Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)

vendredi 24 mai 2013, 18:20:13

~ Ce rp fait suite à celui-ci, et se déroule une dizaine de jours plus tard ~


Un samedi matin, à Seikusu...

" Môshi, môshi ! Hôtel El Palacio De La Playa, bonjour ! "

" Bonjour, Mélanie Rosenberg à l'appareil ! Je vous appelle au sujet de la chambre n°218 ayant été réservée pour ce week-end. Nous avions pris la formule deux jours / une nuit, mais les horaires n'étant pas indiquées, j'aimerais savoir si elle sera disponible lorsque nous arriverons, dans une heure environ... ? "

" Bien sûr madame ! Je peux même vous confirmer qu'elle est déjà prête, et n'attends plus que vous. "

" Ah, c'est parfait alors ! Dans ce cas à plus tard, merci. "

" Merci à vous, au revoir ! "

Voilà qui était parfait, ce week-end à la plage commençait plutôt bien ! La chambre d'hôtel était prête, et le taxi arriverait bientôt. Il ne me restait plus qu'à préparer mes valises, ce qui sera rapide : l'hôtel nous fournira tout ce dont on aurait besoin ! J'avais juste à prendre quelques vêtements avec moi, deux maillots de bains, des bas nylon, une culotte à dentelle rouge et son soutien-gorge assorti, ainsi qu'une tenue de soirée, au cas où. Une longue robe noire au décolleté ravageur, fendue à droite jusque la cuisse, maintenue derrière la nuque et laissant le dos nu.

" Hmm, avec ça... "

Oh, j'ai failli oublier les chaussures qui allait avec, une paire d'escarpins, rouges eux aussi. Et bien sûr, quelques objets que l'hôtel ne fournissait pas, mais avec lequel nous pourrions beaucoup nous amuser, ma Pupuce et moi, comme un collier avec sa laisse, quelques sextoys, etc..., que je pris soin de placer dans un sac à part, lui-même dans ma petite valise, à l'abri des regards indiscrets.

DRIIIING ! - sonna l'interphone.

" Oui ? "

" Mademoiselle Rosenberg ? Le taxi que vous aviez demandé est arrivé. "

" Parfait ! J'arrive dans cinq minutes ! "

Le temps de me recoiffer, d'ajuster mon élégant tailleur mauve, un peu de gloss à la teinte discrète et à la saveur fruité (framboise), et j'étais fin prête à partir ! Valise à la main, je sortis de chez moi et pris le taxi, lui indiquant la direction à suivre. Pendant ce temps, je pris mon téléphone et envoyai un petit message, un sourire involontaire aux lèvres.

J'arrive bientot. J'espère que ma petite chienne est prête ? Bisous <3

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)

Réponse 1 mercredi 29 mai 2013, 09:18:02

Driiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnggggggggg !

Ma main s'abat lourdement sur le réveil alors que je pousse un grognement exaspéré, j'étais si bien au pays des songes. Je m'étire sur le sous drap blanc de satin, doucement le crissement du tissu accompagne le mouvement de mon corps. Je baille en souriant, heureuse comme je ne l'ai pas été depuis longtemps. Je me redresse d'un coup en sursaut, le drap chute laissant ma poitrine nue, exposée au courant d'air frais du petit matin, qui, joueur, entre par la fenêtre ouverte et tourne dans la pièce.

« Maîtresse ? »

Ma voix est timide, fragile, un brin suppliante alors que je regarde tout autour de moi, cherchant désespérément quelqu'un dans cette chambre vide. Je remonte le drap et le tenant plaqué sur mes seins je me lève. Au sol, seulement mes vêtements éparpillés au sol. J'avance vers la porte de ma chambre, la fixant avec l'espoir de voir Mélanie apparaître le sourire aux lèvres. Quand enfin je la passe, il n'y a que mon salon éclairé par la lumière du soleil, mon salon désespérément vide.

« Maîtresse? »

J'appelle une fois de plus, l'espoir seulement remplacé par la peur de l'absence. D'un pas hésitant, craintif, je me glisse jusqu'à la cuisine. Je veux croire qu'elle est là, préparant un petit déjeuner pour reprendre des forces après des retrouvailles digne du plus beau des rêves. Mais je sais bien avant de passer le seuil de la porte qu'elle n'est pas là, je ne sens pas l'odeur des crêpes, elle a toujours aimé les crêpes et faire sauter celles-ci dans les airs.

