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Négociations diplomatiques [Cyriel Raffaëlli]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Le dragon doré poussa un rugissement devant les soldats, contraignant ces derniers à s’écarter prudemment.

« Léviathan n’aime pas qu’on s’approche trop près de lui, mes petits gars. Si j’étais vous, j’éviterais de promener vos lances devant sa gueule, ça lui donnerait envie de vous cramer le cul. »

Les soldats obtempérèrent, n’ayant nullement envie de se faire cramer. Tywill esquissa un léger sourire, avant de lourdement s’avancer vers eux. Dans son armure, il était toujours impressionnant. Un colosse de plus de deux mètres, et qui pesait bien plus de cent kilos de muscle. Une machine de guerre, qui portait, avec son armure noire, un marteau doré, celui de Sylvandell. Une arme magique qui disposait d’un pouvoir terrifiant. Plusieurs Commandeurs l’accompagnaient, mains sur le pommeau de leurs épées, tandis que, au milieu de la délégation sylvandine, Alice observait son père et les environs, légèrement gênée. Elle portait sa tenue de diplomate bleue, avec une petite épée dont la lame était incrustée de gemmes. Elle suivit Tywill le long du chemin menant vers le donjon du Castel, là où les attendait le régent Fabbio Strenza-Raffaëlli, et la Princesse, Cyriel Raffaëlli. Curieux nom pour une princesse, mais, quand on dirgeait un royaume s’appelant Castelquisianni, ce n’était pas très étonnant.

Politiquement neutre, ce petit royaume était rattaché à Nexus, le grand ennemi d’Ashnard, et donc de Sylvandell, État qui se rattachait à l’Empire. Le royaume se situait à l’est de Nexus, ce qui le rapprochait des lignes avancées des forces impériales, les plus lointaines colonies. Les différents informateurs et espions ashnardiens attestaient que, derrière sa politique de neutralité, Castelquisianni soutenait militairement Nexus. L’Empire envisageait d’affaiblir Nexus, et, pour cela, de s’en prendre à ses alliés. En soi, Castelquisianni n’était pas un royaume particulièrement important, car il était petit, et disposait d’une faible puissance militaire, se reposant exclusivement sur les troupes nexusiennes, mais comptant aussi sur sa faiblesse militaire pour être épargné par les puissants conflits. Les Ashnardiens avaient donc décidé d’attaquer, en envoyant Sylvandell se charger exclusivement du siège.

Dès le début, Castelquisianni n’avait pu faire grand-chose contre les dragons de Sylvandell. Dans la mesure où le royaume était insulaire, les dragons étaient particulièrement efficaces, brûlant les tourelles de défense, s’attaquant aux phares, et incendiant les navires, imposant un blocus maritime particulièrement efficace, soutenant quelques galères ashnardiennes qui avaient remonté le fleuve pour couper Castelquisianni du monde, veillant à empêcher que les habitants préviennent Nexus trop rapidement. Le siège avait duré quelques semaines, jusqu’à ce que des négociations aient lieu. La Specia, caserne militaire de Castelquisianni, n’était pas préparée à repousser des dragons, tout comme l’armée du royaume.

Tywill Korvander était venu en personne, avec sa fille, afin de procéder aux négociations diplomatiques. Sylvandell avait pillé plusieurs navires marchands, jusqu’à ce que Castelquisianni capitule. En théorie, Nexus serait bientôt au courant, et enverrait probablement des renforts. Il fallait donc obtenir rapidement des garanties certaines de soumettre le royaume. L’idéal aurait été de capturer la princesse des lieux, Cyriel, qu’on disait être une femme assez cruelle, et au charme... Particulier. Tywill menait la marche, suivant les gardes, nullement inquiet. Les dragons tournoyaient dangereusement dans le ciel, prêts à transformer Castelquisianni en un immense incendie, si jamais les insulaires décidaient de rompre les négociations.

Alice était curieuse de rencontrer Cyriel. Elle avait lu les rapports sur Castelquisianni. Ashnard avait un excellent service d’espionnage, et elle avait ainsi appris, outre les banalités classiques sur Castelquisianni, qu’il y avait un secret entourant Cyriel, quelque chose qui était passible de la peine de mort, et des pires sanctions prévues dans le royaume. Cependant, les espions n’avaient pas pu en savoir plus. On disait que Cyriel était une femme assez cruelle avec ses prisonniers, et passablement capricieuse. Il y avait deux dirigeants dans le royaume : le régent, qui, en théorie, dirigeait le royaume sans restriction, et la Princesse, qui limitait sérieusement son pouvoir. Castelquisianni reposait sur une philosophie tekhane, accordant une grande importance à la femme. C’était ce qui, en définitive, expliquait la présence de la Princesse ici.

