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Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

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Fortune

La ville de Natalis pourrait être considérée comme un havre de paix en comparaison du reste d'Ashnard. La bourgade, depuis plusieurs décennies, a été relativement épargnée par les conflits qui ont déchiré à mainte reprises le pays. Une activité économique y a donc fleuri, petit à petit, et c'est tout naturellement que le marchand à la fortune grandissante, Ozélius Landevin, décida de s'y établir en compagnie de sa femme, Élise. Leur demeure ne dénote pas des autres habitations des environs, malgré sa taille relativement imposante. Une façade tout ce qu'il y a de plus sobre, sur deux étages, faisant l'angle de la rue. C'est Élise qui avait insisté pour que son époux choisisse cette maison. Elle était habituée à avoir de l'espace, et l'idée d'être enfermée dans une toute petite habitation urbaine lui plaisait peu. Et même si payer cher pour une grande maison dans laquelle ils ne vivraient de toute façon qu'à deux ne plaisait pas vraiment à l'homme d'affaire, celui-ci n'a jamais pu refuser grand chose à sa belle.

La porte d'entrée de la demeure donne sur un large couloir, flanqué de chaque côté d'une paire de portes et donnant, tout au fond, sur un escalier. La première porte à gauche mène à une cuisine, contenant plusieurs marmite, un énorme buffet, un plan de travail et un four, dans laquelle Élise s'active, et dont elle a ouvert l'unique fenêtre pour ne pas mourir de chaud. Elle porte une robe beige quelconque, par dessus lequel elle a enfilé un tablier blanc, et a attaché ses cheveux en un énorme chignon derrière sa tête. Sa tarte aux pommes est au four, presque prête à être servie pour son mari. Comme il est dans les environs de dix-sept heures, celui-ci ne devrait pas tarder à rentrer, et elle l'attend avec une certaine impatience. Le temps, particulièrement ensoleillé pour un mois d'avril, la met d'excellente humeur. Elle ne doute pas que son époux appréciera de déguster sa tarte après une journée passée à négocier avec des grippe-sous. Peut-être même qu'elle et lui passeront le reste de la soirée seuls tous les deux, les volets fermés. Du moins elle l'espère, car cela fait un moment qu'elle et son homme n'ont pas jeté toutes leurs forces dans un devoir conjugal enflammé, et aujourd'hui elle s'y sent d'humeur.

Non, vraiment, la soirée s'annonce plaisante.

Malheureusement pour la belle et tendre jeune femme, sa petite vie tranquille et sans histoire allait vite changer. Lorsque la porte d’entrée s’ouvrit ce fut pour être refermée sèchement quelques instants plutôt et elle put entendre son mari gémir et protester dans le hall d’entrée. Visiblement quelque chose n’allait pas.

Quelques instants plus tard le marchand entra dans la cuisine ou plutôt il fut poussé avant de s’étaler pitoyablement sur le sol en gémissant. Ozéluis avait les bras solidement ligotés dans le dos et s’était visiblement fait tabasser au vu des bleus et autres traces de coup qu’il portait sur le visage.

La personne qui l’avait poussé était un étranger aux longs cheveux blancs et à la peau sombre. L’intrus avait l’allure d’un chevalier d’une certaine richesse, il était vêtu d’un chapeau à plumes et d’un élégant manteau noir finement décoré et portait un plastron de métal brillant décoré d’une gemme rouge.

Ses yeux jaunes lui donnaient un aspect exotique et terrible à la fois et à son flanc pendant une élégante épée batârde à la garde finement ouvragée avant une poignée incrustée d’argent, même le seigneur de Natalis n’avait pas si fière allure et ce guerrier énervé laissait présager de sérieux ennui pour Elise et son mari.

Malgré son entrée des plus cavalière, l’inconnu salua la pauvre demoiselle qui devait être choquée et trop surprise pour réagir. Le guerrier bien que de mauvaise humeur n’avait pas l’air agressif et engagea la conversation. "Bonjour madame et désolé pour le dérangement, je ne vous veux pas de mal et suis juste ici pour régler une affaire impliquant votre mari. Figurez-vous que ce vil coquin m’a causé du tort et … "

Le gentilhomme fut toutefois cassé dans son explication par le mari de la blonde qui lui lança un avertissement. "Ne l’écoute pas mon coeur, c’est un démon. Il … ouch "

Le pauvre marchand fut un interrompu par son ravisseur qui lui flanqua un bon coup de pied dans le ventre pour le faire taire, Kabraxis était en colère et il n’aimait pas entendre chialer cette petite frappe qui avait cru pouvoir le rouler, un fois le marchand réduit à gémir le démon se contenta de dévisager Elise un instant.

La femme du négociant arnaqueur était cependant aussi belle que les villageois lui avait dit avec de courbes généreuses et une peau lisse comme celle d’une pèche. Bien que sa coiffure et son tablier ne la mettait pas vraiment en valeur le démon avait toujours adoré trousser des petites servantes et il sentait déjà qu’il allait bien s’amuser avec ce couple-là.

D’un ton fier et moqueur il se moqua de son prisonnier tout en expliquant la situation à sa très belle femme, laquelle se montrerait sans doute raisonnable devant un guerrier armé et menaçant.

" Un démon que tu as tenté d’arnaquer pauvre idiot ! Sois content que je ne t’ai pas écorché sur le champ après que tu m’ais supplié de t’épargner en disant que tu avais de l’argent et une belle femme que je pouvais prendre en échange de te laisser la vie sauve.  Je vois que tu n’as pas mentis sur la beauté de ton épouse, maintenant voyons si elle est compréhensive et prête à payer de sa personne pour te sauver la mise manant !

