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Flashback (Lucrezia)

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Virgile

Créature

Flashback (Lucrezia)

mercredi 26 juin 2013, 01:11:44

Les repaires temporels de Virgile se défaisaient petit à petit, comme une pelote que l'on traîne, dont le fil se couche sur le sol, s'enroule ici, se noue là. Il n'avait plus notion de rien. Sa femme était partie, il ne voyait plus ses filles. Et l'éternité lui semblait d'une telle lourdeur ... Le vampire passa sa main sur son front, posant sa tasse de café sur la table de la petite salle aux murs blancs. Les mots "Salle de repos" se dessinaient sur une affiche, accrochée au dos de la porte. Il y avait là de quoi grignoter, boire, bouquiner. C'était petit, mais agréable. Trois grandes fenêtres faisaient entrer des épaisses vagues de soleil, dés que le soleil daignait sortir de derrière les nuages. Virgile s'alluma une cigarette, remettant sa blouse blanche en place. Cela faisait un moment qu'il avait trouvé un emploi, ici, dans cet hôpital psychiatrique où étaient terrés beaucoup de patients. Enfin, beaucoup ... Il ne fallait pas exagérer. Les lieux étaient habitables, de taille moyenne. Un hôpital divisé en trois ailes, au centre d'un parc merveilleusement bien entretenu. Une fontaine vide trônait au centre de la cour. On avait dû lui faire cesser toute activité après qu'un patient en ait noyé un autre. Ces lieux comptaient toute une panoplie d'histoires au moins aussi glauques. Et moi, je suis tombé ici. Il haussa les sourcils. Cette perspective ne l'enchantait guère. Il ne comptait pas rester ici longtemps. Juste le temps de résoudre un cas. Un seul cas. Et il savait déjà lequel.

En tant que psychiatre, Virgile avait appris à déceler ce qu'il se tramait au coeur d'une personne. Perte de confiance en soi ? Dépression ? Il savait tout. Même déjouer les menteurs. Récemment, il avait suivi une patiente, fraîchement arrivée, au regard incendiaire. Tout le monde la jugeait bipolaire, mais lui savait qu'il y avait autre chose. Oui, autre chose. Comment s'appelle t'elle, déjà ? Elle avait le visage couvert de deux cicatrices, oui, il s'en rappelait ... Le vampire tiqua. Sa mémoire n'était plus ce qu'elle était.

- Docteur Lawton ?

Virgile se retourna prestement. Une infirmière, jolie, blonde, se tenait là, toute souriante.

- Oui ?

- C'est l'heure. Je veux dire ... Votre patiente vous attend.

Il fouina dans ses feuilles, sourcils froncés.

- Laquelle, déjà ?

- Lucrezia. Vous l'avez déjà vu à deux reprises.

- Je le sais, je le sais. Je pense même demander à mon collègue de prendre en charge quelques uns de mes autres patients, le temps que ... Que je m'occupe de Lucrezia.

- Pourquoi ça ? Lors de vos dernières visites, elle n'a même pas parlé. Pas un seul mot. Et même pas un regard ! Je trouve que ...

- Je suis le docteur. Et sans doute le plus qualifié de tout cet établissement. L'expérience. Alors, laissez-moi faire, et conduisez-moi jusqu'à sa chambre.

Etant immortel, oui, il pouvait se targuer d'avoir de l'expérience. L'infirmière n'ajouta pas un mot, le conduisant sagement jusque la chambre de Lucrezia. Là encore, l'impersonnalité était de mise. Murs propres, blancs. Sol propre, blanc. Lit, table, chaise, sanitaires, propres, blancs. Il en avait presque mal aux yeux. La seule touche de couleur venait de la fenêtre. Grande, scindée par des barreaux pour empêcher toute escapade improvisée, elle donnait sur le parc. Virgile fit signe à l'infirmière de déguerpir, hop, dehors, faites-moi confiance, et entra dans la pièce calmement.

Elle était là. Peau pâle, regard noirs, cheveux décoiffés, installée sur son lit. Virgile s'approcha de la table, où il posa un petit dossier. Une pochette cartonnée, bien tenue, où le nom "Lucrezia" était inscrit.

J'ai réussi à convaincre l'infirmière de ne pas me suivre. Nous sommes tous les deux.

Il montra la porte de la tête.

- Alors ... Accepterez-vous de me parler, aujourd'hui ?
Dr Lawton, à votre service.

Mes tatouages, mes pensées, mon être & mon abîme.