Ils entrèrent dans le donjon, et rejoignirent la salle du trône, où les attendait les deux dirigeants de Castelquisianni. Alice était juste à côté de son père, et put ainsi voir Cyriel. Elle était... Troublante, en effet.

« Moi, Tywill Korvander, Élu du Dragon d’Or, Roi de Sylvandell, descendant direct d’Erwan Korvander, atteste de ma présence pour l’établissement d’un traité de paix entre nos deux royaumes. A mes côtés, se trouve ma fille, la Princesse Alice Korvander. »

Tywill parlait d’une voix forte et grave.

Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Re : Négociations diplomatiques [Cyriel Raffaëlli]

Réponse 1 samedi 02 novembre 2013, 04:34:46

-Il faut vous lever votre altesse, les négociations avec la délégation Ashnarienne vont débuter dans moins de deux heures.

Je déteste ça. Être réveillée trop tôt le matin : il est seulement dix heures ! Que l'on soit en temps de guerre ou non, je m'en fiche. Ça n'est pas la première fois que Castelquisianni est attaqué par des pillards. Pour ne rien arranger, j'ai passé une très mauvaise nuit : Fabbio a insisté pour que je sois gardée par un de ces Spostanacci. Tout dans ces créatures est déplaisant ! À commencer par leur nom, un mot compliqué pour dire golem. Un assemblage de morceaux de métal vaguement humanoïde, une sorte de pantin cuirassé, d'un mètre cinquante de haut. J'ai tout fait pour le rendre élégant, j'ai demandé à ce qu'on le peigne en bleu et qu'on lui ajoute des dorures. Mais rien n'y fais, rien ne peut y faire ! Ce truc a une chaudière dans le dos ! Le bruit m'a tenu en éveil pendant des heures. Je déteste les mages incapables qui ont inventé cette chose. Heureusement, elle m'obéit au doigt et à l’œil... sauf quand je lui demande de s'éloigner à plus de quinze mètres.

Je me retourne dans mes draps roses, et enfouie la tête contre mon oreiller. Malgré l'insupportable feulement de la vapeur que je devine provenir du Spostanacci, à l'entrée de ma chambre, j'entretiens un instant le fol l'espoir de me rendormir... On me laisse ainsi une dizaine de minutes, je crois, mais elles me paraissent passer bien vite. Puis j'entends de nouveau l'appel, plus insistant, de mon valet.

-Votre altesse...
-Spostanacci, cet individu me fait chier. FAIS LE DEGAGER, je réponds crescendo.
-Votre altesse...
-T'U M'AS POURRI MON REVEIL.

Je me contente de constater un bruit de pas lourds mais rapides qui s'approchent, et une exclamation plaintive en provenance du serviteur. Les deux grands pavois d'acier qui parent les bras de la créature de métal le repousse, et il n'a d'autre choix que de reculer. À contrecœur, je m'extraie de mon cocon, et je m'assoie sur le rebord de mon lit. Avec un air las, j'ordonne :

-C'est bon, j'ai plus envie de dormir.

C'est au tour de la révérante Colocheci, une vieille femme plissée, de me faire la leçon alors que je prends mon petit déjeuner, ou plutôt les quelques fruits supposés me faire tenir encore une heure. Je déteste ça. Qu'on me parle pendant que je mange.

-Les troupes de Tywill Korvander sont en nombre important, mais celui-ci serait rendu inutile par le fleuve s'ils n'avaient eu des dragons. Impossible pour la Specia de les mettre en déroute, ou même de tenir un siège sur la durée avec de tels monstres. Aussi il a été décidé de limiter au maximum toute exposition de nos propres soldats, afin de minimiser au maximum les dégâts matériels et humains. Cependant, la chose déterminante, celle qu'il faut prendre en compte, c'est qu'ils bloquent toutes nos routes. Les pertes engendrées par l’arrêt du commerce pourraient aisément être plus conséquentes que celles qui découleraient d'une éradication de toute notre caste militaire. Les négociations vont certainement aboutir à...
-Pourquoi tu m'infliges ça ? C'est Fabbio qui va les mener, tes négociations. Je ne sais même pas à quoi je sers. Hé, tu penses que je pourrais leur acheter un dragon ? Ça pourrait remplacer ce truc. Signe de la main vers le Spostanacci.
-Je l'ignore votre altesse. Je ne vous le conseille pas. Ce sont des monstres féroces.
-On s'entendrait alors. Entre monstres féroces. Bon. Qu'on aille me chercher mes fringues.

