Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

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Léona & les Artistes

Légion


Zed

La nuit était d'un froid glacial. Dans la pénombre, on ne voyait que le voile blanc de neige dont s'était enveloppé les alentours. La lueur des lampadaires éclairait faiblement les rues. Certains faiblissaient un peu, clignotant presque, ajoutant un charme presque effrayant à la nuit. Il n'y a pas âme qui vive dans les rues. Pas un homme, pas un chat,  rien. Tout n'était que neige et calme. Du moins, aux premiers abords... Un policier est en ville. Inspecteur Roswald Heist. Penché sur une affaire particulière depuis des jours, il réfléchissait à comment trouver son coupable. Il monte les marches de l'immeuble et arrive à cet appartement... Quand il antre, la pièce et toujours la même. Il soupire longuement... Le sang a giclé sur les murs comme des jets. Les flaques au sol laissent deviner combien de temps ces jeunes avaient été là... Quatre ados dont une femme, entre la vingtaine et la trentaine. Une fête entre amis... la musique avait animée leur soirée mais aussi cachée leurs cris. Le verrou de la porte était un des seuls endroits non tâché par le liquide écarlate, montrant bien une chose: Aucunes des victimes n'avait eut ne serait-ce que le temps d'attendre la porte. Il imagine la scène, leurs cris... Cette scène de crime avait été vue et revue de fond en comble. Pourtant il avait cette impression de passer à côté de quelque chose... Son instinct lui dit de regarder les lieux... Et il remarque une chose: Quelque chose ne va pas. Du côté de la cuisine, c'est le bordel comme partout mais il voit quelque chose... Un produit en particulier un peu éloigné des autres droit. Le hasard? Non. Il le regarde et le prend dans sa main gantée... Du sel? En tournant la chose, il voit alors qu'il y a une empreinte dessus... Une emprunte pleine de sang... Le tueur avait utilisé du sel!? Roswald prend une grand inspiration et sort vite de là. Il dégaine son téléphone et dehors, finit de composer le numéro. Tandis qu'il s'apprête à porter son téléphone à son oreille... Il est violemment percuté par une ombre! Attiré dans un coin sombre, son téléphone tombé au sol à la sortie de l'immeuble, il est sonné d'une telle intervention et voit alors un homme. Un jeune homme au look de gangster qui lui monter le récipient de sel. Il le range dans sa poche tandis que l'inspecteur sourit

"C'était toi le tueur gamin!? Les flics seront là d'une minute à l'autre, t'es foutu! le jeune homme souriait sous son bandana. Il ricane un peu et lui répond

-Héhé! Je vais t'expédier à l'étage d'en dessous mon pote. Et quand t'y seras, je te conseille de poser ton gros cul dans un siège et de préparer tes mouchoirs. Parce que tu va tirer la gueule quand tu verras tes collègues faire une liste des personnes avec des animaux dangereux!"

L'inspecteur ne comprend pas. Mais bien vite, il pâlit quand le bandana du jeune homme se retire et dévoile deux rangés de crocs acérés. Pas une, pas deux, il l'empêche de crier en le mordant violemment au cou, lui arrachant la trachée d'un coup de mâchoire brutal. Ses mains gantées laissent ses griffes dépasser des gants alors qu'il commence à sauvagement mutilé le corps de l'inspecteur. Une oeuvre pareil, ce n'était pas humain... Retirant ainsi le coupable de la liste des suspects!! Ses griffes tailles la chair comme si un chien avait prit appui sur l'homme. Il le mord violemment de ci de là, arrachant le tissu, la chair, tout... Il recrache quelque morceau mais en avale d'autre, pas simple gourmandise. Le corps inanimé de l'inspecteur est allongé dans la neige qui, progressivement, se teinte de rouge. L'expression du visage de l'homme montre clairement qu'il a dû voir l'horreur avant de mourir... Ceci étant fait, l'homme se redresse en remettant son bandana et rangeant ses griffes. Tranquillement, il marche un peu et sort le sel de sa poche. Il regarde ce dernier... Et sourit avant de voir une bouche d’égouts. Il y balance l'objet sans la moindre gêne mais avec un grand sourire satisfait au visage. Un moment déjà qu'il suivait ce connard d'inspecteur et autant dire que le fait de l'avoir vu avec cette preuve lui avait permit de définitivement disparaître de cette enquête tout en se débarrassant d'un emmerdeur. Et puis dans les égouts, qui prêterait attention à ça si, Ô grand jamais un jour, on le retrouvait?

L'homme en question, c'était Zed. Pourquoi quatre victimes? Elles avaient été trouvées massacrés à coups de couteau... Et puis c'était des déchets. Des pourritures qui ne faisaient rien d'autre que polluer le système... Des gens comme lui quoi! Il savait parfaitement que ces personnes ne manquaient pas et qu'elles ne manqueraient qu'à peu de gens. C'étaient des proies faciles alors pourquoi ce gêné? En plus il avait de quoi manger pour un moment avec la chair qu'il avait récupéré~ Car à la base ils étaient six... Mais deux corps n'ayant pas laissés de sang et kidnappés, ça aide une fois coupés~! Quoi qu'il en soit, il avait tué les autres simplement pour laisser penser à un tueur. Mais bon. Il aurait peut être pas dû croquer dans une de ses victimes. Il savait maintenant que la gourmandise n'aidait pas!! Tranquillement, il se dirige vers son quartier mais là, une odeur. Il s'arrête et tourne la tête... Une fille... Une fille était là, juste dans l'allée en face de celle dans laquelle il venait de faire son carnage... Il reste froid, de marbre... Et ses pupilles se rétractent d'un coup, comme un animal. Il sprint à une vitesse étonnante pour rattraper la jeune femme et la plaquer violemment au mur, un bras sous la gorge


"Bordel, t'es qui toi!? Il repense alors à la police. Une seconde à l'autre... Il n'a pas le temps! Il réfléchit un rien et pour dire la vérité, ça l'emmerde! Cette fille à rien demander à la vie... Elle a juste pas eut de bol! Et puis elle semblait jeune... Merde... Il finit par se souvenir qu'il avait déjà retenu en otage des années plusieurs personnes. Un sort pas très enviable mais mieux que de se faire ouvrir la gorge! Il serre donc son bras sur le cou de la jeune fille et lui dit Ok, j'ai pas le temps là: Tu va me suivre ok? Tu va me prendre le bras, cooooomme si j'étais ton copain, ok? Et au moindre faux pas, au moindre mouvement brusque... Je te bute. Ok? Au pire à cette heure là on croise quoi, un couple peut être? En tuer trois ne me dérange pas. Disons que j'ai pas d'intérêts à te tuer et sérieux, ça me ferais chier! Mais si tu m'y force je le fais, compris!?"

Il attendait qu'elle ait bien imprimé ce qu'il dit pour, progressivement, défaire l'appui sur sa gorge, calmement
« Modifié: lundi 11 février 2013, 11:31:56 par Léona & les Artistes »

Asami Yamada

Humain(e)

Asami marchait tranquillement dans la nuit, la cadence lente de ses pas marqués par le bruit de la neige qu’elle écrasait délicatement. Elle revenait de la maison d’une amie, chez qui, après cette soirée, elle se dit qu’elle aurait du dormir, mais bon, ce n’était pas prévu, et elle se consolait à la vue de ce spectacle : La faible lueur de l’éclairage publique sublimait la neige, la révélant partout où elle était sans gâcher par excès la magie de cette tranquillité, et, déjà bien heureuse du début de cette nuit passé en bonne compagnie, la jeune fille profitait pleinement de cette atmosphère enivrante. Tout cela était légèrement gâché par la relative froideur de cette nuit, ce qu’Asami n’avait pas prévu comme le prouvait sa jupe et ses collants qui ne savaient la protéger de la morsure de l’hiver, et ce froid l’envahissait malheureusement, ce qui la faisait grelotter. Elle en vint même à faire ce geste ô combien symbolique des belles nuits enneigées, celui de souffler longuement sur ses mains jointes. Elle se concentra sur ses mains, y voyant son souffle se glacer, et s’y émerveillant comme une enfant, elle perdit son chemin des yeux pour un long moment.

Cependant elle fut tirée de cette scène mignonne par un homme qui sortit d’un immeuble en face. Asami dut avouer avoir légèrement peur, en pleine nuit, de voir cette personne voilée d’un long manteau, se remémorant presque instantanément toutes ces histoires sordides qu’on pouvait lire ou entendre dans les journaux, selon leur format...Mais il s’arrêta simplement sur le pas du bâtiment dont il sortait, et dégaina un portable qu’il se mit à tapoter, rassurant par la même la jeune fille. Elle en détourna alors son regard, son cœur reprenant peu à peu un rythme plus normal, ayant plus ou moins honteusement, se dit-elle rétrospectivement, paniqué pour rien. Mais quelques instants plus tard, alors qu’elle passait presque en face de l’homme, elle entendit un lourd bruit de chute accompagné du bruit typique de la neige qu’on écrasait, cependant bien plus fort que celui de ses pas. Se retournant brusquement vers l’homme - Devinant qu’il s’agissait de lui, elle n’avait vu personne d’autre jusqu’ici - elle faillit se précipiter vers lui pour l’aider, lui demander si tout allait bien, mais dès qu’elle posa les yeux sur sa silhouette, elle réprima un cri de surprise car celle-ci n’était pas seule. Un autre homme était au dessus de lui, un look bien moins « classe » que celui à l’imper’, proche d’un gangster typique, couvrant même sa bouche d’un tissu, et le plus choquant était qu’il l’agressait.

Alors qu’Asami ne paniqua au début « que » pour une simple agression - peut-être voulait-il lui voler son portable, son portefeuille - et hésita que faire, ces quelques instants d’inaction suffirent pour qu’elle entende des voix, qui l’incitèrent à se diriger vers eux, ces paroles lui laissant peut-être penser qu’elle pouvait raisonner cette situation, en fait elle ne savait pas vraiment elle-même, et la rapidité à laquelle tout cela s’enchaînait ne lui laissera pas le temps de s’en rappeler. Mais après seulement quelques pas, elle se tétanisa, manquant de glisser sur la neige frêle, et laissa échapper un cri malgré qu’elle voulait à ce moment se faire aussi discrète que possible, même disparaître si ç’avait été possible : Le « gangster » avait mordu l’autre homme, non pas au milieu d’une lutte, ni même pour montrer sa détermination ou une quelconque autre idée, mais simplement pour le tuer. Il avait littéralement arraché son cou de ce qui étaient de réels crocs, et maintenant il le transperçait de ses mains, de véritables griffes. Asami sentit ses jambes défaillir, mais elle était si tétanisée qu’elle ne put même pas s’effondrer sur le sol, et tout ce qu’elle arriva à faire fut de monter ses mains à son visage, le cachant des larmes qui coulaient de ses yeux devant l’horreur qu’elle voyait.

