Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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BRUTAL LETHAL SODOMY 6

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Johnny Kingsize

BRUTAL LETHAL SODOMY 6

mardi 23 juillet 2013, 19:11:26

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Once upon une fois, le monde was in peace. But some motherfuckin' extraterrestres come to foutre le dawa. They have a putain de plan to faire chier les gens : kimapd... quidnap... kyndapter....enlevouz all les meufs trop fuckin' nice du cul.
But they oublied one CRUCIAL chose, ONE FUCKIN' DETAIL OF THE DEATH : Johnny Kingsize, who est all vénère. Et it will chier dans la town, bicauze Johnny want to baiser some asses.[/size]

THIS SUMMER
THE KING
IS
BACK !!!



[-------------------------------------]


Johnny était tranquillement planté devant une de ses chiennes en string se remuant le cul sur la piste du club de strip et buvait une bière peinard sans emmerder personne depuis au moins dix minutes quand une explosion à gros budget retentit et fit trembler sur ses fondations l'Assmazonia, boîte à cul bien connue depuis le deuxième film. Johnny savait que la Terre avait été attaquée par les Porkokeufs mais s'en branlait pas mal, en fait. Après tout, on avait déjà vu ces merdes gays à tendance sadomaso dans Brutal Lethal Sodomy 1 et 2 et ils leur avait méchamment botté le cul en stoppant leur invasion planétaire en faisant tout péter leur flotte de vaisseau à tête de cochon. Pourquoi donc retournerait il s'occuper de leur cas dans le 6ème opus ? Que les scénaristes aillent se faire mettre profond.

Il en était à tenter un peu de son machin abusivement viandé quand le plafond s'ouvrit pour laisser descendre un écran plat diffusant un appel visio en direct avec le bureau des Nations Unies, dévoilant le chef du gouvernement mondial complètement affolé. Tout à fait, les Nations Unies sont devenues un gouvernement totalitaire dans BLS4 et si vous n'avez pas suivi les films ou que ça ne vous plait pas, allez juste vous faire foutre.
C'est d'ailleurs comme ça que Johnny entama la conversation, en invitant le boss mondial à aller se faire dilater le petit trou. Mais la situation était plus grave que dans le 5, dans lequel ça chiait pourtant déjà pas mal.


- La situation est plus grave que dans le dernier film, dit le boss.
- Allez vous faire mettre quand même, répondit Johnny. J'ai une petite pépée à baiser.
- Mais, Johnny ! Les Porkokeufs ont enlevé toutes les bonnes meufs de la planète, il ne reste plus que les moches !

A peine eut-il le temps de finir qu'un rayon venu de nulle part frappa la strip-teaseuse bien gaulée qui se trémoussait sur les genoux de Johnny, qui n'apprécia pas qu'on le laisse en plan alors que son érection lui avait déjà pompé facilement 25 litres de sang.

- Merde, quel tas d'enculés !
- Qu'allez vous faire, Johnny ?
- Botter le cul des Porkokeuf, récupérer les chiennasses et abattre le narrateur de ce rp à la con.
- Le monde compte sur vous, Kingsize !

Et l'écran de remonter à sa position initiale avant que Johnny n'attrape un Fatherfucker Mark VIII qui traînait pas loin. Sortant de son clu maintenant vide, Johnny découvrit que la ville était à présent rasée, un tas de ruines fumantes catastrophiques. Après un plan serré sur le reflet dans ses lunettes de soleil, Kingsize abattit un méchant qui passait justement par là. Mais le vil n'était pas seul, non ! Il était accompagné de toute une escouade d'autres méchants qui s'étaient réunis pour venir plomber le cul de Johnny histoire qu'il ne les fassent pas chier pendant qu'ils chopaient les plus bonnes nanas et réduisaient la Terre en un tas de cendres.
Et les tirs commencèrent à s'échanger, Johnny restant debout devant les Porkokeufs à couvert derrière des morceaux de buildings et de la statue de la Liberté qui traînait pas loin. Ça dégommait sec du cochon alors que Kingsize n'avait rien, comme si les balles l'évitaient ou que ces cons de mutants tiraient aussi mal que les Stromtroopers de Star Wars.


- Smells like fried bacon, les nargua t'il.

Quelle classe, ce Johnny ! Il allait sûrement gagner, comme dans les autres films d'avant. Sauf que cette fois, y'avait un autre type au casting.

