Bienvenue à Mishima ! [Iry]

« Alors, c’est toi, Iri Akuyama ? »

Son nom était prononcé à l’Occidental. Pamela venait des Etats-Unis après tout. Iri Akuyama était une belle jeune fille, plantureuse, avec des formes magnifiques, qui, selon toute vraisemblance, allait faire un succès à Mishima. Elle venait d’arriver récemment, et se tenait dans la salle de classe de Pamela Isley, autrement connue sous le pseudonyme de Poison Ivy. Dehors, le soleil se couchait, un ciel crépusculaire qui s’abattait sur la ville, étirant des nuages orangés dans toutes les directions. Un spectacle magnifique, et Pamela en avait un tout autre sous les yeux.

Iri Akuyama venait récemment d’arriver au lycée Mishima, et commencerait bientôt les cours. L’administration avait chargé Pamela d’accueillir Iri, ce qui, concrètement, revenait à avoir un rendez-vous privé avec elle, avant qu’elle ne commence les cours, afin de lui parler des programmes scolaires, de ce qui allait l’attendre cette année, et qu’elle ne devait pas s’inquiéter, car le lycée était très chaleureux... Surtout envers les femmes plantureuses.

« Je suis ravie de te voir... Je suis désolée de te prendre si tardivement, mais... J’ai eu une longue journée. »

Elle avait eu toute une journée de cours harassants. Poison Ivy dégageait naturellement des phéromones, et lesdits phéromones, sur des adolescents dont le désir sexuel s’éveillait, produisaient des effets magnifiques. Il ne se passait pas un seul cours sans qu’il n’y ait au moins un étudiant qui avait la trique, une formidable érection qui l’élançait douloureusement. Ce moment était toujours particulièrement jouissif chez Pamela, et, avec le temps, elle avait appris à identifier les élèves qui voulaient coucher avec elle.

Pamela portait une blouse scientifique. Néanmoins, on pouvait voir de longues bottes verts et des gants de la même couleur. Contrairement aux apparences, à l’exception de la blouse, les vêtements qu’elle portait étaient organiques, comme des excroissances de son propre corps. Sous la blouse, elle portait son habituel corset vert. Assise derrière le bureau, elle avait devant elle le dossier scolaire de la nouvelle élève.

« Je suis restée assise trop longtemps » lâcha-t-elle alors, se relevant.

Pamela marchait autour de la femme, de cette jeune et belle adolescente. Elle se demandait ce qui l’avait conduit à Seikusu, à Mishima... Cette femme était vraiment appétissante, en tout cas.

« Alors, comment est-ce que tu trouves le lycée, ma belle ? »

«-Alors, comment est-ce que tu trouves le lycée, ma belle ? »

"-J'aime beaucoup ce lycée d'après se que j'ai pu en voir. L'architecture est très réussie, et il a y a de superbe fleurs  à l’extérieur.  Elles doivent bien être entretenues. Sans parler des autres élèves qui on l'air très sympa!" dit elle avec enthousiasme.

Ce professeur avait des vêtements somme toute assez originaux. Iry voulait faire bonne impression après tout c'était la  première fois qu'elle rencontrait un professeur de ce lycée. Elle se tenait droit, jambes croisées et et bougeait les bras en même temps qu'elle parlait. Il était assez tard pour un rendez vous c'est vrai, mais elle n'allait pas faire sa difficile. Elle observait  l’enseignante qui lui tournait autour, belle plante. Même les professeurs du lycée sont attirant. Décidément cet établissement lui plaisait de plus en plus...

"-Au fait, on ne m'a pas donné votre nom, vous êtes Madame...? "

Et oui les joies de l'administration, on lui avait dit de venir dans cette salle là, à telle heure mais on ne lui avait pas dit quel professeur allait l’accueillir...

La remarque sur les fleurs fit sourire Pamela. Effectivement, elles étaient plutôt bien entretenues, puisqu’Ivy s’assurait qu’elles reçoivent un petit engrais spécial pour pouvoir pousser sans souci. De manière générale, les lycéens de Mishima évitaient d’abîmer les fleurs. Les Japonais étaient généralement plus respectueux de ce genre de choses que les Occidentaux. Il arrivait parfois qu’elle retrouve de l’urine dans les plantes, ou des traces de vomi, qui venaient probablement en soirée, quand des lycéens ivres se rapprochaient des grandes pelouses de Mishima. Qu’Iry ait noté ça était un détail assez positif, un bon point en sa faveur. Elle avait donc la fibre botanique ? C’était quelque chose que Poison Ivy comptait vérifier. Elle s’était glissée dans le dos d’Iry en marchant, et repassa devant.

*Elle se tient bien droite, comme si elle était à un entretien d’embauche...*

De manière générale, Pamela avait pu noter que les étudiants japonais étaient bien plus nerveux que leurs homologues occidentaux, à l’égard de leurs professeurs. Mishima faisait presque figure d’exception, compte tenu du taux de professeurs pervers enseignant dans le lycée, mais, dans le reste de l’Archipel, les senseïs montraient bien toute la différence entre eux et les élèves, et les élèves l’acceptaient sans rechigner. Le système éducatif japonais était beaucoup plus ancestral que le système américain, comme en témoignait le port des uniformes, ou le fait que beaucoup d’étudiants japonais, pour réussir à être parmi les meilleurs, ne passent leur temps qu’à travailler, engendrant finalement un pays avec un haut taux de dépressifs et de suicides chez les jeunes. Une pression constante, entretenue par les professeurs, mais aussi par les parents.

Pamela y songeait alors qu’elle revenait devant Iry.

