Déjà vu [Ahri]

Après mon combat le médecin est descendu m'examiner. Il m'a rassuré, je n'avais rien de cassé et ça tenait du miracle vu le méchant coup que je m'étais mangé. Mon corps avait tout de même méchamment morflé et il me fallait un repos total, pas juste rester couché, vraiment dormir et longtemps, sans bouger. Il m'a injecté une sorte de drogue, un truc pour m'endormir et soulager la douleur, puis il est parti en verrouillant la grille de ma cellule pour que d'autres gladiateurs ne profitent pas de ma vulnérabilité. Sage attention de sa part, car un paquet de gens souhaitaient me voir crever ici. Dans un demi-sommeil dont je ne savais pas vraiment s'il était rêvé ou vécut, j'ai aperçu une femme derrière la grille.

"Je ne te voyais pas gagner, mon chou. Pourtant tu as bien réussi ton combat. J'espère qu'on se reverra... bientôt."

Le produit faisant déjà effet je n'ai pas pu répondre, mon corps était engourdit, mon esprit s'embrumait de plus en plus, ma vision se troublait. J'ai juste eu le temps de sentir ce sentiment agréable, je me sentais léger, troublé et le visage de cette femme s'est gravé dans ma tête. Même si je ne savais pas si elle existait réellement ou non. Je me suis mis à rêver. J'ai rêvé de la façon dont j'allai m'évader, je pouvais voir le début de mon plan échouer, me faire courser par les gardes pour finalement être acculé dans une ruelle et tué. Puis mon rêve s'est rembobiné dans ma tête, comme un film, à une intersection j'ai pris à droite au lieu d'aller à gauche comme la fois précédente. Et là, au détour d'une rue j'ai de nouveau vu la femme, elle m'ouvrait sa porte. Je suis rentré avec elle et les gardes ne m'ont pas trouvé, puis j'ai refais ce rêve, encore et encore, jusqu'à ce que chaque détail soit imprimé dans mon esprit.

Je me suis réveillé que trois jours plus tard, le médecin avait eut raison, je me sentais en forme et la douleur avait disparu. Je me suis levé et j'ai appelé un garde pour qu'il m'ouvre, j'allai m'échapper de suite. Plus tôt je serais dehors mieux ce sera.

"Non Garn. Ton propriétaire m'a dit de ne pas te laisser sortir jusqu'à ton prochain match. Il a dit qu'il serait très important pour ta carrière et qu'il avait misé beaucoup d'argent dessus. Il veut que tu te repose et que tu reste ici vu les enjeux."

J'avais vu juste, ce petit fils de pute cherchait à me faire tuer en public en affrontant un adversaire beaucoup plus fort que moi. Mais je n'étais pas comme ces minables qui se faisaient tuer au bout de trois jours sans réagir, j'avais déjà survécut jusque là et je n'allai pas me laisser tuer aussi facilement. J'ai attrapé le garde à la gorge et je l'ai soulevé du sol :

"Ouvre immédiatement ou je te tue. Ton boulot de merde ne vaut pas la peine que tu te sacrifie pour lui."

Le garde s’exécuta, pensant réellement que j'allai l'épargner. L'épargner, c'était prendre le risque de le laisser aller prévenir tout ses petits copains, un risque que je ne pouvais pas me permettre. Mais les gardes avaient toujours été corrects avec moi, donc ils auront droit à une mort rapide et sans douleurs. Sitôt la porte ouverte je lui ai brisé la nuque d'un geste sec, il est mort sur le coup, pas de douleur, pas de cri. J'ai pris ma hache et j'ai couru en direction de la porte qui donnait sur l'extérieur. Le garde de la porte m'a vu courir vers lui, c'était inhabituel donc au départ il ne savait pas comment réagir. Mais lorsque j'ai bondit sur lui hache en avant il s'est mis à gueuler.

"ON M'ATTAQUE !!! AU S..."

J'ai entendu des bruits de bottes derrière moi, l'arène était un vrai gruyère, si quelqu'un gueulait à un bout tout le monde dans le bâtiment l'entendait. Le temps qu'ils trouvent l'endroit exact d'où le cri venait et ils seraient ici, transmettrai à la garde de Nexus et même avec ma force ils seront alors trop nombreux pour moi. Chaque seconde que je perdais à chercher la bonne clé sur le trousseau me rapprochait un peu plus de la mort. Puis la grille s'est finalement ouverte, au même moment j'entendais un garde gueuler "Garn s'échappe !". Mais trop tard, à partir de maintenant ce sera la liberté ou la mort, plus de retour en arrière possible. Les rues étaient exactement comme dans mon rêve, je n'ai fais que refaire le chemin que j'avais déjà vu. Au bout du chemin j'aurai mes réponses : La femme dont j'ai rêvé était elle réelle ou pas ? Et quel était ce sentiment agréable que j'avais vaguement ressenti ?