TADA TINTIIIIIIIIN !
<ceci est l'onomatopée d'une musique dramatique mais entraînante ressemblant à du violon joué à la guitare électrique. Je vous emmerde, tas d'enfoirés.>
« Modifié: mardi 23 juillet 2013, 19:31:06 par Sentinel Prime »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : BRUTAL LETHAL SODOMY 6

Réponse 1 mardi 23 juillet 2013, 21:24:03


Sam « Serious » Stone

PRÉSENSATION (SUCCINCTE) DE SAM

  • Est plus ou moins responsable de la destruction totale de l’écosystème de six ou sept planètes, ainsi que d’un Empire galactique millénaire ;
  • A eu jadis le choix de se marier entre son minigun et un clone nymphomane de Jessica Alba... A choisi le minigun, conservant le clone comme maîtresse ;
  • A une IA intégrée dans le cerveau, qui a envie de baiser Sam, mais ne le peut pas, et se venge de sa frustration en lui balançant des mots compliqués. Fait genre qu’il les comprend et tout, mais ne capte que dalle ;
  • Commence à apprendre à nouer ses lacets.





« Mais c’est une catastrophe ! »

Le vieux Kaïoshin, des hauteurs de Kaïoshinkai, était épouvanté. Une catastrophe cataclysmique venait de s’abattre dans sa vie. C’était encore pire que quand un chewing-gum rose avait démoli son sanctuaire : de sales porcs étaient en train de piquer les belles meufs, de les vaporiser ! On ne laissait que des moches, des filles qui n’étaient même pas fermes. Le sage Kaïoshin, ancêtre de tous les Kaïoshin, décida que l’heure était venue de faire appel au plus grand de tous les héros, afin de protéger la sainte alliance du cul et des nichons. C’est à cette fin que le Grand Kaïoshin recouvrit toutes ses forces pour faire venir des confins de l’Univers galactique le plus grand héros de tous les temps.

Il émergea d’un monde en flammes, qui venait d’être détruit. Ses parents l’enfermèrent dans le vaisseau pour le faire partir, avant que leur monde ne soit pulvérisé, s’inquiétant de sa venue sur Terre. Il ne serait pas comme les autres, on le mépriserait pour ça. La mère avait raison d’être inquiète, mais le père, lui, était confiant. Son vaisseau spatial voyagea à travers les galaxies. Ce vaisseau comprenait un homme. Sam « Serious » Stone. Le vaisseau voyagea de loin, et finit par approcher de notre belle planète bleue.


Le vaisseau, lentement, amorçait sa descente, filant tout droit vers New York, quand un tir laser des Porkokeufs atteignit son vaisseau, détruisant les systèmes de visée.

« BEEEEEEEEEEEEUAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !! » hurla Sam.

Le vaisseau rebondit sur la Statue de la Liberté, faisant tomber la flamme, puis heurta le toit d’un immeuble, avant de s’ouvrir en deux. Sam tomba.

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH !! »

Il s’écrasa sur une voiture, qui lui servit d’airbag, roula sur le sol, tandis qu’un Porkokeuf en patrouille pointa son arme sur lui. Sam remit en place ses lunettes, alors que le Porkokeuf lui beuglait des ordres inintéressants. Le temps qu’il se relève, on entendit un sifflement.

*SPLOUITCH !!*

Le haut du minigun, tel le phallus de Sam, s’écrasa sur la tête du Porkokeuf, explosant sa tête, le coupant en deux, avant de fièrement se planter dans le sol, son métal en acier chrome luisant au jour comme une rivière de diamants.

« Aaaaah... My old love ! » s’exclama ce dernier d’une voix caverneuse.

Devant lui, une armada de gros porcs s’avançait vers lui.

« Venez, les pédales, vous allez voir ce que c’est, un phallus d’hommes. »

Il attrapa le minigun, d’une main, et ouvrit rageusement le feu. Les balles se mirent à pleuvoir sur les Porkokeufs, les fauchant comme du blé.

« Sam... Je détecte un autre survivant à proximité de ta position !
 -  Ah ouais ?
 -  Il est en-dessous du pont autoroutier où tu te trouves.
 -  Je le rejoins. »

Il sortit alors de sa poche une puissante bombe, et la balança devant, puis appuya sur le bouton.