Ce devait être un cauchemar, ce n’était pas possible autrement, tout cela était si atroce, si irréaliste, et pourtant si horriblement réel, et la jeune fille souhaitait presque plus se réveiller d’un sommeil ignoble que pouvoir fuir cette scène qui la terrorisait. Ne pouvant détourner ses yeux, n’osant le faire et étant bien trop choquée pour finalement réussir à réellement faire quoi que ce soir, pour son grand malheur, car elle voyait tout cela se dérouler sous ses yeux, le cannibalisme ignoble du « gangster » qui au final était bien plus une bête, un monstre, et de chaudes larmes coulaient jusqu’à ses mains,  ce flot ne semblant vouloir s’arrêter. Le meurtrier finit par abandonner le corps de sa victime, ensanglanté, et lança quelque chose qu’elle ne put distinguer, sa vision se troublant de sanglots. Alors qu’il semblait ne plus avoir rien à faire ici, il sembla partir, ce qui ravit Asami, bien qu’au fond son visage était toujours empreint de terreur et son corps de tétanie, se disant que peut-être elle avait échappé à un sort funeste, mais après seulement quelques pas, il se figea et la regarda presque instantanément. Elle crut mourir à cet instant, car au fond elle pensa que c’était désormais ce qui l’attendait, mais cette réalisation fut peut-être le déclic qui lui permit de courir aussitôt vit-elle le monstre se diriger vers elle, mais elle fut vite rattrapé, ce qui ne l’étonna malheureusement pas réellement, bien que le temps qu’il avait mis pour le faire était excessivement court, surhumain.

Il l’arrêta en pleine course, la propulsant contre un mur et l’y plaquant, y raclant légèrement son visage et y essuyant une partie de ses larmes, faisant voler ses cheveux comme son écharpe tant cela fut rapide. Elle sentait le bras du meurtrier sur sa gorge, manquant de l’écraser, et n’osait même pas bouger les siens, à quoi bon, puisqu’elle savait ce dont il était capable : Elle n’avait aucune chance. Fermant les yeux de peur, ou plutôt n’osant les rouvrir après qu’ils se soient fermés lors du choc, elle s’attendait à une vive douleur, ses larmes coulant sur son visage comme jamais, et ses lèvres tremblant de peur alors que s’en échappaient de pitoyables sanglots, mais l’attaque de l’homme ne vint pas, et ce fut sa voix qui la sortit de cette incertitude quant à son destin. Il lui demandait qui elle était. Qu’est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? Il ne voulait certainement pas la tuer s’il lui demandait ça, mais la situation actuelle n’aurait pu la rassurer de cela. Dans un mouvement qui lui arracha un léger cri largement étouffé par la pression sur son cou, il renforça celle-ci et lui parla à nouveau, cette fois bien plus longuement, et elle mit un moment avant de comprendre ses phrases, ne parvenant à se concentrer dans cet état, et après un léger moment de silence, il relâcha progressivement son emprise sur elle. Que lui voulait-il enfin ? Et puis était-ce seulement sage de le suivre ? Mais il semblait ne pas vouloir sa mort, alors elle ferait sans doute mieux d’obéir.

Pitoyablement, elle fit quelques courts pas pour s’éloigner du mur, sanglotant toujours, et se résolu à lui accorder sa confiance, enfin au moins, décida que lui obéir était sûrement la plus viable des solutions. Elle s’approcha de lui, timidement, apeurée, fuyant son regard, le visage baissé, et glissa lentement sa main le long de son bras, n’arrivant presque pas à le distinguer de sa vision troublée, et finit par atteindre ses gants. Comme il le lui avait demandé, elle se saisit de sa main, glissant ses doigts dans les siens, et les serrant de crispation.

« S’il vous plaît...Ne me faites pas de mal... »

Elle avait dit cela d’une voix sanglotante, en tout point pitoyable, bien que douce, mais cela était du à son brin de voix et non à sa façon de parler qui, comme tout chez elle actuellement, ne saurait laisser une once de place à la gaieté. Réalisant son piteux état, la partie du visage faisant face à son agresseur légèrement teintée de sang et de blanc, sa douce peau malmenée par le « plaquage » qu’il avait opéré sur elle, elle entreprit de sa main libre de l’essuyer de sa manche, n’ayant dans cette situation que peu de considération pour la propreté de ses affaires, et en profitant pour effacer de son beau visage ses larmes, leur flot s’étant légèrement calmé alors qu’elle perdait l’air pleurnicheur qu’elle arborait depuis maintenant quelques instants.

Léona & les Artistes

Légion

Un témoin. Dans la liste des choses les plus chiantes qui existaient, c'était la troisième dans la liste avec devant lui les belles mères et les ex-femmes. En soupirant d'agacement, il réfléchissait donc à ce qu'il pourrait faire d'elle. Tout d'abord, il imaginait la solution si elle le suivait. C'était après tout la solution qui lui paraissait la plus plausible. Elle paraissait terrifiée, elle n'aurait pas le courage de se tirer. Mais aussi, il devrait gérer cette panique... Première solution: La consoler. Mais pas tout de suite. Il devrait juste se contenter de la rassurer et ensuite il s'occuperait de voir si il en faisait une amie ou une soumise. Tout dépendrait de la jeune femme. En tout cas, il était sûr d'une chose: C'était une otage avant tout. Et la garder aussi bien en bon état que près de lui, c'était son principal objectif. Il pourrait la garder captive chez lui non? Et éventuellement, la droguer tellement fort qu'elle oublierait cette soirée... Mais pour ça, il aurait besoin de certains produits et il devrait attendre plusieurs jours pour être livré... Mais au moins ce serait fait! La deuxième solution? C'était si la jeune fille essayait de fuir. Là, il n'aurait clairement pas le choix, il lui briserait la nuque en faisant une mise en scène de chute accidentelle. Mais bordel, que ça le ferait chier de tuer la pauvre jeune fille... Mais bon. Elle avait décider d'obéir! Il le su quand elle lui prit la main... Lentement, il lui sourit et vient lui serrer la main, son visage caché par son bandana toujours. Elle est obéissante, c'est bien... Il finit alors par calmer un peu sa rage et marche avec elle vers les quartiers qu'il habite. Les pas du jeune homme sont calmes et il finit par dire

"Très bien dans ce cas... Reste calme, reste concentrée. Souris ok? Sinon tu va attirer les soupçons. Alors maintenant respire... Je ne te ferais pas de mal. Contente toi de me suivre. On va parler même d'accord? Aller princesse, tu t'appelle comment? Tu aime quoi dans la vie?"

Il restait calme mais suspicieux quant aux alentours. Ils étaient à une dizaine de minutes de chez lui. Assez pour éviter d'être sur la liste des éventuels témoins et suspects. Il marche donc avec la belle femme à ses côtés, son pouce caressant sa main pour rassurer la pauvre petite. Il n'aimait pas tuer les femmes, encore moins les jeunes... Rester calme, c'était ça le truc. La rassurer, la mettre de son côté... Il s'applique à cela tout en restant bien contre elle, semblant presque avoir un comportement très affectueux ne venant pas de la couverture qu'il avait décidé d'emprunter avec cette fille.
« Modifié: lundi 11 février 2013, 11:30:53 par Léona & les Artistes »

Asami Yamada

Humain(e)

Asami se contentait de suivre le meurtrier, n’osant le contrarier en quoi que ce soit, bien que même ainsi, elle traînait légèrement à le suivre : Il marchait vite, et la jeune fille elle n’était pas dans l’état de vraiment le faire, aussi se contentait-elle de garder un air naturel - Du moins, autant que possible avec une moitié de visage égratignée, celui-ci humide de ses larmes effacées, le tout après avoir vu un meurtre cannibale. Marchant quelque peu derrière lui, lorsqu’elle en était trop éloignée, trouvant la force d’accélérer pendant quelques instants, elle pouvait l’observer. Non pas qu’elle voulait pouvoir le reconnaître plus tard, non, elle ne pouvait pas décemment le faire dans cet état, et, actuellement, son seul objectif était de le contenter pour qu’il ne lui fasse rien, mais elle souhaitait simplement en savoir plus sur lui, peut-être comprendre quelque chose dans ce qui ressemblait à un cauchemar. Parvenant lentement à se calmer, réprimant à plusieurs reprises des crises de larmes et forçant ses jambes à les traîner à la suite de son agresseur, elle parvint finalement à penser clairement.

Il avait l’air typique d’un « gangster » de ces vieux films américains, une chemise sur un tee-shirt, un jean, un bandana, des gants de cuir...Au fond, ses crocs cachés, il pourrait presque passer pour un simple délinquant, au plus imposant par sa taille, mais rien ne laissait présager de ses capacités - sans parler de ses envies - tout sauf humaines. Pour autant, il était difficile de faire le lien entre la bête qu’Asami avait surprise en train de se nourrir sur un être humain après l’avoir odieusement assassiné et cette personne, car bien que son apparence n’était pas bien engageante, elle n’avait rien d’horrible, et, en ce qui concerne la lycéenne, ses actes étaient bien opposés à cette barbarie. Son contact était chaud et rassurant, d’autant plus dans cette nuit noire et froide, et elle se surprit même, le rattrapant peu à peu, à se blottir contre son bras, bien que c’était en partie un réflexe du au froid la gagnant, elle parvenait si peu à le diaboliser maintenant qu’elle marchait à ses côtés et n’y voyait presque pas de problème. Par ailleurs, il semblait en profonde réflexion, sans doute sur son cas, raison de plus pour ne pas faire de vague, et préoccupé, sans doute la jeune fille lui posant un cas de conscience, aussi étrange cela puisse sembler après le meurtre. Parfois, il se retournait brièvement vers elle, lui faisant stopper sa respiration, comme s’il évaluait alors sa vie, un tressaillement parcourant horriblement son dos à chacun de ces moments.

Elle grelottait, son souffle poussif et blanchissant à l’air, ses dents s’entrechoquant par moments, et, n’osant s’en plaindre, elle résolut le problème par elle même, se plaquant maintenant presque entièrement contre le bras de son agresseur, son autre main se plaçant au niveau de son coude pour le tirer à elle, le gant de cuir effleurant par moment le manteau noir d’Asami qui lui arrivait un peu au delà  de mi-cuisse. Sa chaleur la parcourait, la réconfortant et l’enivrant au milieu de toute cette neige, il avait d’ailleurs étrangement peu froid, comme si tout cela ne l’atteignait pas. Tout cela devenait si confus, elle ne savait plus si elle jouait la comédie ou si elle avait fait ça de son propre chef, si elle n’avait pas halluciné et qu’un étranger la raccompagnait chez elle...Mais au fond, son comportement n’en changerait pas tant il était passif.
 Au bout d’un moment, peut-être car il estimait la distance parcourue depuis la scène de crime suffisante, il ralentit, se calmant alors, finissant même par lui adresser la parole. Elle ne sut au départ quoi dire, son envie de discuter à ce moment au plus bas, mais elle n’osait aller à son encontre, aussi se força-t-elle, ne réfléchissant presque pas à ses réponses, pourvue qu’elles soient bonnes. Elle était honnête, mais au fond pas besoin de mentir, et se confier ainsi contribuait à la mettre en confiance, ce qu’elle ne souhaitait pas foncièrement, son interlocuteur la prenant après tout en otage, mais au moins elle parvenait à se calmer...


