Cours de mathématique (pv : Elesie)

Dans une belle journée ensoleillée, le style de journée où les oiseaux volent, chantent et s'écrasent, pour certains, sur des vitres. Une journée où beaucoups d'enfants s'amusent, mais, où les élèves s'ennuient à l'école à cause des professeurs qui parlent tous autour du pot alors qu'ils peuvent faire comprendre en une phrase. Etant le cancre des cancres du lycée, le jeune Lavi était là, assit sur sa chaise, pieds sur son pupitre, mains derriere la tête qui, au passage, est levée vers le plafond et, le plus important, est suspendu sur sa chaise par les deux pieds arriéres. Ayant le professeur qui, regardant vers lui, l'engueulle, celui-ci répondit d'un ton sec en ne levant que la tête. L'ayant bel et bien énnervé, il se fit mettre dehors de la classe. Pour lui, c'était une habitute. Vadrouillant dans les couloirs, allant dans la cours ou sur le toit, tout était possible avec lui. Mais, ce jour-là, il n'alla que dans la cours où il se ramassa une craie en plein visage. Tombant sur le sol, le visage blanc, il se releva en lançant une pierre sur son professeur. La bataille commença, Lavi lança des pierres sur le professeur qui, lui, répliqua avec des craies. Se faisant à moitié assomé par derriere, celui-ci se retourna, empoigna la personne et remarqua que c'était le sous-directeur. Le sous-directeur, voyant ça, dépossa sa main sur celle de Lavi et, quelques minutes plus tard, se remit sur le sol. D'un coups, celui-ci retourna Lavi qui tomba aussitôt sur le sol, échappant à deux doigts de s'ouvrir le crâne. Le vieu sous-directeur lui dit alors :

-Tu changes vraiment pas, Lavi. Tu devrais t'amélioré au lieu de jouer

- Laches moi, papy !

Répliqua le jeune garçon qui balaya la main du vieillard qui voulait l'aidé à se relever. Retournant dans le batiment, celui-ci cassa une des vitres de la porte d'entrée et retourna en classe. Se remettant en position, ça ne fait même pas 5 minutes qu'il tomba sur le sol. Le professeur lui avait, encore une fois, lançé une craie en pleine figure. C'était la goutte d'eau qui dépassait le vase. Se relevant et prenant qu'un simple stylo, celui-ci le transforma en marteau, courra vers le professeur qui, par peur, se protégea la figure et tribucha sur un sac trainé là, s'amusant presque. Celui-ci releva la tête, regarda le professeur et se releva pour, ensuite, se retourner. Se réinstallant sur sa chaise convenablement, il se coucha sur son banc, dormit et se fit réveillé pour résoudre un probléme.

- Monsieur Nightroad, pardonnez-moi de vous dérangé pendant votre...comment dirais-je....votre petite sieste de l'apres-midi, mais, pouvez vous résoudre cet équation?

-3 millions

Le professeur se mit en colére, les larmes lui montérent aux yeux, il ferma ses poings, désintégrant les craies dans sa main et, pour terminer cet incroyable transformation, ses cheveux se drésserent en l'air comme la femme de frankenstein. Prenant sa boite de craies, celui-ci les lançérent sur Lavi qui, d'un réflexe, retourna sa table pour se protéger de la pluie blanche. Le professeur devenait fou à cause de lui et lançait des craies n'importe où, cassant les lampes ou bien, visant d'autres élèves, ça va même au point de casser des fenêtres.

Quelqu'un tapa à la porte, un son plutot doux que l'on entendait quasiment pas vu le vacarme qui résidait dans cette salle, le proffesseur indiqua à la personne derrière la porte qu'elle pouvait entrer, Elesie ouvrit la porte, laissant un grand silence dans la salle, Elle rentra, se retourna délicatement pour refermer la porte, elle lacha la poignet puis rejoins le bureau du professeur, c'était la nouvelle, elle arrivait à la fin du premier trimestre mais comme vous l'aviez compris, Elesie était errante depuis son emanscipation elle était venue ici pour étudier les arts et les mathématiques... Plutôt contradictoire, surtout avec sa beauté, une véritable déesse...

