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Des élèves entreprenants [Corydon]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des élèves entreprenants [Corydon]

Réponse 30 lundi 21 octobre 2013, 01:37:10

[HRP – *Sylvandell, j’y tiens.]



Transformer Nexus en république, en démocratie... Ce concept, en réalité, étonnait Alice, l’intriguait. Imaginer des boulangers, des artisans, des commerçants, des forains, se transformant subitement en hommes politiques, était pour elle particulier, très étrange, et relativement illogique. Le pouvoir n’était pas quelque chose qu’on apprenait sur le tas, c’était une longue expérience. Alice avait reçu une longue formation pour devenir une bonne dirigeante. La politique était un art très particulier, et elle n’avait jamais compris comment la Terre avait pu massivement passer de la monarchie à la démocratie, ce système tant décrié par les Ashnardiens, aussi bien que par les Nexusiens. La démocratie était une sainte horreur, qui conduisait des bouseux à devenir des dirigeants, à élire leurs propres chefs, engendrant une sorte d’instabilité institutionnelle. Alice était aussi venue sur Terre pour se renseigner sur ce système honni par les philosophes et les essayistes ashnardiens.

Elle était venue sur Terre pour se renseigner sur la pratique de la démocratie, pour savoir comment cette dernière avait émergé, et elle avait un avis beaucoup plus neutre que celui de Corydon. Elle avait lu l’Histoire de la Révolution française, et, même avant ça, elle avait lu celle de la Glorieuse Révolution, qui renforça en Angleterre le roi Jacques II, et permit de réaffirmer l’importance du Parlement britannique par rapport à la Couronne anglaise. Elle s’était renseignée sur les essors progressifs de la démocratie : la démocratie grecque, la Grande Charte de 1215, qui était considérée comme la première limitation du pouvoir royal vis-à-vis des aristocrates... Elle avait lu les ouvrages des Lumières, elle avait lu Tocqueville, qui avait offert une très bonne analyse de la démocratie. Elle se rappelait notamment de cette phrase de Tocqueville, qu’elle avait toujours trouvé très juste : « Il se rencontre aussi dans le cœur humain un goût dépravé pour l’égalité, qui porte les faibles à vouloir attirer les forts à leur niveau, et qui réduit les hommes à préférer l’égalité dans la servitude à l’inégalité dans la liberté ». Elle avait trouvé la formule très belle.

Rousseau, Tocqueville, Locke, Montesquieu, étaient des penseurs qu’elle avait découverte grâce aux Commandeurs qui, à Sylvandell, lui apportaient jadis des livres. Elle s’était renseignée plus en avant sur Terre, et son avis sur la démocratie s’était encore raffermie en lisant un livre majeur de l’époque italienne, « Le Guépard » de Lampedusa. L’histoire du livre s’ancrait à l’époque de Garibaldi, un révolutionnaire italien qui, au 19ème siècle, avait offert la démocratie à un peuple italien profondément divisé et désuni. L’intérêt du livre était qu’il se plaçait du côté de la noblesse, et offrait une analyse très critique de la « démocratie », une analyse qui concordait avec ce qu’Alice pensait.

« ’‘Nous fûmes les guépards, les lions ; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes’’, lâcha-t-elle tout simplement, répétant l’une des célèbres maximes de Lampedusa, avant d’observer Corydon. Si c’est le bonheur du peuple que vous recherchez, je ne pense pas que la démocratie vous l’offrira. Je pense que l’étude de la démocratie vous permettra de réaliser que cette dernière reste utopique... Et je pense qu’une étude approfondie de Nexus vous permettra de réaliser que la tyrannie subie par le peuple n’émane pas d’une reine trop faible pour diriger, mais de bourgeois et de marchands corrompus. »

Alice connaissait également très bien Nexus, puisque Nexus était l’ennemi principal d’Ashnard, un adversaire les tenant en brèche depuis des siècles. Et la stratégie ashnardienne reposait sur un vieil adage militaire : « Connais ton ennemi ».