« Au fait, on ne m'a pas donné votre nom, vous êtes Madame... ? »

Un beau sourire vint naître sur les lèvres de Pamela, qui lui répondit rapidement, en croisant les jambes, assise sur le rebord du bureau :

« Pamela Lillian Isley. Tu peux m’appeler Mademoiselle Isley, ou Isley-senseï, comme il convient de le faire au Japon. »

Elle l’observait silencieusement, détaillant ses formes. C’était vraiment une belle plante, et sa présence rappelait à Pamela qu’elle avait passé toute la journée dans cette classe, sans avoir l’occasion de se soulager. Or, Poison Ivy avait une libido assez difficile à satisfaire, qui avait le don de se rappeler à elle fréquemment. Elle s’expliquait ça par le fait qu’elle travaillait avec des mutagènes ayant pour base la sève d’une Alraune perverse, Weldenela. À force de manipuler des produits aphrodisiaques, ils avaient fini par déteindre sur elle.

« Je viens des Etats-Unis, alors, je sais très bien qu’on peut se sentir déboussolée quand on arrive dans une nouvelle ville... Surtout quand on prend l’année en cours de route. C’est pour ça que l’administration de Mishima veille à ce que chaque élève arrivant en cours d’année reçoive un entretien individuel avec un professeur. Je dois te prévenir que je suis une professeur très sévère, car la biologie est ma grande passion. »

Elle préférait la mettre au courant, mais Iry le verrait très vite, de toute manière. Avoir la moyenne avec Pamela relevait de l’exploit.

« Alors... Tu as noté que les fleurs étaient bien entretenues, donc... Est-ce que tu as la fibre écologique, Iry ? »

Ceci ne pourrait que la rendre encore plus attirante. Qui sait ? Il était tout à fait possible qu’Iry, avec sa belle petite bouille d’amour, rencontre sous peu l’autre face du lycée Mishima. C’était une possibilité de plus en plus sérieuse dans l’esprit de Poison Ivy.

"Je viens des Etats-Unis, alors, je sais très bien qu’on peut se sentir déboussolée quand on arrive dans une nouvelle ville... Surtout quand on prend l’année en cours de route. C’est pour ça que l’administration de Mishima veille à ce que chaque élève arrivant en cours d’année reçoive un entretien individuel avec un professeur. Je dois te prévenir que je suis une professeur très sévère, car la biologie est ma grande passion. »

Une professeur passionnée par son travail? Super! Iry n'en demandait pas plus pour les cours, elle en avait marre des professeurs ennuyeux qui font leur travail sans grande envie. Déjà elle sentait que la biologie allait l’intéresser, autant la biologie du cours que celle de son enseignante...Alors comme ça elle vient des états unis? La jeune étudiante n'avait jamais rencontré d'occidentaux auparavant, on peut dire qu'avec Isley-senseï ils étaient plutôt bien représentés.

*J'aimerais bien que tous les profs de ce lycée soient comme elle moi...*

Le lycée semblait prendre soin de ses élèves, les parents d'Iry avaient apparemment pris une bonne décision en l'envoyant ici. Lorsque l'enseignante s'assis sur le bureau, Iry eut un sourire, le croisement de jambe lui avait beaucoup plus.

« Alors... Tu as noté que les fleurs étaient bien entretenues, donc... Est-ce que tu as la fibre écologique, Iry ? »

"-Oui Isley senseï. Je viens d'un village dont la spécialité est de cultiver les feuilles que l'ont met dans les pipes à tabac. On laisse les plantes vivre toute leur vie en s'occupant bien d'elles et une fois qu'elles meurt naturellement on les récolte et on les fait sécher. J'aidais mes parents dans les champs pour que les plantes puisses grandir et vivre sans trouble. Et en plus nous avions un grand potager chez moi, donc je m'y connais un peu en plantes. "

Elle disait ça en souriant, les plantes étaient une chose qu'elle affectionnait, surtout les fleurs qu'elles trouvaient toutes magnifique. Si elle le pouvait, elle prendrait une fleurs en pot dans son dortoir, une présence végétale est bon pour le moral, même si elle n'avait pas besoin d'aide pour ca.
Le soleil disparaissait de plus en plus, à ce point, une forte lumière orangée éclairait le visage de la jeune fille. La nuit n'allait plus se faire attendre longtemps...

« Et en plus nous avions un grand potager chez moi, donc je m'y connais un peu en plantes. »

Quelle fille admirable ! C’était à croire qu’une quelconque Déesse de la Nature, bien trop souvent absente à son goût, venait de se réveiller, et d’offrir un cadeau à l’une de ses plus ferventes défenseuses. Pamela Isley admirait la passion d’Iry, la dévotion qu’elle mettait, avec sa famille, à entretenir la Nature. C’était une petite action, mais elle avait suffisamment soutenu la cause écologiste pour savoir que seules les petites actions, dans ce monde, permettraient d’empêcher l’humanité de détruire l’écosystème terrien. Cette femme était un modèle pour la communauté, et Ivy estimait qu’elle méritait bien une récompense... Une grosse récompense, afin que la vie urbaine ne la détourne pas progressivement de cette voie noble et louable.

Pamela restait assise ainsi. Les aphrodisiaques devraient progressivement faire effet sur cette femme, mais ils faisaient surtout effet sur Ivy, qui avait envie de passer aux choses sérieuses.