Elle était la cadette de la classe, mais paraissait en être la plus agée par sa sagesse et les traits doux de son visage, elle n'était pas un pot de peinture, croulant sous le maquillage comme la plupart des jeunes de son ages... Elle était revetu d'un pantalon, d'un jean noir proche de sa peau sans forcement la serrer, des bottes montante au dessous du genoux, noires, dans lequelles se cahait le pantalon, elle portait une chemise blanche dont les premiers boutons étaient défait par le volume de sa poitrine, des épaules bouffante, un corset de tissu noirs ceintrant sa taille passant au dessous de sa potrine, elle portait l'étoile du soir au cou, un pendentif magnifique fait d'argent massif et de cristal de swarovski, ses cheveux étaient remontés en chignons laisant quelques mèche de cheveux dépasser, ses lèvre rouge par nature était parsemé de baume à lèvre, car le froid les lui gercaiant, elle portait des lunettes fines et noires pendant les cours...
Bonjour... Je m'apelle Elesie et je suis nouvelle parmis vous je viens étudier les arts...

Lorsqu'une personne frappa à la porte de la salle de cour, le vieux professeur arréta son attaque spécial, le lancé de craies coléreux. Regardant autour de lui et voyant un nuage blanc de craies, celui-ci actionna un bouton où un bruit survint. Le tableau se leva et fit apparaître un ventilateur. Décidement, ce lycée n'est qu'un lycée de fou. Le ventilateur souffla, faisant disparaitre le nuage de craies et, d'un geste, laissa entrer la jeune personne qui, au premier coups d'oeil, s'avére être une beauté de la nuit. Pendant qu'elle se présentait, le jeune Lavi regardait vers l'extérieur, assit sur sa chaise jusqu'au moment où le vieux professeur se tourna vers elle et lui posa quelques questions. Durant cet infernal intérrogatoire obligatoire, le jeune Lavi circula dans la salle de cour à quatres pattes. Pour ne pas avoir de "casses", le directeur du lycée crut bien faire en construisant deux portes dans chaque salle de classe. Se prenant quelques cartables, le jeune cancre atéignit la deuxiéme porte se trouvant au fond de la salle. L'ouvrant d'une délicatesse tel que personne ne l'aperçut, celui-ci se glissa dans les couloirs et, ensuite, referma la porte. Se relevant tout en se frottant le dessus du crâne, le jeune cancre regarda autour. Personne à l'horizon et encore moin dans les couloirs où se trouvait le jeune garçon. Marchant avec les mains dans les poches, celui-ci regarda vers le ciel quand il bouscula quelqu'un dans un des nombreux tournants. Tombant au sol, il remarqua que c'était un des caïds du lycée qui se permettaient d'être nommé "membre du comité du discipline". Soupirant et se relevant, celui-ci n'avait pas eu le temps de dire un mot qu'il se retrouva denouveau par terre. Le jeune caïd l'avait frappé en plein visage et, se relevant, le jeune Lavi soupira avant de rire. Mais, ce rire enerva encore plus son adversaire qui, d'un bond de surprise, revoulut frappé Lavi. Arrétant le poing de celui-ci et le faisant tourné pour, ensuite, le lacher, ce qui le fit tombé, le jeune Lavi regarda sa proie étalée sur le sol. Malgré son rire, la droite qu'il a reçu l'avait énervé. Prenant sa jeune victime comme d'un ballon de foot, celui-ci shoota dans celui-là qui, après le coups, glissa. Le professeur, lui, remarqua l'absence de Lavi qui, jusqu'ici, ne créait que des compliquations. Donnant directement la plaçe à la jeune fille, celui-ci prit une régle en métal et courra à sa poursuite, laissant derriére lui les élèves qui, eux, commencérent à rire ou à faire des reproches vis à vis de Lavi. Le type de reproches n'est pas du style aideur, mais, plutôt celui d'enfoncer la personne dans le ridicule. Mais, à part sa soeur, personne ne comprenait ses sentiments vis à vis de sa vie et de l'école. On pouvait entendre le cris du professeur courrant dans le couloir avec un mot à la bouche : LAVI!!!. Lavi, quant à lui, était sur le toit à regarder vers l'extérieur, précisement vers le ciel.

