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- Je vous remercie de votre participation madame Miura, c'est toujours un plaisir de pouvoir compter sur l'Écrivaine des Songes.

L'humaine se mit à balayer l'air devant elle, comme pour chasser une mouche.

- Mais c'est tout naturel, je me suis grandement amusée, le thème d'aujourd'hui était intéressant.

Vous ne devez pas bien comprendre de quoi ils discutent, n'est-ce pas. Alors laissez moi vous faire un petit résumé de ce qui vient de se produire. Hier et aujourd'hui était la journée de l'invention, hors un petit groupe de rôlistes ont prévu de faire un jeu de rôle grandeur nature, nommé GN pour les adeptes. Le principe consiste à s'incarner dans un personnage, vêtements inclut. Pour Miura cela était une occasion de ressortir un personnage qu'elle avait utilisé dans sa tendre enfance avec un groupe d'amis : l'Écrivaine des songes.  Pour cela, elle vint à s'habiller en essayant de rester dans le style du personnage. Elle mit un foulard dans les cheveux, changeant sa couleur des yeux pour obtenir un rouge sanglant, de grosse boucle d'oreille argentée allant avec un collier composé de petite bouche elles aussi argentées. Elle mit une magnifique robe rouge, avec un bout de tissu de couleur similaire sur les bras, donnant un style un peu magicien et tsigane. Elle mit une épaisse ceinture de cuir noir avec un symbole argenté dessus. En sous-vêtement elle fit son choix sur un simple culotte rouge avec un peu de dentelle noire. Comme chaussure des escarpins noire. Il ne restait plus que l'accessoire, des lunettes de soleil blanche, cela pouvait paraitre bizarre, mais l'Écrivaine des Songes inscrivait ses formules sur le verre noir, empêchant les adversaires comme les allier de savoir le sort qu'elle lancerait.

Le maître du jeu, celui chargé de faire évoluer le jeu de rôle, désigna Miura comme l'un des boss, tout simplement car le personnage était parfait pour mettre en difficulté ceux habitués à des sortilèges parlé ou écrit sur le sol.

La partie fut palpitante, mais bien vite Miura démontra que son personnage n'était pas que de la poudre aux yeux, elle fit de nombreux ravage, tout en gardant un sourire bienveillant, le genre de boss qui pose des problèmes car l'Écrivaine des Songes ne semblait pas méchante et pourtant ne retenait pas ses coups, sans compter que la chance fut de son côté. Au final l'équipe désigné comme l'équipe aventurière fut totalement annihilé sur le dernier boss, n'ayant plus la force de frappe nécessaire pour le vaincre.

Miura se mit à se diriger vers sa maison, la partie l'avait mise de très bonne humeur.  C'est alors qu'un aboiement se mit à attirer son attention, alors quand d'autres se mirent à suivre le basset cela donna le signal à l'humaine que quelque chose se passait dans le coins, un combat de chien ? Elle n'était pas sûr et voulut vérifier. C'est alors qu'elle vit Ibi, le choc fut spectaculaire, le contact visuel se mit à faire souffrir l'humaine. Comment une personne pouvait donner cette impression d'être un animal et avoir été autant torturer. Miura sentait qu'Ibi n'avait jamais été bien traité par les humains, ce ne fut que lorsque la chienne se mit à partir, visiblement en souffrant des câbles autour d'elle que l'humaine se mit à réagir.

La femme mature ne pouvais pas laisser cette enfant, car elle considérait Ibi comme une enfant, dans une vie aussi misérable, aussi se mit-elle à la suivre.

Seulement elle dû se rendre compte qu'avec des escarpin elle n'irait pas bien vite, sans parler de ses jambes qui ne pouvaient aller bien vite. Les chaussure eurent tôt fait de partir dans une ruelle sombre, quand à ses jambes elle se mit à lancer un sort pour être beaucoup plus performantes et la suivre, mais par les toits, les animaux et les humains ayant tendance à ne pas regarder en l'air. La femme avait vraiment de la pitié pour cette enfant obligé d'être aussi bestiale et se dit qu'elle devait tout faire pour la rendre plus humaine, quitte à devoir devenir sa mère et user de moyen peu habituel pour endormir son côté animal.