Konrad Pavelov

E.S.P.er

Re : Des élèves entreprenants [Corydon]

Réponse 31 mardi 22 octobre 2013, 00:56:45

Alice parla de mon rêve, de mon but, de ma raison de ne pas avoir brûler Nexus pour avoir anéanti ma race, d'utopie soit une idée irréalisable je serra point et mâchoire, la colère et la frustration qu'Alice avait provoqué en moi de traduisi par de flammes légère venant ronger le dos de mon veston et de ma chemise ainsi qu'une augmentation sinicative de ma température ambiante. Je cacha mes yeux devenus de couleur braise ardente de ma main et repris mon calme, la température renaissance un peu mais ne repris pas sa valeur initial. Les flammes de mon dos s'éteignirent, j'avais repris mon calme et je me retourna vers Alice.

-Ne vois pas cela comme une injure ou une attaque Alice, mais que sais tu réellement du peuple et de ce qui le touchent, j'ai grandi dans les bas fond de Naxus, ou un esclavage illégale par son horreur est exercé. Sais tu ce qu'il peut se passer là où même la crasse des maisons nobles répugnent à s'étaler sur le sol? Mon combat pour la liberté et un engagement politique mais surtout "humaniste", une fois président, je pourrais abolir l'esclavage, créer un système sociale performant et une aide sanitaire aux pauvres, je pourrais créée la paix grâce aux mots, imagines tu la puissance de nos deux nations si elle venaient à s'allier? Cette force économique et militaire??
La caste bourgeoise n'est pas à supprimer totalement car ces aux riches au appartiennent les connaissances et seul les corrompus mourront mais je serais pas à l'image des pseudo chefs de révolutions terriennes, à faire de la république que pourrait devenir le pays en une dictature, non non non..
Je vois que l'idée te parais saugrenu, mais c'est normal, tu vois le monde d'un point de vue monarchiste, et c'est une position que je défends mais alors dans ce cas là quitté à n'a pas forcément faire tomber de têtes ce serait laissé la chienne qui se dit reine de nexus, bien qu'avec un parlement.. Ça rendrait la paix avec ashnard impossible comment veux tu que la reine le permette? Elle ferait assassiner tout le parlement! C'est pour ça que la république me paraît la meilleur des solutions, mais pour que le peuple puisse être capable de voter en comprenant pourquoi il me fait, il faudra que le gouvernement agisse petit à petit, ADN de ne pas brusquer ce peuple qui la élu, après je comprends ta prise de positions mais noublie pas si la noblesse Ashnard souhaite annexer nexus comme pays soumis par la force, il leur sera plus simple encore en en faisant son allié


Je la regardais droit dans les yeux à présent, une légère fumais émanant de mon dos, résultat de la chemise cramer.. J'irais en volé une autre au pire.Alice me semblait être une fille très cultivé et intelligente

-Tu sais plus que directement au petit peuple, ce sera à l'élite pensante d'assurer les pouvoirs, et petit à petit, par le biais d'école d'état, le peuple sera en mesure d'avoir le savoir nécessaire pour être élu, des personnes intelligentes comme toi par exemple formerais les premiers gouvernement. Je suis sur que le rôle de dirigeante de conviendrait du moins pour ton pays..

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des élèves entreprenants [Corydon]

Réponse 32 mercredi 23 octobre 2013, 01:28:38

Le nez d’Alice lui rapporta une odeur de brûlé à proximité. Elle fronça les sourcils. Est-ce qu’un incendie venait de se déclencher ? Non, l’alarme-incendie aurait résonné... Et, en regardant bien, elle voyait de la fumée s’épaissir du dos de Corydon. Du feu s’échappait de son corps, et elle écarquilla les yeux, comprenant qu’elle avait affaire à un individu qui n’était pas normal... Ce dont elle se doutait déjà, soit dit en passant. C’était un mutant, ces êtres que les Tekhanes appelaient des ESPers, et son pouvoir était manifestement lié au feu... Et il était également en train de s’énerver, ce qui n’était pas de très bon augure.

