Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Au secours ( Kuraï Kyöki )

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Kuraï Kyöki

Re : Au secours ( Kuraï Kyöki )

Réponse 15 lundi 14 octobre 2013, 20:21:04

La succube souriait, enfin la belle magicienne se laissait aller. Elle y allait fort, à peine les caresses entamées, elle avait été secouée par un orgasme presque silencieux, ses dents se plantant dans sa peau à vif, ce qui lui tira un léger 'humpf' de douleur.

Bya guidait ses pas vers la couche, visiblement, elle avait vu juste, elle avait, après avoir eu si peur, une fringale de vie profonde et sincère. Avec une grande douceur et une tendresse au moins aussi importante, la succube avait encadré le délicat visage de ses mains, et posé un baiser extrêmement léger, presque chaste, sur les lèvres de la magicienne.

Elle fit perdurer le contact un instant, puis, lentement, elle descendit ses baisers dans son cou, savourant le grain de sa peau, à petit coups de langues, puis elle se mit à faire navette, de son oreille au creux de sa clavicule, de multiples baisers très légers, alors que dans le même temps les doigts de Kuraï couraient dans le dos de la belle, frôlant à peine sa peau, la griffant très légèrement le long de la colonne, insistant au creux des reins, puis remontant doucement jusqu'à rencontrer les restes de son chemisier.

Avec délicatesse, la succube avait guidé la jeune femme pour l'en débarrasser, suivit de peu par son soutient-gorge qui la dérangeait. Puis, lentement, elle roula sur Byakuren, elle lui lécha le lobe de l'oreille avant de lui murmurer.


Tu sens divinement bon.... Je vais me régaler.... Et je l'espère, toi apprendre que l'amour physique peut être agréable belle enfant.

La succube repris ensuite ses baisers, ses doigts caressant avec ferveur les hanches et et le ventre de la belle, alors que ses lèvres dégustaient son cou, ses épaules, avant de flatter la poitrine au combien prête à recevoir l'hommage, avide même de l'obtenir enfin, Kuraï le sentait, chaque baiser semblait envoyer des décharges à sa belle, doucement, ses doigts s'aventurèrent sous la jupette, venant frôler la perle ardente, avant d'en jouer avec délicatesse, ses lèvres emprisonnant tour à tour les tétons tendus et sensibles que la magicienne offrait dors et déjà à déguster.

Byakuren

Re : Au secours ( Kuraï Kyöki )

Réponse 16 mardi 15 octobre 2013, 13:20:20

Byakuren, la magicienne immortelle, se laisse envahir par un plaisir encore inconnu. Les douces caresses d'Emilie la faisant chavirer. Ses longs cheveux doux tombant comme une cascade rosâtre sur le visage délicieux et oh combien merveilleux de la succube lui caressant les joues, le cou chatouillant Kyöki un brin. Bya soupira sous les tendres caresses de la succube ; elle pouvait, pour son plus grand plaisir sentir ces doigts fins parcourir son dos si sensible. La magicienne gémit lorsqu'elle sentit les ongles ravageurs de la succube lui lacérer délicieusement le dos le long de sa colonne vertébral. Ronronnante, Byakuren aurait bien aimer arracher la moindre parcelle de tissu couvrant son corps bouillonnant. Comme un signe du ciel, se fut Kyöki qui s'en chargea. Frêle, Hijiri se retrouva rapidement nue et sur le dos à la merci des délicieuses mains délicates de Kuraï. Bien qu'allongée, la poitrine de la magicienne durcie, ne perdit pas de sa superbe ; dressés par son orgasme récent et la tendresse insolente dont faisait preuve la succube, ses tétons étaient au garde à vous, érigés tel un chapiteau. La respiration lente et saccadée, Byakuren regardait la délicieuse et oh combien magnifique Kyöki de ses yeux de biche devenus ivoires. L'esprit encore embrumé par le délice des baiser de la belle succube découvrant son corps, la magicienne ondula frénétiquement aux rythmes délicieux du courant électrique faisant vibrer son corps dont Emilie était l'instigatrice. Hoquetant, dévorant timidement du regard la belle, Hijiri commença à frotter ses jambes l'une contre l'autre. Jamais elle n'avait connu telle douceur, se demandant encore quel était ce nectar chaud qui coulait le long de ses cuisses. C'est alors que la délicieuse et oh combien charmeuse voix de la succube résonna dans sa tête.