Seulement au bout d'un moment Ibi se mit à se faufiler dans un endroit où Miura n'avait plus de toit, elle ne le savait pas encore, mais la jeune femme n'était qu'à quelque pas de la tanière du gang canins. L'humaine sentit que si elle laissait Ibi aller plus loin, elle aurait de grande difficulté à continuer la poursuite, elle prit donc appuie sur la toiture et se mit à faire un bond pour atterrir derrière la chienne, qui ne devais pas s'attendre à la voir d'aussi près.  Miura dit avec un sourire triste.

- Désolée ma puce.

L'humaine saisit le câble avec fermeté, se resserrant sur Ibi, l'humaine eut du mal à maîtriser la chienne, retirant petit à petit les câbles, allongeant discrètement les ongles pour sectionner les entraves, elle allait enlever le dernier câble quand ....

Un bruit se fit entendre et l'humaine se mit à regarder la direction du grognement, aussitôt un sourire nerveux se mit à se dessiner, elle était clairement dans la merde. Miura savait que si elle était sur le territoire de la meute elle ne pourrait pas en ressortir sans égratignure, mais laisser cette enfant là serait sans doute une option encore plus terrible, qui sait ce que cette meute ferait à la petite une fois partie.

- Hala ... On dirais que tes amis viennent à la rescousse.

S'en suivit un rire nerveux. Le regard se mit à observer l'endroit et les chiens, mais pas droit dans les yeux, de même elle cacha bien ses dents derrière ses lèvres, elle avait apprit en promenant ds chiens que le regard direct et montrer sa dentition était une provocation.

L'humaine était bloquée dans la situation actuelle.

Si elle se défendait et blessait les chien, Ibi pourrait la considérer comme une ennemie, hors Miura savait qu'elle aurait de grande difficulté à se défendre face à une enfant qui avait été traumatisé au point de devenir une simple bête. Son cerveau se mit à carburer, cherchant toute les solutions possible. Elle eut alors une idée.

La meute serait beaucoup moins agressive face à une chienne qui se serait égaré sur leurs territoire, même si elle savait qu'il y avait beaucoup de chance qu'elle se face saillir par le dominant pour se faire marquer comme faisant partie du clan. Miura n'avait jamais pratiqué la zoophilie et avait l'appréhension de la première fois. Elle se mit à penser qu'être une furry pourrait marcher, les chiens la prendrait pour une race spéciale, mais une chienne quand même.

Elle relâcha Ibi, puis se relève en douceur. L'humaine avait bien comprit le message que le groupe voulait transmettre, la mise à mort de l'humaine. Par de petit pas, elle se mit à reculer, gardant à l'oeil ceux qui étaient chargés de la tuer. Miura avait deux avantage, primo, elle était humaine donc plus intelligente, deusio, elle savait que sa magie de transformation engendrerait un espèce de mur d'air, cela à cause de la libération de la magie, ce qui allait repousser les chiens qui ne comprendraient pas pourquoi à la place de l'humaine se trouve une furry. Elle semblait attendre l'assaut des chiens et ouvrit la bouche quand le dominant semblait vouloir en finir. Miura fut surprise par l'action d'Ibi, qui n'eut aucune difficulté pour la mettre à terre. L'humaine sentit le poids d'Ibi, elle était trop légère pour son page, preuve qu'elle ne devait pas manger à sa faim, une chose de plus qui renforça son envie de l'emporter loin de cette vie bestiale.  Elle comprit vite la situation, la chienne avait perçu la bienfaisance de l'humaine et voulait la protéger de la meute, l'humaine voulut la repousser pour éviter que la meute n'agresse l'enfant.

Seulement Miura vait un peu de mal à bouger, le choc au sol l'avait un peu étourdie, ce fut la truffe du basset qui la réveilla, remerciant le chien du regard, jusqu'à ce qu'elle sente une truffe trifouiller sous sa robe, aussitôt elle devint rouge. Elle ne voulait pas que cela se passe sans son accord et surtout dans possibilité de refuser.

- Rhaa punaise !

Miura se mit à penser à une forme de furry très vite et se mit à parler dans une langue inconnu des humains de la Terre, il s'agissait de sa propre langue. Les chiens  furent beaucoup plus réceptif à la magie, Ibi restait une humaine physiquement et était beaucoup plus limité en termes de réceptivité magique que les animaux, ils reculèrent en se mettant à grogner, puis ce fut comme si un grand coup de vent se mit à souffler, soulevant la poussière et les feuilles aux alentours, avec un peu de chance Ibi ne verrait pas la transformation. Les chiens eut se mire à baisser la tête pour en pas être aveuglé.

