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L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

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Poison Ivy

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L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

jeudi 20 juin 2013, 21:36:41

Il y a quelques mois, Pamela Isley, plus communément appelé « Poison Ivy » dans certains milieux, avait découvert qu’il existait, à Seikusu, des espèces de failles dimensionnelles conduisant dans une sorte de réalité alternative délirante. Elle s’était alors mentalement comparée à Alice, traversant le miroir pour rejoindre le Pays des Merveilles. Progressivement, elle avait noté les similitudes et les différences entre ces deux mondes, et avait surtout découvert son entrain pour ce monde, notamment pour ses immenses forêts vierges. Terra, contrairement à la Terre, n’était pas industrialisée et urbanisée sur la grande majorité de son monde, ce qui faisait qu’il existait des forêts immenses et profondes, si vastes qu’elles feraient passer l’Amazonie elle-même pour une petite forêt d’un parc municipal. Par conséquent, dès qu’elle en avait eu l’occasion, Ivy se rendait dans ce monde, que ce soit pour mener ses expériences, ou tout simplement pour s’y ressourcer. Elle avait en effet noté qu’il existait des forêts où les arbres étaient bien plus résistants aux agents étrangers que ceux de la Terre. De fil en aiguille, elle avait compris qu’il existait, dans les forêts profondes, sortes d’esprits anciens et isolés, des dryades et des nymphes. Comme dans les contes, elles se chargeaient de la protection de leur forêt, en faisant parfois preuve d’un zèle excessif.

C’était néanmoins au sein d’une forêt particulière que Pamela avait pu prélever des échantillons. Une forêt étrange, extrêmement résistante, où elle avait récupéré la sève des arbres. À sa grande surprise, elle avait vu que cette sève avait notamment de fortes propriétés aphrodisiaques. C’était à partir de ce fluide qu’Ivy avait pu reprendre ses expériences dans son petit laboratoire de Seikusu, ayant commencé par une portion des égouts, qu’elle avait réaménagé, recouvrant entièrement cette discrète zone d’une mousse verte, y faisant pousser de nombreux végétaux. L’endroit lui plaisait tellement qu’elle avait fini par y installer son domicile.

Cependant, elle n’avait plus d’échantillons de base viables. Et, si elle avait réussi à synthétiser cette sève, ses résultats n’étaient pas aussi bons qu’elle l’aurait espéré. Concrètement, la belle femme-plante avait besoin de nouveaux échantillons de la sève des arbres de cette forêt. Elle était donc retournée sur Terra, recherchant cette forêt. Comme elle se déplaçait, il n’était pas forcément évident de la retrouver, mais, d’un autre côté, une forêt qui bouge, non seulement ça se remarque vite, mais ça se déplace aussi assez lentement. Avec l’aide de chasseurs, de bûcherons, de villageois, elle avait progressivement réussi à remonter la piste. Elle ressentait une certaine excitation croître au fur et à mesure qu’elle se rapprochait. Elle serait une bien piètre menteuse, si elle affirmait qu’elle venait voir la nymphe Weldenela, simplement pour ressourcer ses fluides. Elle se souvenait très bien de leur dernière rencontre.

En venant jusqu’ici, Pamela avait fait plusieurs escales. Du fait de sa courte tenue, la route, dangereuse, avait attiré plusieurs bandits voulant la violer. Trois. Elle en avait tué deux très rapidement, et, comme le troisième lui plaisait, elle avait laissé ce dernier la prendre contre un arbre, avant de l’étrangler. Elle avait aussi couché avec une serveuse dans une auberge, une petite blonde nerveuse qu’elle avait séduit à l’aide de ses spores, avant qu’elle ne la rejoigne dans sa chambre.

*M’y voilà...*

Le chemin que prenait Pamela le long d’une vallée la conduisait au loin vers une série d’arbres. Elle passa à côté d’un petit lac où des canards barbotaient, avant de pénétrer dans la lisière de la forêt. Comme jadis, elle ressentit cette même impression en entrant... Une sorte de puissance sylvestre ancestrale, imposant le respect. C’était le signe instinctif qu’une dryade veillait sur ses lieux. Fort heureusement, celle-ci était moins agressive à l’égard des autres que bien d’autres dryades, qui n’hésitaient pas à attaquer les étrangers... Même quand c’était Ivy !

*Il ne me reste plus qu’à la retrouver...*
DC d’Alice Korvander.

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Weldenela

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 1 mardi 02 juillet 2013, 15:57:26

Depuis la venue de Alrauna, une autre Alraune qui vivait à l'extérieur de la forêt, Weldenla avait continuée à évoluer tranquillement dans son coin, se nourrissant autant d'eau et de photosynthèse que de fluides sexuels, jusqu'à prendre finalement son apparence actuelle et définitive. En effet, la petite dryade dynamique et insouciante d'antan, avait fini par devenir une belle Alraune aux cheveux rose et aux yeux rouge, douce et sensuelle. Ses lianes avaient fleuries et même le bulbe de sa défunte mère, s'était transformée en une belle fleure aux pétales mauves. Même son nectar, autrefois faiblard, atteignait désormais la même puissance que celui d'Alraunya. Mais là où elle avait finalement dépassée sa mère, c'était dans la diversité de ses produits.

Car si Alraunya ne se contentait autrefois que de produire son Nectar depuis son bulbe, Wel elle, faisait désormais pousser des fruits spéciaux un peu partout dans la forêt, bien trop cachés pour les touristes. A vrais dire, seuls les plus méritants pouvaient obtenir l'un de ses fruits. Et seuls les plus intelligents pouvaient espérer les multiplier à partir d'un seul d'entre eux. Hors, la jeune plante n'était pas idiote et ne souhaitant pas que ses produits soient commercialisés, un enchantement spécial était apposé sur le produit zéro, qui se transmettait ensuite sur les autres. Le principe ? Détruire le produit si celui-ci est vendu ou échangé. Ainsi, Weldenela conserve le monopole de ses produits. Au contraire, dans le cas d'une consommation personnelle, cela ne la dérange pas. Les moins doués sont donc obligés de revenir la voir pour espérer en recevoir d'autres, ce qui lui assure ainsi une consommation régulière de fluides sexuels exotique.

Ce jour là, l'Alraune fleurie avait fait poussée une table et quelques ustensiles pour créer un nouveau filtre, qui aurait ainsi la capacité d'offrir tout les avantages de ses quatre principaux fruits, généralement ceux que demandait le plus souvent les aventuriers qui entraient en elle, dans tout les sens du terme. Elle avait donc pour cela besoin du jus ET de la chair de deux fruits de Virilité, un d’Abondance, un Mammaire entier et trois cœurs d'artichaut de Virginité, réduits en purées et mélangés ensembles. Weldenela en était à la découpe des fruits de Virilité, lorsqu'elle ressentit la présence d'une vieille amie, qu'elle n'avait plus vue depuis plusieurs mois. Depuis l'époque où sa mère était encore en vie. Bien entendu, elle était heureuse de la revoir, mais ne pouvant pas abandonner son travail en cours, la jeune plante lui envoya plutôt un clone, une représentation de son ancienne apparence, celle que Ivy reconnaîtrait au premier coup d'œil, avant de reprendre sa préparation.

Ainsi, pendant que Ivy explorait de nouveau la forêt – qui avait conservée son ancien nom, malgré la nouvelle dirigeante – la mutante pu voir une dryade apparaître sur un tronc d'arbre épais, sur lequel pendouillaient une dizaine d'humains, attachés et bâillonnés, jouissant perpétuellement dans une sorte de bouche végétale qui aspirait les fluides. Les humains n'étaient pas ici par hasard. Il s'agissait en réalité de chasseurs inconscients, venu ici en espérant pouvoir capturer les terranides qui vivaient dans la forêt. Bref, la dryade fini par se détacher complètement de l'arbre et fit un grand sourire à son invitée.

- Bonjour Ivy, je suis heureuse de te revoir chez moi !

Après quoi elle se jeta dans ses bras pour un gros câlin.

- Alors dis moi, tu es revenue parce que je te manque ou pour avoir mon nectar ?
Présentation d'une jeune alraune et de sa défunte mère

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Poison Ivy

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 2 mardi 02 juillet 2013, 16:24:57

Poison Ivy sentit rapidement qu’il y avait quelque chose de différent dans la forêt. Comment l’expliquer ? C’était perceptible… Une autre énergie, une autre âme, animait cette forêt incompréhensible, qui était comme un défi perpétuel à la logique et au bon sens. Il y a des mois, quand elle avait entendu parler d’une forêt animée, dont les arbres se déplaçaient à travers Terra, elle avait cru à une légende, à des racontars d’alcooliques ivres morts dans les auberges, à toutes ces légendes qu’on se racontait entre voyageurs au coin du feu. Pendant des semaines, elle avait suivi les traces de la « forêt vivante », ce qui, en soi, ne voulait rien dire. Toute forêt était vivante, toute forêt recelait une pépinière d’existences, mais c’est ainsi qu’on appelait cette forêt. D’auberges en auberges, de villages isolés en villages isolés, de scieries en camps de chasseurs, elle s’était ainsi rapprochée de la forêt.

Dès qu’elle avait été dedans, son corps avait réagi. Le long de l’écorce des arbres, elle avait senti une énergie, une connexion intelligente et consciente. C’est à cette occasion qu’elle avait rencontré l’accueillante Weldenela, qui s’était présentée comme la fille de la forêt, une Alraune dont le seul objectif était de protéger sa maison, et qui ne voyait aucun intérêt à voyager dans le monde. À vrai dire, Pamela pensait que, si une Alraune quittait sa forêt, son sanctuaire, elle était condamnée à lentement dépérir. Weldenela lui avait offert les spores dont elle avait eu besoin pour perfectionner ses propres plantes.