*BOOOOOOOOOOOOOOOOOMMM*

Et il sauta dans le trou.

« Tu aurais pu prendre l’escalier.
 -  Nan.
 -  Mais pourquoi ?
 -  C’est Michael Bay qui a écrit le script, darling... Et un homme prend pas l’escalier, c’est un truc de tapettes. »
« Modifié: mercredi 03 septembre 2014, 00:55:50 par Princesse Alice Korvander »

Johnny Kingsize

Re : BRUTAL LETHAL SODOMY 6

Réponse 2 mardi 23 juillet 2013, 22:25:44

Pour mettre tout le monde dans l'ambiance, l'auteur de ce scénario fantastique précisera qu'il emmerde le joueur du post en haut, parce que Michael Bay n'aurait jamais réussi à pondre BRUTAL LETHAL SODOMY 6. D'abord. Ce RP se retrouvera bientôt googlisé par des millions de fans en rut car tout le monde veut se faire baiser par le mec avec les plus grosses balloches d'LGJ et personne ne veut sodomiser Michael Bay, qui a appelé un de ses putains de Transformers comme le second personnage le plus classieux du forum. Ou alors, c'est justement pour ça que les gens voudraient lui faire sonner les joyeuses, ce qui serait drôlement compréhensible.
Pour prévenir les plus lents d'entre vous, ramassis de bulots, ce rp allait aussi devenir encore plus WTF qu'au premier post.

Alors que Johnny s'énervait de ce putain d'hrp qui ne le mettait pas en avant, il continuait à tirer pour dézinguer des Porkokeufs comme des spermatozoïdes s'écrasant dans un Kleenex tout en insultant copieusement son joueur. L'hécatombe enchaînait déjà des centaines de PNJ au second post, ce qui sous-entendait que ça allait dégommer encore plus sévèrement dans la suite où Kingsize allait récupérer des armes forcément plus WTF. Quand le pont s'écroula dans une explosion qui valait presque un de ses pets, Johnny zieuta du côté de la fumée pour découvrir un espèce de fils de pute qui lui avait volé l'entrée classe qu'il se réservait. C'est à ce moment là que le narrateur aurait précisé que ça allait salement chier, mais il trouva que ça parlait un peu trop matière fécale.
Pour compenser, Johnny pensa qu'il allait rencontrer la guest-star pour lui pisser dans la bouche parce que bon, c'était lui le héros avec la gueule sur l'affiche.


- Je baise ta soeur, poche à urine, salua d'abord Johnny qui avait toujours le mot pour rire.

Un Porkokeuf tenta bien de s'interposer entre eux d'un bond de sale enfoiré de cochon sodomite armé d'un parpaing. Kingsize le tua en rôtant, son éructation (un mot compliqué qui allait augmenter le budget de la production, assurément) détachant sa peau du reste de son corps par la seule vibration des ondes sonores. Le cuir de la bestiole retomba aux pieds de Johnny, ce qui défiait toutes les lois de la physique, mais tout le monde s'en branlait. DA KING s'approcha du second rôle pour se coller à dix petits centimètres de sa gueule de babouin, son cigare passant d'un côté à l'autre de sa bouche pendant un laps de temps  passé sur une musique grave qui disait bien que c'était une scène de mâles, de vrais bonhommes tatoués avec des bites plus grosses que leurs flingues.

- J'ai lu le script, enfoiré de suceur de mouton. Le grand Kaïoshin t'envoie pour sauver mes chiennasses et ça serait bien de faire ça si tu te prenais pas pour moi, salope purulente. Alors on va voir c'que tu sais faire.

Johnny se retourna comme c'était prévu dans le scénario et on put voir dans un zoom poussif de caméra un méga-gros Porkokeuf avancer vers les deux Alphas, qui en avaient des en acier massif. GroPorko, c'était le nom de ce boss, était un con.
Mais pas autant que Johnny, faut pas déconner.
Le saluant par un fuck souligné d'un riff agressif de guitare électrique, Kingsize désigna GroPorko à (Not so) Serious Sam.


- Bute le avec classe, petite putain lécheuse de cul merdeux, et là on verra si tu es plutôt Smallsize ou Kingsize. Sans le flingue, hein, goudron puant. Sinon c'est trop facile.