Je suis arrivé à la maison en question, j'entendais les bruits de bottes se rapprocher, j'étais probablement encerclé et ils m'acculeraient bientôt. La femme n'était pas là, elle ne m'attendait pas dehors comme dans mon rêve mais la maison était identique. J'ai appuyé sur la clenche et comme la porte n'était pas verrouillée je suis entré. J'ai refermé derrière moi et j'ai entendu les gardes courir dans la rue à ma recherche, puis s'éloigner, persuadés que j'étais parti plus loin. J'ai commencé à explorer la maison, silencieusement. Bien que je m'attendais à tomber sur cette femme je ne savait rien d'elle. Et puis les rêves jouent parfois de sales tours, je ne pouvais pas m'y fier.

Ahri était à l'exterieur, discrètement, pour une fois. elle ressemblait à une fille venue du Mahgreb avec ses voiles fin permettant de distinguer le visage de la jeune femme, mais seulement lorsqu'on regardait fixement, elle était habillée différemment, aussi, et elle avait caché ses queues par magie, et ses oreilles avec un autre foulard qui masquait ses cheveux d'un noir de jais.  Elle avancais discrètement en ville, dans les bas fond, plus précisément. Dans ces quartiers, elle pouvait se faire attraper par une bonne vingtaine d'ivrogne qui n'hésiteraient pas à la pilonner et à repartir gratis. 

Alors que je cherchais un objet dont nul n'aurait la connaissance, il y eut soudain un mouvement d'effervescence. Cherchant d'où cela venait, j'entend qu'un guerrier, Garn, celui que j'ai vu il y a peu, s'est enfui...  Une intuition me pousse à rentrer, une sensation d'insécurité s'empare de moi tandis que le sort anti-intrusion me fait parvenir une alerte. Je me met donc à avancer aussi vite que mon corps d'humaine peut faire, passant à travers un mur où deux en utilisant Assaut Spirituel.

Quel idée idiote avait eu Ahri pour sortir sans fermer la porte? héhé... En réalité... Elle piègeait justement voleur et autres de cettes manière. Il entraient... Et ne pouvaient plus sortir. La porte se fermait devant eux et ne s'ouvrait que de la volonté d'Ahri. 
En tout cas, elle arrivait chez elle avant que des gardes ne rappliquent. Son voile était tombé, tout comme son foulard. ne restait plus que la tenue extravagante qu'elle portait encore quand soudain on hurla:
- Eh vous, arrêtez!

Une seconde de plus, et les gardes étaient devant moi.
Le premier garde était nerveux, trop nerveux. Le fait de parler à une terranide l'exédait. Le second était un habitué de la maison, c'était aussi le supérieur de la bande de Garde actuelle, il connaissait Ahri et ses pouvoirs, suffisamment pour savoir que la kitsune ne reculerait devant rien lorsqu'il s'agissait de vengeance. aussi parlait-il avec calme, et insistance pour la situation:
- Dame Ahri! Aurriez-vous vu un terranide Loup blanc courrir par ici? C'est un fugitif qui viens de tuer son geôlier. Pour la sécurité de tous, il doit être emprisoné.
- Je n'ai rien vu de tel.

Le second soldat fut bien plus méfiant. Il tenta de me repousser en disant:
- Tous les terranides sont pareils! Tu le caches chez toi et tu nous bernes par tes belles paroles.

Il donna un violent coup à la porte, s'il avait visé le bois, il brisa la vitre, mais la porte était close. Mais son geste me mis dans une colère noire. Changeant d'apparence en public, pour mon apparence d'origine, Je l'attrape par le bras avec deux de mes queues et le soulève à dix centimètre du sol. Lui hurlait:
- Lache moi, salope! Ou tu vas goûter de ma lame!
- Tu vas m'écouter avant de brailler comme un couillon! Lui répondais-je, réelement hors de moi. Je scelle ma porte de charme de protections anti intrus de ton espèce. Maintenant, tu viens de me briser une vitre! J'exige réparation!
- Lache moi tout de suite ou je jure de t'élargir le trou de balle avec mon sabre! Maudite cat...
- Il suffit, Murkoff! Tu en as assez fait!, puis il jeta à mes pieds une petite bourse remplie de pièces. veuillez accepter nos excuse, Dame Ahri. Cette bourse devrait être suffisante pour faire remplacer votre bien.

Lâchant le garde, je m'approche du 'chef' et lui glisse:
- Merci. ♥ Passe me voir quand tu veux, je te ferais gratuit, une seule fois. Déconseille en revanche à ton ... camarade, de repasser par ici. Il risquerais... gros.♥

Me rapprochant à nouveau de ma porte d'entrée, je rajoute:
- Je n'ai pas vu de terranide Loup blanc en arrivant. J'ai par contre entendu quelqu'un courir par là-bas. je montre l'autre ruelle, celle où n'imorte qui fuyant des gardes aurait normalement couru. Il a dû gagner du terrain, et la personne à blâmer est... là. Je montre le garde trop nerveux qui se tenait le bras. Il souffrait d'avoir été aussi malmené par une femme, mais il devait aussi faire fière allure, il se tiens vite en position. Puis, la cavalerie se mis à courir.

