Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Larmes de crocodile [Nô]

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Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 30 lundi 24 mars 2014, 01:34:46

Elle la faisait rire ? Bah, au moins, c’était ça de gagné ! Il était assez difficile de savoir à quel point Jane était sérieuse. Ceux qui la connaissaient savaient que la Californienne n’avait pas la langue dans sa poche, et ne se privait pas de se moquer des autres. C’était même l’un de ses plus grands passe-temps, et, sur ce point, on pouvait dire qu’elle était relativement équitable. Elle se moquait autant du gros tas au fond de la classe que des belles gueules qui souriaient comme des photographies de cinéma  devant les minettes. Et les filles en prenaient évidemment pour leur grade. C’est bien simple : pour Jane, il n’y avait que sa sœur qui trouvait grâce à ses yeux... Elle, et les gens puissants, influents, ceux auprès de qui elle pourrait se faire mousser. L’amour, chez Jane, était profondément intéressée. Si Nô l’attirait, c’était avant tout parce qu’elle était forte, si puissante que Jane lui pardonnait de l’avoir capturé, humilié, et potentiellement violé. Jane aimait le pouvoir. Était-ce un mal ? Qui, sur cette Terre, n’était pas attiré par le pouvoir ? Personne ! Pour elle, les êtres vivants étaient tous motivés par le même désir : accroître leur influence personnelle, et dominer les autres. Tout en grimpant le long de l’ascenseur, Nô lui expliqua qu’elle la verrait bien dans un corset moulant, avec un shorty moulant.

Jane fit la pause, un doigt sur les lèvres, réfléchissant à cette éventualité.

« Hum... Ouais, je ressemblerais à une méchante de comic ! Mais il me faut les gants, j’y tiens... Et des bottes, aussi, avec des collants... Tu sais, ces longs trucs noirs et seyants qui remontent jusqu’aux cuisses ? »

Le sexe ne dérangeait nullement Jane, surtout si c’était une manière d’exprimer son pouvoir.

« Quand je dominerais le monde, je ne porterais que des tenues provocantes et hyper-sexy, et ce sera pareil pour ma garde d’élite. C’est quand on peut se balader ainsi sans craindre personne qu’on est vraiment puissant ! »

On disait que les Américains étaient aussi puritains que pervers. Si l’industrie pornographique se faisait des fortunes colossales aux Etats-Unis, ce n’était pas pour rien. Jane avait toujours été attirée par le sexe, surtout avec sa sœur, et elle voyait dans le sexe une manière de s’affirmer sur la société. Résolument athée, elle était tout à fait partisane d’une forte libéralisation sexuelle, et, en tant que descendante d’une sorcière, elle pensait qu’il fallait limiter l’influence des hommes, et revenir aux anciennes sociétés, marquées par un puissant matriarcat. Elle remarqua donc très bien que les derniers étages du building de Miss Gros-Nichons ne comprenait que des femmes, comme si les hommes étaient cantonnés aux strates inférieures de sa société, et qu’elle ne laissait que les femmes dans ses appartements personnels. Jane aimait ça. Elle aurait utilisé Facebook comme tous ces camarades idiots, elle aurait pu mettre un like pour signifier son approbation.

Le duo s’avança à travers des couloirs hyper-cleans, sexy et sobre, dans un plus pur style japonais. Jane espérait tout de même qu’il y avait un petit harem... Ce serait pas cool, sinon ! Elle continua à suivre Nô, mains jointes dans le dos, jusqu’à atteindre une femme, qui se chargea de l’habiller, et de prendre la commande vestimentaire de Nô. Jane restait silencieuse, observant la déco’, jusqu’à se retrouver dans le grand bureau de Miss Gros-Nichons, où une délicieuse odeur heurta ses sensibles narines. Elle en huma les effluves en soupirant lentement, un sourire épanoui sur les lèvres. Difficile, en revanche, de savoir si elles étaient en hauteur ou non. Il aurait fallu trouver une fenêtre. L’endroit était plutôt agréable, et, en voyant les poufs, Jane avait envie de baiser. Concrètement, ce petit coin lecture lui rappela le salon d’un type qu’elle avait vu en Californie... Ou, plutôt, le salon de ses parents. Ils avaient fait l’amour sur des poufs similaires, avant de terminer sur un tapis, devant un énorme écran plat.

« Nous y voilà » annonça Nô.

Jane hocha lentement la tête, et s’avança un peu. Elle vit Nô s’avancer, afin d’utiliser son espèce de cigarette nippone. Jane, elle, choisit de s’asseoir sur le fauteuil du bureau, à la place de Nô, et bascula sa tête en arrière.

« Ah, au fait... Maintenant que je suis officiellement passée du statut de ‘‘prisonnière sexuelle’’ à celui de... Euh... ‘‘Invitée de marque’’, est-ce que j’ai le droit de passer un coup de téléphone ? Ma grande sœur risque de s’inquiéter... »

C’était l’un des paradoxes de Jane Watson. C’était une garce, arrogante, égocentrique, insupportable, qui ne pensait généralement qu’à son propre nombril, mais, quand il s’agissait de sa sœur, elle était alors la plus dévouée des jeunes filles, un vrai petit ange.
DC d’Alice Korvander.

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Créature

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 31 mardi 25 mars 2014, 22:18:15

Place. Le plus simple chemin vers où mène ce terme est celui d'un endroit où les gens se regroupent. Mais pour certains, c'est surtout quelque chose qui ne doit pas s'oublier. Garder sa place est quelque chose de très important quand on se trouve dans une société comme Papillon, qui plus est avec des échelons secret du coté des yakuzas. Ceux qui doivent gratter à quatre pattes dans les massifs, et occasionnellement se faire sodomiser si l'envie des plus haut l'exige, doivent se plier à ceux et celles qui sont assis sur un trône de billet bancaires. Courber de l'échine devant ses supérieurs n'apporte pas le respect, mais au moins ça maintient en vie. Quant à ceux qui refusent de vivre une telle vie tout en ouvrant leurs grandes gueules, seul l'avenir peuvent dire comment ils finissent. Dans le meilleur des cas, ce n'est qu'un renvoi. Dans la pire des situation, c'est l'exécution, ou encore plus dur, de la torture. Tenter un renversement ? Pourquoi pas. Mais pas avec Nô en tant que patronne.

Jane avait pris un peu d'aise en s'installant sur le fauteuil pas très haut de Nô, une chose qui ne lui faisait pas trop d'effet vu que ce n'était qu'un fauteuil, mais en revanche, sa petite demande n'était pas trop la bienvenue. Passer un coup de fil à sa sœur était, bien évidemment, pas quelque chose de trop égoïste. Mais là, on se trouvait dans le bureau de Nô, qui plus est avec cette dernière à l'intérieur. Histoire de rappeler sa place à Jane, elle marcha tranquillement vers cette dernière et posa sa main sur sa tête. Ensuite, elle resserra sa poigne en usant de pas mal de force, effet garantit avec son état de vampire, et lui fit reculer. Elle contrôlait sa force pour ne pas lui briser les os, autant ceux du cou que de la tête, mais l'américaine devait sentir un certaine pression. Nô passa derrière elle, de façon à  avoir son visage presque en parallèle avec celui d'en face, et lui dit avec des mot aussi froid que ceux lors de son réveil au sous-sol :


- Que ça soit bien clair entre nous. Ce n'est pas parce que je suis plus calme avec toi que je vais t'autoriser à te laisser m'imposer ce que tu veux faire.

Puis elle relâcha la miss. Normalement, Jane ne devrait pas avoir de grosses douleurs, Nô ne voulant pas la blesser inutilement. Passant sur le coté, prenant au passage une bonne bouffée de son kiseru tout juste allumé, elle afficha un très léger sourire sur les lèvre, perceptible, mais à peine :

- Je plaisante voyons. Je vais t'arranger ça rapidement

Avec sa façon de faire et dire les choses, n'importe qui pourrait douter de la vérité de ces mots, et n'aurait pas spécialement tord. Nô avait vécu dés sa jeunesse un entraînement de kunoichi assez sévère et avait dut se plier à chaque ordre sans sourciller. Même quand elle devait assassiner des personnes qu'elle appréciait juste parce qu'il "le fallait". Elle savait donc recevoir des ordres, mais avec le temps et ses nouveaux objectifs, tout ça à bien changé. En revanche, elle sait parfaitement jouer la comédie et cacher la moindre de ses émotions. Si elle désire rester impassible devant une émasculation au sécateur, elle le fera. Si elle veut rire d'une boutade qui n'aurait même pas fait apparaître un sourire sur quelqu'un de facilement affecté par les sentiments humain, elle le fera. Si elle veut pleurer la mort de quelqu'un qui n'avait rien à pleurer, là aussi elle le fera. Même ses employés ne peuvent pas discerner le vrai du faux.

