Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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se balader seul : ânerie récurrente de la gente féminine (ou pas) PV !

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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Je m’baladais sur l’venue, le cœur ouvert à l’inconnu, j’avais envie de dire j’t’emmerde à n’importe qui ! Oui, variante plus réaliste de la célèbre chanson, ou du moins, une version qui collait plus à l’humeur massacrante de Gabriel. Je sais, inutile de me le dire, c’est répétitif, mais merde, allez-y, faites un truc réaliste avec le moral au beau fixe, les chtits papillons qui volettent de partout et les fleufleurs, non mais sans déconner…

Et puis de toute manière il faisait trop sombre pour voir ces saloperies de fleurs… un bon incendie, une bonne dose de bitume et basta ! Quoique non, déjà fait !  Et en beauté car à la place – et il n’aurait pas cru ça possible -  ils avaient bâti des immeubles encore plus moches, plein de tags ratés et de fenêtres brisées… charmant. Bienvenue dans le quartier de la toussaint !  Ça donne envie ! Ouais, il y vivait mais sincèrement, il avait les boules de pas trouver mieux….

La nuit était lugubre et il n’y avait pas un chat dans la rue. Il errait dans la pénombre. Il n’y a avait pas de réverbère, la seule lumière présente était celle de la lune qui en était pas encore à son premier croissant, et même cette lune était diminuée par la couvertuire nuageuse. Le seul moyen d’avoir de la lumière, c’était e passer devant une vitrine de bar… seul genre de lieu bien éclairé en pleine nuit, alors que la brume commençait à s’en mêler légèrement.

Et comme tous les soirs où le jeune homme n’est pas de service, il cherchait un bon rab où se mettre une mine monumentale bien consciencieusement ! Il lui suffisait de ne pas retourner dans un des bars où il avait inondé le sol avec sa gerbe. Donc il avait un choix très réduit ! Parce qu’il avait gerbé trop et déclenché des bagarres. Mais dans le quartier de la Toussaint, on n’appelait pas la police ou très tard, quand il n’y a pas d’autres manières d’agir.

Il en avait fait plusieurs, trois ou quatre, avec un ratio de zéro entrée sur  le total. Le videur l’avait refoulé comme une merde, comme l’habitué qu’il était devenu. C’était quand même triste, non ? En être réduit à picoler pour occuper les périodes où il ne bossait pas. Faute de meilleure distraction. Parfois il changeait un bouis-bouis contre un bar branché pour draguer, ou plutôt pour baiser, soyons réalistes !

Il finit par apercevoir une silhouette qui semblait aussi isolée que lui, mieux que ça, vu les courbes, une femme seule… ans le quartier de la toussaint, c’était soit une manière d’allumer parce qu’elle aimait se faire baiser sauvagement dans la ruelle et abandonner comme une merde, soit une inconsciente ! Bon, parfois les deux, parce que bon, soit on se faisait violer, soit- on se faisait tuer, soit les deux, et pas forcé »ment dans l’ordre habituel.

Y avait ptêtre un peu de lune dans le ciel, mais franchement, si un mec comme Gabriel ne craignait rien, une femme ici aurait été bien dans la merde. C’était un quartier flippant et si c’était désert. Bon, il allait rentrer chez lui faute de mieux. Et vous savez quoi ? Se faire aborder là, de la bonne manière, avait de quoi faire sursauter et même pisser dans son froc… et alors ?

 Il s’approcha alors que les derniers nuages s’écartaient légèrement et sur un ton abrupt, mais relativement doux. Il avait une allure assez classique avec son grand trench coat qui semblaient se fondre dans les ténèbres.

« C’est con de se promener seule dans ce coin… il pourrait arriver des problèmes… »

Même pas assez de lumière pour distinguer son visage. NB :  si elle avaiot un furoncle sur le nez, il se barrait en courant !