« Maîtresse ... »

La cuisine est vide … je me laisse glisser le long de l'encadrement de la porte, le carrelage est froid sous mes fesses mais c'est mon cœur, prisonnier d'un linceul de glace qui me fait souffrir. Je pleure comme une enfant, les vrais pleures de douleurs, ceux qui ne peuvent laisser personne indifférent. J'ai l'esprit encore brumeux du réveil mais je sais maintenant que ce n'était qu'un rêve, un rêve que je désirais tant, un rêve si fort que j'ai cru que c'était la réalité, j'ai cru enfin avoir retrouvée celle qui est tout pour moi, ma belle Mélanie.

Je perds la notion du temps ainsi secouée de sanglots, et quand finalement plus j'ai versé toutes les larmes de mon corps je reste encore là, à chouiner en silence. De l'extérieur j'entends mon voisin qui sifflote sur son balcon. Tous les week-ends, sur les coups de 10h, monsieur Tanaka sort profiter de l'air frais en lisant son journal. Comme si cela venait de me rappeler que la vie continue, je me lève et me traîne jusqu'à la salle de bain pour me doucher. Je frotte mon visage pour faire disparaître les traces de mes pleurs, je laisse couler l'eau sur mes cheveux d'or, sur ma peau, comme si elle pouvait emporter au loin ma peine. Mais quand je sors et que je me regarde dans le miroir je vois que je ne fais pas illusion, ce n'est pas la joie qui éclaire mes traits.

Je claque mes joues pour leurs donner un petit teint rose, un air plus frais, je sèche mes cheveux avant d'enfiler un peignoir et de sortir sur le balcon. Quand il entend ma porte fenêtre s'ouvrir monsieur Tanaka lève la tête de son journal. Mon voisin est un homme charmant d'une cinquantaine d'années, veuf depuis presque 3 ans maintenant. Sa femme est morte de maladie et a laissé un homme bouleversé qui commence à peine à se remettre. Il me sourit, je dois être l'une des rares personnes à qui il parle encore, pourtant c'est un très bel homme malgré son âge, il est vrai que certains hommes gagnent en prestance en vieillissant, monsieur Tanaka est l'exemple parfait.

« Bonjour mademoiselle Delajoue, comment allez vous aujourd'hui? »

« Je vous ai déjà dit de m’appeler Florence, je vais bien et vous ? »

« Je suis d'une époque où cela ne se fait pas d'appeler les dames par leurs prénoms vous savez. », me dit il avec un sourire charmant, un homme galant comme on en fait plus, « Je vais bien merci, mais vous êtes sur que tout va bien ? Vous avez l'air triste ... »

« Oh ce n'est rien … j'ai fait un rêve qui avait l'air si réel que je suis un peu déçu qu'il ne soit qu'un rêve ... », dis je en diminuant l'ampleur de ma déception.

Mon téléphone se met à jouer une mélodie et je me fige en regardant mon voisin, je n'ose plus bouger. Il remarque bien mon drole de comportement et repli son journal, se penchant en avant un peu inquiet.

« Tout va bien mademoiselle Delajoue ? »

« C'est mon téléphone », dis je simplement.

« Vous devriez aller voir alors, c'est peut être important »

« Vous avez raison »

Et comme une automate je rentre dans mon salon, m'approche de la table basse. Je n'ai pas rêvé … cette musique … la première chanson sur laquelle Mélanie m'a embrassé … comme cela pourrait être un hasard. Je ramasse mon téléphone, j'appuie sur le bouton, l'écran s'éclaire et m'indique que j'ai un nouveau message de « Maîtresse ». Je tremble de nouveau, j'ai peur mais de nouveau espoir, je déverrouille comme je peux pour voir ce message. Sur la droite la photo de l'expéditeur, ma belle Mélanie exactement comme je l'ai vu en rêve, à coté un simple texte.

J'arrive bientôt. J'espère que ma petite chienne est prête ? Bisous <3 

« HHHHHHHHHHHHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!»

Je pousse un cri de bonheur, un cri de joie. Dehors j'entends la chaise longue poussée en arrière et monsieur Tanaka qui enjambe la rembarde de nos balcon pour venir voir ce qui m'arrive.