Désormais libre de soupçon, je me doutais de qui j'allait trouver à l'intérieur, et cela ne me dérangeais pas du tout... J'entre, puis scelle à nouveau la porte. créant un nouvel enchantement pour qu'a présent, le son ne filtre pas à travers la vitre brisée. Une fois en totale intimité, je dis:
- Je sais que tu es là. Mon alarme personnelle s'est enclenchée lorsque tu as ouvert la porte. J'ai envoyé les gardes ailleurs et je ne vais pas te manger... Ou peut-être un petit bout. ~♥

Attendant une quelconque réaction, je m'approche de lui, le repérant grâce à son âme.

Il n'y avait personne dans la maison et j'entendais les gardes qui s'attardaient autour, en plus je n'avais aucune assurance que le propriétaire serait de mon côté. Et si par miracle mon rêve était juste et que cette mystérieuse femme vivait bien ici, ça ne changeait rien. Je n'avais aucune assurance qu'elle décide de m'aider, pire et si elle disposait d'un pouvoir permettant de me manipuler pour me livrer à la garde ? Je ne pouvais pas me permettre le moindre relâchement, à la moindre erreur de ma part je serais soit tué dans la rue, soit arrêté et tué dans l'arène. Je n'avais pas eu une vie super intéressante jusque là et je ne connaissais rien du monde extérieur, mais je n'avais clairement pas envie de crever comme un vulgaire esclave. J'avais l'impression de prendre trop de risques en restant ici et si on avait fait en sorte que je fasse ce rêve pour me piéger ? Et si la fille travaillait pour un des types de l'arène ? Je l'avais croisée là bas après tout. Et si ... Je me suis arrêté en plein milieu de mon raisonnement. Ça me rappelait un gladiateur qui était devenu fou, sombrant dans la paranoïa à force de considérer tout les autres comme des ennemis. Au final il avait été tué parce qu'il n'avait eut personne pour le soutenir dans les moments difficiles. Il fallait que je me calme, que je prenne mon mal en patience.

J'ai entendu un garde arrêter quelqu'un devant la maison, puis un deuxième évoquer une certaine Dame Ahri. Le garde la soupçonnait de me cacher, si elle habitait bien ici il avait raison. Je me suis dis que ce garde était trop intelligent pour vivre vieux, nerveux mais malin le bougre. Quand il a explosé la vitre avec son pied je me suis rapidement caché derrière une cloison, tenant fermement ma hache, prêt à en tuer deux de plus et la femme avec si elle se montrait menaçante. Je tuerai autant qu'il faudra pour sortir de cette foutue cité en vie. Par chance la porte semblait protégée par quelque chose qui empêchait le garde d'entrer. S'en suivie une engueulade qui se conclue par la remise en place du garde nerveux par un garde plus raisonnable. C'est bien mes petits gardes, soyez bêtes, disciplinés et laxistes, ça vous sauvera la vie. Au moins cette petite scène a eut le mérite de montrer dans quel camp la femme se situait. Pourquoi la porte m'avait laissé rentrer sans problème et avait rejeté le garde ? Je ne croyais pas au hasard, ses petits sorts ont agis ainsi parce qu'elle voulait que ça se passe comme ça et pas autrement. Restait à savoir où se situait son intérêt à elle dans toute cette histoire, visiblement son intérêt était incompatible avec ceux de la garde de Nexus, c'était déjà un bon point pour elle. Elle est entrée puis a refermé la porte derrière elle et m'a adressé la parole. Inutile de rester sur la défensive, j'ai posé ma hache contre le mur et je me suis montré.

"Tu n'as pas peur qu'on nous entende ? À moins que tu ais utilisé un autre petit tour pour régler le problème ?"

Bien sûr qu'elle l'avait fait, c'était évident, elle avait l'air trop intelligente pour omettre un détail aussi important. Ce que je voulais savoir c'était en quoi consistaient exactement ses pouvoirs, histoire d'être informé à son sujet, au cas où.

"Je suppose que je dois te remercier pour avoir dégagé les deux andouilles dehors. Mais avant cela, une question me préoccupe, non deux questions plutôt. Premièrement jouons franc-jeu, qu'est ce que tu m'as fait exactement à l'arène quand j'étais allongé ? Je suis pratiquement sûr que c'était toi, que tu étais là et que tu m'as fait quelque chose. Et deuxièmement, dis moi si je me trompe mais tu n'as pas l'air d'être le genre de fille à aider un esclave à s'enfuir gratuitement. Combien va me coûter ton hospitalité, Dame Ahri ? Qu'attends tu de moi au juste ? En me cachant tu prends un gros risque et je refuse de croire que tu ferais ça sans une bonne raison."

Je n'avais aucune raison d'avancer masqué, autant avoir une discussion franche pour savoir à quoi s'attendre. C'était aussi pour lui montrer que je ne suis pas un crétin aisément manipulable et qu'elle devra elle aussi se montrer franche si elle veut obtenir quelque chose de moi. Je me suis un peu détendu et souriant, j'ai rajouté :

"Ah et, jolie tenue. Tu t'habilles toujours comme ça ou c'était juste pour m'accueillir ?"