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

C'était une nuit comme lucrezia les affectionnait, froide, brumeuse et particulièrement sombre  dans le quartier le plus glauque et sinistre de tous seikusu. Vous savez le genre de quartier où être une femme ou une jeune fille est souvent synonyme de...viol, mais disons que la dite Lucrezia avait ca " réputation" qui l'immuniser contre bien des junkie et autres clodo miteux sentant la gerbe 2 mètres autour d'eux. c'était une de ceux que les habitants du quartier appelle " les prédateurs" et cette nuit la Lucrezia venait chercher une proie.


Lucrezia trainée ses guêtres a moitié défoncer par sont mélange héroïne/poppers. Elle marcher d'un pas silencieux et lugubre ont aurait dit une sorte d'alice dans le pays des merveilles (même ci le mot "merveilles" est plutôt mal interpréter ici bas).Cette "alice" n'attendait qu'une chose, c'était de voire une petit lapine blanche, de la suivre pour enfin l'attraper dans un coin et visiter son  "terrier" à l'aide de ses multiple ustensiles.


Cela faisait bien trois bonnes heures que Lucrezia vagabonder dans des ruelles puantes et lugubres, mais comme tout être humain normalement constituer elle d'eu faire une petite...pause.

Elle s'arrêta pas trop loin d'un vieux réverbère, jeta un petit coup œil à droite puis à gauche, baissa ça culotte pour enfin s'accroupir. Fuguasse moment de répit avant de repartir en chasse de plus belle.

Elle laissa échapper un léger soupir de soulagement, pensant que personne ne roderait au alentour.

Une légère vapeur ce formait au niveau de la cascade d'un jaune pâle s'échappant de ca vulve dilatée par les drogues quelle avait prises auparavant.
Lucrezia tellement absorbée part son affaire ne remarqua même pas la présence d'un inconnue non loin de la


   
« C’est con de se promener seule dans ce coin… il pourrait arriver des problèmes… »



Elle tourna brusquement la tête, histoire de voir le foutu connard qui oser la mater alors quelle était tout bonnement entrain de pisser.

Tu me veux quoi toi, le résidut de fausse couche !?






 

 


Gabriel Valmy

E.S.P.er

Comme flic, il en avait viu de belles, mais en s’approcha et en braquant la lumière de son portable sur la jeune femme, il fut surpris, surpris, dégoûté et amusé en même temps !Alors qu’il était pas de service, il tombait sur une nana qui avait assez d’impudeur pour pisser comme ça en pleine rue… dommage, il aurait bien ri si il était de service… oh, certes, la suite était moins charmante, notamment l’insulte qu’elle lui lança, quoique ce fut des plus amusant, elle avait un langage des plus fleuris et sans doute des plus imagés. Il aurait sans doute bien plus mal pris l’insulte si elle n’avait pas déjà été proférée à de multiples occasions par son propre père. Non, ce n’était pas flatteur de la comparer à cet ivrogne qui ne savait que battre son gosse et boire…

Il ne répondit pas immédiatement à sa demande, bien au contraire, voyant que ça lui faisait chier, pourquoi se priver de faire genre il matait ? Non pas qu’il puisse trouver sexy de voi une fille en train de pisser. Ce n’était pas plus sexy que de faire pleurer le colosse.  Si encore elle était en train de se faire un petit plaisir en solo, comme ça, ça aurait été différent… mais puisque ça lui faisait chier, autant en profiter pour la pousser un peu à bout !

Puis, finalement il lui lança, sur un ton sans animosité, plutôt sur un ton amusé .

«  Trouver une pisseuse publique, au sens propre… tu sais qu’il existe des chiottes publics un peu partout dans la ville ? Et quitte à pisser, t’as pas pensé à le faire à quatre pattes ? Parce que dans la rue,  les seuls trucs qui pissent sur les trottoirs ce sont les clebs… »

Une insulte ? Nooooon, bien sur que non !   Ce n’était pas vraiment son genre d’agir de la sorte ! Ce serait le connaître boien mal que de croire qu’il puise se montrer aussi veule ! Quoi ? C’était sa manière d’agir lors des bons jours,  Oui, peut être… en tout cas il ne semblait pas avoir envie d’en rester là.

« J’ai pas bien pu voir ta gueule, mais moi au moins je ressemble à quelque chose d’humain, pas le résultat d’aberrations siliconnées, du peu que j’ai vu ! »

Oui, ça volait pas haut….