Miura se mit à glisser hors des pattes d'Ibi, n'hésitant pas une seule seconde à la soulever pour être libre de ses gestes.  Quand tous purent voir Miura, elle avait changé, tout d'abord sa peau était recouvert d'un doux pelage blanc comme la neige, certains poils se mirent à avoir une couleur rouge, formant un espèce de tatouages, ses pieds étaient ceux des chiens, mais ses mains restaient celle d'un humains, le pelage en plus. Son visage c'était allongé pour devenir plus canin. Une queue canin se mit à balayer ses mollets Le seul point noir dans cette transformation c'est que Miura n'avait pas prévue d'avoir l'apparence d'une chienne atteint d'albinisme et encore moins de perdre pas mal de poitrine, mais le résultat était quand même parfait pour essayer de rejoindre la meute et embarquer Ibi une fois les autres occupés. Oui Miura allait faire un kidnapping, car elle se doutait que la chienne ne souhaite pas la suivre loin de ses "amis"; l'humaine n'était pas fière de cette idée, mais il s'agissait de la seule possible pour l'instant.

Elle vit les chiens se remettre à grogner, aussi n'eut-elle d'autre choix que de prendre une posture de soumission, elle se mit à quatre patte, le ventre contre le sol, les oreilles et la queue relâchés. Cependant le regard de Miura restait méfiant, si la meute voulait attaquer alors elle utilisera les armes naturelles qu'elle possède pour se défendre et surtout protéger Ibi, ce n'était pas des chiens qui allait entraver sa volonté de rendre à Ibi son humanité. 

Miura attendit que les chiens réagissent, elle se doutait qu'il y avait peu de chance que les animaux viennent à la chasser, d'un côté car elle n'était plus humaine et de l'autre, car elle était clairement une femelle. L'humaine fit son possible pour éviter de regarder fixement les chiens droit dans les yeux, elle souhaitait éviter d'avoir à blesser  les animaux, pour que l'enfant ne se sent pas menacé et qu'elle puisse l'emporter discrètement. Dans sa tête s'accumulait des idées pour l'emporter, le kidnapping semblait décidément la méthode la plus simple, la rééducation d'Ibi promettait d'être difficile, car Miura allait devoir incarner un rôle bien terrible aux yeux de la petite fille.

Le pelage sur le visage put cacher la rougeur de l'humaine, n'étant pas habituée à se comporter comme un animal, cependant elle devait essayer de jouer ce rôle pour calmer la méfiance des chiens et surtout créer un lien avec Ibi, c'était le point de départ de tout. Sans lien elle ne pourra pas attirer la petite avec elle et encore moins creuser le chemin vers l'humanité. Si elle fut beaucoup plus rassurée par Ibi, elle fut beaucoup plus nerveuse en ce qui concernait  ce qui semblait être le chef de la meute ou était-ce simplement le reproducteur du groupe.

Miura découvrit que son apparence était quand même très sensible, elle n'avait pas bien maîtrisé son sortilège et avait été maudite par une plus grande sensibilité cutanée, le museau du doberman se mit à exciter le corps de l'humaine, qui rougissait de plus en plus, sans que cela ne se remarque sur son pelage propre et soyeux. C'est alors que les choses sérieuses se mirent à débuter, Miura ne put échapper un jappement de surprise. Elle découvrit que ses cordes vocales avaient eux aussi été altéré par le sortilège, ne pouvant plus prononcer un mot humain. Miura avait un peu mal, elle n'était clairement pas habitué à la zoophilie, son dos dû supporter le poids du chien qui ne lésinait pas sur els coups de butoir, l'humaine avait honte de se aire prendre ainsi par un animal, mais avait-elle d'autre choix pour pouvoir ramener Ibi et la sortir de cette situation.

L'humaine vit alors Ibi subir le même traitement, une profonde colère se mit à battre dans les tempes de Miura, se mélangeant au plaisir bestiale, ce dernier étant nettement atténué. Voir Ibi être traiter ainsi la faisait mal et si le doberman n'était pas occupé avec elle, nul doute que le lévrier aurait reçu une bonne morsure, en tout cas le regard haineux de Miura était clairement fixé sur le chien qui s'en prenait à sa protégé. Pour une fois l'humaine n'était pas patiente, elle bouillait même d'impatience, mais il fallait attendre que les chiens soient moins sur leurs gardes, espérant qu'après avoir été passé dessus ils oublieront d'être attentif.

