Chasse nocturne

Hs: ce RP ce passe après l'acceptation de Bleiz dans l'organisation du scorpion noir. Si jamais un événement inattendu (vu l'imprévisibilité de Sekermet ^^.) faisait que mon acceptation ne s'est pas faite, voyez ce RP comme une Urochnie (une histoire qui aurait pus se passer si le passé était différent)

Surprenant! c'était le mot que bleiz avait en tête depuis ses derniers jours. Une semaine après son arrivé sur terra, il avait été accepté dans l'organisation du scorpion noir en tant que chasseur d'esclave. Son travail consistait à trouver des hommes ou des femmes, de les capturer, et de les amener à sa maitresse. Plus la prise était intéressante, plus il était récompensé. Il avait accepté se travail car cela lui permettrai d'entrainer son art de l'épée en capturant des gardiens des villages Terranides. Mais pour commencer, il voulait trouver des proies faciles afin de se construire un petit pactole en cas de coups durs. On était jamais trop prudent.

Donc quand il appris que Sekermet connaissait l'existence de la terre, mais également qu'elle était intéressée par les filles de ce monde, il demanda tout de suite à sa maitresse comment trouver un passage qui lui permettrai de se rendre las bas. La chasse serait très facile pour lui car il connaissait l'endroit et pouvais plus facilement se fondre dans la foule qu'un des mercenaires du scorpion noir vus qu'il venait, à l'origine de la terre.

C'est la raison pour laquelle il se trouvait là. En plein milieu du parc de seikusu. A peine plus de deux semaines après son départ, il était de retour. Bien sur il aurait pus en profiter pour rentrer dans son pays et laisser cette histoire derrière lui, mais sa nouvelle vie lui plaisait bien et il pouvait vivre simplement grâce à ses talents d'escrimeur. Chose qui lui serait impossible sur terre.

En arrivant dans le parc, il constata que la nuit était tombée. Il y avait peut de risque de tomber sur quelqu'un à cette heure ci, mais il se mit tout de même à errer dans le parc histoire de ce détendre un peu avant de commencer à chasser.

« Nyu !!! »

Non, Honey n'était pas en train de péter un câble en inventant des mots bizarres : elle appelait juste le chien qui lui avait échappé aux alentours de cinq heures de l'aprés-midi et qu'elle cherchait depuis... Faut dire que ce chien lui était précieux. Une pure race, un pelage tout blanc, c'était le compagnon d'une amie à elle dont elle devait prendre bien soin le temps que celle-ci revienne de Floride... Bref. Aussi précieux soit-il, ce chien était d'un casse-pied incontestable... Et aprés deux heures de course aux alentours du parc, Honey l'avait laissé échapper en manquant de s'écraser contre un poteau.

Et elle ne l'avait toujours pas retrouvé. A noter qu'il était bientôt minuit, qu'il commençait à faire froid, et que Honey, qui s'était enfonçé dans la forêt boisée du parc, avait bien du mal à éviter de se faire des idées. Elle n'aimait pas le noir, elle n'aimait pas les endroits clos comme celui-ci, et une simple ombre lui apparaissait déjà comme un monstrueux fantôme dégoulinant de sang. Parce que oui, Honey, aussi développée physiquement soit-elle, avait encore une âme d'enfant et cessait à peine de croire aux monstres dans le placard...

« Nyuuu... Bichon, t'es ou ? Aaah !.. »

Quelque chose avait aggripé la jupe plissée de la belle vachette, en déchirant une bonne partie au passage. Bien fait, pense la narratrice, fallait pas s'exciter comme une idiote dans un passage rempli de ronces, nanmais. è__é

« Oooh... é___è »

Aucun doute pour la demoiselle, il y avait une conspiration là-dessous. Peut-être que le chien était déjà mort ? Peut-être sa jupe avait-elle été fendue par des mains de ronces ? Peut-être... Peut-être...

« LES FORCES DU MAL !!! O___O »

Honey se calma tant bien que mal, ramassant sa lampe en s'efforçant de garder un peu de tissu sur ses fesses.

« ... v.v Zen. »

Malheureusement, le rayon de lumière de la lampe se fixa justement sur une silhouette menaçante de l'autre côté d'un arbre déraciné, donnant un côté particulièrement glauque à la scène.

Les yeux dorés de la vachette s'agrandirent de terreur.

« KYAAAAAaaaaaaa... »

Puis ils se refermèrent, la jeune femme tangua, puis s'effondra à terre, les yeux en spirales, la culotte à moitié à l'air. Que voulez-vous, il lui en fallait peu. Enfin, là... Quand même.