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

« J’ai pas bien pu voir ta gueule, mais moi au moins je ressemble à quelque chose d’humain, pas le résultat d’aberrations siliconnées, du peu que j’ai vu ! »

Ce type était seul, dans la pénombre la plus total, avec comme charmante compagnie, rien de moins que l'une des plus grosse psychopathe de tout seikusu entrain de gentiment ce laisser aller. Il est vrai que dans ce genre de situation mater PUIS  insulter la dite "psychopathe" s'avère être quelque chose de...très...très.....con ! oui c'est ca incommensurablement con et suicidaire !!!


Bordel ce type sembler aussi cingler que lucrezia elle même et dieu c'est qu'il fallait déjà viser dans le haut du panier.
C'était un peut comme ci ce type était un sale gosse insouciant qui s'amuserait à faire chier une vipère avec un bâtons. Oui c'est ca! un sale putain de gosse avec sont putain de bâton !

Un silence presque religieux s'installa entre Lucrezia est cette inconnue qui apparemment n'avais pas beaucoup l'air de tenir a ca misérable existence, silence légèrement perturber par le bruit de l'urine qui ce déverser sur l'asphalte craqueler.

Lucrezia lança un regard plus que dérangeant a son "compagnon nocturne" un mélange entre le regard d'une salope en chaleur et le regard de jack Torrence dans "the shining", le style de regard qui montre bien le dérangement psychiatrique sous jacent de la personne.

S'est d'ailleurs ce même regard teinté de folie quelle lança au juge l'ors de sont procès... avec le sourire en plus évidement histoire de bien lui foutre les boules à ce gros porc en robe noire, aaaaah le juge...il quitta seikusu deux jours après que l'évasion de lucrezia eu était divulguait à la population....étrange.

Toujours est il la folie de lucrezia était en pleine ébullitions, qu'était elle entrain de fomenter dans ca tête de dégénérer ? Démembrement, scarifications, torture au niveau du service trois pièces...les idées ne manquer pas et Lucrezia était peut être sur le point d'afficher une nouvelle tête a son palmarès.

Cela faisait une vingtaines de secondes que Lucrezia fixée avec toujours le même regard de cinglée, celui qui avait osez foulait du pieds sa fiertée.


"C'est drôle de voire a qu'elle point une vie humaine ne tient en faite qu'à ci peut de choses..."

Dit elle d'un ton sarcastique et malsain.

"Ca serait quand même pas de vaine de crever ici, comme la pauvre merde que tu a l'air d'être, hein ? connard d'ivrogne dégénérer ! Franchement est ce que moi je sous entend que ta une bite en plastique sac à foutre !

 Lucrezia ce leva alors d'un bond et ce mis à rire au éclat comme la parfaite démente quelle était, elle alla même jusqu'à violement arracher le bout de tissu humide qui lui servait de culotte et le balança au visage du sombre inconnue.

Alor poche de pisse frelater, tu te dégonfle!? AHAHAHAHAHAHAHA!!!!!!

Ca y est, la lune était pleinement dégager, l'homme était face à son destin, un destin au visage pâle, aux yeux cerner de noir et à l'esprit plus torturé que les limbes infernale elles mêmes.

L'avenir de Gabriel à ce moment la était des plus incertain...il avait entreprit une valse avec le diable au claire de lune qui allait  peut être, être ca dernière...


« Modifié: mercredi 22 mai 2013, 21:10:03 par lucrezia.h.nietzsche »


Gabriel Valmy

E.S.P.er

Comportement rare de la part de Gabriel sans doute, il  sembla comprendre les risques quand il croisa le regard de la jeune femme. Mais chassez le naturel, il revient au galop (chassez le naturiste, il revient au bungalow), et la tête brûlée qu’était Gabriel reprenait du service !  Non pas qu’il y ait de quoi paraître téméraire. Il ne s’agissait que de parler avec une pisseuse, au sens propre, rien de plus !