« Je...Je m’appelle Asami...Je vais au lycée de Seikusu, ici, et...Je fais de la natation...J’aime bien nager... »

Cela l’avait à nouveau fait stresser, craignant qu’elle ait pu commettre une erreur dans une si banale action que de répondre à cette si simple question, mais, acte d’une étrange douceur, il se mit à caresser sa main de son pouce ganté, ce qui la calma et réconforta avec une efficacité presque malsaine vue la situation. Globalement, il se blottissait aussi contre elle, bien qu’elle avait déjà amorcé cela bien avant, et elle s’en sentait d’autant plus en confiance. Peut-être pour ne pas briser cet élan, et ne surtout pas paraître agressive ou dangereuse pour lui, elle tenta de poursuivre. Elle hésita quant à quelle question poser, car elle ne devait pas sembler concernée par son identité, ce qui jusqu’ici lui avait causé d’énormes ennuis, et elle en profita finalement pour aussi en apprendre plus sur son sort, tentant aussi d’apaiser la situation, bien qu'elle se présentait bien plus favorable qu'il y a quelques minutes, d'une manière il fallait l'avouer assez pitoyable, mais quoi d'autre était-elle, actuellement...Elle se pencha faiblement en avant vers lui, tirant légèrement sur son bras pour s'attirer son attention, et, le fixant de ses yeux émeraudes, le supplia :

« Et...Où est-ce que vous m’emmenez.. ? .. Je vous en supplie, ne me faites pas de mal...S'il vous plaît... »

Léona & les Artistes

Légion

Les questions qu'il avait posé à la jeune femme étaient surtout là pour qu'elle ne soit pas trop inquiète et qu'elle voit qu'il cherche à en savoir plus sur elle, qu'il est inquiet pour son sort. Pour l'instant, le seul truc auquel il pense c'est le trajet pour rentrer à la maison! Mais néanmoins, quand elle réussit à parler, il hochait la tête d'une manière un peu distraite. Il écoutait oui, mais il vérifiait aussi si les rues n'étaient pas bourrées de ces sagouins de flics! Même si ils passeraient plus ou moins inaperçus, un agent trop casse-couille pourrait être problématique. En même temps, ce n'est pas tout les jours que l'on voit un couple composé d'une adorable jeune fille et d'un véritable stéréotype d'anarchiste! Son regarde ce perdait de ci de là, cherchant par où il pourrait aller le plus vite... Il prend alors un raccourci, plus qu'à aller ne ligne droite! Tout en faisant ça, il hoche la tête en écoutant la jeune femme, tout sourire

"Oh, Seikusu? J'aime pas trop cet endroit, les drogues qui y circulent tournent souvent autour du cul... De la natation? Mais c'est super ça~! L'eau qui caresse la peau, doucement, qui enveloppe avec amour..."

Il rigolait un petit peu. Pas un rire snob, pas un rire dominateur. Pas un rire méchant. Juste un petit rire d'amusement. Un petit rire guilleret quand il se souvient et tente de se dire ce que les jeunes ont. Cette liberté. Cette splendide liberté de vie... Et qu'il aurait bien voulu avoir sans passer par la case mangeurs d'hommes! Mais bon. Tout a un prix. Il avait raté son évasion, voilà sa punition. Quoi qu'il en soit, il imaginait la jeune femme en maillot en train de nager. Elle devait être belle, divinement belle! Mais là n'est pas la question. la question venait des lèvres de la belle elle même qui demanda ce qu'il comptait faire. Elle paniquait, ça se sentait. Ses gestes étaient tristes et il s'en inquiéta. On aurait dit un chien abattu! Et lui, en tant que chien, il avait été abattu... Il lui prend donc les épaules en se mettant à sa hauteur en se mettant sur un genou, lui prenant le visage dans ses mains gantées

"Wow! Wooow! Wooooooow! Trois sons pour capter son attention, il reprend T'inquiète pas ma puce, je vais pas te démembrer ni rien! Je ne veux pas te tuer, je te l'ai dis.. Je vais t'amener chez moi et on va voir les options entre nous ok? Je te jure que je ne te ferais pas de mal. A la condition, pitié!, que tu ne fasse pas de conneries. Je t'assure que te tuer me ferai mal au cul mais si j'ai pas le choix je le ferai... Ok?"

Il reste calme et finit alors par l'emmener devant un immeuble: Le sien. Il ouvre la porte principale et la verrouille derrière lui. Il y a cinq étages dans cette structure. Chacun étant des appartements payés par des personnes inconnues, qui n'étaient autre que Zed sous différent coup. Il soupira longuement avant de monter au quatrième avec sa douce otage. Il ouvre la porte et la ferme derrière aux à double tour. Un joli immeuble... Mais une particularité: tout les étages étaient reliés!

Le cinquième était un grenier dans lequel il foutait tout son barda, le quatrième étage était un vrai appartement de luxe, le troisième des chambres d'amis, le second une buanderie et le premier, une réserve. Le rez de chaussée laisse croire qu'il n'y a pas le moindre appartement. Et c'est vrai... En partie! C'était un étage secret. C'est là que se trouvait ses plus grands tabous... Des grands frigos dans cette immense chambre froide. Des frigos emplis de chair ne demandant qu'à être dévorer. Deux fours pour cramer le trop... Le bel homme avait néanmoins prit soin de verrouiller l'étage froid pour empêcher la découverte de cela! Passons. Il regarde la jeune fille et la fait s'asseoir sur le canapé, s'asseyant devant elle. Il la regarde, tout calme, finissant par observer sa joue. Il la caresse un peu... Et l'essuie. Il se sent un peu coupable de ça... Pour la peine, pas gêné, il vient commencer à lui retirer son écharpe et la déshabiller, tout simplement, venant dire à la jeune fille


"Asami hein? Va te doucher ma petite princesse. Tu as plein de trucs sur le visage. Je bouge pas de cette salle. On va respirer, manger un morceau pour fêter la fuite de la police et on parlera tout les deux ok? En attendant faisons connaissance tu veux bien~?"

Il sourit doucement à la jeune fille. Son bandana? Retiré. Elle peut voir certains de ses crocs dépasser mais il sourit quand même. Il voulait tenter de la rassurer après tout! Calmement, il était en train de prendre soin d'elle comme une vraie princesse~! Mais elle était jeune ... Et n'avait juste pas eut de chance. Pas de raison de lui faire quoi que ce soit!! Il la regarde et continue de la mettre nue, calme au possible. Dans ses yeux émeraude et son sourire chaleureux, quand il sourit à la jeune fille.. Son air au visage indique un air... presque paternel! L'esclavagisme? Pour quoi faire! Il va tenter de la raisonner et si ça ne marchait pas... Il préparerait ses arguments quand elle serait sous la douche!
« Modifié: lundi 11 février 2013, 11:30:28 par Léona & les Artistes »

Asami Yamada

Humain(e)

Lorsque qu’il aborda sa plainte quant à son sort, il sembla l’avoir pris comme une insulte, bien qu’absolument pas mal, car il ne montrait toujours pas une once d’agressivité ou de colère, mais il voulut immédiatement clarifier les choses, la débarrasser de ses doutes, aussi prit-il même la liberté de s’arrêter un instant, risquant sans doute assez dans sa position de « fugitif », se mettant à genoux devant elle, pour ne pas lui parler depuis sa carrure imposante qui ne pouvait que l’impressionner, et posant ses mains chaudes sur ses épaules. Il ne parlait pas d’une façon préméditée, d’ailleurs assez maladroite, et de ce qu’il disait transpirait l’honnêteté, assez étrangement, et Asami fut tentée de le croire et céda bien vite à cette envie. Elle était bien entendu d’accord pour ne pas lutter, ne pas s’opposer à lui, ceci étant de toute façon stupide, aussi hocha-t-elle lentement la tête après sa longue tirade rassurante, l’agrémenta d’un petit « Oui...D’accord... ».

Il montrait tant de signes de sa volonté de la réconforter, peut-être un peu maladroitement cependant, il fallait l’avouer, qu’Asami le suivait maintenant presque d’elle-même, marchant exactement à ses côtés, serrant son bras contre lui, la tête légèrement posée sur son épaule, pour profiter de sa chaleur sur sa joue, se prétextait-elle. Elle pouvait voir, du coin de l’œil, sa tête régulièrement se tourner vers elle, retournant en vitesse à la surveillance de la rue qu’il scrutait avec attention, et, lorsqu’elle avait parlé, il avait lentement hoché la tête, ne la regardant pas plus, mais alerte à ses paroles. En même temps, il arrivait à la guider à travers cette partie de la ville qu’elle ne connaissait pas, raison pour laquelle elle suivait simplement les mouvements de son bras avec grande confiance, sentiment qu’il arrivait aussi bien avec talent qu’avec maladresse à instiller en elle grâce à ses paroles.

Elle se surprit même, lorsqu’elle se remémora ses paroles précédentes, n’y ayant sur le moment pas réellement réagi, étant alors dans un tout autre état, à presque sourire sur sa remarque quant à la drogue, et au fond elle aurait presque deviné qu’il en consommait, sans doute un préjugé quant à son apparence et au fait qu’il était après tout un meurtrier, mais il parlait avec un tel naturel et une certaine poésie - Exclusivement sur la natation, la drogue s’y prêtant très peu - que l’effet en était là : Elle se sentait rassurée, et serrait contre elle avec encore plus d’acharnement son bras, et son rire, communicatif, lui fit souffler ce qui aurait sans doute été un rire dans d’autres circonstances, ses lèvres s’arquant dans une sourire qu’elle tentait de lui cacher.