- Tu n'as pas peur qu'on nous entende ? À moins que tu ais utilisé un autre petit tour pour régler le problème ?
- Tu n'as pas idée du nombre d'artefact utile à une magicienne en herbe comme moi♥ Celui que j'ai utilisé en dernier est une sort bloquant le son émis à l'intérieur.♥

S'il voulait savoir en quoi consistait mes pouvoirs, il n'était qu'à moitié servi. La plupart des sort réclamaient un artefact différent de mon orbe pour pouvoir être utile. Mais les sort que j'affectionne, comme séduction, s'utilisent sans aucun objet.

- Je suppose que je dois te remercier pour avoir dégagé les deux andouilles dehors. Mais avant cela, une question me préoccupe, non deux questions plutôt. Premièrement jouons franc-jeu, qu'est ce que tu m'as fait exactement à l'arène quand j'étais allongé ? Je suis pratiquement sûr que c'était toi, que tu étais là et que tu m'as fait quelque chose. Et deuxièmement, dis moi si je me trompe mais tu n'as pas l'air d'être le genre de fille à aider un esclave à s'enfuir gratuitement. Combien va me coûter ton hospitalité, Dame Ahri ? Qu'attends tu de moi au juste ? En me cachant tu prends un gros risque et je refuse de croire que tu ferais ça sans une bonne raison.

Je m'approchais doucement de lui, lentement. Je lui répondait calmement:
- Le sort que j'ai utilisé s'appèle séduction. je l'utilise pour charmer mes clients lorsqu'ils sont réticent, ou lorsque je veux qu'ils reviennent. J'ignore en revanche si les effets sont plus puissant lorsque le sujet est convalescent. J'imagique que oui, car tu es étonamment vite entré chez moi.
- Ah et, jolie tenue. Tu t'habilles toujours comme ça ou c'était juste pour m'accueillir ?

Je m'approchais encore, j'était presque au contact. je lui dit:
- Quand à ce que je demande... J'ai toujours aimé les beaux mâles musclés, je me demandais si ton endurance au combat se montre aussi... Au lit. ♥

Je le touche, cette fois. Passat ma main de sous sa mâchoire aux pectoraux saillants, puis sur son ventre, et enfin, sur son sexe, lequel commençait seulement à prendre forme.
- Tu es en sécurité pour autant que tu me satisferas. Cela te paraît à peu près convenable? ~~♥, lui soufflais je gentiment. Je voulais déjà qu'il m'attrape, mais restons courtois, s'il me demande où se trouve la chambre, je ne vais pas le manger par terre ♥

La renarde s'était rapprochée, peu farouche elle s'amusait à balader ses mains sur mon corps. Pour finir son trajet, petite perverse qu'elle était, sur mon sexe qui se réveillait doucement, comprenant la tâche qui l'attendait. Je me suis détendu, elle n'était clairement pas mon ennemie et en plus nous étions isolés du monde extérieur grâce à ses petits tours de magie. Je ne courrai plus aucun risque désormais et c'était grâce à elle, sans son sortilège j'aurai surement errè dans Nexus jusqu'à me faire tuer par les gardes. Si le seul prix à payer était de lui offrir mon corps ça me convenait tout à fait, surtout que la bougresse était plutôt mignonne et bien conçue. Et puis après tout, j'en avais l'habitude, j'avais passé ma vie entière à vendre mon corps à des petites riches mal baisées, dont la plupart n'étaient pas si belles que ça d'ailleurs. Donc une terranide aussi séduisante non, définitivement ça ne posait aucun problème, bien au contraire. Mes muscles, tendus, se sont relâchés progressivement, mes mouvements se firent moins nerveux, le sourire moins forcé, plus sincère.

"Oh ? C'est vraiment un prix à payer ça ? Si seulement toutes les dettes pouvaient se régler ainsi. J'espère que les intérêts de celle-ci seront salés, je pourrais y prendre goût."

Joueur, je me suis amusé à la faire reculer, ma main posée sur sa poitrine, accompagnant ses jambes en les poussant avec les miennes jusqu'à la presser en douceur contre le mur de derrière.

"Par contre, je suis un mauvais garçon vois tu. Je ne t'inviterai pas au restaurant, je ne te porterai pas jusqu'à ta chambre comme une princesse et je ne te préparerai pas ton bain chaud. Je ne suis qu'un pauvre mâle brutal qui préfère tringler ses femelles contre un mur. J'espère que ça te conviendra comme ça, Dame Ahri."

N'attendant pas vraiment de réponse de sa part, je me suis mis à genoux devant elle avant de retirer ce qu'elle portait en bas. J'ai placé mes deux bras entre ses cuisses, écartant tout cela avant de ramener ses jambes sur mes épaules. Ainsi assise sur mes bras son entre-jambes se retrouvait offerte à ma langue, je pouvais m'acquitter d'une partie de ma dette de cette façon, je ne pense pas qu'elle puisse y voir un inconvénient. J'ai embrassé son bas-ventre, descendant de plus en plus bas, puis j'ai ouvert ma gueule en grand, mordillant littéralement son entre-cuisses. L'intérêt de la manœuvre n'étant pas de mordre mais plutôt de lécher. Avec la gueule ainsi ouverte et ainsi placée je pouvais rentrer ma langue en elle et lui donner quelques petits frissons avant de passer aux choses sérieuses, un amuse-gueule dans tout les sens du terme. J'ai d'abord baladé ma langue autour de l'excavation rose et moite de la renarde, repérant avec malice les zones sensibles de la demoiselle. Puis, après l'avoir faite languir quelques instants, j'ai plongé ma langue à l'intérieur de sa mignonne petite chatte, m'amusant à explorer à droite, à gauche, à l'aveugle. De temps en temps je ressortais pour mieux revenir, j'arrêtais pour mieux reprendre, taquinant son joli corps.