Vous guérirez, mon ami, c'est un cadavre qui vous le dit. - Sambre


Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Flashback (Lucrezia)

Réponse 1 mercredi 26 juin 2013, 21:47:36

La duchesse habituellement grande gueule et forte de caractère
sembler depuis une semaines, s'être calmer, ne sortant plus de sa chambre hors mis pour aller se doucher, seul au alentour de minuit.
Ses repas lui était désormais apportés dans sa chambre, ne voulant plus manger avec les autres "déchets" comme elle les appelées.
 
La belle était devenus très insociable envers tous les membres de l'Asile y compris envers les autres patients.
Chose plus troublante encore, les infirmières l'avaient surprise entrain de se scarifier à l'aide d'un vieu bout de miroir dans sa cellule.
Suite à ça une, fouille dans la chambre de lucrezia fut faite.
Un petit calepin remplies de notes diverses sur comment extraire l'utérus d'une femme avec précision, des mélanges de drogues diverse ainsi que le texte provenant de la célèbre lettre "from hell" de jack l'éventreur, fut retrouver et réquisitionner.

Le psychiatre qui était en charge de la tueuse sembler très intéresser par le cas de Lucrezia qui quant à elle... ne disait foutrement rien , deux séance passées à rester enfermer dans un silence de plomb, voila le premier bilan de leurs entrevues.

Mais l'homme en blanc ne désespérer pas pour autant, il avait décider de refaire une troisième séance, espérant que la jeune femme dédaigne bien parler.


Lucrezia était là, assise en position fœtale sur son lit, les yeux perdu dans le vide de cette pièce d'un blanc pur lui rappelant l'hôpital où elle exercer autrefois.

Elle porter un t-shirt à manche longue blanc cassée avec un large trou dénudant son épaule droite ainsi qu'un pantalon d'un bleu délaver un chouia trop grand pour elle.
En ce qui concerne ses pieds... ils étaient nus.
elle aimer marcher pieds nus, trouvant que les chaussettes et les chaussons que lui fournisser l'Asile était désagréables à portés.   

Cet alors qu'une jeune infirmière blonde entra dans la pièce, accompagnée de deux gardiens.

Bonjour Lucrezia, dite moi, êtes vous prête à recevoir le docteur Lawton ?

La duchesse ne dit rien, elle se contenta juste de tourné la tête avant de haussée les épaules, l'air de dire "je m'en branle"

La jeune infirmière fronça légèrement les sourcils avant de lui répondre.

Bien ! je vais prendre cela pour un oui alors..

Sur ce L'infirmière quitta la pièce.
Une dizaine de minutes plus tard, le docteur entra dans la pièce demandant à l'infirmière de les laisser seuls.
Lucrezia quant à elle n'avait pas bouger d'un yota, esquissant toujours le même regard vide.

L'homme se posta à coter de la table qui faisait le coin de la pièce, puis y posa une pochette sur la quelle était inscrite le nom de Lucrezia.
Elle lui lança un discret petit regard en coin puis tourna la tête en direction du mur qui étais à sa droite.
...Autant dire que c'était mal barrer.


Cet alors que le psychiatre adressa la parole à lucrezia.

-  J'ai réussi à convaincre l'infirmière de ne pas me suivre. Nous sommes tous les deux.

...Aucune réponse.

Il montra la porte de sa tête avant de retenter le dialogue.

- Alors ... Accepterez-vous de me parler, aujourd'hui ?

Lucrezia l'ignorer une fois de plus, préfèrent regarder le mur.
Cela dura cinq, dix, vingt, trente minutes se fut ensuite deux longues heures de silences que s'écoulèrent.

Puis...

je veux me barrer d'ici... dit elle sur un ton vide et morne tout en continuant de regarder le mur



Virgile

Créature

Re : Flashback (Lucrezia)

Réponse 2 vendredi 28 juin 2013, 12:21:54




L'avantage, avec Virgile, c'est qu'il était patient. Très patient, même. Vous me direz, quand on doit vivre pour l'éternité, on a tout intérêt à l'être. Le temps avait perdu tout son sens, depuis qu'il était un vampire. Deux longs siècles. Deux foutus longs siècles qu'il était 'en vie', si on pouvait se permettre d'utiliser ces termes. Alors, patienter deux heures, il pouvait le faire sans problèmes. Bien installé sur sa chaise, dos au mur, il la regardait. Et puis il pensait. Le vampire appréciait quand son esprit vagabondait. Il revoyait ses filles, malades, alitées, dont il s'occupait avec sa femme. Il se souvenait très bien de leurs souffles irréguliers, de leurs petites toux, et de la manière qu'elles avaient de prononcer "Papa", avec un voix éteinte mais très douce. Dieu ce qu'elles lui manquaient. Virgile aurait tué pour revoir ses filles. Mais elles étaient mortes depuis un long moment ... Ces deux anges n'avaient pas eu le malheur de devenir vampires. Restées humaines, elles durent subir le poids du temps. Il les avait très vite perdu de vue.