Asami ne se détachait pas de son agresseur, aillant de plus en plus froid et, parallèlement, plus confiance en ce meurtrier. Bien entendu, elle n’oubliait pas la scène de tout à l’heure qui lui donnait encore des frissons d’effroi chaque fois qu’elle lui revenait dans un horrible flash, mais elle était de plus en plus convaincue qu’il ne lui ferait pas de mal. En fait, plus que de ne pas lui faire de mal, il semblait s’occuper d’elle, se préoccuper de son état, car au fond ses questions ne servaient sans doute qu’à ça : Son seul intérêt était que la jeune fille ne révèle jamais son identité, pas tant qu’elle devienne son amie, enfin, c’était ainsi qu’elle résonnait. Du coup, elle se rassurait, avec le temps, et, malgré qu’elle ne lui accorde pas une confiance aveugle ni ne croit fondamentalement en son bon-vouloir - Il avait tout de même tué sous ses yeux - elle était prête à admettre qu’il ne se montrerait pas ne serait-ce qu’agressif ou mauvais avec elle.

Après de longues minutes, ils arrivèrent enfin en face d’un immeuble, mais Asami ne s’en rendit compte que c’était leur destination que lorsque le bras qu’elle tenait fermement s’arrêta brusquement devant celui-ci, le regardant alors : Il n’avait pas l’air d’un squat ou quelque chose du genre - Oui, encore une fois, ses préjugés faisaient surface, bien que d’un meurtrier, on aurait pu s’attendre à bien pire - et semblait en réalité plus que normal, l’homme résidant au quatrième étage ( Enfin, c’est là qu’il ouvrit une des portes, mais la jeune fille ne pouvait savoir la vérité ). Lorsqu’elle entra dans l’appartement, elle sentit immédiatement une douce chaleur l’envahir : Il fallait dire qu’elle était à ce moment presque frigorifiée, aillant parcouru bien plus de chemin que ce qu’elle aurait du faire pour simplement rentrer chez elle, et sa tenue relativement légère, surtout sa jupe, n’aidant absolument pas. Aillant lâché son bras, n’ayant plus de mobile apparent pour cela, elle se laissa tout de même guider par son preneur d’otage jusqu’au canapé, où elle s’assit, invitée, vite rejointe par l’homme.

Alors qu’elle n’osait faire un pas vers lui, restant simplement là, immobile, grelottant encore légèrement bien qu’elle se réchauffait lentement, lui le fit, enroulant doucement et sans geste brusque son écharpe, avant de poursuivre avec son manteau. Il lui proposa ensuite qu’elle aille se doucher, ce qu’elle ne pensa même pas à refuser, il fallait avouer qu’après tout ça, ce réconfort serait tout sauf désagréable, et elle ne pensait de toute façon aucunement à lui désobéir, et un déroulement de la soirée qui semblait assez sensé, et qu’elle accepta donc de la même façon, hochant simplement la tête pour signifier son accord d’un bloc, le gratifiant d’un faible
« Oui...Faisons ça... ».

Il se mit lui aussi à l’aise, retirant son bandana, ce qui dévoila sa bouche qui, maintenant, semblait presque normale, au plus de longues dents en dépassant, mais sa vue ne causant aucunement l’effet de sa dernière apparition qui était en fait le meurtre sanglant de tout à l’heure, et le sourire qui la déformait ne permit que de mieux rassurer Asami qui oublia alors la peur qu’elle avait de ses crocs. Cependant, à sa la surprise de la jeune fille, il continua de la déshabiller, ne s’arrêtant pas à son écharpe et son manteau qui eux ne se portaient pas à l’intérieur : Il défit sa chemise, puis sa jupe, et après ses collants. Elle s’était contentée jusqu’ici de rougir intensément, acceptant sous ce qu’elle pensait être la contrainte ce traitement, mais lorsqu’il ne lui restait plus que son soutien-gorge et sa culotte, les deux étant, par bonheur ou par malheur, assorties, d’une paire relativement affriolante, largement décorée de dentelle bleue claire. À cause de cela, ses seins étaient déjà presque entièrement découverts malgré la lingerie sensée les recouvrir, et Asami ne voulait pas qu’il la déshabille plus, pas comme ça, aussi saisit-elle les doigts de l’homme qui tentaient déjà de l’en défaire, effleurant sa peau, la brûlant presque tant elle était froide et ses mains chaudes.
Paniquant, elle se précipita vers la salle de bain qui était non loin, rouge de honte et abandonnant ses habits comme son agresseur, et s’y enferma immédiatement la porte franchie, s’y adossant ensuite. Elle avait sans doute été stupide de faire cela...Même si c’était clairement inapproprié, elle n’étais pas réellement en position de refuser, et maintenant il lui en voulait peut-être...N’osant l’affronter aussitôt, elle se dit qu’elle serait aussi bien de maintenant prendre la douche qu’il lui avait proposée, cela mettant un temps, même si il était bien court, entre ce moment et celui où elle saurait si elle avait mal agi ou pas...Elle ôta ces quelques vêtements, bien peu en fait, et alla dans la douche où elle resta de longues minutes sous l’eau chaude, qui lui paraissait en fait brûlante tant elle avait eu froid jusqu’ici. Elle s’en extirpa finalement, totalement trempée alors qu’elle avait apprécié pendant un bon moment sa douche, mais constata avec effroi qu’il n’y avait pas de serviette dans la salle de bain, et évidemment pas ses affaires.

N’ayant d’autre choix, elle enfila ses sous-vêtements qui se trempèrent aussitôt sur son corps, les rendant presque totalement transparent, et déverrouilla la porte pour apparaître devant l’homme. Elle était rouge, à la fois de honte et de chaleur, et l’eau ruisselait encore le long de ses fines jambes, de sa poitrines, de ses cheveux bleutés et de son visage harmonieux, en plus de sa poitrine et son ventre, et elle laissait même de nombreuses gouttes d’eau sur son passage. Sa culotte et son soutien-gorge étaient par ailleurs rendus quasi inutiles par l’eau, presque transparents, et elle s’en rendait bien compte, se présentant honteuse, saisissant d’une de ses mains le coude de l’eau bras et fuyant le regard de l’homme, ne sachant comme s’expliquer de ce qu’elle avait fait.


« Je...Je suis désolée pour tout à l’heure...Je ne voulais pas...Être impolie ou vous brusquer... »

Léona & les Artistes

Légion

La jeune femme se laissait faire et franchement, ce n'était pas plus mal. Parce que non seulement la jeune femme aurait été chiante mais en plus de cela, ça montrait une chose claire et net au kidnappeur pas si méchant: Elle avait confiance en lui. Ses mains étaient douces et prenaient soin de défaire les vêtements de la jeune femme sans être violent. Il ne les arrachaient pas, ne les déchiraient pas... Après tout, il avait bien dit qu'il prendrait soin d'elle non? A quoi ça sert de donner sa parole si on ne la tient pas? C'était ça qui faisait que l'on est un homme et pas un animal. C'est ça qui montre qu'on a un coeur, une raison... La parole et les obligations qui y sont liées.

Quoi qu'il en soit, un soucis se présenta. Ce fut quand il arriva au gros de l'affaire, sans vouloir faire de jeu de mot dégueulasse sur l'opulente et appétissante que possédait son otage. Il imaginait déjà plusieurs scénarios quant à sa réactions et dans tout les cas, ce ne serait pas super! Elle pourrait le traiter de pervers, le repousser... Peut être pas le gifler, elle était trop peureuse pour ça et pas assez impulsive. Du moins, de ce qu'il avait vu! Mais il eut bien vite sa réponse quand il s'apprêta à la mettre nue: Ses mains voulant passer dans le dos de la jeune fille pour s'attaquer à son agrafe de soutien-gorge furent arrêtées et délicatement repoussées. Oh? Finalement c'était mieux que prévu! Le seul truc qui l'étonna fut la fuite. Plus rapide d'une "ninjaaaaaa", elle s'était barrée dans la salle de bain au grand étonnement du jeune homme qui resta comme figé dans le temps. C'était toujours épatant de voir une petite peureuse se tirer comme un furet!

Pendant qu'elle se douchait, lui il avait des trucs à faire! Il descendit quelques étages via les escaliers à l'intérieur même des appartements pour pouvoir mettre ses vêtements à laver. Il avait de très fines tâches de sang sur sa chemise et sa veste dû à son intervention surprise vachement salissante. Le tissu s'en sortait bien pour une fois! Pour le bandana? La même merde comme à chaque fois: Le fait de le coller à sa mâchoire à ruiné l'intérieur... Quitte à le ruiner, autant le faire correctement!! Il essuie sa bouche avec ce dernier pour retirer tout le sang et lance le tissu à laver. Il bazarde aussi son débardeur et ses gants dans le doute. Tout ça, à laver! Ou à brûler en fonction de l'état après lavage. Torse nu, il profite aussi de la douche qu'il entend toujours couler pour aller se chercher un morceau à l'étage plus bas. Heureusement qu'il avait trouvé cette fameuse drogue pour maintenant pouvoir accéder à sa faim... Quand la science dépasse la magie, c'est toujours agréable~! Il prit une tranche coupée pendant une séance de dépeçage de tueur, venant la manger crue sans trop se gêné. Il se rougit un peu les mains en faisant ça mais ce n'est rien. Il les passe à l'eau du lavabo pendant que le morceau de viande, entre ses crocs, disparaît progressivement dans sa bouche. On dirait un fax et une feuille... Ridiculement drôle! Si on oubliait le détail infime qu'était l'idée que ce morceau de viande pouvait venir d'une jambe ou d'un bras...

L'eau s'arrête, il finit son repas en même temps. S'essuyant la bouche avec une serviette, il s'apprêtait à aller faire à manger pour la jeune fille quand il voit la pile de serviette sur le meuble. Une fois de plus, avec cet air stoïque, il semble figé dans le temps. Des espèces de bug quand il est un peu perdu dans sa petite tête, se disant des choses comme "Dafuq?". La belle allait avoir du mal à se sécher sans ça. Il finit par s'approcher du meuble quand il pu voir Asumi sortir de la douche. Et là, il s'étonne clairement. Déjà que tout à l'heure, ses sous-vêtements étaient sexy comme tout mais en ce moment même, elle aurait pu poser pour les magazines érotiques les plus exigeants! Son regard se plante sur ce corps et la première chose qui lui vient en tête, instinctivement, c'est le mot "Appétissant". Par rapport aux pensées cannibales oui. Heureusement, ses instincts sont trop faibles pour qu'il arrive à se rendre compte de cette pensée et la réelle première impression est simplement un "Woah, elle est belle". Il ne reste pas plus longtemps à la fixer que la seconde pensée arrive: "Elle va être malade!". Oui, toujours aussi paternel le jeune homme! C'est pourquoi il prend une serviette et lève les yeux au ciel dans un long soupir. Pas pour la situation mais pour les explications de la jeune fille. Il lui frotte doucement les bras, le haut du corps et donc sa poitrine... Puis ses jambes et son bassin. Il ne se gêne pas non plus pour caresser sa zone érogène par dessus la serviette, voulant enlever l'eau. Dans ses yeux, il n'y avait pas la moindre lueur perverse... Il met la serviette sur les cheveux de la jeune fille et les essorent un petit peu avant de la poser de côté. Il soupire longuement, sourire en coin

Elle est d'un charme, d'une beauté.. Son corps trempé était digne des plus belles visions fantasmagoriques. Les gouttes d'eaux perlaient sur sa peau douce en de longues caresses fines et humides. Ses cheveux azurés étaient collés à son corps, dans son dos et quelques mèches sur son buste mettaient sa succulente poitrine en avant. Et ne parlons pas de ses sous-vêtements! Quelle beauté, quelle... Il ne tient plus! Il s'approche d'elle calmement d'un pas doux et calme. Un pas tendre et tranquille et il arrive devant elle. Droit, il était d'une carrure imposante fasse à cette femme. Et la jeune fille paraissait si fragile.. Qu'elle ne pouvait pas échapper à la suite.