« Tout va bien Florence ? »

Dans l'inquiétude il a prononcé mon prénom pour la première fois mais je ne le remarque même pas. Moi je sautille dans la pièce comme une ado qui apprend qu'elle va voir le concert de son idole. Je n'ai pas rêvé ! Ce n'était pas un rêve ! J'ai bien retrouvé ma Mélanie hier ! Tous mes souvenirs remontent comme une vague. L'infirmerie du lycée, Keinichi, le repas qu'on a été faire ensuite, le passage aux toilettes … Elle a mis son numéro dans mon téléphone juste avant de me déposer et a pris une photo d'elle pour l'associer au contact « Maîtresse » qu'elle venait d'ajouter à mon répertoire. Elle m'a embrassé tendrement avant que le taxi ne me dépose chez moi, me disant de me reposer, qu'elle m'emmenait en week-end.

« Mademoiselle Delajoue ? »

« HHHhhhhhhiiiiiii !!!!», je me précipite pour serrer dans mes bras monsieur Tanaka, « Je n'ai pas rêvé ! Elle est revenue ! Elle est revenue ! », dis je en sautillant sans le lâcher, mon corps se frottant au sien, « Je dois me dépêcher elle arrive ! »

Je m'arrête, je m'écarte et regarde mon peignoir, soudain c'est la panique, elle arrive et je ne suis pas du tout prête, on part en week-end et je n'ai même pas préparé une valise !

« Vite ! Vite ! Vite ! Je dois me préparer, m'habiller, me coiffer, faire ma valise ! »

Alors que je parle je retire mon peignoir sans réfléchir et lui donne. Il tousse et rougis en me découvrant nue sous ses yeux. Moi je ne perds pas une seconde, je me retourne et c'est une vraie petite tornade qui s'active dans la maison. Je jette une valise sur ma table basse et je commence à y mettre mes affaires. D'abord les sous vêtements, des ensembles de lingeries fines … Je m'arrête, je les regarde en les tenant à bout de bras et avec un grand sourire je les jette par terre.

« J'en ai plus besoin, ça c'est interdit maintenant »

Je me parle à moi même et toute à mes pensées je n'entends pas l'exclamation d'étonnement de mon voisin, qui toujours sur mon balcon me regarde courir partout, mes petites fesses se dandinant, mes seins balotants librement. J'adapte rapidement ma valise à ce que ma Maîtresse attend de moi, des tenues légères ou moulantes, des hauts courts ou des chemisiers a demi, voir complètement transparent et enfin une belle robe de soirée au dos nu et au décolleté provoquant. Je complète bien évidement le tout avec mon maquillage, ma trousse de toilette et ma brosse à cheveux. J'enfile une robe d'été à bretelles qui met bien en valeur mes seins et s'arrête à mi-cuisse, le tout bien entendu sans culotte ni soutien-gorge.

Ttttttttuuuuuttttttt – Tttttttttuuuutttttt

« J'arrive ! »

J'enfile en sautillant mes chaussures, cherchant à enfiler mes sandales tout en allant à la porte quand j'entends le klaxonnement, certaine que c'est le taxi de ma maîtresse qui m'appelle. Je claque la porte sans un dernier regard chez moi, sans voir le pauvre monsieur Tanaka sur mon balcon, devant la porte fenêtre du salon, complètement médusé, mon peignoir dans les mains. J'appuie sur le bouton de l’ascenseur frénétiquement, trop long, je ne peux pas attendre. Je dévale les 5 étages qui me sépare du rez de chaussée et déboule comme une furie dans le hall. Je passe la porte et je la vois enfin, elle est là, debout à coté de la portière du taxi. Je laisse ma valise au chauffeur et je viens l'embrasser en fermant les yeux. Le baiser est délicat, long, doux, des larmes de joie m'échappent tant je suis heureuse de la retrouver, de ne pas rêver.

« Je suis heureuse de te voir », elle se penche à mon oreille pour ajouter sensuellement, « ma petite chienne », et j'en frissonne de plaisir.

« Moi aussi maîtresse ! »

Elle me sourit et se pousse pour que je monte la première. Surprise je m'avance et elle me claque les fesses au passage, m'arrachant un gémissement de contentement. Je m'assoie sur la banquette, elle s'installe à coté et une fois nos ceintures bouclées, elle pose une main possessive sur ma cuisse. Mon dieu ce que le contact de sa main sur ma peau, sa présence à mes cotés est merveilleux. Le chauffeur regarde dans son rétro, il a un sourire, il doit penser qu'il va profiter de la situation pendant le trajet, mais avec ma délicieuse Maîtresse difficile de savoir ce qu'elle a en tête ! Enfin la voiture se met en route, nous voilà partis pour un merveilleux week-end !