« C’est très louable, Iry... Très honorable, vraiment… J’espère sincèrement que ta fibre écologique ne disparaîtra pas avec la vie dans une grande ville. »

Pamela posa ses jambes sur le sol, glissant ses mains dans les poches de sa blouse, debout face à elle. Poison Ivy savait où elle allait la conduire. Le repaire de Pamela, sa maison, était une ancienne usine de traitement des eaux usées, qui datait de l’époque où Mishima était un complexe industriel. Il avait été acheté il y a des années par la municipalité, afin d’en faire un important pôle éducatif pour que Seikusu reste une ville cosmopolite, tournée vers le monde, et attire les étrangers. Le lycée Mishima marchait plutôt bien, et avait été très bien reconstruit. L’usine de traitement avait été fermée, et, quand l’Empoisonneuse était arrivée à Seikusu, elle s’était naturellement renseignée sur le lycée, et avait transformé l’usine de traitement en refuge écologique, une sorte d’écosystème végétal qui s’étendait dans une infime partie des égouts.

Ivy sourit légèrement devant Iry.

« J’aimerais te montrer quelque chose, Iry, quelque chose qui devrait te plaire... J’en suis sûre... Tu n’as pas à t’en faire pour les cours, je t’enverrais sur ton adresse mail tout ce que nous avons fait, et je suis convaincue que les élèves de ta classe ne verront aucun problème à te confier leurs cours. »

Charmante comme elle était, aucun problème ne risquait en effet de se poser. Elle s’était penchée vers elle en lui parlant, son visage se rapprochant du sien. Pour mieux la convaincre, elle avait légèrement soufflé sur elle, répandant un aphrodisiaque discret et léger qui fila dans les narines et dans les lèvres de la femme. Même une femme purement hétérosexuelle ne pouvait pas lutter contre ça. Ceci ne la rendait pas lesbienne, mais son corps se déhanchait malgré tout. Pamela ne voulait pas exciter Iry, mais simplement la décrisper un peu, pour qu’elle accepte de suivre sa senseï sans discuter.

"-C’est très louable, Iry... Très honorable, vraiment… J’espère sincèrement que ta fibre écologique ne disparaîtra pas avec la vie dans une grande ville. "

"-Je n'espère pas non plus Senseï, j'ai prévu de prendre une plante en pot dans mon dortoir si c'est une pratique autorisée. Ainsi je ne perdrais pas l'habitude de m'occuper d'une plante." dit elle en souriant.

Iry avait réussis à faire bonne impression sur son enseignante, elle en était heureuse. Son année scolaire et sa vie dans  la ville en général ne pouvaient que s'améliorer si il en était ainsi avec tous ses enseignants. La présence d'Ivy avait un drôle d'effet sur l'élève, cette dernière commençait à avoir chaud, comme un début d’excitation. Cette sensation s’amplifiait avec les secondes, cela ne gênait pas du tout Iry qui, en général, laissait libre cours à ses pulsions... mais là elle se retenait. Après tout, ce n'était pas n'importe qui qu'elle avait en face d'elle, c'était une enseignante de son lycée.

« -J’aimerais te montrer quelque chose, Iry, quelque chose qui devrait te plaire... J’en suis sûre... Tu n’as pas à t’en faire pour les cours, je t’enverrais sur ton adresse mail tout ce que nous avons fait, et je suis convaincue que les élèves de ta classe ne verront aucun problème à te confier leurs cours. »

Poison Ivy c'était approchée d'Iry, libérant encore plus de spores via sa respiration. Cette sensation qu'éprouvait l'élève...elle avait chaud  et son corps réclamait qu'elle se laisse aller. Elle approcha, sans même s'en rendre compte, ses lèvres de celles de son interlocutrice...sur le point de l'embrasser elle recula soudainement mais non sans mal. Ses joues devenaient de plus en plus rouge, son entrejambe de plus en plus humide, les battements de son cœur et sa respiration accéléraient grandement...Elle dit en haletant (retenant ses mains d'aller sur le corps d'Ivy ou sur le sien):

"-senseï...je...jeee"

Elle ne pouvait pas dire quoi que ce soit de cohérent à ce moment là, elle ne put qu'hocher affirmativement la tête pour faire comprendre à Ivy qu'elle acceptait. De toutes façon, vu l'état dans lequel elle était, elle ne pouvait pas refuser quoi que ce soit à son interlocutrice.
Pour les cours il ne fallait pas s'en faire, Iry était une fille intelligente, elle pouvait prendre les cours en cours de route. Et de toute façon elle pourrait aisément convaincre un(e) camarade de classe de lui prêter les siens...

Voilà qui était mieux. Les joues rouges, le corps qui tremblait, les sons qui bafouillaient... Des signes que Poison Ivy connaissait plutôt bien. L’aphrodisiaque commençait à faire effet, et Ivy avait pu noter que, chez des adolescents, soit des individus chez qui la sexualité commençait à s’égayer, ses spores étaient particulièrement efficaces. Une autre raison qui avait pu justifier le fait qu’elle décide de s’enterrer dans un lycée. Il lui était beaucoup plus facile d’obtenir des serviteurs, et eux n’étaient pas aussi défoncés aux drogues que les loubards de Gotham City qu’Ivy empoisonnait pour les avoir à son service. Devant la gêne d’Iry, Pamela eut un léger sourire, et tendit l’un de ses doigts, le posant sur les lèvres de l’étudiante.

« Chuut... Ne dis rien, ma belle, contente-toi de me suivre. »

Poison Ivy lui sourit délicatement, et retira son doigt, avant de se pencher vers elle, et de brièvement l’embrasser. Le baiser ne dura que quelques secondes, et Ivy put apprécier les belles lèvres de son élève. Oui, elle était très belle, et ses lèvres étaient très douces. Elle serait parfaite pour faire plaisir à la femme ce soir. L’Empoisonneuse retira ses lèvres, un léger sourire planant sur ces dernières.