Tu sens divinement bon.... Je vais me régaler.... Et je l'espère, toi apprendre que l'amour physique peut être agréable belle enfant.

Emilie venait-elle de lui dire qu'elle était belle ? La chaleur enivrant le corps de la magicienne remonta comme un bouillon exquis sur son visage donnant à ses joues une douce couleur pivoine qui la fit frémir gémissante. Elle pouvait sentir sur ses lèvres la douce caresse de l'air évacuait par la délicate respiration de la succube. Malgré 1 800 ans de vie, ou plutôt de non vie, la magicienne qui croyait tout connaître se lovait entre les cuisses de son âme héroïque sans comprendre le pourquoi du comment d'une telle réaction de son corps, frissonnant sous les tendres caresses enivrantes des doigts de fée d'Emilie. Un râle de plaisir vint briser ce silence, ce délicieux silence, lorsque les fins doigt de la belle succube vinrent pianoter son délicat petit bourgeon rose. Soumise au plaisir créé de toute pièce par Kyöki, Byakuren se laissa dérivée dans un nuage de plaisir, tous ses sens en éveils se nourrissant pleinement de l'instant présent. Pour la première fois, Hijiri vivait... Oui, son corps vibrait de plaisir se laissant dériver au grès du courant parcourant son corps. Jamais celui-ci n'avait été si vivant, si réceptif qu'aujourd'hui. Entre les mains et la langue tellement délicieuse, Byakuren pour la première fois en 1 800 ans vivait. La magicienne alla cueillir les délicats lèvres buccales d'Emilie. Un baiser timide, gauche, cherchant de sa langue à découvrir délicieux le contact de la langue de la ravissante succube.
« Modifié: mardi 15 octobre 2013, 16:41:59 par Byakuren »

Kuraï Kyöki

Re : Au secours ( Kuraï Kyöki )

Réponse 17 mardi 15 octobre 2013, 21:17:10

La succube répondit au baiser de la belle avec une grande douceur, poussant un peu plus ses caresses intimes. Le bouton ardent n'était plus le seul à être torturé à présent, les doigts experts découvraient les lèvres intimes en de longues caresses, très légères, profitant de l'orgasme de la belle.

Elle sentait que Bya perdait ses moyens, ses sens prenaient le pas sur sa raison, elle était d'une pureté immense, l'odeur qu'elle dégageait chavirait la succube. La succube osa pousser sa caresser un peu plus, flattant les petites sœurs des caressées de la même façon, tout en luttant langue à langue avec la belle magicienne un long moment, la sentant de plus en plus chavirée à mesure que les caresses se perpétuaient.

Elle rompit le baiser, un filet de salive liant encore leurs langues puis elle murmura:


Tu apprends vite.... Et pour une première fois.... Tu embrasses très bien Bya'.... Mais sache.... Que je compte te faire perdre la tête ma douce amie.... Et que j'emploierais pour cela tout mon savoir...

Les lèvres de la succube vinrent se perdre sur le buste avantageux de la jeune magicienne, se délectant du grain de peau, mordillant les chaires élastiques de sa poitrine, jouant de la langue avec son nombril un moment, avant de remonter sur les rondeurs appétissantes qu'elle se mit à couvrir de baisers plus appuyés, à mesure qu'ils durcissaient encore et encore.

Lorsqu'elle jugea sa compagne prête, la succube se mit à jouer de ses tétons, un doigt s'emparant doucement d'elle, en une caresse infiniment lente, rendue sans doute plus agréable par le pouce qui massait son bouton ardent, pourtant, pendant toutes ses caresses, la succube n'avait cessé d'observer la magicienne, le regard doux, sa ceinture de soie bougeant aux rythmes de sa queue, qui cherchait à s'en échapper.