Tout cela était une sinistre plaisanterie. Cet homme se voyait-il vraiment renverser Nexus et y instaurer une démocratie ? Vu qu’une simple conversation le transformait en barbecue ambulant, Alice doutait qu’il ait vraiment les nerfs nécessaires pour diriger un pays. Cette conversation provoqua un écho dans la tête de la Princesse, lui rappelant deux autres conversations qu’elle avait jadis eu. L’une avait lieu à Ashnard, la capitale impériale, lors d’une cérémonie où Sylvandell avait été conviée. Alice était alors relativement plus jeune, et les Impériaux avaient reçu dans la journée un rapport sur les objectifs de plusieurs révolutionnaires nexusiens, soucieux d’instaurer à Nexus une société égalitaire, d’abolir les privilèges, et de partager les richesses en dépouillant les riches pour les offrir aux pauvres. Ils imaginaient une société égalitaire reposant sur l’idée de partage. L’idée avait doucement fait rire les Ashnardiens. S’ils soutenaient ces illuminés, c’était uniquement dans la perspective d’affaiblir le régime nexusien, et de s’y instaurer. La force brute ne fonctionnait pas énormément contre Nexus, les puissantes armées ashnardiennes étant constamment brisées par les superforts nexusiens. Si Ashnard soutenait officieusement des mouvements révolutionnaires, les Impériaux ne partageaient nullement leur idéologie. Alice se souvenait de la réflexion d’un officiel ashnardien sur les utopies : il l’avait résumé en estimant que, peu importe dans quelle société on vit, il y aura toujours quelqu’un qui devra « récurer les chiottes et laver le sol ».

La seconde conversation dont se rappelait Alice était un peu plus récente, et n’avait pas eu lieu dans la capitale, mais à Sylvandell, à l’heure du souper. Un Commandeur était revenu de mission dans un État éloigné, et avait expliqué que le pouvoir en place, affaibli, réfléchissait à la possibilité d’opter pour une démocratie. En entendant cette idée, toute l’assemblée s’était mise à rire bruyamment. La démocratie, ce régime idéalisé par les Terriens, avait assez peu de succès sur Terra, où le régime était vu comme instable et inefficace. Pouvait-on vraiment laisser à des gens incultes la possibilité d’élire leurs dirigeants ? Si les dirigeants dépendaient du bon vouloir de la populace, ils ne feraient que des mesures simples, afin de caresser le peuple dans le sens du poil, et passeraient plus de temps à trouver un moyen de préserver leur pouvoir, plutôt qu’à vraiment chercher à diriger le pays. De ce qu’Alice savait des pratiques terriennes, il existait un mot pour désigner ce genre de pratiques : le populisme... Et, à croire certains articles qu’elle avait lu à la bibliothèque, beaucoup de responsables politiques étaient des populistes, des opportunistes.

« Je suis sur que le rôle de dirigeante de conviendrait du moins pour ton pays.. »

Alice retourna au moment présent en entendant cette phrase. Elle n’en était pas si sûre, elle... Elle savait qu’elle finirait un jour par être la Reine de Sylvandell, mais l’idée de succéder à Tywill Korvander, le colossal Roi de Sylvandell, avait de quoi intimider n’importe qui. Sans vouloir offenser son père, il n’était pas le Roi le plus talentueux de Sylvandell, mais assurément l’un des plus imposants. Il avait un sens politique très limité, et était, en réalité, plus un soldat qu’un responsable. La diplomatie n’avait jamais été son fort.