« Mishima est un lycée qui a plusieurs facettes... Allons-y. »

Elle se mit ainsi en marche, après ce bref et furtif baiser, qui n’avait que pour seul objectif de constituer une promesse, d’inciter Iry à la suivre. Pamela s’avança le long des couloirs déserts der l’aile scientifique du lycée, et descendit les marches de l’escalier, rejoignant le rez-de-chaussée. À cette heure de la soirée, Mishima avait quelque chose d’effrayant, comme n’importe quelle lycée silencieux et plongé dans l’obscurité. Dans un pays aussi superstitieux que le Japon, il ne faisait pas bon de se promener si tard le soir dans un tel endroit. Ivy était bien placée pour savoir que Mishima n’était pas très bien surveillé, et qu’il existait quantité de légendes urbaines circulant sur des sectes occultes se réunissant la nuit pour invoquer des esprits maléfiques, en capturant de jeunes femmes... Et ce sans parler des bandes de délinquants qui se rendaient dans le lycée le soir.

Ivy s’avançait néanmoins sans aucune inquiétude. Elle avait affronté Batman à Gotham ; pouvait-elle vraiment craindre les errances nocturnes de Mishima après avoir connu Park Row et ses ruelles dangereuses, où on trouvait des dealers et des meurtriers à chaque coin de rue ? Tout en marchant, d’une démarche qui ne mettait pas bien ses formes en valeur, du fait de la blouse, Ivy rejoignit un endroit normalement interdit aux élèves : l’administration centrale. L’endroit était fermé mais elle disposait des clefs, et l’ouvrit. Une moquette bleue et confortable avec de confortables fauteuils se trouvait le long de couloirs propres menant dans les entrailles de l’administration.

« Par ici... »

Poison Ivy referma la porte derrière elles, puis descendit les escaliers, afin d’accéder au sous-sol. Les légendes disaient que c’était dans cette partie du lycée que les réunions occultes avaient lieu. Pamela ouvrit une porte, et s’avança dans des couloirs de béton, aux murs nus et froids. Cette partie du lycée abritait les locaux techniques, le groupe électrogène, la chaudière, et les installations de ce style. Il y avait aussi l’accès vers la laverie, qui permettait d’entretenir les uniformes scolaires et les vêtements des internes. Pamela continuait à marcher, et ouvrit une nouvelle porte, s’enfonçant de plus en plus profondément.

Elle se rapprochait de couloirs jadis condamnés, qu’elle avait pris soin d’ouvrir, menant à la station de traitement abandonnée. Elle se retrouva dans une sorte de salle d’attente, avec des casiers, et y retira sa blouse. Une lampe s’alluma sur le plafond, éclairant faiblement la pièce. Ivy était désormais dans son élégante tunique verte, et regarda Iry en souriant.

« C’est juste en bas... Je pense que ça devrait te plaire. »

Elle se rapprocha d’elle, posa ses deux mains sur chacune de ses joues chaudes, et l’embrassa encore, un peu plus voracement, plaquant le corps d’Iry contre le mur. Elle caressa avec sa langue les lèvres d’Iry, posant ses mains sur ses hanches en les caressant, puis s’écarta d’elle en souriant.

« Tu es prête ? Aussi bizarre que ça puisse te sembler, c’est là que je vis... »

Ivy ouvrit une nouvelle porte, qui donna sur une sorte de long escalier métallique dans une sorte de grande pièce. Ivy se mit à descendre, lentement, et, peu à peu, on pouvait sentir une curieuse odeur, délicieuse, qui se rapprochait... En même temps que de la végétation s’étalant le long des murs, ainsi que des espèces de cristaux fournissant un éclairage.

« Bienvenue chez moi, Iry ! »

« Mishima est un lycée qui a plusieurs facettes... Allons-y. »
 
Ce baiser fut un véritable électrochoc pour Iry, elle était habituée à ça, après tout le sexe elle aimait ça mais jamais un baiser ne lui avait fait un tel effet. Elle sentait  quelque chose d'étrange dans son excitation, elle se connaissait et c'était un peu trop rapide, mais elle n'était pas en état de réfléchir plus à la question. Elle n'avait qu'une envie, sauter sur sa professeur là maintenant et se donner totalement à elle.

Elle n'en eu pas le temps puisque cette dernière décida de commencer à marcher dans les couloirs du lycée. Elle la suivit, sans savoir où elles allaient ni pour combien de temps, à présent Iry ne pensait qu'à une seule et unique chose: le sexe et toute les manières possible d'assouvir son désir. Elles marchaient seules dans les couloirs du lycée, en temps normal il fallait mieux éviter de s'y aventurer à cette heure là. Elle fut emmenée pour la première fois depuis son arrivée au lycée dans les bureaux de l'administration qui étaient logiquement interdit aux élèves.

La jeune lycéenne suivait irrésistiblement Ivy, comme hypnotisée, de temps à autre perlaient le long de ses cuisses un peu de cyprine car sa culotte était trop trempée pour en retenir plus qu'elle ne le faisait déjà. Les deux visiteuses passèrent par les sous sol du lycée qu'Iry n'avait jamais vu. Pour elle les secondes qui passaient étaient des minutes, les minutes étaient des heures... Quand allaient elles enfin arriver? La lycéenne ne pouvait plus attendre et si elle ne devait pas suivre Ivy, elle se masturberait elle même sur le champs.