Elle ne tarda pas à entendre les soupirs et les gémissements, alors qu’elle s’enfonçait dans la forêt. Son regard fut attiré par ces vues singulières et originales. Des hommes, nus, étaient attachés contre les troncs d’arbres, maintenus contre les branches, et jouissaient continuellement. Ils étaient suspendus à un arbre massif, central, dont la hauteur dissimulait presque la vue du soleil. Ivy s’approcha lentement. Il y en avait une bonne dizaine, qui se tortillaient faiblement, yeux clos, retenus par des tentacules.

Retrouver la « forêt vivante » avait été rapide, cette fois, mais elle avait malgré tout pris du temps. Plusieurs longues semaines d’errance. Et, pour Pamela, qui avait une sexualité débridée, ça faisait beaucoup. Elle s’approcha donc de l’arbre. Les tentacules retenaient fermement les hommes, qui étaient tous nus. Ils étaient tous sodomisés, des tentacules enroulés autour de leurs sexes dressés, et jouissaient continuellement. Elle voyait leurs corps se tendre, lentement, se soulevant. C’était un spectacle fascinant, et Ivy les observait, lorsqu’elle entendit du bruit.

Descendant de l’arbre, elle revit Weldenela approcher.

« Bonjour Ivy, je suis heureuse de te revoir chez moi ! » lâcha-t-elle en s’enfouissant dans ses bras.

Pamela se contenta de sourire, heureuse et émue. C’était une nymphe, après tout. Soit, pour Ivy, une sorte de Déesse. Elle lui caressa le dos, et l’embrassa sur le front.

« Moi aussi, Wel’, moi aussi… »

Weldenela lui demanda alors ce qu’elle venait faire ici.

« Alors dis moi, tu es revenue parce que je te manque ou pour avoir mon nectar ? »

Pamela sourit légèrement. Elle posa sa main sur la nuque de la nymphe, et lui répondit en toute honnêteté :

« Les deux… Cet endroit paisible me manquait, mais, comme il me faut des semaines pour le retrouver, j’ai décidé de joindre l’utile à l’agréable. »

Elle relâcha Weldenela, et s’approcha de l’arbre. Un homme était contre le tronc d’arbre, presque à leur hauteur, et elle tendit sa main, caressant l’une de ses jambes. Son sexe était recouvert par un tentacule en forme de gueule, qui avalait son sperme en le masturbant.

« Je vois que tu élèves de nouvelles plantes… » remarqua-t-elle.

Elle n’avait rien à cacher. Les tissus végétaux recouvrant le corps d’Ivy disparurent, la révélant dans toute sa nudité. Sa peau était devenue verte, et elle se retourna. On pouvait voir sa mouille dégouliner de son intimité.

« Je t’offre mon corps, Weldenela. Conduis-moi au cœur de ta forêt, et je m’offrirai à toi, et à toute ta forêt… »

Sa voix était vibrante de désir. Elle se disait qu’au cœur de la forêt, il y aurait encore plus d’hommes accrochés contre les arbres. Elle ne pouvait pas le nier : elle trouvait cette image particulièrement excitante.
DC d’Alice Korvander.

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 3 mardi 02 juillet 2013, 17:43:56

Pour être honnête, il n'y avait que trois personnes extérieurs à la forêt que Wel aimait bien et qui parfois lui manquaient: Sya, Ivy et Alrauna. Tout les autres n'étaient que d'illustres anonymes, qui venaient de temps à autre pour la nourrir. Et Ivy, avec sa douceur maternelle et le fait qu'elle soit elle aussi une plante – tout du moins en partie – lui avait sincèrement manquée, d'autant plus maintenant que sa mère n'était plus. Et à sa question, celle-ci lui répondit autant qu'à son étreinte.

- Les deux… Cet endroit paisible me manquait, mais, comme il me faut des semaines pour le retrouver, j’ai décidé de joindre l’utile à l’agréable.

Finalement, elle s'éloigna un peu d'elle pour étudier l'arbre de plus près. Weldenela elle, pouvait sentir la semence ses hommes couler dans les plantes pour rejoindre son corps principal, situé sous son bulbe et la nourrissant. Bon, il est vrai qu'elle n'avalait pas tout goulûment non plus, une très grosse partie était stockée pour une consommation ultérieure ou pour des ébats futurs. Les humains accrochés actuellement n'avaient qu'un intérêt limité à ses yeux.

- Je vois que tu élèves de nouvelles plantes…

- Ça ? Ce ne sont que de vulgaires chasseurs d'esclaves inconscients, qui ont cru pouvoir capturer les terranides vivant ici en toute impunité. Il n'ont que ce qu'ils méritent et resteront accrochés ici tant qu'ils pourront me nourrir.


Autant dire jusqu'à la fin de leurs jours. Et vu qu'ils n'étaient âgées que d'une vingtaine d'années, ils en avait pour un moment. Leur esprits sera brisé bien avant qu'ils ne meurent. La jeune alraune était peut être douce et gentille, elle pouvait aussi se montrer impitoyable, si on s'attaquait à ses protégés. Ivy se tourna de nouveau vers elle, entièrement nue et sa peau de nouveau verte, bref, au naturel.

- Je t’offre mon corps, Weldenela. Conduis-moi au cœur de ta forêt, et je m’offrirai à toi, et à toute ta forêt…

Wel eu un petit sourire espiègle et la prit de nouveau dans un câlin, avant de lui murmurer à l'oreille d'une voix suave et terriblement envoûtante, ne ressemblant pas du tout à l'ancien comportement de l'ex-dryade.

- J'aimerais bien ma belle, mais je suis en plein travail... avec mon corps principal. Beaucoup de choses ont changées depuis ta dernière visite, en bien comme en mal... Si tu veux me trouver, suis mon arôme à travers les arbres... Je t'y attendrais et je t'expliquerais tout...

La dryade se décomposa alors en quelques milliers de feuilles vertes, se dispersant au gré du vent, tandis que la voix se répercuta en écho sur les arbres.

Je t'attend...
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Poison Ivy

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 4 mardi 02 juillet 2013, 18:59:37

Des esclavagistes... Elle savait que Terra était un monde où l’esclavage avait une forte importance. On vendait des ribambelles d’esclaves de tout âge sur des marchés, en toute légalité, et, pour autant, il existait un marché noir de l’esclavage… Qui se résumait à un trafic d’organes sinistre, ou à des ventes destinées à satisfaire les désirs pervers et morbides de clients malades. Pamela n’était pas désolée pour eux, bien au contraire. Ils connaîtraient une mort heureuse, en nourrissant la Nature. Elle-même, dans son antre, s’amusait à éduquer des hommes, mais elle ne pouvait pas avoir un tel contrôle sur eux. Dans ses bulbes, elle les rééduquait, leur apprenant toutes les vertus de l’écologie, de la nécessité de prendre soin de la Nature, et, ensuite, elle les relâchait. Weldenela était un peu plus extrémiste.

Pamela lui avait offert son corps, comme une espèce de dévote qui tomberait en adoration devant sa Déesse. Elle le faisait sans hésitation aucune, parce qu’elle ressentait pour Weldenela un mélange d’amour et d’adoration. Elle ignorait ce qui avait eu lieu dans cette forêt, mais elle savait, pour adopter une référence humaine, que Weldenela avait monté en grade. Elle n’était plus une simple dryade vivant joyeusement dans sa forêt. La dryade se rapprocha d’elle, et lui fit un câlin, lui parlant sur un ton sensuel et langoureux, mâture :

« J'aimerais bien ma belle, mais je suis en plein travail... avec mon corps principal. »

Son corps principal… Ceci ne la surprenait pas. Elle avait grandi, et cette Weldenela n’était qu’une sorte de clone végétal. Pour le coup, Pamela était curieuse de voir à quoi la créature ressemblait vraiment.

« Beaucoup de choses ont changées depuis ta dernière visite, en bien comme en mal... Si tu veux me trouver, suis mon arôme à travers les arbres... Je t'y attendrais et je t'expliquerais tout... »

Elle buvait presque ses mots, et hocha la tête, de haut en bas. Elle déglutit, et Weldenela disparut sous ses yeux, devenant une série de feuilles s’envolant au loin. Elle s’avança, mouillant toujours, et suivit la voix, s’enfonçant dans la forêt. Elle quitta l’arbre aux prisonniers, et vit d’autres découvertes.

Sa première découverte, en s’avançant, fut de voir une espèce de gros bulbe ouvert, avec des lèvres rouges. De douces mains s’en échappaient, ainsi que des gémissements. Curieuse, Poison Ivy se rapprocha, et vit une sorte de piscine verdâtre, où plusieurs jeunes femmes baignaient, en faisant l’amour. Elles s’embrassaient ensemble, sous l’assaut de tentacules, baignant probablement dans une mixture aphrodisiaque. Toute cette forêt semblait n’être qu’un immense et fort appel au sexe et aux plaisirs charnels. Elle continuait à marcher, suivant l’appel de Weldenela, et vit, dans l’herbe, des femmes en train de coucher ensemble. Elles buvaient une espèce de sève s’échappant des feuilles d’un arbre, qui leur donnaient des phallus imposants, et s’en servaient pour se pénétrer, dans des cris et des soupirs. Il y avait de très belles femmes, mais également des hommes, qui couchaient joyeusement, dans une insouciance rappelant, de manière très sensuelle, le Jardin d’Éden biblique.