L'aura de peur de Zed s'activa. Imposante, elle mettait sa victime sous pressions, assez pour lui foutre une trouille inquiétante au ventre. Le tueur ne s'en rend pas compte... Il regarde la jeune fille avec un air calme et imposant puis, doucement... Il pose ses mains sur le buste de la belle. Ses mains chaudes se positionnent sur la poitrine de la jeune femme et il lui caresse avec perfidie et fermeté. Il penche doucement la tête de côté en même temps... Le contact est délicieux! Agréable!! Il joue des pouces sur ses tétons pour doucement la taquiner, cherchant à l'exciter. La transparence lui permet sans soucis de voir les zones avec lesquelles jouer. Il laisse alors une main, plus sournoise que les autres, se glisser le long de son corps. Il arrive alors à la zone la plus érogène de son corps et y plaque la main. Il commence alors à la caresser, par jeu, par envie... Elle est belle, elle est jeune, elle est tout ce qu'il aime. Il titille son bouton de chair sensible et vient lentement se pencher pour lui embrasser le cou avec une tendresse qui visait à la mettre en confiance, ajoutant pour appuyer ses dires


"Tu es désirable au possible... Je ne compte pas te faire de mal, je veux juste que.. Tu te sentes bien ♥"

Malgré cette prise de liberté, il n'est vraiment pas méchant. Il est juste sournois de profiter ainsi d'elle, cherchant en effet à l'exciter. Il tenait parole: Il ne lui faisait pas de mal!! Le seul défaut était cette peur qu'il créait via son aura. Une peur qui saisit aux tripes, qui fait frémir l'instinct... Cette dernière s'estompe progressivement et le jeune homme d'apparence vient expirer son souffle chaud dans le cou de sa victime. C'est peut être son otage mais il reste doux avec elle. Il ne la viole pas, se contente de la caresser... Il appuie son majeur et son annulaire entre ses cuisses pour les faire bouger vivement en de petits cercles, faisant réagir la jeune fille. Il ose se baisser un peu encore pour cette fois ci passer sa langue sur un sein... Une longue langue faisant penser à celle de ces créatures surnaturelle... En même temps, c'était une sorte d'animal, il était à peu près normal qu'il soit si... Bestial non? Quoi qu'il en soit, il ouvre un peu plus la bouche pour que sa langue se faufile dans le soutien gorge, caressant le bout du mont de chair de la jeune fille qui est tout simplement... pointé. La langue danse dessus, se mouve, ondule... Il sourit délicatement malgré cela, rendant la proximité entre lui et elle encore plus présente. Il ne voulait as la terroriser et, à ses yeux, c'était un excellent moyen de relâcher la pression, surtout sans l'aura qu'il avait annulé, non~?
« Modifié: vendredi 08 février 2013, 22:22:43 par Léona & les Artistes »

Asami Yamada

Humain(e)

Lorsqu'Asami sortit de la douche, honteuse, elle s'attendit pendant plusieurs secondes à des réprimandes, au moins, et peut-être pire si sa conduite avait modifié les intentions de son ravisseur, mais ce ne fut absolument pas le cas, au contraire. Il était torse nu, séduisant si seulement elle avait l'esprit à ça, et portait une serviette, sans doute l'une de celle qu'elle aurait du avoir après sa douche. Il l'approcha doucement, ne disant rien, et la jeune fille put le surprendre, alors qu'elle guettait sur son visage ses émotions, à lever les yeux au ciel à cause de ses excuses, comme si elle était cruelle envers lui que de croire que lui-même l'était. Alors il marchait lentement vers elle, ayant déjà dissipé tous ses doutes quant à ses intentions qui n'étaient alors que douceur, et, peu avant de l'atteindre, il déplia la serviette qu'il tenait et commença à la passer sur son corps, commençant par ses bras. Elle se sentait si petite dans ses mains fortes et chaudes, si fragile au milieu de sa puissance, et pourtant tout ce que lui apportait cette force était douceur et réconfort, c'était si agréable, et il l'avait déjà pardonnée, lui passant ce qui passait maintenant même à ses yeux pour un caprice, la traitant, en tout point, et comme il lui avait promis, comme une princesse. Il ne la brusquait pas, ses bras bougeant à peine alors qu'il la séchait, et il passa vite au reste de son corps, sa poitrine, ce qui ne la fit que rougir alors qu'auparavant elle l'avait repoussé pour ça, signe évident qu'elle lui faisait maintenant bien plus confiance, son ventre, puis ses longues jambes, ne se gênant par pour caresser son intimité, cependant sans autre visible intension que de la sécher avec attention. Enfin, il termina par sa chevelure, signe ultime que tout cela était bien maladroit, car il la laissa les cheveux ébouriffés et à peine séchés, la serviette étant déjà bien humide à ce moment, comme encore une bonne partie de son corps car il ne s'y prenait pas extrêmement bien, ou peut-être n'osait-il pas, mais cela ne la dérangeait pas, car le geste était si doux et attentionné qu'elle lui pardonnait avec une grande facilité ce petit défaut.

Quelques gouttes ruisselaient encore le long de sa peau douce ici et là, mais elle n'était plus trempée jusqu'aux eaux, et cette simple transition l'avait sans doute bien plus rapproché de son ravisseur que quoi que ce soit avant, aussi se mit-elle à lui sourire pour lui exprimer qu'elle aussi ne lui ferait pas de mal, enfin à son échelle, soit qu'elle ne trahirait pas ainsi sa confiance une autre fois. Mais assez vite, et elle ne sut s'expliquer cela, encore moins la façon brusque et irrationnelle dont ça arriva, elle se sentit vite oppressée par son corps puissant, pire, elle était apeurée de ses crocs qui ne faisaient que l'étonner il y a quelques secondes, et elle redoutait ses mains puissantes comme si elles ne feraient que la broyer à la première occasion. Tentant de reculer d'un pas peu assuré et incroyablement lent car elle osait à peine bouger, tremblante, Asami fut cependant vite arrêtée, ou plutôt s'arrêta-t-elle, lorsqu'une main lourde se posa sur sa poitrine. Elle ne put réprimer un léger cri de surprise et de terreur mêlées, et elle se figea aussitôt, comme si cette simple emprise sur son sein, cristallisant toute sa peur, ne lui laissait d'autre choix que de se soumettre, d'accepter tout ce qu'il ferait, et, malgré qu'elle restait incontrôlablement tremblante, elle n'osait plus bouger, si ce n'est pour plonger son regard émeraude légèrement mouillé de larmes dans celui de son agresseur. Mais elle n'osa rien faire, se contentant de sentir sa poitrine pressée sous la puissance de l'homme, fermement et pourtant douceur et chaleur, car au fond, ce n'étaient que des caresses pour lui, les joues de la jeune fille s'empourprant à vue d'œil. Puis, cessant de palper sa poitrine pour seulement en épouser la forme, la découvrir, ses pouces se placèrent vite sur ses tétons qu'il pouvait maintenant voir par transparence, et les effleurèrent d'abord, faisant frémir Asami, puis les massèrent, les harcelant doucement, comme si ce qu'il cherchait n'était pas à les apprécier, mais bien à ce que ceux-ci apprécient les caresses de ses doigts.

Oui, c'était sans doute ça, il ne profitait pas d'elle, il jouait avec, la taquinant, l'entraînant peu à peu dans son jeu, car même si elle était au départ apeurée et repoussée - Même si elle n'en connaissait pas la raison - par ce contact, elle se mit vite à l'apprécier d'une manière malsaine, ne pouvant s'en détacher de peur, mais en tirant un certain plaisir, une certaine excitation tant qu'il durait. D'ailleurs, une de ses mains se détacha lentement de sa poitrine, glissant sur ses côtes, puis ses hanches, les effleurant délicatement, la traitant toujours avec la même préciosité que tout à l'heure, puis alla se plaquer au creux de ses jambes, caressant son intimité, pas violemment, ne lui ôtant même pas sa culotte, mais titillant délicieusement son bouton de chair qui commençait déjà à, elle avait honte de le sentir et de se laisser aller à ce plaisir, pointer, tout comme ses tétons. Ayant déjà fermé les yeux, ne voulant l'affronter, ni lui ni l'excitation qu'elle ressentait, elle sentit vite le souffle de l'homme caresser son cou avant que ses lèvres ne s'y posent délicatement, l'emplissant d'une certaine sensualité qui vient compléter toute la douceur qu'il lui témoignait déjà, lui arrachant une longue expiration qui passerait presque pour un gémissement, ses lèvres. Il lui susurra alors, d'une voix qui se voulait rassurante et tendre, qu'il la désirait et ne voulait que son bonheur, ou plutôt son plaisir...
Ajouté à la situation actuelle, Asami fondit de désir, et se laissa aller à tout ce que lui faisait l'homme, en appréciant chaque caresse, sa chaleur sur sa peau, d'autant qu'elle ne ressentait plus de peur, celle-ci ayant disparu aussi vite qu'elle s'était instillée en elle. Ainsi, elle commençait à gémir aux caresses qui se faisaient plus insistantes, son « ravisseur » - Qu’elle n’oserait plus désigner comme tel - stimulant maintenant son intimité entière, et son souffle se déplaçant lentement de son cou où il était déjà incroyablement agréable, sensuel même, vers son sein où, ce qui la fit tressaillir d’étrangeté mais aussi de plaisir, sa langue, d’une longueur assez exceptionnelle, s’engouffra. Elle se faufila entre son corps et la fine lingerie qui le recouvrait, massant de façon erratique sa poitrine, la pressant et la dardant de son contact chaud et agréable, jusqu’à se fixer autour de son téton que l’homme devina très vite pointé, signe de son excitation, et sur lequel, pour jouer, il trouva drôle de s’attarder, son muscle rose l’entourant, se mouvant autour pour le titiller, le recouvrant de salive alors qu’à l’autre bout du corps de la jeune fille, son intimité elle aussi s’humidifiait, cette fois sous le coup de l’excitation d’Asami, qui trouvait cela décidément de plus en plus agréable. Après quelques instants passés ainsi à soupirer de plaisir, en appréciant chaque moment, l’otage ne put résister à l’homme dont les caresses la submergeaient, et, passant une main derrière sa tête, plaquant celle-ci contre elle, embrassa son front d’une façon presque incontrôlée, ses lèvres le couvrant de quelques baisers emplis de passion entrecoupés de gémissements qu’elle ne pouvait réprimer. Son partenaire s’amusant avec elle, dardant son corps de caresses irrésistibles et jouant avec son excitation, elle ne put vite plus se contenter de cela et plaqua sa tête contre son épaule dans un spasme que lui donnèrent les effleurements de ses doigts, en profitant pour lui susurrer à l’oreille ce qu’il souhaitait sans doute entendre avant de détourner ses lèvres vers sa joue, faute de pouvoir atteindre sa bouche grande ouverte et langue tirée - D’autant que son activité était pour le moins agréable.