Laissant Jane dans une possible incertitude, plus proche d'un avertissement qu'autre chose par rapport à ses précédentes paroles, l’Empoisonneuse sortit son portable de yukata porté par la blonde, se fichant de savoir si son geste gênait, n'ayant pas eut mauvaise conscience de l'avoir doigté il y a peu. Elle dut tripoter la Californienne de façon non perverse, mais présente, pour réussir à faire sortir son appareil en vu de la position qui la gênait. Ce dernier en main, elle le trifouilla pour appeler une de ses affectées à la communication. Elle la prévenu comme quoi elle allait lui passer quelqu'un d'autre. Ensuite, la vampire posa le téléphone sur la table pour faire comprendre à son "invitée" qu'elle pouvait le prendre :


- Tu n'as plus qu'à lui donner le numéro. Tu sera en relation avec Nell juste le temps de la sonnerie

Nô avait déjà quelques information sur Jane et sa famille. Ou plutôt sa sœur vu qu'il ne lui restait plus qu'elle. Patientant qu'elle fasse ce qu'elle avait à faire, sans lâcher un mot de la conversation, elle se dirigea vers la porte. Une des femmes de main de la PDG venait d'arriver avec une sorte de penderie mobile contenant à la fois des vêtements commandé par Nô, ceux que Jane avaient proposé, et d'autres qui n'avaient rien à voir, dont certains avec un coté plutôt extravagant. A la vue de cette quantité de vêtement et de certains vraiment étranges, la vampire ne put s'empêcher de contenir un soupir :

- Kiyuri...

Se reprenant, elle ordonna à cette femme, Mayo, d'aller apporter tout ça vers Jane. Toujours en fumant, Nô ferma les yeux. Elle repensait à cet élixir passablement capable de "soigner" son problème. Cette fiole était peut-être une escroquerie, un miracle ou encore un énième objet sans effet sur elle. Puis elle ouvra les paupières, et s'avança pour aller s'allonger à moitié dans les poufs, pas très loin du bureau. De là, l'Empoisonneuse pouvait voir le défilé qui s'approchait.

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 32 jeudi 27 mars 2014, 02:49:36

La « plaisanterie » de Nô ne fut pas vraiment du goût de Jane, qui avait senti une pression terrifiante s’exercer sur son crâne et sur son cou. Pendant un bref instant, elle avait eu le sentiment que cette femme, au corps pourtant svelte, aurait tout à fait pu lui aplatir le crâne et la tuer. Durant cette courte période, Jane avait ressenti, à nouveau, ce curieux trouble qu’elle avait ressenti en voyant Nô dans la boutique, le sentiment que cette femme n’était pas normale, qu’il y avait en elle quelque chose de spécial, une force insoupçonnée, qui ne demandait qu’à se libérer et à se déchaîner. Jane sentit ensuite Nô tripoter son corps, et se demanda si l’heure n’était pas venue de baiser un coup, ce qui, en l’état, ne la dérangerait pas des masses. Elle avait bien compris que cette femme était puissante, et qu’il valait mieux la caresser dans le sens du poil. Les gens puissants et influents n’aimaient pas qu’on leur contredise, et Jane tenait à rester proche de cette femme, à retourner cette situation à son avantage. Elle fut surprise de voir Nô sortir du vêtement un portable, et constata qu’elle avait été tellement surprise par ce changement de décor qu’elle n’avait même pas senti cet appareil, que Miss Gros-Nichons alla poser sur le bureau. La petite Californienne hésita un peu, mais elle réussit à passer son appel.

Comme elle s’y attendait, Nell était nerveuse, attendant Jane depuis plusieurs heures, ce qui permit à cette dernière de comprendre qu’elle avait du piquer un joli somme dans cette cave. Elle espérait que ces Japonais n’avaient pas fait de saloperies, comme la filmer, ou ce genre de trucs. Après tout, les Nippons étaient connus pour être des pervers qui fantasmaient devant des monstres tentaculaires violant des lycéennes, et Jane ne pensait pas que les hommes de Nô ébranleraient ce préjugé. Elle assura toutefois à Nell être en bonne santé, et être tout simplement avec une amie, sans lui en dire plus. Les deux filles n’étaient pas des agents secrets, et elles n’avaient aucun code précis pour dire : « j’ai été kidnappée par une Yakuza qui m’a plus ou moins violé ». Jane se contenta donc de lui rassurer, en lui assurant qu’elle finirait bien par rentrer. Entre-temps, une nouvelle femme venait d’entrer dans le bureau, et Jane finit par raccrocher. Nô, elle, s’était étalée dans des poufs, les regardant distraitement.

La femme, belle à en damner les saints, avait mis sur ses lèvres un délicieux bleu. C’était un peu tape-à-l’œil, mais il fallait bien admettre qu’elle avait un certain charme... Un style très différent de celui de Nô, en tout cas. Elle se présenta comme s’appelant Mayo, et expliqua à Jane être venue pour l’habiller. Jane cligna lentement des yeux, et se releva, libérant le fauteuil de Nô, puis laissa Mayo la déshabiller. Elle se retrouva à nouveau nue, à l’exception de ses gants et de ses bottes, et laissa Nô licher sur son corps, avant de se retourner, pour lui offrir la vue de ses fesses. Jane ne ressentait aucune gêne à l’idée d’être ainsi vue par cette femme. Si ça avait été par un vulgaire péquenaud du lycée, l’homme l’aurait senti passer, mais, ici, elle savait qu’elle n’était pas en position de force, et qu’il était dans son intérêt de suivre le fil. Nô appréciait son humour particulier, mais Jane savait aussi qu’il ne fallait pas aller dans la surenchère.

Mayo l’aida donc à l’habiller, et Jane se retrouva ainsi vêtue des vêtements suggérés par Nô. Après plusieurs essais et autres déshabillages, Mayo et elle finirent par trouver des vêtements qui puissent convenir, se rapprochant un peu des conseils de Nô : une fine guêpière noire, luxueuse, avec des collants, et des gants. Elle dut cependant retirer le latex pour d’autres gants, qui convenaient mieux à ce type de vêtement, et s’observa dans un miroir.

« Ouais ! Ça, ça me botte bien ! »

En tout cas, ça changerait du sailor fuku. Jane s’observa un peu en remuant dans tous les sens. Jane refusa de porter un string, trouvant cela vulgaire, et préféra plutôt une culotte noire avec des dentelles. Ceci fait, Jane se retourna vers Nô, et marcha vers cette dernière, pour se placer devant elle, jambes légèrement écartées.

« Ton assistante est vachement douée, en tout cas... Sinon, tu me trouves comment ? Tu crois que, si je passe devant tes hommes ainsi, ils auront une érection instantanée ? »

Avec Jane, ça revenait toujours assez fréquemment autour du sexe. Elle venait de Californie, et, si les Nippons avaient la réputation d’être des pervers, dans les faits, les Américains étaient sans doute au moins aussi pervers que les bridés, si ce n’est plus. Jane était bien placée pour savoir que tout le discours moralisateur et bienpensant des Américains sur le sexe était généralement très hypocrite, n’étant rien d’autre qu’un relent des valeurs puritaines, ces mêmes valeurs qui, tout en encourageant l’abstinence sexuelle, encourageaient aussi la discrimination raciale, et autres joyeusetés.

La seule chose qui importait, c’était que Nô la trouve belle, suffisamment belle pour vouloir la conserver près d’elle.
« Modifié: jeudi 27 mars 2014, 12:37:05 par Jane Watson »
DC d’Alice Korvander.

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Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 33 vendredi 28 mars 2014, 00:01:17

Vêtements. Étant à la fois un moyen de se protéger du temps, de conserver sa pudeur ou encore d'affirmer ce que l'on est, difficile de reconnaître quel est le genre de la personne que l'on voit passer. Pourtant, avec le temps, il n'est pas si difficile que ça de comprendre comment est la personnalité via quelques bout de tissu. C'est également d'autant plus simple quand on connais la personne en lui disant "Tiens je suis sûr que ça te plairait ça" en désignant un vêtement de n'importe quel type. Bien sûr, on peut se tromper. Quelqu'un de plutôt dominant n'hésiterait pas à montrer son corps tandis qu'un soumis irait plus le cacher qu'autre chose. De même qu'un macho prendra de quoi exhiber ses poils/muscles, rayez la mention inutile, tandis que quelqu'un de plus efféminé portera son choix sur quelque chose de plus travaillé et unisexe. Du moins dans les cas les plus généraux de ce monde car il y a toujours quelqu'un pour briser les clichés et autres généralités propres à la mode humaine.