Après GroPorko, y'en avait un deuxième tout pareil que Johnny dézinguerait aussi d'une façon classe dans une punchline inédite pour faire plaisir aux fans. Mais d'abord, il fallait voir comment s'en tirait le second couteau, dans la bouche duquel Johnny pissait toujours.

TADA TINTIIIIIIIIN !
<ceci est encore l'onomatopée d'une musique dramatique mais entraînante ressemblant à du violon joué à la guitare électrique. Je vous chie sur les molaires, bande de pisse-dessus.>

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : BRUTAL LETHAL SODOMY 6

Réponse 3 mercredi 24 juillet 2013, 10:47:16

Au milieu des débris fumants du pont autoroutier, de la poussière qui s’étalait, des carcasses sanguinolentes et démembrées des Porkokeufs (quel nom débile, sérieux, quel était le putain de stagiaire qui avait trouvé un nom aussi naze ? Comment veux-tu être crédible quand t’affrontes les redoutables Porkokeufs, quoi ? C’est que Sam tenait à sa réputation, pas comme l’autre suceur de noix qui se la pète), un homme s’avançait. Admirons sa silhouette magnifique, ce corps aux proportions parfaites qui auraient ravi n’importe quel Grec, admirons ce roulement des hanches, cette fière allure élancée alors que, sortant des débris, il n’accordait aucune attention au minable Porkokeuf qui débarqua entre les deux hommes. Pourquoi ? Et bien, si vous aviez lu le script, vous sauriez déjà pourquoi il n’avait pas attaqué. Sam n’en pensait pas moins que Johnny : depuis que les Japonais s’étaient prostitués pour les Américains, c’était la merde. Et le respect des traditions, on en fait quoi, hein ?!

« Je t’encule, sac à foutre » lui répondit-il, parce que ça fait viril d’insulter les gens.

Ce fut à cet instant que l’IA se mit à interagir :

« Mais... Ces lunettes noires, ce cigare de gros mafieux, cette coupe en brosse, c’est... C’est JOHNNY KINGSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIZEEEEEEUUUUUUUUUUUHHHH !!! *cri de femme hystérique*.
 -  Ah ouais ?
 -  On dit qu’il peut voler avec sa bite. J’ai toujours eu envie de me le faire, d’être sa petite pute...
 -  ’Va chier, salope, c’est moi qui te défoncerai le cul.
 -  C’est la copie du héros de Duke Nukem, Sam, c’est comme si tu étais son fils !
 -  Duke... Duke Nukem ? »

Moment de silence. Sam éclata alors de rire.

« HAHAHAHAHA ! Non, mais Duke Nukem, quoi... HAHAHAHAHAHAHAHA ! Putain, la baltringue, genre... Encore un vieux fossile d’Hollywood qu’on arrive pas à recycler et qui termine sa carrière dans des films de merde où on affronte des cochons pervers. Merde, je veux connaître le connard qui a écrit ce script de merde, et le sodomiser avec la gatling... Puis j’irais bouffer le cœur des mères des producteurs, parce que, pour financer une telle merde, ‘faut que ce soit la pire des salopes qui vous ait craché à la gueule. »

Était-ce là son rôle, dans ce film naze ? Réconforter les vieux fossiles ? Bah, c’était comme promener son grand-père au parc... Ouais, vous savez, le truc où il fallait éviter qu’il bouffe les crottes de chiens, et saute sur les lycéennes en se camouflant en mode « Ninja » dans les buissons. Mais bref. Johnny Small-Size fit un concours de bites avec Sam en lui indiquant de tuer un gros tas de merde sans le flingue. Sourire amusé de notre intéressé.

« Ouais... À la Préhistoire, les fossiles se battent avec les poings. Mais je vais te montrer, petite bite. J’ai eu un formateur de génie. Le plus grand qu’on puisse avoir. »

Et il s’avança, faisant face au GroPorko (encore un nom à la con, tiens ; il tuerait le scénariste, c’était obligé, il lui enfoncerait son morceau de pizza dans le cul, si fort que ça lui ressortira par les narines), qui poussa un rugissement bien puant en l’accueillant. Sam ne vérifia qu’une seule chose : que ses lunettes soient bien mises. Depuis « Serious Sam 3 », où il avait enfin pu avoir des lunettes, et où il n’avait plus cette affreuse tête de con de « Serious Sam 2 », Sam y tenait précieusement...  Presque qu’autant qu’à son minigun, c’était vous dire.