Après quelques assauts victorieux dans cette grotte accueillante, je me suis retiré à dessein pour mieux en narguer la propriétaire :

"Je suppose que je vais pouvoir rester ici un moment."

Est ce que je parlai d'elle ou de la maison ? J'avais omis volontairement ce détail, la laissant imaginer ce qu'elle voulait, avant de reprendre mes caresses buccales.

Le terranide d'abord méfiant compris subitement les raisons pour lesquelle je l'aidais
- Oh ? C'est vraiment un prix à payer ça ? Si seulement toutes les dettes pouvaient se régler ainsi. J'espère que les intérêts de celle-ci seront salés, je pourrais y prendre goût.

Il me fait lentemet reculer, poussant sur les seins avec sa main, jusqu'à me coller au mur:
- Par contre, je suis un mauvais garçon vois tu. Je ne t'inviterai pas au restaurant, je ne te porterai pas jusqu'à ta chambre comme une princesse et je ne te préparerai pas ton bain chaud. Je ne suis qu'un pauvre mâle brutal qui préfère tringler ses femelles contre un mur. J'espère que ça te conviendra comme ça, Dame Ahri.

N'attendant pas ma réponse, il se met à genoux et me retire l'ample pantalon qui ne cachait rien d'autre que mon intimité déjà à nue. Je ne porte jamais de sous vêtement, c'est une perte de temps. Il me soulève ensuite en utilisant que sa force pour me force à m'asseoir sur lui. Il réalisait un de mes fantasmes, mais n'était pas vraiment habituée, j'essaie de me redresser vainement. Mon intimité désormais aux bras et à la langue de Garn. Puis, il embrassa mon bassin avant d'ouvrir grand sa gueule et de me manger le minou au sens propre. Si le détail estétique laissait à désirer, il se servait ainsi de sa langue de façon optimale, ce qui ne fut pas pour me déplaire. Peu après ses coup de langue rapides et puissants, je commençais déjà à mouiller, ne serait ce qu'un peu. S'il savait faire autant rien qu'avec sa bouche, lorsqu'il se servira de sa verge, j'arriverais peut-être enfin à jouir. Après quelques coups de langue supplémentaires, il rejette sa tête en arrière pour me dire:
- Je suppose que je vais pouvoir rester ici un moment.
- J'aime les bad boys... Surtout bien musclé. ♥, lui dis-je me penchant vers lui pour qu'il l'entende mieux. Mais déjà il était repassé à l'attaque, changeant toujours de positions de langue pour que je la sente mieux en moi. Hmm.~~♥ Oui, par là... Oh... ♥

Je commençais à répandre un peu plus de cyprine encore. Mais cela n'allait pas, il fallait qu'il devienne encore plus sauvage, qu'il me morde, s'il le veut, qu'il me prenne directement. S'il continuait, j'allais m'habituer et ce ne sera pas bon. Il réalisait une partie d'un fantasme, qu'il poursuive:
- Prend-moi... Vraiment. Je veux te sentir au fond de moi. Sois un vrai bad boy. ♥

Je commencais à l'envelopper dans mes queues. Tentant de faire tomber ses vêtements, pour voir si son sexe était bien tendu et assez long pour me satisfaire. Nul doute que je n'allais pas être décue, mais je voulais en même temps l'inciter à passer à l'acte plus vite...

"Prend-moi... Vraiment. Je veux te sentir au fond de moi. Sois un vrai bad boy. ♥"

Aussitôt dit, aussitôt fait. La renarde pensait surement que j'allai lui répondre quelque chose ou au moins finir avec ma langue. Et bah non ! Je me suis levé brusquement tout en laissant glisser les jambes d'Ahri sur les côtés. À la fois propulsée vers le haut et en train de tomber, elle n'avait pas d'autre choix que de me faire confiance pour la rattraper. Une fois à la bonne hauteur je l'ai fermement enlacée avec mes bras, plaquant son corps contre le miens. J'ai laissé ses queues me déshabiller complétement et lorsque cela fut fait je l'ai prise, comme elle l'avait demandé. J'ai laissé mon sexe gonfler en elle, ne bougeant pas durant quelques secondes le temps qu'il grossisse suffisamment. Puis j'ai lentement reculé mon bassin jusqu'au maximum que je pouvais atteindre, la faisant volontairement languir. Et enfin j'ai brutalement enfoncé mon membre jusqu'au fond. Elle pensant surement que j'allai la prendre vraiment maintenant, mais non, je voulais me faire désirer, la faire tourner en bourrique. J'ai continué ainsi, me retirant lentement avant de la pénétrer brutalement, jusqu'à ce que je sente le moment idéal pour me lâcher réellement.