*De toute manière, je ne suis que la Princesse héritière... Mon rôle est de m’éduquer, pas de mener des alliances avec de pseudo-révolutionnaires qui se terrent dans un lycée en pensant pouvoir renverser Nexus en lisant des livres d’Histoire...*

Il valait mieux qu’elle ne parle pas de cette histoire à son père, il risquait de s’énerver. Alice, au moins, avait réussi à taire sa filiation à Sylvandell. Elle ignorait encore si elle pouvait faire confiance à Corydon, mais elle était imaginative. Si ce type essayait vraiment de renverser le pouvoir, il serait fatalement capturé, risquait d’être torturé, et pouvait tout à fait parler d’une élève sur Terre... En fait, Alice n’aurait jamais du lui parler. Elle n’aurait jamais du rester une journée de plus sur Terre. Il lui fallait trouver un moyen de sortir de là, mais elle ne pouvait pas tout simplement sortir en courant. Ce type était dangereux, et elle n’aimait pas cette odeur de grillé qui lui agressait les narines.

« Écoutez, je n’ai pas le temps de m’engager dans une discussion politique avec vous sur les bienfaits de la...*

*DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNGG !!!*

La Princesse sursauta en entendant l’alarme incendie se déclencher, résonnant avec rage dans tout le lycée. Elle cligna des yeux, avant de comprendre que la fumée qui s’échappait du corps de Corydon avait du atteindre l’un des détecteurs de fumée. En conséquence, l’alarme s’était mise à sonner, ordonnant l’évacuation immédiate. Très rapidement, Alice put entendre de nombreux raclements de chaise autour d’elle.

*Sauvée par le gong, pour ainsi dire...*

Konrad Pavelov

E.S.P.er

Re : Des élèves entreprenants [Corydon]

Réponse 33 mercredi 23 octobre 2013, 02:18:49

L'alarme incendie, sérieusement? Comme c'est pratique.. Je ne savais pas si c'était Alice qui l'avait activer par une possible capacité mais en tout cas, ce n'était pas mes flammes, je ne les avait pas acitiver suffisamment longtemps pour que la combustion enclenche l'alarme. Je regardis brièvement par la fenêtre pour constater que de la fumée venait des fenêtres du laboratoire de chimie.

-Alice, faut sortir. Je crois qu'un incendie s'est déclaré aux labo de Chimie.. On y va..

J'ouvrais la porte pour la laisser sortir, puis je la referais aussitôt. Nous marchâmes le long du couloir, quelques élèves devant nous, puis.. Un bruit sourd se fit entendre, des craquements, et des cries..

-ah non, ne me dites pas que...

je fut coupé par le bruit d'une première explosion, une petite déflagration vint lécher les murs des couloirs.. Je resta interdis un instant, mettant Alice derrière moi, puis une autre explosion survint, le bruit été plus fort encore que celle de toutes à l'heure je vis de la lumière grandir, plus la déflagration arriva.

-Merde! ALICE DERRIÈRE MOI!!

Je me plaça alors sur elle, mon dos en rempart contre le jet de flammes, si elles pouvaient anéantir toute trace de mon élève, elle ne me ferait aucun mal. La serrant contre moi, je senti le souffle ardent nous passer dessus.. Ces cinq seconde de feu me parurent des heures, je sentis une douleur vive au flanc droit, mais je continuais à serrer la blonde contre moi. Les flammes disparurent, laissant mes habits incinéré dans mon dos, mais Alice intacte. Je dessera mon emprise, et porta ma main dans mon dos, là où j'avais senti la douleur. Ue senti avec horreur un objet figé dans ma chair et je crachi par terre une gerbe de sang qui sécha rapidement. Je regarda Alice avant de sombrer en tombant en avant. Merde..