Miura avait décidément beaucoup de mal avec la gestuelle canine , elle ne devait pas montrer ses crocs ou encore grogner, car cela serait une agression pure et simple, de plus cela mettrait sa protégée en danger. Elle dû cacher un visage triste en voyant l'enfant montrer des signes de soumissions à son égard. l'humaine avait de la peine pour cette enfant qui suivait la loi du plus fort, certes la société humaine fonctionnait comme ça et de façon encore plus insidieuse que dans le monde animal. Mais pour Miura une humaine devait rester dans son monde et ne pas régresser come l'avait fait Ibi, elle pensait qu'un choc émotionnel avait dû la pousser à perdre son humanité, mais tant que la chienne ne pouvait parler l'humaine ne pouvait que partir sur des suppositions.

L'humaine fit quelque signe pour montrer qu'elle acceptait de prendre Ibi sous son aile et peu importait que els autres n'étaient pas d'accord, elle pouvait les battre selon les règles bestiales, même si elle préférait éviter d'avoir à recourir à la force. Miura savait qu'elle ne cachait pas son désir d'avoir Ibi et visiblement aucun n'avait encore montré un signe de refus. Le plus vieux, semblait observer Miura avait un regard insistant, comme pour la percer à jours, l'humaine devait faire attention à ce que sa partie humaine ne sois pas découverte, sinon elle aurait de très grave ennuie.

La femme vis le visage d'Ibi se torde légèrement de douleur, ce n'était pas dans la nature des bêtes de cacher leurs intentions ou leurs sentiments, la tromperie est une chose dont les humains excellent, or Ibi n'avait pas cette notion là, l'enfant était encore bien jeune pour pouvoir berner Miura, cette dernière se dit que si le lévrier n'était pas une personne importante pour Ibi, elle se serait fait un plaisir de laisser parler son coté sadique, même si elle n'aime pas être méchante.

Le spectacle du lévrier allait rendre Miura folle de rage, l'humaine prit alors la décision qu'elle l'éloignerait de la meute, même si pour cela elle doit être détestée par Ibi, non un tel spectacle n'avait rien de plaisant. Le doberman finit son travail, l'humaine ne ressentant plus réellement le plaisir de se faire prendre tellement son attention était porté sur Ibi.

Miura se mit à attendre, étant aussi souvent visité que sa protégé, heureusement les animaux finirent rapidement leurs petites orgies, l'humaine se mit à attendre que tous soient inattentifs pour croiser le regard d'Ibi et signaler à la façon d'un chien de la suivre, si la chienne ne voulait pas venir, alors elle l'obligerait quitte à employer la force si cela était nécessaire, la vie de sa protégée en tant que compagnon d'une meute de chien devait se terminer ici et maintenant.

Elle comptait l'amener chez elle, heureusement sa forme était adapté, elle pouvait toujours ouvrir le portail et passer par la véranda en faisant un détour par la plage.

Miura ne quitta pas immédiatement la ruelle, lançant un regard de remerciement au doyen pour ne pas avoir rendu sa tâche difficile et surtout pour permettre à Ibi de découvrir une autre vie, sans doute plus adaptée pour cette dernière. La furry fit très attention aux chemins empruntés, ne voulant pas qu'une personne viennent à les croiser, sous sa forme furry elle aurait sans doute eut des problèmes avec d'autre créature et le côté faible d'Ibi pouvait attirer les pires humains que la Terre pouvait porter. Elle ne prit pas les chemins éclairés, préférant les petites ruelles sombres, mais où personne n'osait y aller, car on racontait des histoires de fantômes ou de malédictions, chose que Miura c'était empressé de démentir en étudiant un peu les zones sans que quelque chose ne lui arrive.

Après trente minutes de marches, elles arrivèrent chez Miura, se redressant sur ses pattes arrière, elle ouvrit le portail, laissant Ibi entrer, puis la guida chez elle. L'humaine était certaine d'avoir fermé avant de partir toute les fenêtres. Elle n'aimait pas l'idée d'emprisonner une personne, mais Ibi avait clairement besoin dans un premier temps de s'adapter au fait d'être enfermée dans une maison autant pour sa sécurité que pour celle des autres, car Miura n'allait pas être tendre à quiconque s'en prend à sa protégée.