Malgré le service d'une coiffeuse et d'une maquilleuse qui s'activent pour rattraper le retard, me préparer prend une bonne heure. Heureusement, comme d'habitude, j'ai plutôt fière allure. Une robe jaune, dans la tradition Castelquisianne, ce qui signifie en langage commun horriblement lourde et encore plus horriblement chère. Trois couches des étoffes les plus précieuses rien que pour la jupe, des rubans et des pierreries à ne plus savoir qu'en faire... Montrer sa richesse est indispensable pour une princesse comme moi. Comme à chaque fois, je me sens belle, et en même temps terriblement entravée.

On ne peut pas dire que je m'inquiète, alors que la grande aiguille de l'horloge entame les derniers tours avant l'heure prévue des négociations. J'entends le personnel se hâter partout dans le Castel. Je ne retrouve Fabbio quelques instants plus tard. C'est toujours le même bel homme, très raffiné, dans la quarantaine, une peau claire, des cheveux blonds, une barbe rase et bien entretenue. Il a un visage fin, le visage de quelqu'un d'intelligent... on se ressemble un peu, en somme. Je ne sais pas si c'est mon père. Je m'en fiche. Ce qu'il porte vaut au moins aussi cher que ma robe. Il a toujours aimé l'argent. Mais pas autant que le pouvoir ; sinon, je suppose qu'il se serait contenté de devenir marchand et de faire fortune comme tous les Castelquisians de bonne famille. Lui aussi est accompagné d'un Spostanacci armé de deux pavois, qui le suit de loin. De suffisamment près pour pouvoir le rejoindre d'un seul bond puissant, j'imagine.

Je m'avance à côté de lui, et nous marchons jusqu'aux ashnardiens. Je ne me gène pas pour les observer. La plupart correspondent bien à la vision que la plupart des gens en ont. Des brutes en armure dont la subtilité est loin de sauter aux yeux. Les miens restent fixés sur l'anomalie du tableau. Une jeune femme somptueuse, dans une robe légère. Je me demande ce qu'une telle perle fait dans un si grossier paysage. Malgré ses allures royales, j'en viens à espérer qu'il ne s'agit que d'une quelconque servante. Je sens ma jalousie monter en flèche en apprenant qu'il s'agit de la fille du despote. Poitrine, hanches, visage délicat, longue chevelure blonde, je détaille avec envie. Rien à voir avec son père, l'évidence est tout ce que je lui accorde.

Finalement, Fabbio s'incline bien bas devant le roi de Sylvandell, une révérence, tout un art dans la principauté, maîtrisée à la perfection : le pied droit très avancé, le bras droit allant former un angle droit au niveau de la taille, les genoux fléchissant, la tête et le buste courbés tout en gardant ce dernier bien raide. Dans le protocole Castelquisian, une courbette de ce type indique que l’exécutant se place dans une situation hiérarchique inférieure. Pour un régent, l'usage en est presque exclusivement réservé à l'égard des monarques aux grosses armées, ainsi qu'au mien. Tout un pataquès. L'étiquette m'ennuie. Je fais quelque-chose de plus simple.

-Soyez le bienvenue à Castelquisianni, ô Tywill Korvander, illustre suzerain de Sylvandell, puissant meneur d'hommes, maître des plus terribles dragons. Je suis Fabbio Strenza-Raffaëlli, régent, et voici...
-Cyriel Raffaëlli, princesse de Castelquisianni.

Je sais que Fabbio m'assassine en son for intérieur pour l'avoir interrompu, mais il ne montre bien sûr rien de sa vexation. Je l'ignore, mon regard, sans être trop fixe, reste concentré sur mon homologue de l'autre camps. Quand la discussion reprend, j'ose même lui adresser un sourire.

-Nous avons le soucis absolu que les négociations se déroulent dans les meilleures des conditions... Mais nous avons également celui de rendre votre séjour le plus agréable possible. La guerre éprouve les plus robustes des combattants. Soufreriez-vous ainsi que l'on vous offre humblement un repas céans ? L'heure s'y prêterait.

Je sais que la table, à l'intérieur du castel, est déjà recouverte d'une nappe en soie grise et or, et que les plats n'attendent plus qu'à être servis.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Négociations diplomatiques [Cyriel Raffaëlli]