Le temps sembla se suspendre, les deux adversaires s’observaient dans le fond des yeux. La poussière remuait à leurs pas, faisant légèrement bouger le jean de Sam. On voyait le regard furieux, plein de haine du GroPorko, les pupilles injectées de sang, son sourire gras et imbécile témoignant du fait qu’il était le vice absolu. Sam, lui, conservait ses lunettes rouges, et malaxait ses poings, faisant craquer de manière virile ses doigts. Ses lunettes brillaient d’un léger reflet de soleil.

Et il se mit à courir, la caméra suivant le mouvement de ses fesses.

« GEEEEEEEEEEROOOOONNNNIIIIIIIIIIIMOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !! »

Et Sam bondit dans les airs, pied droit tendu, pied gauche en équerre le soutenant. Il allait lui faire la technique ultime : le Chuck Norris Super Kick, technique interdite réservée au Grand Chuck et aux ultimes initiés. Ralenti sur image. Admirez le mouvement des hanches, la position des combats, les dents serrés de Sam dans un rictus de haine et de démence absolue. Le soleil se reflétait magnifiquement sur son corps. Cette technique avait arrêté des voitures en pleine route, et elle produisit son office.

Le coup de pied frappa le GroPorko en pleine tête, lui faisant chier ses dents de petite pute, et il s’écroula sur le sol.

Tandis que Sam s’écartait lentement, l’arbitre le plus cool de l’Univers, également membre VIP du Club des Lunettes de Soleil, et que rien n'arrêterait (pas même la destruction du Stade par Piccolo ; si ça c'est pas un mec qui en jette, franchement) débarqua, et compta.

« 1... 2... 3... 4...
 -  ’Pas la peine de compter, il ne se relèvera pas » lâcha Sam, attendant la standing ovation et la foule en délire.

Johnny Kingsize

Re : BRUTAL LETHAL SODOMY 6

Réponse 4 mercredi 24 juillet 2013, 12:11:00

Des gens ici faisaient gravement les malins, oubliant qui avait sa ganache sur l'affiche du film, affiche qui avait déjà dû faire mouiller une partie des pisseuses du forum. Le nom de Pokokeuf était génial quand même, sachant que le brainstorming pour le trouver avait coûté plus de 546 centimes de dollars à la production lors du premier Brutal Lethal Sodomy, ce qui était plus élevé que le salaire moyen des figurants, mine de rien. De toutes façons, aussi bien que les gros nichons méritaient un coup de tampon, Johnny avait dicté une des lois de l'univers : tout ce qui venait de lui était Kingsize et il vous pissait nécessairement à la raie.
Au moins la copie du troisième rang était polie, saluant Johnny correctement, ce qui l'emmerda parce qu'il ratait là une occasion de lui mettre son poing dans la gueule alors que son thème (qui était grave chaud du cul) se lancerait en fond sonore avec une explosion de décor. Visiblement ce ralenti du bulbe de Sam parlait tout seul mais comme le joueur de Johnny savait lire un rp correctement, il apprit à Kingsize que l'IA de l'autre voulait lui grimper le long du mandrin en jouant les pom-pom girls avec ses burnes. Mais Kingsize vous enculait tous à sec, sachant qu'il n'était la copie de personne puisqu'il était né avec l'univers et qu'en plus, il emmerdait les mécontents. Attrapant son cigare entre des doigts pour souffler un peu de fumée avant de lâcher un glaviot qui fit s'envoler un morceau du macadam qu'il percuta dans un son de ricochet de balle de fusil, Johnny se la péta sec  avant de répondre.


- Sachant que j'ai sûrement baisé ta mère, je peux te dire que t'es qu'un fils de pute, étron suintant.

Johnny était quelqu'un de très sociable et aussi de très viril. D'ailleurs, dans certains pays du globe, "Testostérone" s'écrivait depuis des millénaires "Johnny Kingsize" et ce n'était assurément pas pour rien.

- Si je mets la main sur le connard qui t'as invité dans mon film, je lui fais la même gueule que toi, dégueulis sec. Sachant que Sam n'était pas très beau, c'était une menace très méchante, ouhlalala. Maintenant arrête le hors-sujet et fais ta prochaine action que le scénario qui n'existe pas avance un peu, connard de virus de la grippe.