« S’il vous plaît, ha~, arrêtez de jouer avec moi... ha~n, je n’en peux plus... Je suis à vous...Ha~ »

Léona & les Artistes

Légion

Elle réagissait bien. Très bien même. Son corps s'éveillait aux caresses qui éveillaient chaque parcelles du corps de la jeune fille. En effet, sa poitrine appelait à plus que l'habile jeu de mains qu'il exécutait, d'où le fait que sa langue s'était jointe aux efforts qu'il mettait en place afin de jouer avec cette divine inconnue. Il est vrai qu'après tout, il ne connaissait que très peu de choses d'elle. Le strict minimum: Nom et prénom. Et aussi quelques détails mais qui ne risquaient pas de l'aider dans la situation actuelle. Il n'avait pas de piscine à portée dans laquelle il pourrait faire mumuse avec elle. Quoi qu'il en soit!! Le ravisseur fixait la jeune femme pendant ses délicates attentions, son regard vert d'émeraude levé vers le haut vu comme il était penché. Il fut surprit de ne pas se prendre un refus mais plus encore de la suite: Elle le serra contre elle. Ne pouvant retenir un air dubitatif, il l'effaça bien vite de son visage pour reprendre son expression de joueur. Les lèvres de l'otage étaient très volontaires et se posaient sur son visage, ce qui fit naître une certaine chaleur dans tout son corps. Naissante, certes, mais présente. En continuant de jouer, il se concentrait sur son œuvre pour que les délicieux gémissements qu'elle lui offrait ne s'arrêtent pas. Et pour plus de jeu, devinez?, elle s'offrit littéralement à lui. Elle venait de lui dire qu'elle était sienne... Immédiatement, la chaleur en lui prit des allures de brasier furieux. On vous laissera deviner son envie à ce moment précis, quand une jeune femme aussi splendide vous dis qu'elle n'est qu'à vous... Peut être que ça ne durerait pas, alors autant l'éviter de changer d'avis? Sa langue rentra enfin dans sa bouche pour qu'il puisse lui parler, la regardant dans les yeux en lui offrant un sourire en coin perfide, animé de ses crocs tranchants

"Déjà? Si sensible, s'en est adorable~ Mais j'ai encore envie de jouer "

De la provocation pure et simple. Il n'attend pas une seconde de plus pour illustrer ses propos et vient glisser sa main sur le sein de la jeune fille sous le tissu de son sous-vêtement, attrapant cette chair tendre qui appelait aux caresses. Il pétrit avec une fermeté experte sa poitrine, lui offrant des sensations bien plus présentes que tout à l'heure. Le vêtement est remonté par dessus la poitrine pour lui permettre d'exécuter ses caresses sans être restreint dans ses mouvements par un obstacle. En même temps qu'il faisait cela, ses lèvres intrépides se décidèrent à ce lier à celles d'Asami pour un baiser chaste. Un simple baiser "d'amoureux". Il dura quelques secondes avant qu'il ne se décide à l'embrasser, une seconde fois, de manière plus profonde et fougueuse. La langue aventurière de l'homme vint se joindre à sa jumelle dans un ballet torride auquel il mit fin en quelques instants pour une pratique plus agréable encore: Il coupla ses lèvres au sein de l'otage pour jouer plus habilement que tout à l'heure. Entrouvrant la bouche pour prendre une partie du sein, il maltraitait un peu ce dernier en laissant danser sa langue, suçotant et mordillant par moment le bout de cette généreuse poitrine qu'il gâte à sa manière. Dans sa situation, ce genre de choses étaient compliqués vu que mordre revenait à presque lui arracher la chair. Heureusement, il était très mesuré à ce niveau là.

En bas, c'était aussi un cran de plus sur l'échelle du jeu. Durant tout ce temps, au rythme des taquineries plus haut, ses doigts avaient appuyer un peu plus fort sur sa fleur sensible pour la faire s'éveiller plus encore. Un troisième doigt, son index, vint s'ajouter aux deux autres pour une pratique très précise: Index et annulaire s'écartèrent en emportant les lèvres intimes de la jeune femme, les écartant elles-mêmes au passage. Le majeur avait ainsi tout le loisir de caresser les chairs sensibles de cette femme si sensible et si soumise à son ravisseur qui se donnait à cœur joie dans ce traitement. Il prolongea un instant et, très lentement, il enfonce son doigt dans ses chairs chaudes et humides. Lentement, pour que chaque centimètre se fasse sentir. Il le fait ensuite tourner en elle, caresser ses parois... Et de temps à autre, place des va-et-vient vifs pour la surprendre.

Des remords? Non. Il serait même presque prêt à remercier ce flic pour la rencontre qu'il lui avait permis de faire! Mais Zed, attentionné envers les personnes de l'âge de Asami, comment se sentait-il en cet instant précis? Tout simplement heureux. Tout les traits qui lui plaisait chez une femmes étaient là, présents, faisant de cette lycéenne une véritable bombe de charmes aux yeux du criminel. Et puis, pour une otage, elle était très particulièrement coopérative pour le plus grand plaisir du déchu. Tout ce qu'il mettait en place était fait pour la combler, hors de question de la décevoir alors quelle était prête à s'offrir à celui qui, un peu plus tôt, avait arraché la trachée d'un inspecteur et menacer cette même fille de mort. Il était clairement appliqué à son plaisir et reste toujours aussi muet, comme un bourreau. Celui qui allait arracher des cris à sa victime. Des cris de plaisir~
« Modifié: lundi 11 février 2013, 11:19:24 par Léona & les Artistes »

Asami Yamada

Humain(e)

Asami subissait depuis un moment les caresses de son ravisseur, cédant peu à peu au désir qu’il faisait monter en elle avant d’ouvertement lui en demander plus, ce qui était sans doute d’une certaine façon malsain vue la situation, mais son corps le réclamait bien trop fort pour qu’elle puisse y résister. Dès sa déclaration, l’homme devint comme ne transe, étant sans doute déjà prêt à aller plus loin, n’attendant que sa demande pour ne pas trahir ses promesses, et malgré qu’il semblait profiter de l’effet pervers qu’il instillait en la jeune fille, il osa jouer avec ses nerfs, le tout, ajoutant à la moquerie, en délaissant son sein de sa langue. Il jouait avec elle, et en fait, malgré qu’elle l’avait presque supplié de mettre fin à cette attente et qu’il en avait sûrement d’une certaine manière envie, il prit soin de la provoquer en prolongeant ses caresses, lui accordant cependant un peu plus de conviction dans celles-ci. Premièrement, il se débarrassa de son soutien-gorge, celui-ci perturbant sûrement le toucher moelleux et doux des seins qu’il cachait, mais à la hâte, car il ne prit pas la peine de le dégrafer ou même le faire tomber de ses épaules : Il le souleva simplement, le strict minimum, dévoilant, ce qui était sans doute son seul objectif, la poitrine de la lycéenne. Et, peut-être ravivé par cette vue, il la massa alors comme jamais, lui faisant ressentir à la fois sa force et sa tendresse, pressant son sein de toute son habileté, laissant Asami apprécier toute l’étreinte qu’il avait sur elle et en même temps ne manquant de la combler comme si son seul désir était son plaisir.

La jeune fille ne put réprimer de faibles gémissements, prise sous le coup de cette sensation, les soufflant à l’oreille de son ravisseur comme une confession qu’elle aurait voulu taire, mais il ne la laissa pas continuer, répondant à ses « plaintes » ou simplement par envie, et l’embrassa. La lycéenne l’apprécia quelques secondes, sentant simplement la chaleur de son « amant » passer par ses douces lèvres, mais lorsqu’elle se crut délaissée par sa bouche, il revint à la charge, cette fois bien plus langoureusement et plus profondément, liant cette fois jusqu’à leurs langues. Les doigts d’Asami se crispèrent alors sur le coup de son ravisseur, le pressant plus contre elle, collant leurs lèvres encore plus les unes contre les autres, alors que sa langue embrassait avec joie sa semblable, valsant avec passion. Mais encore une fois, ça ne dura pas, leurs bouches se séparant arrachant cependant cette fois un gémissement légèrement déçu à la lycéenne, mais celle de l’homme reprit bien vite son corps comme centre d’attention pour son plus grand plaisir. Collant ses lèvres au sein de la jeune fille, il en prit dans sa bouche une partie, ses crocs l’entourant légèrement, faisant légèrement craindre Asami, mais il n’était à ce moment que le mélange exquis de force et de passion qu’elle appréciait, la rassurant bien vite, le doux contact de sa langue venant s’ajouter à ce rêve ne faisant que la presser de ne plus se soucier de quoi que ce soit d’autre que son plaisir.
Presque habituée, bien que jamais lassée, à la caresse de ses doigts sur son intimité, l’attention de la jeune fille y fut ramenée lorsque celles-ci se firent plus intensives : Glissant maintenant sa main dans la lingerie, forçant sa main à être presque plaquée contre elle, l’homme écarta ses lèvres pour glisser entre elles un de ses doigts, d’une manière délicieusement agréable. Asami en rougissait de plaisir, resserrant son étreinte autour du coup de son « amant » et dardant le haut de son visage de baisers entrecoupés de gémissements, alors que son corps entier se cabrait et vibrait sous les caresses de ses doigts, le tout rythmé par l’humeur de l’homme qui modifiait celles-ci sans prévenir, pour la plus délicieuse surprise de sa captive. Cependant, elle se rendit vite compte que toutes ces douces choses ne la servaient qu’elle, et voulut alors rendre à son doux ravisseur ses faveurs.