[HRP] Pour mieux imaginer voici la robe [/HRP]

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)

Réponse 2 lundi 10 juin 2013, 14:45:25

Le message envoyé, je gardais mon téléphone en main, la tête posée contre la vitre, plongée dans mes pensées, le regard un peu perdu et un sourire léger sur les lèvres, pendant que le taxi filait à travers les routes de la ville. Il faisait exceptionnellement beau dehors, une douce chaleur accompagnée de légères brises, et un ciel d'un bleu pur comme on en voyait rarement, et nous n'étions qu'au début du printemps. De nombreuses personnes marchaient dans les rues, vaquant à leurs occupations ou profitant des premières lueurs de soleil après l'hiver. Quant à moi... mes pensées étaient tournées vers celle que j'avais eu le bonheur de retrouver.

" Quelque chose me dit que vous allez passer un weekend en amoureux avec votre petit-copain haha, je me trompe ? " demanda le chauffeur en souriant, me regardant à travers le rétroviseur.

Visiblement mon air pensive et mon sourire niais ne lui avait pas échappé. Ah, s'il savait ! Sa remarque me fit rire, et je lui répondis, évasive.

" Mmmmh, en quelque sorte, hihi ~ "

Encore quelques minutes et nous arriverons au domicile de Florence...
Je pris mon téléphone, et commençai à faire défiler les photos, jusqu'à tomber sur les quelques unes que nous avions prises la dernière fois. Les souvenirs ravivés, je fus parcouru d'un frisson, avant de sourire, le regard attendri. Juste après son exploit, Kenishi s'était littéralement endormi sur le parquet de l'infirmerie, et nous en avions profité pour jouer un petit peu. Je m'arrêtai un instant sur une photo de nous deux, assises à califourchon au dessus de lui, à nous embrasser passionnément... et ne pu m'empêcher de rire aux éclats en voyant la photo suivante. Pupuce était à quatre pattes entre les jambes du jeune garçon, léchant son membre, pendant que j'étais assise sur dos, un peu comme chevauchant un étalon, le bras levé façon rodéo.

" Hum... nous sommes arrivés, mademoiselle Rosenberg. " interrompit le chauffeur, légèrement mal à l'aise.

" Oh... "

Je relevais subitement la tête et verrouillais mon téléphone.

" Très bien, nous allons attendre un peu, ce ne devrait pas être trop long. Oh, pourriez-vous klaxonner pour prévenir de notre arrivée s'il vous plait ? "

J'ouvris ensuite la portière et descendis de la voiture, attendant ma chère Pupuce... qui ne tarda pas à arriver.

" Pupuce ! "

Je l'enlaçais fort, la serrant contre moi, l'embrassant tendrement. J'étais contrainte de relever le visage, et elle de se baisser un peu, tant elle était grande. Elle l'était déjà plus que la moyenne, à l'époque, mais elle avait bien grandi, et aujourd'hui elle devait bien faire une bonne tête de plus que moi. Je m'écartai alors et la laissa entrer dans le taxi, gratifiant au passage son postérieur d'une belle fessée, avant de la suivre, refermant la portière derrière moi. Le chauffeur nous observa brièvement, visiblement étonné de nous voir aussi proche, lui qui s'attendait à voir mon "petit-copain", ce qui me fit sourire.

" Direction l'hotel maintenant, s'il vous plait. "

" Hum, euh, oui mesdemoiselles ! "

Et nous voilà parties pour l'une des plus belles plages de sables fins des côtes nippones !

Qu'elle était belle, dans sa petite robe d'été. Délicieuse, même. Comme ce fruit savoureux que l'on meurt d'envie de croquer... Je me rapprochais lentement d'elle, ma main se posa sur sa cuisse, que je caressais en douceur, silencieusement, plongeant mon regard dans le sien. Je me rapprochais encore, tendis mon autre main vers sa joue, avançant mes lèvres à quelques centimètres des siennes, la respiration saccadée, sans la quitter des yeux. Immobile, quelques instants, caressant sa cuisse avec plus d'insistance, avant de l'embrasser, passionnément, cueillant ce fruit pas-si-défendu. Mes lèvres se fondaient aux siennes, ma langue se glissant entre elles et caressant la sienne. Les caresses de ma main se firent plus aventureuse, et remontèrent lentement tout le long de sa cuisse. Je remarquais du coin de l'oeil que le chauffeur prenait plaisir à nous observer, jetant de nombreux coup d'oeil sur son rétroviseur. Mes doigts glissaient sur sa peau, s'attendant à rencontrer la frontière de son sous-vêtement, qu'ils ne trouvèrent pas. Afin de s'en assurer, ils continuèrent leur expédition, suivant la courbe de son bassin et descendant encore un peu, jusqu'à effleurer ses lèvres intimes. Tiens, tiens...