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des élèves entreprenants [Corydon]

Réponse 34 jeudi 24 octobre 2013, 01:23:35

Cette alarme-incendie était presque une aubaine. Pour Alice, elle ne pouvait venir que du corps en combustion de Corydon. Les alarmes-incendies étaient relativement sensibles par ici. Elle se redressa, heureuse d’y voir une porte sortie, et fila dans le couloir, marchant rapidement. Corydon en savait beaucoup trop sur elle. Il fallait qu’elle rentre chez elle, et qu’elle oublie cette histoire, en apprenant à mieux mentir. Elle ignorait comment l’homme avait fini par se rendre compte qu’elle n’était pas Terrienne... L’Ouzbékistan était peut-être une mauvaise idée. Sans doute devrait-elle choisir un pays qu’elle connaissait mieux, comme la France. On disait que ce pays était rempli de romantiques qui vous faisaient des baisers magiques, ces fameux French kiss réputés dans le monde entier. Et puis, on lui avait dit, sur Terre, qu’elle avait un charme européen... La France... Oui, ce serait une bonne idée, préférable à l’Ouzbékistan. Il faudrait qu’elle en parle à Mélinda. La jeune femme s’avançait dans le couloir, lorsqu’elle sentit un souffle. Le duo était passé à côté de la porte du laboratoire de chimie, et il y eut une sorte d’explosion, une projection de feu. Corydon se serra contre elle. Alice n’y comprit rien, si ce n’est que son corps fut enveloppé de feu.

« Hîîîî !! » hurla-t-elle.

Elle cligna des yeux, sentant, le corps de Corydon la heurter, avant que les flammes ne disparaissent, et que l’eau des douches anti-incendie ne s’enclenchent au-dessus d’elle. Elle s’écarta prudemment le cœur palpitant dans sa poitrine. L’homme restait devant elle, hagard, une odeur de brûlé s’échappant de son corps... Avant qu’il ne s’écroule sur le sol, en crachant une gerbe de sang. Alice fit un prudent petit bond en arrière, et constata que quelque chose s’était planté dans le corps de l’homme... Un bris de verre venant du laboratoire de chimie, qui était en flammes. Elle s’agenouilla vers lui, l’observant.

« Co.. Corydon ?
 -  Il semblerait que ton ami le Nexusien soit en piètre état… »

Alice tourna la tête. Oberyn venait d’arriver, comme par enchantement. Il ne portait pas son armure de Commandeur, mais des vêtements terriens : un jean, et une chemise à carreaux.

« C’est toi qui as détruit le laboratoire de chimie ? demanda Alice.
 -  Bien sûr que non, répliqua-t-il. Je crois que ton ami ne contrôle pas encore intégralement son pouvoir... »

La Princesse fronça les sourcils, observant Oberyn. Est-ce qu’il lui mentait ? Ce n’était pas impossible, car il avait du noter qu’Alice en avait un peu trop dit sur elle. La Princesse n’était autorisée à aller sur Terre que si elle ne divulguait à personne ses origines. Si Tywill apprenait cette conversation, Alice ne pourrait plus jamais retourner sur Terre, et cette perspective l’angoissait.

« Il faut que je te ramène à Sylvandell, Alice, finit par dire Oberyn.
 -  Mais on ne peut pas le laisser là ! Il... Il m’a protégé !
 -  Techniquement parlant, c’est lui qui as provoqué cette explosion... Il est blessé, mais ce n’est pas mortel. Et je ne veux pas que tu te retrouves sur le devant de la scène. »

Alice baissa la tête, silencieusement. En dernier recours, elle savait que c’était à Oberyn qu’il revenait de trancher, car il était le Commandeur, chargé de la surveiller... Et elle savait qu’il était énervé, énervé de voir que la Princesse avait parlé d’elle, négligeant les règles de sécurité instaurées par le Commandeur pour lui permettre de vagabonder librement.

« D’accord...
 -  Si cet homme veut conquérir Nexus, grand bien lui fasse, mais je ne veux pas t’exposer inutilement au danger. »

Les paroles de l’homme étaient pleines de sens. On pouvait déjà entendre des bruits de pas. Les ambulanciers s’occuperaient de l’homme, et elle faisait confiance au diagnostic de santé établi par Oberyn.