Elle posa une main sur son torse, se repérant grâce à cet appui, ses yeux fermés pour mieux apprécier ses caresses, mais aussi pour profiter de ce toucher agréable, la chaleur et la puissance de son corps brûlant sous les doigts de la jeune fille, et fit alors lentement glisser l’autre vers son entre-jambe, défaisant sa braguette d’un geste rapide puis, profitant alors du mou dans le pantalon de l’homme, glissa sans autre déshabillement ou mise en garde sa main autour de son membre, commençant lentement à le caresser. Ses baisers redoublaient d'ardeur alors que sa main sentait la chaleur du corps de son « amant » mieux que jamais, et de la même manière, son intimité se resserrait parfois autour du doigt de celui-ci tout en le mouillant abondamment de toute son excitation.

Léona & les Artistes

Légion

Re : Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

Réponse 10 mercredi 13 février 2013, 09:29:57

Zed était tout simplement conquis. Pas seulement par le charme naturel de la jeune femme, aussi par ses réactions et sa façon d'être. Pas à un seul moment il n'aurait penser qu'elle se comporterait ainsi. En même temps, si un jour on lui avait dit qu'il pourrait avoir une otage qui serait aussi coopérative et câline que celle qu'il avait actuellement tout contre lui, il en aurait rit! L'irréalisme de cette situation donnait l'impression au tueur que quelque chose d'intéressant pouvait se lier entre eux. Par le sexe? Probablement. C'"est surtout par la proximité qu'il allait noué avec elle, par le corps, que leurs esprits finiraient par se lier sur une même longueur d'onde. Mais ne soyons pas ridicule. Après tout, cette femme pouvait très bien reprendre la raison juste après et dire que ce fut une erreur de le faire avec un monstre pareil qui n'a pas hésité une seule seconde à attraper un homme au cou pour lu arracher la trachée. Dans tout les cas, la corrompre par le plaisir était quelque chose qu'il avait vraiment envie de faire. Et il devait le faire maintenant!

Pendant que son manège de jeu taquin et perfide prenait ce rythme irrégulier qui était fait pour accentuer le plaisir, il pu sentir la jeune femme devenir plus entreprenante elle aussi! En effet, il pu sentir sa main douce venir s'attaquer à son jean pour dégager la braguette et pouvoir ainsi commencer à le masser. Frémissant doucement, il souriait avec une certaine perfidie, la laissant jouer avec lui. Progressivement, son membre se mit à grandir dans la main de de Asami, signe clair et précis de désir, d'envie... Il se sentait de plus en plus bouillant, le radiateur faisant pâle figure à côté de lui. Il pouvait sentir que la jeune femme réagissait de plus en plus et autant dire que ça l'encourageait  beaucoup. Le sexe de la jeune fille se contractant sur son doigt, il la titillait un peu plus fort et plus vite. Elle ruisselait de plaisir sur son doigt... C'est à ce moment précis qu'il décida de rendre les caresses plus intenses. Son majeur en elle fut rejoint par son annulaire et, joints, ils se mirent à bouger en elle avec beaucoup de vitesse. Dansant en elle, les doigts habiles lui procurait ce plaisir presque immoral alors que le pouce encouragea le traitement en se posant sur le clitoris de la jeune fille, le massant en de petits cercles à vitesse variable. Arrachant cyprine et gémissements ainsi, Zed avalait un peu plus fort ce morceau de sein de la jeune femme, glissant sur le haut de cet obus de chair pour y poser ses lèvres et jouer avec ce dernier. Il en laissa une marque de suçon et sourit un petit peu, dévoilant rien que par ses crocs découverts son innommable perfidie. Un jeu unique et appliqué... Qui dura encore quelques succulents instants.

Arrivé à un point d'excitation qui avait rendu son sexe tendu et ne demandant qu'un traitement plus intense, il retira ses doigts couverts de cyprine et lécha ces derniers, juste devant elle. Ses yeux profonds se plantèrent dans le regard de sa future victime, y cherchant quelque chose. Vous savez, cette lueur... Cette lueur de décadence qui appelait à avoir plus encore de sensations... D'une attitude sournoise et presque froide, le tueur fit tourner sa victime pour la plaquer contre le mur, sans lui faire mal. Il ne voulait après tout pas la violer: Elle était consentante! Une main caressa simplement le ventre plat de la lycéenne, remontant progressivement à sa poitrine qu'il saisit avec une certaine fougue, lui massant à nouveau. Son pantalon toujours aussi entrouvert, il frotta son membre entre les fesses de la jeune fille. Il comptait arrêter les préliminaires si tôt? Oui. Libérant son sexe, il décala doucement sur le côté le tissu qui cachait celui de son "amante". N'arrivant pas à ce tenir plus longtemps, il lui mordille alors l'oreille tout en lui massant le sein, intensément. Avec une lenteur intolérable, il avança le bassin, son gland entrant très doucement dans les chairs de la jeune femme. Il enfonça un peu plus son membre et, d'un seul coup de bassin brutal, s'ancra au fond d'elle en poussant un gémissement de plaisir au creux de l'oreille de la pénétrée. Elle n'était pas vierge? Tant mieux, ça lui aurait fait mal sinon... Maintenant, il attendait simplement une réaction. Une premier réaction pour commencer à y aller plus franchement. Son instinct bestial prenait progressivement le dessus... Il savait le tenir, certes, mais peut être que ça ajouterai une dimension à cet ébat futur si la pauvre était prise comme un animal? Dans tout les cas, il soupirait d'aise à l'oreille de Asami, lui prenant doucement une jambe derrière le genou pour la soulever et se donner un axe de pénétration plus profond encore. Quelques baisers sur la nuques, dans le cou et à l'oreille... Et il sourit à sa manière, prêt à imposer le rythme.

Asami Yamada

Humain(e)

Re : Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

Réponse 11 vendredi 15 février 2013, 17:43:13

Asami avait en main le membre de son « agresseur », le caressant lentement alors que celui-ci s’évertuait à la faire mourir d’envie, stimulant chaque partie de son corps avec un talent et une perversion s’égalant dans l’excès. Elle gémissait fortement, ses lèvres libres se languissant déjà de la langue de son partenaire et s’occupant à lui crier le plaisir qu’elle tirait de ses caresses, alors que son corps entier le lui hurlait aussi à sa façon, réagissant délicieusement à chacun de ses plus petits effleurements, ses plus petits tressaillements. Assez évidemment, sa main s’aventurant dans son pantalon ne fit que lui donner le signal qu’elle en voulait plus, bien qu’elle ne pouvait le nier, et, chaque action entraînant sa réaction, il ne fit que se jeter avec encore plus de voracité sur son corps : Il glissa un autre doigt dans son intimité tout en caressant son bouton de chair, abandonnant le simple titillement qu’il lui avait imposé jusqu’ici pour maintenant entrer dans le vif du sujet, alors que sa bouche gobait encore plus de son sein, suçant et léchant son téton avec entêtement. Il garda ce rythme de longs instants que la lycéenne passa à hurler son plaisir - Une chance que, malgré qu’elle ne le sache pas, personne d’autre n’habitait cet immeuble - tout en répondant malgré elle à ses caresses, son téton ne cessant de s’exposer plus hardiment à sa langue tout comme son clitoris faisait avec son doigt, et son intimité se resserrant périodiquement autour des doigts qu’il y avait inséré, faisant couler sur eux un flot de cyprine incontrôlable.
A l’issue de ce délicieux moment, il décida que ses caresses sur son membre invitaient définitivement à plus, et arrêta alors tout ce qu’il avait entrepris. Arrachant à Asami un long soupir de dépit et de plaisir mêlés, la rendant aussitôt nostalgique de cet instant si peu lointain où elle gémissait sous ses caresses et la laissant haletante, il retira ses doigts de son intimité et ses lèvres de son sein, y laissant cependant une marque rouge gorgée de sang, comme son empreinte marquant sa propriété. Cependant loin d’en avoir fini avec cette passade, il porta ses doigts couverts de la cyprine de la lycéenne à sa bouche, la dardant de son regard qui vit aussitôt ses joues s’empourprer alors que ses yeux semblaient presque trahir son plaisir de le voir ainsi boire le résultat de son désir pour lui.

Il lui intima alors de se tourner vers le mur devant elle, celle-ci s’exécutant sans la moindre résistance, se plaquant contre la paroi docilement, sentant les mains de l’homme la caresser, d’abord son ventre, mais retournant bien vite à sa poitrine, lui arrachant de faibles soupirs de plaisir, attendant sa « récompense » qu’elle sentit vite pointer entre ses fesses, le membre les caressant lentement alors qu’une main laissa apparaître son intimité en décalant la lingerie qui la recouvrait. Une fois prête à recevoir son « agresseur », Asami sentit son souffle arriver sur son cou, vite suivi de ses crocs mordillant son oreille, lui signalant l’imminence de sa surprise. Elle sentit alors le membre qu’elle tenait il y a quelques instants entrer en son intimité, la faisant gémir tout le long de cette pénétration, et lorsqu’elle eut en elle tout le sexe de l’homme, elle lâcha un soupire de plaisir qui se mêla à celui que lui poussait dans son oreille, la submergeant de son plaisir auquel elle ne pouvait que se joindre, les deux se superposant pour trahir ce qui se passait au plus profond de la jeune fille.

Mais il n’alla pas plus loin, d’ailleurs, il cessa simplement toute activité en elle, levant une de ses jambes pour faciliter des mouvements qu’il n’entama pas. Cependant, il ne cessait de jouer avec elle, sa main caressant toujours agréablement sa poitrine et ses lèvres dardant sa peau, la couvrant de doux baisers aux endroits les plus sensibles, suffisant à lui faire fermer les yeux de plaisir et à soupirer pour la même raison. Mais en ce qui concernait son intimité, la seule chose qu’elle pouvait apprécier étaient les soubresauts de son membre en elle, des mouvements involontaires qui suffisaient, dans cette position divinement agréable, à la faire brûler de désir et d’envie, à faire crier son corps de désespoir et à lui faire implorer plus, ne lui accordant rien, jouant avec ses nerfs.


« S’il vous plaî~t... Ha~n... Prenez moi... Faites ce que vous voulez de moi - ha~ - mais je vous en prie, ne me faites pas attendre comme ça... »

Elle était pitoyable ainsi, le suppliant pour quelques coups de hanche, qu’il se livre à la bestialité en lui avec elle, tout pour qu’elle ne brûle pas ainsi de désir, se consumant dans le vide, s’excitant sur son membre, sur l’attente qu’il bouge, qu’il satisfasse ses envies les plus basses : Elle se resserrait autour du pénis, le mouillait de son excitation et gémissant au moindre de ses soubresauts alors que les caresses de l’homme ne faisaient déjà que mettre ses nerfs à vif.