Son corps s'est finalement décidé à me donner le feu vert pour les choses sérieuses. Mes va et vient se sont fait plus réguliers, plus puissants, mais surtout beaucoup plus rapides. Elle montait et descendait au rythme de mes coups de butoirs, ballotée comme si elle ne pesait rien. Pendant ce temps là je l'embrassai sauvagement, mordant ses joues, ses lèvres, son cou. Petit à petit j'ai pu sentir son vagin se remplir de mon sperme, regardant avec satisfaction quelques gouttes s'échapper et aller tâcher le sol. J'ai progressivement continué d'augmenter la rapidité et la puissance des vas et viens, jusqu'à ce que je sois tout simplement au maximum de ce que j'étais capable de faire. Je suis resté ainsi quelques temps, me lâchant totalement sur elle, après tout elle l'avait demandé si gentiment.

Le truc bien avec elle, c'est que je sentais que je pouvais y aller à fond sans avoir peur de la blesser, je n'avais pas besoin de me retenir. Donc j'ai totalement lâché prise, la baisant simplement sans me préoccuper de quoi que ce soit, me jurant à moi-même que j'allai la pilonner jusqu'à ce qu'elle jouisse. Petit à petit j'ai senti ma propre jouissance arriver, pour finalement lever la tête du plafond et hurler :

"AAAOUUUUUUUUUH !!!"

J'ai ralentit progressivement, finissant en douceur, attendant que mon membre rétrécisse. Puis je l'ai retiré, laissant dégouliner tout le sperme qui s'était stocké en elle au sol. Je l'ai reposée par terre, lui rendant sa liberté de mouvement. Je lui ai alors murmuré à l'oreille :

"Je suis très loin d'être fatigué tu sais. Mais j'ai été vraiment méchant en ne te laissant pas bouger aussi longtemps. Alors maintenant que j'ai joui utilise mon corps comme bon te semble petite renarde. Fais tout ce que tu veux, tu peux même réutiliser séduction sur moi si tu en as envie, je me laisserai faire."

- Prend-moi... Vraiment. Je veux te sentir au fond de moi. Sois un vrai bad boy. ♥

Sa réponse ne se fit pas attendre. Il me souleva à nouveau, pour me faire retomber en même temps. Désormais debout, il attendais que je finisse de le déshabiller, après quoi il me pénetra sans même attendre que sa queue soit complètement tendue. Je la sentait gonfler en moi, attendant de voir une réaction sur mon visage. Ce qu'il pouvait voir était un sourire, je souriais de son originalité. Il se retirait lentement, comme s'il allait partir tout de suite, alors que je le retenais de mes queues. Mais il revient à la charge avec force, avant de recommencer son manège. Se retirant lentement, s'enfonçant brutalement. Puis, après quelques minutes de jeu, il
se lança vraiment. Allant plus vite, plus fort... Il commençait vraiment à me faire plaisir. Puis, il allat le plus rapidement possible, si mon corps ne tenais pas le rythme, que j'haletais de plus en plus, il était encore loin de me faire jouir, ce qui n'était pas son cas. sa semence commencait à me remplir tandis qu'il continuait encore ses va-et-viens, son sperme dégoulinait sur mes cuisses tandis qu'il hurlait. Heureusement que le charme anti son l'avait bloqué, sinon, des gardes auraient pu arriver sur le champ pour voir la "dame" Ahri dans son métier avec un criminel tout frais.  Tandis qu'il se retirait, le sperme s'échappait un peu de moi, il avait bien rempli mon antre pour que j'en laisse s'échapper ainsi, d'habitude tout rstait en elle. mais même si j'étais haletante, j'étais loin d'être satisfaite. C'est tout? Il me prend sauvagement cinq minutes et se déleste librement pour finir sur cette note? Hors de question pour moi, qui voulais le faire bander à nouveau, qu'il me reprenne à nouveau. Il était bien parti, alors pourquoi s'arrêter au décollage. puis, il s'approcha et dit:
- Je suis très loin d'être fatigué tu sais. Mais j'ai été vraiment méchant en ne te laissant pas bouger aussi longtemps. Alors maintenant que j'ai joui utilise mon corps comme bon te semble petite renarde. Fais tout ce que tu veux, tu peux même réutiliser séduction sur moi si tu en as envie, je me laisserai faire.
- Oh, c'est très... gentil. ♥

je me lève, "sans mal" pourrait noter garn. La réalité était que je n'étais qu'a peine entamée. Il avait été surprenant, mais pas assez pour me faire chanceler. Prenant mon orbe, je l'amène près du sol taché de sperme et l'active. L'orbe aspire le foutre sans en laisser un bout, mieux, l'orbe me lavait de tout le sperme que j'ais encore en moi, me laissant ainsi comme si rien ne s'était passée, à peine échauffée. Je lui dit:
- Montre toi aussi sauvage que ça ... Une fois dans le lit, et tu auras peut-être la chance de me voir jouir ♥