Elle alla s'assoir sur le canapé et se mit à se concentrer, Miura devait reprendre sa forme originel pour que la chienne s'habitue à côtoyer une humaine et qu'elle puisse avoir une image maternelle. La milf ne savait pas si l'enfant avait eut des parents, mais elle en doutait franchement, sinon elle n'aurait pas été aussi méfiante envers les humains. Elle se mit à reprendre son apparence et se rendit compte que ses cheveux avaient poussé et elle était nu, ce dernier point ne semblait pas tellement la gêner, elle n'avait pas prit ses vêtements et cela aurait sans doute intrigué les autres chiens.

Elle se mit à aller vers la salle de bain, faisant couler de l'eau chaude dans la baignoire. Le plus dure restait à attirer Ibi, la défroquer et surtout, la nettoyer. Miura ne savait pas si l'enfant serait coopératif ou non, mais elle comptait assouvir les besoin primaires des humains en guise de point de départ de l'instruction d'Ibi.

Miura eut un sourire, mais ses yeux montraient de la tristesse, elle de demandait qui avait bien put la mettre dans cet état, nul doute que l'humaine aurait risqué une transformation complexe pour tuer cette personne, oui vous avez bien lut, Miura aurait été capable de tuer la personne qui avait aussi maltraité cet enfant. L'humaine se mit à fermer les yeux et prendre une profonde inspiration, il fallait la rééduquer mais comment agir ? Être trop douce ne l'aiderait pas et être méchante pourrait l'effrayer. Elle changea son regard pour paraitre heureuse.

- Tu vas attendre ici, ok ?

Elle referma la porte derrière elle pour éviter que la chienne la suive, en espérant qu'elle ne fasse pas de dégât, mais Ibi semblait bien "éduqué". Miura ferma les volets, les verrouillant, la chienne ne pourrait pas les ouvrir et ils étaient assez résistant. Elle revint très vite dans la salle de bain. Elle se mit à genoux et regarda Ibi avec une légère tristesse.

- Désolée, tu vas sans doute souffrir et me haïr, mais je n'ai malheureusement pas le choix pour t'aider.

Miura se mit à saisir l'enfant par les épaules pour l'obliger à être sur ses fesses, ne cachant pas la peine de voir cet enfant aux membres retouchés par un fou. Elle retira les chaussette, les jetant directement à la poubelle car elles étaient inutilisable. L'humaine se mit à regarder le collier et saisit un ciseau, elle retira l'objet et sans la moindre pitié, se mit à le réduire en morceau, l'objet en argent où était marqué son prénom fut aussi jetée dans la poubelle.

- Tu n'en auras plus besoin, je te trouverais un autre prénom.

L'humaine savait que cela devait paraitre bizarre pour Ibi de voir son collier, ce qui fait d'elle une chienne, disparaitre dans la poubelle. Miura était cependant prête à la retenir si la chienne voulait récupérer  un seul truc lui appartenant. L'humaine agissait comme une esclavagiste d'un certain point de vue, mais elle ne voyait pas comment réagir autrement. Le bain atteint le bon niveau et Miura se mit à mettre Ibi dans la baignoire, coupant l'eau au passage.  L'eau était chaude, pour permettre un décrassage plus efficace, l'humaine entreprit un bon nettoyage et elle voyait bien qu'Ibi n'avait pas prit de bain depuis un bon bout de temps, sans parler des cheveux qui avaient besoin d'une sacré coupe de rafraichissement. Miura ne put quitter toutes les marques sur le corps de la chienne, sentant sa colère revenir.

- Je te donnerais une meilleur vie, même si pour cela je dois me ruiner.

Miura dû employer une brosse pour retirer la crasse, étant cependant plus douce pour éviter d'abimer inutilement la peau de l'enfant. L'humaine utilisa un savon qui sentait la rose, histoire que la peau s'imprègne d'une senteur plus agréable. Pour les cheveux, elle n'utilisa pas de shampoing, craignant qu'Ibi n'ai pas le réflexe de fermer les yeux et usa du savon, cela ne ferrait pas de mal.  Une fois propre Miura étala sur un petit tabouret une serviette, posant sa protégée dessus pour s'assoir à genoux derrière Ibi.

- Je vais faire de toi une jolie jeune fille.

en face des deux femmes se dressait un miroir. Miura reprit le ciseaux et coupa les élastiques de sa protégés, les jetant dans la poubelle, puis elle se mit à brosser les cheveux, usant de différent peigne pour éviter que la chienne n'ai trop mal. L'humaine se mit à soupirer.