Parce que bon, merde, Johnny avait lancé un défi et n'avait pas de temps à perdre avec les mecs qui affichaient moins de 70 centimètres de bite. Ça lui rappelait sa petite enfance sinon et Johnny n'était pas nostalgique pour un sou, ni pour deux ou pour dix. Et puis, hin hin, ce con de Serious Sam venait de révéler à quel point il était un sous-homme presque aussi bête que Johnny mais pas autant, parce que Johnny était le meilleur partout.

- T'as eu besoin qu'on te forme, glaise foutreuse ? En même temps après ce que j'ai mis à ta mère, fallait bien que quelqu'un te redonne l'aspect de quelque chose même si tu ressemble toujours à rien, espèce de diplômé du Bac.

Si Kingsize n'avait été un sale con égocentrique, il aurait put trouver à Sam un certain style dans sa façon d'abattre GroPorko -qui était un nom aussi génial que le reste du film, sucoteur de cigare merdeux- lors du coup de pied ultime qu'il infligea. D'accord, donc si on avait le droit d'invoquer Chuck Norris, c'était vraiment la fin de la crédibilité de ce One-shot. Johnny alla voir le cadavre tandis que la foule en délire acclamait Sam pendant que des PorkoKeuf se touchaient la bite en le matan, ce qui était tout de même plus dégueulasse qu'un rp scatophile. Johnny parti de son petit rire de connard ("Hin hin hin") et se recula un peu pour que GroPorko 2 arrive dans la scène en faisant plus le méchant que le premier, remuant des bras et cassant des choses autour de lui. Ce qui ne servait à rien, parce que ça fait dix minutes que les héros de ce film avaient tout pété.
Pendant que GroPorko 2 faisait son cinéma sur une musique presque dramatique qui en disait long sur la merde qu'était cette scène, Johnny attrapa un cadavre à terre et lui décolla une gifle qui résonna pendant dix secondes avant de récuperer les dents du macchabée qui lui tombèrent dans la main dans un bruitage de jackpot au bandit manchot pour l'effet comique. Une fois les chicots en main, Johnny versa du whisky pur dessus sans avoir besoin d'expliquer la provenance de la bouteille parce qu'il faisait bien ce qu'il voulait et vous la mettait profond, et se les mit toutes dans la bouche.


Se plaçant alors devant GroPorko pendant que le thème de PorkoKill résonnait avec style et prouvait que l'auteur pouvait aussi placer une insert song, qui était présente d'ailleurs sur l'ost de BLS6, Johnny gonfla un peu les joues avant de souffler en direction du boss. Les dents arrachées partirent avec encore plus de gueule que les balles de la gatling toute pourrie de Sam, enlevant à GroPorko 2 des morceaux de son corps gros comme des rôtis avant qu'il ne reste finalement plus qu'un vague souvenir de silhouette en lambeaux qui se tenait encore debout alors que la bande son s'arrêtait.

- Hail to the King, baby.

Dit Johnny en se retournant alors que son thème musical explosait et qu'un rayon de soleil brilla sur ses lunettes de soleil. Les restes de GroPorko commencèrent à tomber sur eux-même, ce qui fit surgir des troupes et des troupes et des troupes de Porkokeufs, ce qui faisait tout de même un paquet à foncer sur les deux tas de muscles. Johnny attrapa son Fatherfucker hors champ avant de le ramener devant la caméra avec style, armant la bête dans un "CLAC CLAC" qui disait que ça allait sévèrement en chier pour les cons d'en face.
Jetant un oeil à Sam pour savoir si il comptait tirer où si il avait besoin qu'on lui explique comment marchait son joujou, Johnny tira une bouffée de son barreau de chaise.


- Come n' get some !

Et il ouvrit le feu dans un vacarme assourdissant, qui montrait bien que la production kiffait les effets sonores abusifs.