Plus un mot, comme si elle cherchait ce qu’elle pourrait dire pour gonfler tout le monde, puis, finalement, elle parla. Et ce ne fut pas pour dire des conneries ! Elle avait vraiment un regard à vous faire froid dans le dos ! Pas pour Gabriel qui avait toujours trop chaud de toute manière. Oui, je sais, excuse débile, mais Gabriel vous emmerde tous bien profondément. Pire en core, cette merde dans laquelle il vous met bien volontiers, il vous la fera avaler, promis !

Elle partait sur des histoires philosophiques, pitié, non, Gabriel n’était clairement pas fait pour ça, il préférait qu’on l’oublie à ce sujet d’ailleurs ! Même avec du sarcasme. Il se contenta d’un geste de la main synonyme éloquent que « cause toujours, tu m’intéresse », surtout que niveau menaces, il avait vu bien pire, donc bon, elle semblait un peu ridicule de son point de vue ! Il se contenta de se marrer en l’entendant. Il s’écarta juste pour ne pas prendre la culotte en pleine tronche alors qu’elle l’insultait.

Et comme si tout avait été parfaitement chronométré, après qu’il ait vu la culotte passé, il put pleinement distinguer le visage de la jeune femme. Un regard complètement cinglé, un regard qu’il avait déjà vu ailleurs, mais où en fait ? Il n’arrivait pas à se rappeler ! Allez, bpordel, t’es pas non plus complètement con Gabriel, si ? Il connaissait ce visage, mais alors de là à se rappeler où…. Putain il en savait rien. Ptetre dans un de ses pornos qu’il avait téléchargé…. Oui, peut être, ce devait être cela ! Suoique non, si ça avait été le cas il aurait ptetre pklus téléchargé vu qu’elle était gaulée comme une déesse de la luxure, et puis un regard comme ça, c’est pas sensé s’oublier…. Putain, mais c’était où bordel ? Oh et puis merde.

« Chuis sur de t’avoir déjà vu quelque part, pisseuse, mais où, j’en sais rien et je m’en branle !  Tout ce que je sais, c’est que ùma pompe à pisse est authentique, désolé si je savais pas que les rembpourrages façon ballon de baudruches étaient considérés comme uen vraie paire de nibards hein…. »

Et bim, en douce, pendant qu’il lui demandait qui elle était sans le faire vraiment…

« Et range le numéro de la tarée franchement, tu ne vaux pas un pet de lapin !

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

« Chuis sur de t’avoir déjà vu quelque part, pisseuse, mais où, j’en sais rien et je m’en branle ! Tout ce que je sais, c’est que ùma pompe à pisse est authentique, désolé si je savais pas que les rembpourrages façon ballon de baudruches étaient considérés comme uen vraie paire de nibards hein…. »

 Et hop ! encore une remarque bien potache sur la volumineuse poitrine de la duchesse ! une !
 Suivie d'un : « Et range le numéro de la tarée franchement, tu ne vaux pas un pet de lapin !

 Lucrezia état la face à cette homme d'imposante constitution, qui la toisée d"un air amusé en lui balançant des vannes machistes a souhait,
 la tueuse resta figée, quelque peut branlante sur ses jambe ( surement à cause de toutes les drogues qu'elle c’était mise dans le cigare) en regardant l'inconnue profondément dans les yeux.

 Après quelque secondes, Lucrezia laissa échappée un grand soupir avant de lascivement s'approchée de l'inconnue.

 Au plus profond de son esprit, Lucrezia savait que ci elle en venait aux mains avec un t'elle gabarie, Elle aurait bien du mal à prendre l'avantage, pire encore ! elle risquait de voire sa douce liberté compromise ci jamais l'inconnue parvenait à la reconnaître.
 C'est alors que la duchesse optas pour une solution un poil plus "délicate". Et oui,cela devait bien faire une semaine que la jeune femme n'avait plus rien eu à se mettre sous les lèvres (qu'elles soient inférieurs ou supérieurs), de plus l'homme en face d'elle était plutôt bien foutu ! Alors, pourquoi s'en privé !