Cette image persistait dans l’esprit de Pamela, qui n’imaginait pas cet état de nature et d’insouciance comme un endroit chaste, mais comme tout le contraire. À sa manière, Weldenela avait réussi à en récréer un. Il y avait de nombreux prisonniers le long des arbres, qui jouissaient sans arrêt. Les tentacules en forme de bouches avalaient avidement leurs sécrétions. Cet endroit était tout simplement incroyable. Ses pas la conduisirent près d’une espèce de zone aquatique, avec des sources d’eaux chaudes, une brume résultant de l’eau. Là encore, des femmes se faisaient l’amour, avec des hommes.

*Quel bel endroit... Si je ne fais pas attention, je pourrais même m’y laisser tenter...*

Elle suivait cette voie, et continuait à marcher, s’enfonçant plus profondément dans la forêt. Après les bains chauds, elle vit de nombreux autres arbres. Il y avait des femmes en bas des arbres. Ce spectacle convainquit Ivy, qui voyait une femme se faire volontairement pénétrer par des tentacules.  Un gros tentacule en forme de verge défonçait son intimité, et d’autres tentacules la prenaient, un à hauteur de la bouche, l’autre dans les fesses. D’autres tentacules tiraient sur ses seins, et elle gémissait lentement, ouvrant les yeux. Pamela se sentait inexplicablement attirée par cette scène, et se rapprocha rapidement.

Le tentacule défonçant l’intimité de la femme s’écarta, et Ivy le remplaça par le sien. Elle pénétra cette mystérieuse femme, et jouit au bout de quelques minutes, se serrant contre elle, en la prenant tendrement, faisant rebondir son corps contre l’arbre. Elle désirait rejoindre Weldenela, mais c’était plus fort qu’elle. Elle éjacula dans le corps de la femme, puis la laissa là. Le tentacule reprit rapidement sa place, et Pamela continua sa route.

Elle finit par atteindre les profondeurs de la forêt. Les arbres étaient si denses et luxurieux qu’on avait du mal à voir les rayons du soleil. Il y avait ici et là de grosses fleurs, des bulbes avec des êtres à l’intérieur, et d’autres prisonniers. Ils étaient dans tous les arbres, coincés entre les branches. Leurs fluides sexuels nourrissaient  la forêt, et, au centre de cette zone, il y avait Weldenela. Ivy s’approcha lentement. Elle avait fait pousser des espèces d’instruments avec une table, confectionnant des produits. Pamela la trouvait absolument exquise, et se rapprocha lentement, en déglutissant.

« Tu as une magnifique demeure, Wel’... » la complimenta-t-elle.
« Modifié: mardi 02 juillet 2013, 19:49:43 par Poison Ivy »
DC d’Alice Korvander.

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 5 mardi 02 juillet 2013, 20:38:35

Tout en continuant sa préparation, la jeune alraune suivait spirituellement la progression de son invité, à travers de ce qu'elle nommait elle-même son "garde manger", une zone forestière qui devait faire un bon tiers du territoire, les deux autres tiers étant pour les terranides et les ressources naturelles. Ainsi, de nombreux hommes et femmes, de toutes espèces, se faisait prendre par ses différentes plantes et autres tentacules végétales, qu'ils soient consentant ou non. Certains, pour obtenir un de ses fruits spéciaux ou son nectar, étaient prêts à rester en elle durant des jours entiers pour les obtenir. La consigne était alors simple: ces êtres devaient jouir durant près d'une semaine sans pause et, si à la fin de ce temps imparti leur esprit était brisé, ils restaient dans son garde manger pour toujours. D'autres en revanche, venaient uniquement par pur plaisir, comme c'était souvent le cas des succubes.

Bien sûr, les dites plantes étaient semi-autonomes. Weldenela donnait un ordre mental et les plantes y obéissaient. Cela lui permettait de se nourrir, tout en gardant le contrôle sur ses réserves. Au final, Weldenela ne gérait pleinement que le déplacement de la forêt, sa défense immédiate ainsi que ses avatars. Aussi, lorsque Ivy fut attirée par une scène en particulier, l'alraune fleurie ordonna mentalement au tentacule de se retirer pour laisser la place à Ivy. Elle eu même un sourire espiègle, avant d'enfoncer le tentacule en question entre les fesses de la belle plante. Ainsi, lorsqu'Ivy atteignit l'orgasme, elle eu droit elle aussi à sa dose de semence, avant que le tentacule ne retourne se loger dans le fondement de la femme.

Finalement, Ivy fini par arriver au cœur même de la forêt, le lieu où se situait le corps principal plusieurs mètres sous la terre. En plus du bulbe de la jeune alraune – qui ressemblait à une tulipe mauve – d'autres bulbes identiques se trouvaient un peu partout et contenaient des hommes et des femmes, tous elfiques sans exception, nourrissant ainsi la nature qu'ils vénéraient au plus près de celle-ci. De la semence dégoulinait un peu de son arrière train et sa mouille filait le long de ses jambes verte, ce qui fit sourire la belle plante. Visiblement, Ivy avait pris beaucoup de plaisir.

- Tu as une magnifique demeure, Wel’...

- Merci beaucoup, Ivy... Approche...


Ce dernier mot, sensuel, Weldenela l'avait prononcé avec une envie palpable, impérieuse... Et lorsque son invitée fut suffisamment proche, elle la prit dans une chaude et enivrante étreinte, pour finalement l'embrasser langoureusement, longuement, respirant l'arôme de la demi-plante et grattant légèrement son dos. C'était un véritable plaisir que de la retrouver et, maintenant qu'elle était beaucoup plus mature, Wel pouvait également ressentir de l'amour envers cette femme. Ou tout du moins, quelque chose de bien plus fort qu'une simple amitié. Il lui fallut plusieurs minutes, avant de relâcher sa bouche, ce qui ne l'empêcha pas de caresser ses doux cheveux roux. Il était amusant de constater qu'elles avaient pratiquement la même couleur de peau et la presque la même couleur de cheveux. Bien qu'étant toutes deux rousses, l'une était plus orange et l'autre rose.

- En tout cas, tu as toujours bon gout, belle plante...

Cette déclaration valait aussi bien pour le gout de ses lèvres que pour ses choix de partenaires.

- Regarde, j'ai de nouvelles choses à te montrer... mes fruits charnels...

D'une simple pensée, un arbre se mit à pousser à très grande vitesse, quelques mètres devant elles, déjà remplis de fruits juteux et aux formes et couleurs plus qu'étranges. Weldenela savait qu'Ivy, en plus d'une adoratrice quasi compulsive de la nature, était également une scientifique dans l'âme. Lui mettre des fruits à usage sexuel totalement inconnus sous le nez, allait autant réveiller sa curiosité scientifique que sa libido. Tandis qu'Ivy se retournait, Weld l'enlaça par derrière et lui caressa tendrement ses seins, frôlant à peine ses tétons durcis par le plaisir, et chuchota de nouveau dans le creux de son oreille, sensuellement.

- Veux-tu que je t'en parle plus longuement, ou souhaite-tu le découvrir... par toi-même ?
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Poison Ivy

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 6 mardi 02 juillet 2013, 22:07:35

Pour elle, Weldenela était comme une sorte de Déesse naturelle. Un être parfait et merveilleux, créé par la Nature, et qui n’avait d’autres objectifs que de la défendre, de l’aider à prospérer. Elle agissait comme tous les individus intelligents devraient le faire : en respectant ce qui permettait à tout un chacun de vivre. La Nature était fondamentale, et, dans ce lieu, l’humain, au sens générique du terme, incluant aussi bien les elfes, les Terranides, que les simples humains, était soumis à l’autorité naturelle et légitime de la Nature. Weldenela dominait cet endroit avec la fermeté et la douceur qui sied aux Déesses. Elle était l’incarnation de la Mère-Nature, dans tout ce qu’elle avait de beau et de réaliste. Car la Nature, avant tout, était charnelle. Le sexe était quelque chose de fondamentalement naturel, si naturel que la civilisation n’avait jamais réussi à l’effacer, seulement à le brimer, et à l’encadrer.

Ivy s’avança lentement vers Weldenela. Elle lui fit signe d’approcher, et la femme obtempéra. Weldenela avait bien changé depuis ces quelques mois... Et, alors que cette idée lui traversait l’esprit, la dryade se mit à l’embrasser. Fermant les yeux, Ivy apprécia ce baiser délicieux, cette peau douce et tendre, et posa ses propres mains sur ses hanches, les caressant tendrement, en savourant le contact de ses lèvres, la pression de ses seins. Elle se surprit à mouiller encore, tant cette scène lui faisait plaisir. C’était presque un rêve qui se réalisait pour elle. Elle embrassait une dryade, elle était dans les tréfonds de son intimité, de son antre. Leur baiser dura plusieurs longues minutes, sans interruption, comme deux amantes qui se redécouvriraient après des mois de séparation. Pamela goûtait avec un plaisir évident à la bouche merveilleuse de la dryade, tout en sentant ses mains se poser sur ses cheveux. Elle frissonnait, se sentant instinctivement soumise à cette créature, qui la transcendait. Leurs lèvres se rompirent doucement, et Ivy se lécha les siennes.