M'écartant doucement d'elle, je lui souris.

" Hihi... tu n'as pas mis de sous-vêtements, petite coquine ? "

Nul doute que le chauffeur avait tout entendu, ses mains se crispèrent sur le volant et ses joues prirent subitement une teinte rouge vif. Drôle de situation... drôle, et excitante. Une idée perverse m'effleura l'esprit et me soutira un sourire.

" Le chauffeur n'a pas l'air très convaincu, je crois... " lui susurrais-je avec douceur, embrassant sa joue. Deux des doigts qui l'effleuraient la pénétrèrent alors subitement, lentement. " Écarte les cuisses, ma chérie, montre lui que tu es une coquine... hihi ! "

Je retirais alors doucement mes doigts de son intimité, avant de les glisser dans sa bouche, l'incitant à les sucer, mon autre main ayant dévié de ses joues et caressait ses longs cheveux blonds.

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)

Réponse 3 jeudi 13 juin 2013, 08:38:09

Quel plaisir que d'être à ses cotés. Je regarde le paysage défilé avec un sourire qui m'arrive jusqu'aux oreilles tellement je suis heureuse. Alors que nous sortons de la ville, je crois que je passe autant de temps à observer l'extérieur du taxi qu'à lui jeter des regards, cherchant toujours à vérifier que c'est bien elle, que je n'imagine pas. A chaque fois que nos regards se croisent, elle me sourit et moi je rougis en lui rendant son sourire.

Les voitures c'est mal pensée ! A l'arrière il y a un vide entre nous pour que chacune puissions être attachées convenablement. Je me mordille les lèvres frustrées de la voir si loin, comme si maintenant que nous étions ensemble je ressentais le besoin d'être toujours collée à elle. Mon cœur s'accélère quand elle détache ma ceinture et me tire doucement contre elle, visiblement elle a le même besoin que moi. Je me colle à son corps avec le sourire, je pose ma tête sur son épaule, heureuse, enfin à ma place.

Assise au milieu je suis obligée d'écarter un minimum les jambes, une de chaque coté du véhicule. Elle ne dit rien mais il n'y a plus besoin de mots entre nous depuis bien longtemps, le contact de sa main sur ma cuisse, cette main qui remonte tout doucement en caressant ma peau douce est bien plus parlant. Elle caresse ma joue, elle relève ma tête et approche ses lèvres. Je ferme mes yeux pour l'embrasser mais rien … Après quelques secondes j'ouvre les yeux, sans comprendre, elle me regarde, son regard est plein de malice, de jeu, terriblement coquin alors qu'elle est si proche de ma bouche que je sens son souffle chaud courir sur mes lèvres. Sa main remonte sous ma jupe, caressant le haut de ma cuisse avec insistance. J'ai tant envie de ce baiser que je pourrais en pleurer, alors de mes yeux je la supplie de m'embrasser, sans un mot, juste par mon regard, lui communiquant tout l'envie que j'ai pour elle que je vénère, que je n'ai jamais cessé d'aimer comme au premier jour.

En maîtresse généreuse elle m'embrasse enfin, c'est une explosion de douceur et de plaisir qui m’envahit alors que je ferme les yeux. Elle vient jouer de sa langue sur ma bouche, je ne résiste pas et j'ouvre la mienne, trop heureuse de venir danser entamer une danse de nos langues sous les yeux du chauffeur que j'ai oublié. Décidément quand elle est là c'est comme si il n'y avait plus que elle et moi, comme si nous étions seules au monde. Sa main aurait maintenant touchée la naissance de ma culotte si j'en avais mis une, elle poursuit pour vérifier et passe à  travers mon épaisse toison blonde. Je me mordille les lèvres. Mince ! Si j'avais pas oublié ce matin j'aurai pris le temps de retirer tout ces poils, ma maîtresse m'a toujours voulu le sexe lisse comme celui d'une petite fille … Elle le note, je vois bien qu'elle ne l'oubliera pas mais elle préfère continuer à jouer avec mon corps et vient poser se doigts sur ma fente qui s'est humidifiée rien qu'à son baiser.