Konrad Pavelov

E.S.P.er

Re : Des élèves entreprenants [Corydon]

Réponse 35 jeudi 24 octobre 2013, 16:52:49

je senti quelqu'un d'autre en plus de nous deux, ce n'était pas un élèves.. je demeuré face contre terre, une petite flaque de sang a coté de ma bouche, comme si je bavais. Elle devait rentré chez elle, à.. Sylvendell? peut importe, elle s'inquiétait pour moi, une chose été sûr, j'avais été trop con en m'énervant. Je releva faiblement la tête et sourit du mieux que je pût.

-Le gorille en chemise à carreau a raison Alice, je dois seulement avoir le fois percés, ça se répare *tousse*, juste une chose, les devoirs que j'ai donné, fais les, je ramasserai..

je prononça ces paroles avec un derniers petit rire et je tomba dans les pommes.. Je les entendis partir eux, puis, un peu plus tard, quand l’incendie sembla être éteint, totallement éteint, j'entendis des bruits de pas.

-Là! un homme à terre!

je fut soulevé, j'était à demi conscient, je poussa un grognement en sentant que l'on me retiré ce qui m'avait perforé des organes et qui se révéla être un bon morceau de verre. Je fut transporté à l’hôpital, et me réveilla un ou deux jours plus tard, j'avais mal réagis a une anesthésie.. Le truc gênant fut que j'avais une gaule du matin qui semblait amusé une jeune infirmière venant vérifié mon état.   

-faites gaffes, ça peut vous faire mal.. dis-je, groggy les yeux à demi clos

L’infirmière gloussa et appela le docteur.

- Bonjour monsieur Escogriffe, vous vous sentez bien?

-Euh... Je.. oui, comment connaissez vous mon nom?

-[b]Votre employeur nous a fourni vos papiers, vous avez eu de la chance, ça aurait put être pire, la colonne n'a pas été touché de quelques millimètre
[/b]
Je souris en silence, je me demandé si Alice allait bien, je ne savait finalement pas si le type avec qui elle était parti n'été pas un dangereux maniaque.. c'est stupide, même à moi qui ne savait pas qui il été, il avait laissé une impression de quelqu'un en qui ont peut avoir confiance..

-Dites moi quand pourrais-je sortir? je doit enseigné l'histoire au lycée..

-Pas avant deux semaines monsieur fit la sensuelle infirmière que mon pénis faisait gloussé

-Oh comme c'est dommage

je lui lança un sourire taquin mais sans plus, me replongeant dans mon lit et fermant les yeux

le temps passa, un jour, deux, je reçus la visite de mon employeur qui me fit avec un aire faussement désolé que mon "diplôme" avait brûlé et qu'il fallait que je lui en fournisse un nouvel exemplaire.. comme c'est cosy.. je lui dit que je comprenais, et l’infirmière passa lui dire que les visites été terminé, elle m'apporta mon repas et la journée s’arrêta là, le lendemain, elle revint, pour la toilette, une fois dans la salle seul dans la salle de douche, nous baisâmes, ce fut agréable mais elle ne revint pas le lendemain, elle se serait fait mal au coxis en tombant, quand j’entendis ça, je ne put que me sentir flatté, mais je demanda à sa remplacente de bien vouloir lui dire que j’espérais qu'elle se remette bientôt, et j'alluma le poste de télévision et attendis la fin de la journée..
Je cicatrisais vite et bien, bientôt je pourrais revenir au lycée, et faire mes cours, d'ici deux jours tout au plus..
Je réfléchis a ce que m'avais dit Alice sur mon idée de démocratie, pour l'instant c'est vrai que c'est un peu extrême, mais pourquoi pas alors, une monarchie constitutionnel, petit à petit, la constitution laissera place à une république, oui ça me parut une bonne idée, c'est a médité..


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