Chère Elise, je vous déconseille vivement de vous enfuir ou d’appeler au secours. Nous allons calmement régler cette affaire sans nous énerver davantage et votre mari s’en sortira sans plus de mal. Il serait dommage qu’elle ravissante femme comme vous devienne veuve n’est-ce pas ?"
« Modifié: lundi 05 août 2013, 17:08:10 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Tandis qu'elle en est à anticiper leurs jeux, elle entend soudain la porte d'entrée claquer avec une violence inhabituelle, puis des cris de protestation ; c'est son mari. Un mauvais pressentiment l'envahit à juste titre, et elle commence déjà à se diriger vers la porte lorsque celle-ci s'ouvre brutalement, laissant apparaitre son mari, suivit d'un deuxième homme à l’allure effrayante. Le premier est jeté au sol sans ménagement par le second. Son visage est tuméfié comme s'il avait été passé à tabac. Élise sent un frisson glacé la parcourir de haut en bas, tandis que le monde autour d'elle perd sa stabilité. Terrifiée, désorientée, elle fait un pas en avant vers son aimé, mais s'arrête net lorsque le ravisseur se met à parler.

"Bonjour madame et désolé pour le dérangement, je ne vous veux pas de mal et suis juste ici pour régler une affaire impliquant votre mari. Figurez-vous que ce vil coquin m’a causé du tort et …
-Ne l’écoute pas mon coeur, c’est un démon. Il … ouch "


L'homme en noir vient de porter un coup de pied au ventre de son époux à terre ; les larmes lui montent aux yeux, elle peine à respirer, mais essaie quand même de se concentrer sur ce que lui dit l'inconnu.

" Un démon que tu as tenté d’arnaquer pauvre idiot ! Sois content que je ne t’ai pas écorché sur le champ après que tu m’ais supplié de t’épargner en disant que tu avais de l’argent et une belle femme que je pouvais prendre en échange de te laisser la vie sauve.  Je vois que tu n’as pas mentis sur la beauté de ton épouse, maintenant voyons si elle est compréhensive et prête à payer sa personne pour te sauver la mise manant !

Chère Élise, je vous déconseille vivement de vous enfuir ou d’appeler au secours. Nous allons calmement régler cette affaire sans nous énerver davantage et votre mari s’en sortira sans plus de mal. Il serait dommage qu’elle ravissante femme comme vous devienne veuve n’est-ce pas ?"


Trop d'informations lui parviennent d'un coup, elle ne sait quoi penser. L'homme aux cheveux blancs doit mentir, son mari n'est pas malhonnête, et surtout jamais il ne l'offrirait de la sorte... ce personnage est malfaisant, tout chez lui l'exprime, de ses vêtements noirs à ses yeux jaunes.

"N..non..."
est tout ce qu'elle arrive à dire. Difficile de savoir à quoi elle répond "non", elle même n'en est pas très sûre. Il s'agit certainement d'un "non" qu'on pourrait développer en quelque chose comme "Vous êtes un menteur, vous n'avez pas le droit, laissez mon mari, sortez de chez moi".

Une odeur de brulé parvient soudain à ses narines ; portée par la force de l'habitude, elle se saisit de deux épais torchons, les mains tremblantes, et ouvre la porte du four dont elle sort sa tarte aux pommes. Elle la pose sur sa table de travail, soigneusement. Trop cuite. L’exécution de ce geste lui a cependant rendu quelque peu ses moyens, et elle arrive à nouveau à penser plus clairement. L'inconnu est en colère contre son mari, et il est dangereux. Elle doit le calmer à tout prix. Elle lui parle d'une voix suppliante, tordant nerveusement son tablier entre ses mains.

"S'il vous plait... je... c'est surement un malentendu... nous vous dédommagerons... chéri, dis lui !"

Elle crie presque cette dernière phrase, un semblant de désespoir dans la voix : il est évident que son mari a déjà tenté de régler le conflit de la sorte.

La réaction de la belle blonde fut agréable à voir pour un démon aimant effrayer ses victimes, voir la douce Elise hésiter à venir aider son mari attaché pour ensuite se figer de peur et commencer à frissonner c’était tout simplement grisant pour un fils des enfers. La pauvrette semblait traumatisée par la situation et sous le choc de voir son cher époux ligoté et tabassé par un guerrier menaçant qui n’avait rien d’humain.

Un vieux démon appréciant la manipulation et les complots comme Kabraxis était depuis longtemps devenu un expert en psychologie à force de duper et menacer ses victimes. Le faux chevalier avait évidemment mentis sur une partie de l’histoire. Landevin avait bel et bien tenté de l’escroquer en lui vendant du matériel de piètre qualité comme neuf et le rusé démon avait évidemment rapidement décelé la supercherie de l’humain.

Le marchand ne l’avait pas supplié de l’épargner comme une tantouze et avait même vivement protesté quand le noble avait eu l’idée de se rendre à sa demeure pour se dédommager en exerçant un droit de cuissage sur sa douce épouse. Toutefois cela et les protestations d’Elise importaient peu car démon avait déjà décidé qu’il passerait la nuit avec cette ravissante et désirable demoiselle, rien qu'en la regardant.
 
Abuser de cette magnifique blonde sous les yeux de son mari cocu et impuissant serait un vrai plaisir pour le fils des enfers, après tout il était un monstre infernal et les humains n’étaient rien d’autres que des jouets destinés à le servir. Il serait déjà bien assez magnanime de laisser une chance à la donzelle de sauver la vie de son époux en se montrant coopérative tandis qu’il la violerait, certain démons avides de sang aurait déjà massacré le marchand sous les yeux de sa femme avant de réduire cette dernière à l’esclavage.

Kabraxis d’ailleurs clairement exposé la situation à la donzelle qui allait devoir calmer son ravisseur en lui ouvrant sa couche si elle voulait qu’il soit assez gentils pour les laisser en vie une fois qu’il aura bien profiter de son joli petit cul. Elise commença par dire Non comme pour tenter de nier ce qui lui arrivait puis elle commença à implorer le démon et lui proposer un dédommagement pour plus grand plaisir de ce dernier.
 
Réalisait-elle qu’elle allait être le dédommagement en question ou n’avait-elle pas voulu entendre qu’il avait sous-entendu qu’elle allait devoir forniquer avec un démon pour qu’il l’épargne.

« Mais j’y compte bien que vous me dédommagiez avec votre joli cul ma belle. Nous allons monter dans votre chambre ou je vous prendrais devant votre crapule de mari qui a bien mérité de finir cocu ! Soyez gentille et je serais doux sinon je me contenterais de vous violer comme une chienne compris ?» Dit le démon en ricanant avant de donner une tape sur les fesses de la jeune femme.