Dieu merci, ces souvenirs n'étaient plus aussi douloureux. Virgile n'y pensait plus qu'avec une douce nostalgie. Et les quelques mots qu'elle prononça l’extirpèrent de ses pensées.

- Je veux me barrer d'ici ...

Le docteur se redressa quelque peu, suivant le moindre des gestes de sa patiente. Qui ne bougeait toujours pas, ne daignait lui montrer que son dos. Ah, les femmes. Le vampire soupira doucement.

- Vous voulez sortir d'ici ? Comme je vous comprends.

Léger sourire. Il jeta un oeil par la petite fenêtre, sur la porte. L'infirmière était toujours là, et attendait. Virgile lui fit signe de déguerpir, qu'il n'y avait aucun danger. C'était vrai, tiens. Aucun patient, même les plus féroces, n'avaient eu raison de lui. Parce qu'il était un vampire, et disposait d'une force surhumaine, oui. Il n'avait même pas besoin de montrer les dents.

- Lucrezia ... Vous savez pourquoi vous êtes ici, non ?

Il toussa légèrement.

- Dites-moi pourquoi vous êtes ici. Et nous trouverons comment vous faire sortir d'ici.

Dis comme ça, ça semblait si simple.
Dr Lawton, à votre service.

Mes tatouages, mes pensées, mon être & mon abîme.


Vous guérirez, mon ami, c'est un cadavre qui vous le dit. - Sambre


Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Flashback (Lucrezia)

Réponse 3 jeudi 04 juillet 2013, 16:47:27

Lucrezia ... Vous savez pourquoi vous êtes ici, non ? 

 La duchesse ne répondit pas, elle se recroquevilla juste un peu plus sur elle même.
 Un léger blanc trancha alors la conversation, enfin, conversation entre guillemets...
 Le psychiatre émit alors un petit toussotement avant de reprendre.

 - Dites-moi pourquoi vous êtes ici. Et nous trouverons comment vous faire sortir d'ici.

 De bien belles paroles... utopiques, certes ! fausse, sans nul doutes mais après tout, pourquoi ne pas essayer ?

 Lucrezia tourna alors la tête d'un air totalement désintéresser en direction de sa fenêtre barricader, fenêtre légèrement rendue flou par de la buée.
Puis... elle laissa échapper un léger soupir.

Je suis ici car... J'ai tuée...

Oui, c'était clair, net, concis... Lucrezia, pour le coup, ne tournait pas autour du pot. Elle avait bel et bien tuée 6 personnes, du moins, 6 « officiellement », car en réalité son tableau de chasse s'étend à 8 personnes, deux putes ramassée au coins d'une rues, éventrées au cœur de la nuit noire dans une ruelle mal éclairée. Cependant, ces deux crimes n'étaient pas encore éclaircies, sachant que le mode opératoire de la Duchesse était particulièrement différents. Les six premières victimes furent tuées d'une manière relativement douce, meurtre qui était bien évidament précedé d'un viol, tendis que les deux meurtres commis dans les rues avaient, quand à eux, étaient le théatre d'un boucherie innomable et particulièrement atroce.

Lucrezia, toujours les yeux rivés vers sa fenêtre observait un plant d’hortensias indigos, des fleurs qu'elles aimaient beaucoup... Fleur que ça défunte mère aimait aussi énormément... Sa mère... Lucrezia y repensa l'espace de quelque instant avant de lentement se murer dans un autre silence.
« Modifié: mardi 22 avril 2014, 19:43:06 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Virgile

Créature

Re : Flashback (Lucrezia)

Réponse 4 dimanche 18 mai 2014, 01:10:49



Soupir de soulagement. Voilà qu'elle s'exprimait à peu près normalement. Virgile avait connu énormément de patients qui ne tenaient que des propos incohérents. Il ferma les yeux, encaissant les mots. "Je suis ici car j'ai tué." Le vampire secoua la tête, passant une main dans ses cheveux, puis sur son visage. Tuer. Tuer. Ces mots sonnaient toujours de la même façon, dans sa tête. Devrait-il être interné, lui aussi ? Après tout, il ne comptait plus le nombre de morts qu'il avait à son actif. Il avait simplement appris à vivre avec. Ce n'était pas si grave. Certains chassaient les cerfs, les lapins, lui préférait les humains, tout connement. Au moment de choisir entre sa propre survie et celle de ses anciens semblables, Virgile n'avait pas hésité longtemps.