Observant son invitée sans relâcher la vue sur ce qu’elle faisait, le Papillon pourpre faillit esquisser un sourire à voir Mayo s'occuper d'elle. Cette femme était un peu l'habilleuse en chef pour tout ce qui s'agissait de tester quelque chose de nouveau ou, comme dans le cas de Jane, habiller quelqu'un d'hypothétiquement en sécurité selon les goût de ces dernier, le tout en passant par Kiyuri. Sa passion pour les vêtements se voyait très clairement dans son design qui jurais avec celui de sa patronne. Cette dernière restait typiquement traditionnel avec sarashi et yukata, alors que l’habilleuse préférait clairement un style plus futuriste et complètement hors du genre commun. L'une portait des vêtement du passé, l'autre de l'avenir. Pas fait exprès, non... !

Jane finit par être habillée et se tourna vers la PDG. Ses habits restaient dans le genre que la vampire avait proposé, en beaucoup moins dominatrice. D'un coté, le genre pervers qu'avait imaginé Nô avec le latex n'aurait peut-être pas eut le même impact, mais celui-ci était parfait. Sortant de ses poufs, l'Empoisonneuse passa devant la demoiselle et esquissa un demi-sourire, amusée de la voir prendre la pose comme dans un magasine de lingerie fine et provocante. La tirade de la Californienne résonnait dans son crâne, cherchant comment répondre. A vrai dire, plusieurs choix s'offraient à elle. Elle aurait put en profiter pour lui faire l'amour sans transitions, la tripoter juste pour chercher des détails à pinailler, ou tout simplement donner un avis court et concis. Néanmoins. Elle préféra une autre option :


- Je serais facilement excitable, je t'aurais probablement déjà sauté dessus comme un mâle en rut. Et je doute très fortement qu'il y aurait un seul de mes hommes qui n'éjaculerais pas dans son pantalon à cette vue, la main devant leurs braguettes.

L'image faisait un certain effet pour Nô, imaginant un slip remplit de sperme avec des grosses brutes essayant de le cacher, ou mieux, tout faire pour se calmer, ce qui serait encore plus ridicule et inutile. Sortant rapidement de ses pensées, elle rajouta en prenant un ton légèrement moqueur, tournant la tête vers Mayo :

- Et certaines femmes auraient bien envie de t'avoir en poupée pour adulte. N'est-ce pas Mayo ?

Cette dernière fit un sourire fermé, regardant ailleurs, et levant les mains au niveau de sa tête en guise de désintérêt exagéré. Elle faisait l'innocente qui n'était pas spécialement gênée, mais également qui n'avait rien à cacher :

- Je n'ai encore rien dit, Nô-hime

Et elle sortit un petit rire amusé. A voir le comportement de l'habilleuse, Jane pouvait facilement constater une différence énorme supplémentaire dans les échelons de Papillon entre les hommes et les femmes. L'ambiance générale était également bien moins tendue que dans les sous-sols où il faisait grise mine avec rien pour se distraire, à part quelques prisonnier à martyriser. Ceci fait, Nô fit signe à Mayo qu'elle pouvait partir, mais de laisser les vêtements en place. Avec les pas de cette dernière sur le sol en bois, il ne restait plus grand chose. Seule à seule avec la blonde, voilà qui pourrait promettre bien des choses, surtout vu l'esprit de cette dernière. Croisant les bras sous sa poitrine, une idée lui vint à l'esprit :

- Je peux dire sans me tromper que tu es bisexuelle extravertie. Que dirais-tu d'un petit défi amusant ?

Décroisant ses bras, elle pris un air un peu plus sûr d'elle que l'habituel, tout en gardant le coté amusé qu'elle contrôlait à sa façon :

- Je te propose d’exhiber ta nouvelle tenue de la façon que tu désire dans le but de montrer ton sex appeal. Si je juge que les résultats sont satisfaisant, tu en sera récompensés. Sinon, et bien il ne se passera pas plus de choses que sous la toge d'un pape

Puis elle approcha son visage le temps de dire :

- You're okay with that, Jane Watson ?

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 34 samedi 29 mars 2014, 02:20:25

Jane avait visé juste, et un sourire amusé éclaira furtivement ses lèvres quand Nô lui avoua qu’aucun de ses hommes ne saurait résister face à elle. C’était un bon point. Les femmes n’étaient pas le beau sexe pour rien. Pour Jane, une femme digne de ce nom ne devait pas négliger le fait que, en étant belle, elle obtiendrait bien plus facilement ce qu’elle voulait dans la vie. Face aux hommes, c’était souvent le meilleur moyen de les perturber, mais aussi de les amener à essayer de profiter de vous. En d’autres termes, dès qu’on était belle, on entrait, avec les autres, dans une relation de domination et de soumission, surtout avec le sexe opposé. Soit les hommes voudraient forcer la belle femme, soit ils s’inclineraient devant elle, feignant l’indifférence, ou se conduisant de manière humble et écrasée, en partant du principe qu’une femme aussi belle avait forcément déjà un certain nombre d’amants. Fondamentalement, l’homme restait ce primate sauvage et brutal, et il ne fallait pas négliger cet aspect. La beauté, en conclusion, était un élément indispensable pour quiconque avait envie de briller en société. À moins d’être Hitler, ou d’être en France, un individu moche n’avait aucune chance de s’imposer face aux autres.

La Californienne ne dit rien tandis que Nô se releva, tournant autour d’elle, faisant comprendre à Jane que Mayo avait très certainement envie de lui faire l’amour. Jane se contenta d’un sourire sur le coin des lèvres, légèrement insolent, et haussa les épaules.

« Je pourrais en dire tout autant. »

Entre Mayo et Nô, le contraste vestimentaire était saisissant. Comme Nô, Jane pensait aussi que les vêtements étaient un élément d’extériorité du corps, permettant d’en savoir plus sur la personne à qui on faisait face. C’était bien simple : les pauvres portaient toujours des vêtements de péquenauds, des survêtements aux couleurs criardes, des pantalons moches, des survêtements...Autant de choses qui témoignaient d’une certaine classe sociale. On aurait pu objecter que ce n’était qu’une question d’argent, mais Jane savait qu’on trouvait des chemises à un prix qui était très abordable. Il n’était pas nécessaire de porter un costume fait sur mesure par un tailleur européen pour donner le sentiment d’être puissant : il suffisait d’une bonne coupe de cheveux, d’une chemise rentrée dans le pantalon, et le tour était joué. Jane pouvait tout à fait classer les gens par leurs vêtements, et, même au lycée japonais, qui était un symbole de conformisme, à travers tous ces uniformes, on pouvait voir différentes approches. Certains portaient l’uniforme plus facilement que d’autres. Oui, on pouvait réellement faire toute une corrélation entre la personnalité d’un individu et ses vêtements. Après tout, c’était comme la relation entre le fond d’un écrit et sa forme : « la forme, c’est le fond qui remonte à la surface ». Ça, c’était vrai partout.

Mayo finit par partir, ce qui attrista un peu Jane. Pas de partie à trois, finalement... Néanmoins, elle revint vite à elle-même quand Nô lui demanda si elle était une « bisexuelle extravertie », ce à quoi Jane se contenta d’un sourire goguenard :

« Soit c’est ça, soit je suis une jeune nonne effarouchée. »

Toujours ce ton désinvolte, toujours cet humour incisif, toujours cette tentation à ne jamais vouloir rentrer dans les clous. On pouvait dire bien des choses sur Jane Watson, on pouvait volontiers dire qu’elle était arrogante, égocentrique, moqueuse, méchante, mais, en tout cas, ce dont on pouvait être sûr, c’est qu’on était sûr de ne pas l’oublier de si tôt. Elle crachait sur les marginaux, sur les gens qui se voulaient atypiques en s’habillant comme des poubelles, tout comme elle crachait sur ceux qui faisaient tout leur possible pour se fondre dans le moule. Son honnêteté était déconcertante, car, d’une manière ou d’une autre, elle arrivait toujours à dire ce qu’elle pense, sans se soucier des autres. Elle avait même été jusqu’à se heurter à une Yakuza. Il était probable que, si elle voyait Obama lui griller la priorité à un feu rouge, elle abaisserait la vitre pour le traiter de « sale négro bon à sucer des bananes », pour la forme.

Nô lui proposa alors un challenge intéressant :

« Je te propose d’exhiber ta nouvelle tenue de la façon que tu désires dans le but de montrer ton sex appeal. Si je juge que les résultats sont satisfaisants, tu en seras récompensée. Sinon, et bien il ne se passera pas plus de choses que sous la toge d'un pape
 -  J’crois qu’on serait curieuse toutes les deux devoir ce qui se cache sous la toge d’un pape » rétorqua Jane avec un sourire malicieux.

Un défi ? Sounds good ! Elle vit ensuite Nô se rapprocher, pour la metre au défi, et Jane hocha la trête :

« Right, darling ! May the show begin ! » lâcha-t-elle en anglais.