Léona & les Artistes

Légion

Re : Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

Réponse 12 dimanche 17 février 2013, 03:35:04

La sensation était intolérablement succulente! Cette pénétration n'avait rien eut de bestiale mais un petit aspect pressé. Ancré en elle, le jeune homme sentit son cœur battre la chamade alors qu'il se contentait de gâter le reste du corps de la jeune femme de délicieuses petites caresses et de baisers doux. Pourquoi il ne s'était pas mit à la prendre tout de suite? Tout simplement parce que la faire languir était d'un délice mémorable. Et puis après tout, c'était lui le ravisseur, il traitait sa pauvre détenue de la manière qui lui convenait!! Bon, il avait certes promis de ne pas lui faire de mal... Mais lui faire plaisir c'était aussi super~ C'est pourquoi il écouta la complainte de la jeune femme et en frémit doucement. Cette voix si fragile, si suave... Qui la supplie de la prendre! C'était une tentation bien trop imposante. Le jeune homme de compagnie plutôt mauvaise d'après les rumeurs vint serrer un peu plus la jambe qu'il tenait, donnant un grand coup de bassin pour aller bien profondément entre les reins de la belle. Se sentir aussi profondément ancré dans son intimité le faisait frémir de joie! Les petites contractions vaginales étaient un délice tout ce qu'il y a de plus encourageant et il se mit alors à la prendre avec une vitesse de plus en plus élevée. Atteignant un rythme qu'on peut qualifier de bestial, ses gémissements se transformèrent en grognements de plaisir animal qui se faisaient entendre à l'oreille de Asami. Prise ainsi, dominée contre le mur, il prolongeant la moment en serrant sa poitrine, sa langue baveuse lui inondant le cou. Il sort soudainement d'elle et l'attrape par le biceps pour la lancer sur le canapé.

"Ce que je veux? Alors je vais me laisser aller~!"

Il la plaque le buste contre le meuble confortable, son torse chaud appuyé et collé sur elle. Il lui lèche à nouveau le cou mais cette fois ci.. Le mord de ses crocs! Pas assez pour al faire saigner, juste de quoi la taquiner, le beau Zed vient la pénétrer à nouveau avec une brutalité intolérable. Son bassin claque au fessier de la jolie lycéenne qui se voit prise comme une chienne dans cette position rappelant la satisfaction des besoins les plus primaires des animaux. Il râle de plaisir à son oreille alors qu'il l'écrase, tout simplement, sous sa stature de tueur. Il gémissait d'un plaisir qui grandissait de façon exponentielle. La chaleur du contact entre leurs corps, la profondeur de ce pseudo-viol volontaire et consentant... La fleur sensible de la jeune femme ruisselait sur le lit alors qu'il souriait de joie, ses mouvements allant de plus en plus vite et faisant dans l'irrégularité pour créer un inattendu et pas une routine. Son expertise était quasiment étonnante! Ses mains servent à deux choses: Une pour pétrir le sein délaissé tout à l'heure et l'autre pour appuyer sur l'épaule de la lycéenne qu'il tenait et forçait pour maintenir cette femme bloquée sur le canapé, toujours aussi soumise. Jusqu'où irait ce jeu? Aucunes idées. Mais pour l'instant, Zed ne pensait qu'à une chose: La prendre~!!

Asami Yamada

Humain(e)

Asami suppliait son agresseur de donner suite à la pénétration qu’il avait odieusement arrêtée, la laissant pendante à ses caresses, s’amusant à palper son corps autant qu’il le pouvait et le faire brûler d’envie sans l’assouvir. Cependant, par bonté ou simplement parce que malgré la tentation de jouer avec les nerfs, il le voulait aussi, il « obtempéra » et commença par réaffirmer sa position, annonçant par ailleurs à son otage que son vœu allait être exaucé, puis s’enfonça profondément en elle. Bien évidemment, elle gémit bruyamment à ce moment, lui criant tout son contentement et l’encourageant implicitement à plus tant ce sursaut avait été agréable. D’ailleurs, réalisant cette demande ou simplement dans un élan primaire, il ne se gêna pas pour instaurer un rythme bien plus rapide mais aussi plus puissant, prenant la jeune fille d’une façon possessive et animale, la plaquant contre le mur, négligeant presque sa présence si ce n’est celle de son intimité, et soufflant dans ses oreilles un halètement bestial. C’était loin d’un quelconque romantisme et Asami n’était à ce moment pas réellement traitée comme elle l’attendait d’une personne qui lui avait juré de la faire se sentir bien, mais elle avait du mal à avouer ce que son corps criait, qu’elle aimait ça, qu’elle y prenait du plaisir et aurait aisément abandonné un peu plus de son humanité pour plus de ce que proposait son agresseur. Il était à ce moment en réalité plus animal qu’à tout autre moment, se comportant avec la lycéenne comme l’incarnation de la masculinité bestial, sa langue parcourant goulument le coup de sa proie, ses mains parcourant son corps, y cherchant toutes les formes qui représentaient la féminité et les massant maladroitement.

Cependant, comme on pouvait l’attendre de quelqu’un dans un tel état second, il était impulsif, et arrêta aussi vite qu’il l’avait commencé cet acte, lui annonçant - Preuve d’humanité car il en fallait bien une - qu’il n’allait maintenant plus se retenir, ce qui affola presque Asami tant elle pensait que c’était déjà le « pire » dont il était capable. Et il ne mentait pas, car une fois projetée sur le canapé, elle sentit vite tout le poids de l’homme qui l’avait prise s’abattre sur elle, la couvrant de son propre corps, sa chaleur se transmettant par leurs deux peaux plaquées l’une contre l’autre, et son membre bien évidemment dure entrer à nouveau en elle sans quelconque forme de sensualité. La lycéenne ressentait toute sa puissance, une main plaquant contre le meuble ce qui échappait au corps entier, l’autre pétrissant sa poitrine avec force alors que sa gueule dardait lentement son cou, l’égratignant de temps en temps sans jamais lui faire ressentir la moindre douleur, et que son membre s’enfonçait à un rythme fluctuant mais toujours assez soutenu au plus profond d’elle, allant jusqu’à claquer contre ses fesses comme ultime buttoir. Malgré tout, Asami en ressentait un étrange plaisir, étreinte entre le canapé et la chaleur et la puissance du corps de son agresseur, celui-ci la dominant complètement de tout ce qu’il pouvait et lui apportant sa dose de bestialité, son corps répondant plus que favorablement, lâchant constamment des gémissements extasiés et quelques gouttes de son désir coulant de son intimité sur le meuble sous les fougueux coups de reins de l’animal. La jeune fille était dans une position bien défavorable, rabaissée, dominée,  mais malgré qu’elle en soit consciente, tout chez elle, de son corps à ses gémissements, suppliait son « partenaire » de continuer, voire lui en demandait plus.

Léona & les Artistes

Légion

Re : Un squelette dans le placard et un cadavre dans la rue [Asami Yamada]

Réponse 14 mercredi 20 février 2013, 01:27:44

Zed se laissait totalement aller. Son corps bouillant comme jamais, son souffle chaud créait un nuage de fumée caractéristique de sa chaleur corporelle bien supérieure à celle qui les entouraient. En même temps, la créature déchu avait maintenant ce côté animal qui lui donnait toute sa bestialité mais, aussi, une grande partie de son charme! Tremblant donc de joie, il accélérait ses mouvements qui prenaient une dimension tout autre. Plus de tendresse, plus de sensualité. Juste le plaisir bestial d'un ébat intense et brutal où le but est de satisfaire un insatiable appétit sexuel. Les mouvements de l'homme faisaient gicler la cyprine de la jeune femme hors de cette dernière, le meuble encaissant les arrivées de liquides de plus en plus fréquente dû à l'accélération exponentielle des mouvements de ce dernier. Il gémissait toujours à l'oreille de sa soumise, grognant même comme l'animal pour lequel il passait. Une main pétrissant un sein de la jeune fille, l'autre lui attrapant sauvagement la fesse dans une claque. Il masse cette dernière avec fermeté alors qu'il ne tient plus et craque. Sa dernière part d'humanité s'envole pou cet ébat!!

Ses griffes se dévoilent! Aiguisées, elles laissent des marques de maltraitance sur sa poitrine et sa fesse, les griffant intensément. Les marques rougissent tout de suite et ce n'est pas finit: La gueule de l'animal s'ouvre! Dévoilant ses crocs, il garde la bouche ouverte pour les passer sur l'épaule de la jeune femme, serrant un peu en remontant vers son cou pour qu'elle sente chaque petit frisson provoquer par cette puissante mâchoire. Arrivé à destination, il se décide enfin à jouer plus sérieusement et mord le cou de la jeune fille, gentiment. Juste assez pour imposer un suçon possessif! Mais sinon? Hé bien il la mord! Gentiment, certes, mais il la mord quand même pour lui arracher ces frissons de peur qui ne feront qu'accrurent le plaisir~! Il sait parfaitement que si il mord à fond, il risque de lui arracher la chair! C'est pourquoi, par instinct probablement, il ne la tue pas accidentellement et se contente de la prendre ici même avec toute la sauvagerie dont il pouvait faire preuve. Investit comme une bête sans mauvais jeux de mots, il trouve une seconde de lucidité pour dire

"Tu aime~?"

Et il ricane. Ces deux petits mots lui permettraient de savoir comment se porte la belle, si le traitement lui plaisait et surtout: Comment elle se sentait! La prendre comme ça... jamais il n'aurait cru cela possible. Elle était délicieuse. Il se délectait de la sensation que lui procurait l'antre de la belle. Mais il finit par craquer... Non, pas d'orgasme! Il sortit d'un coup de la belle pour cette fois ci la prendre par son orifice interdit, sourire en coin. Écartant l'anneau de la jeune femme, il se retrouve assit sur le canapé, le dos de la jeune femme contre son torse. Sa main peut jouer plus aisément avec sa poitrine tandis que, plus fourbe, l'autre se glisse entre les cuisses de la jolie jeune fille pour la caresser. Majeur et annulaires viennent se faire une place dans sa fleur inondée et bouillante, dansant en caressant ses zones les plus chaudes. Ils s'écartent à l'intérieur, bougent... Et un grognement animal venu d'ailleurs se fait entendre quand le jeune homme resserra un peu la prise de sa mâchoire sur le cou de la jeune fille, ceci servant d'avertissement à l'ordre qui suivit

"Mets-y du tien toi aussi: Empale toi sur moi jusqu'à plus pouvoir~"

Et pile ceci dit, une troisième phalange s'infiltre entre les cuisses de la belle, lui arrachant plus de cyprine encore. C'était du jeu. Rien que du jeu passionnel auquel l'animal soumettait la belle, ayant parfaitement le dessus. Son objectif? Aucuns. Juste profiter d'elle. Et ceci fait... Il pensera au plus sérieux comme la condition d'otage de cette dernière~!!


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