Le démon ramassa ensuite le pauvre marchand ligoté pour le jeter sur son épaule comme un vulgaire sac à patate et saisit Elise par le bras pour la trainer vers l’escalier qui menait à l’étage, sa force démoniaque était terrifiante et la blonde ne tarderait pas à réaliser qu’elle et son mari étaient à sa merci. Elle allait devoir se montrer soumise et salope pour qu’ils s’en sortent ...
« Modifié: lundi 05 août 2013, 17:52:26 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

« Mais j’y compte bien que vous me dédommagiez avec votre joli cul ma belle. Nous allons monter dans votre chambre ou je vous prendrais devant votre crapule de mari qui a bien mérité de finir cocu ! Soyez gentille et je serais doux sinon je me contenterais de vous violer comme une chienne compris ?»

Élise reste figée, d'abord étrangement plus outrée par la crudité des mots du guerrier que par le fond de son propos. Elle le regarde, sans rien dire, la bouche mi-béante, et le laisse approcher, trop effrayée pour faire le moindre mouvement. Il lui met alors une petite claque sur les fesses, qui lui fait faire un bond en arrière, le dos vouté et les bras protégeant sa poitrine, comme recroquevillée sur elle-même. A son grand soulagement, l'homme ne va pas plus loin ; il s'en retourne à Ozélius qu'il souleva et jette sur son épaule comme si celui-ci ne pesait pas plus lourd qu'un enfant. La femme comprend, horrifiée, que son mari ne parlait pas au sens figuré ; il s'agit certainement d'un vrai démon. La créature lui saisit alors le poignet et l'entraine vers les escaliers.

"Arrêtez !... LACHEZ MOI !!"


Elle a beau se débattre, tirer de toute ses forces en geignant, il l'emporte avec lui, implacable. Alors qu'il l'a déjà forcée à gravir la moiter des marches, ses vaines résistances lui font perdre l'équilibre : elle tombe et sa cuisse droite heurte douloureusement une arrête de pierre tandis qu'elle pousse un cri de douleur. Le démon, imperturbable, continue de monter, la forçant à se rétablir tant bien que mal. Elle abandonne finalement la lutte et le suit en boitant, chaque contraction des muscles de sa cuisse lui faisant souffrir le martyr.

Les escaliers mènent à un deuxième couloir, au plancher cette fois en bois, percé de chaque côté par trois portes. Ces six portes menant respectivement à la chambre à coucher des tourtereaux, au bureau du marchand, à deux chambres d'invités et à deux pièces laissées vides.

"Ozélius..."


Élise cherche le regard de son amour, qui détourne les yeux et se contente de regarder le sol, un air fermé sur son visage boursoufflé. Elle commence seulement à réaliser à quel point ils sont tous les deux impuissants face à cette brute, sans aucune issue disponible pour fuir. Ils sont complètements pris au piège, dépendant de la volonté de cet être malveillant.

Le spectacle de cette nunuche blonde outragée qu’il lui ait mis la main aux fesses et qui tentait vainement de se débattre en réalisant son impuissance face à un démon était des plus plaisants, c’était ce qu’il y avait de mieux quand on violait les humaines. Le moment où elles réalisaient qu’elles étaient belle et bien piégées sans autre choix que passer à la casserole, être obligées de forniquer avec des démons lubriques qui les traitaient la plupart du temps comme des chiennes.

Des fois elles résistaient, certaines plus que d’autres mais c’était évidemment inutile face à un démon doué dans l’art de la débauche les soumettant à la tentation de s’abandonner à ses délicieuses caresses. Pour tous dire Kabraxis ne violait pas souvent des femmes parce qu’il n’avait pas vraiment besoin de ça pour les soumettre et les pervertir mais une fois de temps en temps ce n’était pas si mal. Surtout quand il y avait le mari humilié pour regarder. Faites le mal mais faites le bien qu’il disait … .

La blonde finit par se cogner dans l’escalier et le démon du ralentir l’allure car elle boitait un peu de douleur, ils arrivèrent néanmoins devant des chambres que le démon ouvrit toutes pour s’assurer que personne ne s’y cachait pour ensuite filer chercher de l’aide pendant qu’il batifolerait.

Visiblement ce couple aimait le luxe car ils avaient une grande maison et pas d’enfant, ni de parents vivants avec eux. Cela faisait un point commun entre Elise et le démon un des seuls en vérité car elle était aussi gentille qu’il était cruel et aussi naïve qu’il était manipulateur.

Le démon finit par entrer dans la chambre du couple en poussant la donzelle sur le lit puis il déposa son mari sur la chaise dans un coin et entreprit de l’y attacher avec une cordelette sortie de sa poche sans quitter du regard la femme qui sanglotait allongée sur le lit. Puis il ramassa un foulard qui trainait et bâillonna Ozéluis avec. Pour qu’il ne les dérange pas durant ce qui allait suivre à savoir le viol de son épouse sur qui le démon porta son attention.

"Nous y sommes ma jolie, laisses-toi faire et ce sera agréable, je n’ai pas envie de t’esquinter ma beauté. Restes tranquille que je te câline." Dit il en lui caressant la croupe tel un guerrier victorieux revendiquant son butin.

Sur ces belles paroles le démon se posa sur le bord du lit et vient doucement défaire le chignon de la blonde en lui caressant les épaules avant de l’embrasser dans le cou. Puis les mains du démon s’emparèrent de la poitrine d’Elise que le seigneur commença à peloter en souriant. En douce il se servait de sa magie pour envoyer quelques pensées érotiques dans la tête à la jeune femme pour la faire rougir …
« Modifié: mardi 06 août 2013, 11:33:10 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Le monstre, avec sa force surhumaine, la projette vers le lit conjugal sur lequel elle s'écroule sans résistance. Lorsqu'elle s’aperçoit qu'il ligote son mari à une chaise, elle comprend enfin ce qui va arriver. Un sentiment de désespoir l'envahit et lui tire des larmes d'impuissance. Elle pensait que l'inconnu était intéressé par son corps : en réalité, la violer ne semble être qu'un prétexte : ce qu'il veut, c'est les humilier, les rabaisser plus bas que terre. Elle serre les points, toujours étendue sur le dos, immobile. Elle se contente de fixer le plafond dont elle connait déjà les moindre craquelures. Résister ne ferait que la mettre en danger, et son mari également. Elle essaie de vider son esprit : peut être que si elle arrive à être suffisamment ailleurs, ce moment passera rapidement. L'inconnu fera son affaire et s'en ira comme il était venu.