« KYAAAAAaaaaaaa... »

…Alors là c’est bien la première fois que cela arrivait à bleiz. Il avait connu toute sorte de réaction à son arrivée venant de la gent féminine. Cela était passé du dégout à l’excitation, de l’ennui à la joie, il avait connus aussi la peur. Mais c’est bien la première fois que quelqu’un s’évanouissait à sa vue. Il avait entendu une voix de jeune fille crier comme si elle appelait quelqu’un. Vus le nom qu’elle criait cela devait être le chien que bleiz avait vus quitter le parc quelques instants plus tôt. Il était allé voir d’où venaient ses cris et fut ébloui par une lampe torche. C’est alors qu’il avait vus cette jeune fille s’évanouir.
La surprise passée, et le temps que ces yeux se remettent de l’éblouissement et s’habitue de nouveau à l’obscurité il put l’observer avec moult attention…et moult plaisir. En effet la jeune fille n’était pas du tout désagréable à regarder. Un visage d’ange, une poitrine très généreuse et des hanches un peu potelée comme il aimait. Il en tirerait surement un bon prix, Encore plus si elle était vierge. Il s’avança et remarqua un petit détaille qui lui avait échappé. Ses oreilles n’étaient pas humaines. Une terranide ! Il ne s’attendait vraiment pas à en voir sur terre voilà qui rendait les choses intéressantes. Une terranide vache d’après les oreilles et la queue qu’il voyait maintenant dépasser de derrière. Cela expliquait la générosité de ses formes. Il devait savoir plus sur le pourquoi et le comment de sa présence ici. Il prit alors une corde solide, la mis assise contre un arbre pas trop large, et attacha ses mains en les mettant autour du tronc. Il la regarda alors, et éprouva une vive excitation à voir cette créature appétissante complètement soumise à ses caprices. Il sortit sa gourde et l’aspergea d’un peu d’eau pour la réveiller.

-On se réveille belle créature. J’ai des questions à te poser.

Un clignement d'yeux dotés d'éclats d'or indiqua que Honey venait de se réveiller. Elle ouvrit finalement entièrement ses prunelles, fixa Bleiz d'un air surpris, puis se rendit compte que ses mains n'étaient plus utilisables. Un peu de panique l'envahit, alors qu'elle se retournait pour voir la cause de cet empêchement.
Elle se trémoussa sur l'écorce de l'arbre, mais cela n'aboutit évidemment à rien : les liens étaient bien serrés. Alors la Terranide fixa celui qui était la cause de sa faiblesse. Quand il dit avoir des questions à poser, la vachette le regarda d'un air apeuré.

« J'ai rien fait de mal... »

C'était la première phrase qui lui venait à l'esprit. Pour elle, les questions rimaient à celles que l'on posait dans les films policiers ou autres trucs de ce genre. Elle continuait de se trémousser, alors qu'elle aurait peut-être mieux fait d'arrêter, étant donné que les ondulations de son corps le mettait en avantage.

« C'est vrai en plus... vous voulez pas me relâcher ? »

Honey avait posé cette question d'un air plus embarassée qu'apeurée, à présent. Ses oreilles pendaient tristement et sa queue avait entouré ses cuisses, comme dans un soudain élan de défense.

Bleiz voyait sa « prise » paniquer légèrement en constatant qu’elle était entravée. Il l’as vit se trémousser pour tenter de desserrer la prise mais rien n’y faisait, le nœud de bleiz était solide. (Oui bon je sais il est facile ce jeux de mot) Son beau visage le fixa avec peur ce qui excita légèrement bleiz.

« J'ai rien fait de mal... »

Ho il s’en fichait bien de ce qu’elle avait fait. C’est ce qu’elle était qui l’intéressait. Une terranide d’une grande beauté et aux formes très appétissantes. Elle se trémoussa encore plus ce qui avait pour effet de faire bouger tout ces attributs généreux. Voir ce corps gâté par la nature, onduler à ces pieds, avait donné à bleiz une légère tension au niveau de son entre-jambe.

« C'est vrai en plus... vous voulez pas me relâcher ? »

Ses oreilles s’étaient baissées, ce qui indiquait que a peur semblait s’être calmé et avait laissé la place à un certain embarrât. Bleiz s’accroupis juste à la gauche de la demoiselle et de sa main lui caressa le visage.

-Bonsoir jolie demoiselle je m’appelle Bleiz et toi ?

Tout en lui parlant, il passa la main dans ses cheveux. La jeune fille lui donna son nom. Honey. Il se demanda si son gout était, à l’image du miel, sucré.

-Je sais très bien que tu n’as rien fait de mal Honey. Je ne suis pas là pour t’arrêter.

Il vit la jeune fille se rassurer. Il caressa ses épaules et légèrement le coté de son corps. Puis subitement, il empoigna le menton de la jeune fille et mis son visage à quelques centimètre du sien. Et avec un regard ardent et un léger sourire il dit.

-Je suis là pour te capturer et te vendre comme esclave sur terra.

Hein ?
Elle était sûre d'avoir mal entendu. Vendue comme esclave sur Terra ? Bon, elle savait que la pratique de l'esclavage était courante sur Terra. Mais la Terranide se croyait à l'abri sur Seikusu, et s'y croyait protegé pour toujours. Il ne lui était jamais venu à l'esprit de se faire capturer puis vendre un jour, comme du vulgaire bétail.

C'est pourquoi elle se mit en colère, oubliant un instant sa peur.

« Uso*...  »

Honey secoua la tête pour se dégager, fixant Bleiz avec de la colère dans les yeux. Elle ne faisait pas peur, mais s'efforçait d'éloigner son interlocuteur.