*Sa salive est délicieuse...*

Pamela savait que la sienne était aphrodisiaque, qu’elle stimulait les hormones. Elle pouvait émettre autour d’elle des phéromones, ce dont elle s’était beaucoup servie à l’époque où elle était une prisonnière d’Arkham. C’était une technique très efficace pour se libérer de n’importe quelle situation contraignante et dangereuse.

« En tout cas, tu as toujours bon gout, belle plante... la félicita Weldenela.
 -  Merci » répliqua-t-elle en souriant.

L’inverse était vraie, bien sûr, et elle se sentait heureuse de savoir que la dryade l’appréciait. Face à une créature comme ça, Ivy était méconnaissable. La sévère professeur de biologie, l’ancienne éco-terroriste, l’amante autoritaire qui enroulait ses partenaires dans des tentacules, s’écroulait totalement. Elle était comme une sorte de dévote face à sa divinité. Weldenela lui expliqua alors qu’elle avait conçu de nouveaux fruits charnels. Ivy contempla alors sa table, commençant à s’intéresser au décor proche... Cependant, son observation de la table fut de courte durée, car, en utilisant son pouvoir, Weldenela fit pousser un arbre. Le sol vibra, et Pamela écarquilla les yeux, en voyant ce qui, selon elle, s’apparentait à une espèce de miracle... Ou aux graines spéciales qu’utilisait Panoramix pour faire pousser instantanément des arbres.

Tandis qu’elle voyait un nouvel arbre pousser, elle laissa Weldenela se glisser dans son dos. Il n’y avait pas de doute : la dryade était devenue infiniment plus coquine. À voir cette forêt, Pamela se demandait toutefois si cette dernière ne méritait pas, en réalité, d’être appelée « forêt sexuelle ». La Nature semblait n’avoir ici qu’un seul but : déchaîner les pulsions sexuelles des individus qui finissaient à l’intérieur. Cette forêt illustrait très bien à quel point Terra défiait la logique. Son esprit de scientifique était quelque peu malmené par tout ce qu’elle voyait. Elle se rappelait ces grandes règles énoncées par Arthur C. Clarke sur le rapport entre la technologie et la magie. Au bout d’un certain point, la magie était une forme de technologie incomprise.

Elle frissonna en sentant les mains de Weldenela se poser sur ses seins. Elle se blottissait dans son dos, et Pamela pencha la tête sur le côté, tout en l’écoutant parler, l’invitant à un choix intéressant :

« Veux-tu que je t'en parle plus longuement, ou souhaite-tu le découvrir... par toi-même ? »

Le choix était, en réalité, assez simple. Le long des jambes d’Ivy, des tentacules sortaient naturellement de son corps, pour caresser le corps de la dryade.

« Je suis une scientifique, Wel’... Ceci implique une certaine part de risque et de curiosité. »

Elle ignorait de quoi les « fruits » de Weldenela étaient capables, mais elle n’avait qu’une envie : le découvrir. Elle se défit délicatement de la douce étreinte de la dryade, et se rapprocha de l’arbre. Elle tendit sa main, et attrapa l’un des fruits. Elle l’observa. Il était de couleur rose. Aucun scientifique digne de ce nom ne croquerait ainsi dans un élément inconnu sans faire des tests, mais Ivy n’était pas vraiment une scientifique comme les autres.

Elle planta ses dents dedans, et commença à le manger.
« Modifié: mardi 02 juillet 2013, 22:26:13 par Poison Ivy »
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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 7 mercredi 03 juillet 2013, 01:56:11

La simple idée que Weldenela puisse lui tendre un piège, en lui proposant des produits délibérément toxiques, ne la traversa pas. Il était en revanche possible que ces récents fruits ne soient pas totalement fiables. Il était donc possible que Weldenela ait besoin d’un cobaye, et, si tel était le cas, l’Empoisonneuse acceptait ce rôle sans discuter. Ce n’est pas comme si elle ne l’avait, auparavant, jamais fait. Même maintenant, alors qu’elle n’était plus une éco-terroriste, que les autorités lui faisaient confiance, elle continuait à effectuer des expériences qui flirtaient de près avec les limites de la légalité. Elle n’avait donc aucune inquiétude, et choisit un fruit rose, en forme de cœur. Il avait un excellent goût, très fruité et savoureux, et elle le mangea rapidement, sentant la dryade se blottir dans son dos. Aucun noyau, elle avala absolument tout, et, quand elle sentit les derniers bouchées filer dans son estomac, Ivy commença à sentir... Quelque chose.

Elle poussa un léger gémissement, et secoua la tête, en sentant quelque chose remonter le long de son corps. Elle gémit, ayant tout d’un coup extrêmement chaud, et se tortilla. Elle avait l’impression que quelque chose la brûlait, que le vent agressait son intimité. Pamela se surprit à gémir, tandis que Weldenela se blottissait contre elle. Une espèce de fièvre l’envahissait. Elle avait envie de vomir, sans vomir... Elle avait envie de se toucher, mais sans que son corps n’en ait vraiment besoin... Elle tenta de parler, mais ne pouvait que gémir. Ce qu’elle ressentait était flou, indescriptible, perturbant au possible. Elle n’avait pas mal à la tête, et sentait avec un frisson particulièrement fort le contact de Weldenela contre elle.

« Je... Aaaahhh... »

Fermant les yeux, Ivy sentit la vague arriver, et obtint un orgasme. Sa mouille explosa, et elle sentit un vertige la saisir. Elle rouvrit les yeux, et sentit que quelque chose avait poussé entre ses jambes, quelque chose de gros et de dur... Mais elle sentit le sol se dérober sous elle, et s’écroula sur le sol, tombant comme une masse. Les rares traces de soleil lui agressèrent les yeux, et elle s’écroula.

*
*  *

Ce fut un désir qui la réveilla. Ivy rouvrit lentement les yeux, en sentant une démangeaison à hauteur de son sexe. Ce n’était pas une envie d’uriner, non, mais elle avait une espèce de pointe dure... Elle se redressa, et réalisa qu’elle était toujours dans la forêt. Le plus troublant était qu’elle avait, entre les jambes, une verge dure et très longue. Pamela cligna des yeux, surprise. Elle pouvait, à l’aide de ses gènes, avoir un sexe végétal, mais il était différent de celui-là... Ce qui la réveillait était la douce main verte de Weldenela, qui la masturbait. Elle gémit, et tourna la tête vers cette dernière.

« Bon retour parmi les vivants ma belle... Comment te sens tu ? »

Son cœur s’emballa rapidement. Elle ignorait depuis combien de temps elle s’était endormie, mais, pour elle, c’était comme si ça faisait quelques secondes. Le plus étonnant, en réalité, était de se demander comment elle avait fait pour passer de cet arbre fruité à ce lit... La dryade était juste à côté d’elle, belle et magnifique, et Ivy lui répondit rapidement, en sentant son sexe lui faire mal :

« Je me sens... Comme si j’étais chez moi... »

Aucune odeur nocive, aucun rugissement de voiture, aucun mur froid et nu, aucun immeuble grisâtre sinistre, rien d’autre qu’une nature luxuriante et autonome à perte de vue. Elle parlait difficilement, en tremblant, parce qu’elle avait une belle érection. Les deux femmes s’embrassèrent tendrement, Pamela gémissant de plaisir en répondant au baiser de la femme. Elle avait de magnifiques lèvres rosées, et, sous l’effet de ce baiser sonore, sa verge se redressa. Le baiser fut bien trop bref, et, quand il se rompit, Weldenela lui expliqua qu’elle avait goûté au Fruit de la Virilité... Et il n’était pas nécessaire de préciser ce à quoi « virilité » renvoyait. Pendant une semaine, elle aurait un sexe masculin gros et épais... Ce qui revenait à dire que, pendant au moins une semaine, elle resterait ici. Ce n’était vraiment pas pour la déplaire. Au lycée, Ivy prenait souvent des absences de plusieurs mois, pour des motifs de recherche scientifique.

Continuant ses explications, Weldenela lui tendit un fruit bleu, ressemblant à une poire.

« Celui-ci ne devrait pas faire énormément de sensations... C'est juste pour le final. Et ses effets sont tout aussi longs que celui que tu viens de déguster... » poursuivit-elle.

Elle lui tendit la poire, et Ivy, docilement, se laissa faire. Le contenu était assez amer et acide. Elle lui rendit la pareille, faisant boire à la belle dryade le contenu de la poire. Curieusement, avec elle, Pamela se sentait extrêmement bien... Comme si rien ne pouvait lui arriver. Était-ce lié à l’atmosphère particulière de cette forêt ? Ou à Weldenela ? Pamela n’aurait su l’expliquer, mais elle aimait ardemment être avec elle. Weldenela alla ensuite jouer avec elle, sa langue venant glisser sur son cou. Ivy frissonna, gémissant faiblement, allongée sur le lit, et se tortilla un peu, en laissant la dryade s’amuser. Une telle soumission était exceptionnelle chez Pamela, qui gémit de plaisir, son érection se durcissant et se renforçant.

Elle s’attaqua uniquement à ses seins, pendant de nombreuses minutes. Une langue sur son sein, et une main sur l’autre. Pamela, elle, serrait les feuilles du lit en mouillant, sa cyprine filant sous sa verge tendue. Il n’y avait pas de testicule avec, seulement une longue verge tendue avec des veines verdâtres qui filaient le long de cette dernière. Weldenela s’amusait avec elle, et Ivy soupirait et gémissait.