" Hihi... tu n'as pas mis de sous-vêtements, petite coquine ? "

Je rougis à sa phrase, toujours un peu gênée de l'entendre dire à haute voix malgré tous nos jeux passés. J'entends le hoquet de surprise du chauffeur et tourne la tête vers lui, réalisant sa présence, rougissant un peu plus. C'est pourtant en la regardant elle que je n'hésite pas à lui répondre à haute voix.

« Je sais bien que porter des sous vêtements m'est interdit maîtresse, je ne ferai pas deux fois la bêtise, je suis trop heureuse de t'avoir retrouvé. »

" Le chauffeur n'a pas l'air très convaincu, je crois... ", elle me parle dans le creux de mon oreille, son souffle fait bondir mon cœur, ses doigts me pénètrent par surprise, je lève un peu les fesses alors que sa main possède mon sexe et ne peut retenir un gémissement.

« mmmmhhhhhh », je vois l'homme nous observer presque autant qu'il regarde la route alors qu'elle ajoute.

" Écarte les cuisses, ma chérie, montre lui que tu es une coquine... hihi ! "

« Oui maîtresse »

Je sais qu'il n'a pas entendu les dernières paroles de Mélanie, juste les miennes et je vois bien que deux belles femmes qui s'exhibent à l'arrière de son taxi ce n'est pas pour lui déplaire. Les doigts de ma maîtresse se portent à ma bouche, je viens les sucer délicieusement, profitant plus de la saveur de sa peau que de mon goût, même si c'est ma liqueur qu'elle me donne. Moi je soulève mes fesses, je remonte ma robe à l'arrière, maintenant cul nu sur le cuir du taxi. J'ouvre un peu plus les cuisses, ma jupe déjà haute de la caresse de ma compagne remonte encore. J'observe dans le rétroviseur central et quand on voit enfin ma toison blonde je ne bouge plus. Je baisse les yeux, ma jupe est juste à la limite de mon sexe pleinement exposée dans le rétroviseur mais complètement cachée par le tissu au regard de ma maîtresse. Je dois avouer que lui obéir sans lui montrer à elle mon sexe, qu'elle meure d'envie de voir m'excite encore plus, je sais bien que provoquait ainsi elle va être encore plus joueuse.

« Je ne porte pas de soutien-gorge non plus maîtresse »

« Ohhhhhh »

Le chauffeur pousse une exclamation, ne pouvant plus se retenir, je lui souris et alors sans qu'on me le demande … quoi que elle m'a demandé d'être coquine, alors je désobéis pas vraiment … Je remonte ma main droite à mon sein gauche, je le caresse, presse le téton pour le faire saillir. Je poursuis mon chemin et trouve la bretelle gauche, je m'en empare de deux doigts. Je regarde Mélanie, ma maîtresse, guettant un signe de refus de sa part. Je n'en vois aucun mais je sais que même si elle s'amuse de mon geste, même si elle le désire peut être, même si cela lui apportera du plaisir, elle utilisera peut être celui-ci pour me punir par la suite.

Sous les yeux de cet inconnu, moi qui depuis des années avait vécu sans plus un contact, je descend la bretelle, tire sur le pan de mon vêtement. Sous son regard mon sein se dénude, la belle rondeur blanche d'une poitrine laiteuse. Le tissu accroche à mon téton, le faisant jaillir d'un coup et rebondir quand enfin il décide de se montrer. Je baisse le haut de ma robe jusque sous mon sein gauche, l'exposant entièrement. J'offre dans le rétroviseur la vision perverse d'une femme a demi nu, le sexe offert sous sa jupe, un sein se montrant au soleil, l'autre caché mais dont le téton semble vouloir crever la petite robe d'été qui le cache.

« ggggrrrccchhhhhh … Charlie … tu es là Charlie ? Tu es en course ? …. ggggrrrrccccchhhh »

La radio du chauffeur se met en marche, l'appelant, il la regarde avec surprise comme si elle venait d'apparaître par magie. Il tend la main pour décrocher puis se ravise en nous regardant l'une puis l'autre, comme s'il avait peur que nous changions d'avis. Moi je pose tendrement ma tête sur l'épaule de ma maîtresse.