"Nous y sommes ma jolie, laisses-toi faire et ce sera agréable, je n’ai pas envie de t’esquinter ma beauté. Restes tranquille que je te câline."


Celui-ci s'approche enfin d'elle et la fait se redresser ; elle lui obéit, toujours aussi raide, se laissant mettre assise. Impossible de résister, elle commence à le comprendre. Il commence alors à défaire son chignon, et elle devine vaguement, par ce geste, que s'il est d'abord venu pour infliger une punition, le démon n'en est pas pour autant insensible à ses charmes. Pourquoi se donnerait-il la peine de l'apprêter à son goût, sinon ? Il se penche ensuite sur elle pour embrasser sa gorge ; dès qu'il approche son visage, celui de la blonde se froisse sous l'effet d'un sanglot incontrôlé, qu'elle tente de garder silencieux, qui secoue ses épaules dans de petits spasmes nerveux. Elle ferme les yeux comme si sa vie en dépendait alors que tout son corps se crispe.

Elle sent alors son souffle sur elle, puis ses lèvres qui s'introduisent au creux de son cou. Elle aurait préféré qu'il la saillisse immédiatement, même dans la douleur, plutôt que de subir ces caresses. Cette "tendresse" a quelque chose de déplacé et d'inadmissible.

Il s'accapare ensuite sa poitrine à travers la robe, la pressant doucement ; elle a tourné la tête pour ne pas voir son visage, ni celui de son mari, et la porte d'entrée de la chambre, essayant d'ignorer ce qui lui arrive, gardant son esprit le plus loin possible de l'instant présent.

Ses efforts sont vains ; pire encore elle ne peut s'empêcher d'imaginer la suite ; le chevalier déchirant sa robe pour couvrir son corps de baisers humides, avant d'activer son bouton de plaisir d'un doigt habile, pour enfin la prendre, à quatre pattes sur la couche, la tirant par les cheveux pour la ramener vers lui, alors qu'elle hurle malgré elle de plaisir. Ces images la frappent l'espace de quelques secondes, faisant battre sa poitrine et accélérer sa respiration malgré l’écœurement et la honte, et lui faisant perdre immédiatement pied : elle se dégage, paniquée et rampe se réfugier à la tête du lit après avoir poussé une plainte de frayeur. Qu'est ce qui lui prend de s'imaginer des choses pareilles ? Elle déteste ce type !

Elle se recroqueville sur elle-même, toujours en larmes, alors qu'il s'approche à nouveau, jetant un regard furtif à son mari qui fixe la scène. Jamais elle ne l'a vu dans un tel état de colère impuissante : sont visage crispé par la rage a viré à l'écarlate sous ses hématomes, et des larmes ruissellent sur ses joues. Elle même pleure de plus belle. Elle en est réduite à supplier le démon : alors que celui se trouve à nouveau près d'elle, elle se laisse tomber en avant le front et les paumes contre le drap.

"S'il vous plait ! Pitié..."


Elle sait que quoi qu'il arrive elle sera violée : la créature ne partira pas les mains vides. Mais l'idée que son mari la voit traitée comme une trainée lui est insupportable. D'autant qu'elle commence à avoir peur de ses propres réactions, de son corps et même de ses pensées.

"Pas devant mon mari... je vous en supplie ! Je ferais tout ce que vous voudrez !"
« Modifié: dimanche 11 août 2013, 09:57:36 par Fortune »

Le démon savourait la situation, le couple était totalement réduit à la merci de ses envies perverse et le marchand escroc devait mille fois se maudire d’avoir voulu arnaquer ces clients. L’ironie dans tout cela c’était que ces crétins d’humains pourraient en venir à croire qu’il s’agissait d’une punition divine qu’un démon soit justement apparu pour punir le marchand de sa cupidité en le tabassant avant de s’apprêter à violer sa douce et innocente épouse sous ses yeux.

Violer une femme devant son conjoint impuissant était une des pires humiliations qu’on puisse infliger à un couple s’aimant, une torture psychologie presque pire qu’un châtiment physique surtout pour la donzelle qui souffrirait dans son corps et dans son esprit de se voir souiller devant celui qu’elle aimait.

D’ailleurs l’épouse en question semblait obéir et se laisser faire quand il commença à lui défaire ses beaux et longs cheveux pour ensuite l’embrasser dans le coup. La pauvre devait être trop paralysée pour se défendre ou alors elle était maline et avait compris qu’il pourrait torturer son mari et la tringler comme une chienne si elle ne se montrait pas docile. Le démon prenait tous son temps pour la caresser et la faire frémir, si la naïve Elise croyait qu’il se contenterait de vite la tringler avant de partir et la laisser tranquille. Hé bien elle se trompait lourdement …

Kabraxis était surtout un dominant cérébral et un expert de la torture psychologique, le simple fait de saillir une femelle humain comme une vulgaire trainée devant son mari soumis et cocu ne lui suffirait jamais, il lui faudrait en plus que cette dernière éprouve un plaisir intense et pervers à se sentir à la merci d’un monstre des enfers s’avérant bien meilleur amant que son crétin de marchand. Qu’elle en vienne à perdre ses manières de femme vertueuse et d’épouse modèle pour se vautrer dans la débauche et qu’elle finisse par perdre la tête sous ses puissants coups de reins …

"Hum c’est bien ma jolie, tu as tous compris. Sois docile et câline et je te ferais découvrir des plaisirs sans limites. Tu verras comme les démons sont les meilleurs amants de la création !"