« Huuun... Huuunnn... »

Indéniablement, Wel’ avait changé. La dryade était devenue beaucoup plus perverse, pour le bonheur de Pamela. Weldenela entreprit de descendre, embrassant la peau verte de Pamela, ainsi que son nombril, léchant sa peau. De là, elle rejoignit finalement son bassin, et choisit, non pas de s’attaquer à son sexe, mais de s’attaquer à son intimité. Elle se mit à boire, et Pamela gémit de plus belle, caressant les cheveux roux de la dryade.

« Wel’... Weeeelll’, haaaan... »

Son sexe la démangeait. La dryade était mutine, vicieuse, et Ivy ne pouvait que se laisser faire. C’était instinctif, écrit dans ses gènes.

« Je... Aaaah, ce sexe est... Il est si... Si gros, hummm... »

Avec son autre main, elle se masturbait tendrement, pressant ses doigts contre la verge, de haut en bas, tirant sur cette dernière, avant de la relâcher, et de continuer. Ce sexe la démangeait, tout simplement. Et les agissements de la dryade ne faisaient que la rendre encore plus folle.
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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 8 mercredi 03 juillet 2013, 13:14:38

- Wel’... Weeeelll’, haaaan...

La Maîtresse de la forêt s'amusait comme une petite folle, à faire gémir de plaisir son amante favorite. Mais même sans sexe, Weldenela aimait simplement être avec elle. Les prémices d'un amour passionnel ? Ce qui était certain, c'est que ses sentiments envers Ivy étaient partagés, réciproques, et la belle plante voulait lui offrir un cadeau. Pas un simple fruit ou une panoplie, comme elle le faisait avec ses partenaires les plus méritants... Non, elle souhaitait lui offrir quelque chose d'unique, une chose qu'elle n'avait encore jamais accordée à personne, et qu'elle ne fera sans doute plus jamais par la suite. L'alraune avait à présent suffisamment de pouvoir et d'expérience pour la chose, mais mieux valait attendre la fin de leurs ébats, maintenant que son amante était bien lancée. Et puis, il semblait que son invité souhaitait gouter ses produits en priorité.

- Je... Aaaah, ce sexe est... Il est si... Si gros, hummm...

Revenant sur le moment présent, Wel' sourit à cette déclaration et continua de lécher la mouille si exquise de son amante, rechargeant ainsi ses batteries. Sa langue explora délicieusement les tréfonds de son antre des plaisir, s'attardant lascivement sur les parois vaginales durant de très longues minutes, avant de se rediriger vers sa petite boule d'amour, qu'elle se mit à suçoter comme un bonbon à la cerise. Ne délaissant pour rien au monde sa douce intimité, la plante glissa deux doigts en elle et remua doucement ceux-ci, dans de lents et profonds vas et viens. Ce serait mentir de déclarer que les gémissements d'Ivy ne lui faisait aucun effet. D'ailleurs, son nectar ambré s'écoulait déjà de son petit jardin secret, aussi fluide qu'une source d'eau pure. Le simple fait que son amante n'ait pas encore atteint l'orgasme, prouvait sa grande endurance. Mordillant et léchant depuis plusieurs minutes déjà son délicieux clitoris, Weldenela fini par le relâcher, faisant glisser sa petite langue mutine le long de son barreau de chair fièrement dressé, laissant une fine trainée de nectar ambré sur sa douce peau, avant d'atteindre finalement le gland gonflé de plaisir, qu'elle léchouilla comme une glace, avant de faire une petite déclaration, sensuelle et coquine.

- Hmmm... Ton sexe me semble fort appétissant, belle plante... Et il sent agréablement la rose... Ceci me donne des idées pour plus tard, mais nous n'en somme pas encore là... Profite, ma belle, et savoure...

Durant sa prise de parole, Wel' n'avait cessée de doigter son amante et de doucement masturber son imposante virilité. Elle continua d'ailleurs un moment encore, ne lâchant pas des yeux le regard verdoyant de sa partenaire, avant de prendre en bouche son imposant sexe et débuter ainsi une lente et sensuelle fellation, gémissant doucement à chaque fois qu'elle engloutissait cet imposant phallus. L'enfonçant ainsi jusqu'à la garde, elle usait de sa langue pour masser amoureusement le gland gonflé de plaisir, tout en déglutissant sur la matraque afin de la maser également. Le sexe d'Ivy baignait ainsi dans une gorge profonde des plus chaude et dans le nectar aphrodisiaque de la jeune alraune, qui indéniablement prenait elle aussi plaisir à faire ainsi l'amour avec son amante. Elle dégusta ainsi son imposant sexe durant un long moment, avant de faire une pause le temps de se positionner en 69, afin qu'Ivy puisse elle aussi goûter à son intimité dégoulinant de nectar, puis reprit son office...
« Modifié: mercredi 03 juillet 2013, 15:05:11 par Weldenela »
Présentation d'une jeune alraune et de sa défunte mère

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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 9 mercredi 03 juillet 2013, 22:52:58

En grandissant, en apprenant ce qu’était le sexe, Weldenela avait appris à être perverse, coquine, et à savoir faire patienter ses amantes... Un art qu’elle était en train d’exercer. Elle savait que Pamela avait un phallus fièrement brandi, dur, ne demandant qu’une seule chose : qu’on s’occupe de lui... Et, au lieu de le faire, Weldenela préférait se concentrer sur son intimité, engendrant, pour Ivy, une situation terriblement paradoxale. Elle ressentait à la fois plaisir et frustration, le premier créant le second, et le second appelant le premier. Une sorte de cercle vicieux du sexe. Le fait que son sexe soit tendu impliquait une certaine frustration sexuelle, au cœur de toute relation sexuelle intéressante. Mais elle mouillait de plus en plus, sous les attouchements de la dryade, qui contribuait à l’exciter, et donc à rendre la pression de son membre plus douloureuse encore. Face à un amant normal, soit un humain, Ivy aurait sans doute pris les devants, utilisant ses tentacules pour forcer son partenaire à faire ce que son corps demandait, mais, face à Weldenela, elle en était incapable. Et la dryade, manifestement, s’en doutait, car elle continua, utilisant son clitoris comme une sorte de trou pour boire de la cyprine.

*Elle se nourrit de fluides sexuels... se rappela Ivy. Elle est en train de s’abreuver...*

Elle aurait toutefois pu s’abreuver en s’occupant de sa verge ! Pamela se tortillait en continuant à gémir, se masturbant encore, mais sans arriver à se faire jouir. Comme si son corps se refusait à avoir un orgasme sans sentir les doigts ou les lèvres de Weldenela. Le regard de Pamela avait fortement changé sur elle. Avant, quand Weldenela était encore une petite pousse ressemblant à une gamine, elle la voyait plus comme une sorte d’ange gardienne insouciante et frivole. Maintenant... Elle ignorait ce qui avait eu lieu dans cette forêt, mais, indéniablement, quelque chose avait changé. Que ce soit Weldenela elle-même ou la forêt, ce changement avait fortement modifié la dryade, et Ivy ressentait pour elle un vif attachement. En soi, ça n’avait rien d’étonnant : une dryade n’était-elle pas la perfection ?

Les minutes filaient lentement, douloureusement, Weldenela léchant longuement, titillant son clitoris, plongeant Ivy dans des élancements de souffrance. Son plaisir frustré provoquait des frissons et des tremblements le long de son corps, et elle commençait à sentir la douleur remonter vers son estomac, nouant ce dernier. Sa main tenant les cheveux roses de Wel’ se crispait un peu,  jusqu’à ce que Wel’ ne finisse par relever la tête, et par constater que, au-dessus de l’intimité dégoulinante d’Ivy, il y avait un gros sexe qui pulsait, triste que personne ne daigne s’occuper de lui. La langue de Weldenela glissa alors sensuellement le long de cette longue verge, sur cette peau dure. Ivy frémit.

Ce sexe était vraiment énorme ! Même quand elle se faisait pousser dans le vagin un tentacule végétal en forme de pénis, il n’atteignait pas cette dimension. Un tel sexe consommait beaucoup d’énergie, et elle était en sueur, des gouttes glissant le long de son front. La langue de Weldenela mit tout son temps à remonter, et, quand ce fut fait, quand elle dépassa l’extrémité du membre, ce dernier remua légèrement. Weldenela ne s’arrêta toutefois pas là, et le lécha, ici et là, déposant ses lèvres, tirant un peu dessus. Un geste un peu enfantin, qui soulagea Ivy, qui sentit de nouveaux frissons remonter le long de son corps, exprimant une sorte de soulagement sincère et profond.

« Hmmm... Ton sexe me semble fort appétissant, belle plante... Et il sent agréablement la rose... Ceci me donne des idées pour plus tard, mais nous n'en somme pas encore là... Profite, ma belle, et savoure... l’encouragea Weldenela.
 -  Oooooh oui, gémit l’intéressée, je... Je ne demande que... Que ça, ma belle... »

Et elle profita, effectivement. Tout en parlant, Wel’ avait masturbé son sexe, glissant ses doigts sur cet imposant monceau de chair, son autre main la doigtant fermement. Ivy était méconnaissable, semblable à une poupée docile entre ses mains. Mais une dévote ne pouvait pas se révolter contre l’autorité de sa divinité, après tout. Depuis que Pamela Isley était devenue Poison Ivy, elle avait développé un amour excessif, fanatique, pour la Nature, plaçant sa protection au-dessus de n’importe quelle autre valeur sociale, même les droits de l’Homme.