« gggrrrccchhhhh … Charlie réponds s'il te plaît … », encore un appel qui passe mais la situation semblait figée dans le temps, le malheureux semble ne plus savoir quoi faire, « ggggrrrrccchhhh … bon Charlie si tu m'entends ta mère est passée, elle a déposé ta crème contre tes hémorroïdes … », on entend l'homme à l'autre bout du fil qui commence à rire, « … tu dois avoir le feu au cul là ... », il rit de plus belle, s'il savait à quel point il avait raison il baverait de jalousie au lieu de se moquer.

« ggggrrrrrccchhhhh Je suis avec des clientes là ! Je passe après la course ! Terminé ! », il répond paniqué, l'air penaud, comme si tout le charme venait d'être rompu, comme s'il venait de rater la chance de sa vie, éteignant sa radio maladroitement.

Moi étrangement, même si je n'ai pu m'empêcher de rire, la situation est drôle quand même, ça me l'a rendu plus sympathique. Je suis surprise que ce grand gaillard de bien 40 ans, peut être plus, vive encore chez sa maman, ça a un coté mignon … Faut dire que je compte pas l'épouser aussi, juste jouer peut être avec lui sous les ordres et le regard de ma sublime maîtresse ...

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : El Palacio De La Playa (~ Pupuce ♥ ~)

Réponse 4 dimanche 16 juin 2013, 20:58:48

J'étais très contrariée de découvrir, du bout des doigts, une abondante toison au niveau de son entrejambe. Il y avait quelques règles strictes que ma Pupuce devait respecter, plus que des règles c'était même des ordres, et celle-ci en faisait partie, de garder son sexe soigneusement épilé. J'étais contrariée, oui. La dernière fois que nous nous sommes vues, elle avait également enfreint les règles en portant un soutient-gorge, mais je lui ai pardonné sa faute, bien sûr, dans la mesure où nous venions tout juste de nous retrouver. Mais là... elle n'avait aucune excuse. Pire encore, elle savait bien que nous passerions le week-end ensemble, elle et moi. J'osais espérer que ce n'était pas un signe de rébellion délibéré envers sa maitresse ! Quoi qu'il en soit, cette négligence sera punie, c'était certains. Mais... pas maintenant, non.

Pour le moment, j'observais ma belle, ma ravissante petite Pupuce s'exhiber devant, ou plutôt derrière le chauffeur de taxi, qui devait se considérer très chanceux d'avoir à son bord deux si belles femmes, taquines et coquines. Je suivais ses gestes du regard, à l'image d'une professeur de danse qui vérifie la bonne exécution de la chorégraphie de ses élèves. En l'occurrence, mon élève n'était autre que ma bien-aimée Florence. Elle releva sa jupe, mais elle s'arrêta délibérément trop tôt. Je la regardais, curieuse, mais les regards que lui lançait le chauffeur ne trompait pas, il se rinçait l'oeil ouvertement, et en semblait ravi. Je compris alors...

Je murmurais, affichant un sourire en coin.

" Mmmh, tu veux jouer à ça... "

En plus d'avoir bafoué les règles fixées, elle me narguait, cette coquine. Cette fois je n'allais pas laisser passer un tel affront, ah ça non. Rira bien qui rira la dernière, hihi ~ !

Je l'observai en souriant, pendant qu'elle se dénudait davantage. Son intimité dévoilée, elle s'attelait maintenant à exhiber sa poitrine, douce et généreuse. J'appréciais beaucoup de la voir se dévergonder ainsi... c'était d'ailleurs l'une de nos activités favorites, pensais-je en souriant. Je la laissais faire, pendant que l'homme semblait trépigner sur son siège. D'excitation, de frustration, ou d'un peu des deux. Après tout Florence était belle, et séduisante, et elle lui exhibait l'étendu de son intimité, c'était compréhensible qu'il ait du mal à résister à la tentation.

Quant à moi, c'est avec une certaine sévérité que je me mis à pincer le téton maintenant libéré de ma Pupuce, à le tirer, à l'agiter, faisant par la même occasion rebondir son lourd sein. Je ne disais rien, mon regard plongea dans le sien, un regard ferme et intransigeant, qui se chargea de lui faire comprendre ma pensée. Je raffermis ma prise, un petit peu plus fort, franchissement légèrement la limite entre l'acceptable et le douloureux, avant de finalement lui chuchoter.