Les paroles du guerrier et les images érotiques qui lui envoyaient furent toutefois trop pour la pauvre captive qui eut un mouvement de fuite en se dégageant des bras du démon mais qui n’alla pas bien loin et il n’eut même pas besoin de la rattraper. Elise pleurait de honte en bordure du lit visiblement effondrée à l’idée qu’elle allait se faire tringler devant son homme comme la dernière des esclaves, le futur cocu semblait quant à lui fou de rage d’être impuissant et incapable de la défendre.

Quand le démon fit mine de se rapprocher à nouveau de la demoiselle outragée, cette dernière perdis courage et se mit à le supplier. Plus par désespoir de cause qu’autre chose car il était évident qu’aucun démon allait accepter de ne pas violer une jolie femme juste parce qu’elle le demandait. La blonde semblait le comprend au point qu’elle finit par l’implorer d’avoir au moins la clémence de ne pas abuser d’elle devait son mari qui souffrirait le martyr à voir sa belle forcée de forniquer avec un monstre ricanant sous son nez et qu’elle était prête à faire ce qui voulait en échange …

A ces paroles le démon fut parcouru par un grand sentiment de puissance et de fierté, la pauvre venait de se condamner elle-même en lui donnant la permission de la réduire en esclavage et de faire d’elle sa petite putain personnelle en échange d’une faveur. Cela était bien un ridicule raisonnement d’humain car Ozélius souffrirait bien plus que sa femme lui soit enlevée à jamais plutôt que juste violée devant lui par un démon qui se serait contenté de les laisser tranquilles après …

Kabraxis ne put se retenir de pousser un rire triomphal car il venait de remporter une grande victoire sur sa nouvelle captive avant même de l’avoir violée. Les démons prenaient les serments des humains très au sérieux et la pauvrette venait d’accepter de devenir son esclave sexuelle de la plus belle des manières, un tel moment de satisfaction n’arrivait pas tous les ans, c’était juste magnifique.

" Huhu j’accepte avec joie ma belle Elise, allons donc faire ça dans la chambre d’à côté ... "

Le démon souleva donc la femme qui allait bientôt devenir son trophée et sa catin humaine pour la jeter sur son épaule comme un sac et ils sortirent de la pièce pour aller dans la chambre d’ami disposant aussi d’un lit double. Lit sur lequel il déposa la jeune femme sur le dos avant de fermer la porte à clé et à commencer à se déshabiller en déposant son manteau, son plastron et son épée dans un coin de la pièce tout en dévorant sa proie des yeux.

C’était un vrai régal de la voir supplier et gémir mais surtout de savoir que désormais elle allait devenir sa soumise aimante et dévouée, il y veillerait.
« Modifié: vendredi 09 août 2013, 20:54:04 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

" Huhu j’accepte avec joie ma belle Elise, allons donc faire ça dans la chambre d’à côté ... "

Élise lève de grand yeux ruisselants vers le visage du chevalier. Elle avait supplié avec l'énergie du désespoir et ne s'attendait pas vraiment à ce que celui-ci change d'avis. Il la saisit de ses bras puissants et la balance sur son épaule sans ménagement, lui coupant la respiration sous le choc. Alors qu'il franchit le seuil de la chambre, elle échange un dernier regard avec son mari ; quand elle en aura fini avec le démon, elle retournera se jeter dans les bras de son amour pour lui jurer qu'elle n'appartient qu'à lui, et ils se berceront mutuellement jusqu'à ce que leurs plaies se referment. Elle l'espère.

L'homme entre ensuite dans la chambre d'amis pour la déposer sur le lit, avant d'aller se dévêtir dans son coin ; elle passe en position assise et commence à faire de même, ôtant d'abord son tablier, puis déliant les lacets dans le dos de sa robe. Elle n'éprouve nul plaisir à se déshabiller devant son ravisseur, mais elle préfère encore cela plutôt que de laisser ce dernier faire de l'effeuillage un jeu érotique. Plus vite elle sera nue, plus vite tout ça sera terminé. La pièce est relativement silencieuse, et seul le bruissement de leurs vêtements et les reniflements de la belle viennent troubler le silence. Elle ne pleure plus : la situation est beaucoup moins désespérante qu'il y a quelques instants. Non seulement elle ne sera pas humiliée devant son mari, mais le démon parait maintenant moins effrayant et inhumain. Il a visiblement été quelque peu apitoyé par ses pleurs, et le désir de la prendre était finalement plus puissant que celui de faire du mal à son mari.

Elle se met debout sur ses jambes flageolantes et fait glisser sa robe jusqu'à ses chevilles, évitant de croiser le regard de son futur amant, dont elle sent le regard lubrique glisser sur sa nudité. Elle pince les lèvres en fronçant les sourcils et joint ses mains derrière elle. Qu'il se décharge de sa semence au plus vite, et qu'il disparaisse. Son époux attend dans ma pièce d'à côté. Chaque seconde qui passe doit être une torture pour lui. Peut être même qu'il lui en veut de l'avoir écarté. Elle doit revenir vers lui aussi vite que possible.

Le démon eut un sourire amusé quand la jeune femme commença à se déshabiller à son tour pour finalement prendre une position de soumission en détournant la tête tout en se mordant les lèvres visiblement bien gênée de s’être dévêtue devant un inconnu.
Sans doute qu’elle n’avait pas envie qu’il la déshabille lentement en l’excitant, qu’elle croyait que si elle se montrait docile et écartait les cuisses son viol serait vite fini et qu’ils les laisseraient ensuite tranquille. Qu’elle pourrait se réfugier dans les bras de son mari après l’humiliante saillie ...

Kabraxis s’amusait de la naïveté de sa victime qui ignorait visiblement presque tous du comportement des démons, sans doute qu’elle avait dû être un peu rassurée par le fait qu’il ait eut la bonté de ne pas la trousser devant son époux. La pauvre n’avait pas réfléchit aux conséquences de sa suppliante demande, désormais elle lui appartenait et qu’après l’avoir longuement baisée, il la prendrait avec lui pour lui faire vraiment tous ce qu’il voudrait. Elise serait donc séparée de son mari mais ça il n’allait pas le lui dire tout de suite, il était du genre à laisser de l’espoir à ses victimes avant de les briser.