Elesie ne tenait pas vraiment à faire mauvaise impression devant ses professeurs mais elle ne voulait pas non plus faire mauvaise impression devant les élèves... Elle n'appréciait pas vraiment le comportement de ses nouveaux camarades de classe après tout ils étaient tous prets à se jetter sur le premier détail qui tue, guettant chacun des éleves tel le prédateur analyse la bonne proie, cherchant des indices inutiles et invisibles qui pourraient mener ,en amplifiant à peine la rumeur, à l'extermination totale du respect que la proie s'était embetté à faire grandir... Vraiment elle ne voulait pas subir le mauvais jugement que l'on déservait aux nouveaux, surtout que la plupart des filles de cette classe, prise de jalousie de la beauté naturelle d'Elesie, commencaient déjà à observer ses moindres gestes, regardant si un de ses souffles n'était pas trop long, si ses sourcil n'avait pas un poil qui n'allait pas dans le sens de la courbe et surtout la taille de son pantalon... Vraiment Elesie aurait bien voulu faire comme ce fameux "Lavi" mais elle n'aurait pas aimé être la cible de ses proffesseurs, recevoir craies et règles sur la tête à chaque minutes où le cours se déroulerait...

Elle regarda par la fenêtre, prise d'un ennui puissant et leva la tête au ciel, les vitres étaient assez grandes et en levant un peu la tête on pouvait voir les toits du lycée et les avions, les grands nomades du ciel... Elesie regarda avec impatiente, attendant la venu de son professeur et pouvoir enfin recommencer le cours, c'est vrai que pour une première journée elle n'avait pas un bon point de vue sur le corps enseignant, si seulement elle pouvait se volatiser, elle serait déjà loin de se vacarme,... après tout rien ne la tenait encore ici, et tout ce bruit lui donnait un mal de crane horrible, le genre de mal de tête où on se demande si une oiseau ne nous tape pas dessus cherchant quelques graines... Elle continuait à regarder ce ciel pensive, si bien qu'elle voyait des éléments ce passer sans qu'elle n'y fasse de trop attention, mais elle entendait les mots de ses camarades, revelant que Lavi était sur le toit et que le prof se retrouvait avec un extincteur à la main, l'aspergant de ce liquide glaciale, le faisant redescendre, il le trainait par le col et se dirigeait vers la classe, bien sur elle entendit aussi toutes les filles de la classe, entièrement sous le charme de leur professeur, qui paraissait jeune et vraiment beau, elle sur rajoutaient à leur texte des "il est fort,beau et viril, oh ce prof est vraiment le meilleur, ah..." et les garcons quand à eux, absorbés par leur jeux de combats sur PC lancaient des combats irréalisables envers eux et Lavi,s'imaginants être le prof "moi je lui aurait balancé des grenades à la tronche, j'aurais pris un bazooka et je l'aurais achevé au sniper..." ridicule, Elesie en avait assez de ses paroles inutiles qu'ils s'employaient à deverser sans cesse...

Elesie avait suivi la place que lui avait indiqu" son professeur, bien sur cette classe ne pouvait supporter aucun élève supplémentaire à son arrivée mais celui ci lui donna la place du jeune homme qui avait l'air de vouloir à  tout pris s'enfuir, mais comment allait il réagir à son retour? Pourvu qu'il ne commence pas à s'attaquer à elle, si seulement elle pouvait prévoir ce qu'il se passerait elle serait plus tranquille...

Ayant été aspergé par un extincteur à cause du vieux professeur, le jeune garçon se fit trainé par le col. Celui-ci essaia de partir en marchant dans le sens opposé, mais, le professeur était un ancient professeur de sport et, vu ses muscles, continua à se diriger vers sa classe, mais, difficilement. Arrivé en classe, le professeur le lança et, glissant sur le sol, Lavi se cogna le dos contre le mur en dessous des vitres. Se relevant, celui-ci retourna à sa place et, écoutant les critiques faites des personnes, celui-ci s'arréta à côté de la nouvelle élève. C'est vrai qu'il n'avait pas pu la regarder convenablement, puisqu'il était occupé à préparer sa fuite. La fille était plutôt jolie, elle faisait partie de son style de filles. Toute fois, il ne la fit comprendre que de sa façon de la regarder. Mais, il remarqua que la place était la sienne. Soupirant, celui-ci se dirigea vers le bureau du professeur qui, lui, était occupé à faire les présences. Plaquant sa main sur son bureau, celui-ci leva les yeux et engueulla Lavi de retourner à sa place. Une bonne dispute débuta et se termina sur un regard de guerre. Après avoir fait le coups " as tu vu?", Lavi partit de la salle de cours pendant que l'autre regardait vers la fenêtre. Entendant la porte claquée, il serra ses poings et, d'une prise de furie, il courra vers la porte. Mais, celui-ci l'ouvra pas, il la défonça avec le pied et recourra vers Lavi pour, ensuite, réapparaitre avec lui sur ses épaules, ligoté. Le faisant tombé sur le sol et le regardant, bras croisé, le professeur cria :

-Quand est ce que tu te décideras à travailler, Lavi!