" Tu refuse de me laisser en profiter aussi ? Tu exhibe sans honte ton intimité à cet inconnu, mais tu laisse ta pauvre maitresse sur sa faim ? "

C'est à ce moment là que le talkie-walkie du taxi reçu un message pour le moins... cocasse. Et le chauffeur semblait assez gêné que ses deux passagères ai découvert ses problèmes d'hémorroïdes. Nous riions toutes les deux, tandis que l'homme se renfrogna, en une moue boudeuse que je trouvais assez mignon, du moins qui aurait pu l'être s'il avait une bonne vingtaine d'années de moins.

Je desserrais finalement l'étreinte de mes doigts, tout en le maintenant fermement, et repris où j'en étais, avec ironie.

" Ce n'est pas très gentil, ça... "

Mon autre main alla alors à la rencontre de son intimité qu'elle me refusait. Puisqu'elle me privait de sa vue, j'allais user de l'un de mes autre sens pour en profiter, à savoir le toucher. Et c'est un doigt doux et lent qui se glissa le long de sa fente intime, superficiellement, que je sentais néanmoins très mouillée. Elle devait déjà être excitée... et c'était tant mieux. Je comptais la frustrer en la stimulant léééééégèrement, sans la satisfaire, tout comme elle souhaitait me frustrer en se dénudant à coté de moi, en m'empêchant de profiter de son numéro, héhé. ~

A ceci près que, de nous deux, c'était moi, sa maitresse.

J'entrepris donc de la caresser, très lentement, jouant avec la frontière qui séparait les lèvres de sa intimité, remontant parfois effleurer son clitoris, parcourir sa toison, briser le contact, avant de revenir, en des mouvements doux et léger, qui restaient superficiels. Bien que bougon, l'homme ne cessait pas d'épier notre petit jeu, par de petits regards insistants, contemplant la féminité de ma soumise que je taquinais. Je ne pipais mot pendant mes caresses, restant irrémédiablement silencieuse, me contentant de regarder ma Pupuce, de lui sourire par moment. Je m'amusais avec son excitation, en ce qui était tout autant une taquinerie, un jeu entre nous, et une sorte de punition. Mes caresses durèrent encore quelques longues minutes, le temps que nous arrivions à destination. Après avoir salué comme il se devait notre chauffeur encore un peu penaud, et pendant que des employés s'occupaient de nos valises, je la pris par la mains et nous nous élancions vers notre chambre d'hôtel !

*

*     *

Nos valises apportées, je fermais finalement la porte, avant de fondre sur ma belle compagne. Je me blottis contre elle, et alla tendrement déposer un baiser sur son cou, à portée de mes lèvres, à défaut de pouvoir spontanément l'embrasser. J'enlaçais doucement ses hanches pendant que nos corps se frottait mutuellement, que ma poitrine soulevait la sienne pendant que sa jambe caressait la mienne. Je caressais affectueusement son dos, relevai alors le visage, et happai tendrement ses lèvres pour l'embrasser, tout en continuant à nous câliner mutuellement, à savourer ce moment.

" Tu sais que je t'aime, ma Pupuce... " soufflais-je en un doux soupir.

Mes mains descendirent lentement le long de son dos, glissant sur ses fesses, que je me mis à presser, doucement, puis à pincer un peu plus fort, brièvement.

" Mais tu m'as profondément déçue, aujourd'hui. " lâchais-je alors.

Appuyant mes propos, je me détournais d'elle et fit demi-tour, m'éloignant de quelques pas.

" Cette toison que tu portes... Tu savais pourtant que nous allions passer ce week-end ensemble... "

Je parlais à voix basse, sans lui adresser un regard.

" Mais peut-être que les choses ont changé, après toutes ces années. Peut-être que toutes ces choses que nous avons vécu ensemble ont perdu de leur importance à tes yeux. Au point où cela ne te pose plus de problème de violer les règles... "

Elle pouvait sentir une légère pointe d'amertume et de tristesse dans ma voix, et je me refusais toujours à la regarder. Oh, certes, j'exagérais mes réactions, d'une manière peut-être un peu trop théâtrale, mais je restais tout de même un peu sérieuse, et il y avait un fond de vérité dans mes propos... J'avais conscience de jouer sur un terrain sensible, mais je voulais m'assurer que c'était bien ma Pupuce que j'avais retrouvé, qu'elle pouvait regretter son geste, même un petit peu, que cette négligence n'était pas volontaire...


Je restais silencieuse un moment encore, avant d'ajouter.

" Il faudra arranger ça... As-tu pensé à prendre de quoi t'épiler, au moins ? "

Si ce n'était pas le cas, j'avais déjà ma petite idée sur comment obtenir le nécessaire... ~


Répondre
Tags :