J'entraine donc garn jusqu'à la grande chambre, et une fois sur le lit, j'ôte mes vêtements, et une fois entièrement nue, je me met à quattre pattes sur le lit, intimité légèrement rougie et entièrement visible pour garn, toute queues écartées et rapprochées de mon cou, telle une chatte devant le matou. Remuant le bassin de gauche à droite, je lui dit:
- Qu'est ce qu'une petite renarde peut bien faire face au grand méchant loup? ♥

Sincèrement, si cette petite mise en bouche avait suffi à la fatiguer je dois avouer que j'aurai été déçu. Au moins ça me changeait des petites bourgeoises qui se fatiguaient dès la fin des préliminaires. J'aurai juste apprécié qu'elle s'occupe de mon sperme avec sa langue, plutôt qu'avec son espèce d'orbe qui avait tout fait disparaitre comme par magie. Mon orgueil de mâle aurait été flatté d'au moins laisser une petite trace blanche sur le parquet et qu'elle joue un peu avec. Elle semblait vouloir plus tout de suite, donc inutile de la contrarier j'allai tout simplement lui donner ce qu'elle voulait.

Je l'ai suivie jusque dans la chambre, charmé par sa pose sur le lit et son invitation. Mais je ne l'ai pas rejoins de suite, prenant un ruban blanc laissé sur une chaise pour le nouer autour de la base de mon sexe. J'ai serré le plus fort possible, le but étant de m'empêcher de jouir jusqu'à ce qu'il soit retiré. C'était assez dur à supporter pour le mâle, le sperme s'accumulait dans les testicules et provoquait des sensations agréables mais douloureuses. L'intérêt étant surtout de pouvoir baiser jusqu'à l'épuisement.

"On va jouer à un petit jeu. Tant que ce ruban est noué autour de ma queue je ne pourrai pas jouir, que le premier a être à bout de force tire dessus pour libérer tout mon sperme d'un coup. Le perdant devra obéir au gagnant pendant toute la journée de demain ! Ah et, concernant le méchant loup, c'est malheureux mais je crois que la petite renarde va se faire ..."

J'ai sauté sur le lit, me mettant à quatre pattes au dessus d'elle.

"... dévorer toute crue !"

Sans plus de cérémonie j'ai enfoncé mon sexe entre ses fesses, commençant de rapides vas et viens. En bon joueur je jouai l'objectif, la fatiguer, j'allai la crever comme aucun mâle ne l'avait jamais crevée avant moi. Je me suis mis à mordre sa nuque suffisamment fort pour laisser une légère marque, avec une main sur son épaule pour qu'elle ne puisse pas s'en défaire et une main sur son ventre pour la coller contre mon corps. Puis j'ai mis tout mon poids sur elle, la forçant à se coucher sur le ventre. Je l'écrasai sous mon corps, ainsi contrainte elle ne pouvait pas respirer comme bon lui semblait, l'oxygène allait devenir très précieux pour elle. Le manque d'air accentuait le plaisir et je me plaisais à penser que mon agressivité aussi devrait la stimuler. C'était plus sauvage que tout à l'heure, plus brutal. Lentement, ma main sur son ventre est descendue pour que je puisse m'amuser à faire glisser mes griffes le long de sa fente humide, rentrant de temps à autre le bout d'un doigt entre ses jolies cuisses. Parfois je la piquait avec la pointe d'une griffe, puis je traçai une petite ligne avec avant de recommencer, puis de titiller son sexe. Je pouvais déjà sentir que son oxygène lui manquait, mais tant qu'elle ne tirerait pas sur le ruban pour se libérer je ne lui ferai aucun cadeau. En attendant je prenais mon pied, je savais déjà que j'allai gagner et j'avais hâte de la voir épuisée, haletante tandis qu'elle recevra une seconde tournée de foutre chaud.

En toute honnêteté, s'il s'occupait des petites humaines de la même façon qu'avec moi, je ne suis pas surprise qu'elle étaient crevé de fatigue après le premier assaut. Garn déployait une rare puissance lorsqu'il s'agissait de combler une femme.  Mais s'il était déçu de ne pas me voir toucher son sperme, il n'avait qu'a garder son membre droit. Je ne voulais pas lui donner cette récompense si son membre jouait au faignant. Cependant, si j'avais effacé le sperme, cela n'était vrai que sur mon corps et le sol, Garn avait encore le bout de la queue remplie de sperme.

Il m'a suivi tranquillement, mais au lieu de me sauter dessus immédiatement, il est allé cherché un ruban et se l'est noué sur la verge. Je ne comprenait absolument pas le but de sa manœuvre...
- On va jouer à un petit jeu. Tant que ce ruban est noué autour de ma queue je ne pourrai pas jouir, que le premier a être à bout de force tire dessus pour libérer tout mon sperme d'un coup. Le perdant devra obéir au gagnant pendant toute la journée de demain !

Je le regarde, toujours sous la pose tendancieuse, et je lui dit, d'une voix neutre:
- ça va te gêner pour bander... ~♥
Ah et, concernant le méchant loup, c'est malheureux mais je crois que la petite renarde va se faire ...

Le membre bien tendu cette fois, il me grimpe dessus et me domine totalement:
- ... dévorer toute crue !