La blonde gironde ouvrirait voluptueusement les jambes si elle espérait qu’il l’épargne. Ce serait surement très plaisant de pervertir cette adorable femme au foyer qui finirait sans doute par s’habituer à son nouvel amant si ce dernier se montrait plaisant et la faisait grimper aux rideaux. Le démon finit de se déshabiller tout en reluquant celle qu’il s’apprêtait à chevaucher. La donzelle était amoureuse et il faudrait donc s’employer à lui faire oublier son mari qui lui manquerait surement au début.

Fièrement le démon s’avança vers sa proie d’un air conquérant, nu il était très beau avec son corps d’athlète et ses pectoraux. Kabraxis était aussi très bien monté comme beaucoup de membres de son espèce, la petite humaine allait bien se faire limer et couiner sous ses assauts. Joueur et sans dire un mot il vient se placer dans le dos d’Elise pour lui caresser sensuellement les fesses tout en l’embrassant dans la nuque, une partie érogène et sensible chez une femme qui ne manquerait pas de la faire frissonner.

« Ne soit pas pressée de terminer avant de m’avoir essayé ma jolie, tu verras ça va te faire le plus grand bien et tu risques d’en redemander. » Dit-il sur un ton coquin pour la provoquer et l’agacer.

Cette gentille fille avait surement de nombreux préjugés sur les démons et devait surement ne pas envisager pouvoir prendre du plaisir dans les bras d’un monstre qui la violerait. Sauf que Kabraxis n’était pas comme la plupart des bêtes issus des enfers et que lui adorait rendre ses partenaires comblées, cela les poussaient bien plus à la luxure et la docilité que les menaces et les coups de fouet.

Confiant le démon pris les beaux seins de la donzelle entre ses mains et entreprit de les masser en taquinant les tétons pour bien les faire durcir. Pour un viol la situation serait bien plus érotique et sensuelle que ce à quoi Elise s’attendait et lui s’amuserait de la sentir surprise et gênée, il comptait bien la faire gémir puis hurler de plaisir pour que son cocu l’entendre prendre son pied avec le démon qui la tringlait. Le petit marchand pouvait bien garder sa fortune et sa maison qu’il aurait déjà beaucoup perdu car il ne reverrait jamais son épouse tendre et attentionnée.

Le démon avait entendu les villageois raconter que la blonde portait chance et qu’on la surnommerait Fortune, il n’était pas sûr que ce soit vrai vu comme son mari avait eu la poisse de tomber sur lui mais cela l’intriguait et il n’allait de toute façon pas laisser une si belle donzelle à un tocard d’humain. Elise méritait mieux …
« Modifié: dimanche 11 août 2013, 09:58:44 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

L'homme termine de découvrir son corps mince et musculeux en même temps qu'elle même se déshabille, exhibant un membre imposant déjà en érection qui témoigne lui aussi que le tortionnaire n'est pas insensible aux charmes de la jolie bourgeoise. Elle rentre la tête dans les épaules alors qu'il s'approche d'elle pour la toiser d'un air conquérant. Il passe ensuite dans son dos ; un frisson de dégout la parcourt lorsqu'il colle ses lèvres sur sa nuque, et tout son corps se tend à nouveau. Toujours ces gestes emprunts de douceur, si malvenus en cette situation. Comme s'il prétendait être un amant, alors qu'il vient d'obtenir l'accès à un corps en enfreignant la volonté de sa propriétaire, par la violence et la menace. Comme un voleur qui s'introduirait chez vous et qui ferait la poussière sur vos meubles pour se faire pardonner de vous avoir dérobé. Elle le déteste de toute façon, les efforts du démon pour l'amadouer seront vains.

« Ne soit pas pressée de terminer avant de m’avoir essayé ma jolie, tu verras ça va te faire le plus grand bien et tu risques d’en redemander. »

... si cela peut l'amuser de penser ça. Bien sur, le corps d’Élise risque de prendre du plaisir en douce. Il est habile de ses mains, et la poitrine qu'il manie avec tact réagit à ses attouchements. Malgré tout ce que la situation a de dramatique et humiliante, la chair reste la chair et la peau de madame Landevin aime être caressée. Elle l'aurait bien fait taire, ce plaisir de rat qu'elle subit malgré elle, et bien qu'il lui répugne.

Mais de toute façon cela ne change rien. Elle le hait, ce chevalier qui vient semer le malheur dans sa maison à elle en le clamant comme son droit. Si elle en avait l'occasion, elle crèverait ses yeux jaunes et trancherait sa langue de vipère. Cet homme mérite de mourir... ça serait tellement plus simple si elle pouvait le tuer... c'est ce qu'il faudrait faire, dans l'idéal. Ses dents, ses poings et sa gorgent se serrent à l'unisson ; elle aura du mal à supporter la suffisance de cet énergumène alors qu'il la tripote, s'imaginant pouvoir la rendre heureuse de son viol par la seule adresse de ses doigts. Comme si on pouvait envisager l'amour comme un acte mécanique, qui lorsque bien effectué provoque des feux d'artifice de plaisir. Elle ne peut s'empêcher de lancer, d'une voix qu'elle aurait voulu ironique mais qui ne porte que les signes de la l’angoisse et de la timidité :

« Seriez-vous en train de tenter de me plaire, démon ? »

Il était amusant de sentir cette petite bourgeoise frissonner et frémir face à des caresses qui devaient sans doute lui paraitre déplacées chez un monstre venu pour la violer. A vrai dire le démon ne cherchait pas tant à se montrer agréable envers sa proie qu’à la gêner et l’humilier en lui montrant combien il pourrait pousser son corps à la trahir alors qu’elle-même devait être dégoûtée par la situation. Faire crier une donzelle de plaisir bien malgré elle était une méthode démoniaque classique pour torturer ces femelles humaines en leur montrait qu’il pouvait les pousser à finir par aimer être ses chiennes, de pauvres soumises aimant n’être que les putains du démon, des grosses salopes en devenir pour peu qu’on les pervertisse un peu …

La blonde semblait mal à l’aise et répugnée tandis qu’il la tripotait en ricanant. C’était la une réaction normale chez une captive, seules les nymphomanes dépravées s’accommodaient de se faire violer par un démon les traitant comme des catins à sa disposition et c’était encore heureux que la plupart des femmes ne soient pas de trainées sinon les démons s’ennuieraient. Il fallait bien avoir des filles effarouchées à pervertir et pousser au vice sinon ce n’était pas drôle. Elise semblait être un beau spécimen de pymbéche naïve qui amuserait surement son ravisseur pendant des mois, tout cela serait divertissant.