 "Bon ! et si nous faisions abstraction des mots dit en cet lieux , et que nous passions plutôt à des choses...plus...divertissantes ♥ "

 Elle s'installa lascivement à genoux, les cuisses très largement écartées laissant ainsi à la vue du belle homme son petit coin de paradis, elle lui adressa au passage un doux regard de chienne en chaleur.
 La Duchesse fit coulisser d'un geste délicat et langoureux , la braguette du mystérieux homme au trench coat, elle farfouilla gentiment dans le slip de celui ci, pour enfin sortir l'objet de ses désires.

 ohohoh voila donc ta "pompe à foutre"...jolie morceau je doit dire ♥

 La douce lui fit alors une petite branlette, simple formalité, histoire de durcir ce membre encore engourdie, membre qu'elle se mit à titiller de sa langue experte.
 T'elle une gamine léchant amoureusement une glace, lucrezia prenait un gourmand plaisir à léchouiller ce barreau de chair qui ce gonflait petit à petit sous les soins buccaux de la tueuse la plus versatile de seikusu.

 La langue de lucrezia parcourée habillement la verge de ce belle inconnue, tandis que ses mains lui malaxée vigoureusement les couilles.

Aprés c'est longues minutes de "mise en bouche" Lucrezia  happa goulument l'énorme queue de Valmy, la prenant au sein de sa cavité buccal, chaude, douce et protectrice.
Elle suça avec avidité et gourmandise cette masse colossale qui emplissé tout l'espace de sa bouche, les lèvres de lucrezia commencèrent alors un vas et viens délicat, tout en ce resserrent autour du mat chaud et vigoureux.

La duchesse retira le sexe du beau blond de sa bouche, histoire de faire une petite pause avant de reprendre de plus belle.
la salive et le pré-sperme ce mêlées pour formés un long filament qui relié les lèvres pulpeuse de lucrezia au titanesque braquemard de Valmy.

Alors moooOOosieur le macho, séduit ?





Gabriel Valmy

E.S.P.er

Gabriel s’attendait à beaucoup de choses, mais certainement pas à ce genre de réactions… il connaissait pas grand monde qui aurait fait ça… vous en connaissez beaucoup, vous des femmes qui vous sucent quand vous les insulter sans avoir menacé, intimidé, ou forcé d’une quelconque manière (et oui, l’esclavage compte dans le quelconque, tout comme la dépendance émotionnelle d’ailleurs, mais bref), non, en fait il avait jamais vu personne agir de la sorte, mais bon, il était peut être devant une fille masochiste en manque ! Qui sait !

Toujours est-il que le jeune homme s’était attendu  à une baffe, ) un coup de boules, un coup dans les boules, mais pas qu’elle lui mette le kiki à l’air comme ça, s’agenouillant devant lui pour porter ses lèvres  auprès de son phallus qui avait cessé d’être au repos depuis quelques temps déjà… la faute à elle et à sa plastique trop parfaite pour être humaine ! Et pourtant, elle avait une bouche – et une langue -  tout ce qu’il y avait de plus humaine. Elle avait du avoir des centaines d’amants car chaque caresse, qu’elle soit de ses lèvres, de sa langue, ou de ses doigts était quelque chose d’impressionnant ! Elle avait du kilomètre au compteur apparemment.

Elle semblait ravie de la taille qu’avait son membre (il n’avait rien de colossale ) sa connaissance, certes, il était bien foutu, mais quand même ! Enfin bon, si sucer une pompe à foutre lui plaisait c’était sans doute qu’elle n’était qu’un sac à foutre, elle sucerait, avalerait, et basta ! oui, c’était sans doute ainsi que ça se passerait !

Apparemment, elle avait beau lui redire qu’il était un macho, ça ne l’empêchait pas d’apprécier ce qu’elle prenait en bouche. Et quand elle parlait, elle prouvait qu’elle appréciait tellement cela qu’elle avait encore le filet de bave qui allait de la verge à la bouche.  Et bon sang ce qu’elle savait y faire, c’était putain de bon, alors pourquoi elle devait s’arrêter ? Non, non, non, et non !