Son regard se balada dans la pièce, se posant sur les fleurs. Des hortensias. Il en avait eu, à une époque.

- Tu as tué des gens, oui.

Continua t'il.

Il répétait ces mots aussi bien pour elle que pour lui-même. Tuer. Tuer. Le vampire n'était pas obsédé par le fait de donner la mort, mais il y pensait souvent. Après avoir tué, en regardant le corps vide de toute vie, sur le sol, en sentant le goût salé du sang dans sa bouche, Virgile ressassait pendant quelques instants tout ce qu'il avait en tête. Depuis longtemps, il avait décidé que cela ne le rendrait plus triste ni en colère. Il s'efforçait de vivre à sa façon.

- Et si, demain, tu sortais ... Saurais-tu t'arrêter ou continuerais-tu ?

Il posa sans un bruit son dossier sur un bureau, se rapprochant d'elle. Virgile finit par s'accroupir en face d'elle, détaillant son visage de ses yeux clairs.

- Que ressens-tu, au moment de tuer ? Du soulagement, du plaisir, de la rage ? J'aimerais savoir. Cette simple sensation peut faire toute la différence. Concentre-toi.

Virgile n'avait pas peur d'elle, elle pouvait le deviner à travers sa voix, rassurante, ses gestes qui ne tremblaient pas, son regard qui ne se baissait pas pour fixer le sol, comme le font tout ceux qui se sentent mal à l'aise.
Dr Lawton, à votre service.

Mes tatouages, mes pensées, mon être & mon abîme.


Vous guérirez, mon ami, c'est un cadavre qui vous le dit. - Sambre


Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Flashback (Lucrezia)

Réponse 5 dimanche 18 mai 2014, 15:59:40

- Et si, demain, tu sortais ... Saurais-tu t'arrêter ou continuerais-tu ?

Oui... Oui, elle recommencerait... Encore et encore et encore et ce, jusqu’à ce que mort s'en suive ou jusqu'à ce qu'on la renferme pour de bon. Lucrezia, comme bon nombre de tueurs de type "sériel" ne peut et ne pourra JAMAIS, s'arrêter de tuer... Nan... Elle aurais beau y mettre toute la bonne fois du monde qu'elle ne pourrait pas se résigner à arrêter ses exactions morbides et perverses... Lucrezia est vide... Ses sentiments sont dissous et morts au fond de son esprit malade, elle  tue pour combler se vide, mais, fatalement, après chaque meurtre, se vide reviens, plus grand, plus fort, plus présent que jamais... En ce temps là, ses 6 victimes "officielles" ont étaient tuées de manière discrète... Cependant... Le futur nous apprendra que le vide dans le quel baigne la Duchesse, la mènera à devenir la meurtrière sérielle la plus bouchère que le monde ais connu.


...

L'homme vint ensuite à doucement ce rapprocher de Lulu, s’accroupissant devant elle en la détaillant lentement les trait doux et féminins de notre Duchesse qui, quant à elle, ne broncha même pas, affichant toujours la même expressions, empreint de mélancolie, d'ennuie et d’indifférence.

- Que ressens-tu, au moment de tuer ? Du soulagement, du plaisir, de la rage ? J'aimerais savoir. Cette simple sensation peut faire toute la différence. Concentre-toi.

En voilà une question, qu'elle est intéressante. Toutefois, Lucrezia n'y répondue pas tout de suite En réalité, elle ne savait pas trop par quoi commencer, par où fallait il entamer l'analyse ? C'était... Au moment des faits, Lucrezia était emplie d'une sorte d'aura de toute puissance, elle était submergée par une intense psychose qui lui donnais des ailes mais aussi, elle était habitée par une forte attirance sexuelle et une lubricité sans borne. D'ailleurs, même sans parler des meurtre, Lucrezia est sujette à un dérèglement qui ce nomme : La nymphomanie. Lorsqu'elle était encore  l’hôpital, Lucrezia avait sa petite réputation au sein du corps médicale, en particulier auprès de la gente masculine, cependant, ici, à l'asile, ce penchant s'est petit à petit estompé, sans pour autant totalement disparaître. Le fait qu'elle puisse consacrer jusqu'à quatre heures de son temps à la masturbation est surement l'exemple le plus flagrant.

- Je... Je ressent... Ça m"excite... Je ne me l'explique pas... C'est, c'est... Ça me fait mouiller comme une salope... Ce contrôle que j'ai eu sur elles... Cette irrépressible envie de sexe qui s'emparait de moi, chauffant mon bas ventre... Mais j'avais envie de plus... J'ai toujours envie de plus...

La tueuse marquât une courte pause, puis...

J'aurais voulue garder un petit morceau d'elles...



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