-Tais toi, sale vieillard !

Après cette "insulte" sur son âge, le professeur, furax, prit l'oreille de celui-ci et, le soulevant, gueulla :

-J'ai à peine 25 ans, crétin!

- 25 ans? T'es plus vieux que je le pensais

Après quelques engueullades par-ci, par-là, ça finit par être une baguarre. Ensuite, Le professeur prit Lavi et le scotcha sur la chaise et la table juste à côté de la nouvelle. Regardant le professeur, Lavi le maudissa du mieux qu'il pouvait.

Elesie regardait la scène avec impatiente, l'impatiente de voir la fin de se vacarme, Elesie ne supportait pas que des professeurs emplois des techniques aussi barbares à l'égard de ses élèves et elle n'allait surement pas s'empêcher de lui exprimer son point de vue:

Vous êtes qui pour vous permettre de nous traiter ainsi, si vous vouliez maitriser des fauves, c'était dans le cirque qu'il fallait étudier, avec votre tete de cloon et toutes les fans obsédés et toutes aussi laides les unes que les autres, se tourne vers les filles de sa classe, vous êtes tous les animaux du zoo, dans la cage, mais bon sang où et passé le respect et les cours normaux ceux ou il es interdit d'employer vos méthodes!

Elle allat vers le jeune homme, enleva tous ce scotch, pris la porte et la claqua violemment!

Après avoir été "enchainé" à sa chaise, celui-ci regarda l'attitude de la nouvelle. Elle explosa et, l'ayant détaché, partit. Regardant autour de lui, il remarqua que tous sont sur lui et, ne faisant mine de rien, le vieux professeur lui balança son cartable qu'il évita de justesse, tombant sur le sol. Se relevant, celui-ci vit le professeur enervé. Non par lui, pour une fois, mais, comme il a "une tête à claque", comme il le surnomme, il se prenait les coups. Sortant de la salle avant la tempête, le jeune garçon vit la fille à l'extérieur. N'ayant aucun moyen de rapidité, celui-ci sortit un baton fragile de sa manche et, d'un coups, la transforma en marteau qu'il utilisa pour briser la fenêtre. Se mettant sur le rebord de la fenêtre, celui-ci sauta du 3 éme étages pour, ensuite, attérir derriére la jeune fille. C'est génial, les pouvoirs de vampires, mais, il n'a jamais essaié ce genre de tour. Posant ses pieds sur le sol, celui-ci tomba en arriére. Se relevant difficilement, celui-ci se mit devant Elesie, le visage ensanglanté et la regarda en prenant ses mains dans les siennes. Il la regarda dans les yeux avant de dire :

- J'ai jamais vu une autre personne l'ennervé plus vite que moi. En tout cas, ne t'ennerve pas pour ça, j'avoue qu'ils sont lourd ou autres, mais, ce que tu montres n'est qu'une preuve de faiblesse. Ensuite, pour moi, le probléme.....C'est que, je deteste venir alors que, justement, je pourrais m'en sortir. J'avoue que j'agis spécialement comme un animal, mais, quand je vois ce genre de professeur et ces élèves, ça me donne guére envi de travailler. Encore moin celui d'aimer les humains. Enfin, j'ai peut-être un peu trop dit.

L'oeil visible de Lavi s'était changé en coeur, décidement, cette fille était trop à son gout. En plus, quel caractére et réfléxion, elle était dans les top 10 de Lavi de ces "types de filles".