Elle portait une belle guêpière, et regarda autour d’elle. Pas de barre pour faire de la pole dance, et, de toute manière, Jane n’était pas très douée là-dedans. Nô lui laissait carte blanche, mais, sur le coup, Jane peinait à voir ce qu’elle pouvait faire... Elle décida donc de revenir à la base : un bon vieux strip-tease. Nell, sur ce point, avait été une bonne source d’informations. Aussi perverse qu’elle, sa grande sœur lui avait déjà fait des strip-teases, et avait plus ou moins éduqué Jane. C’était le genre de trucs dont les mecs se raffolaient, même s’il valait mieux faire attention... Un homme qui a la trique et qui voit un cul remuer devant lui avait du mal à se calmer, et pouvait lui sauter dessus... Surtout si c’était un Américain de bonne famille, un héritier des WASP.

Jane commença donc par lever les mains, les joignant au-dessus de sa tête, puis se mit à remuer, balançant des hanches, devant la femme. Elle fit alors lentement glisser sur son corps ses mains, caressant ses seins, et continua à les faire descendre, le long de ses hanches, puis continua à danser, écartant ses gestes. C’était une danse lente, sensuelle, où elle fixait intensément les yeux de Nô, comme pour la mettre au défi... Au défi d’abaisser les yeux pour observer ce corps qui se dandinait. Jane savait que les Japonais avaient un goût assez prononcé pour la sensualité, et que les Japonais traditionnels refusaient la vulgarité occidentale. La geisha illustrait ce schéma : une geishaavait pour tâche d’éveiller la sensualité de l’homme en étant le plus habillée possible. Un curieux paradoxe, difficilement perceptible pour des Occidentaux baignant dans une culture judéo-chrétienne marquée par l’interdit du nu.

L’apprentie-sorcière se déhanchait donc, en espérant que Nô apprécierait le spectacle. Parfois, elle tournait sur elle-même, donnant ainsi à Nô l’opportunité d’observer sa chute de reins, ainsi que son joli derrière.

N’était-elle pas agréable à voir ?
DC d’Alice Korvander.

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Créature

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 35 mardi 08 avril 2014, 21:04:38

Pari. Outre le fait que cela peut être une capitale mal orthographiée, cela peut également être un jeu pour une ou plusieurs personnes aimant mettre du piquant dans leur sauce quotidienne. Un défi pouvant révéler une soif d'aventure spéciale ou tout simplement un délire entre personne de confiance est souvent considéré comme un jeu. Un jeu où il n'y a un gagnant et un perdant, mais dont la défaite peut se révéler humiliante pour ce dernier. Pas grand chose à gagner, mais beaucoup à perdre. Le jeux les plus simples ne sont pas forcément les plus utiles, ou encore les plus sain d'esprit.

Jane accepta le sien, apparemment plus qu'enjouée à s’exécuter. La question du moment était ; Qu'est-ce qu'elle comptait faire ? Les choix étaient variés, surtout si on considère que Nô peut appeler quelqu'un au besoin, comme Mayo par exemple. Elle aurait donc put demander à ce que quelqu'un vienne pour satisfaire ses envies, danser de manière vachement exotique et sensuelle, faire un défilé avec les fringues plutôt sexy qui étaient encore là,... Finalement, après avoir constaté une certaine recherche autour d'elle, la blonde commença à lever les mains comme pour lancer un  "It's showtime !" pour ensuite commencer des mouvements lents, mais appliqués. Des gestes sensuels sans une once de vulgarité pour le moment, ou d'érotisme à l'Américaine. Jane aurait-elle essayé quelque chose se rapprochant plus des japonaises ? Ça aurait été le pied.

Lors de ses mouvements, quand l'humaine se trouvait devant la vampire, il était très facile de sentir une lueur de défi dans son regard. Ce message aurait put être multiple vu la situation. La défiait-elle de la toucher ? De la mater plus intensément que c'était le cas ? De la déshabiller à sa manière ? De faire elle-même quelque chose de son coté montrant sa possible excitation ? Pour l'instant, la deuxième option était celle envisagée par la Pdg qui baladait son regard à sa guise face à cette "viande fraîche" qui se trémoussait. Nô était plus du genre à observer qu'à tripoter la situation, expression bizarre mais vraie, sauf quand les choses doivent se régler directement par sa personne. Là, ce n'était pas le cas. La japonaise regardait l'Américaine danser pour elle sans trop savoir ce qu'elle comptait exactement effectuer par la suite.

Reculant très légèrement, juste pour avoir une meilleure vue, Nô finit par poser ses omoplates contre le mur et croiser ses bras sous sa poitrine, faisant balader son regard sur l'ensemble du corps de son invitée surprise.Elle sentait une certaines chaleur émaner de cette petite peste. Une chaleur qui prouvait bien par tout ce qui avait déjà été dis qu'elle avait "envie". La vampire décida alors de libérer une infime partie de ses puissants phéromones, sans pour autant en déballer une quantité suspecte. Juste assez pour que tout le monde dans un petit périmètre autour d'elle soit affecté un minimum, mais pas assez pour que quelqu'un d'aussi futé que la blonde devine que quelque chose cloche. Nô n'en sera pas beaucoup affecté, mais la blonde si.


- Tu possède un certain talent. Je me demande combien de personnes de personne sont été excitée par cette vue.

Ses mot ne la complimentait pas directement, et elle avait caché exprès ce qu'elle en pensait pour laisser Jane dans le doute.

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 36 jeudi 10 avril 2014, 01:16:06

« Tu possèdes un certain talent. Je me demande combien de personnes de personne sont été excitée par cette vue. »

Devant cette phrase, un sourire amusé éclaira les lèvres de Jane, révélant ses belles dents. Elle répondit du tac-o-tac :

« Tout le monde, sweetheart. »

Elle continuait à faire preuve de cette familiarité assez déroutante, mais, après tout, quand on était à montrer son cul à une personne, on pouvait bien se permettre un peu de proximité. Des strip-teases, Jane en avait déjà fait en Californie. Il était troublant de voir combien un pays qui faisait tant pour défendre et propager les valeurs du puritanisme pouvait, en même temps, faire tant pour vendre et propager la pornographie et le sexe. Même sans rentrer dans les films interdits aux moins de 18 ans, toutes les séries et tous les films n’étaient qu’un appel grossier au sexe. Megan Fox était avant tout appréciée par son corps. Les Japonais n’étaient pas bien différents, à cette différence près que, chez eux, tout passait par l’animation. Une autre forme d’hypocrisie. La loi interdisait la représentation de parties intimes du corps ? Et bien, pas de problèmes, on allait donc les dessiner ! Jane se gaussait de tous ces bienpensants, de tous ces moralisateurs idiots. L’hypocrisie, voilà quel devait être le premier mot qu’on devrait trouver dans toutes les devises nationales. Hypocrisie à l’égard de tout et de n’importe quoi, mais surtout à l’égard du sexe. Hypocrisie à l’égard des hommes traitant les filles de « salopes nymphomanes », alors qu’ils ne pensaient qu’à se les sauter. Hypocrisie à l’égard de toutes ces filles prudes qui affirmaient ne rien savoir au sexe, alors qu’elles ne parlaient entre elles dès qu’elles étaient seules, en se renseignant sur la taille probable des pénis des garçons de la classe. Hypocrisie à l’égard de ces femmes affirmant ne pas vouloir faire l’amour, alors qu’elles sortaient en étant maquillées comme une Mercedes, avec la moitié du cul à l’air. Jane ne leur jetait pas le fouet : elle-même était une belle perverse, suffisamment vicieuse pour coucher avec sa propre sœur, mais elle n’était pas hypocrite. Elle n’était pas adepte de ce double-discours, de cette langue de bois institutionnalisée... Cette hypocrisie qui amenait un politicien à dire à un raté de la pire espèce qu’on pouvait faire quelque chose de lui, alors que tous savaient pleinement que le suicide était la seule option qui se profilait pour lui.

Jane savait donc que Nô était excitée. Elle n’avait aucun moyen objectif de le faire, mais elle le savait. La Japonaise l’aurait-elle violé dans la cave, si elle n’était pas attirée par son petit corps ? L’aurait-elle conduite dans son bureau pour un show privé ? La seule chose que Jane regrettait, c’était que Mayo soit partie... Elle se serait bien vue lui faire l’amour sous les yeux de cette Japonaise impassible, rien que pour la voir lentement craquer et les rejoindre. À moins d’être le plus fervent des homosexuels, ou des hétérosexuels, il était impossible de rester indifférent au spectacle de deux femmes se faisant longuement l’amour... Surtout quand il y avait Jane Watson dans le lot, et qu’elle portait une guêpière sexy.

Des idées plus osées lui vinrent à l’esprit en voyant Nô, et elle se rapprocha donc. Elle aussi, elle commençait à avoir une furieuse envie de baise, et elle opta pour une danse au corps. Jane posa ses mains sur les épaules de Nô, et frotta son corps contre le sien, ses seins heurtant ceux de la femme, filant de haut en bas, sa bouche se rapprochant de son visage, pour gémir dans son oreille. Son nez frottait ensuite contre sa joue en redescendant, et elle continua une danse tactile, corporelle, très proche, ses lèvres dansant près de celles de Nô. Sans s’en rendre compte, elle passait lentement de la danse sensuelle à la séance de sexe, inconsciemment poussée aux fesses, non seulement par les phéromones de Nô, mais aussi par son propre désir. Après tout, les phéromones ne faisaient qu’amplifier un désir qui existait déjà.

