp ne trouvait rien à redire la dessus, alors que sa psychopathe de sœur aînée trouvait juste dommage de ne plus avoir de bons prétextes pour violenter ses camarades.

Le veille, le club avait atteint la barre des dix membres. Ce n'était peut être rien dit comme ça, mais c'était le premier nombre à deux chiffres. Pour marquer le coup, elle et les deux autres fondatrices étaient revenues dans les toilettes du second étage, là où tout avait commencé, avec la nouvelle membres pour une délicieuse partie de jambes en l'air à quatre, la femme se faisant ainsi prendre par tout ses orifices, les trois futanari changeant de trou à tour de rôle, dans plusieurs positions différentes. La seule chose qu'elles ignoraient, c'est qu'un pervers avait installé des caméras de surveillance un peu partout dans l'établissement. Le gang bang avait continué jusque tard dans la soirée, si bien qu'elles étaient toutes plus ou moins exténuées à la fin des ébats et Sayori du rentrer chez elle sur le dos de Motoko, qui dû la porter des toilettes jusqu'à la douche du domaine Yukihiro, la semence blanche collant à son uniforme.

De fait, le lendemain, Sayori était légèrement à coté de ses pompes et avançait un peu comme un zombie, rentrant dans les autres élèves, malgré qu'elle essayait de faire attention. Sa garde du corps elle, restait à bonne distance, s'étant travestie en élève elle aussi pour rester au plus près de sa protégée, mais restant à bonne distance tout de même. A un moment de la journée, Sayori du retourner aux WC pour une activité qui n'avait absolument rien de sexuelle. Mais lorsqu'elle ressortit, Motoko vit un jeune homme sortir peu après et suivre sa protégée d'un peu trop près. Il du cependant sentir la présence de la garde du corps dans son dos, car il changea de chemin, se déplaçant plus rapidement, comme pour lui échapper. Motoko le suivit du regard un moment, avant de reporter son attention sur Sayori.

Aussi, la garde du corps fut à peine surprise de le voir dans un couloir adjacent avec un portable à l'oreille, entrer en collision avec Sayori à peine quelques minutes plus tard. Clairement, il avait provoquer cette rencontre, de manière brutale et grossière, digne d'un amateur selon elle. Sayori en revanche – entrant dans les gens depuis le début de la journée – ne remarqua pas grande différence. Autrement, la jeune fille aurais sans doute remarquée que le dit portable n'était même pas allumé, contrairement à Motoko qui le vit de suite, bien que l'écran n'avait été visible qu'une fraction de seconde.

- Excusez moi, je suis si tête en l'air, vous n'avez rien ? Je suis franchement désolé, je n'aurais pas du décrocher mon téléphone dans les escaliers.  Qu'est-ce que je peux faire pour m'excuser?

- Oh... Ce n'est rien, c'est plutôt à moi de m'excuser...J'aurais dû regarder où je mettait les pieds...


En bonne japonaise convenablement éduquée, Sayori s'inclina légèrement, les mains jointes, en signe d'excuse. Derrière elle, Motoko se rapprocha, un regard tueur braqué sur l'élève. Elle avait un mauvais pressentiment le concernant. Néanmoins, si la garde du corps souhaitait débuter des recherches sur lui, Sayori elle, semblait déjà détenir quelques informations.

- Vous devez être le fameux Louis de la Lavande, non ? Votre arrivée à Mishima à fait beaucoup de bruis parmi les élèves. Vous êtes très populaires.
Membres du Futa Sixe (Explicite)
Akiko & Megane -- Motoko & Sayori -- Asuka & Yûko


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