- Je vais réellement devoir de faire une autre coupe.

Miura prit un peigne et une paire de ciseaux et entreprit de rendre plus potable la chevelure de la chienne. Elle prit son temps pour regarder les cheveux d'Ibi, les touchant, essayant de voir quelle serait la coupe idéale, l'humaine finit par opter pour une simple queue de cheval? Le temps d'aller voir une véritable coiffeuse. Miura se mit à parler pendant près de dix minutes avec Ibi, de tout et de rien, simplement pour habituer l'oreille de la chienne aux sons émit par les humains. L'humaine savait que sa protégée ne devait pas bien comprendre les mots, voire être incapable de les comprendre, mais la milf souhaitait quand même essayer. Vint alors une phrase intéressante pour Ibi.

- Il faut te donner un prénom ... hum ... Que dirais-tu de Wakana, cela veut dire jeune plante en japonais ?

L'humaine se mit à se pointer du doigt.

- Miura

Elle vint ensuite à pointer Ibi

- Wakana

Les deux mots avaient été dit avec une certaine lenteur et en ouvrant bien la bouche, pour qu'Ibi essai d'imiter. L'humaine espérait que les cordes vocales de la petite n'aient pas été eut aussi traumatisé, ce qui aurait rendu sa protégée dans une situation encore plus difficile.

Miura fut surprise de la voir tourne la tête, craignant que sa protégé n'ai pas comprit un traitre mot de ce que la milf disait et encore plus sur son nouveau prénom. Mais le plus amusant fut certainement quand Wakana se mit à parler, la stupeur de l'humaine fut visible par son sursaut, mais aussi par ses mains qui cachait sa bouche, comme pour se retenir de dire des choses, elle était surprise et terriblement contente, la voix de sa protégée était claire et elle savait au moins comprendre ce qui se disait. Miura eut le droit de savoir la raison d'un tel changement, mais très vite elle comprit qu'un autre problème était présent, surtout quand Wakana se mit à prendre une posture qu'elle connaissait, celui d'une servante dévouée et de toute manière obligée d'obéir. Cette image fit comme un raz-de-marée dans l'esprit de la milf, ce que sa protégée dit changea pendant un bref instant celle que Wakana prenait pour sa maîtresse.

Sans réfléchir la main droite de la milf se mit à s'abattre sur la joue de la jeune fille, Miura se rendit compte de son geste et avait mal d'avoir agit ainsi, mais il fallait être dure et claire à présent avec sa protégée, la voix de la femme mûre était transparente sur le sentiment de colère qui la rongeait.

- Tu n'es pas un objet dont je dispose ! Je ne suis pas ta maîtresse, comme tu n'es  pas mon esclave ! Je souhaite faire de toi une fille ! Ma fille !

La dernière phrase stoppa la colère de la milf, qui ne savait pas pourquoi elle avait dit cela. Elle se mit à observer Wakana et comprit qu'elle c'était sans doute trop impliquée émotionnellement  avec sa protégée. La milf se mit à se calmer , reprenant une voix plus douce.

- Je souhaiterais être une mère que tu désirerais avoir, pas une maîtresse, juste une personne que tu puisses aimer, à qui tu puisses parler de tes doutes, de tes peurs, une personne qui puisse t'aider à avoir une vie rayonnante. S'il y a une personne qui peut user de son corps pour gagner de l'argent, ici, c'est moi.

Miura se mit à saisir une serviette pour finir d'essuyer les quelques trace d'eau restant sur le corps de Wakana. Puis elle se mit à guider sa protégée vers la penderie, ressortant d'immense carton qui avaient été soigneusement scotchée. Elle les ouvrit et dit avec douceur.

- Ses cartons appartiennent à une de mes filles, enfin c'est ce que j'aimerais dire, mais il ne s'agit là que d'un stock que j'avais prévu si j'avais eu une fille. Normalement il y a des tenues à ta taille.

Miura se mit à fouiller dans les cartons et sortie divers vêtements, la soirée débutait, aussi Miura avait choisi des tenues légères, comme des nuisettes ou des pyjamas, même si elle se doutait qu'elle aurait le droit de faire des retouches pour aller à sa protégée. La milf attendit que Wakana choisisse sa tenue du soir.