« J’adore ça, Nô… Tu pourrais être ma mère, je trouve ça excitant… »

Elle rajouta alors, en souriant :

« Mais t’es bien mieux foutue que ma mère... »

Sa bouche était proche de la sienne, son souffle heurtait les lèvres de Nô, et, lentement, elle se rapprocha, et l’embrassa. Ce fut aussi simple que ça, et sa langue ne tarda pas à remonter des profondeurs de sa bouche pour titiller la bouche de la Japonaise.
DC d’Alice Korvander.

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Créature

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 37 lundi 21 avril 2014, 15:08:00

Insolence. Des jeunes envers les plus âgés comme des plus anciens aux branleurs, personne n'est respectueux à 100 %. Si vous ouvrez votre bouche en disant ce que vous pensez et que ça ne plaît pas, c'est que vous êtes insolent. Si vous la fermez comme si vous aviez peur de vous tromper sur vos mots, vous êtes insolent. Si vous répondez à un ordre donné par quelqu'un de plus haut placé que vous, vous êtes insolent. Si vous ne faite rien en trouvant que la situation ne permet pas d'agir, là aussi vous êtes traités comme étant insolent. En résumé, aux yeux des plus étroit d'esprit, tout le monde est un imbécile qui ne mérite que se soumettre à eux. Les plus intelligents savent obtenir du pouvoir de façon plus subtile possible en gardant leur mentalité de coté. Il existe des tas de manière de montrer sa fougue, comme avec les habits, sa façon de bouger ou de parler. Mais entre ceux qui jouent de leurs libertés pour supporter le monde réel et ceux qui imposent le leurs, lesquels sont les plus stupide et insolents ?

Jane reflétait bien ce comportement, mais de façon intelligente et plutôt osée. Sa tenue en était une preuve simple, et son comportement dominateur couplé à son sex appeal charismatique la rendait plus impressionnante que l'aurait espéré Nô. A vrai dire, plus le temps passait et plus elle éprouvait un certain intérêt pour cette jeune branleuse. Elle relevait le défi lancé par la japonaise avec une facilité déconcertante, pour l'instant du moins. Avec la micro-libération de ses phéromones vampiriques couplés à la situation un peu dégénérée et le corps vachement bien foutu des deux femmes, il n'y avait qu'un seule alternative à la chose. Le corps de l'américaine se frottait contre celui de la vampire d'une façon qui pourrait faire bander même le plus impuissant des papy gay. Le contact des seins entre eux laissait une certaine sensation chaude sur la peau de Nô, peau froide de mort-vivante plutôt bien conservée. Les bouches se frôlèrent, les respirations fusionnèrent et les sons se rapprochèrent.

La blonde apporta une remarque très intéressante sur la situation actuelle. Si elle considérait que Nô pouvait être sa mère, cette dernière avait déjà envisagé que la gamine pouvait être comme sa fille, ce qui fait qu'elles avaient déjà quelque chose en commun. Qui plus est, elles trouvaient toute les deux la situation plutôt excitante. Pourquoi se priver alors ? Alors que les deux paires de lèvres finirent par s'entrechoquer pour au final s'embrasser à pleine bouche. Cela fit plaisir à la japonaise qui se demandait quant est-ce qu’elle allait passer à l’offensive. Ce baiser fut très long, même pour quelqu'un comme l’Empoisonneuse. Pendant l'acte, elle avait posé une main sur les fesses de cette fille, le bras s'étant quasiment enroulé autour de la taille. Il fallut plusieurs longues secondes de contacts physiques pour que la Pdg romps le contact avec les lèvres et s'adresse à celle qui se trouvait en face d'elle :


- Et si je t'adoptais, toi et ta sœur ? Je serais prête à parier que nous y gagnerons toutes trois si tu vois ce que je veux dire

Il y avait bien entendu pas mal de paramètres qui influait cette parole reflétant l'assurance de Nô.le simple fait que Jane gagnerais de l'influence et du pouvoir selon ce que lui autoriserait sa potentielle mère adoptive. De plus, l'américaine désirait obtenir de la connaissance auprès d'un maître sorcier pour protéger sa frangine. Et Nô pouvait fournir cette chance à cette fille sous certaines conditions. Après, cette dernière pouvait également fournir à Nell une protection sûre et efficace qui limiterais les dangers que la sœur pourrait subir. Et enfin, à l'inverse, la vampire gagnerais une compagnie des plus divertissante tout en profitant des filles qu'elle n'a jamais eut à cause de sa stérilité, et retrouverais donc la famille qu'elle ne possède plus. Fifty-fifty comme on dirait en Amérique.

L'Empoisonneuse pris le menton de l'apprentie sorcière et la regarda dans les yeux. Il y avait une certaine lueur dans les yeux de la femme. Une lueur facilement perceptible par n'importe qui de suffisamment observateur pour percer à jour quelqu'un. Cette lueur annonçait que la PDG avait quelque chose derrière la tête et était tout à fait déterminée à appliquer cette chose. Après tout, elle devait faire quelques test avant de s'assurer de quoi que ce soit :


- Prouve-moi que tu le mérite, cute little girl

Les mots utilisés étaient choisis pour suscité une réaction particulière chez celle qui se trouvait en face d'elle. Mais malgré ça, ça n'empêcha pas à Nô de lui empoigner la fesse avant de passer légèrement devant, entre les deux trous. La suite risquait de promettre un sacré moment, surtout avec la proximité qui ne faisait qu'amplifier

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 38 mercredi 23 avril 2014, 02:02:55

La main sur ses fesses ne dérangeait nullement Jane. C’est qu’elle descendait des sorcières, après tout, alors, forcément, elle et le sexe... En ce moment, Jane ne ressentait absolument aucun regret pour la mort de ses parents. Aurait-elle du les haïr ? Ou les aimer ? Elle l’ignorait. Un enfant était censé aimer ses parents, mais, parallèlement, les parents étaient censés aimer leurs enfants. Or, les parents de Jane n’avaient jamais été là pour elle. C’était une gouvernante qui se chargeait de lui donner le sien, comme à l’époque du Moyen-Âge, et ses parents étaient toujours en voyages d’affaires, à négocier des contrats internationaux à Dubaï, Tokyo, Hong Kong, etc... Les rares fois où ils emmenaient Jane et Nell, elles poireautaient dans des suites d’hôtel luxueuses à regarder la télé. Elles étaient le fruit pourri d’une génération dorée encore plus pourrie, qui avait choisi de sacrifier l’amour sur l’autel de l’argent et des joies faciles. Des vacances, ses parents en prenaient, mais ils ne voulaient pas que leurs filles, pourries gâtées, et insupportables les rares fois où ils étaient forcés de les voir, viennent ruiner leurs vacances. Ils partaient à Hawaï, dans des chalets luxueux à Courchevel, dans des villas françaises le long de la Côte d’Azur ou en Corse, ou s’offraient des croisières le long du Nil. Jane aurait-elle été moins riche, et n’aurait-elle pas eu sa sœur, qu’elle aurait probablement fini fugueuse dans un squat, complètement droguée et violée, recherchant dans la rue ce qu’elle était incapable de trouver dans son foyer : de l’amour, le sentiment de tenir pour quelqu’un. Et... Et il y avait Nell. Oui, pour elle, Jane serait prête à faire tout et n’importe quoi. Et puis, coucher avec une Yakuza aux gros nichons, ce n’était pas la mort. C’était même tout le contraire. Jane ne regrettait rien de sa position ici, car elle était convaincue que tout ça lui serait favorable. Nô lui rendit son baiser, tout en conservant une main sur ses fesses.

Initialement, Jane avait craint de finir prostituée dans un bordel de Seikusu. Le gouvernement japonais tolérait plutôt bien la prostitution, dès lors qu’elle n’impliquait pas de coït (une douce hypocrisie, selon Jane), et une Américaine... Et bien, à en croire les mangas japonais, l’Américaien était un fantasme nippon. Les Yakuzas auraient pu se faire un paquet de blé en envoyant Jane dans les caves d’un love hotel tokyoïte. Cependant, si c’était là son sort, Miss Gros-Nichons ne serait pas venue l’amener dans ses quartiers, et l’habiller avec cette succulente secrétaire aux lèvres bleues. Pour l’heure, elle embrassait cette femme, et creusait son dos, bombant ainsi ses fesses. Nô promenait une main baladeuse sur elle, en sachant que Jane ne s’y opposerait pas, non seulement parce qu’elle ne le pouvait pas, mais, et c’était sans doute encore plus vrai, parce qu’elle ne le voulait pas. Elle était tout simplement heureuse ici, contre cette femme, à l’embrasser. Le Papillon embrassait rudement bien, et, quand Nô rompit le baiser, Jane resta contre elle, ses mains sur ses épaules, le cœur battant la chamade.