« C’est juste en bas... Je pense que ça devrait te plaire. »

*Ce qui me plairait ça serait votre corps senseï...* pensa t'elle en regardant le fessier de la femme concernée. Comme si elle avait entendue cette réflexion, Poison Ivy embrassa son élève, la plaquant au mur. Elle pensait qu'elles allaient le faire ici enfin... mais...

« Tu es prête ? Aussi bizarre que ça puisse te sembler, c’est là que je vis... » dit elle en s'écartant.  On pouvait lire la frustration de la jeune fille qui demandait des yeux qu'on vienne la satisfaire...

« Bienvenue chez moi, Iry ! »

"-Inc...fo..formi..." elle ne pouvait pas parler distinctement mais son enseignante pouvait comprendre qu'elle aimait ce lieu.

La jeune fille n'en revenait pas, elles étaient dans un endroit incroyable, des cristaux, des plantes aux mur qui semblaient prendre de plus en plus d'importance au fur et à mesure que l'on descendait...Une fois arrivée en bas, Iry n'en pouvait vraiment plus. Le parfum qu'il y avait, la douce chaleur, la lumière tamisée...c'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase, la jeune excitée ne put s’empêcher de crier:

"-Je n'en peux plus!!! Je vous veux Isley-senseï!!" d'une voix mélange entre excitation extrême et grande frustration...Elle ne pouvait plus faire attention à quoi que ce soit d'autre, les phéromones aphrodisiaques de l'occidentale étaient particulièrement efficace sur sa jeune élèves, plus que sur des sujets lambda. Peut être que le goût qu'a Iry pour le plaisir charnel y participait? Qui sait...

L’excitation d’Iry était palpable. Pamela pouvait la sentir. Elle hurlait à ses oreilles, formant un appel irrésistible, magnifique. C’était un véritable régal, et elle se délectait de la voir ainsi souffrir, tiraillée dans ce combat perpétuel entre son sens du devoir, qui lui intimait de se taire, et ses envies charnelles, qui, peu à peu, prenaient le dessus. Le « ça » et le « sur-moi » en duel éternel, pour employer les propos de Freud. Ivy aurait pu aider Iry à trancher. Elle aurait pu lui rouler une nouvelle pelle, mais elle voulait que cette dernière se batte, trouvant ça... Plus excitant. Il avait de toute façon été nécessaire de l’exciter, afin qu’elle ne devienne pas paranoïaque en s’enfonçant dans les méandres du lycée, et en croyant être tombée sur une psychopathe qui allait la découper en morceaux. Elles étaient maintenant à l’entrée du Jardin d’Éden de Poison Ivy, une série de couloirs végétaux, une partie de la station qui était intégralement recouverte par de la mousse, des fleurs, des plantes... Et des tentacules. Un lieu où Ivy était en connexion psychique permanente avec ses fleurs, comme s’ils constituaient le prolongement naturel de sa personnalité.

Elle caressa l’une des fleurs poussant le long d’un mur. De beaux pétales en jaillissaient, et elle l’huma avec plaisir, un sourire venant éclairer ses belles lèvres. Iry n’en pouvait plus, elle se dandinait dans son dos, et elle finit par la supplier... Ce que Pamela, à vrai dire, avait souhaité :

« Je n'en peux plus !!! Je vous veux Isley-senseï !! »

Alors qu’elle humait la fleur, Pamela esquissa un léger sourire, et se retourna lentement, observant le belle Iry. Elle tremblait sur place, comme une pauvre feuille sur le point de se détacher de son arbre. Ivy lui sourit, et se rapprocha d’elle, lentement, tandis que son corps commençait à changer. La texture de sa peau devenait verte, tandis que des espèces de racines se mettaient à apparaître le long de ses jambes, formant en fait de petits tentacules qui remuaient sur son corps. Ivy, au contact de son antre, reprenait sa forme normale. Elle rejoignit Iry, restée à l’entrée du couloir menant à l’entrée de l’antre de Poison Ivy, et l’embrassa encore, en posant une main sur sa nuque, la soulevant sans difficulté du sol. Iry était en effet un peu plus petite qu’elle, et elle put l’embrasser plus longuement, en prenant désormais son temps.

Une main s’appuyait sur la nuque d’Iry, tandis que l’autre allait s’appuyer sur ses fesses, les caressant tendrement. Elle les pressa, à travers son uniforme, et continua ainsi à l’embrasser, tandis que, depuis ses propres jambes, les tentacules qui ondulaient sur sa peau s’en écartèrent lentement, afin de s’enrouler autour des jambes d’Iry, formant comme des lianes qui permirent de la stabiliser sur elle.

« Oui, je le sens... Il semblerait que tu ne sois plus tout à fait vierge, Iry, pour que mon aphrodisiaque agisse aussi facilement sur toi... »

Elle le dit en souriant, frottant son nez contre celui de sa partenaire, et l’embrassa encore, sur le bout des lèvres. Iry restait contre elle, et l’Empoisonneuse promena ses mains sur son uniforme.

« Il est temps de te débarrasser de ses vêtements superflus, tu respireras mieux sans eux... Et, d’ailleurs... Ici, je ne suis plus ta senseï. Je suis Poison Ivy. »

Elle tenait à faire cette précision, car elle estimait que Pamela Lillian Isley était morte le jour où le professeur Warren l’avait utilisé comme cobaye. Pamela Isley était un subterfuge, un masque qu’elle utilisait pour s’afficher en société, sa manière à elle de ne plus être poursuivie par la police, ou par des individus costumés se prenant pour des justiciers. Dans son antre, elle pouvait se laisser aller, dire qui elle était sans ombrages. Et elle était Poison Ivy, la redoutable et sulfureuse Empoisonneuse de Gotham City, celle qui avait roulé une pelle à Batman, et qui savait que l’homme l’avait apprécié, bien qu’il soit imperméable à ses charmes.