Byakuren

Re : Au secours ( Kuraï Kyöki )

Réponse 18 vendredi 18 octobre 2013, 20:48:48

Byakuren gémit de plaisir sous les tendres caresses expertes de la succubes jouant avec son bouton d'amour. Hijiri cria, serrant contre sa poitrine -devenue pierre par le délicieux plaisir que lui offrait la succube- celle-ci, alors que ces doigts pianotant son rubis et ses lèvres vaginales jusqu'à lors vierge de toutes explorations. La langue de la magicienne se livrait à une douce valse passionnée avec celle de Kyöki dans un baiser des plus torrides. Bya posa une main sur la cuisse de la succube la remontant lentement, doigts de velours, elle prolongea sa caresse sur les fesses sublimes d’Émilie ses ongles les griffant. En 1 800 ans, Byakuren n'avait même pas pris de s'intéresser à son propre corps dans un plaisir solitaire. Cette toute nouvelle sensation faisant d'elle une FEMME l'emplissait de bonheur. Un bonheur d'autant plus accentué qu'elle avait pour première amante une personne chère à ses yeux ; son âme héroïque, cette personne qu'elle savait aimer à son premier regard et qui se prénommait Émilie. Malheureusement, toutes les meilleures choses ont une fin. Lorsque le filet de salive les liant encore l'une à l'autre se brisa, Byakuren soupira se languissant déjà de la bouche d’Émilie et des caresses de sa langue si exquise.


Tu apprends vite.... Et pour une première fois.... Tu embrasses très bien Bya'.... Mais sache.... Que je compte te faire perdre la tête ma douce amie.... Et que j'emploierais pour cela tout mon savoir...

Les mains de la magicienne remontèrent lentement le long des reins de la magnifique succube découvrant sous la ceinture de soie son appendice. Sa main droite l'effleura alors que la gauche continua de masser le dos de son amante. A mesure où la succube lui tétait les seins et que son bas ventre brûlait de plaisir, sa poitrine devenait de plus en plus dure et douloureuse. Jouissant à nouveau, elle libéra l'appendice de la Succube de sa prison de soie. Se laissant choir sur le lit, elle s'étira ronronnante de plaisir écartant grandes les cuisses, sa main caressant tendrement l'appendice de la succube. Byakuren ne souhaitait qu'une seule chose, que le feu incendiant son corps ne s'éteigne jamais.

"- 'Milie. T'aime" balbutia t elle dans un moment de lucidité malgré l'ensorcelant plaisir enivrant qu'elle était en train de vivre.

Kuraï Kyöki

Re : Au secours ( Kuraï Kyöki )

Réponse 19 lundi 28 octobre 2013, 10:57:22

Un doux frisson secoua la succube, si elle cachait son appendice caudal, ce n'était pas sans une très bonne raison, c'était l'une de ses rares faiblesses, un peu comme les gratouilles pour les chats, elle en était friande.

Rougissante, ses caresses étaient devenue bien plus avides, bien plus précises et appuyées, inconsciemment, Bya' avait réveillé la succube, qui perdait peu à peu pied sous les caresses.

Ses doigts continuaient leur douce sarabande, alors que ses lèvres s'étaient misent à couvrir la peau douce de baisers, mordillant légèrement le ventre plat, jouant de la langue près du nombril de la belle, son esprit embrumé par les quelques mots qu'elle avait prononcé...

D'un geste  plein de grâce, elle avait kidnappé le haut de la jupe et lentement, entrepris de la faire glisser le long des jambes de la magicienne, non sans embrasser tendrement la peau qu'elle dénudait.

Parvenue à ses fins, elle avait doucement embrassé le mont de vénus, puis sa langue était partie recueillir la liqueur intime qui avait humidifié les cuisses, remontant lentement vers la source humide, pour s'attaquer en premier lieu au bouton d'amour, l'encerclant, le titillant longuement, puis l'exploration des reliefs intimes, lentement, longuement, grandes lèvres d'abord, puis leur petites soeurs pour que finalement la langue gourmande se perde au coeur du volcan...


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