*Comment on appelle ça, l’attirance des vieux pour les ados, déjà ?*

Ce n’était pas de la pédophilie, non, c’était ce truc que les Grecs faisaient... Jane avait le nom sur le bout de la langue, et, alors qu’elle commençait à en discerner les syllabes, la pédéraste Nô lui proposa alors de devenir sa fille. Jane écarquilla les yeux, sous l’effet d’une surprise qui n’était nullement dissimulée.

*What ?!*

Avait-elle bien entendu ? Sa fille ? Her daughter ? L’anglais refaisait surface en force, alors que Jane n’en revenait pas. Elle ne s’était pas vraiment attendue à ça, et, sur le coup, elle pensa à une blague... Avant de se rappeler que les Japonais n’avaient pas vraiment le sens de l’humour, surtout les Yakuzas. Nô semblait le proposer sérieusement, et... Hum... Well... Jane, passée la surprise, qui dura tout de même quelques secondes, vit vite son esprit calculateur refaire surface. Pour elle, une mère, ce n’était pas grand-chose. Comme une espèce de gouvernante, et elle aurait effectivement beaucoup à tirer d’une relation assez intime avec Miss Gros-Nichons : la protection, certes, mais aussi, et surtout, la puissance. Elle s’imaginait déjà ordonner à ses larbins, des types immenses, d’aller briser les rotules de ceux qui la faisaient chier, oud e violer contre un mur, à la sauvage, les salopes du lycée. Ouais ! Ça, ce serait kiffant ! Oh putain ouais ! Mais... Qu’est-ce que Nô comptait en retirer, elle ?

*Franchement, à part des emmerdes, je ne vois pas ce que je pourrais lui amener...*

Peut-être qu’elle aimait bien sa petite bouille, après tout ? Quoi de plus étonnant, Jane avait de quoi faire fondre des cœurs de glace. Elle avait la pure sympathie américaine, le sens du dévouement et de la camaraderie, aussi vrai que l’armée apportant les bonnes vertus démocratiques dans des pays du Moyen-Orient à coups de bombes et de chars d’assaut.

Jane sentit les doigts de Nô agripper son menton, la preuve qu’elle ne plaisantait pas. Pour le coup, Jane, qui avait toujours une répartie bien sentie à fournir, ne savait plus quoi dire, tant cette offre était... Inattendue.

« Prouve-moi que tu le mérites, cute little girl » intima alors Nô.

Un défi ? Voilà qui rentrait dans les cordes de Jane ! Elle sentit ses esprits revenir à elle, et sourit alors, voracement, puis conserva ses mains sur les épaules de Nô.

« Hum... Okay, okay ! Je vais devoir te vouvoyer, alors, si tu deviens ma mère, non ? À moins que tu ne préfère les vilaines filles ? Car, tout à fait entre nous, je crois que je suis loin d’être une princesse... »

Nô avait sans doute déjà du le remarquer. Jane n’attendait pas de réponse de sa part, et posa donc un doigt sur les lèvres de Nô.

« Cependant, reprit-elle, il y a un truc que je sais bien faire, comme n’importe quelle fille... C’est têter. »

Elle sourit à nouveau, et se pencha alors vers les gros seins de la femme, et en attrapa un, à travers sa robe. Elle n’allait pas déshabiller sa future mère, non ? Jane voyait plus en ces relations quelque chose de pervers et de sexuel, mais, quand une relation commençait avec elle attachée à un mur, et à moitié à poil, il ne fallait pas s’en étonner. Elle suçait ce seins à travers les tissus de la femme, tout en caressant lentement ses hanches, sa langue glissant à l’emplacement du téton, qu’elle sentait à peine. C’était néanmoins suffisant pour qu’elle agisse ainsi, tout en continuant à légèrement remuer ses fesses.

Jane aimait qu’on lui pelote le cul.
DC d’Alice Korvander.

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Créature

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 39 vendredi 02 mai 2014, 15:11:17

Poitrine. Certains en ont dans l’assiette, d'autre entre le cou et le nombril. Cet outil de séduction de masse est très controversé par les gens qui contemple cet amas de chair, graisse et nerfs. Un grande majorité les aiment bien opulentes, une autre suffisamment mince pour la tenir dans chaque mains. Bien utilisé, les seins sont une arme de charme redoutable et ce quelque soit la taille. Petit, gros, ferme, doux, dressés, en poire,... Il existe des tas de manières différentes de mettre en valeur ces deux balles, probablement autant qu'il existe de façon de se tenir et de s'habiller. Mais attention ! Les hommes ont facilement le regard baladeur quand ce genre de genre convoitises mammaires. De même que les femmes peuvent être terriblement tripoteuses pour comparer, non sans forcément avoir une bonne raison de le faire, les dimensions des autres. Un peu comme les mâles veulent à tout prix avoir la plus grosse paire de couilles.

La petite surprise qu'avait prévue Jane aurait put faire sourire Nô. C'est vrai après tout, elle ne s'attendait pas spécialement à une telle réaction bien que ça restait dans le contexte. Cela faisait donc deux défis en cours à la place d'un, et compliquait donc la tâche pour la blonde. De toute façon, si Nô voudrait faire dégager cette fille, elle ne s'y attarderait pas des siècles et des siècles. Le fait qu'elle restait là avec elle, si proche de sa peau, dans son bureau et à jouer avec prouvait son appréciation. Cela avait mal commencé, et ça ne tenait qu'à l'invité de faire en sorte que la maîtresse de maison se sente bien, tout le contraire de la réalité normale.

Laissant l'américaine s'affairer à sa poitrine, la japonaise retenu un soupir. Elle ne sentait absolument rien. Mais vraiment rien. Pas même une petite chaleur ou un petit stimuli nerveux... Rien du tout ! De base, Kichô n'a jamais été réellement sensible de son vivant. Et depuis son inexplicable résurrection en tant que vampire, c'est encore pire. Heureusement, sa poitrine est plus sensible que ce qui se trouve entre ses cuisses. Mais avec les bandes de tissu façon sarashi qui lui couvrait cette dernières, les sensations étaient plus qu'amenuisées pour elle. C'est un peu comme si une prostituée médiévale essayait de faire une fellation à un chevalier ayant gardé sa cotte de mailles. A part que les mailles sont moins confortables que du tissu. Le manque de sensation ne lui permettait pas de ne pas apprécier le moment, en revanche :


- On sens qu'il y a du vécu, sexy baby

Parler anglais l'amusait, mais commencer à l'agacer un peu également. Ce qui, sans transition, ne lui empêcha pas de continuer à lui peloter le popotin à sa manière, différemment de la façon que Jane utilisait sur les hanches de son hypothétique nouvelle mère. Cette dernière bougea une de ses jambes de façon à avoir son genou entre les cuisses de la Californienne, frottant, entrechoquant tout ça. Son but n'était pas le sexe pur et dur, mais plus une séance sexuelle particulière et souple sans avoir à réellement agir. Après tout, la blonde allait sûrement finir adoptée et faire l'amour à sa future fille de façon directe ne faisait clairement pas partie de ses projets. La soulager peut-être, mais pas plus que ça.

Sentant qu'il était parfaitement inutile de conserver sa dispersion de phéromones, elle stoppa ça rapidement. La situation était de toute façon suffisamment avancée pour que personne n'aie besoin de ça.

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 40 lundi 05 mai 2014, 01:35:20

Jane sentait les bandes de tissus gêner son action sur son sein, et, tandis qu’elle s’activait, et que Nô continuait à lui pétrir le derrière, elle continuait à réfléchir à cette histoire d’adoption... La Yakuza était-elle vraiment sérieuse ? Avoir une nouvelle maman... Bah, après tout, elle ne pouvait pas être pire que la sienne, qui avait brillé dans l’enfance de Jane par son absence. La Californienne avait déjà pu remarquer que Nô était une femme plutôt active, et sa fortune, ainsi que sa puissance, étaient des éléments particulièrement excitants... Et puis, il y avait aussi cette force que Jane ressentait, cette attraction que la Yakuza émettait autour d’elle... Cette espèce de puissance magique que Jane avait ressentie dans la boutique, avant que Nô ne choisisse de la kidnapper pour lui apprendre le respect. Ce magnétisme l’attirait, sans qu’elle ne puisse rationnellement le justifier. Jane frissonnait en sentant cette main posée sur son cul, et un sourire narquois darda ses lèvres quand Nô remarqua qu’il y avait du vécu.