TADA TINTIIIIIIIIN !
<ceci toujours l'onomatopée d'une musique dramatique mais entraînante ressemblant à du violon joué à la guitare électrique. Allez vous faire mettre, bande de clandestins chinois.>

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : BRUTAL LETHAL SODOMY 6

Réponse 5 mercredi 24 juillet 2013, 13:22:39

Sam s’écarta. Il attendit en se grattant une couille et en pétant, parce que ça faisait viril, et qu’il y avait que les banquiers qui attendaient bras croisés. Dans la rue dévastée, il restait encore un GroPorko (et c’est un nom de merde, il maintient, quitte à s’embrouiller avec le scénariste de ce OS de merde ; de toute manière, le scénariste est une brêle que Sam retourne avec le doigt et lui défonce le cul à le faire chier par les yeux), que l’autre tantouze décida de niquer. Pour ce faire, il décida de prendre une méthode bien dégueulasse, en utilisant les dents d’un de ces suceurs de moules. Mais la musique était classe, ouais. Ce pédé avait bon goût, ‘fallait bien le reconnaître. Bien sûr, ça ne valait pas son thème à lui, qui était tout un putain d’orchestre symphonique galactique à lui tout seul, mais, hey, ‘fallait être conciliant avec les antiquités. Johnny, c’était une sous-merde produit hollywoodien vendue à ses putains de producteurs hollywoodiens qui savaient plus faire que des Call of Duty, ces jeux de branlettes, pour se farcir le cul de diamants gros comme des poings. Lui, il venait d’Europe de l’Est, gros, ceux qu’avaient niqué ces sales enfoirés manchots de communistes qui buvaient de la vodka en jouant à Dig Rigs, et pas ces branlettes de Marines, qu’étaient même pas foutus de foutre une branlée à deux/trois barbus/moustachus en salopette.

Les dents pourris du Porkokeuf fauchèrent le GroPorko, qui s’écroula sur le sol.

« P’tite pute, va, tu peux le tuer qu’avec ta gueule, les Américains sont bons qu’à ça : tout dans la gueule, rien dans le futal... P’tite bite. »

Une armada de Korpopopeufs, ou quelque soit le nom de chiotte de ces derniers, leur tomba sur la gueule. Sam tendit la main, et son minigun apparut. Beau, magnifique, métallique, le phallus ultime. Les porcs leur fonçaient dessus en hurlant, une marée noire. Sam écarta les jambes, et, sous ses lunettes de soleil rouge, fronça les sourcils... Et, quand un héros de film pourri fronce les sourcils, mes amis, c’est qu’Armageddon allait sonner. La grande chiée, le grand massacre, l’Ultime purge.

« Allez chier vos mères, baltringues ! »

Et Sam fit feu. Le minigun se mit à rugir, les balles explosant, fondant droit sur les ennemis, les fauchant. Morceaux de tripes explosant, yeux qui pétaient, corps découpés en deux, membres arrachés, grognements des Porkokeufs, c’était un vrai massacre, une tuerie épique, digne des plus grands peplum, des plus grandes luttes de l’Humanité. La bataille de Troie ? Des pédales douces incapables de se battre. Les Thermophyles ? Des tantouzes en jupes. Les balles fusaient le long de la rue, dans un enfer assourdissant de coups de feu. Il y eut plusieurs explosions (parce qu’il fallait plaisir à Michael Bay, et qu’il se touchait la nouille à chaque bombe) sans qu’on ne cherche trop à comprendre leur origine (de toute manière, qui cherchait à comprendre le sens de cette scène ? Tant qu’il y avait des viscères éclatés et des gros calibres, les producteurs étaient contents). Ça chiait de partout. Pamri les cadavres éclatés, d’autres Porkokeufs arrivaient, formant un déluge de monstres moches et puants.

« 548... 549... 553... »

Sam comptait le nombre de kills. Son hi-score était en train de monter, enchaînant les combos. X12... X13... X14...

*EXTRA-LIFE !!*

« Yeah, baby ! » commenta-t-il.

Le minigun tirait sans relâche, et, au bout d’un moment, un immeuble s’écroula, bloquant les Porkokeufs dans une terrifiante explosion apocalyptique. Comment l’immeuble avait-il pu s’écrouler en explosant, c’était une question bien trop complexe pour les acteurs, les scénaristes, les spectateurs, et tout le monde s’en foutait. Sam arrêta le minigun, un peu de fumée s’en échappant. Il releva le canon de l’arme, et souffla dessus.

« Baby, I love you » dit-il, avec toute la sincérité du monde.

Il sourit légèrement.

« Quand on aura niqué ces suce-boules communistes, tu seras ma pute, face de cul de manchot » commenta ensuite Sam à l’intention de Johnny.

Oui, c’était un compliment.


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