Réponse 2 dimanche 03 novembre 2013, 03:19:57

Cyriel était une belle jeune femme avec de beaux yeux bleus, qui semblaient encore plus clairs que les siens. Restant silencieuse, à côté de son père, les mains jointes dans son dos, la Princesse s’attardait surtout sur cette femme, détaillant sa belle robe. Les couturiers nexusiens étaient réputés pour faire des robes à la fois simples et complexes, et Alice en savait suffisamment sur la mode pour savoir que les tisserands ashnardiens s’inspiraient toujours des grands couturiers nexusiens, sans oser l’avouer. Les démons n’étaient pas très doués pour ce qui concernait l’élégance et la sophistication. Ils avaient plutôt pour habitude de faire des vêtements moulants et serrés en cuir ou en latex. Cette épaisse robe jaune recouvrait tout le corps de Cyriel, et elle était si épaisse que la jeune femme paraissait minuscule dedans. Parlant sur un ton très protocolaire, l’homme à côté d’elle, qu’Alice identifia comme étant Fabbio Strenza, le régent de Castelquisianni, se mit à parler. Le ton était honnête, sincère, motivé, et Alice l’observa brièvement... Avant que la Princesse ne l’interrompe. Alice détourna son regard vers la femme, et comprit rapidement qu’elle intéressait Cyriel. D’un autre côté, au milieu d’une cohorte d’hommes en armure, Alice détonait dans le paysage, surtout face à son père, une véritable montagne de chair et d’acier.

« Nous avons le soucis absolu que les négociations se déroulent dans les meilleures des conditions... Mais nous avons également celui de rendre votre séjour le plus agréable possible. La guerre éprouve les plus robustes des combattants. Soufreriez-vous ainsi que l'on vous offre humblement un repas céans ? L'heure s'y prêterait.|/b] »

Tywill hocha silencieusement la tête, et s’avança un peu, avant de répondre, d’une voix forte et bourrue :

« Je ne serais pas contre l’idée de grailler un peu, j’ai la dalle. »

Alice rougit très légèrement. Le ton protocolaire et diplomatique de son père était vite parti. Après tout, Alice savait que les Sylvandins, même s’ils n’étaient pas chez eux, étaient en position forte ici. Face à des îles et à des puissances maritimes, les dragons constituaient un vrai cauchemar. Les bateaux étaient des cibles très faciles à atteindre, car ils étaient assez gros, et se déplaçaient lentement. N’importe quel individu censé savait donc que, face à des troupes maritimes, les dragons étaient redoutables.

Le cortège s’avançait donc vers la salle de réception dressée par les Castelans. La Princesse sentait qu’elle allait sûrement pouvoir se rapprocher de la Princesse de Castelquisianni. Entre Princesses, elles devaient avoir des choses à se dire, et Cyriel avait un certain charme... Que ce soit ses cheveux argentés, ou ses profonds yeux bleus, elle pouvait tout à fait intéresser Alice. Si Cyriel était capricieuse, Alice pouvait s’entendre avec elle. Elle était connue pour être le « Joyau de Sylvandell », une belle blonde capricieuse qui avait demandé à ses Commandeurs de lui rapporter des livres depuis les bibliothèques du monde entier, y compris dans d’autres mondes. La Princesse se rapprochait donc de Cyriel quand elle sentit une main se peser sur son épaule.

Tournant la tête, la jeune femme vit la silhouette en armure d’un de ses gardes, Melendil, un bel elfe qu’elle avait trouvé il y a quelques mois de ça. Melendil lui avait sauvé la vie lors d’une soirée festive publique qui avait dégénéré en une tentative d’assassinat, et elle l’avait récompensé à sa manière... Avant de le convaincre de la suivre, et de rejoindre les gardes d’Alice. Melendil, officiellement, était un soldat de la Garde royale de Sylvandell, et, en réalité, avait tendance à obéir à Alice, plutôt qu’à Tywill, son suzerain légitime, en vertu des lois gouvernant Sylvandell. Quand Alice serait Reine, elle savait que l’un de ses premiers décrets serait un décret individuel faisant de Melendil l’un des membres d’une garde spéciale qu’elle créerait, exclusivement attachée à la protection de sa personne... Ainsi qu’une cour de dames d’honneur. Il lui était très difficile de se priver des belles lèvres de Melendil. Elle tourna donc la tête vers lui, songeuse, et l’homme lui parla :

« Il y a quelque chose de curieux avec cette Princesse... Avec sa voix... »

Alice cligna des yeux. Que voulait-il dire ? La Princesse n’avait rien noté de particulier, mais Melendil, après tout, était un elfe. Ses oreilles sensibles percevaient des sonorités qui lui échappaient. Il haussa les épaules, et s’avança. Alice vit que son père s’était rapproché de Fabbio, et elle choisit de s’approcher de Cyriel. De ce qu’elle en savait, la jeune femme aux beaux yeux azur était plus jeune qu’elle. Et la Princesse avait noté que le regard de Cyriel s’était surtout attardé sur elle.

« Hey ! s’exclama-t-elle en lui souriant. Je peux m’asseoir à côté de toi ? Après tout, nous sommes toutes les deux de jeunes Princesses isolées... »

Elle ignorait comment Cyriel se comportait, quel était son tempérament, son humeur... Se rapprocher d’elle serait la bonne occasion de le savoir.


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