Elle délaissa alors brièvement son gros sein, et se pencha en avant, embrassant alors la femme, sa future mère, sur les lèvres. Elle gémit de plaisir, un plaisir nullement feint, nullement artificiel. Cette femme lui faisait mouiller sa culotte. Sa sensuelle cruauté, sa perversion silencieuse... Tout ça était un véritable régal pour elle, et elle se sentait, en ce moment, bien plus proche de Nô qu’elle ne l’avait jamais été avec ses parents. L’avoir comme mère, ce n’était pour elle qu’un synonyme de gardiens... Car, à bien y réfléchir, qu’était un parent, si ce n’est un protecteur ? Il veillait sur son enfant, l’éduquait, et le protégeait contre toutes les menaces, qu’il s’agisse du dealer de drogues dans le coin, ou du prochain examen à venir. Ouais, un parent, ce n’était rien de plus qu’un garde du corps évolué et gratuit. Si Nô voulait remplir cette fonction, Jane n’y verrait aucun problème... En plus, elle aurait sûrement des larbins à commander, et ça, c’était vraiment cool. Elle embrassa donc la femme, nettement plus âgée qu’elle. Deux générations différentes en train de se faire tendrement l’amour. Tandis qu’elle lui roulait sa pelle, ses mains tiraient sur les bandes, découvrant ainsi, petit à petit, ses gros seins.

« Mhhhmmmm... » gémissait-elle.

Elle sentait une familière irritation entre ses cuisses, un titillement caractéristique du plaisir qu’elle ressentait, de la mouille qui était en train de naître, de s’échapper de son corps. Elle continuait à remuer son bassin, abaissant sa croupe pour mieux ressentir les doigts de Nô sur sa chair, avant de se redresser ensuite. Jane prolongea encore le baiser, puis finit par le rompre, d’un jappement de langue. En somme, elle retira ses lèvres, et sa langue caressa les lèvres de Nô, puis heurta le bout de son nez, avant que Jane ne la rappelle. Ses yeux pétillaient de malice, et elle se mordilla les lèvres.

« Tu n’as pas idée de ce que je peux faire... Maman. »

Jane alla ensuite s’attaquer à ses seins, mais, cette fois-ci, sans les bandes. Ses lèvres se posèrent directement sur son téton, et elle le mordilla tendrement, sa langue venant glisser dessus. Elle remuait amoureusement sur ce sein, et, avec son autre main, alla jouer avec l’autre. Jane sentait que cette femme était... Comme blasée. Elle se promit donc de la faire couiner...

De plaisir.
DC d’Alice Korvander.

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Créature

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 41 samedi 31 mai 2014, 12:22:21

Sensation. Par la sainte peau et les divin nerfs, je vous proclame unis pour toujours ! S'il y aurait eut cérémonie, cela aurait sûrement été ce que le préposé aurait dit. Pour capter un maximum avec le toucher, cette façon pouvant être à la fois sensuelle et brutale, le cerveau à besoin de toute cette interface vivante pour recevoir chaque sensation. Que l'on touche une plaque en fer glacée par un hiver rude, une bouille pour bébé que l'on retire avec des doigts ganté ou bien un vagin chaudement humide, rien ne peut bloquer ce sens que l'on appelle le toucher. Hélas, ni rien ni personne ne pourra sûrement atteindre directement l'Âme de la personne concernée, à moins peut-être de posséder un savoir-faire et une passion telle qu'il serait de faire pleurer le plus macho des footballeur. Mais après tout, ce monde n'est déjà pas très logique en soi...

Le problème concernant la situation était très clair. Nô ne ressentait toujours rien. Jane était clairement en nage, dégageant cette chaleur corporelle propre à l'excitation sexuelle qui précède ou accompagne l'acte en lui même, mais Nô était dans le même état qu'avant cette petite séance. Si l'on devrait exagérer les choses, on pouvait limite dire qu'elle s'ennuyait à en mourir tellement ce que faisait Jane ne lui apportait aucune sensation corporelle. Pourtant, elle appréciait tout de même l'attention, le geste osé de sa future fille apportant son lot de piquant. Petit à petit, le plaisir mental laissait place à la frustration physique accompagné d'un brin de nervosité, le tout saupoudré d'un soupçon de d'agacement. Une recette qui ne plaisait pas à la PDG.

Pourtant, elle faisait comme si de rien était, cachant efficacement ses émotions et contrôlant presque totalement sa frustration quand la blonde vint l'embrasser. Et au vu des poussées sonores qu'exerçait cette dernière pendant l'acte, il y avait fort à parier qu'elle se doutait de rien tellement ça semblait la démanger. Au moins, les lèvres supérieures de la vampire lui apportait plus de sensation et apprécia énormément cette attention. Elle répondit avec un plaisir non feint, mais sans aller jusqu'à l’exhiber.

Le baiser dura plutôt longtemps. Et pendant celui-ci, Jane se trémoussait, se frottait,... En somme, elle faisait comprendre comprendre de manière plus ou moins directe que c'était à son tour de recevoir davantage, alors que la poitrine de Nô était désormais à l'air libre et que l'américaine se masturbait presque sur la main de la nippone, allant jusqu'à continuer de façon plus provocante ce baiser avec un regard qui embrassait de désir. La vampire se demanda ce qu’elle voulait dire, mais vu la situation, il n'y avait pas trente-six solutions :


- Alors au travail, Jane-chan

Pour la première fois depuis sa vie, même en comptant sa période humaine, elle utilisait ce suffise -chan dans une situation où cela ne faisait pas si tâche que ça. Ce suffixe normalement utilisé au Japon quand on s'adresse aux personnes proches ou de la famille n'avait été jamais utilisé par Nô. Son père était un chef de contrée, Minô, et elle était fille unique. De plus, à cette époque les gens n'était pas aussi familier qu'on le voit aujourd'hui, ou pire encore, comme cela est représenté dans les mangas. Et par la suite, elle s'était retrouvée seule en tant que vampire et maintenant, chef d'un entreprise où tout le monde la vénérait limite soit comme une déesse, soit la craignait comme le pire des châtiments divins. Donc utiliser ce genre de tournure de phrase clairement une première, sans compter le -san traditionnel quand elle parlait avec ses salariés. 

Passant à la suite des opérations, la future mère adoptive posa une main sur la tignasse de blé qu'arborait la Californienne et se mis à la caresser comme quand on rassure un enfant un pleur. Elle ignorait ce qu'il fallait faire sur une progéniture, même adoptive, et s'occupait donc de faire comme son instinct la guidait. Par la suite, elle décida également de faire travailler davantage le corps de sa future fille. Sa main qui se trouvait aux fesses glissa par les cotés pour passer devant, rentrant sans ménagement à l'intérieur du sous-vêtement à la fois souple et confortable, caressant la fente de façon lente, appliquée. Tandis que l'ado était concentrée sur la poitrine de son aînée, cette dernière lui plaça doucement :


- La tétée se déroule bien ?

Et immédiatement après, elle se sentit ridicule, chose qu'elle cacha difficilement. Elle lui rentra ensuite deux doigts à l’intérieur de son vagin

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 42 lundi 02 juin 2014, 00:58:19

Jane s’appliquait à faire plaisir à sa future « mère ». Elle en avait bien conscience : tout ça était totalement incongru. Cette femme l’avait capturé, menacé, maltraité, et, pourtant, elles étaient là, en train de se faire l’amour, après une proposition qui était tout simplement surréaliste. Une maman... Délirant. Plus Jane y repensait, plus elle se disait qu’elle avait complètement pété les plombs au Japon. Il lui arrivait tellement de trucs barges, en même temps. On disait que le Japon était un pays de cinglés... Et on avait entièrement raison ! Seikusu l’était puissance 10 ! Ce que Jane vivait était tout simplement dément, et il n’y avait rien qui ne pourrait changer cet état de fait ! Elle sentait les mains de cette femme glisser le long de son corps. La perverse Japonaise caressait ses hanches, et elle-même se faisait plaisir sur ses gros seins. Pour une Japonaise, elle était vraiment bien garnie de ce point de vue, les Nippones étant connues pour leurs petites poitrines. C’était une madone, elle pourrait avoir l’âge de sa mère. Jane n’avait jamais été portée sur le sexe entre générations, trouvant que ça sonnait vraiment pédophile, et, pourtant, elle était en plein dedans ! L’apprentie-sorcière tétait avec appétit, sa bouche titillant ce téton tendu, glissant dessus, sa langue jouant avec appétit, l’une de ses mains venant pincer l’autre, le pétrissant, coinçant le téton entre le pouce et l’index. Faire plaisir à cette femme, voilà tout ce que Jane recherchait. La détendre, la soulager, essayer de lui faire plaisir. Elle sentait que cette femme était aussi impassible qu’une statue, une espèce de sociopathe en puissance qui pouvait autant manger une glace que baiser avec trois nymphomanes en puissance, tout en conservant le même ton calme et imperturbable. En un sens, c’était surhumain.