La masturbation dura plusieurs minutes, des minutes pendant lesquelles Ivy fermait les yeux, en se tortillant et en gémissant faiblement, pleurant presque en sentant la douleur forte diminuer progressivement. La dryade prenait tout son temps, et finit par faire une fellation. Ivy savait que Wel’ était douée, et elle le comprit pleinement quand elle lui fit une merveilleuse gorge profonde. Elle enfonçait lentement ce sexe dans sa bouche, le bout de son membre tapant contre sa gorge. Soupirant de joie, Pamela posa ses deux mains sur les cheveux de Wel’, remuant son bassin, le frottant sur le lit, de haut en bas, comme pour suivre les mouvements buccaux de Wel’. Elle baignait dans le bonheur. Sa queue chaude durcie était engluée par une salive chaude et érotique, semblable à celle qu’elle sécrétait. Tout le corps d’Ivy émettait naturellement ses spores aphrodisiaques, à travers sa sueur, répandant une magnifique odeur envoûtante, une odeur rose qui les enveloppait.

Naturellement, elle eut un orgasme, et pas qu’un... Son sexe se mit à crachoter des giclées de sperme, alors qu’elle gémissait et soupirait. Il restait toujours aussi dur, et elle eut également plusieurs orgasmes féminins, baignant pendant une bonne dizaine de minutes dans une sorte de transe fiévreuse, où elle jouissait par intermittence, le fruit qu’elle avait mangé continuant à agir sur son corps, à la stimuler. Le sperme affluait en masse, sans qu'elle ne comprenne pourquoi elle en larguait tant... Elle se disait que c'était probablement lié à cette virilité immense, ignorant que le fruit que la dryade lui avait fait avaler augmentait son taux de sperme. Concrètement, Pamela passa toutes ces minutes à jouir presque sans réel arrêt, chaque longue giclée en appelant à une autre, laissant des traînées blanchâtres le long de son solide membre.

« Haaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaannn !! Haaaaaaaaaaaannn !! Ooooh... ! Ouuuuiiiii ! Weeeeeeeel, haaaaaaaaaaaaannn !! » haletait Ivy.

Au bout d’un moment, Wel’ se retira, laissant une traînée de salive relier brièvement sa bouche et le sexe d’Ivy. Elle entreprit de se retourner, et, revenant à la réalité, Pamela comprit ce qu’elle avait en tête, et se mit à sourire. Une idée très intéressante. Elle lui montra son intimité, une délicate ouverture dans une peau verte et douce, et Pamela tendit ses mains, écartant les lèvres. Elle allait goûter à l’intimité d’une dryade, à sa mouille intime. Son cœur battit lentement la chamade, et, alors que Wel’ se penchait, Ivy écarta les lèvres, et entreprit de goûter.

Sa langue s’enfonça dans le trou intime de la femme, ses mains se posant sur ses hanches, et elle se mit à avaler cette dernière, sentant le nectar intime de la dryade titiller sa langue.

« Hummm... gémit-elle.

Elle se sentait bien, tellement bien... Comme si cet endroit avait un avant-goût de Paradis... L’endroit parfait, où, pour elle, l’humanité toute entière devrait vivre. Comme des animaux acceptant d’être semblables à n’importe qui, et de reconnaître la supériorité naturelle et éternelle de la Nature. Cette sensation, ce sexe filant entre les lèvres chaudes et accueillantes de Weldenela... C’était indescriptible, tant c’était bon !

C’était un plaisir auquel Ivy n’était pas habituée, et elle se disait que tout ça allait dire au moins une semaine. Elle avait goûté au fruit de la virilité, mais, dans cette forêt, c’était au parfum du Paradis qu’elle s’inhalait. Indéniablement.
« Modifié: mercredi 03 juillet 2013, 23:25:30 par Poison Ivy »
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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 10 samedi 06 juillet 2013, 15:47:26

La jeune Alraune était satisfaite de son idée, car Ivy titillait son petit jardin secret avec avidité, léchant amoureusement ses parois intime et s'abreuvant de son doux nectar ambré, en lâchant de temps à autres de doux gémissements. Souriant au plaisir de son amante, Wel' retourna à sa petite gâterie, laissant couler sa salive sucrée sur la chaude virilité d'Ivy  et massant affectueusement celle-ci d'une main, en suçotant le gland gonflé de sang comme une sucette. La semence de sa partenaire était après tout délicieuse et l'avait bien nourri. Etant une plante, les fluides avaient beaux être stockés dans son ventre, celui-ci restait plat. Après tout, son "estomac" prenait bien plus de place, Wel" ayant bien moins d'organes que les dits organiques. Et avec tout ceux qui la nourrissaient actuellement dans la forêt, la belle plante pouvait bien s'amuser un peu avec la nourriture. Ce qui tombait bien, puisqu'elle réservait une petite surprise à sa compagne.

Ainsi, suite à une longue et intense fellation, la belle Alraune sentit le sexe imposant d'Ivy palpiter entre ses doigts, signe d'un nouvel orgasme en approche. Elle contracta alors ses sphincters et poussa, tout en avalant goulûment la semence masculine dû à la jouissance de son amante... avant de tout relâcher. Hors, l'entrée principale étant obstruée par le phallus, il ne restait qu'une seule autre sortie au sperme.... Et c'est ainsi que de longs et puissants jets de nectar blanc, crémeux et chaud, jaillirent de son petit puits secret pour se répondre sur le doux visage et la chevelure soyeuse de sa partenaire, l'inondant ainsi de sa propre semence. Dans le même temps, Weldenela avait elle aussi jouis dans un long gémissement, rependant sa mouille ambrée dans la bouche de son amante, en forte quantité.

Les deux plantes restèrent dans cette position de longues heures durant, se léchant leurs intimités respectives avec passion, en introduisant parfois un doigts ou deux dans leurs orifices, gémissant de concert sans prêter attention à la course inexorable du temps, n'éprouvant que du plaisir sans jamais ressentir de fatigue. Lorsque Wel' décida de passer à la suite du programme, la nuit était tombée depuis bien longtemps et quelques lucioles voletaient dans les alentours, produisant ainsi une luminosité suffisante. Leurs corps étaient méconnaissables. Ivy et Wel' étaient toutes deux recouvertes d'un mélange de semences, de nectar et de sueur. Une scène écœurante pour un spectateur extérieur, mais tellement sensuel aux yeux de l'Alraune. Se plaçant à califourchon au dessus de la verge fièrement dressée de son amante, l'Alraune s'empala doucement dessus, gémissant de plaisir.

- Hmmmmm... Haaaaaan.... Ivy... Jouis autant que tu le souhaite... en moi... Fait moi attendre... le septième ciel...

Weldenela débuta alors une dense sensuelle en lancinante sur le sexe de sa partenaire, d'avant en arrière, bougeant lentement son bassin, ses bras croisés derrière sa tête et sa poitrine mise en valeur, ses tétons droits et douloureusement dur, excitée. Wel' se sentait tellement bien avec Ivy, comme si elle était enfermée dans un cocon de douceur éternelle et d'amour sincère.

- Fait moi hurler de plaisir... ma douce...
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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 11 dimanche 07 juillet 2013, 02:19:42

Le temps était une notion éminemment subjective, dont la durée dépendant fortement de l’observateur. Ainsi, pour deux personnes différentes, si la durée objective d’une période donnée ne variera pas, sa durée subjective, c’est-à-dire le sentiment de la durée, lui, variera. C’est ainsi que plusieurs heures pouvaient sembler aussi rapides qu’une poignée de minutes, ou que, inversement, on pouvait avoir l’impression que des minutes duraient des heures. Pour Ivy, les nombreuses heures passées avec Weldenela lui semblèrent aussi rapides que quelques dizaines de minutes. Elle lui tenait les hanches, et léchait son intimité, exercice qui se compliqua quand son intimité se mit à recracher, non seulement sa mouille, mais aussi son sperme. La langue de Pamela évoluait dans une espèce de substance visqueuse et écœurante, mais qui, en l’état actuel des choses, contribuait à l’exciter sensiblement. Elle sentait les trucs visqueux dégouliner dans sa bouche, mais il lui était difficile de se concentrer, de se contrôler. D’une, elle se focalisait sur le bouton d’amour de Wel’, essayant de l’atteindre avec sa langue ; de deux, elle avait après tout un phallus assoiffé, et Wel’ qui lui faisait des gorges profondes. Difficile, dans ces conditions, de se concentrer, et de s’appliquer.

Le temps passait bien trop rapidement, sans même que Poison Ivy ne s’y intéresse. Elle était avec Weldenela, elle était avec une nymphe, une nymphe qui contrôlait une forêt. Elle était avec la perfection incarnée. Pendant des années, à Gotham, Ivy avait essayé de mettre au point une formule chimique qui permettrait de créer les êtres humains en êtres des bois. Elle avait réussi à créer des hommes-plantes à partir du sperme d’un homme qu’elle avait épousé, faisant office de famille, et elle avait même réussi à transformer des êtres en arbres, à l’aide d’une toxine confectionnée dans les locaux d’un institut de beauté, où, avec de belles femmes dévouées à son service, elle attirait à elle les puissants hommes d’affaires et autres milliardaires qui, par leurs usines, polluaient et tuaient ce monde. Mais elle n’avait jamais réussi à recréer la formule qui l’avait fabriqué, ni à l’améliorer. Woodrue avait emporté son secret dans sa tombe. Et voilà que, après des années de recherche, elle rencontrait ce qu’elle avait toujours cherché. Weldenela était la réponse qu’Ivy cherchait. Son patrimoine génétique, ainsi que cette incroyable forêt, renfermaient ce dont elle avait besoin pour réussir enfin à faire évoluer les choses : inventer un sérum, un vaccin, qui fortifiera les arbres, qui rendra la Nature plus résistante à l’agression humaine. Et, d’un strict point de vue personnel, lui faire l’amour était un régal.