« C'est un mensonge ! Personne ne peut me vendre ici ! Je ne suis pas du bétail ! Je ne suis pas à vendre !!! »

Elle fixa encore longtemps Bleiz d'un regard noir, en s'efforçant de ne pas penser qu'il avait beaucoup de charme. Au bout d'un moment, elle finit par baisser les yeux, commençant à se décrocher de ses croyances de protection qu'elle ne fondait que sur du vide. Ce fut cela, plus qu'autre chose, qui la força à baisser le regard.

[*Uso = mensonge.]

-Uso

Elle avait crié ce mot avec colère. Bleiz pensait bien qu’elle devait se sentir frustrée de ne pas pouvoir être à l’abri même sur un autre monde. Elle secoua la tête pour se dégager et fit à nouveau bouger tout son corps apetissant.
-C'est un mensonge ! Personne ne peut me vendre ici ! Je ne suis pas du bétail ! Je ne suis pas à vendre !!!

Elle le fixa d’un regard noir encore un moment avant de baisser les yeux. Ce léger signe de soumission donna une idée intéressante à bleiz. Peut-être qu’il pouvait gagner plus qu’une simple esclave avec cette histoire. Sa main qui avait empoignée son menton descendit et se mit à frôler légèrement sa poitrine.

-Ho ma chérie tout est à vendre. Absolument tout même la liberté. Il suffit d’y mettre le prix.

Il retira son manteau, non sans avoir prix un couteau de sa poche. Puis subitement il força un baiser violent et sauvage. Il enfonça sa langue dans la bouche sa prisonnière et toucha violemment la sienne. Il retira sa bouche et dit :

-Est tu prête à y mettre le prix ?

D’un coup de couteau il ouvrit son chemisier et laissa apparaître ses deux énormes seins qui rebondirent de la violence de l’ouverture. Il posa son couteau et malaxa avec ardeur ses magnifiques sphères de chair. Il descendit son visage et se mit à les lécher et à les mordiller.

Il se permettait tout. D'abord de l'appeler "ma chérie", puis de la tripoter sans aucune pudeur. Honey retint un soupir lorsqu'il lui caressa la poitrine, se contentant de baisser la tête pour éviter qu'il ne vit ses pommettes rougir.

Malgré tout, la soumission était évidente. Elle n'avait pas le dessus. Bon, ça ne changeait pas tellement de d'habitude... Mais les circonstances étaient bien différentes... Elle se serait presque cru dans une technique de SM particulièrement bien menée. Peut-être cet homme était-il friand de ce genre de pratique ?

« Je ne veux pas... »

Honey releva la tête, tandis que Bleiz s'affairait, et fut surprise par des lèvres chaudes et douces qui se posèrent brusquement sur les siennes, par surprise, accentuant la soumission et déclenchant encore un peu de détresse dans le coeur de la Terranide.

Des larmes commencèrent à rouler sur ses joues, alors que Bleiz forçait l'entrée de sa bouche, et commençait à enrouler sa langue autour de la sienne.

Quand ce fut fini, la Terranide avait les genoux pleins de larmes.

« Laissez-moi partir... S'il vous plaît... »

Elle implorait. Elle ne pouvait faire que ça. Pas de cris. Plus de colère. Juste implorer. C'était ce qui lui allait le mieux, ce petit visage brouillé par les larmes, qu'elle ne retenait même plus.

Finalement, la détresse présente dans son coeur explosa sur son visage lorsque son agresser arracha le peu de vêtements qu'elle possédait sur sa poitrine. Il ne lui restait plus que sa jupe, et elle était toujours dans l'incapacité de remuer les mains.

« Non !!! »

Les caresses que lui offrait avec violence cet homme, ne pouvait que signaler qu'il ne serait que plus violent par la suite. Honey savait à quel type d'homme elle avait maintenant affaire. Elle ne retint plus ses soupirs : des gémissements de crainte mêlés à du désir.

Bleiz était comme fou. Malgré ses protestations et ses pleurs, il continuait à malaxer la poitrine de sa prisonnière avec désir. Il remonta ensuite et la força à l’embrasser. Sa main descendis vers sa jupe, l’agrippa, et d’un coup sec il la lui arracha. Elle était désormais nue devant lui. Il lui chuchota à l’oreille

-Tu as vraiment un corps magnifique.

Elle ne répondit rien elle continuait à gémir. Il sentait la crainte dans ses gémissements mais il sut reconnaître la respiration saccadée du désir. Intéressant. Donc cette jeune fille semblait apprécier de se faire violer ainsi. La main qui avait arraché la jupe se mit à lui caresser l’intérieur des cuisses. Il continua à lui chuchoter à l’oreille.

-Je parie que tu en as autant envi que moi.

Il se mit alors à légèrement lui caresser le sexe. Il fit des petits cercles sur son clitoris avec douceur. Il sentait à sa respiration qu’elle était loin de ne pas apprécier. Il voulait qu’elle l’avoue. Il voulait qu’elle le supplie de la prendre afin de complètement la posséder. Il enfonça son index à l’intérieur d’elle et dit

-Allez dit-le. Dit le que tu as envi de moi. Que tu veux que je te prenne.