Elesie buvait ses paroles, elle l'écoutait très attentivement et ne compris pas pourquoi il était ensanglanté, et n'ont plus pourquoi il parlait des humains comm s'y refusant... C'était vraiment étrange d'autant plus lorsque à l'intérieur de ses yeux l'iris était devenu en forme de coeur, Elle était vraiment en colère, pourquoi? bonne question mais elle continua de tracer sa route, elle allait s'en aller et pour de bon, il y en avait assez, elle continuerait son boulot, et vivrais de celui ci, tant pis pour la poursuite de ses études,elle n'avait pas envie d'écouter des hoommes parler de choses sures partant du principe qu'ils n'étaient ici que pour martyriser ses élèves... Elle fit couler quelques larmes de ses yeux, Lavi était dangereux à son gout.....

Voyant qu'elle partait réellement, le jeune garçon ne savait plus où se mettre. Ses yeux redevinrent normaux et, curieusement, il regarda la jeune Elésie partir. Regardant l'école, celui-ci soupira avant de se retourner vers la jeune fille qui allait, petit à petit, partir pour du bon. Serrant ses poings, celui-ci prit un air sérieux et dégagea une aura noirs, sa voix changea d'intonnation et devena plus froide, plus noirs et plus effrayante. Son seul oeil visible devint d'une couleur rouge-sang et des canines commencent à apparaitre hors de sa bouche. Ses cheveux, étant déjà à moitié en l'air, devinrent complétement souple et volérent comme si on les aspirait. U crâne apparut sur son cache-oeil et, d'un geste brusque, rapide et imprévu, referma la grille sans la toucher, empéchant cette derniére de partir. Ce dernier avait un aspect plus impréssionnant qu'avant, ses habits, même sans vent, volérent dans les airs et, magré son regard souvent loufoque, il la regarda sérieusement. Plongeant son regard dans celle d'Elésie, il donna l'impression qu'il lisait en elle. l'air devint plus fraîche et la luminosité moin forte. Celui-ci marchait vers la nouvelle élève et, la regardant toujours dans les yeux, s'arréta juste devant elle.

- Je ne comprends en aucun cas la raison de ton départ. Ni même ce moment de faiblesse. Mais, si tu penses que je suis une personne dangereuse pour toi, alors, dis moi. Pourquoi ne t'ai-je pas encore attaqué? Ni même un seul acte de violence? Contrairement aux terrans de ce bahut, seul quelques uns connaissent l'existence de ma soeur et de mon existence. Seul le sous-directeur ainsi que le directeur général sachent qui nous sommes. Mais, personne connait mon propre passé. J'avais bel et bien raison, les terrans sont tous pareil....

Faisant un moindre mouvement brusque et rapide du bras, il rafla la joue de la jeune fille. Cette manoeuvre n'était guére pour l'attaquer, mais, pour qu'elle fasse un choix. D'ailleur, rien n'était apparut sur sa joue, ni marque de main, ni éraflure, rien. Ce mouvement n'a été fait que pour ouvrir la grille qui, en crincant, provoqua un bruit fort derriére la jeune fille. Tournant le dos à celle-ci, il marcha, main dans les poches, le bas de sa veste qui vole et son écharpe déchiré au début qui flottait. S'éloignant de la jeune fille, l'air redevint normal et la luminosité augmenta, petit à petit. Le jeune Lavi ne tourna la tête vers la jeune fille simplement pour terminer sa phrase :

- ....Le pouvoir....la trahison.....le dessespoire....la cupidité.....même si tout ça et d'autres que je ne dirais pas varient en fonction de la personne, tout les terrans possédent ça. Surtout à cause de votre stupide peur terraniene. Fais comme les autres, fuis cette école. De toute façon, c'est ce que tout le monde fait. Mais, saches, jeune terrane, que si tu comptes le faire en dehors de cette école, tu ne résisteras pas plus de 5 minutes et, à ce moment là, je viendrais te cherché non pour te sauver, mais, pour te tuer. Tel un methuselas avec sa proie Terraniene

Retournant sa tête droit devant lui, celui-ci marcha avant de disparaitre et réapparaitre sur le toit de l'école. De toute façon, pour lui, tout les humains sont pareil et ne pensent qu'à leur profit. Le professeur ne pense qu'à faire ses conquétes, les filles de la classe ne pensent qu'à leur bonheur et les garçon, qu'a leur force. S'assayant contre la grille, le jeune Lavi regarda vers le ciel, atendant un quelconque évènement.


Methuselas = Vampire en ancient language, language que Lavi a su maitriser ainsi que sa soeur. Posséde aucun féminin

Terrans = Noms que les ancients methuselas employaient pour désigner les hommes. Le féminin est Terrane.