Les mains d’Ivy déshabillèrent Iry, ne laissant que ses sous-vêtements, deux pièces oranges qui moulaient ses formes. Iry était toujours prisonnière, ses jambes reliées au bassin d’Ivy, qui posa l’une de ses mains sous sa culotte, pressant directement ses fesses.

« Tu as bien de la chance, Iry, il est rare que je montre mon antre à des élèves que je connais à peine... C’est une antre que je réserve seulement aux meilleures d’entre vous... On peut dire que tu es une petite privilégiée... »

Elle s’avança un peu, portant toujours Iry, et descendit des marches, jusqu’à arriver dans la pièce principale du complexe, une grande pièce verte toute éclairée, avec, au centre, un « trône » : il s’agissait d’une sorte de bouche végétale suffisamment grande pour contenir plusieurs personnes. La bouche était ouverte, montrant une sorte de langue qui en recouvrait l’intérieur, chaude et molle. C’était le lit d’Ivy, différent des lits classiques, mais beaucoup plus confortable.

Des tentacules remuaient le long des murs, se rapprochant lentement d’Iry.Ivy l’avait posé, la relâchant, et la jeune lycéenne tomba sur le sol, devant elle.

« Es-tu prête à découvrir un plaisir qui dépasse ton imagination ? À découvrir à quel point la Nature peut être généreuse envers ceux qui lui montrent tout le respect auquel elle a droit ? Si tel est le cas, Iry... Alors je peux te promettre que ta soirée d’intégration sera phénoménale... Et que tu risques d’avoir du mal à t’asseoir demain. »

Iry n'avait jamais eu de contact avec le paranormal ou l'étrange durant sa vie. Tout ce qui était magie, pouvoirs magiques, monstres, esprits...elle n'y avait jamais cru et considérait cela comme des fables pour enfants. Cependant ce qu'elle avait en face d'elle balayait sa théorie concernant tout ca. Devant elle se trouvait son enseignante entrain de se transformer, sa peau devenait verte et des racines s'enroulaient petit à petit autour de ses jambes. Iry ne pensait plus, elle restait là à regarder fixement sa senseï bouche bée. Quand elle vint l'embrasser, Iry se laissa faire, laissant sa professeur l'embrasser et la toucher, depuis le temps qu'elle attendait ça...

Elle sentait les racines s'enrouler autour de ses jambes ca la chatouillait un peu...Et soudain elle se sentait soulevée, elle avait ressenti la sensation typique qu'on l'on éprouve quand on est dans un ascenseur... Elle restait proche du corps d'Ivy, comme stabilisée. Elle en profitait pour toucher le corps de sa professeur, après tout elles étaient corps contre corps...

" Oui, je le sens... Il semblerait que tu ne sois plus tout à fait vierge, Iry, pour que mon aphrodisiaque agisse aussi facilement sur toi... » Bel euphémisme quand on connait la forte attirance qu'a Iry pour le sexe...

« Il est temps de te débarrasser de ses vêtements superflus, tu respireras mieux sans eux... Et, d’ailleurs... Ici, je ne suis plus ta senseï. Je suis Poison Ivy. »

Les mains de l'enseignante sur son corps relevaient toutes les zones sensible d'Iry, rarement elle avait autant apprecié qu'on la déshabille. L’excitation était telle que la sensation du tissus sur sa peau lui offrait la même sensation qu'une caresse. C'est en passant la main sous la culotte trempée d'Iry que Poison Ivy put entendre son élève gémir.

« Tu as bien de la chance, Iry, il est rare que je montre mon antre à des élèves que je connais à peine... C’est une antre que je réserve seulement aux meilleures d’entre vous... On peut dire que tu es une petite privilégiée... »

Tant de plantes étranges autour d'elle, la majorité semblaient animées, elles se rapprochèrent d'une plante énorme, une sorte de bouche avec une langue au centre. Iry n'avait pas la moindre idée de se que c'était...d'ailleur elle n'avait aucune idée de ce qu'était cet endroit. Elle était quand même honorée que sa sensei lui montre son chez elle malgrès le fait qu'elles se connaissaient à peine...

« Es-tu prête à découvrir un plaisir qui dépasse ton imagination ? À découvrir à quel point la Nature peut être généreuse envers ceux qui lui montrent tout le respect auquel elle a droit ? Si tel est le cas, Iry... Alors je peux te promettre que ta soirée d’intégration sera phénoménale... Et que tu risques d’avoir du mal à t’asseoir demain. »

Elle voyait les plantes se rapprocher d'elle. Ivy l'avait relâchée. A présent Iry était assise au sol en sous vêtement l'air vulnérable...

"-Oui senseï...oui Poison Ivy montrez mois..." dit elle en enlevant le reste de tissus qui restait sur son corps...

À ses pieds, Iry devait avoir l’impression d’être dans une espèce de rêve. Dans ses sous-vêtements oranges, elle regardait autour d’elle, indécise. Il n’y avait pas que la décoration visuelle qu’Ivy avait travaillé. Ses plantes émettaient également des spores qui modifiaient les sensations olfactives, afin d’avoir une odeur agréable et saine. Rien à voir avec l’odeur nauséabonde des égouts, en somme. Iry était fragile et vulnérable, devant l’Empoisonneuse, qui, bras croisés, se tenait face à elle.