Elle jouit, bien évidemment. Un nombre incalculable de fois, en répandant des litres et des litres de sperme. Pamela se doutait bien que le fruit bleu qu’elle avait avalé était liée à cette situation. La situation l’excitait certes particulièrement, mais la manière dont elle jouissait, longuement, et en larguant des litres et des litres... C’était surhumain ! Elle n’arrivait pas à se fatiguer. Tout ce qu’elle ressentait était du plaisir, un plaisir vif et honnête, pur et interminable. Sa queue s’enfonçait bien loin dans la bouche de Wel’, et elle aventura ses mains sur le postérieur de la nymphe, qui, à l’image de son corps, était tendre, rebondi, et doux. Elle aventura ses doigts, écartant chacune des fesses, cherchant sa croupe, puis enfonça un doigt dans son fondement. Ses mains étaient tremblantes, mais elle réussit à le faire, et haletait, tout en remuant son corps. Cette séance semblait ne jamais devoir se terminer, les deux femmes vertes continuant à se faire mutuellement l’amour, sans relâche, avec tendresse et lenteur. Le gros phallus de Poison Ivy ne désemplissait pas, continuant à répandre sa semence.

Une flaque commençait à se former sous son corps, résultant surtout de la cyprine qui sortait de son vagin. Elle connaissait les deux plaisirs sexuels : celui de jouir avec un sexe en érection, et celui d’avoir un orgasme avec son vagin. Une telle chose aurait du la crever, mais elle n’arrivait pas à être fatiguée, étant toujours avec ce sentiment de manque dans le corps. Le manque sexuel, généralement, s’exprimait par une sorte d’instabilité physique. Le corps tremblait, on avait du mal à se concentrer, à marcher, en sentant une vigoureuse douleur dans l’entrejambes. La douleur était là, mais elle se battait en duel avec un plaisir constant et renouvelé. Cette scène défiait la logique, mais le cerveau d’Ivy n’était plus capable de réfléchir, court-circuité par toutes les sensations qui envahissaient son corps.

La nuit s’était abattue, et on pouvait entendre les bruits de la nuit, les oiseaux et autres habitants nocturnes. Des lucioles éclairaient la forêt, qui, pour le coup, ressemblait à une sorte de forêt enchantée sortie d’un conte merveilleux. Ivy n’était pas habituée à autant de sexe, et ce fut Wel’ qui se retira. L’Empoisonneuse cligna des yeux, réalisant que le soleil s’était abaissé, que la nuit s’était imposée. Elles devaient donc se faire plaisir depuis des heures, maintenant...

*Terrifiant... J’ai de quoi être sexuellement calmée pour une bonne semaine, et, pourtant, ma soif est toujours aussi forte...*

Sa soif, ainsi que son désir pour Weldenela. Dès qu’elle posait ses yeux sur l’Alraune, elle n’avait qu’une envie : lui faire l’amour, sentir son corps tendre et chaux, coucher avec elle. Ivy était toute sale, avec du sperme filant entre ses seins. En théorie, sa peau avalait les résidus organiques nuisibles, mais son organisme était à bout, et avait du mal à fonctionner. Wel’ entreprit de se relever, brièvement. Elle était également trempée, du sperme et de la mouille dégoulinant de son corps... Ce qui n’enlevait rien à sa splendide beauté. Allongée sur le lit, Ivy la contemplait. En fond sonore, elle pouvait aussi entendre les gémissements et les soupirs des elfes accrochés aux arbres. Les voyaient-elles ? Assistaient-ils, silencieux, à ce spectacle féérique ? Elle aimait à le croire. Elle imaginait mal que Wel’ ait des prisonniers si près d’elle... Ces elfes devaient plutôt être des sortes d’invités d’honneurs, enfermés dans une longue félicité, pour le bonheur pervers de la nymphe.

Sale et verte, Wel’ ne laissa pas longtemps le phallus d’Ivy à l’air libre, et s’assit sur elle. En sentant la nymphe s’enfoncer en elle, en sentant son membre se perdre dans son corps, Pamela retint un gémissement, et posa ses mains moites sur les hanches de la femme. Wel’ croisa ses bras derrière sa tête, bombant le torse, incarnation-même de la beauté :

« Fait moi hurler de plaisir... ma douce... » demanda-t-elle.

Ivy gémit en retour. Depuis sa position, il lui était difficile de faire quoi que ce soit, d’agir. Ivy fit donc parler ses facultés spéciales, et, autour de son phallus, des tentacules se mirent à pousser, avançant le long de la verge, pour se coller délicatement aux parois internes de Weldenela, comme des espèces de ventouses. Ainsi, ils purent exercer de fortes tractions sur le sexe de Pamela, afin d’accentuer le rythme de ses pénétrations.

« Wel’, gémit-elle, oh Weeeeeeeelll... »

Et les orgasmes se poursuivirent.
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Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 12 jeudi 25 juillet 2013, 16:58:57

Depuis sa position, l'Alraune put sentir, au grès de ses mouvements de bassin sur celui de son amante, le sexe de celle-ci gagner en épaisseur, exerçant du même coup une sorte de traction augmentant la cadence de celui-ci. Wel' en fut agréablement surprise et sentit son excitation augmenter de quelques échelons de plus.

- Wel’, oh Weeeeeeeelll...

- Haaaan... C'est tellement bon, ce que tu me fait là, Ivy...


Weldenela continua a remuer ainsi de longue minutes, naturellement sensuelle et ne lâchant pas du regard la plante avec laquelle elle copulait délicieusement. Son mandarin était si long qu'il emplissait absolument tout l'espace de son vagin, dépassant sans le moindre effort le col de l'utérus pour taper au fond de celui-ci. Les gémissements des deux femmes continuèrent d'emplir l'atmosphère, se mêlant aux bruits nocturnes et aux cris de plaisir des être insatiables de la forêt. Elles eurent de nombreux orgasmes durant cette période, Wel' se vidant sur le ventre d'Ivy et cette dernière en elle. L'Alraune était excitée, infatigable, et se touchait les tétons sous le plaisir. Au bout d'une bonne heure, des lianes sortirent du sol pour sécréter au bout de celles-ci, un nectar aussi liquide que de l'eau, transparent, mais agissant comme une huile de massage, se rependant sur les corps en chaleur des deux femelles, les rendant glissants, luisant, enivrant... Weldenela se coucha contre Ivy, se frottant contre sa partenaire, avec une infinie tendresse, et s'empara de ses lèvres, l'embrassant langoureusement, suçotant ses délicieuses lèvres, pulpeuses, et s'amusa à lécher sa douce langue, gémissant de plus belle, sa voix cristalline sonnant comme une douce mélodie aux oreilles de son amante.

- Hmm... J'aime tellement te faire l'amour, ma belle Ivy... Haaaa....

L'Alraune retourna à son tendre baisé, continuant de faire de longs vas et viens sur la verge tendue  de son amante, se mettant bientôt à quatre pattes au dessus d'elle, pour lui faciliter les mouvements de pénétration. Lui rendant la pareille, deux tentacules phallus se dressèrent bientôt de terre pour pénétrer les orifices de plaisir de la belle rousse. Les ébats étaient encore bien loin d'être achevés entre les deux plantes.

Ce n'est qu'une vingtaine d'orgasmes plus tard, Que Wel' extirpa l'imposant sexe de son entre, pour se placer dos à sa partenaire et à quatre pattes, lui offrant ainsi la vue de sa belle croupe et de sa vulve, dégoulinante de nectar et de semence.

- Pénètre moi, belle plante... Viens me dominer... je sais que tu aime ça... Tu es comme moi...
Présentation d'une jeune alraune et de sa défunte mère

Mes demandes de RP - Apparence de Weldenela

Poison Ivy

Créature

Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 13 dimanche 28 juillet 2013, 12:27:40

Cette scène était tout simplement surréaliste. Jamais elle n’avait autant joui, et, pourtant, elle avait beau continué à jouir, le désir, latent, était là, explosif, la harcelant sans arrêt, revenant constamment dans ses entrailles. Impatience, plaisir, satisfaction, souffrance, douleur, un florilège d’émotions l’envahissait sans relâche, effaçant le temps, balayant la fatigue. Weldenela dansait sur elle, créature magnifique et terrifiante, et son sexe l’élançait douloureusement. Insoutenable, la douleur se répandait dans son corps, entraînant des orgasmes à répétition. Elle restait allongée sous elle, pendant un temps qui lui sembla aussi interminable qu’éphémère. En harmonie à leurs ébats, la forêt réagissait, des tentacules balançant sur leurs corps une espèce de curieuse substance qui rendit Wel’ encore plus appétissante, si c’était encore plus. En nage, haletant, gémissant, se tortillant, Ivy la sentit alors s’écrouler sur elle.

« HUUUUUUUUUUMMMMMMMMMM-HUUUUUUMMMMMMMMMMM !! »

Elles s’embrassèrent voracement, se frottant l’une à l’autre, la main d’Ivy caressant la nuque de la nymphe, s’y pressant, tandis que son baiser intense sentait la passion la plus folle possible. Ivy ne se reconnaissait plus, ne se voyait plus. C’était comme si toute son humanité s’était écroulée dans sa forêt, faisant d’elle une sorte de fée uniquement motivée par le sexe avec l’Alraune. Elle était totalement soumise à cette nymphe, et tandis que Weldenela se pressait contre elle, ses mains exploraient les fesses de la femme, s’y crispant, s’y cramponnant. Poison Ivy ignorait ce qui s’était passé dans cette forêt, mais elle avait changé. Weldenela avait grandi, et la forêt semblait émettre encore plus de fluides sexuels qu’auparavant. Ivy les ressentait, tout autour d’elles.