Lorsque la donzelle osa lui demander s’il n’était pas en train de vouloir la séduire, sur un ton assez ironique comme si elle voulait rabaisser son violeur en clamant qu’il était ridicule de vouloir l’amadouer après avoir tabassé son mari et voulu la trousser devant ce dernier pour l’humilier comme jamais. Qu’est-ce que cette petite dinde s’imaginait ? Qu’il était un démon raté incapable d’assumer le fait qu’il l’avait capturée pour profiter d’elle ? Un minable de romantique se prétendant méchant ? Rien n’était plus faux et Kabraxis se devait de la remettre à sa place de vulgaire captive sur le point de se faire monter comme une jument par un monstre.

Si cette nunuche préférait qu’il soit dur avez elle car elle trouvait sa tendresse déplacée au point de le provoquer pour qu’il en vienne à la traiter comme une sale esclave, un vulgaire jouet sexuel dont il pouvait disposer ... Hé bien elle allait avoir une mauvaise surprise. Le démon ne se générait pas de lui faire subir sa rage, punir les vilaines filles était toujours un vrai plaisir.

« Qu’est-ce que tu imagines blondasse ? Tu oses me provoquer en me traitant de gentil ? Si c’est la punition que tu cherches il n’y a qu’à demander poupée. Tu feras moins la fière quand je te défoncerais ! Tu as osé me dire que tu feras tous ce que je voudrais alors maintenant dis-moi si ça te plairait de te faire sodomiser par un démon ! »

Furieux le démon inséra deux doigts dans le fondement de sa proie pour bien lui faire comprendre qu’elle l’avait énervé et allait le payer cher quand il lui élargirait son beau petit cul bien serré d’humaine. Lui ne se générait pas de la tringler pendant des heures jusqu’à ce qu’elle en vienne à le supplier de l’épargner. Kabraxis saisi le cou d’Elise d’une main pour bien la dominer tandis qu’il profanait sa petite porte avec l’autre pour bien la faire couiner et la préparer aux nombreux outrages qu’elle allait subir.

Après plusieurs minutes de tortures digitales le démon mit fin aux supplices de la blonde qui commençait à se tortiller, honteuse et gênée dans de vaine tentatives pour lui échapper alors qui l’obligeait à se tenir tranquille en lui serrant légèrement la gorge de sa puissante main. La créature des enfers retira ses doigts de l’anus déjà un peu élargi de la fille avant de la pousser sur le lit sur lequelle elle tomba à plat ventre.

Toujours passablement énervé et désireux de mater sa nouvelle esclave, Kabraxis se mit à lui administrer une bonne fessée tout en la maintenant allongée avec son autre main pour qu’elle ne puisse pas se soustraire à sa première punition qu’elle avait méritée en l’agaçant. Elise n’avait plus l’air de faire la maline tandis qu’il lui rougissait impitoyablement son petit cul rebondi qui claquait bien sous sa main, la pauvre avait intérêt à le supplier si elle voulait qu’il arrête !
« Modifié: lundi 12 août 2013, 10:39:02 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

« Qu’est-ce que tu imagines blondasse ? Tu oses me provoquer en me traitant de gentil ? Si c’est la punition que tu cherches il n’y a qu’à demander poupée. Tu feras moins la fière quand je te défoncerais ! Tu as osé me dire que tu feras tous ce que je voudrais alors maintenant dis-moi si ça te plairait de te faire sodomiser par un démon ! »

La blondasse en sourirait presque si sa position n'était pas si désespérément humiliante. C'est peu ou prou le résultat qu'elle espérait. Enfin, elle n'a plus qu'à serrer les dents et à encaisser, même si... elle ne s'attendait pas du tout à ce qu'il veuille la sodomiser. Quelle idée ? Existe-t-il une pratique plus répugnante ? Elle pourrait imaginer les raisons qui poussaient les pédérastes à s'enfiler par l'entrée des artistes, mais dans le cas présent l'idée lui parait simplement absurde et dégoutante. Aucun objet n'a d'ailleurs jamais franchis son sphincter en sens inverse, aussi elle pousse un gémissement de protestation quand les deux doigts du démon forcent leur entrée, faisant jaillir une sensation de brulure et de gêne.

« Non... » geint-elle, en réponse à sa question, avant d'ajouter, comme pour bien faire comprendre qu'elle ne compte pas revenir sur sa parole : « Faites moi ce qui vous plait... »

Elle essaie de rester de marbre, dans un vain sursaut d'orgueil. Chaque fois qu'un tiraillement plus important se fait sentir en bas, elle ne peut s'empêcher d'exprimer son inconfort en soufflant bruyamment par le nez. Ce traitement a quelque chose de terriblement contre-nature : à chaque instant elle a la désagréable impression qu'elle est en train de faire sur elle.

A son grand soulagement, l'intrus finit par retirer ses doigts et la jette sur le lit, où elle s'étale sur le ventre. Elle ferme les yeux, s'attendant à sentir la verge du monstre la pénétrer dans la douleur ; c'est finalement une claque qui s'abat sur ses fesses, lui arrachant un cri de surprise, suivant d'une seconde, puis de toute une volée. Elle serre les dents, tandis qu'il massacre son postérieur, dans l'espoir d'étouffer ses cris de douleur. Elle agrippe le drap de toutes ses forces entre ses doigts, pour finalement y mordre. Seuls quelques petits couinements s'échappent encore d'elle tandis qu'elle subit son châtiment. Elle ne va pas lui faire le plaisir de hurler. Elle a déjà deviné que son tortionnaire aime se sentir dominateur et que c'est l'insolence de sa proie qui l'a poussé à la frapper pour qu'elle reconnaisse sa supériorité. Elle est tout à fait prête à entrer dans cette lutte. De toute façon elle sent de moins en moins son fessier, et chaque coup qui s'abat sur celui-ci semble apporter une vague de chaleur plus qu'une vraie souffrance, aussi elle ne compte pas le supplier pour qu'il redevienne doux. Les claques, elle peut les supporter.