« Oui senseï...oui Poison Ivy montrez-moi... »

Elle sourit lentement, et décroisa les bras.

« Te faire attendre plus longtemps serait bien cruel... »

Plusieurs tentacules se déplacèrent simultanément, et agirent. Si Iry n’avait pas eu la sagesse de retirer ses vêtements, les tentacules l’auraient fait, mais Ivy avait un esprit pratique. Si elle déchirait tous les vêtements d’Iry, la pauvre allait devoir se promener les fesses à l’air. Quatre tentacules s’approchèrent donc, dans un premier temps, et chacun s’enroula autour des membres d’Iry.  L’un d’eux s’attaqua à son poignet, l’autre à son deuxième poignet, et les autres s’enroulèrent autour de ses chevilles. Ils étaient légèrement froids, et aussi gluants. De cette manière, ils adhéraient plus facilement à la peau, sans irriter l’individu prisonnier. Pamela s’avança, et s’assit sur la « bouche », croisant les jambes, observant la scène. Les tentacules soulevèrent gracieusement Iry. Elle pouvait remuer les membres, mais elle était tirée en l’air.

Jambes croisées, Ivy laissa faire ses tentacules. Deux autres s’approchèrent. Il y avait, à leur extrémité, une espèce de petite poche rouge, et, alors qu’ils s’approchaient, le tentacule s’ouvrit lentement, révélant, sous le vert une sorte d’excroissance arrondie qui prit progressivement la forme d’une verge grosse et bien épaisse.Les deux tentacules se rapprochèrent, alors que les quatre maintenant Iry la déplacèrent, de manière à ce qu’elle se retrouve, bras et jambes écartés, face à Ivy, tout en étant tout de même à quelques mètres d’elle.

Avec un sourire sur les lèvres, l’Empoisonneuse ne perdait rien de ce spectacle, et vit ainsi les tentacules se rapprocher. L’un d’eux pénétra Iry à hauteur de son vagin, et l’autre se rapprocha de ses lèvres, quémandant une fellation.

« Laisse-toi aller, Iry... En théorie, je prends le temps de préparer mes petites élèves, mais tu me sembles suffisamment chaude comme ça... »

Le second tentacule s’enfonça dans sa bouche, se frottant contre ses lèvres en essayant de forcer le passage. Les deux tentacules se mirent ainsi à remuer, et Ivy, elle, se délectait de ce spectacle. C’était la Nature à l’œuvre, tout simplement. Puissante, assoiffée, infatigable... La Nature dans toute sa splendeur.

Iry sentit ses membres attachés par des lianes gluantes et ces dernières se mirent à la soulever. Quelle situation hors du commun! Jamais elle n'aurait imaginé pouvoir vivre un jour une telle histoire autrement qu'en lisant des mangas. Elle était à présent totalement nue, jambes et bras écartés en face de Poison Ivy qui semblait apprécier le spectacle. C'est à ce moment que deux tentacules avancèrent vers la jeunes prisonnières, elles s'ouvrirent et laissèrent à vue deux excroissances qui avait une forme de pénis. En voyant cela, Iry eu un énorme sourire sur les lèvres car elle imaginait déjà le plaisir qu'allait lui procurer ces 2 plantes.

"Aaaaaaaaaah"

Tel était le cri que poussa la jeune fille quand l'un des tentacule la pénétra. C'était une sensation unique pour elle, les va et viens étaient rapide. La taille du membre était impressionnante il occupait tout l'espace que pouvait fournir le vagin d'Iry, caressant toutes les parois interne de la lycéenne en même temps sans toutefois être trop gros. Ça ne lui était jamais arrivé et son corps adorait ça. Pendant ce temps, un autre tentacule arriva au niveau de sa bouche, elle ouvrit cette dernière avec grand plaisir et commença à la sucer. Se servant de sa langue, malgré le manque de concentration entraîné par l'intense plaisir venant de son entrejambe.

Le plaisir qu'elle ressentais était amplifié par son niveau d’excitation ,rarement atteint, plus elle se faisait pénétrer plus son entrejambe s’humidifiait. Le long de ses jambes coulaient de plus en plus de cyprine. Entre deux pénétration buccale du tentacule, Iry regarda Poison Ivy en lui criant:

"Encore...aaaaaah, s'il vous plaiiiiiiit j'en veux... encore plus aaaaaaah...."

Il avait fallu des mois et des mois pour qu’Ivy finisse par trouver à ses plantes une telle utilisation. Initialement, elle ne s’en servait que pour tuer ses adversaires, ou pour se défendre. C’était avec le temps que ses désirs avaient peu à peu évolué, au fur et à mesure que ses hormones se développaient, influençant sur ses plantes, puisque les plantes d’Ivy était psychiquement reliés à leur créatrice. Les plantes d’Ivy avaient donc évolué, afin d’offrir du plaisir à leur créatrice, acquérant peu à peu la forme d’objets sexuels en s’inspirant de l’inconscient de leur maîtresse. Un curieux processus symbiotique qui n’avait fait que s’accroître avec le temps, et qui faisait des plantes d’Ivy des instruments, autant de mort, que de désir. Elle les contrôlait plus ou moins efficacement. Il était impensable que les tentacules échappent à son contrôle, mais, parfois, ils pouvaient eux-mêmes agir, généralement dans le bon sens. En l’état actuel des choses, l’excitation de Pamela se ressentait sur eux. Ils enserraient fermement les membres d’Iry, se délectant du corps très appétissant de la lycéenne. Ivy n’avait jamais su si la perversion des tentacules était lié à sa propre perversion, ou si c’était quelque chose de naturel. Ceci revenait à se demander si le fait d’être vivant impliquait de ressentir nécessairement des sentiments ; auquel cas, un arbre, même en étant immobile, était capable, à sa manière, d’éprouver quelque chose... Ivy avait toujours pensé que c’était le cas.