Leurs langues jouaient entre elles, dans un onctueux ballet, couvrant leurs soupirs et les gémissements. Les corps se frottaient langoureusement, frottant sur cette espèce d’huile naturelle que les tentacules avaient utilisé pour enduire leurs corps. Véritable ode au plaisir sensuel, les deux femmes se laissaient pleinement aller, sans se retenir, Ivy mordillant ses lèvres magnifiques. Oui, Weldenela était belle, d’une beauté terrifiante et enivrante, et Poison Ivy sentait bien qu’elle ne pourrait pas se lasser de ce contact, de ce corps, de cette atmosphère.

« Hmm... J'aime tellement te faire l'amour, ma belle Ivy... Haaaa.... » souffla-t-elle, écartant ses lèvres.

Ivy la regarda, une lueur de désir brillant dans les yeux, et elles retournèrent s’embrasser. Le baiser était accompagné des mouvements de Weldenela sur la verge de Pamela, et, comme on pouvait logiquement s’y attendre, Poison Ivy finit par avoir un nouvel orgasme, sentant son foutre jaillir, encore une fois, dans le corps de l’Alraune. Et, encore une fois, son sexe restait toujours aussi dur, toujours aussi gros, toujours aussi prenant. Des tentacules apparurent alors, et pénétrèrent de concert Pamela, dans son vagin, ainsi que dans son anus. Ses yeux s’écarquillèrent, elle sentit une brève torpeur l’envahir, avant d’enchaîner les orgasmes, gargouillant et soupirant de plaisir.

Au bout d’un certain nombre de minutes, Weldenela se redressa. Ivy se laissait faire, chose assez impensable pour elle, et pour ceux qui la connaissaient. D’un naturel dominant, avec ses plantes, Pamela était ici entièrement subjuguée par cette forêt, et par cette Alraune. Tout ceci défiait la logique, c’était comme se retrouver au paradis, pour Ivy. Une forêt forte, puissante, autonome, qui avait su dominer les espèces prétendument civilisées, en imposant sa volonté, cristallisée par le biais d’une Alraune. Comment ne pas être sous le charme ? Surtout quand cette Déesse naturelle vous appréciait.

Weldenela se mit à quatre pattes, devant elle. Ivy, lentement, entreprit de se redresser, le corps engourdi. Ses jambes lui firent un peu mal, avant qu’elle ne réussisse à s’y faire. Elle soupira devant ce corps, sa verge trempée continuant à l’élancer douloureusement.

« Pénètre moi, belle plante... Viens me dominer... je sais que tu aime ça... Tu es comme moi...
 -  Oui... Oui, ma beauté... »

Ivy se rapprocha et posa ses mains sur les hanches de la femme, puis s’enfonça dans son vagin inondé. Elle soupira, se sentant tout de même mieux. Avec un sexe aussi affamé, aussi avide de sensations, il allait de soi qu’il était beaucoup plus stimulant et épanouissant d’avoir un rôle actif. Pamela posa donc ses mains sur les hanches de sa partenaire, et entreprit de remuer son corps rapidement, nerveusement, imposant son rythme, remuant ce corps, tout en soupirant et en gémissant. Un nouvel orgasme la saisit, et elle cracha son sperme en elle, voyant la forêt, autour d’elles. Elle semblait comme être en train de s’éveiller, de vivre pleinement, de respirer à pleins poumons.

Elle pénétra le vagin de Wel’ pendant une bonne heure, la défonçant, ses mains se crispant sur ses hanches, tandis que les tentacules végétaux de la forêt retournèrent à l’assaut, s’enfonçant dans le fondement d’Ivy, ainsi que dans d’autres orifices, comme la bouche de Wel’. Pamela poussait des soupirs, sentant également deux tentacules supplémentaires se poser sur chacun de ses seins, des langues jaillissant du tentacule pour titiller ses tétons, les meurtrissant.

« Haaaa... Haaaaa !!!! »

Ivy finit par retirer son sexe, afin de s’attaquer à une autre partie du milieu du corps de Wel’ : son fondement, ce petit trou qui la titillait. Elle rapprocha son sexe, en tremblant, des tentacules jaillissant de sa verge pour se poser sur les fesses de la propriétaire de la forêt, afin de les écarter l’une de l’autre, sa verge s’enfonçant ensuite dans son petit trou.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Weldenela

Créature

Re : L'hospitalité des nymphes [Weldenela]

Réponse 14 mardi 22 octobre 2013, 14:01:20

L'alraune était là, à quatre pattes au bord de son lit végétal, à dandiner du cul, impatiente de se faire labourer par le vît d'Ivy. Devant elle, les tentacules ondulaient sur le même rythme que son fessier. Au bout de secondes qui lui semblèrent comme des heures, Weldenela soupira de bonheur en sentant les mains délicates se poser doucement sur ses hanches, avant de pousser un cris mêlé de surprise et d'extase, lorsque la rousse la pénétra  son vagin d'un coup sec.

- HAAAAAAAAAAAANN ?!... HAAAAAAAAAA !! HAAAAAAAAAA !! HAAAAAAAAAA !!

Les rôles venait de s'inverser. Depuis le début, l'humanoïde végétal dominait la mutante, imposant un rythme lent et sensuel, écrasant cette dernière par un long plaisir, suffoquant. A présent qu'Ivy la dominait, l'acte était devenu plus violent, sauvage et brutale. Ivy l'écrasait sous ses coups de butoirs rapides et profonds, n'y allant pas de main morte. Le désir et l'envie était toujours aussi présent et, de toute manière, Wel' aimait ça. Après tout, la sauvagerie bestiale était tout à fait naturelle, c'était même la base du sexe et de la reproduction. Aussi, comme Ivy tout à l'heure, L'alraune ne se privait pas pour crier son plaisir au reste de la forêt, mais pas d'une voix grave et rauque. Celle-ci restait tout de même lente et cristalline, même avec sa grotte des plaisir en feu.

- HAAAAAAA !! HAAAAAAAAAAA !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!

Lorsque Poison Ivy fini par se lâcher en elle, Weldenela eu un formidable orgasme, inondant de nouveau le tapis de feuille sous elles, qui absorba les nutriments nécessaires. En temps normal, jouir aussi vite après avoir dépensé autant d'énergie suffisait à mettre à terre le plus endurant des humains. Oui mais voilà, Ivy était actuellement dopée par des fruits très spéciaux, et la maîtresse de la forêt dû encore subir ses assauts et ses orgasmes répétés durant près d'une heure, pendant que les tentacules glissaient dans les orifices non exploités par les deux femelles en chaleur.

- Haaaa... Haaaaa !!!!

La rousse se retira alors de son antre, Wel' lâchant un soupir de déception, qui se changea en plaisir lorsqu'elle sentit la grosse matraque écarter ses sphincters et se glisser au plus profond de son fondement. Son vagin ne resta pas vide bien longtemps, une nouvelle liane venant remplacer le membre dans son vagin inondé. Très vite, Ivy se relança de nouveau à l'assaut de la belle plante, qui hurla de plus belle, ses cris rapidement étouffés par une autre liane. Au plus de la semence et de la mouille, les lianes continuaient de cracher sur les deux femmes un nectar aphrodisiaque, chaque fois que l'une d'elle avait un orgasme. Le liquide avait pour effet, outre rendre leurs corps glissant et brillant, de réchauffer ceux-ci, faisant bouillir leur sang et les exciter d'avantage encore

- BAISE MOI IVY !!! HAAAAAAA !! BAISE MOI AUSSI LONGTEMPS... HAAAAAA !! QUE TU PEUX !!!

Difficile de dire combien de temps cela dura. Mais ce qui était sûr, c'est que lorsque Wel' sentit le membre de son amante se retirer, le soleil était déjà haut dans le ciel. L'alraune n'en était pas à son premier rapport sexuel, mais elle devait bien avouer que c'était bien la première fois qu'elle en faisait un durant près de 24h. Sans doute un records pour les deux femmes. Ivy semblait enfin épuisée, à bout de force. Même si son membre était passé au stade "repos", celui-ci était toujours aussi grand, et pouvait se redresser à tout moment, mais pas tout de suite. C'est en voulant se déplacer jusqu'à elle, que l'alraune s'écroula sur elle-même, incapable de se tenir sur ses jambes. Déesse sa grand-mère, Ivy l'avait défoncée au point qu'elle en avait même mal à l'arrière train, peu habituée à être prise avec autant de force, sur une durée aussi longue. En tout cas, ses expériences avec les fruits étaient un réel succès. Weldenela se rapprocha doucement de la rousse en rampant, se collant à elle, et déposa un tendre baisé sur ses lèvres.

- C'était sensationnel ma belle Ivy... Et ça va encore l'être durant les jours à venir... Là, repose toi... Il te... Il nous faut reprendre des forces, avant de poursuivre nos ébats...

Wel' posa alors sa tête à coté de la sienne, ses mains de chaque coté, avant de fermer les yeux et s'endormir contre son amante, sa favorite.
Présentation d'une jeune alraune et de sa défunte mère

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