« Tais toi et suce ! »

Il se contenta de renfoncer sa verge dans sa bouche, la tenant par les cheveux, main posée sur sa nuque pour imprimer lui même un mouvement de va et viens au sein de cet antre humide qu’était sa bouche, un délectable va et viens fort et presque violent s’il ne se retenait pas un peu, bien qu’il envoya régulièrement son vit assez loin pour faire claquer sa paire de corones contre son menton. Aucune délicatesse, juste le plaisir d’aller et venir !

« Hum… pas mal…. Mais… hum…. Prouve moi que tes nibards sont vrais… je serai ptetre…. Hum…. Séduit…. »

il se retira de là pour frotter son chibre gonflé d’excitation et de désir, ainsi que trempé de salive contre la joue de la jeune femme. Il s’attendait à) quelque chose et il s’attendait à ce qu’elle ait compris quoi. Il ne restait plus qu’à la regarder s’exécuter !

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Lucrezia n'eu même pas le temps de finir sa phrase que le belle homme lui remis bien vite son pénis dans la bouche.
 Et il n'y alla pas de main morte, agrippant ses cheveux, à l'arrière de sa tête, enfonçant sans préavis son mat de chair dans la bouche de la tueuse, et pas seulement son gland, non, non ,non, il l'introduisit entièrement, l'enfonçant d'un simple coup de hanche jusqu'au plus profond de la gorge de Lucrezia.

 La duchesse émit quelques petits gémissements étouffer par se membre qui emplissez toute sa bouche.
 Elle roula alors des yeux comme un vrai salope, léchant avec gourmandise cette sucette à la viande lui servant de gouter de minuit, tendit que l'homme lui exécuté un puissant vas et viens dans la bouche de la belle.


Après quelques minutes de succulente mise en bouche le jeune homme se décida enfin à sortir son chibre de la bouche de Lucrezia.
il veina gentiment frotter son sexe contre la joue de la duchesse tout en adressant la parole.


« Hum… pas mal…. Mais… hum…. Prouve moi que tes nibards sont vrais… je serai ptetre…. Hum…. Séduit…. »

La duchesse, à ces mots vint déposer un délicat bisou au bout du gland du beau blond avant de commencer à lascivement déboutonner le haut de son uniforme d'infirmière, faisant par la suite jaillir son énorme paires de seins.
Elle se mise par la suite à les tripotés devant lui d'un petit air aguicheur.

eyh eyh ta vue comme ils sont beaux mais nibards, et je peut t'assurer que c'est du 100% naturelle !

Lucrezia attrapa alors la main droite de Valmy pour ensuite venir la déposer sur son sein gauche.

Tien ! touche un peu ça , malaxe, tripote, pelote moi cette poitrine de déesse !
Elle entreprit alors de titiller le bout de son tétons droit avec le gland du beau blond pendant qu'elle lui faisait tripoter son sein gauche.

Puis Lucrezia se décida enfin.
Elle se redressa en ce cambrant un peu, mis par la suite le sexe du bel homme entre son opulente paires de seins.
Lucrezia exerça alors un langoureux vas et viens sur se mat de chair fièrement tendu.
couvant à l'aide de ses deux coussins d'amours se joujou chaud et dur comme un roc.
Bien vite elle se remise à lécher de sa langue experte le gland du bel inconnue en continuant de le branler avec ses seins.

En ce qui concerne l'entre jambe de lucrezia... il était en feu, sa cyprine dégouliner le long de ses cuisses venant par la suite former de petites gouttes s'écrasants sur l'asphalte de cette ruelle sombre et lugubre.
La simple idée de se faire baiser ou même mieux encore, ce faire enculer, lui faisait pousser de petits gémissement de plaisir.
Oui, la duchesse adorer la sodomie peut être autant que de trucider de pauvres filles innocentes, après tout...chacun son truc. 

Cet alors que dans un grand râle l'homme lâcha sur le visage de la duchesse une belle giclée de sa semence, suivie de deux autres plus petites que la belle s'empressa d'avaler avec gourmandise.

hmmmmmm...pas trop mal ! dit elle sur un petit ton amusé et coquin
Bon ! par ou tu veux passer maintenant ? le hall d'entrée ou la porte de derrière ?



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