Dans tous les cas de figure, Iry, elle, se faisait plaisir. Ce n’était vraiment pas une innocente jeune femme. Elle mouillait abondamment sous l’effet du tentacule qui la pénétrait. Or, les verges d’Ivy étaient plus grosses (ce qui, soit dit en passant, donnait un bon aperçu de l’appétit sexuel assez fort de l’Empoisonneuse) que la moyenne, assez volumineuses. Celle qui prenait Iry dans le vagin ne la ménageait pas, et cette dernière gémissait et hurlant, se tortillant au milieu des tentacules, léchant et suçant avidement le tentacule qui lui labourait la bouche. Bon prince, ce dernier se retirait parfois pour lui laisser reprendre son souffle, tandis que, de temps à temps, les tentacules enserrant les membres de la jeune femme se déplaçaient lentement, la serrant un peu plus.

« Encore...aaaaaah, s'il vous plaiiiiiiit j'en veux... encore plus aaaaaaah.... »

Jambes croisées, assise de manière sensuelle, Poison Ivy se mit à sourire, et le corps d’Iry se rapprocha alors du sien, les tentacules la déplaçant. Elle était leur prisonnière, mais elle ne risquait pas de se plaindre pour un quelconque mauvais traitement. En la voyant se rapprocher, Pamela tendit sa main, et caressa l’une de ses joues, avant d’avancer son buste, et de tendrement l’embrasser. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, glissant dessus, et elle prolongea le baiser pendant encore quelques secondes, gémissant de plaisir, avant que les tentacules n’écartent la jeune femme, la remettant en l’air.

« Ne t’inquiète pas, Iry, répliqua Ivy d’une voix de velours, ce n’est qu’un humble début... »

Les fesses d’Iry la tentaient bien, mais elle ne comptait pas faire rentrer si rapidement un aussi gros tentacule en elle. Au lieu de ça, Ivy s’attaqua à d’autres parties du corps de la belle, tandis qu’un tentacule retournait violer la bouche de la jeune femme, optant pour une gorge profonde, forçant la tête d’Iry à partir à l’arrière. Deux autres tentacules se rapprochèrent, cherchant les seins de la femme. L’extrémité des tentacules comprenait des espèces de multiples langues remuant dans les airs, qui se développèrent progressivement, afin de former des langues qui s’enroulèrent autour des tétons d’Iry, puis autour de ses seins, les pressant tendrement, répandant sur sa poitrine une sorte de salive blanchâtre.

Dans le dos d’Iry, ce fut désormais un petit tentacule qui se rapprocha de son fondement, et s’enfonça à l’intérieur, simplement pour la préparer.

« Comme ça, c’est mieux, non, ma belle ? »

Dans l’antre d’Ivy, le plaisir était une notion que chaque invité redécouvrait totalement. Ce n’était pas son jardin d’Éden pour rien.

"Comme ça, c’est mieux, non, ma belle ?"

Si Iry avait put parler, elle aurait répondu que jamais, ô grand jamais, elle n'avait connu autant de plaisir qu'à cet instant. Et pourtant elle avait souvent pratiquée la chose, son expérience sexuelle ayant commencée à l'age de 15 elle avait eu le temps de découvrir le plaisir charnel. Les mecs et filles avec qui elle avait couchés avait tous leurs avantages et leurs défauts. Certains mecs avaient de l'endurance mais Iry n'était pas satisfaite du plaisir qu'elle ressentait, certains autres avaient un membres de bonnes tailles mais ne tenaient que peu de temps durant l'action. Les femmes offraient une grande quantité de plaisir mais plus limitée quand il s'agissait de plaisir interne...

Actuellement, Iry avait une taille qui lui procurait un immense plaisir et le tentacule semblait pouvoir jouer ainsi pendant longtemps...que demander de plus? La réponse vint d'elle même, 2 tentacules allèrent titiller la poitrine, s'enroulant autour de cette dernière. Les langues du tentacule s'attaquèrent aux tétons de l'imposante poitrine d'Iry. Avant, tout l’intérieur de son bas ventre était en feu, mais à présent sa poitrine l'était aussi. Elle sentait chaque parties de ses seins stimulées par la plante. Le plaisir...intense, les tentacule utilisaient les zones les plus érogènes de son corps...encore et encore...son vagin, sa bouche, sa poitrine...
Elle n'en pouvait plus, elle hurla  son corps étant soudain pris de spasmes de plaisir. Elle eu son 1er orgasme de la soirée.

Pendant qu'elle reprenait son souffle elle sentit quelque chose pénétrer son fondement, d'abord surprise, elle se remit à gémir de plaisir face à cette nouvelle sensation. Elle avait déjà essayé la sodomie mais les mecs sont trop pressés ou trop brusques. Là le tentacule y allait doucement rendant la chose agréable...terriblement agréable combinée au reste des plaisirs qu'elle ressentait en simultanée. C'est ainsi que, devant l'avalanche de plaisirs dont elle était la cible elle eu de nouveau un orgasme 5 minutes après le premier, cette fois si plus visible que le premier car de son sexe sortit soudainement une  quantité moyenne de cyprine éclaboussant un peu Ivy qui était en face... Jamais cela ne lui était arrivé d'avoir une éjaculation féminine...
Décidément elle était au paradis...