Elle préfère encore qu'il essaie de lui faire mal plutôt que plaisir : au moins les choses sont à leur place : le démon est son ennemi, et elle peut le combattre à sa façon, dans les limites de leur accord.
« Modifié: jeudi 05 septembre 2013, 22:49:29 par Fortune »

La belle femelle humaine perdit vite son air moqueur quand elle commença à se faire doigter les fesses par son ravisseur. A son air choqué elle n’avait surement jamais pratiqué l’anal et commençait déjà à regretter de l’avoir provoqué, tant mieux elle allait vite comprendre qu’elle était à sa merci et qu’elle ferait mieux d’être aimable si elle voulait éviter une douloureuse et humiliante sodomie. Elise commença par protester avant d’hésiter et de finalement lui signaler qu’elle comptait respecter sa promesse d’accepter les outrages qui lui ferait subir me échange d’épargner le spectale  de son viol à son homme …

Cette petite blonde semblait déterminée à ne pas céder facilement à son agresseur qui voulait la réduire à l’état de chienne en chaleur implorant le mâle dominant d’encore l’humilier et la baiser. La donzelle poussa un soupir de soulagement quand il retira ses doigts de son fondement visiblement elle allait retenir la leçon, en tant qu’esclave elle ne serait plus sensée le défier ni à ironiser sur ce qu’il lui faisait. Le démon aimait les femmes chaudes qui le provoquaient avec des mots cochons mais là il y aurait du travail pour amener Elise à ce niveau de perversité et son dressage ne faisait que commencer.

Quand Kabraxis commença à lui coller une fessée, la belle sembla surprise, s’attendant surement à être directement prise mais il était encore bien trop tôt pour cela. Le démon avait prévu de la taquiner jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et commence à mouiller comme une fontaine en couinant son envie, d’ailleurs c’était toujours un privilège qu’il faisait à ces femelles humaines en les troussant. Après tous elle appartenait à une espèce inférieure dont le seul avantage était de se reproduire comme les lapins, ce qui poussait les démons à s’intéresser à ces pouliches en chaleur aux faux airs farouches.

Un duel de volonté commença quand la donzelle commença à couiner sous les claques qui lui rougissaient les fessiers, le monstre eut un sourire sadique quand madame Landevin se mit à serrer les draps avant de les mordre pour éviter de hurler de douleur sans doute. Lorsque le démon arrêta le supplice après plusieurs minutes, la pauvre fille semblait matée et allait surement avoir du mal quand il la prendrait vu comme il lui avait rendu la croupe douloureuse.

« Hum j’ose espérer que cette petite punition t’aura ôté l’envie de me provoquer » Dit-il en contemplant ses jolies fesses rougies qu’il caressa pour la taquiner avant de venir caresser son intimité pour voir si elle mouillait. Sans un mot, il vint caresser sa fente avec sa main, lui relevant un peu l’arrière train pour la positionner à quatre pattes devant lui tout jouant avec son clitoris du bout de ses doigts. Finalement le démon s’amusa à frotter son mandrin le long de la raie fessière de la donzelle pour lui faire croire qu’il allait la pénétrer alors qu’il avait juste l’intention de la chauffer en la provoquant encore un bon moment.

Fortune

Lorsque les volées de claques sur ses fesses cessent, elle s'autorise en fin à desserrer les dents, mais ses doigts restent crispés. Elle respire fortement, la joue collée contre le tissu imbibé de salive. La peur et la gêne ont presque disparu, laissant la place à une certaine quiétude. Seul l'agitation du démon derrière elle l'empêche de sombrer dans la torpeur.

« Hum j’ose espérer que cette petite punition t’aura ôté l’envie de me provoquer »


La brute porte ses doigts à l'intimité de sa victime et les fait glisser sur ses lèvres ; c'est à se moment qu'elle réalise qu'elle est humide. Elle ignore à quel moment cela a bien pu commencer, mais de toute évidence son corps s'est préparé pour un accouplement. Il la met à quatre pattes : elle tient difficilement en équilibre, ses membres étant tremblants et faibles et son arrière train incandescent se rappelant désagréablement à elle à chaque mouvement. Il continue à titiller son sexe, avec une certaine adresse elle doit le reconnaitre. Il essaie à nouveau de lui donner du plaisir ; elle n'en veut pas, alors pourquoi cet acharnement ? Il approche enfin son sexe de l'anus d’Élise et commence à en caresser les alentours, tournant autour du pot si on peut dire. La chose aurait pu être excitante si la femme avait attendu cette pénétration avec impatience, mais dans le cas présent elle ne fait que vaguement la redouter, ce qui rend ce petit jeu absurde à ses yeux.

La volonté de résister commence à lui manquer. Elle pourrait tout simplement le laisser s'amuser avec son corps, lui faire croire qu'il l'envoie au paradis, jusqu'à ce qu'il soit satisfait... elle doit rassembler ses miettes de courage et d'inconscience pour lui lancer, en tournant la tête vers lui, une nouvelle réplique, où cette fois, malgré la faiblesse de la voix, l'ironie est clairement discernable.

« Ce que je pense semble vous inquiéter... »


Elle espère en disant cela ne pas dépasser certaines bornes. Si c'est le cas, elle pourrait vraiment le payer cher. Mais l’impression de tenir son ravisseur par l’orgueil est grisante. Peut-être - surement - va-t-il encore la frapper. Après tout elle l'a cherché. Ou alors peut-être se contentera-t-il de la ramoner sauvagement, comme un violeur digne de ce nom. Elle ne compte pas le laisser se montrer doux avec, en tout cas. Ils sont ennemis, elle ne l'oublie pas.


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