La Californienne continuait donc à jouer, savourant ce contact, soupirant et gémissant, se cambrant quand elle sentait les mains de Nô glisser sur son corps, la parcourant. Jane, d’habitude si arrogante, si dominatrice, s’offrait ici volontiers à cette femme. Cette Japonaise était plus forte qu’elle, et, surtout, Jane sentait instinctivement que cette femme méritait son plus profond respect... Comme si elle n’était pas vraiment humaine, comme si elle était bien plus puissante que ce qu’elle prétendait être. Sous l’effet de l’excitation sexuelle, Jane peinait à le réaliser, mais, plus elle embrassait ce corps, plus elle le parcourait, et plus elle sentait les ondulations de son désir, le plaisir qui explosait, qui croissait lentement, délicieux et torride... Ah, que de sensations jouissives !

« La tétée se déroule bien ? » demanda alors Nô.

Surprise, Jane releva la tête, et esquissa un sourire amusé quand elle vit le visage de Nô... Exprimer un sentiment de honte, comme si elle venait de dire une bourde. Le sourire de Jane s’accentua légèrement, révélant ses belles dents, et elle se redressa un peu. Elle allait répondre, mais Nô choisit ce moment précis pour la doigter. Le seul son qui sortit alors de la bouche de Jane fut un gémissement de plaisir. Elle se mordilla les lèvres, reprenant son souffle, et ses mains se posèrent sur les épaules de Nô.

« Haaa... Ma... Maman, hummm... »

L’appeler ainsi, ce n’était qu’un jeu... Mais pas uniquement. Il y avait aussi autre chose, quelque chose de plus profond. Elle se pinça encore les lèvres, et vint à nouveau embrasser Nô.

« A... Apprends-moi, Maman... Apprends-moi... À être comme toi, à être... Cruelle et froide. Chaude et impassible... »

Une légère lueur perlait alors dans les yeux de Jane. Quand une psychopathe rencontrait une sociopathe, on pouvait s’attendre à ce qu’il y ait de belles étincelles !
DC d’Alice Korvander.

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Créature

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 43 vendredi 13 juin 2014, 10:54:44

Gêne. Faire une connerie ou ressentir quelque chose de gênant vis-à-vis de quelqu’un peut complètement nous faire perdre les pédales si on ne sait pas bien s’y prendre. Preuve en est, certains artistes en arrive à avoir des trous de mémoire phénoménaux. Ce n’est, en soi, pas quelque chose d’ultra dramatique que de céder à une imprévue mais brève panique. Néanmoins, il faut faire attention à ne pas perdre les pédales dans un moment important pour le commun des mortel, comme par exemple à un entretient d’embauche. De plus, qui prouve que les personnes devant vous sont plus à l’aise ? Rien.

Là, Nô avait sorti une réplique qui l’avait aussitôt retranchée dans un bunker de honte, assaillie par un sentiment qu’elle gardait dans la poudrière. C’est la raison principale quat à son doigtage un peu rapide. Mais à entendre les gémissements de celle qui allait devenir sa fille, c’était apparemment suffisant et bien joué de sa part. Cette dernière posa une main sur son épaule et l’embrassa après quelques jérémiades. A commencer ainsi, leurs relations allait être absolument tout sauf platonique. Chose nouvelle en soi mais pas forcément dérangeante. Les longues journées que passait la vampire seule tandis que sa meilleure amie et assistante de choix, alias Kiyuri Nobukini, quand elle était occupée à faire trois fois plus de production que toute l’entreprise à seule, allaient bientôt être révolus. Et d’une manière aussi inattendue pour le public et les acteurs qu’étrange pour la grande majorité des personnes concernée.

Jane lui posa une question par la suite. Être comme elle ? L’idée n’était pas spécialement tentante pour l’Empoisonneuse. Surtout que ce comportement était dû à l’entrainement de folie subit par son maître shinobi de l’époque, entrainement qui était capable de la faire grimacer aujourd’hui encore vu certaines choses qui lui était demandé de faire. Et vu le temps que ça avait pris, et l’âge qu’avait Kichô à l’époque, cet âge où l’on assimile aussi facilement des tables de multiplication complexes que les leçons de la vie à condition de le vouloir, cela risquait d’être soit impossible soit très long et ardu pour l’américaine. 

Puis elle réalisa quelque chose. Il était fort probable qu’en réalité la blonde dise ça par rapport à son manque d’activité nerveuse dans son corps, et plus particulièrement aux zones érogènes.  Immédiatement, Nô perdit toute expression, redevant aussi froide qu’elle l’était d’habitude. Son visage oscillant entre l’amusement, l’excitation et la gêne redevenait l’habituel regard perçant, le sourire inexistant et le ton à glacer le sang du plus basique des citadins affublé devant sa vidéo Youporn ou Pornoduck du jour. Elle finit par tourner son visage vers la Californienne et, en même temps qu’elle effectua sa rotation du cou, la fit habilement perdre pied tout en la faisant glisser sur sa jambe. Cela ne pris à peine plus d’une seconde avant que la miss se retrouve au sol, jambes écartée avec les doigts de sa future mère qui s’activait davantage :

L’action allait être plus rude à partir de maintenant :


- Tu perdrais ta féminité pour ça ? J’en doute fortement

Cette réplique pouvait avoir plusieurs sens. Certes, Nô parlait de son corps de mort-vivante possédant un système nerveux défectueux, mais il était possible de comprendre autrement. Comme par exemple qu’elle parlait de faire l’amour pour ça ou encore que l’entrainement risque d’être rude, ce qui n’était absolument pas faux.

Et puisque la vampire ne sentait pas grand-chose, autant y aller à fond sur celle habillée en guêpière.

Jane Watson

Humain(e)

Re : Larmes de crocodile [Nô]

Réponse 44 lundi 16 juin 2014, 01:19:14

Jane avait effectivement l’esprit embrumé par le sexe et par le désir. Tout se mélangeait dans sa tête, compliquant ses capacités de réflexion. La jeune Américaine clignait des yeux à plusieurs reprises, et sentit alors Nô la pousser. Le visage de cette dernière était devenu aussi dur que la pierre, un visage serré et sec, conforme à l’image que l’Asiatique donnait d’elle-même. Jane se retrouva en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire sur le sol, ses fesses heurtant le plancher. Ce que Jane avait préalablement sorti ne voulait pas dire grand-chose, car elle n’avait pas vraiment réfléchi avant de le dire. Elle était perturbée, avec une nouvelle « maman » sous ses yeux. Tout ça était déboussolant, et les doigts inquisiteurs de Nô ne l’aidaient pas à se contrôler, ni à réfléchir. L’Asiatique accentua les mouvements de ses deux doigts, continuant à malmener la belle Américaine. La jeune femme soupira et gémit de plus bel, avant d’entendre Nô lui parler, lui posant vraisemblablement une question. Jane n’y répondit pas, car elle ne l’entendit pas vraiment, tant le plaisir était fort en elle.

L’Asiatique savait y faire, et elle s’évertuait à le lui montrer, ses doigts s’enfonçant voracement en elle. Dominateur, le plaisir s’installait en force dans l’esprit de Jane, qui était incapable de penser à autre chose, son esprit s’envolant dans une agréable tornade rose de désir et de pensées.

« Haaa... Haaaa !! Fuuccckk, haaaa !! Ooooohhhh... !! »

Miss Gros-Nichons ne la ménageait pas. Les doigts qui s’enfonçaient en elle heurtaient son clitoris, faisant exploser le plaisir en de frénétiques et incontrôlables vagues, si intenses et si violentes qu’elles la faisaient hurler de toutes ses forces. Elle ne se retenait pas, elle ne cherchait pas à le faire, elle ne cherchait qu’à se laisser aller, à hurler son bonheur, à hurler sa joie. Dans ce genre de situations, Jane pouvait s’avérer très expressive, n’hésitant pas à prononcer des insultes. Un style assez particulier, mais pas forcément déplaisant, dans un coït. Jane l’aimait brutale, et, sous l’effet du plaisir, dans la foulée de la passion, se faire insulter avait tout à fait son charme. Elle laissait l’homme la prendre, et, ici, l’homme était remplacé par une statue de glace. Nô était aussi inébranlable qu’un roc. Jane se contorsionnait sous le sol, la laissant faire, et, au bout de quelques minutes, la doucereuse récompense finit par arriver.

Dans un soupir, Jane s’abandonna au plaisir, et éjacula sur les doigts de Nô, son nectar intime venant également laisser sa trace sur le sol. Jane reprit lentement son souffle, sortant peu à peu de cette vague, et se redressa lentement, s’appuyant sur ses coudes et sur ses avant-bras, un petit sourire ne tardant pas à se dessiner sur le visage. La lueur brillait toujours dans ses yeux quand elle lâcha, en penchant la tête sur le côté :

« Well... Et toi, darling, quand est-ce que je te fais jouir ? »
DC d’Alice Korvander.

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