Et tandis qu'il commençait à me baiser, je me mettais à sourire. Enfin, ça se passait comme j'aurais voulu, il me baisait comme une chienne. Puis, sans prévention aucune, il me mord à la nuque et me retiens avec une de ses main sur le cou, et sur le bas ventre. Il tentait de m'aplatir comme une crêpe, ce qui dans ce lit, s'avère plutôt inutile, le matelas si doux que l'on s'y enfonce sans plus. Il jouait l'effort et cela se sentait.
Tandis que l'air dans mes poumons se raréfiait, je tente de gonfler les muscles au niveau du coup pour parvenir à garder un certain calme dans la situation, enfin, surtout, pour tenir le rythme sous ses assauts. Il allait devoir me mériter pour bien se déverser sur et en moi.  La seule chose que je peux faire, c'est de tenter de lui faire subir la même chose, en enroulant une queue sur son cou et en serrant du mieux que je peux. De mes autres queues, je l'incite à continuer. L’excitation montait, mais nous étions encore loin de l'orgasme... Pour moi peut-être.

J'ai senti que quelque chose n'allait pas, que quelque chose n'était plus comme avant chez moi. Être le brave toutou de petites bourgeoises m'avait ramollit, j'avais perdu une partie de ce qui faisait autrefois de moi un mâle dominant. Lentement je sentais cet instinct revenir, Ahri semblait bien plus expérimentée que mes partenaires habituelles et elle ne se contenterait pas d'un loup castré par l'esclavage. Voir qu'elle ne cédait pas immédiatement comme les autres me redonnait une partie de mon ancienne rage, je voulais la faire plier, la soumettre. Tout en la pilonnant je réfléchissais et elle devait bien sentir que j'avais la tête ailleurs. Quand est ce que j'avais cessé d'être un loup pour devenir un chien ? Je ne m'en étais même pas aperçu jusqu'à maintenant, mais la captivité avait fini par me rendre faible. J'avais tellement pris l'habitude d'être tenu en laisse que je m'étais moi-même noué ce stupide nœud autour de la bite. Depuis quand avais-je besoin de ce genre de jeux débiles pour faire jouir une femme ? Fut un temps où j'aurai sauté sur Ahri pour la violer bien avant qu'elle ne me le propose.

"C'est totalement stupide !"

Je me suis relevé derrière Ahri, puis j'ai retiré mon sexe de son anus. Brutalement je l'ai retournée comme on retourne une crêpe et j'ai remis mon sexe là où était sa place, entre ses cuisses. D'un coup de griffe j'ai tranché le ruban, laissant mon sperme s'écouler dans son vagin. Pour finir je lui ai saisi la gorge, serrant fermement cette dernière, lui laissant tout juste assez d'air pour rester consciente. Je me suis penché pour lécher et mordiller sa poitrine, tandis que de ma main libre j'enfonçai deux doigts dans son anus déjà bien élargit. Je me suis mis à aller et venir brutalement. De temps en temps je retirai mes doigts de son cul pour lui mettre une fessée. Mon regard avait changé aussi, je ne la regardai plus en riant stupidement, je la regardai comme un mâle regarde sa femelle lorsqu'il la baise. Je me sentais réellement libre pour la première fois de ma vie. Tandis que je l'étranglai toujours j'ai collé ma bouche à la sienne, l'embrassant fougueusement tandis que son corps se soulevait au rythme de mes coups de rein. Envouté par son corps j'étais en train de redevenir ce que j'aurai toujours dû être, une bête brutale et dominante.

j'avais pas vu que tu prenais Ahri par le Q. J'aurais du écrire autre chose, normalement.

Quelque chose commençait à chaner en Garn, ses assauts devenaient plus féroces encore. Puis, après m'avoir relachée, il dit:
- C'est totalement stupide !

Il retira sa queue de mon cul. Pendant un instant je me suis demandée s'il avait voulu perdre. Puis il me retourne sans mot dire et recommence à planter sa queue dans ma chatte. Une fois ça fait, il arracha de lui même le ruban qu'il avait noué sur son sexe, laissant une nouvelle fois du sperme tout chaud se déverser en moi.  Enfin, il décida de reprendre sa strangulation, cette fois en tenant bien ma gorge pour tenter de m'étouffer sous sa puissance et que je me soumette à lui. Il enfonçait aussi quelques doigts dans mon cul sans ménagement. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il savait faire monter la barre du plaisir, mais peut-être un peu trop violement. Tandis qu'il me baisait ainsi, il m'embrassa sans retenue. La gueule de loup contre mes lèvres plus humaine. 
C'est quand j'ai vraiment eu du mal à respirer que je le repousse de mes queues, pas tout son être, non, je repoussais son buste, pour qu'il finisse par lacher ma gorge. Une fois celle-ci libérée, j'enroule une queue sur mon cou, par pur instinct de protection. Haletant, je lui dis:
- Je t'ai demandé... De me baiser, pas... De me tuer. ♥

Toujours sous l'assaut de ses coups répétés, je commence à gémir. Il fait très fort... Peut -être pourrait-il me faire jouir?